(inachevé) De retour, pour enchaîner les coups d'un soir ! [Valentin & Noah]

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De retour, pour enchaîner les coups d'un soir ! × ft. Valentin & Noah

Ça va faire une semaine que je n’ai pas craqué, une semaine que j’ai d’yeux que pour une personne sans l’être officiellement, comme si mon corps si préparais physiquement, ou même mentalement à subir la torture du couple qui est de ce contentais que d’un seul corps. Mais quand on aime cette torture n’a plus lieux d’être, c’est plus une joie partagée, qu’on partage dans le plus grand des plaisirs. Je vois tous ses gens passer prêt de moi, d’autre qui essaie de m’avoir mais en vain je leur refuse tout opportunité. Il y en a bien un avec qui je joue, enfin plutôt je jouais. Je ne vois plus Valentin depuis un moment, dommage ou heureusement, je ne saurais trop dire à ce sujet. Avec lui c’est du physique à l’état pur, jamais de répits et c’est ce qui me plait chez lui, il est capable de me tenir tête j’aime ça. Je me demande bien si un jour je le reverrai lui et son corps athlétique. Pour le moment c’est un peu vide, je ne sais que faire. Pour le moment, j’ère dans Oxfords sans but, sans raison concrète. Peut-être que je devrais faire un tour à la bibliothèque de quoi révisé et augmenter mon record en cours. Je m’avance d’un pas sûr quittant les vestiaires des hommes vers la bibliothèque, les cheveux toujours mouillé par la douche et l’effort, habiller d’un simple training et un banal t-shirt, j’entre sans trop me faire remarquer par … La salle est vide je jette mon sac sur le côté cherchant de quoi m’instruire par la suite dans ses longs couloirs remplit de livre à en perdre de vue, on pourrait si perdre facilement dans ce labyrinthe de savoir infiniment large. Même après tout ce temps dans cet immense établissement je ne connais pas encore tout ce qu’il y a ici. Tant de choix, tant de mystère, plein de surprise inédite. Je longe les yeux perdus dans le vide, la main frôlant la matière de chaque livre, unique en leurs genres, jusqu’à effleurer quelque chose de vraiment trop unique à mon gout, ce n’est pas un livre … Je reprends mes esprits subitement en remarquant que ma main est posée sur le dos d’un mec, ses allures, cette posture me rappelle vaguement quelqu’un …

Je m’excuse discrètement, et elle se retourne, je peux voir son visage, c’est celui de Valentin. Il est là, j’en suis bouche bée aucun son sort de ma bouche. Lui aussi à l’air surpris par ma présence, je ne sais pas trop quoi dire, même si je le connais assez après le temps il reste quelque peu énigmatique. D’un coup c’est un autre sentiment qui m’envahis, j’ai une seule envie c’est de l’avoir, mais d’un autre côté je suis frustré que n’aie plus eu de contact même si c’était de courte durée. Je place rapidement mes mains sur son col, le poignant pour le coller contre l’étagère. « Abrutit … » Je n’ai pas juger l’ampleur de ma force et plusieurs livre s’écroule à nos pieds, un rire sors de ma bouche, je ne pus m’en empêcher. Je le regarde et me mord les lèvres. Attendant, quelque chose, je le fixe. Parle-moi, agis. « Ah ben désolé, c’était plus fort que moi, j’aime poigner les parties de ton corps »

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De retour, pour enchaîner les coups d'un soir ! × ft. Valentin & Noah

Je suis un vrai rat de bibliothèque, il y a une semaine que je suis fourré du matin au soir dans cet endroit qu j'affectionne tout particulièrement. Les gens me prennent souvent pour une belle gueule mais avec une tête vide... parce que c'est bien connu on ne peut pas à la fois avoir des biceps et de la matière grise.
Pourtant depuis 6 jours précisément, je passe 13h par jours ici, enfermé dans ces loooongues rangées de livres. J'adore l'odeur qu'ils dégagent, j'aime toucher leur reliure et tourner les pages. Les générations futures ne vivront jamais ca, tout ce savoir consigné là par la main de l'homme. Les e-books font fureur mais pour moi rien ne vaut un bon vieux bouquin poussiéreux. J'arpente les couloirs, je me sens comme dans la belle et la bête quand ce dernier montre sa bibliothèque à sa prisonnière. Je suis émerveillé, il y en a jusqu'au plafond, je pourrais vivre ici...à peu de choses près.
Je sors pour manger à midi, je vais aux toilettes le moins souvent possible et...bon oui la nuit je m'envoie en l'air ca et là pour atténuer les courbatures cérébrales.

Il est 21h, dans 1 heure la bibliothèque va fermer et comme nous sommes dimanche soir, elle est déserte. La vieille bibliothécaire me connait bien et me laisse tranquille dans mon coin, ca m'arrange bien! Alors que je suis appuyé contre une étagère, la tête plongée dans un manuel de médecine de 1912 écrit par un professeur allemand, je n'entends pas l'immense porte d'entrée s'ouvrir et j'entends encore moins les bruits de pas qui se rapprochent de moi. Soudain, un frisson me parcourt le dos, je me retourne et je vois Noah, ce beau gosse qui ne m'a pas donné de nouvelles depuis des lustres. Je n'ai pas le temps de dire quoique ce soit qu'il me plaque contre l'étagère en me prenant par le col, je lâche mon livre et 3 ou 4 autres me tombent dessus alors que je me fait traiter d'abrutis. Je le regarde, quelque peu surpris mais jamais décontenancé et puis je l'écoute avant de répondre rapidement.

- Il y a peu c'est pas mon col que tu aurais pris en main...dommage

Mes lèvres se collent contre les siennes pour un langoureux échange avant que je ne me dégage de son emprise.

- Qu'est-ce que tu fais ici aussi tard? Tu sais le rayon porno est plus loin là bas, mais jette un oeil dans mon sac là, j'ai trouvé un ouvrage fort sympathique tout à l'heure, il pourrait te servir avec miss parfaite.

Je lui adressai un sourire faussement jaloux, il me délaissait pour une fille, c'était vexant mais je savais que si j'insistais un tout petit peu j'arriverais à créer à nouveau de l'attraction entre nous, je savais que je pourrais lui donner envie. De mon sac dépassait un ouvrage ancestral sur l'art du kama sutra, j'avais bien l'intention de le potasser pour mettre un peu de piment supplémentaire dans ma vie sexuelle.

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