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 [HOT] On doit parler. (ioloo)

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J. Liloo Gonzales




J. Liloo Gonzales
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MessageSujet: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptySam 9 Jan - 0:04

On doit parler
Iosef & Liloo
J'y vais. Elle s'avancer vers l'amphithéâtre où Iosef donne son cours. J'y vais pas. Elle fait demi-tour, retournant vers l'escalier qui la conduira vers la sortie du bâtiment. Je dois y aller. Demi-tour, elle s'approche encore de l'amphithéâtre. S'arrête. Inspire profondément. T'as l'air con Liloo. Vrai. Mais comment était-elle sensée entrer dans cette pièce et se retrouver face à son frère ? Son frère. Putain. Tu t'es tapée ton frère, remets toi ! SE REMETTRE ? Impossible.
Cela remonte à deux mois en arrière, et pendant tout ce temps elle a réussit à l'éviter. Elle a été heureuse de l'éviter. Maxime s'était barré. Elle était sortie avec Yani. Elle s'était faite tatouer un putain de dauphin sur les fesses. Et elle avait retrouvé l'étreinte de son meilleur ami. Et elle avait baisé personne. Plus personne depuis son frère. Diet, complet. Et c'était pas une chose naturelle chez elle. Elle se sentait incapable d'approcher qui que ce soit, comme si elle avait peur de se retrouver face à d'autres frères et soeurs qu'elle ne connaitrait pas. Ce qui est con, très con. Elle commence à devenir paranoïaque.

Elle est devant la porte, et alors qu'elle inspire, décidée à faire demi-tour, elle s'ouvre soudainement, sous le cris de la jeune psychologue. Elle se retrouve prise dans un flot d'étudiants qui sortent dans un bruit de fracas. Sur le côté de la porte, elle attend qu'ils soient tous dehors. Avant d'entrer. L'amphithéâtre est presque vide. Iosef est en bas, parlant avec deux étudiantes. Liloo sent son coeur s'emballait. Terrifiée.
Comment a-t-elle fait pour ne pas reconnaitre son frère? Comment a-t-elle pu faire CA avec lui ? Baiser dans un coin sombre du Camera Night Club, comme une salope. Son petit frère. Bordel. Son petit frère. C'était n'importe quoi. C'était merdique. Elle devait... Elle devait lui parler. Elle descendit les marches, peu rassurée. Elle avait mit un jean noir, et un t-shirt d'homme trop grand qui appartenait à Yani, avec la langue des Rolling Stones rouge sur un fond gris. Cheveux attachés en un chignon lâche. Elle déglutit. Les deux étudiantes disent au revoir au professeur et remontent vers la sortie. Seuls.

Elle inspire, et arrive sur la dernière marche. Elle regarde Iosef et tente de sourire, mais elle est rouge de gêne. « Io, je .... Salut. » dit-elle en faisant un geste de la main. Débile. « Je suis désolée de... j'ai pas été très ... enfin je... je ne savais pas... Après notre... enfin tu sais... Putain. » Elle descendit, le prit par les épaules, et le regarda droit dans les yeux. « Ce que j'essaie de te dire c'est que... T'ES MON FRERE PUTAIN ! » DIt-elle dans un cris d'agonie, comme si elle allait contre son instinct en disant cela. Elle recula, lâchant ses épaules. « Ca faisait... Tellement longtemps que... Je ne t'ai pas reconnu. Putain... Ca craint... »


Dernière édition par J. Liloo Gonzales le Dim 7 Fév - 19:47, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptySam 9 Jan - 23:24

On doit parler
Iosef & Liloo
La sonnerie signale la fin de son cours alors que ses élèves rangent leurs affaires pour partir de la salle, épuisé par un autre cours difficile. Iosef range également son ordinateur, malgré sa main droite tremblante il maîtrise mieux ses gestes et de ce fait, il n'a plus besoin de personne. Il y a encore quelques mois, il aurait peut-être failli lâcher son ordinateur mais aujourd'hui, il est bien plus maître de ses mouvements. Alors qu'il termine de fermer son sac deux étudiantes viennent vers lui en souriant, l'une d'elle même semble cligner plusieurs fois des yeux en le fixant. Elles le draguent ? Oui. Il en est sur alors qu'elle s'approche un peu trop prés de lui à son goût. Ainsi, elle lui tend un morceau de papier contenant un numéro de téléphone avant de partir aussi vite qu'elles ne sont arrivées. Il rit doucement, déchire le morceau de papier et le jette dans une petite poubelle proche de l'entrée. Mais alors qu'il cale son sac sur son épaule il est arrêté par une autre présence. Alors qu'il allait renvoyer cet élève hors de sa salle en lui signalant que le cours est terminé, il est surpris de relever la tête et de tomber sur une jeune femme. Une aventure, un soir alors qu'il avait besoin de se changer les idées et de se sentir encore désirable malgré le fait qu'il ne sorte plus et qu'il ne ramène plus personne dans son lit depuis longtemps. Pendant un instant il reste choqué, craignant d'avoir couché avec une élève puis finalement, il se rend compte qu'elle serait venu bien avant si elle avait voulu lui faire un quelconque chantage. Soufflant, rassuré, il s'approche d'elle. « Salut. » Répond le professeur alors qu'elle lâche son prénom. Il fronce les sourcils, étonné de voir tant de familiarité entre eux, d'un coup. « Je suis désolée de... j'ai pas été très ... enfin je... je ne savais pas... Après notre... enfin tu sais... Putain. » Traduction ? De plus en plus étonné, il cherche à croiser son regard mais peine perdu. Elle semble bien trop gênée pour faire quoi que ce soit. Puis finalement, sans prévenir elle le prend par les épaules et le regarde avec un air grave. « Ce que j'essaie de te dire c'est que... T'ES MON FRERE PUTAIN ! » « Hein ? » Répond le professeur en la fixant, la regardant comme si elle sortait d'une autre planète. Son frère ? Et puis quoi encore ? Il ne la connaît pas cette fille, c'est seulement un coup d'un soir, sur un canapé d'une boite au milieu des danseurs. Juste une fois, rien de plus. Mais... Il laisse son regard traîner sur le visage de la belle. « Arrête tes conneries. On se connaît pas. » Répond Iosef en se tournant, prêt à partir loin de cette fille qui commence à lui faire peur. Et même si il a ce sentiment de déjà vu, il se trompe. Une simple coïncidence, c'est tout. « Ca faisait... Tellement longtemps que... Je ne t'ai pas reconnu. Putain... Ca craint... » Là il s'arrête, le ton de sa voix, sa peur et surtout ce mal être semble tellement sincère qu'il lui met le doute un instant. Pourtant en levant la tête il regarde l'heure bien avancée. « Écoute... Je sais pas si tu es vraiment ma sœur mais... Je n'ai pas le temps là. Viens avec moi, si tu es bien ma sœur alors... Sache que j'ai quelqu'un à te présenter. » Lâche le professeur dans un soupir en levant les yeux vers elle et en l'invitant d'un signe de tête à sortir de la pièce. Rapidement, aux côtés de sa... Sœur ? Est-ce possible qu'il ce soit offert un moment intime avec sa sœur sans la reconnaître ? Il se sent perturbé juste en pensant à cela, mais il tente de ne rien montrer. Alors il sort du bâtiment et d'un pas rapide, traverse le parc de l'université pour rejoindre un portail en fer. Ce dernier est ouvert, quelques enfants jouent en attendant leurs parents sous l’œil vigilant des enseignantes et surveillantes. « Iosef ! Tu as du retard, il commençait à râler ! » L'accueille une des surveillantes. « Je suis désolé, où est-il ? » Il est arrêté par un petit cri, une voix aiguë et joyeuse qui l'appelle alors que le visage du professeur s'illumine aussitôt. « Papa ! » Peut-on entendre alors que le petit garçon, arrivé de nulle part, tend ses bras vers son père. Ce dernier se penche et l'attrape avant de lui déposer un baiser sur la joue. « Bonjour mon Ange... » Iosef se tourne vers la jeune femme brune qui ne l'a pas lâché. « Liloo... Si tu es bien ma sœur alors... Voici ton neveu. Timéo. »
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J. Liloo Gonzales




