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 Ras-le-bol (lucia)

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MessageSujet: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyMer 3 Juin - 13:58


La sonnerie du portable raisonne. Je vais dans ma chambre, pour prendre mon téléphone. Le nom qui est marqué, « nounou » m'annonce qu'elle aura un contre-temps. Je prend une grande inspiration, en prenant appel pour avoir une explication de son empêchement. Et comme je m'en doutais, elle ne pourra pas s'occuper de mon garçon. La nounou n'a pas d'empêchement, mais elle est tombé simplement malade. Je vais devoir emmener mon bonhomme au travail, le temps de pouvoir trouver une remplaçante. Ce qui n'est pas forcément facile. Je raccroche à ce moment. Je me dirige vers mon garçon, qui regarde un animé, en mangeant son déjeuner. La télécommande en main, et met l'émission en pause pour qu'on communique ensemble. « J'ai fais une bêtise ? » « Non, bonhomme ! Je dois te dire quelque chose. » Je crois qu'il a pris comme habitude de prendre peur quand on éteint la télévision, comme font beaucoup de parents pour gronder. Pour ma part c'est uniquement pour avoir son attention, et qu'il m'écoute attentivement. Il n'y a aucun malentendu comme ça. Je suppose qu'il va être content de m'accompagner comme un grand. « Nounou est malade ! Je vais devoir t'emmener à mon travail ! » « Génial ! » Je lui caresse doucement les cheveux, en déposant un léger baiser sur son front. Il me fait un câlin pour me remercier d'accepter de l'emmener avec moi. Là n'est pas vraiment la question. Je ne pouvais pas abandonné mon garçon. La maternelle est en rénovation pendant une semaine. Ça tombe maintenant du coup.

Je prends mes clés, mon manteau, et donne une main à mon bonhomme pour s'éloigner de la maison. Il sautille comme un kangourou, avant de pouvoir le mettre dans l'automobile. Et comme tout parent je met la protection contre le soleil, et également la musique pour qu'il s'amuse pendant le trajet. Je conduis automobile, pendant une demi-heure avant de me garer. Je le récupère, pour qu'on rentre ensemble. Je salue quelques enseignants, qui parlent un peu à Ethan, même Eliakim, son parrain prochainement. Je demande à une amie de s'occuper de mon garçon aujourd'hui. Et dire que la nounou a décommandé pour une méchante « grippe » qui empêche de s'occuper de lui. Je serre mon garçon, avant de pouvoir regagner la immense pièce ou se regroupe beaucoup d'enseignants. Là je prend comme à mon habitude, un siège mais apparemment cela semble beaucoup déplaire à quelqu'un. Une certaine femme qui a le culot de proposer aux enseignants de rapporter de la « drogue ». Je suis contre le fait de rapporter de la drogue, ou même de voir des adolescents basé uniquement sur le sexe. Il y a beaucoup plus important que ça, comme leurs études, ou même l'amour ce qu'apparemment personne ne semble connaître. Surtout à l'âge. « Quoi ? Cela vous dérangerait-il ? » Je me moquais intérieur. En prenant un certain comportement pour m'amuser d'elle, ouvertement, comme à mon habitude. « Vous m'en voyez navré ! » Je décide de me montrer persuasif, en me mettant confortablement. Les bras croisés comme pour démontrer que je ne changerai aucunement d'avis ! « Mais vous allez bouger votre petit cul ! Car je ne compte pas me déplacer pour votre grâce ! » Je reprend à signer des documents, avant de commencer à noter quelques élèves sur les derniers entrainements. Certains arrivent à suivre le rythme, d'autre beaucoup moins, on peut remarquer deux groupes. Les hommes, et ceux pratiquant régulièrement un sport. Et  ce qui n'en font quasiment jamais. Ce qui est mauvais pour leur santé, car pratiquer un sport permet de bien régulariser le sang. Leur permettant également de vivre plus longtemps. Un fait prouvé par de nombreux scientifiques. Lucia ne doit probablement pas en pratiquer. Elle est maigre comme un clou, et n'a aucune musculature.
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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyMer 3 Juin - 16:11


