(terminé) Une parenthese [Azilys]

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Une parenthese

Cette instant au pres de l'arbre d'Alice avait été plutôt révélateur. Bien sur que j'en voulais toujours à Jason d'avoir couché avec la petite amie de Gabriel mais j'étais surtout jaloux qu'il est le droit de posais ses mains sur Azilys. Depuis quelques minutes, j'avais ce droit moi aussi ou plutôt nous avons décidé avec Azilys de vivre une relation secrete. Je lui avais donc proposé de me rejoindre pour quelques heures, je ne pouvais pas m'octroyais la nuit pas encore. Je savais déjà que le week end prochain serait que pour elle, que je dirais à Emily que je pars en voyage pour Oxford. Bien sur, on n'avait pas pu rentré dans l'hôtel ensemble cela serait vue par tous et surtout répété par les mauvaises personnes. Je ne pouvais pas me permettre pas tout de suite qu'Emily le sache, ni même Gabriel. Je voulais profité d'un moment, d'une parenthese pendant quelques heures avec Azilys avant d'affronté la tempete. J'étais donc rentrais dans l'hôtel seul avant Azilys, une bonne demi heure avant elle et avait demandais une chambre sans donnée de temps réel. Si j'avais choisi cet hôtel, c'est simplement pour leur discretion. Il ne leur ai jamais arrivé de faire de mauvaise histoire ou de colporté des rumeurs, d'ailleurs Eliakim m'avait déjà parlais de cette hôtel en bien. Lorsque j'entendis frapper à la porte, cela faisait maintenant deux heures que je n'avais pas vue Azilys. C'était elle changé pour moi ? Avait elle même peut être changais d'avis sur notre relation secrete ? Je ne le voulais pas et je souhaitais de tout coeur que le temps s'arrete. " Entres " Dis je tout en sachant que c'était ma belle brune.

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Une parenthèse...

J'avais en fin de journée eu une rencontre avec Elyas.. Celle ci avait été constructive, mais un peu bizarre. On avait conclu à un accord, une relation secrète, le temps qu'Elyas mettrait tout ses doutes et ses affaires au clair. J'avais accepté de le rejoindre à l'hôtel pour pouvoir être au calme et à l'abri des regards indiscrets. Il devait y aller et je devais le rejoindre après pour éviter les cancans.
J'étais donc rentré à ma chambre pour pouvoir prendre une douche et me détendre un peu avant. Une fois dans ma chambre, je mis de la musique, et fila sous la douche. Une fois laver, raser adieux l'épilation pas le temps, et une fois que je sentais meilleur que le cheval pour un rendez vous galant. Je sortis et fila dans mon armoire. De joli dessous, une robe rouge, et une paire d'escarpins plus tard, je me maquillais légèrement. Un chignon coiffé décoiffé pour évité de me coiffé justement. Et une fois sec ils seront un peu ondulé. Je pris mon sac, ou j'avais mis dedans mon pc et un petit attirail d'au cas ou.. Le pc c'était si jamais Elyas changeait d'avis, .. ou moi.. Et le au cas ou.. On ne savait jamais , je prenais mes précautions. Une nuisette , une brosse à dent, à cheveux..
Je sortis de ma chambre et me dirigea vers l'hôtel. Sur la route je réfléchis : si jamais je faisais une erreur, et si je déviais Elyas du droit chemin.. Il devenait un mauvais mari et par ma faute, je ne devrais peut être pas...
J'arrivais devant l’hôtel. Je détacha mon chignon.. Passa une main dans mes cheveux. Ils étaient ondulés. Et encore légèrement humide à cause de la douche. Je pris une profonde respiration et entra dans l’hôtel.
Une fois dedans je demandais au réceptionniste si un homme d'une petite trentaine d'année avait pris une chambre, il me dit de suite le numéro. Je montais à l'étage. Frappa à la porte où devait se trouver Elyas.
"Entres"
Je tournais la clanche en me demandant encore si ce n'était pas une erreur.

-Bonsoir, dis-je doucement en souriant en entrant et en apercevant Elyas.

Je ne savais pas si j'avais raison de faire et et si lui avait aussi raison. J’espérais au fond de moi qu'il ait changé d'avis, et qu'il resterait un homme droit mais une grande partie de moi voulait qu'il ne retourne pas en arrière. Je savais que je me prendrais peut être un mur si jamais il ne quittait pas Emily, mais au moins je profitais des moments passés avec lui. Même si j'avais l'impression de le corrompre. Je souris, et me dit que je ne devais pas penser à ça. J'avançais vers lui.