J. Liloo Gonzales
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyLun 11 Jan - 0:23

On doit parler
Iosef & Liloo
« Hein ? » Incrédulité qui se lisait sur le visage de son frère. Elle sentait la nausée lui monter dans la gorge mais elle déglutit pour ne pas se répandre devant lui. Elle avait déjà assez honte de lui avait demandé de la baiser violemment. Ce n'était pas même de la honte, c'était au-delà de cela. Une sorte de désespoir. C'est sans doute ce qu'il arrive dans on commet l'un des crimes les plus odieux de l'humanité. L'inceste c'était une des choses qu'elle s'était toujours refuser. Comment pouvait-on coucher avec un membre de sa famille ? Réponse : coupez les ponts pendant des années, buvez beaucoup, et soyez une chaudasse. Il n'y avait rien de mieux pour faire des conneries. Elle nota dans son esprit qu'elle devait arrêter de boire. Une résolution qu'elle ne tiendra pas, mais ca lui faisait du bien de se croire capable de le faire. Elle pétait les plombs.
Et apparemment cela commençait à faire peur à Iosef, qui recula, et posa sur elle un regard inquiet, comme s'il s'attendait à ce qu'elle lui saute à la gorge. « Arrête tes conneries. On se connaît pas. » Elle leva les yeux au ciel devant son refus de la croire. Quelles raisons aurait-elle de lui mentir sur une telle chose ? Et avait-elle changé à ce point qu'il ne la reconnaissait même pas ? Ils ne s'étaient pas vu depuis... quoi ? Dix ans ? Onze ? Douze ? Plus ? Elle ne se souvenait plus la dernière fois qu'elle avait été dans la même pièce que son frère. Sa mémoire ne remontait pas jusque là. Alors sans doute avait-il des raisons de ne pas la reconnaitre.
Mais il ne semblait pas perturbé plus que cela. Il regarda l'horloge au fond de la salle et prit ses affaires. « Écoute... Je sais pas si tu es vraiment ma sœur mais... Je n'ai pas le temps là. Viens avec moi, si tu es bien ma sœur alors... Sache que j'ai quelqu'un à te présenter. »    Sérieusement ? Il sortie devant elle, lui laissant peu le choix de le suivre. Alors elle lui emboita le pas, se demandant s'il n'était pas en train de lui faire une sorte de déni, preuve de son choc face à cette nouvelle. Et si elle tombait enceinte ? Elle sentit une angoisse la prendre. Et si jamais elle portait l'enfant de son frère ? Là ? Maintenant ? Elle toucha son ventre, avant de se souvenir qu'il n'y avait pas de risque pour cela et de souffler. Elle avait un implant.

Ils arrivèrent rapidement dans une petite cours près du bâtiment. Liloo resta en retrait, observant la scène devant elle. Iosef parla avec une jeune femme pendant deux minutes, avant de partir en avant, et de se pencher. Pour récupérer un gamin. On vole un enfant ? Se demanda-t-elle, fronçant les sourcils jusqu'à ce qu'il revienne vers elle avec un petit bout-de-chou adorable dans les bras. Bon choix, il est mignon celui la. « Liloo... Si tu es bien ma sœur alors... Voici ton neveu. Timéo. » Si je suis bien ta soeur ? Trou du cul. Pensa-t-elle en le foudroyant du regard. Avant de réaliser ce qu'il disait. Son neveu ? TIMEO ?? C'est trop beauuuuu ! Pensa-t-elle comme une hystérique, alors qu'elle se tenant devant les deux garçons, la bouche ouverte comme un poisson hors de l'eau. Timéo regardait la jeune femme en souriant, gazouillant dans les bras de son père. « Il a tes yeux. » Dit-elle comme si c'était la seule chose logique à dire.
Elle réalisa alors ce qu'il se passait et fit volte-face pour sortir de la crèche. Elle était mal à l'aise. Elle était honteuse. Elle ne savait plus où se mettre. Elle se tourna vers Iosef une fois qu'ils étaient dehors. « Je ... Je ne pensais pas te revoir un jour Iosef. Pas comme ça en tout cas. Tu... ne nous as rien dit pour Timéo... » Dit-elle sur un demi-ton de reproche. Avant de regarder le petit garçon et de se pencher vers lui pour lui caresser la joue et le chatouiller. « Tu sais que tu es trop beau toi ? T'as l'air d'être un gamin A-DO-RABLE ! » Magnifique, en tout cas. Beauté évidente des Gonzales. Ou pas.