Encore une longue journée qui commence au sein de l'université. Elle s'était levée assez tôt pour terminer de corriger des devoirs, se laver, s'habiller et se faire un bon petit-déjeuner. Vêtue d'une robe rouge bordeaux avec un petit décolleté en "v" pour mettre en valeurs sa poitrine généreuse et sa taille de guêpe ainsi que ses belles jambes galbées , au teint plutôt halée à cause de ses origines cubaines. Lucia coiffait ses cheveux bruns noirs, courts. Elle se maquillait quelque peu tout en laissant sa beauté exotique naturelle ressortir, ses yeux marrons mis en valeurs par du crayon Khol et un rose à lèvres pour mettre en valeurs sa bouche pulpeuse et ressortir de la lumière sur son teint halée. Elle était une belle femme, très belle femme au charme sensuel, exotique et mystérieux. C'était peut-être pour ça que beaucoup de ses élèves étaient des hommes. Une femme exotique et qui n'était pas du tout moche, ça ne pouvait que les attirer à son humble avis. Elle mit des talons, but un jus d'orange et elle prit une pomme avec son sac et ses cours, ses copies. Elle mit une veste et caressa du bout des doigts, la bague de sa mère accrochée à son cou. Lucia mit des talons et partit  , direction l'université à pieds. Elle marchait dans la rue, certains hommes se retournaient sur son passage mais elle les ignorait. Elle savait que les hommes aimaient tourner autour des belles femmes. Lucia arrivait à supporter les cubains très chauds, enfin certains, les beaux jeunes qui lui faisaient de l'oeil lors de l'été, terminait dans son lit mais elle arrivait à supporter le caractère vulgaire des vieux du coin, ce n'est pas des anglais plus distingués qu'eux qui allaient lui faire peur surtout qu'elle avait pris quelques cours de boxes dans sa jeunesse. Son père voulait qu'elle sache se défendre en cas de problèmes. En Colombie ou à Cuba, l'insécurité régnait en maître, mais son père ne voulait pas l'emprisonner, la laisser libre, découvrir le monde et l'exotisme de ses pays.

Elle arriva très vite à l'université, habitant juste à côté car Lucia n'est pas vraiment une femme organisée. La jeune trentenaire sexy n'aimait pas voir sa vie rangée, chronométrée. Bien sûr son appartement était rangé , mais sa vie n'était pas rangé. Elle arrivait bien vite à la salle des professeur, qui était blindée. La jeune cubaine parlait à certaines personnes , de ses collègues qui avaient visiblement pour certains du mal à se remettre avec leurs copies. Lucia avait de la chance, elle n'avait pas tellement beaucoup d'élèves mais elle savait ce que cela faisait. Elle alla s'asseoir à une table pour manger sa pomme rouge éclatante. Elle aimait tout ce qui était sucre mais elle préférait manger sainement la plupart du temps pour mieux digérer et vivre plus longtemps. Elle vit son sac sur la chaise d'à côté  et commençait à corriger certaines copies, qu'elle n'avait pas terminé chez elle, hier soir, Lucia avait été absorbée par un film à la télé, impossible pour elle de travailler correctement dans ces conditions. D'un seul coup, quelqu'un s'était assis sur la chaise d'à côté, sur son sac à elle. Elle leva les yeux au ciel, ébahi qu'il ne le sent pas, son coeur battit à la chamade en voyant la personne. C'était toi, Liam. Le seul qui ne l'appréciait pas dans l’université. Tu lui parlais mal et Lucia prit la mouche, elle s'énervait pas facilement mais tu arrivais à la rendre hargneuse en moins de deux secondes. Ton beau visage, qu'elle voulait gifler. Elle eut un soupire. Il ne voulait pas bouger bien mais qu'il retire son joli petit cul de son sac, qu'elle avait payé assez cher. Tu étais vraiment horrible et dire qu'elle avait flashé sur toi , dès ta venue. Ce petit béguin est passé bien vite face à ton ton envers elle. Elle ne savait pas quel mouche t'avait piqué mais il semblait que ce n'était dirigé qu'envers elle. Ils étaient pas faits pour s'entendre mais il pouvait être au moins poli.

-Monsieur Cromwell, toujours aussi gentil et sympa envers les femmes, un vrai séducteur dans l'âme, minauda-t-elle d'une façon ironique.

Elle eut un sourire, le même qu'elle employait lors des règlements de comptes, elle s'arrêta et te regarda.

-Je vois, Votre Majesté peut-il lever son cul que je peux prendre mon sac ou ce n'est trop demander à celui-ci ? S'enquit-elle avec une façon plutôt méchante.

