 |  Sujet: Lucia Zembrano ~Esa Luna Llena Que Arañaba El Mar. ~ Lun 1 Juin - 22:52 | |
| Lucia Zembrano
Vuela esta canción para ti Lucia 
identification complète Lucia Zembrano âge30 anslieu/date de naissance Née le 4 Juillet 1985, La Havane, Cuba. études suivies et année Master en Espagnole, mention Excellente job Professeur d'espagnol. orientation sexuelle Hétérosexuelle statutCélibatairestatut social ££ caractère Lucia est quelqu'un d'assez sociable, de généreuse et de très serviable. Elle sait se montrer spontanée, parfois impulsive et lunatique. La jeune femme reste tout de même quelqu'un qui a beaucoup de défaut, possessive, sévère parfois avec ces élèves, lorsqu'ils se montrent irrespectueux envers elle. Elle reste calme, souriante, festive. Lucia est parfois orgueilleuse, fière, bref en soit une vraie latine. La jeune femme est extrêmement intelligente, indépendante et débrouillarde parfois un peu séductrice, mais reste tout de même loyale, sincère question amitié et amour. Elle mise beaucoup sur l'honnêteté dans un couple ou même en amitié, elle pense que c'est le secret d'une bonne relation. Lucia est une femme mordante, qui ne manque pas de ressource. Elle a le feu des femmes latines dans se veines. Cependant, la jeune femme est une femme dynamique et énergique, elle ne se démotive très rarement, tellement qu'elle est têtue. Il est rare mais Lucia peut être une manipulatrice pour obtenir ce qu'elle veut. Quoiqu'il en soit, elle dégage un charme naturel et sensuel n'importe où elle passe. groupe Hard Workers avatar Lana Parrilla
Welcome to the jungle
Je ne suis pas une femme difficile dans la vie, c'est mon enfance qui me fait vivre, le sourire aux lèvres, profiter d'un petit rien. Ma devise est " il faut peu pour être heureux", c'est exact dans mon cas, une glace vanille avec des éclats de caramel et je suis heureuse. Il faut se satisfaire de ce qu'on a et de ne pas vouloir plus au risque de le regretter amèrement. Je suis une femme qui est facile à combler, mais ce que je déteste par-dessus tout, c'est les gens qui ne sont pas honnêtes avec moi, ou qui me jugent. Je suis une femme fière de mes racines et voir certaines personnes les dénigrer, cela me met en rogne. J'aime le sport, entretenir mon corps svelte, prendre soin de moi. Niveau cuisine, j'aime manger sain, avec pleins de fruits, des légumes, même si je ne dis pas non face à un bon gros hamburger.
Je n'aime pas les hommes violents, prétentieux ou même qu'ils se croient pouvoir m'avoir dans leur lit avec quelques courbettes. Ceux qui sont trop fermés d'esprit et des rabats joies de premières classes. Bref, je n'aime pas les cons. Mais aussi, les filles qui n'ont aucune valeur et superficielles, je suis prise en compassion pour ces filles. Tant pis pour elles, elles le regretteront plus tard.
Danser, c'est ma vie surtout sur de la musique latine. Cela me rappelle les rues dans les pays latins où j'ai vécu assez longtemps. La cuisine cubaine, est mon point faible, tout comme la musique, c'est mon pays et cela fait ma force malgré tout ce qui s'est passé dans ma vie. Ce sont mes racines et elles me plaisent, qu'importe ce que les gens en pensent de ce pays, ils ne le connaissent pas comme je le connais. Il m'arrive parfois que mon sourire disparaît, car la nostalgie des jours ensoleillés dans les rues pittoresques de la Havane me reviennent en mémoire. Cuba et la Colombie m'ont appris d'aimer la vie qu'importe si elle est misérable. Tout le monde devrait se simplifier la vie, manger, danser, s'amuser, profiter de tout cela à pleines dents.