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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyJeu 14 Jan - 17:27

On doit parler
Iosef & Liloo
Sa sœur. Sa grande sœur qu'il devrait adorer, qu'il aurait du prendre comme modèle à suivre dans sa vie mais qu'il a toujours détesté au final. Il prenait tout à sa place, toutes les bêtises qu'elle faisait même si il n'était pas au courant, la punition lui retombait au coin du visage sans qu'il ne puisse rien faire. Il a toujours trouvé ça injuste mais il savait que dans sa vie, il aurait un jour l'occasion de partir de cette famille où il n'était pas le bienvenue malgré les faux sourires de sa mère. Sa sœur, il la déteste. Il a voulu lui faire confiance une seule fois et la punition a été pire qu'il n'aurait pu le penser. Son père est entré dans une colère et une rage telle qu'elle, qu'il a pensé qu'il pourrait le tuer d'un seul mouvement de la main. C'est après cette fois là que Iosef est devenu plus distant et violent avec les gens de sa famille, refusant de les voir où même de leur parler une seule seconde. Quelques mois après il rentrait en internant et ne voyait plus personne à part aux vacances de Noël, et encore, il ne sortait que pour prendre ses maigres cadeaux avant de s'enfermer encore dans sa chambre et de terminer ses vacances dans le calme. Il n'a jamais pu dire à ses parents qu'il savait qu'il n'était qu'un enfant issu d'une adoption, un caprice de leur mère qui voulait un autre enfant sans pouvoir le porter elle même. Leur père ne le voulait pas, il n'était pas son fils et toute son enfance il a violemment fait comprendre à Iosef qu'il était de trop. Injustement certes car l'enfant n'était fautif de rien. Mais même si il pleurait au début à cause de cette injustice, elle a l'a rendue plus fort et il est devenu véritablement un roc à cause de ça. Plus rien ne le touche, sauf son fils à présent. Si bien que dés que la mère du petit l'a appelé pour lui annoncer la naissance de son fils, pas une seule seconde il ne c'est demandé si il pouvait où pas l'élever. Sa sœur angoisse a été de répéter les erreurs de son père adoptif. Mais il n'est pas comme lui, heureusement. En pensant à son fils, Iosef part le retrouver dans la crèche juste en face de l'université. Heureux à l'idée de rejoindre son bonhomme, il ne se fait pas prier quand Timéo arrive devant lui, les bras en l'air à la recherche d'un gros câlin.

Iosef le prend contre lui et l'embrasse sur le front, doucement. Pour finalement le présenter à sa sœur. « Il a tes yeux. » Lui dit-elle comme si cela était une évidence. En effet Iosef se tourne vers son fils et remarque que ce dernier a le même regard rieur que son père, ce qui fait sourire le professeur alors qu'il sort doucement de la crèche en jouant avec son petit garçon. « Je ... Je ne pensais pas te revoir un jour Iosef. Pas comme ça en tout cas. Tu... ne nous as rien dit pour Timéo... » Il éclate de rire, un rire pas vraiment doux ni amusé mais plutôt quelque chose d'assez mauvais qui sonne faux. « Comme si vous aviez pris de mes nouvelles ! » Répond le médecin aussitôt, tout en se calmant car son fils commence à le regarder d'une façon étrange, comme si il sentait la colère chez son père. « Tu sais que tu es trop beau toi ? T'as l'air d'être un gamin A-DO-RABLE ! » Dit-elle au petit garçon en lui chatouillant la joue, ce qui a pour effet de le faire éclater de rire. « T'inquiète pas pour cette histoire d'inceste. » Relance Iosef maintenant qu'ils sont hors de la crèche et que personne ne peut les entendre. « Nous ne sommes pas du même sang. » Finit par lâcher le professeur comme une bombe, en se rendant compte qu'il est peut-être un peu brutal dans sa façon d'annoncer les choses. Après tout il n'a jamais été très bon pour prendre des gants puis, ce n'est pas quelque chose qui est souvent bien accueilli dans les familles. Il ne saurait pas comment l'annoncer d'une façon plus douce. « J'ai été adopté. Nos parents voulaient un autre enfant, ils n'arrivaient pas à en avoir et... Enfin tu imagines la suite. » Lui fournit Iosef comme maigre explication à ce qu'il vient de dire. Tout en berçant son fils qui mordille un petit jouet en plastique en forme de girafe, il marche jusqu'à sa voiture en laissant sa sœur le suivre. « Pour Timéo... Il vient d'une histoire d'un soir. Sa mère m'a appelée pour me dire que si je ne m'en occupais pas il finissait en orphelinat. J'ai refusé évidemment, il est mon fils et je voulais m'en occuper. C'est tout. » Il ne peut pas en dire plus, ses explications sont assez détaillés. Pour terminer il fait un petit sourire à sa sœur, pour s'excuser de la façon dont il lui a tout lâché.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptySam 16 Jan - 23:31

On doit parler
Iosef & Liloo
« Comme si vous aviez pris de mes nouvelles ! » Elle se mordit la langue pour ne pas répondre un enfoiré bien sentie. Et lui il en avait pris des nouvelles ? Ouais, il n'avait aucune raison d'en prendre sans doute. Mais quand même !? Non en fait non. Elle ne savait plus quoi penser. Elle ne savait même pas si elle devait rester ou se tirer en prenant les jambes à son cou. Elle culpabilisait, et elle se sentait devenir rouge. Elle était face à son petit frère, et elle ne pensait pas que cela arriverait un jour. Il faut dire que jamais ils n'avaient été du genre très proche. Quand ils étaient enfant il était souvent puni, bien qu'elle n'en saisissait pas toujours les raisons. Puis, elle comprit qu'elle était la préférée de leur père, et elle en profita pour le faire punir à sa place quand elle faisait des conneries. Une petite fille pourrie gâtée qui avait été mal éduquée. Ce n'était pas vraiment de la méchanceté. De l'égoïsme pur plutôt.
La dernière fois qu'elle avait vu son frère se faire punir avait fini de la calmer. Elle l'avait fait monter sur le toit pour regarder les étoiles. Sans arrière pensé, sans même pour être méchante. Mais ils avaient été pris, et le père des deux enfants avait décidé de ne punir que le frère. Coup de ceinture. Frappe dans la tronche. Elle ne s'en souvient pas vraiment. Mais elle se souvient avoir hurlé, avant de garder le silence. Et de ne plus avoir cherché à approcher son frère après cela. Pour ne plus jamais le faire punir à sa place. Alors quand il était parti elle avait pensé un temps que c'était mieux pour lui. Elle avait aussi quitté la maison pour ses études à Oxford et elle pensait simplement que son frère faisait sa vie de son côté. Ou qu'il était mort. Mais elle ne pensait pas qu'elle le reverrait et qu'il aurait une telle animosité dans la voix.