Lucia ne pouvait pas le voir, mais le trouvait mignon, dommage qu'il devait être aussi con et stupide envers elle. Elle ne savait pas pourquoi et ne voulait pas le savoir. Pourquoi t'accorderait-elle du temps à te comprendre alors que toi, tu ne cherchais pas à la connaître pour la détester ?
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Ven 5 Juin - 12:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyJeu 4 Juin - 14:03


Les personnes jugent mal. Parce qu'ils ne prennent pas à compte le vécu de la personne. Bien entendu, Lucia comme la plupart des femmes, ne connaissent pas ma romance avec mon ex-femme. Je ne comprend pas comment cela a pu terminer comme ça. Comment du jour au lendemain, elle a pu vouloir tout plaquer pour un autre homme. Qu'est-ce qui s'est passé ? J'aimerai comprendre pour soulager mon cœur. Il est même à ce stade, irrécupérable, comme une viande haché. On l'a mis dans un broyeur. Je ne comprends pas. J'ai tout donné à cette femme magnifique, un mariage, un enfant, et même abandonné mon travail pour me consacrer uniquement à mon entourage. Ou est-ce que je me suis trompé ? Qu'on ne vienne pas m'avouer qu'une femme n'a pas besoin d'un mariage, comme d'un enfant. Elle le voulait, le désirait ardemment. On pouvait même voir des diamants briller au fond de son regard. Comme si cela était vraiment important, indispensable pour son bonheur. J'ai donc accepté. Qu'importe ce que cela me demanderait comme « sacrifices ». On aime qu'une fois !

Je suis peut-être hautain, malsain, désagréable en compagnie d'une femme qui me plait. Ou même qui me rappelle mon ex-femme. Uniquement pour protéger mon enfant. Je ne veux pas recommencer à avoir mon organe décomposait, en morceaux. Lorsque ma femme a tout plaqué pour rejoindre cet homme. Ethan était mon sauveur. Il m'a récupéré, ma redonnait une raison de continuer le chemin ensemble. Et pour votre gouverne, madame Zembrano. Je suis un grand séducteur probablement pas avec quelqu'un comme vous ! Une femme qui couche avec des étudiants. C'est lamentable ! Oh mais cela me surprend pas d'une femme qui se dit « muy caliente ». Lucia a déjà couché avec mon meilleur ami, Eliakim. Elle est seulement monté à l'épate supérieur : les étudiants. Le prochain coup ça sera proposer de la drogue, aux enseignants de Oxford.

« Madame Zembrano, toujours aussi, comment vous dite déjà « muy caliente » avec les étudiants ! » répondis-je en prenant un ton dur « Cela ne vous a donc pas suffit de coucher avec mon meilleur ami ! » déclarais-je, en parlant de cause car mon meilleur ami me l'a appris récemment.

Je viens donc prendre sa sacoche, sans pour autant lui donner comme elle aurait voulu. A quoi peut-il lui servir ? A part se maquiller pour combler un autre jeune homme. Ou même garder un sous-vêtement de rechange, quand le premier est en débordement. Lucia est une Couguar qui vend de la drogue pour gagner de l'argent. Quelle belle image d'une femme, comme mon père qui me prend pour un soldat américain. Oh mais c'est tellement plus enrichissant de vendre de la drogue illégalement. Ou même de donner de bons résultats à quelqu'un. En lui donnant un orgasme ! Cela est vraiment dégradant ! Je ne croyais pas qu'elle pourrait tombé aussi mal pour de l'argent. Je lui balance son sac comme elle me l'a demandé récemment.

« C'est si gentiment demandé. » disais-je en ironisant, avant de pouvoir rajouter « Dois-je prévenir Julian que vous l'attendez dans sa chambre, peut-être ? » questionnais-je avec un sourire triomphant. « C'est donc à ça que votre sac à main vous sert, madame Zembrano. » dis-je en ne la quittant pas du regard, le mien était comme un océan regorgeant de danger.

Il comptait que je remet de Victoria avec une Couguar, ou une deale de drogue pour étudiants, ou même enseignants. Je ne cherche pas ce genre de femme, même aucune. Je suis encore sous le coup du « divorce » qu'elle nous a imposé violemment. Qu'elle ne s'approche pas de mon garçon pour se donner une bonne image. Elle l'a abandonné pour retourner avec un nouvel homme, en le niant complétement. Eliakim est même d'accord pour me donner un coup de main. Heureusement qu'il peut compter sur son parrain, sa marraine, tout comme ses grands parents. Je ne sais même plus comment expliquer le départ de mon ex-femme.