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Une parenthese

Pendant deux heures, j'avais eu le temps de prendre une douche et même d'acheter des vêtements neuf afin d'être propre pour Azilys mais aussi de ne pas prendre des affaires en pleine journée. Bien que je ne savais pas si Emily se trouvais à la maison mais je ne voulais pas prendre de risque. Cela faisait désormais une demi heure que je me trouvais dans l'hôtel et lorsque j'entendis frapper mes cheveux se trouvais encore un peu humide mais j'avais pu enfilé les vêtements prévu. Un t-shirt rouge en col en V ainsi qu'un jean noir et des chaussures marron, pour une fois j’optai pour la simplicité et oublia la cravate. Lorsque je dis à la personne d'entrer après avoir entendu frapper. J’aperçus une jeune femme aux cheveux ondulée, avec une petite robe rouge qui laissé imaginais chacune de ses formes qui criait de céder à la tentation, des escarpins qui me rendais fou et qui fit envolais rapidement mes craintes. Elle me lança un bonsoir avec un sourire qui me donnais envie. " Bonsoir ravissante jeune femme. " Je ne pouvais m’empêchais de la complimenté et de me demandais comment une jeune femme comme elle pouvait s’intéressait à un homme comme moi qui non seulement est marié mais est aussi le meilleur ami de son frère. Je m'approcha discrètement vers elle, jusqu'à la prendre dans mes bras et lui demandais encore une fois d'un air gêné. " Tu ne regrettes pas d'être ici ? " Je savais dors et déjà que Azilys allait me faire une remarque et me dire d’arrêter. Alors après avoir entendu sa réponse, je changea de sujet et l'invita à s’installait sur le lit en arrondi.

Tenue du beau Elyas:

Chambre d'hôtel:

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Une parenthèse...

J'avais passer la porte en étant stresser et la chambre était magnifique.. J'ouvris la bouche après avoir dit bonsoir à Elyas, je n'en revenais pas.. Un lit, un jacuzzi et une ambiance magnifique... Un conte de fée. Elyas me répondit en me disant que j'étais ravissante, il en faisait trop.. Je n'avais rien de changer de d'habitude.. Même si lorsque j'étais parti j'étais encore une très jeune femme.. Il était magnifique, il s'était changé, son t shirt rouge lui allait à ravir, à croire qu'on s'était coordonné pour les couleurs. Il s'approcha de moi, et je referma la porte et déposa mon sac juste à coté. Il me pris dans ses bras. Je le pris dans mes bras aussi et me colla à lui pour respirer son odeur.. Il me demanda gêné si je ne regrettais pas d'être ici. Je me décolla de lui rapidement et le regarda d'un regard réprobateur. Je ne voulais pas parler de regret, et de mon choix ou du sien. On avait dit oui. J'avais douter en venant je douter encore mais j'étais dans ses bras et je voulais profiter au maximum.. Ceci dit je comprenais ses doutes. Je me détendis donc et souris. Je me rapprocha de lui et passa mes bras autour de son cou.

-Non je ne regrette pas, sinon je serais venu et ne t'aurais pas laisser me prendre dans tes bras. Alors s'il te plaît on parle plus de nos choix, j'ai déjà d’énormes doutes et je ne veux pas y penser la. Je veux juste que tu sois en accord avec toi même et que toi tu ne regrette pas. Tu as trop de choses à perdre alors que moi non.. Et j'ai une bouée de secours si jamais ça tourne mal pas toi. Alors si toi tu ne regrettes pas et que tu es prêt , alors je te suis.

Il m'invita a m'installer sur le lit. J'enlevais ma veste en cuir et me posa sur le lit.
Il était vraiment sexy dans ce pantalon noir et son t shirt rouge le rendait tellement attirant..Je ne voulais pas qu'il soit quelqu'un qu'il ne voulait pas être en trompant sa femme . D'où ma question :

-Tu sais ce qu'on fait?

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Elle me semblait si belle dans sa robe rouge que directement je l'avais pris dans mes bras en lui demandant d'un air plutôt gêné si elle ne regrettais pas d'être ici. Je m'attendais à sa réponse mais je me devais de m’assurer qu'elle était toujours d'accord, je ne voulais pas la perdre mais je ne voulais pas non plus qu'elle regrette quoi que ce soit. Elle me fit donc savoir qu'elle ne regrettais pas sinon elle ne serait pas là. Puis elle me demanda qu'on ne parle plus de nos choix puisqu'elle est déjà pleine de doutes. Tout en me disant qu'elle voulait juste que je sois d'accord avec moi même. Puisque contrairement à elle, j'ai beaucoup de chose à perdre. Elle n'avais pas tort, si notre relation ne marche pas j'aurais perdue ma femme Emily ainsi que mon meilleur ami Gabriel. Je l'invita donc à s’installer sur le lit avec moi. Elle enleva d'abord sa veste en cuir, j'enlevais pour ma part mes chaussures. Puis elle me demanda si je savais ce que l'on faisait. " Oui je sais exactement ce que l'on fait, Azilys. Je sais les risques que je prend et quel homme je suis en faisant ça. " La voyant s'installait sur le lit, je la pris à nouveau dans mes bras, je voulais savoir plus d'une chose comme son voyage en France. " Alors la France, c'était comment ? " Je souhaitais tout savoir sur ce qui c'était passé dans sa vie pendant son absence. Gabriel m'avait donné quelques nouvelles mais rien de bien précis contrairement à ce qu'allait pouvoir me dire Azilys. " Au faite, tu as pris un maillot de bain ? J'ai oublié de te le préciser."

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Une parenthèse...

Je répondis à Elyas pour sa question qu'il m'avait demandé gêné. Et ensuite il m'invita à s'installer sur le lit avec lui.J'enlevais donc ma veste en cuir, la posa sur le fauteuil. Puis je m'installais sur le lit avec Elyas. En lui demandant si il savait ce qu'on faisait. Il était magnifique il avait enlevé ses chaussures. Je fis de même et enleva mes escarpins avec classe pendant qu'il me répondait. Il me dit qu'il savait exactement ce qu'on faisait, et les risques qu'il prenait, il savait aussi l'homme qu'il était. Cela me rassurait. Mais je n'étais pas sur qu'il se rendait compte qu'il devenait un homme qui trompait sa femme. Je souris et m'installa donc sur le lit. Il me demanda comment était la France. Il me pris dans ses bras, je m'allongea sur le lit pour être à l'aise dans ses bras.