The story of my life
* Mi Querida Padre,
Tu ne recevras jamais cette lettre là où tu es, mais j'avais besoin d'écrire ce que j'ai sur le cœur, en cette soirée. Je suis nostalgique, ces temps-ci lorsque je pense à toi, à maman, à notre vie à trois, à deux. À la lumière de ma lampe, dans mon appartement, je repense à la chanson que tu me chantais pour m'endormir paisiblement. Lucia, un nom si poétique à tes yeux. Pourtant lorsque j'y repense, au tout départ, tu étais absent pour moi. Les premières années de ma vie, j'étais restée avec maman à la Havane. J'avais cru que tu m'avais abandonné dans la pauvreté avec maman. Maman, je ne la voyais quasiment jamais tellement qu'elle travaillait pour subvenir à nos besoins. Dans les rues de Cuba, je m'amusais avec les enfants de mon âge, apprenant parfois à lire, à calculer. La Havane, ces plages, son soleil, cette chaleur qui animait le peuple. Dans cette île, le temps s'était arrêté et presque tous les habitants profitaient de la vie, de la danse et de la générosité. On n'était peut-être pas le pays le plus riche au monde, mais on était heureux malgré la pauvreté qui régnait. J'étais heureuse avec maman, même si je ne la voyais quasiment jamais. Mon cœur s'imprégnait de cette mélodie, de cet air à Cuba. On manquait de tout et de rien à la fois. J'aurais aimé rester là-bas avec maman, éternellement, mais c'est grâce à toi que je suis devenue professeur à Oxford. Grâce à toi que j'ai pu faire mes preuves, apprendre un tas de choses. Mais le prix à payer de toutes ses connaissances, de ses merveilles, fut de partir sans maman.
Lorsque tu étais venu pour la première fois, je ne m'attendais pas à cela. La surprise fut immense en te voyant apparaître sur le pauvre seuil de notre porte, un sourire aux lèvres. Oh Papa ! Tu étais beau, jeune et l'air fortuné. Ce fut le coup de foudre, comme toutes les petites filles, j'étais amoureuse de mon papa. Le courant était passé et c'était cette soirée que j'ai entendu pour la première fois cette mélodie. Je t'avais inspiré pour cette chanson, cette mélodie cristalline, douce et envoûtante qui se répercute dans mon esprit, sans le savoir, elle était ancrée dans mon cœur.
Vuela esta cancion
Para ti Lucia
La mas bella de historia de amor
Que tuve y tendré
Je m'étais endormie rapidement sans me douter que demain, j'allais dire au revoir à maman. Malgré les années, j'avais gardé son visage dans ma mémoire, doux, avenant, jeune, chaleureux, même si la dernière fois que j'ai dû la voir, son visage était rempli de larmes. J'ai fini par comprendre que c'était pour mon bien, mais sur le coup, je t'en ai voulu énormément d'infliger cela à maman. Je n'avais que 6 ans, il fallait me comprendre. Une dernière étreinte, un dernier sourire, des mots doux, un dernier signe puis on partit vivre en Colombie, dans un pays où le crime paie. Là-bas, ce n'était pas pareil que Cuba malgré une ressemblance frappante, peu à peu, je me remettais de mon départ, de ne plus voir maman pendant un temps même si j'avoue de toujours en souffrir parfois. Son sourire, son parfum, sa voix douce me manquent, mais c'était pour mon bien, même si j'aurais aimé la voir à mes côtés tout le temps pour me rassurer et avancer dans la vie. Tu m'aidais, tu m'admirais et je t'aimais avec un tel émerveillement que ta mort m'a plus chagriné que celle de maman. J'en souffre de cette perte, je ne vois plus tes yeux, ton sourire, tes bras forts me serrer et de me murmurer à l'oreille, de ta voix douce, mielleuse et rassurante.
" Lucía no cuenta con los recortes de armas" ( Lucia ne baisses pas les bras).
En Colombie, je vivais parmi les riches, tu étais un homme d'affaires redoutable, je vivais bien, j'avais rattrapé mon retard dans l'éducation. J'apprenais à parler anglais, à lire, écrire. J'étais une excellente élève avide de travail et de liberté. Curieuse de tout, j'étais ta petite chipie malicieuse. La vie suivait son cours et on avait du partir à l'enterrement de maman. Finalement, tu m'avais avoué qu'elle était malade d'une grave maladie, qu'elle avait fait cela pour moi. Je l'ai laissé partir et je me remettais peu à peu de sa mort. Au lieu d'aller en Colombie, on avait déménagé en Angleterre. On se souvient tous les deux à quel point, j'avais eu le mal de pays. Rien n'était comme Cuba ou la Colombie. J'avais du mal à m'intégrer, à voir autant de pluie chaque jour. J'étais en dépression totale et ta musique douce me manquait, les couleurs vives des pays chauds, me manquaient, les personnes douces et chaleureuses me manquaient, tout me manquait, mais je finis par m'y faire, je n'avais pas le choix de toute manière.