« Les femmes vous êtes toutes pareilles ! Il suffit de vous combler, pour que vous changiez d'hommes ! » dis-je avec beaucoup d’amertume, en prenant en cause mon expérience avec mon ex-femme.  
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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyVen 5 Juin - 14:20


Quels préjugés ! Jamais Lucia n'avait vu un homme aussi rempli de cliché sur une femme, il se croyait encore dans les années 50 pour parler des femmes ainsi. Il était homosexuel ou quoi ?  Ok, Lucia ne connaissait pas sa vie mais tout de même lui parler ainsi, tous les jours, cela en était assez, elle ne lui avait rien fait à part coucher avec son meilleur ami et c'était un ébat fortement alcoolisé mis consenti pour les deux côtés. De plus, en quoi c'étaient tes affaires ? De plus cela datait de 3 ans et elle n'avait rien d'autre avec Eliakim, une profonde bonne entente, une amitié sans que cela en rapport avec un lit. Elle avait perdu le contrôle d'elle, cette soirée là, avec l'alcool, l'ambiance festif beaucoup de choses pouvaient arriver. La jeune femme n'en croyait pas ses oreilles, comment osais-tu jeter cette maudite rumeur d'un élève à sa figure ?  Contre toute attente, Lucia éclata de rire en te regardant, tu n'étais pas sérieux, de la juger sur une rumeur lancée par un élève. Il fallait en rire plutôt que de pleurer, elle se sentait même flattée que certains élèves la trouvent sexy au point d'avoir lancer une rumeur sur elle. Il ne fallait pas la prendre au sérieux et tu l'avais pris vraiment ainsi , mais tu avais quel âge enfin ?

Son rire était beau, exotique, mélodieux sans amertume, il était pur. Elle avait mal aux côtes tellement qu'elle avait du mal à s'arrêter, les larmes aux yeux, la respiration saccadée par son hilarité. Elle n'en pouvait plus. Se méprendre sur elle, cela lui arrivait tout le temps, et les gens finissaient par s'excuser, car ils ne voyaient pas qu'une femme fatale mais une femme latine au caractère bien trempé et au grand coeur, un sourire magnifique collé à ses lèvres. Elle n'arrivait pas à arrêter, ce fut lorsque que tu balanças son sac sur la table comme si c'était quelque chose de répugnant. Son rire s'arrêtait et Lucia reprit son souffle doucement tandis que son magnifique visage se fermait La jeune trentenaire épousseta son sac d'une main énervée comme si tu avais contaminé son sac de ta malveillance envers elle. Son regard marron chocolaté, très intense, très pénétrant rentraient dans les tiens, noirci par la colère.

Elle décidait cependant de s'en jouer, de s'en moquer de toi, tu étais assez naïf pour la croire capable du pire. Elle allait parler d'un ton léger pour t'énerver totalement, prendre cela à la légère, car tout ce que tu voulais, c'était qu'elle te hurle dessus, qu'elle te montre à quel point, elle pouvait te haïr lorsque tu faisais cela. Pourtant quand ta bouche était fermée, elle te trouvait tellement craquant, tellement mignon, qu'elle pourrait te montrer ce qu'une vraie latine pouvait faire au lit que tu seras son petit goûter, tu étais tellement à croquer. Un vrai prince charmant mais lorsque tu ouvrais la bouche, tu te transformais en un vilain crapaud , vénéneux. Ton venin était acide. Tes remarques injustifiés envers elle, la rendait toutes choses, elle ne se senti flatter de cette attention, dommage que tu passais ton temps à cracher ton venin sur les femmes comme un vulgaire serpent au lieu de les charmer pour mieux les dévorer avec charme et sensualité. T'avais fait ton choix, aussi débile qu'il était.

-Veuillez ne pas parler espagnol en ma présence, surtout si on ne sait pas très bien le prononcer. De plus, j'ignorais que vous étiez assez bête pour écouter et donner de l'importance à de simples rumeurs, seul un professeur simple d'esprit le ferait, mais on voit qu'à ce propos, vous manquez de maturité totalement, déclara-t-elle d'une façon simple et enjouée.