-Eh bien... Très "parisien" ,dis-je en parlant un peu français sur le "parisien".Je ne voulais pas vraiment dire à Elyas que j'avais flirter avec plusieurs garçons.. Que j'avais bu.. Enfin des erreurs pour essayer de l'oublier. C'était intéressant. Les gens peuvent être un peu froid ou alors très chaleureux. Mais j'avais besoin de rentrer... Mais j'aurais pu aussi y rester. J'en avais l'occasion. Qu'est ce que tu sais sur ce qu'il s'est passé là bas? Si Gabriel t'en a parler biensur.

Une fois ma réponse donné, il me demanda si j'avais pris un maillot de bain, il ne m'avait pas prévenu , et je n'y avais absolument pas pensé.

-Non ...Dis-je en faisant une légère grimace...Mais ce sera pour une prochaine,..Finis-je en souriant.

Je pense pas qu'il était au courant que je n'avais jamais rien fait avec un homme. J'avais beau passé du temps dans les bars, à sortir, et à flirter à Paris, faire croire que j'avais déjà eu des relations..., je n'avais jamais rien fait , je voulais que le premier soit le bon . Et surtout lui..

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Une parenthese

Une fois que l'on a fini par se rassurée tous les deux sur ce que l'on faisait et de nos regrets. On s'installa sur le lit et je la pris dans mes bras tout en lui demandant comment était la France. Alors elle me répondit que c'était très parisien. J'avais pu apercevoir un accent très français sur le mot parisien qui la rendait d'autant plus charmante et surtout sexy. Elle me fit aussi savoir que c'était très intéressant et que les gens peuvent être soit froid soit très chaleureux. Ceci dit qu'elle avait besoin de rentrer, si elle savait à quel point j'avais redouté son retour. J'avais tout fait pour me préparer à son retour à Oxford mais je n'y était pas parvenue, je n'avais pas réussi à l'oublier et d'autant moins à trouver une solution. Dans ces paroles, quelque chose m'intrigua, le fait qu'elle me dise qu'elle aurait pu y rester qu'elle en avait eu l'occasion, ce n'était pas la première fois que je l'entendais me le dire.
" Tu avais rencontrée quelqu'un ? Ou peut être que l'on t'avais proposais un emploi ? "
Puis elle me demanda ce que je savais ou plutôt ce que Gabriel avait pu me dire.
" Pas grand chose, juste que tu allais bien et que visiblement tu profitais pas mal de la France. Peut être même des français ? "
Mes derniers mots étaient plus pour rire, Gabriel ne m'avait jamais dit une tel chose mais plutôt qu'elle allait bien et qu'elle profitait de ce pays. Puis je lui demanda si elle avait pris un maillot de bain ayant totalement oublié de lui dire. Malheureusement, elle n'y avait pas pensait et elle me fit savoir que ce serait pour une prochaine fois. J'étais ravie de savoir qu'il y aurait une prochaine.
" Tu as raison, ce jacuzzi sera la prochaine fois."

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Une parenthèse...

J'étais bien dans les bras d'Elyas, j'avais envie de ce moment depuis des années.. Et là enfin j'étais dans ses bras.. Il m'avait demandé comment avait été la France, je lui expliquais. Je finis en lui disant que j'aurais pu y rester , j'en avais eu l'occasion. Il me questionna et me demanda si j'avais rencontré quelqu'un ou si on m'avait proposé un job..
J'avais un peu été choqué pour la première question. Si j'avais rencontré quelqu'un je ne serais jamais rentré, je suis prête à changer de vie par amour, ça c'était sur, et j'étais prête à changer pour Elyas.

-Non je n'ai rencontré personne , ne t'en fais pas je n'ai pas d'amour caché parisien, répondis-je en souriant. Je n'avais pas trop envie de lui parler de ma vie "sentimentale" à Paris , les flirts et tout j'aurais préféré éviter... Je ne voulais pas forcement qu'il sache à quel point j'étais désespérer depuis ce baiser. J'avais l'occasion de rester pour un job.. Professeur dans un lycée. Mais .. je ne pouvais pas rester sur Paris.

J'aurais pu vivre à Paris et accepter ce job , mes parents avaient les moyens de m'aider à m'installer, et je pouvais vivre là bas sans soucis, mais mon "soucis" c'était Elyas, il fallait que je revienne pour lui.
Je lui demandais si Gabriel lui avait parler de moi pendant que j'étais en France.
" Pas grand chose, juste que tu allais bien et que visiblement tu profitais pas mal de la France. Peut être même des français ? "
Quoi ? Des français..Non Gabriel ne savait pas .. Enfin sauf les fois où peut être j'avais appelé Gabriel un peu trop bourré..

-Les français.. Non, je n'ai pas profité, tu sais les études étaient très prenantes. Je n'ai pas trop eu le temps.Répondis-je un peu gênée.