Je continuais à vivre pour toi, mon père, dans cet endroit glauque et insipide comparé à Cuba, on y revenait chaque État, mais je voulais rester là-bas, hélas, tu voulais que je continue mes études pour que je fasse ce que je voulais. Tu étais un héros pour moi, malgré ma période rebelle, tu continuais à me chanter cette mélodie. Je t'aimais tellement, que lorsque je t'ai perdu dans un tragique accident voiture, j'ai cru que j'allais mourir à mon tour. J'étais là lorsque cela était arrivée. J'étais consciente pour te voir agoniser sous mes yeux, impuissante face à ton sort. Mais tu t'étais sacrifié pour moi et je te remercierai à jamais pour cela. Tu étais mon sauveur, mi papa. Tes dernières paroles furent la chanson et tes yeux s'étaient éteints lorsque tu entamas le final de la chanson, les larmes coulaient sur mon visage tandis que je sentais mon coeur se briser.
Fue por tu amor, Lucia
Lucia!!
Accablée de douleur, je fus longtemps en dépression, le sourire et le rire ne me venaient plus, mais je continuais à vivre ou à survivre pour toi. Ce fut à 17 ans que je compris ce que je devais faire, non, je ne devais pas me laisser aller, et regretter de n'avoir rien fait de ma vie. Tu n'auras pas aimé me voir ainsi, alors je pris sur moi, je m'étais relevée peu à peu, décrochant mes diplômes, mon master, m'amusant, dansant, n'oubliant pas tes proverbes, nos valeurs, mes racines, mes origines. À mes 27 ans, je suis devenue professeur d'Espagnol à Oxford, et oui, la grande école. J'aime mon métier et c'était grâce à toi, au fait que tu m'as donné cette soif de connaissance, que je suis devenue cette femme qui t'écrit en ce moment. Tu m'as tout donné. À 6 ans, je n'aurais jamais imaginé de devenir cette femme, tu as fait celle que je suis. J'espère que tu es fière de ce que je suis devenue, que tu es bien là où tu es, que tu es heureux avec maman.
Siempre,
Tu Lucia ( A jamais, ta Lucia)
* Mon cher papa*
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Mon travail pour gagner ma vie.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Je suis une femme latine, j'aime la tequila mieux que le Scotch, non mais oh !
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? J'en pense que tout est faux, j'aime avoir du plaisir, une partie de jambes en l'air sous un bureau ou autre, c'est toujours mieux que rien.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Bon ok, je l'avoue, un soir de beuverie, je me suis fait tatoué une plume sur le poignet et un oiseau dans le bas du dos. Bon, ça passe encore cela. Mais mon père en fut choqué, sa tête valait au moins un milliers de livres.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Et bien, si ma vie leur intéresse. Pourquoi pas ? Du moment que ce n'est pas des fausses affirmations ou des insultes, cela me va. Je n'ai rien à cacher.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Ma petite manie, c'est de me mordre la lèvre lorsque je suis mal à l'aise. Ou de remettre mes cheveux dans un simple mouvement de tête pour ne pas qu'ils me gênent.
pseudo/prénom Luna âge 16 ans. lieu d'habitation à côté de Disneyoù as-tu connais le forum Partenariat t'en penses quoi? Très joli et accueillant Scénario ou Inventé? Inventé Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Je pense que ça va aller mais sinon, je demande un dernier mot? La plupart des fous ne savent pas qu'ils sont, je sais que je suis folle alors je ne le suis pas, c'est fou non ?
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Mar 2 Juin - 10:14, édité 4 fois |
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Tu disposes de 7jours pour faire ta fiche, si besoin le staff est là pour t'accorder un délais 
Bon courage pour ta fiche! 