Elle était fière de sa tirade contre toi, Lucia savait jouer avec les mots. Elle venait de Cuba, des quartiers pauvres de la Havane, là-bas, il fallait se défendre dans les mots, dans les gestes. Elle a vécu dans la pauvreté, dans les insultes et la violence. La jeune trentenaire n'avait pas peur d'un vulgaire professeur de sport rempli de préjugé et de clichés. Elle a vécut en Colombie, là où il y avait un meurtre toutes les 3 secondes. Là, elle était dans une salle des professeurs, avec toi, ce n'était pas du tout la même chose, même si , il te fallait peut-être une bonne gifle pour recentrer ton cerveau et tes neurones. Décidée à ne pas se laisser par un homme, surtout qu'elle savait très bien se défendre physiquement et à voix haute.

-Que je couche avec votre meilleur ami, ou avec un étudiant. En quoi est-ce votre affaire ? C'est celle de mes étudiants, de moi ou de votre meilleur ami. Ma vie sexuelle ne regarde que moi ou mes partenaires ! Est-ce clair ? S'enquit-elle pour ajouter une couche.

La tension était à son comble, l'atmosphère était intense, électrique, chaude entre eux. Le regard plongé dans le tiens, te mettant au défi de dire quelque chose à propos d'elle. On pouvait voir cette tension, cette atmosphère émaner de leurs corps. Cette intensité entre eux. Elle était palpable dans l'air, c'était vraiment intense et électrisant.


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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyVen 5 Juin - 17:39


Elle a beau se moquer, ou même me critiquer. Cela n'a aucun effet. Ça me laisse complétement indifférent. J'ai souvent eu droit à ce genre de comportement pour mon « bizutage ». Mon regard est comme un océan, dangereux, imprévisible, impassible. Il montre exactement mon indifférence, face au comportement d'une enseignante. L'espagnol, mh ? Je pense le communiquer un minimum pour le comprendre. Lucia croit peut-être me donner une leçon d'espagnol, en  annonçant avoir un mauvais accent. Il en est absolument rien, et comme elle ne semble pas vouloir le comprendre. Je vais lui démontrer en me comportant comme un soldat cassant. Le jeu est terminé maintenant, elle ne veut pas abandonné, comprendre que ce n'est pas un orgie. Ou même un endroit pour proposer de la drogue à des enseignants. Il ne sert à rien de m'amadouer, ou essayer de me convaincre de recommencer. Les femmes m'ont usés, m'ont abimés, elle ont mis mon cœur dans un broyeur. Je ne parle même pas de mon garçon, qui me demande des nouvelles de sa maman, qui pleure même souvent parce que sa maman lui manque énormément. Le summum c'est qu'elle nie à son copain, qu'elle a un enfant avec son ex-compagnon. Je le sais comment ? Car elle m'a dit clairement qu'elle recommençait. C'est comme sur le coup, elle décide comme ça d'avoir une énorme « amnésie ». Je lui en veux beaucoup. Et ça même si mes sentiments m'empêchent de pouvoir recommencer. Eliakim m'a même dit récemment, que j'ai seulement mal de vivre dans mon temps, à recommencer avec quelqu'un, et à aimer une personne mieux que mon ex-femme.

Je suis assez remonté, pour son comportement inadmissible, surtout envers quelqu'un comme moi. Il est vrai que je me suis rangé pour devenir enseignant. Cela n'est pas une raison pour manquer de respect à son supérieur. Je la toise du regard, le mien devenant beaucoup plus sombre. Je me redresse d'un bond, en tapant violemment sur la table pour montrer mon autorité, de nombreuses personnes me connaissant me regardent. Ils doivent se demander comment cela va se terminer, probablement mal. Je suis peut être riche, cependant je ne peux pas me permettre de perdre mon dernier emploi. Tout ça pour une écervelée qui commence à m'énerver.  

« Usted es estúpido creer que un sargento pueda creer en este género de idiotez. Un soldado es mucho más maduro que una atolondrada como usted. » expliquais-je durement en espagnol. Je parlais comme si c'était un homme de ma compagnie qui me communiquait.