Ils arrivèrent près d'une voiture, elle l'avait suivi sans savoir que faire d'autres, et sans rien ajouter à ce qu'il avait eut à dire plus tôt. Elle se tourna simplement vers son fils qui était absolument craquant. Etrangement elle ne retrouva rien des traits asiatiques qui étaient pourtant si présente chez elle et sa mère. Etrange, mais les lois de l'ADN sont si étranges parfois. « T'inquiète pas pour cette histoire d'inceste. » Sa voix et comme désincarnée, et elle ne sait si c'est bon signe ou non. Elle se tourne vers lui sans comprendre ce qu'il voulait dire par là. Est-ce qu'il allait lui balancer une vacherie à la figure encore une fois ? « Nous ne sommes pas du même sang. » .
Coup de massue. Silence. Elle ouvrit la bouche mais aucun son ne pouvait en sortir. Elle ne comprenait pas ce qu'il disait. C'était incompréhensible. Ils ne sont pas du même sang ? Est-ce qu'il voulait dire qu'ils étaient... « J'ai été adopté. Nos parents voulaient un autre enfant, ils n'arrivaient pas à en avoir et... Enfin tu imagines la suite. » Non. Impossible. Il ne pouvait pas être adopté. Il était son frère. Il était son frère. IL ETAIT SON FRERE ! Genre son petit frère agaçant, au regard d'ange, et qui était juste insupportable. Il était son frère qui faisait des cauchemars, qui était parti en internat, qui se prenait des coups parce que ... parce que ... « Papa te voulait pas. » Dit-elle dans un murmure, comme si elle s'en rendait compte soudainement. Elle s'en rendait compte tout à coup. Tout ce qu'elle ne comprenait pas quand elle était enfant devenait bien plus explicite à présent. Et c'était atroce.
Choquée la jeune femme sentait son coeur s'emballait et cherchait son air pour tenter de se calmer. La crise de nerf ou d'angoisse n'était pas loin. Elle fit un pas en arrière, et mit une main sur sa poitrine, comme pour tenter de calmer par là les battements de son coeur.

Pendant ce temps-là, Iosef ouvrit la voiture et y déposa son fils qu'il attacha. « Pour Timéo... Il vient d'une histoire d'un soir. Sa mère m'a appelée pour me dire que si je ne m'en occupais pas il finissait en orphelinat. J'ai refusé évidemment, il est mon fils et je voulais m'en occuper. C'est tout. » Elle sentait les larmes commençaient à monter à ses yeux. La voix de son frère... ou plutôt de Iosef, puisqu'elle ne pouvait plus l'appeler son frère, s'était adoucie, mais cela ne changeait rien. Elle ressentait un profond mal être, comme si son monde se disloquait et qu'elle ne pouvait rien y faire. Elle n'avait plus qu'une idée en tête : fuir. « Je... Je ne t'embêterais plus. Je ... Désolée. Pour tout. Ton fils est... Il est magnifique. Vraiment. Je... » Elle inspira profondément, pour calmer l'angoisse qui montait en elle. Pourquoi ses parents n'avaient jamais rien dit ? Elle leur en voulut soudainement. Elle devait leur parler. Bande d'enflures.
Dans un geste presque désespéré, elle se jeta dans les bras de Iosef et le serra fort contre elle. « Désolée pour tout Io... Vraiment. » Dit-elle, comme pour enterrer la hache de guerre entre eux. Elle se recula, prit un morceau de papier dans son sac et le lui tendit. Sa carte de visite de psychologue universitaire. « Je sais pas si... Si un jour tu as besoin d'un truc. Appelle moi. Ou pas. Après tout tu ... Enfin, on a aucun lien quoi !? C'est complètement fou d'ailleurs... C'est... Tu méritais mieux comme famille. » Dit-elle avec toute la franchise dont elle était capable. « J'ai été la pire des soeurs hein ? » demanda-t-elle à travers ses larmes.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyJeu 21 Jan - 22:43

On doit parler
Iosef & Liloo
Il a bien conscience d’être agressif avec sa sœur et aussitôt qu'il lui lâche ça, il s'en veut et se mord la lèvre en guise de punition. Mais il ne peut pas s'en empêcher, il a tellement souffert à cause de sa famille et de sa sœur, qu'il est obligé de se protéger et d’être agressif lorsqu'il lui parle. C'est une réaction normale, d'auto-defense tout simplement. Iosef se calme aussitôt que son fils glisse dans ses bras. Son petit prince le calme d'un coup, avec son sourire magnifique et son regard émerveillé, il fait rire son père et lui montre que son passé est justement, le passé et que l'avenir est bien meilleur avec son fils à ses côtés. « Papa te voulait pas. » Lui dit-elle alors qu'il lui parle de son adoption. Il prend les mots de sa sœur comme des coups de poignard, chaque mot se plante dans son cœur avec une violence incroyable, aussitôt il baisse la tête et sent les larmes lui monter aux yeux. Il hoche la tête, se rendant compte que sa sœur a totalement raison. « Oui. Il ne me voulait pas. » Répond Iosef, comme une évidence, sa voix se perd dans une murmure alors qu'il prend conscience de tout cela. Son père ne voulait pas de lui et ne l'aimait pas. Il n'a été qu'un enfant adopté mais auquel finalement, on ne pouvait pas s'attacher car il n'avait pas leur sang. Il n'est qu'une roue de secours dont on c'est débarrassé dés qu'on a eu l'occasion. C'est douloureux. « Je... Je ne t'embêterais plus. Je ... Désolée. Pour tout. Ton fils est... Il est magnifique. Vraiment. Je... » « Merci... » Répond Iosef en relevant la tête et en reniflant. Il ne pleure pas mais il n'est pas loin en tout cas. Foutue sœur qui lui fait ressentir des émotions qu'il pensait enfouie à jamais. Finalement, sans qu'il ne la voit arriver, elle se jette à son cou alors qu'il la serre doucement contre lui. « Désolée pour tout Io... Vraiment. » Il la serre un peu plus fort, comme si il refusait qu'elle ne parte. Timéo, dans la voiture assis dans le siège bébé, regarde la scène en gazouillant. « Je sais pas si... Si un jour tu as besoin d'un truc. Appelle moi. Ou pas. Après tout tu ... Enfin, on a aucun lien quoi !? C'est complètement fou d'ailleurs... C'est... Tu méritais mieux comme famille. » Lui dit la belle en lui tendant une petite carte contenant son prénom et son numéro de téléphone.

