(f/libre) riche et déjantée : une amitié basée sur un mensonge

âge tu as entre 23 et 25 ans. études suivies tu n’as pas tellement le choix, désolée. Tu es en anthropologie (année au choix) où tu as rencontré Breeony. Tu as possibilité de suivre un double cursus si cela t’enchante. job tu n’en as pas besoin. Mais t’aimes bien aider les autres alors, tu vas de volontariat en volontariat. orientation sexuelle bisexuelle. Tu aimes bien la musculature des mecs et les courbes des femmes. En vrai, tu es une amoureuse de la beauté, sous toutes ses formes. statut célibataire. statut social ££££ (riche); tes origines remontent à loin, très loin. Tu descends du clan Moireach (en gaélique écossais), loin de tous ces Murray qui ont décidé de se faire plus « anglais ». les poches de tes parents sont pleins de fric, plus par travail que par héritage. caractère excentrique, tu as toujours eu une vision différente des autres, tant dans ta manière de penser que ta manière de t’habiller + explosive, tu t’emportes facilement ; il te t’en faut pas beaucoup pour te voir t’enflammer + douce malgré tout, la plupart de temps, ce qui te permet d’aider dans plusieurs associations caritatives + amoureuse, t’aimes la vie, les gens et les emmerdes qui font avec ce qui ne t’empêche pas de sourire au monde + intemporelle, tu donnes souvent l’impression de flotter, de ne pas être réellement connectée + généreuse, tu n’hésites pas à donner et à aider + possessive malgré tout : ça ne te dérange pas de donner des objets mais les personnes, elles, t’aimes bien les avoir dans ta poche + aguicheuse, t’as toujours aimé draguer, comme ça, pour t’assurer que tu en avais le potentiel + déterminée, tu sais parfaitement que ce que tu veux dans la vie … et qui tu veux ; tes parents n’ont jamais réussi à t’influencer de ce côté-là + mystérieuse, tu n’aimes pas te dévoiler entièrement : tu te présentes à demi-mots, te cache derrière ton masque d’excentricité + bonne vivante, tu ries pour un tout et un rien, à gorge déployée + de bonne famille, tu sais comme fonctionne un repas où les nez sont poudrés et les secrets bien cachés + fouineuse, ça t’amuse de savoir les secrets des autres. avatar Alina Kovalenko parce qu’elle est rousse et parce qu’elle a des shoots sympa (et a ce mélange de douceur et d’explosion) + Sophie turner parce qu’elle est rousse et a aussi une gueule … douce + Emma Stone parce qu’elle est rousse (maggle) et qu’elle fait souvent des têtes marrantes et que c’est parfait + Karen Gillian parce qu’elle est rousse (aussi) et qu’elle fait assez douce aussi + Juno Temple même si elle est blonde … mais elle a un grain de folie qui correspond parfaitement à l’idée du perso + Emily Rudd même so elle est brune mais … idem … elle est assez douce et correspond à l’idée du perso.
Got nothing in my brain
(+) Les traditions ont toujours été au centre de ta vie, chérissant l’ancienneté de ton clan. Ta vie a donc été rythmée par le son de la cornemuse de ton père (qui s’entrainait tous les samedis matin à 7 heures tapante), par les cours de danse des Highlands (tu maîtrises la danse de l’épée et le highland fling, entre autres), par les jeux des Highlands qui se déroulaient au printemps (tu as vu plus d’une fois ton grand-père faire du lancer de tronc d’arbre en kilt, amusant). Ce sont tes parents qui te les ont inculqués, pas de stupides précepteurs comme les autres personnes de ton rang. Ce que tu préfères, d’ailleurs : savoir que ta famille (ton clan) est la seule à disposer d’une armée privée (Atholl Highlanders) en Europe. Une armée de circonstance, juste bonne pour les parades, tous en … kilt.
(+) L’ancienneté de ton clan n’a rien à voir avec la richesse de ta famille, non. La richesse, elle vient du grand-père et tes parents qui ont toujours « tout » donner et t’ont éduqué dans cette optique. Ta màthair était mère au foyer, craftant et vendant ses créations, t’emmenant (toi et tes frères) à tous les dîners de « Grands ». Ton athair, lui, est un grand nom dans l’économie et rêve de te voir prendre la direction de sa succession. Mais il ne te met pas la pression : si tu ne veux pas, il l’a refilera à quelqu’un d’autre. Il est très compréhensif.
(+) Tu as été en école privée, petite. Mais ça tu n’as pas vraiment apprécié, t’aimais pas l’ambiance. Encore moins l’atmosphère. Tu n’as jamais compris pourquoi les riches se sentaient supérieurs aux autres, n’hésitant pas à écraser la concurrence d’un coup de talon. Pour toi, tous les êtres humains sont égaux et leur futur ne devrait pas être déterminé par le contenu de leur porte-monnaie. Pour autant, les boursiers n’ont jamais compris ton idéologie, te rappelant sans cesse que tu ne pouvais pas comprendre parce que, justement, t’avais du fric.
(+) Tu as fait des études à St Andrews en Ecosse. Là-bas, tu y as croisé les grands de ce monde. T’as toujours apprécié cette université, t’es beaucoup investie. Elle te calmait – certainement la présence de la mer à ses côtés, perdant les pierres grises dans l’immensité de la mer. Là-bas, tu te sentais petite. Vivante. Ton nom était sur toutes les affiches et tu jonglais avec facilité entre cours, amies et associations. L’élève parfaite, en apparence.
(+) Après quatre ans de licence à St Andrews, tu as décidé de poursuivre tes études à Cambridge. T’avais envie de voir du monde … bien que les anglais, ce n’était pas ta tasse de thèse (hou, la rivalité !). Au moins, ça t’a donné l’occasion de rencontrer Breeony et de partager quelques cours avec elle. Venant elle-aussi de St Andrew (la ville, pas l’unversité), ça vous a permis de débuter les conversations. Et puis, lorsqu’elle a bougé pour Oxford, t’as décidé toi-aussi de transférer ton dossier.
(+) Oie blanche. C’est la réputation que tu traînes. Généreuse. Ouverte. Mais tu te moques des préjugés, tu vis ta vie comme tu l’entends – tu sais très bien que ce n’est pas vrai. Juste que tu as la décence et la possibilité de cacher des bavures à la vue des autres. Ton aithair (ça veut dire père en gaélique écossais, en fait) a toujours remarqué ce trait de caractère … et c’est en fait pour cette raison qu’il place beaucoup d’espoir en toi. Les conneries, tu les enchaînes. Mais, étrangement, personne n’y porte réellement attention. Paraît que c’est grâce à ton sourire ; ça fait fondre le venin de toutes les commères qui veulent ta peau.