Il me semble qu'elle a oublié que nous sommes dans un établissement scolaire que les coucheries enseignants et élèves sont strictement interdit. Que le proviseur le marque dans le dossier de chaque personne « concerné ». Au même titre qu'il peut convoquer les parents, et le renvoyer de l'école pour comportement intolérable, et inacceptable. Je refuse qu'un élève soit condamné par les agissements d'une enseignante. Oxford a été mon année de débauche, et ce qui a conduit mon père a m'emmener dans l'armée. Le pire endroit qu'un enfant aimerait aller, et qui empêchera d’être quelqu'un de bien, ou de prendre le chemin qu'il aurait simplement voulu. Je serre les poings avant de la plaquer contre le mur pour lui expliquer mon raisonnement :

« Nous sommes dans un établissement scolaire, Mademoiselle Zembrano. Et non dans votre chambre à couché. Les personnes qui manquent le règlement sont renvoyés de Oxford. Je ne permettrai pas qu'une écervelée comme vous pénalise des élèves ! Est-ce clair ? » ordonnais-je en montant le ton pour me faire comprendre.  

Je desserre mon emprise, en décidant simplement de retourner voir mon garçon pour le prévenir que ma sœur va le récupérer. Il me serre fort en m'embrassant sur la joue doucement. Là je redeviens cet homme aimant, et protecteur, que beaucoup connaissent. Il va me manquer pendant la journée ce bonhomme, maintenant que ca va bientôt sonner. Je vais retourner la voir pour être sur qu'elle a compris. Je ne veux pas que mon garçon vit dans un monde comme ça. Ou les enseignants se permettent de tout. Qui pervertissent les élèves, vendant même de la drogue également.  
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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyVen 5 Juin - 22:00


Oh non, il avait osé ! Il avait osé parler et l'insulter dans sa langue natale ! Lucia fulminait mais complètement ! Il gâchait sa langue avec laquelle, elle avait grandi. Cuba semblait devenir beaucoup moins magnifique dans ses souvenirs d'enfances. Quel enfoiré ! Il osait l'insulter devant tout le monde d'écervelé et de catin, de fille de joie. Bordel, elle n'avait couché qu'avec son meilleur et ils s'étaient quelque peu tourné autour, depuis , c'était presque le calme plat dans sa vie sexuelle. Elle allait régler cela avec Eliakim, ce petit , qu'a-t-il pu dire à cet homme ? Il la traitait de pires noms et dans sa langue en plus. Il insultait sa culture par les insultes qui lui jetaient à la figure, sa famille, morte pour certaines dans la révolution ou d'une horrible épidémie, comme sa mère. C'était quoi cette manière de taper du poing sur la table face à elle, comme un enfant capricieux devant elle ? De l'insulter dans sa langue natale, elle voulait t'arracher la bouche, te couper la langue et t'aplatir , et te défigurer. Pour un soldat , bah voyons , tu l'as peut-être été mais là tu étais un professeur, dans la même université qu'elle. On n'était pas à l'armée, elle n'était pas ton soldat, ton chien pour t’obéir au doigt et à l’œil. De plus, de quel droit se tenait-il sous prétexte d'être à l'armée de l'insulter. Il était vrai, qu'il fallait être idiot d'écouter les rumeurs des élèves, ils aimaient voir les professeurs souffrir de ce genre de rumeur ou même juste se vanter d'avoir eu une magnifique professeur dans leur lit, aux autres. La plupart ne pensait pas à mal, que ce n'était qu'un jeu entre les étudiants, sur quel rumeur va faire plus de polémique. Les professeurs ne l'écoutaient pas et il ne fallait pas les écouter sinon tu t'en sortais pas.  Tu n'avais pas du comprendre cela, au vu de ton expérience dans une école.

Lucia te regardait, ses yeux n'exprimaient que de la colère et de la rage envers toi. Elle était déroutée et dégoûtée que de voir des hommes comme ça existaient toujours. Elle savait que les anciens de Cuba et même les jeunes le sont, mais ils vivaient dans la pauvreté, ils étaient perdus ou nostalgique du bon vieux temps. Toi, tu n'avais pas cette excuse, cette même lueur dans les yeux. Tu n'étais pas perdu comme ils étaient eux. La plupart des pauvres là-bas, étaient morts de maladies qui se soignaient bien ici mais qui étaient incurables là-bas. Bien sûr, ici, personne ne se souciait de cela, enfin très peu. Lucia a vu la misère comme la plupart des personnes ne l'ont jamais vu.  La plupart des gens plaignaient les soldats, les armés, les militaires, mais ils n'avaient pas vu les dégâts d'une guerre chez des innocents, des gens comme eux, qui travaillent pour élever leur famille au risque de ne jamais la voir, des gens qui méritent la belle vie, une villa de rêve. Mais ils étaient là, infectés par une maladie qui les rongeait , les faisait mourir dans d'atroces souffrances, ou pataugeant dans la boue , vivant avec les chiens errants. Bien sûr, il y avait des bons côtés et c'était ce que Lucia aimait chez elle.