Il prend la petite carte et la range dans la poche de son jean en s'éloignant un peu d'elle pour la laisser respirer. « J'ai été la pire des soeurs hein ? » Il rit un peu et hoche la tête de gauche à droite. « Tu... N'as pas tous les jours été facile. Mais disons comme tout enfant que tu as compris que tu pouvais faire des bêtises et que cela ne te retomberait pas dessus. Tu en as profité... C'est rien. » Lui répond Iosef d'un ton bien plus doux qu'au début de leur discussion. Il lui sourit et lui dépose un baiser sur le front, comme le ferait un frère. « Tu restes ma sœur Liloo. D'adoption du moins. Même si on ne se voyait pas énormément car j'étais souvent dans ma chambre... Sur les papiers tu l'es et les moments que nous avons passés ensemble ne peuvent pas s'effacer d'un coup de baguette. » Timéo tente d'attirer l'attention de son père en s'agitant dans la voiture. Iosef se tourne vers son fils et lui sourit. « Tu veux venir boire un verre à la maison ? On pourrait parler... J'aimerais savoir ce que tu deviens depuis tout ce temps. » Demande le professeur à la belle latine, presque suppliant. Voila plusieurs années qu'il ne l'a pas vue et que de toute façon, il n'avait pas son numéro pour prendre de ses nouvelles. Il aimerait savoir ce qu'elle devient et si elle va bien, si elle est heureuse dans sa vie et si elle fait des études. Il aimerait rattraper le temps perdu tout simplement. D'un coup, il oublie totalement le fait qu'il ai couché avec elle lors d'une nuit de folie, après tout c'est du passé et il n'y a rien de mal si elle n'est pas sa sœur. « Allez viens... » Rajoute Iosef sans lui laisser le choix, il se retourne et monte dans sa voiture afin d'attendre que sa sœur se décide.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyDim 24 Jan - 22:05

On doit parler
Iosef & Liloo
« Oui. Il ne me voulait pas. » Liloo n'avait pas pu s'en empêcher. Tout devenait limpide dans son esprit, quant bien même les conclusions qu'elle tirait étaient horribles. Toutes ces fois où Iosef avait été puni sans raison - ou alors pour des raisons qui échappaient complètement à la jeune femme. Tous les regards de travers, le dédain dont son père faisait preuve face à son fils. Et cette manière qu'avait sa mère de toujours glisser discrètement des bonbons ou des cadeaux pour Iosef, sans que son mari ne le voit. Iosef était sans doute le seul sujet de dispute entre ses parents, et aujourd'hui ils n'en parlaient plus. Comme s'il n'avait jamais existé. Il arrivait que sa mère lui demande des nouvelles mais c'était une chose assez rare. Et seulement lorsque son père était absent de la maison. Iosef avait simplement disparu, il n'était plus de la famille. Et elle découvrait à présent que pour son père Iosef n'en avait jamais fait parti. Il n'était tout simplement pas un Gonzales.

Liloo ressentait une vague si énorme de culpabilité qu'elle aurait pu en pleurer. Et pourtant elle n'était pas du genre à pleurer facilement. Il en fallait même beaucoup pour voir quelques larmes couler sur son beau visage. C'était bon pour les faibles et les émotifs de pleurer, elle elle était forte et elle n'était pas fragile. Sauf là. En présence de son frère, elle se sentait comme une merde. Elle avait été une soeur horrible, qui n'hésitez jamais à le faire punir à sa place pour des conneries de tout genre. La petite saloperie qui jouait les enfants sages. « Tu... N'as pas tous les jours été facile. Mais disons comme tout enfant que tu as compris que tu pouvais faire des bêtises et que cela ne te retomberait pas dessus. Tu en as profité... C'est rien. » Son ton à changer, et elle sent une boule dans sa gorge se serrer. C'est lui qui en avait souffert, et c'est elle qui pleurait comme une pauvre victime ? Mais elle était vraiment pourrie comme Soeur ! Alors elle se relève, quittant l'étreinte de son frère, et essuie une larme solitaire qui trahissait ses émotions. Elle doit être forte, après tout elle avait été une salope, mais elle avait changé. Elle avait espéré revoir son frère, elle l'avait cherché, lui avait envoyé des mails sur une adresse électronique qu'elle avait trouvé, de temps en temps. Mais ne recevant aucune réponse elle avait fini par abandonner. Elle avait fait sa vie, simplement. « Tu restes ma sœur Liloo. D'adoption du moins. Même si on ne se voyait pas énormément car j'étais souvent dans ma chambre... Sur les papiers tu l'es et les moments que nous avons passés ensemble ne peuvent pas s'effacer d'un coup de baguette. »   Dit-il après lui avait déposé un baiser sur le front. Elle sourit, et alors qu'il se tourne vers son fils elle sent un poids qui s'échappe de sa poitrine. Elle culpabilise, certes, mais moins. Un petit peu moins. Gênée par la situation ,elle ne trouve qu'une seule chose à dire. « Mais on peut baiser sans problème. » Elle se rend compte alors de la présence de l'enfant et fait de grands yeux de chouette. MERDE MERDE MERDE COMMENT TU PARLES LILOOO ?? Elle s'empourpre et semble commencer à paniquer. « Faire l'amour ! Faire l'amour ! » Commence-t-elle à répéter, comme pour effacer le terme argotique qu'elle vient d'employer. « Tu veux venir boire un verre à la maison ? On pourrait parler... J'aimerais savoir ce que tu deviens depuis tout ce temps. » « Je ... Ne voudrais pas abuser, ou te déranger. » Dit-elle, ne sachant si elle en a vraiment envie. Mais de toute façon son frère... Enfin Iosef était déjà parti pour faire le tour de la voiture et ouvrir sa portière. « Allez viens... » Elle n'a pas le choix, et avec tout ce qu'elle lui a fait subir, elle peut au moins faire ca.
Elle entre alors dans la voiture, et se laisse transporter par son frère adoptif. Elle reste silencieuse un temps avant de décider qu'il était temps d'être elle-même. Elle n'était plus l'adolescente stupide qu'elle avait été plus jeune. Aujourd'hui psychologue, elle mettait un point d'honneur à aider les autres du mieux qu'elle pouvait. Malgré son franc parlé et son sarcasme parfois cruel, elle restait assez bonne dans son domaine. « Tu es professeur du coup ici ? Ca fait peu de temps non ? » demanda-t-elle, décidant que le sujet ne devait pas être trop... dur. Ou dangereux. Ou gênant.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyMar 26 Jan - 0:34

On doit parler
Iosef & Liloo
Il y a quelques années qu'il c'est fait une raison. Son père ne le voulait pas, c'était une évidence pour toutes les personnes qui apprenaient qu'il tait un enfant issu de l’adoption. Ses parents l'ont sauvés, il peut les remercier pour cela. Iosef était enfant d'un mafieux puissant et nul doute qu'il aurait retrouvé l'enfant pour le tuer où en faire un mafieux à son tour. Si Iosef est en Angleterre aujourd'hui et qu'il est médecin, il peut remercier ses parents et surtout se mère d'avoir voulu un autre enfant. Mais c'est tout. Il ne peut pas les remercier pour autant chose. Aucun câlin sauf par sa mère parfois quand son père n'était pas là, quelques paquets de gâteaux et des bonbons. Des livres aussi lorsque son père ne le voyait pas aussi. Glissé sous la porte par s amère où la bonne, à l'abri des regards de cet homme qui détestait tant son enfant. Iosef comprend et pour cela, il refuse de revoir ses parents. Sa mère encore, il ne lui en veut pas. Elle était soumise à la violence et à la colère de son époux, mais son père... Il ne serait même pas triste si ce dernier partait. Il s'en moquerait, royalement. Ainsi il a tout de même appris à se construire seul et il n'a toujours put compter que sur lui même. Personne ne le soutenait et il se rend compte aujourd'hui qu'il en a souffert. Il aurait aimé avoir au moins quelqu'un. Mais ce n'était pas le cas, alors tant pis pour lui. Si au moins les relations s'arrangent avec sa sœur, alors ce sera toujours ça.