Il me demanda pour le jacuzzi, je lui répondis que je n'avais pas mon maillot et que ce serait pour une prochaine fois . Il me dit que j'avais raison et qu'on attendrait la prochaine fois.
Je souris mais je ne pouvais pas lui mentir sur mes flirts à Paris, et puis lui dire me rendrais peut être plus faible mais je ne voulais pas être une menteuse..

-Enfin oui j'ai profité à Paris, mais pas comme tu pourrais l'imaginer.. J'ai flirter, j'ai bu .. Un peu trop parfois.. Souvent.. Et j'ai souvent du être ramené dans mon appart et mon lit par Jules, mais jamais il m'aurait fait quelque chose sans mon accord. Et je n'étais pas d'accord.. J'avais une seule raison de faire toutes ses idioties.. Je voulais voir si j'arrivais à t'oublier.. Lui dis-je alors gênée d'avoir agit comme une gamine.

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Une parenthese

Cela faisait plusieurs fois qu'elle me disait qu'elle aurait pu rester en France qu'elle en avait eu l'occasion. Alors je m'étais décidé à lui demander si elle avait rencontrée un homme ou alors si on lui avait proposait un emploi. Azilys me fit savoir qu'elle n'avait pas d'amour caché parisien, ce qui me fit sourire sachant que j'étais le sien. " Je risquerais d'être jaloux si tu me cachais un homme à Paris." En réalité, je savais que j'étais mal placé question jalousie étant toujours avec Emily.
La raison était plutôt d'ordre professionnel, un emploi en tant que professeur dans un lycée. Elle me dit qu'elle ne pouvait pas rester sur Paris, je ne savais pas si elle ne le pouvais pas ou si elle en avait pas eu l'envie. " Dans tout les cas je suis ravi que tu sois ici avec moi, aujourd'hui. " Dis je tout en déposant un baiser sur ses lèvres. Je ne savais pas ce que me réserverait demain ou encore les prochaines heures mais j'avais envie de profiter de ces moments qui m'était offert. Je ne voulais pas avoir peur pour le futur.
Elle me demanda ce que Gabriel avait pu me dire alors je lui dis dans un premier temps qu'elle profitait de la France et dans un second temps plus pour en savoir plus mais aussi par plaisanterie qu'elle profitait aussi des français. Je la vis être gênée et me répondre que les études avaient été prenante, qu'elle n'avait pas eu vraiment le temps. Je sentais qu'elle voulait me cacher quelque chose mais je ne voulais pas insisté en ayant peur de cacher ce moment précieux. Puis contre toute attente, elle décida de me dire ce qu'elle n'osait pas dire. Elle me fit savoir qu'elle avait beaucoup flirter et même bu. Elle me donna la raison de ce qu'elle avait fait, tenter de savoir si elle pouvait m'oublier. Je ne pouvais pas lui en vouloir, j'avais moi même tenté de l'oublier en me mariant avec Emily et ensuite j'avais voulu me séparer d'elle mais je n'avais jamais réussi. " Je ... Je comprends. " Dis je un peu étonné puis continua tout en la serrant un peu plus contre moi : " J'ai aussi tenté de t'oubliais sans réussir. "
Mon téléphone se mit à sonner soudainement, je ne voulais pas répondre mais voyant que c'était insistant. Je me leva et parti chercher mon téléphone qui se trouvait sur la petite table ronde en bois. Lorsque je vis que le prénom qui était affichée se trouvait être Emily. J'hésitais entre répondre ou bien laissais sonner. Je regarda Azilys qui se trouvais elle toujours sur le lit et lui dit : " Je suis désolé, je dois répondre. "

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Une parenthèse...

Elyas me demanda si j'avais rencontré quelqu'un à Paris ou si on m'avait proposé un job. Je lui dit en plaisantant que je n'avais pas d'amour parisien, certes Jules aurait surement aimer selon nos amis commun mais jamais je n'aurais pu être avec quelqu'un en pensant à quelqu'un d'autre. Il me répondit qu'il risquait d'être jaloux. Ca il n'avait aucun risque de l'être, je l'aimais plus que tout et depuis longtemps. Même si moi j'aurais l'occasion et je serais surement jalouse à cause de sa femme. Mais je ne dirais rien. Même si je l'étais un jour, je le garderais pour moi, cela me rongerait, mais au moins il saurait que je lui laissais le temps qu'il faudrait pour régler ses affaires au risque de le perdre si il ne quittait pas Emily.
Je lui expliquais que j'aurais pu rester car on m'avait proposer un job. Un bon job en plus. Mais que je ne pouvais pas rester.
" Dans tout les cas je suis ravi que tu sois ici avec moi, aujourd'hui."Dit-il en m'embrassant sur les lèvres.
Je répondit à son baiser, j'adorais le gout de ses lèvres sur les miennes. Depuis le jour où il m'avait embrassé dans ma chambre j'adorais ses lèvres, quand il m'avait regarder dans les yeux, j'étais tombé amoureuse de son regard, et puis une fois qu'il m'avait prise dans ses bras, j'adorais son corps...
Tout en parlant, je lui avais avouer que j'avais bu et flirter car je voulais l'oublier mais que je voulais pas qu'il me prenne pour une traînée sachant quand plus je n'avais jamais rien fait..Du tout... Il me répondit qu'il comprenait en me serrant un peu plus dans ses bras. Je me blottis contre lui et respirais profondément. Il sentait bon, un odeur d'homme , virile et rassurante.