Le choc n'arrivait pas à la bouger, ce fut lorsqu'elle heurtait le mur devant tout le monde, une énième humiliation que tu lui avais faite, mais tu t'en tiras pas comme ça. Tu étais peut-être un soldat rempli de bonnes capacité, rien n'est plus fort qu'une femme latine furax et revancharde d'une humiliation, surtout lorsqu'elle est douée pour se défendre et qu'elle avait des muscles. Lucia allait se venger, ses yeux étaient embués de colère et de mépris. Tu allais souffrir face à ce qu'elle t'allait te faire, tu étais vraiment répugnant avec elle. Lucia, se souvenait de ton premier jour, elle s'était juste avancée vers toi, s'était présenter et tu l'avais envoyé balader avec un regard glacial, bien sûr elle avait espéré qu'ils s'entendent bien au moins. Elle se demandait ce qui lui avait pris en cet instant. Son dos lui faisait mal, et essayait de se forger une vengeance au vu fait que tu étais déjà parti. Lucia rangeait ses affaires et elle te vit revenir, des excuses, elle n'en voulait pas. Tu l'as humilié, elle va t'humilier. Pas mature, mais cet homme devait se remettre en place au moins une fois.

Lucia eut un sourire mauvais ce qui lui allait à merveille même si ce n'était pas souvent, elle s'approcha de toi , tout sourire et bam ! Son poing venait percuter avec une force phénoménale et insoupçonné sur ton nez qui craquait quelque peu sous sa main. Elle venait même te cracher dessus littéralement et te poussa contre la table. Lucia avait le regard noir, dangereux. Elle avait le sang chaud, on la touchait, elle ou sa famille, il allait en baver. Son regard était mauvais, et sa bouche formait un rictus de dégoût total envers toi. Une tension extrême régnait entre eux, les autres professeurs n'osaient les séparer. Cette atmosphère pesante, lourde émanant des deux corps, très intense. Personne n'osait bouger, c'est la professeur d'espagnole, d'une démarche menaçante, qu'elle venait à quelques centimètres de ton visage.

- Bastardo, no hablan español a mí, me insulta, y deja de juzgar la vida de las personas sin connaitres. Usted no me conoce y esto no es su negocio, pero la mía, entiendes? * Déclara-t-elle d'une façon mauvaise et menaçante.

Sa voix était rauque et menaçante, chaude et froide. Sa question était rhétorique et ne demandait pas de réponse, c'était clair net et précis. Elle savait que tu avais compris, elle regardait sa propre salive couler sur ta joue virile. Elle eut un sourire satisfait.

-J'espère que le message est parvenu à votre cerveau, monsieur Cromwell, s'enquit-elle avec force avant de prendre ses affaires et quitter la salle pour son cours.

Elle passait devant un petit garçon trop mignon, et elle lui donna une pêche en lui disant les vertus de celle-ci, et lui ébouriffer les cheveux avant de partir, tout sourire. Une femme latine avait toujours du caractère, et de la force, et elle était surtout maternelle. Elle espérait au moins que tu retiennes la leçon dans cette histoire. Lucia était très fière d'elle. Ne jamais se fier aux apparences !

* Traduction : Sal**d, ne parles jamais espagnol devant moi, ne m'insultes plus, et cesses de juger la vie des gens sans les connaîtres. Tu ne me connais pas  et ceci ne sont pas vos affaires mais les miennes,  compris ?