Il ne relève pas la phrase qu'elle lâche avant qu'il ne monte dans la voiture. Coucher ensemble... Avec sa sœur adoptive... De toute façon ils n'ont aucun lien de sang et on ne peut pas dire qu'ils étaient très proche lorsque Iosef était enfant. Ce n'est pas de l'inceste. Pas trop. Sans un bruit il monte dans la voiture alors que Liloo s'installe à ses côté. Il démarre et au début, le chemin se passe sans que l'un où l'autre n'ose dire un mot. Il réfléchit à ce qu'elle vient de lui dire. Pas qu'il n'aimerait pas mais tout de même, cela lui pose un cas de conscience. En revanche il semblerait que Liloo soit d'accord pour recommencer si il juge les mots qu'elle a lâchée avant de le suivre dans la voiture. Il sourit doucement et parle d'une petite voix sans la regarder. « Oui on pourra recommencer. Vu qu'on a aucun lien de sang. » Il n'en dit pas plus et se contente de fixer la route, gêné par les aveux qu'il vient de lui faire. « Tu es professeur du coup ici ? Ca fait peu de temps non ? » Il tourne un peu son visage vers elle et hoche la tête avec un sourire. « J'enseigne la cardiologie. » Il s'arrête et se demande si il doit poursuivre ses explications mais, décidant qu'après tout elle finira par voir le tremblement de sa main, il décide de tout lui expliquer. « J'étais chirurgien cardiaque. J'ai eu un accident de moto il y a deux ans et ma main a été prisé dans la moto. Je me suis abîmé la main. Je ne peux plus opérer mais je peux enseigner. Ça me plaît aussi. » Sourit Iosef, assez fier de sa reconversion finalement. « Depuis j'ai la main qui tremble, tu finiras par le voir de toute façon. » Déclare le professeur en jetant un coup d’œil au rétroviseur pour voir si son fils va bien. Le petit garçon regarde le paysage en mâchouillant un de ses jouets en plastique, d'un air distrais. « Et toi ? Tu es professeur où élève ? En quoi ? » Demande Iosef en apercevant non loin d'eux, l'immeuble de son appartement. Enfin il se gare, éteint le moteur de sa voiture et se tourne vers Liloo. « Tu viens ? » Il sort de sa voiture, cale son sac sur son dos et fait le tour afin de prendre son fils dans ses bras. Ce dernier s'accroche à son père en gazouillant. Iosef, accompagné de sa sœur adoptive, monte jusqu'à son appartement et déverrouillé la porte d'entrée avant de s'effacer pour laisser entrer Liloo. « Ce n'est pas super grand, mais c'est bien assez pour Timéo et moi. Quand il sera plus grand j'envisagerais de prendre une maison... » Déclare Iosef en ouvrant les volets de son appartement pour laisser entrer la lumière du jour. Il dépose son fils dans son parc, ce dernier attrape quelques jouets alors que son père se tourne vers la belle brune. « Tu veux boire quelque chose ? Jus de fruits, vodka, pèche ? » Demande Iosef en fouillant dans ses souvenirs pour tenter de se rappeler des goûts de sa sœur. « Et les amours ? Tu as quelqu'un ? Tu es célibataire ? » Lance le professeur en allant dans la cuisine pour sortir deux verres.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyJeu 4 Fév - 22:52

On doit parler
Iosef & Liloo
Est-ce qu'elle avait déjà vécu une relation plus étrange ? Sans doute pas non, mais il y a un début à tout apparemment. Elle regarde son frère... ou son ex-frère de biais, essayant de tout emmagasiner. Incapable d'accepter l'idée qu'il ne soit pas vraiment son frère, qu'ils ont couché ensemble, qu'il est en colère mais qu'il l'invite à venir chez lui. Tout cela en moins d'une heure. Elle qui pensait simplement venir, se faire jeter, et repartir sans demander son reste. Non pour être plus juste elle pensait ne même pas avoir le cran de venir voir Iosef. Mais elle se le devait à elle-même, et elle lui devait à lui aussi. Elle ne pouvait pas passer son temps à fuir son frère quant bien même leur relation avait toujours été compliquée. Et apparemment ce n'était pas prêt de s'arrêter là. « Oui on pourra recommencer. Vu qu'on a aucun lien de sang. » HAHA. Elle ne savait pas si elle devait entendre une pointe d'ironie ou une réelle invitation à recommencer. Elle ne savait pas même si elle serait capable de lui résister. Sans doute pas, car il avait été un de ses meilleurs coups d'un soir. Faut dire qu'il avait su la prendre comme il le fallait. Et il n'avait pas vraiment eut à s'en plaindre non plus.
Cela dit pour le moment tout cela était bien trop compliqué. Elle avait besoin de cloisonner, de rendre les choses plus simples, de les organiser dans sa tête. Et pour cela elle se concentra sur l'idée qu'il était avant tout son frère, et qu'il avait bien changé. Que cela faisait des années qu'ils ne s'étaient pas vus et qu'ils avaient un tas de choses à rattraper. Elle avait le sentiment de ne plus savoir qui il était. Ses yeux emplis d'une tristesse mélancolique la troublait. Fais de la poésie Liloo, si ca peut te faire sentir bien. « J'enseigne la cardiologie. » La cardiologie, un truc de malade ça. C'est genre la voie des bons élèves, ceux qui sont assez bon pour faire autre chose que la psychologie. Ou de la pharmacie. Il enseigne comme déchiqueter un coeur et le refaire. C'était... Un peu écoeurant, mais sans doute passionnant. Rien que l'idée d'un truc qui saigne risquait de faire vaciller la jeune femme alors elle se concentra sur autre chose. Tiens, sur les bras de Iosef... Ses bras forts... musclés... Putain. « J'étais chirurgien cardiaque. J'ai eu un accident de moto il y a deux ans et ma main a été prisé dans la moto. Je me suis abîmé la main. Je ne peux plus opérer mais je peux enseigner. Ça me plaît aussi. » Elle sentit son coeur se tordre à cette annonce. « Je suis désolée... » Dit-elle comme si cela allait changer quelque chose. Sans doute allait-il s'apercevoir qu'elle pouvait faire preuve de compassion quelque fois. Chose qu'elle ne faisait pas avant... Avant son arrivée à Oxford et sa rencontre avec des gens comme Sasha ou Yani. Eux l'avaient véritablement changée, c'était peu dire. « Depuis j'ai la main qui tremble, tu finiras par le voir de toute façon. » Elle posa son regard sur sa main, comme par réflexe. Réflexe stupide, sa main était stable.