-Mais j'aurais pas dû être aussi idiote , je n'aurais jamais pu t'oublier de toutes manières. dis-je en murmurant.

" J'ai aussi tenté de t'oubliais sans réussir. "
Il avait donc pensé à moi toutes ses années. J'aurais du rentré plutôt , il ne se serait peut être pas marié avec elle et on aurait pu être ensemble.
Son téléphone se mit à sonner. Il n'avait pas l'air de vouloir décrocher, mais le téléphone insista. Il se décolla de moi et aller prendre son téléphone. Je me retrouvais seule sur le lit. Il regarda son téléphone ,il avait l'air d'hésité. Il me regarda ensuite et me dit qu'il était désolé et devait décrocher. Avant qu'il décroche je lui lançais en souriant :

-Ne soit pas trop long, reviens vite!

Je me demandais qui était à l'autre bout de la ligne, et si jamais c'était un ami ou un journaliste qui l'avait vu entré ici et lui ferait du chantage ou alors pire, son père, ou Emily... J’espérais que rien ne viendrais gâcher notre rendez vous alors pourvu qu'il revienne vite.

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Une parenthese

Azilys venait de m'avouait qu'elle avait pas mal bu et même avait flirté. Je lui avais donc dit que je comprenais et c'était la réalité. J'avais fini par me marier avec Emily en espérant pouvoir oublier Azilys et lorsque j'avais compris que cela était un fait impossible, j'avais passé mon temps à tenter de me séparer de Emily sans jamais y parvenir aillant peur de la faire souffrir. Je l'avais serrer un peu plus dans mes bras en lui disant que je n'avais pas réussi à l'oublier. Celle-ci me dit qu'elle était idiote et que de toute façon elle n'aurais jamais pu. " Tu n'es pas idiote, après tout moi aussi j'ai essayé. "
Puis le téléphone se mit à sonner, en premier lieu je ne voulais pas répondre préférant profiter de cet instant que l'on nous offrait. En second temps, voyant que le téléphone insistait, je préférais savoir qui c'était et surtout si cela était vraiment important. Lorsque je vis le prénom de Emily s'affichait, je comprenais qu'il valait probablement mieux que je réponde. Je m'excusa auprès de Azilys et lui expliqua que j'y étais obliger. Elle me demanda donc que ce ne soit pas trop long et que je revienne vite. " Je vais essayer." Puis je décrocha enfin le téléphone.
Je ne compris pas réellement ce que me voulait Emily, elle parlait d'Azilys, d'un article sur Oxymoron. Je ne comprenais pas réellement tout. " Emily tu ne vas pas croire un paparazzi qui a surement encore voulu se faire du fric sur notre dos. " J'avais beau lui dire que ce n'était qu'un article et que c'était faux, elle ne me croyait pas. " Emily, tu crois vraiment que je me taperais Azilys alors que je me suis marié avec toi puis c'est qu'une gamine, la sœur de Gabriel. " Je tentais pas tout les moyens de calmer Emily, de lui faire comprendre que c'était incohérent ce que disait cet article. " D'ailleurs, je ne l'ai vue qu'une fois sur le campus. " Après plusieurs minutes à parler, je n'arrivais toujours pas à la calmer alors je pris une décision. " Je finis mon cours de théâtre et j'arrive. " Encore un mensonge de plus au près de Emily.
Je me dirigea à nouveau vers le lit au près de Azilys. " Il y a un article sur nous ... Emily, elle l'a lu... Je vais tué cette enfoirée de paparazzi ... " Je ne pouvais pas rester là sans rien faire ce que je redoutais le plus était entrain de se passait. Je m’énervais donc et jeta un coup de pied contre le coin de lit. Le lit ne bougea pas d'un millimètre mais je venais de me faire terriblement mal au pied. " Je vais tout perdre, c'est foutu ... " Dis je les larmes montant aux yeux. " J'ai tout foutu en l'air ... " Je n'arrivais plus à me contrôler et les mots se trouvait bien plus fort que mes pensées.

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Une parenthèse...