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MessageSujet: Re: Ras-le-bol (lucia)   Ras-le-bol (lucia) EmptyVen 5 Juin - 23:05


J'ai reçu une leçon comme quoi on ne communique pas comme ça avec une jeune femme. Ça même si on cherche absolument à l'éloigner, même si la personne me plait beaucoup. Le problème c'est qu'elle doit remarquer que je ne compte pas m'excuser. Ou même avouer mon erreur, parce qu'en tant qu'homme, et que soldat, ma fierté a pris un énorme coup. Les choses ont beaucoup changé. Je ne peux pas pardonner, m'excuser, comme auparavant. Simplement, parce que la guerre m'a montré l'horreur du monde, qu'une excuse ne ramènerait pas un mort, que des larmes ne ramènent pas un compagnon. Qu'on ne regrettent pas notre devoir de soldat. Que si on ferme les yeux cinq minutes, l'ennemi aura le temps de nous assassiner. La raison que ma sœur et ma sœur ont toujours en voulu à mon paternel. Le fait de m'envoyer dans un monde d'homme, cruel, sanguinaire, qu'on m'a envoyé quand j'avais uniquement vingt ans. Vingt ans, et on te retourne l'esprit complétement. On te montre que le monde est une merde, que tout le monde va mourir. Qu'on peut les sauver à condition de savoir combattre, et de ne pas abandonner. Je ne vais donc certainement pas m'excuser. Car en même temps c'est qu'une femme qui ne comprend même pas la vie. Qui doit vivre simplement, en se faisant uniquement plaisir. En ne se doutant pas que beaucoup de personnes, voir même des milliers sont mortes sur les champs, ou même dans des peuples innocents. Tout ça parce que deux contrées ne sont même pas fiche de bien s'entendre ensemble. La vie est une merde, on est d'accord !

Je quitte ma sœur qui m'attend pour le cartable de mon garçon. Là je reviens dans la salle principale, ou sont regroupés les enseignants qui nous regardent. Il n'y a personne qui ose s'approcher ou même répondre pour prendre la défense de quelqu'un. Il vaut mieux pour tout le monde surtout quand Lucia vient me frapper au visage. Je sens à ce moment que mon nez craque, et me provoque une douleur, que je camoufle d'une grimace. Mes dents serrées, mon poignet fermés, elle ne tarde rien pour entendre. Je pose ma main sur mon visage pour essayer de calmer la douleur. Elle croit vraiment que c'est son insulte, qui va m'empêcher de communiquer une langue. Ce n'est pas la Reine d'Angleterre. Elle se prend pour qui pour me donner des ordres. Une femme qui se juge « muy caliente » et qu'on saute à la moindre occasion. Lucia croit vraiment que parce qu'elle m'a frappé, que je vais capituler comme ça. C'est vraiment mal me connaître ! Je suis un soldat, pas une poule mouillée ! Je ne me dégonfle pas face au danger. J'y cours dedans pour sauver mes compagnons.

« C'est la meilleure ! Tu crois vraiment que tu me fais peur ! Ne rêve pas, ma petite ! » soufflais-je de mépris envers cette femme immonde, et sans aucune morale « Tu as de la chance d'être une femme ! » concluais-je, en avouant que je ne toucherai jamais une femme.

Je roule des yeux, elle se croit vraiment supérieur à un enseignant en sport quand même. Elle ne sait vraiment pas à qui elle s'adresse. Je manie les armes comme personne. Je pratique la boxe, le jogging, l'équitation, la natation, donc ce n'est pas une femme qui manie la boxe qui va m'effrayer. Elle va devoir me respecter plus que ça. Hélas, elle va se rendre compte qu'il ne faut vraiment pas me chercher, ou me provoquer. Les préjugés je m'y connais, et pour en créer davantage pour blesser quelqu'un également. J'y suis passé par le « bizutage » de l'armée qui est beaucoup plus douloureux, et cruelle qu'une parole d'une femme qui essaye de se défendre contre moi. Je m'essuie le visage ou elle m'a craché dessus en même temps de me casser le nez devant tout le monde. Elle n'ira pas bien loin, et si elle compte jouer à ca. Je peux m'amuser à la provoquer ou même la faire renvoyer y a aucun problème. J'ai beaucoup d'argent pour protéger les élèves de cette enseignante, comme des préjugés.

Elle part en parlant à mon garçon, et lui donnant un objet en même temps. Je sors de la pièce en prenant la pèche pour la mettre dans la corbeille. Et lui explique de jamais prendre quelque chose d'une inconnue, et surtout que le fruit peut être empoisonner. Je le prend dans mes bras, en le donnant à ma sœur qui me souhaite bon courage en se moquant. La première fois que je me fais frappé par une femme, c'est bon quoi ! Inutile de se moquer pour quelque chose d'anodin, comme un poings. Je vais furieusement à l'entrainement sportif pour ma deuxième élève Daisy. Tu auras besoin de courage pour me supporter. Lucia m'a mis dans une mauvaise humeur. [...]
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