Alors elle se reconcentra sur ses propres mains, décidant de ne plus le regarder pour le moment. Cette proximité, et sa voix chaleureuse étaient en train de ... de la faire mouiller. Voila. Parce qu'elle a été larguée, qu'elle a envie de sexe, et qu'elle est Liloo. Voila. « Et toi ? Tu es professeur où élève ? En quoi ? » Alors comment expliquer cela de manière simple ? Impossible. Elle sourit, et commença à faire craquer ses doigts en répondant. Mauvaise habitude, mais c'est une sorte de réflexe. « Je suis étudiante en dernière année de psychologie. Je termine ma thèse, et je suis aussi psychologue à temps partiel sur le campus. J'écris une thèse sur le fantasme de l'excès chez l'adolescent et le jeune adulte et ses répercutions dans le rôle social... mais c'est juste une excellente excuse pour me retrouver dans des soirées délirantes. » Dit-elle avec ironie, quoi qu'elle n'était pas si loin de la vérité en disant cela.

Ils arrivèrent finalement en bas d'un immeuble, et suivant son frère... ou ancien frère... Enfin elle sait pas. Elle arrive devant un petit appartement. Il ouvre, l'invite à entrer et elle découvre son univers. C'est petit, rond et chaleureux. Tout comme son fils qui gazouille dans ses bras alors que son père le met dans son parc. Il est trop beau. Vraiment trop beau. Le père... le fils... Les deux. « Ce n'est pas super grand, mais c'est bien assez pour Timéo et moi. Quand il sera plus grand j'envisagerais de prendre une maison... » Elle hausse les épaules. « Y a des ado qui vivent en appartement. Tant que vous êtes bien ici, t'encombre pas d'une maison immense pour vous deu.... »  elle s'arrêta et rougit, se rendant compte qu'elle partait du principe que son frère était seul. Il l'est peut être pas. Ou peut être que si. Enfin il ne semblait pas y avoir de petite amie, ou de femme dans le coin. Peut être qu'elle se trompe. Elle sait pas.
Elle est gênée, encore pour ne pas changer, et reste plantée au milieu de la pièce comme si soudainement elle ne savait plus quoi faire de son corps. « Tu veux boire quelque chose ? Jus de fruits, vodka, pèche ? » « Les trois ? » Répondit-elle au tac au tac. Mais finalement elle décide de suivre son frère dans la cuisine. « Une vodka-pêche bien. J'ai jamais gouté. Ca va me détendre. » Demanda-t-elle avec un sourire. « Et les amours ? Tu as quelqu'un ? Tu es célibataire ? » La question tomba soudainement et Liloo perdit son sourire. Comment expliquer que sa situation était plutôt merdique en ce moment ? Hum... terrible. Mais elle devait renouer des liens avec son frère. Alors elle décida de jouer carte sur table. « Mon fiancé vient de se tirer. Mariage arrangé, mais c'tait un bon pote. Je m'attendais pas à ce qu'il parte comme ça. Ca a été... un choc. Un putain de choc que je noie dans l'alcool depuis. Sinon je sors plus ou moins avec mon meilleur ami, ce qui encore plus troublant que de coucher avec mon frère finalement. Pour résumé ma vie amoureuse c'est le bordel et j'ai oublié la signification des mots en couple et célibataire . Je suis pas du genre qui fait les choses simplement... Et toi ? » Dit-elle d'une traite.
Mais finalement elle se sentit un peu bête, pas vraiment à sa place, et se mordit l'intérieur de la joue, et les lèvres, dans un geste de gêne « Mais tu es peut être fatigué par ta journée... si tu veux je peux te laisser ? Enfin... je sais pas... » 
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyVen 5 Fév - 22:59

On doit parler
Iosef & Liloo
« Je suis désolée... » Elle n'a pas à l'être. Elle n'était au courant de rien et il a fait en sorte que sa famille n'en sache rien pour lui, son accident et même la fin de ses études. Il a été tellement méticuleux qu'il pourrait être mort, sa sœur ne le saurait même pas. Il doit tenir ce don pour effacer les traces de son père, père biologique bien-sûr. Sa sœur n'a pas à s'excuser, elle n'en savait rien et elle n'est fautive de rien sauf d'avoir été, enfant, peut-être un peu dure avec lui mais après tout c'était il y a longtemps. Entre temps il est devenu un homme heureux, père d'un petit garçon magnifique et bon médecin malgré sa main qui tremble. Il n'est pas rare qu'on l'appelle pour lui demander des conseils en médecine, il tente d'aider dés qu'il peut même si il ne peut plus enfiler ses gants stériles et attraper un scalpel sans que sa main tremble un peu et sans que cela soit dangereux. Mais au moins il fait encore son boulot, c'est toujours ça et son fils lui permet de ne pas sombrer surtout. Timéo est sa lumière, il le sait il en a conscience, sans lui il ne serait plus là depuis longtemps. Son accident l'a totalement détruis, lui qui avait des rêves alors, pendant un an il est tombé en dépression. En plus de ça il n'avait personne à qui parler, aucune famille mais ça c'était sa faute. Il a fait en sorte d'éloigner tout le monde il ne pouvait s'en prendre qu'à lui même si il se retrouvait tout seul. L'arrivée de Timéo, ce coup de fil lui apprenant qu'il était père, c'était ce qu'il attendait pour se raccrocher un minimum à cette vie qui pourtant ne l'attirait pas. Avec un sourire il dépose son fils dans son parc et pose sur lui un regard tendre et plein d'amour. Un jour il lui dire qu'il a été son phare alors qu'il dérivait, un jour. Lorsqu'il sera en âge de comprendre l’importance des personnes qu'on aime.