J'avouais à Elyas ce que j'avais fait et pourquoi, il me répondit que je n'étais pas idiote , que lui aussi avait essayé, je me demandais comment.. En épousant Emily ou alors en couchant avec toutes les filles qui passaient... Je ne saurais jamais je n'étais pas du genre à lui poser ce genre de questions surtout si ça le mettait mal à l'aise. Le téléphone sonna. Elyas ne voulait pas répondre mais il insista. Il regarda qui sait puis me regarda. Il me dit qu'il devait répondre. Je lui répondis de ne pas être trop long et de vite revenir.
" Je vais essayer." me répondit-il.
Puis il décrocha le téléphone. Il commença a dire des choses, je ne voulais pas écouter. Mais il était entrain de dire à Emily qu'un paparazzi avait encore voulu se faire du fric sur leur dos. Il continua après qu'Emily visiblement lui ait répondu en lui demandant si elle ne croyais pas vraiment qu'il se taperais "Azilys" alors qu'il s'était marié avec elle et que je n'étais qu'une gamine et la soeur de Gab'.
Une gamine... Je baissais la tête.. Je n'étais qu'une gamine pour lui.. Visiblement les paparazzis avaient fait leur travail et la famille d'Elyas le saurait dans peu de temps et moi je me retrouverais au milieu du scandale. Et Elyas dans une mauvaise situation. Je me rassis sur le bord du lit. Il dit à Emily qu'il ne m'avait vu qu'une fois sur le campus. Si seulement elle savait que j'étais dans la même pièce que lui dans un hôtel.. Cela réglerais peut être directement les choses. Il dit alors à Emily qu'il finissait son cours de théâtre et qu'il arrivait. Il allait couper cours à notre rendez vous pour aller la rejoindre. Notre relation était voué à l’échec, que ce soit secret ou pas. Il raccrocha et revins vers moi , j'avais déjà renfiler mes escarpins sachant ce qui allait se passer.
" Il y a un article sur nous ... Emily, elle l'a lu... Je vais tué cette enfoirée de paparazzi ... "
Il s'énerva et jeta un coup de pied dans le coin du lit. Je sursautais lorsque son pied atterrit dans le coin du lit.Je ne pouvais pas m'énerver aussi.Et je ne voulais pas le voir dans cet état.
" Je vais tout perdre, c'est foutu ... "
Il avait parler les larmes aux yeux , je ne pouvais pas le supporter ce faire du mal plus longtemps. Je me levais et le pris dans mes bras.Je lui en voulais sur le coup d'avoir parler de moi en me nommant de gamine, mais je ne pouvais pas lui en vouloir plus longtemps je l'aimais.
" J'ai tout foutu en l'air ... "
Je le serrais contre moi, et qu'il me rende mon étreinte ou non était pas importante, j'aurais fait ça pour n'importe qui mais encore plus pour lui.

-Non il n'arrivera rien. Cet article restera une rumeur , je m'éloigna un peu de lui. et le regarda dans les yeux. Une rumeur tu m'entend. On arrête là. On ne tente rien. Tu reste ici avec ta femme et moi je m'en vais. Je dirais à tous que le prof qu'ils avaient embauché à démissionné et que j'ai accepter, je ne partirais pas de suite pour éviter que ça confirme la rumeur. Les larmes coulaient en même temps que je parlais. Mais je ne pouvais pas rester là sans rien faire et je devais prendre une décision pour le protéger de tout scandale. Je m'en vais.. Et il n y aura plus de soucis. Je séchais mes larmes mais elles continuaient de couler et l'embrassa. Tendrement, passionnément, amoureusement.
Je ne pensais pas un mot de ce que je venais de dire mais je devrais le faire. Je n'avais pas le choix.Il fallait qu'il n'ai aucun soucis à cause de moi. Et il en aurait si jamais je restais.

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Une parenthese

Je savais que j'étais dur dans mes mots envers Azilys mais je ne voulais pas finir ma relation avec Emily sur un article. Je ne voulais d'ailleurs pas que cela ruine ma vie au près de ma famille ni même l'image que mon père avait réussit à faire pour notre famille mais aussi pour l'entreprise familial. Je finis par dire à Emily que je rentrerais une fois mon cours de théâtre terminai, en réalité cela été plutôt une fois que j'en aurais parlée avec Azilys. Je revins donc vers le lit et sans réellement observer la jeune femme avec qui l'article était liée. Je m’énerva dans un premier temps tapa dans le lit et fit sursauté Azilys. Puis je passa dans un second état, celui de la peine. Je réalisai que cette fois-ci j'allais tout perdre et que j'allais faire souffrir beaucoup de personne a cause d'un article qui m'a coupé l'herbe sous le pied. Azilys me pris dans les bras et je me colla un peu plus à elle, j'avais besoin de sentir son odeur et même de sentir son souffle pour me donner du courage. Soudainement elle me dit que cet article resterait une rumeur. Je ne compris pas sur le moment mais lorsque s'éloigna de moi et qu'elle me regarda dans les yeux, je commença à comprendre. Ce qui suivi détériorai encore un peu plus mon humeur et mon moral. Elle me fit savoir qu'on en arrêtait là, qu'elle allait partir et faire en sorte que cela ne reste qu'une rumeur. " Azilys ... " Je me sentais pas réellement bien et je baissais les yeux, je prenais mon temps pour réfléchir à ce que je pouvais dire. " Non ... " Non, je ne voulais pas ce qu'elle m'annonçait, je ne voulais pas me séparait déjà d'elle. " Je n'ai pas envie ... Fait pas ça ... JE T'INTERDIT DE FAIRE CA ! TU COMPRENDS ! " Alors que je retenais mes larmes, je n'arrivais pas à contenir ma colère contre ce qu'elle me disait mais aussi contre ce qui se passait dans ma vie. " Je refuse de te perdre. Je vais arranger la situation. Laisse moi le temps, s'il te plait, tu était d'accord ... "

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Une parenthèse...

Elyas venait d'avoir ce coup de téléphone, et il était complètement bouleversé par cette nouvelle un paparazzi nous avait vu visiblement et avait écrit des choses.. Je ne pouvais pas être celle qui ferait coulé la vie d'Elyas. Je voulais être celle qui l'aidera à vivre heureux, pas celle qui le rendrait malheureux. Je ne pouvais pas rester là sans rien faire. Lorsque je pris Elyas dans mes bras pour le calmer et qu'il arrête d'être explosif, il se colla un peu plus à moi, j'avais besoin de sentir son corps contre le mien. Pour moi ce serait la dernière fois. Ma décision était prise je ne pouvais pas faire autrement. Je n'avais pas le choix. Il ne pouvait pas détruire son avenir pour moi. Sauf que quand je me mis à parler à Elyas à lui dire que c'était fini. Notre relation tuer dans l'oeuf, juste une rumeur. Et que j'allais partir pour éviter tout soucis de plus. Il avait l'air mal..Très mal. Il commença me dire non , puis me dit qu'il n'avait pas envie , qu'il ne fallait pas que je fasse ça. Alors il hurla qu'il m'interdisait de partir. Je le repris dans mes bras , je ne voulais pas qu'il soit mal mais on ne pouvait détruire sa vie comme ça. Il était en colère et je le comprenais. Je ne dis rien et resta la tête calé contre sa poitrine.
"Je refuse de te perdre. Je vais arranger la situation. Laisse moi le temps, s'il te plait, tu était d'accord..."
Je me décolla de lui et pris son visage entre mes mains.

-Elyas...Je t'aime.. J'étais d'accord.Je pourrais te laisser tout le temps qu'il faut ça ne changera rien, tu va gâcher ta vie si je reste... Je serais toujours d'accord mais pas à ce prix là. Tu risque trop gros. Je ne peux pas me permettre de revenir à Oxford et détruire ta vie. Mes yeux étaient encore pleins de larmes mais j'étais sereine avec mon choix, je ne voulais que son bonheur , le mien passait largement après le sien. Je t'aime tu entend... Un souvenir.. le meilleur de ma vie. Mais quand la vie devient trop dure on repense toujours aux bons souvenirs tu repensera à nous. Mais je ne peux pas .. Tu vas détruire ta vie, ta réputation, ta famille, ton avenir... Je peux pas te laisser faire ça. Je t'aime trop pour ça... Je me décolla de lui ... Désolé.

Je pris ma veste sur le fauteuil ou je l'avais posé. Je pleurais mais je tachais de garder mon calme alors uqe j'avais envie d'hurler. Sans me retourner je dis à Elyas:

-Je serais toujours là pour toi.. Mais je dois faire en sorte que tu ais l'avenir dont tu avais toujours rêver, une famille, un métier que tu aime.. Je t'aime. Je pris mon sac et j'allais commencer à ouvrir la porte. Mais je me retournais et le regarda ... Les larmes coulaient, je tentait de sourire, lâcha mon sac marcha vers lui et l'embrassa. Je mis une main sur sa nuque de l'autre je tenais ses cheveux, je ne voulais pas que ce moment s'arrête je voulais l'embrasser toute ma vie...

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Une parenthese

Azilys me disait que ce qui avait été écrit sur cette article allait seulement être une rumeur et qu'elle préférait en arrêter là. Je tentais de retenir mes larmes ne voulant pas paraitre faible ou même ne voulant pas l'attristé d'avantage ou encore quelque reste d'autant plus sur cette nouvelle position. La colère, elle, je ne parvenais pas à la garder en moi, elle éclatait de plus en plus. Désormais j'hurlais à Azilys que je lui interdisait d’arrêter notre relation. Je lui demanda une nouvelle fois de me laisser du temps et lui rappela qu'avant cet article, elle était d'accord. Elle se décolla de mon corps et pris mon visage entre ses mains. Ce qui allait venir allait me faire d'autant plus de mal qu'auparavant. Azilys ne comprenais pas que je me fichais pas mal de savoir qu'elle m'aime si elle voulais me quitter et que je ne voulais pas savoir ce que je risquais étant déjà au courant. Je vis ses yeux plein de larmes mais je n'arrivais pas à empêchait ce drame arrivait dans ma vie. Elle était désolé et préféré en arrêter là pour ma vie, ma réputation, ma famille ainsi que mon avenir. Je ne décrocha pas un mot étant réellement choquer par ce qu'elle faisait, je restais tout simplement en suspens. Je ne pouvais plus bouger mais cela ne m’empêchait pas de voir Azilys prendre sa veste, pleurais et sans se retourner vers moi me dire ce qu'elle ressentais. Je lâchais un simple " non " mais si bas que celui ci ne se fit pas entendre. Elle se retourna vers moi, lâcha son sac et m'embrassa. Je répondais à ce baiser et ayant peur qu'elle parte, je la retenu par le bras. " fait pas ça ... " dis je d'une voix basse en travers de la gorge. " Je te veux, toi ... " Dis je un peu plus fort, les larmes ne pouvait désormais s’empêcher de couler. Je refusais de perdre la femme que j'aime. " J'ai besoin de toi ... " Continuais je à dire tout en prenant son visage entre mes mains. " Sans toi, je meurs ... " Dis je droit dans les yeux. " Pars pas, s'il te plait. Donne moi le temps et le courage d'être heureux. "

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Une parenthèse...

J'expliquais à Elyas qu'il n'avait pas de raison qu'il s'inquiète , que j'allais partir, et que cette rumeur en resterait une. Et que je tenais à lui, que je l'aimais... Il ne comprendrait surement pas que je faisais pas ça pour le plaisir mais vraiment pour lui. Pour sa réputation, sa famille , sa vie... Son avenir...Elyas ne dit rien lorsque je pris son visage dans mes mains, puis lorsque je pris ma veste et mon sac..Je pleurais, je ne pouvais pas imaginer ma vie une seule seconde sans lui. Mais je devais , je me devais de le rendre heureux. Si il me savait loin il pourrait peut être m'oublier et vivre normalement. Je me retournais et lâchais mon sac, je ne pouvais pas faire ça. Je me rapprochais de lui et l'embrassa. Il répondit à mon baiser , et me pris par le bras.
" fait pas ça ... "
Il avait parler à voix basse, comme si il ne voulait pas de cette situation.. Je fis non de la tête , un non qui voulait dire que je ne pouvais pas faire ça mais que je ne pouvais pas rester non plus...
" Je te veux, toi ... "
Il avait parler un peu plus fort cette fois ci. Il pleurait, je ne pouvais pas le voir pleurer alors je mis mes mains près de son visage, et lui essuya une de ses larmes , il ne devait pas pleurer , pas pour moi.
" J'ai besoin de toi ... "
Il pris mon visage entre ses mains. Les miennes tombèrent le long de mon corps.Et mes larmes continuaient de couler. Je savais qu'il tenais à moi mais je ne savais plus quoi faire, je savais que je ne pouvais pas vivre sans lui. Mais il ne devait pas mettre son métier, sa famille, et tout ce qu'il avait construit aux oubliettes.
Il me regarda droit dans les yeux et me surpris avec sa phrase d'après..
" Sans toi, je meurs ... "
Il ne pouvait pas dire ça.. Je me mordis la lèvre, il ne pouvait pas dire qu'il mourrait si jamais je partais, car je ne pourrais pas rester . Il aurait un choix à faire..
" Pars pas, s'il te plait. Donne moi le temps et le courage d'être heureux. "
Le temps qu'on était deux dans sa vie il ne pourrait pas être heureux.
Je soupirais et sécha mes larmes, puis essuya celle qui avait coulé sur les joues de l'homme que j'aimais.

-Sèche tes larmes. murmurais-je. Ca ira. Je ne vais pas partir ok? Mais arrête de pleurer, je ne t'abandonnerais pas , je partirais que si tu me le demandes. Mais je ne veux que ton bonheur donc je resterais , mais tu ne peux pas être heureux si on est deux femmes dans ta vie. Je mis mes mains sur ses hanches, et lui dit : J'ai besoin de toi aussi, je n'imagine pas ma vie avec un autre homme depuis le soir du baiser dans ma chambre d'ado, et je ne veux que toi.. Je souris un peu le regard triste. Tu dois la rejoindre, elle t'attend.. dis-je en baissant les yeux vers le sol et en lâchant son visage.

Je ne voulais pas qu'il parte, mais il appartenait à quelqu'un d'autre, même si le terme appartenir n'était pas vraiment le bon.. Il était marié avec une autre passerais sa nuit avec une autre et peut être même celles d'après. Je devais le laisser partir.. Même si il serait toujours dans mon esprit et surtout dans mon coeur.

-Prend le temps que tu veux, mais soit heureux, jure le moi, que tu seras heureux ! Et si jamais je dois être dans ta vie en plus de ta femme pour que tu le sois je serais là mais juste sois heureux !

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Une parenthese

Azilys avait pris le temps de me laisser parler et même si au début je parlais d'une voix inaudible, je lui demandais de plus en plus fort de rester ici. Les larmes elles ne pouvaient plus s’empêchait de couler, je refusais de la perdre pour un article. Elle ne comprenais pas que mon avenir, je ne le veux plus avec Emily mais avec elle. Alors que je tenais au creux de mes mains, le visage de Azilys, celle-ci soupira, sécha ses larmes ainsi que les miennes. Elle me demanda de cesser de pleurer car elle ne partira pas. Elle le ferait uniquement si je lui demande, je savais très bien que c'est une chose que je ne ferais jamais. Elle mis ses mains sur mes hanches et me dit qu'elle avait aussi besoin de moi et qu'elle n'imaginait pas sa vie avec un autre homme. Je la vis sourire le regard un peu triste, je l'étais aussi, je ne voulais pas la perdre et j'avais failli par la faute d'un simple article. Elle me fit savoir que je devais rejoindre Emily, qu'elle devait m'attendre. Je ne souhaitais pas partir, l'envie n'y était pas pourtant je n'avais pas d'autre choix si je ne voulais pas que les événements s'enveniment. " Je te jure que je serais heureux, le temps que tu es là dans ma vie. Je serais toujours heureux en ta compagnie, je le serais beaucoup moins si un jour tu pars. " Dis je comme une promesse à la quelle je tenais réellement et que je pensais du fond de mon âme. Je me devais désormais de retrouver Emily même si l'envie n'y était toujours pas. Je me devais de clarifier les choses et de prendre le temps qu'il faut pour ne pas la faire souffrir et faire comprendre à ma famille que Azilys ne leur causera pas du tort. " Je dois y aller, maintenant. " Dis je d'une voix peinée et sans le moindre désir. J'enfila ma paire de chaussures, attrapa mes clefs, déposa un baiser sur les lèvres d'Azilys. " Je t’appellerais bientôt. " Dis je puis sans réellement écouter la réponse de peur de ne jamais avoir le courage de partir, je m'en alla en direction de ma voiture.

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