Finalement elle lui parle de ses fonctions au sein d'Oxford, il comprend seulement que sa sœur est quelqu'un qui ne doit jamais s'arrêter et qui doit être constamment avec un calepin dans les mains pour noter tel où telle chose. C'est honorable, Liloo a toujours été bosseuse malgré ce qu'elle veut bien dire à qui veut l'entendre. Si elle fait ça c'est que cela doit lui plaire où du moins un peu, c'est ce qu'il lui souhaite de toute façon. Avec les parents qu'ils ont, faire ce qui leur plaisait était difficile d’avance. Pas pour elle peut-être, seulement pour lui alors. Enfin il lui propose de boire quelque chose et elle accepte une vodka-pèche, un mélange étonnant qu'il n'a jamais goûté lui non plus. Alors il sort deux verres, sort la bouteille de vodka et verse une bonne dose dans les verres. Il complète le tout d'un jus de pèche et de deux glaçons dans chaque verre, cela les rafraîchira. Enfin il attrape un biberon, une boite de céréales en poudre pour bébé, une bouteille d'eau pour bébé également et prépare un biberon chocolaté à son fils qui, lorsqu'il attrape le biberon, pousse un petit son pour exprimer sa joie. Iosef revient dans la cuisine pour attraper les deux verres et rejoint sa sœur dans le salon avant de lui donner son verre, bien frais à présent. « Mon fiancé vient de se tirer. Mariage arrangé, mais c'était un bon pote. Je m'attendais pas à ce qu'il parte comme ça. Ca a été... un choc. Un putain de choc que je noie dans l'alcool depuis. Sinon je sors plus ou moins avec mon meilleur ami, ce qui encore plus troublant que de coucher avec mon frère finalement. Pour résumé ma vie amoureuse c'est le bordel et j'ai oublié la signification des mots en couple et célibataire . Je suis pas du genre qui fait les choses simplement... Et toi ? » Il écoute sa sœur déblatérer ce flot incessant de parole, sans l'interrompre car il sent au fond de lui que parler lui fait du bien. Lorsqu'elle termine, il prend une gorgée de son verre sans la lâcher des yeux. Le mélange est bon, frais et sucré et relevé avec la vodka. Il retentera tiens ! « Je... Enfin je suis célibataire. » Déclare Iosef après un temps d'arrêt. Finalement sa sœur lui demande si il ne voudrait pas avoir la paix, sans doute fatigué après sa journée. Aussitôt il pose son verre sur la table basse et remarque que Liloo se mord les lèvres dans un signe de stress. « Non... T'es pas obligée. Enfin... Je sais la situation est étrange. En une journée tu viens d'apprendre que tu avais couché avec ton frère, mais qui n'est pas vraiment ton frère car adopté... C'est vraiment étrange comme situation n'est-ce pas ? » Demande Iosef en récupérant son fils qui a terminé son biberon, afin de lui faire faire son rot maintenant. Doucement il se lève et commence à marcher dans l'appartement en tapant dans le dos de son enfant, délicatement. « Pour être honnête moi aussi je dirais pas non à l'idée de recommencer. On a aucun lien de sang, on c'est pas vu depuis des années... Enfin on s'en fou non ? Puis autant t'avouer que tu m'as permis de me changer les idées, chose que je n'avais pas fait depuis... Des mois et des mois. » Avoue Iosef sans honte. « J'ai toujours été le plus calme des deux. Et ça n'a pas changé. »
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptySam 6 Fév - 18:07

On doit parler
Iosef & Liloo
Pourquoi est-ce qu'elle se met à déblatérer sa vie à son frère (ou ancien frère) de la sorte ? Sans aucune gêne, parlant avec son éternel ton détaché, comme si rien ne pouvait l'atteindre, elle se sent terriblement conne une fois qu'elle a terminé son laïus. Ancien frère, note à moi-même, trouver un terme plus cool pour décrire Iosef . A moins qu'elle le nomme Iosef tout simplement. Mais cela ne lui dit pas vraiment ce que représente leur relation. Est-ce qu'ils même une relation ? Etant donné qu'elle se trouve chez lui, qu'ils ont couché ensemble, et qu'ils ont quand même un lourd passé tous les deux, il serait délicat de dire le contraire, ou même de le prétendre tout simplement. Mais comme elle est incapable de savoir ce qu'elle peut attendre ou non de la part de son frère, elle ne sait pas comment le décrire : frère, amant, copain, connaissance, ennemi... Tout cela s'embrouille dans sa tête, et elle se retrouve à ne pas savoir si elle doit tout lui dire, si elle doit la fermer, ou fuir. Elle a besoin d'un verre. Et elle prend son mélange vodka-pêche pour le gouter et tenter de trouver le moyen de se détendre. « Je... Enfin je suis célibataire. » C'est au moins cela, elle n'a pas à craindre de voir la copine de son frère débarquer pour lui exploser la tête. Quoi que contre une force de la nature complètement barge comme Liloo faut avoir le cran de l'attaquer. La jeune femme s'était battue plus d'une fois. Et s'était retrouvée à l'hôpital plus d'une fois aussi. Une vraie malade dans sa tête. « C'est cool. Au moins tu es un mec bien qui ne trompe pas sa copine. »  Dit-elle comme si c'était un compliment. Pas comme elle. Elle, en couchant avec son frère, c'est son fiancé et son pseudo-petit-ami qu'elle avait trompé. Et le pire, c'est qu'elle s'en foutait complètement. La culpabilité c'était bien pour les autres, voila tout.

Gênée, elle but encore une gorgée de son verre (parce que finalement c'était pas trop dégueu) et se demanda si elle ne devait pas plutôt se tirer d'ici, le laisser se reposer, et peut être retrouvé une vie normale ? Il lui répondit après avoir été prendre son fils dans ses bras pour lui faire faire son rot. Il venait de terminer un grand biberon de chocolat. « Non... T'es pas obligée. Enfin... Je sais la situation est étrange. En une journée tu viens d'apprendre que tu avais couché avec ton frère, mais qui n'est pas vraiment ton frère car adopté... C'est vraiment étrange comme situation n'est-ce pas ? » Elle réfléchit un instant et finit par hausser les épaules. « Tu sais pour une fille qui s'est déjà retrouvée à l'autre bout du pays avec des blacks et un dauphin tatoué sur le cul, sans se souvenir de rien, c'est presque une journée comme les autres. » Dit-elle sur le ton de la plaisanterie. Ce n'était pas si loin de la vérité cela dit. Liloo se retrouvait toujours dans des situations de merde, alors une de plus ou de moins... Mais elle devait avouer que celle-ci était particulièrement merdique en effet. Et elle nota qu'elle devrait appeler ses parents sitôt sortie de chez Iosef.
Finalement, après quelques instants à attendre que son neveu (ou pas) sorte son rot, Iosef reprit la parole. Liloo en profita pour finir son verre. « Pour être honnête moi aussi je dirais pas non à l'idée de recommencer. On a aucun lien de sang, on c'est pas vu depuis des années... Enfin on s'en fou non ? Puis autant t'avouer que tu m'as permis de me changer les idées, chose que je n'avais pas fait depuis... Des mois et des mois. » Elle lui a changé les idées. Etrangement dans la bouche de Iosef cela sonnait presque comme un compliment. Elle resta à l'observer, assez moqueuse mais aussi flattée. « J'ai toujours été le plus calme des deux. Et ça n'a pas changé. » Elle haussa les épaules et se leva pour venir près de lui. « J'ai le droit de prendre mon neveu dans mes bras maintenant ? ALLLLEEEEEEEEEEEEEEER STEUPLAIT ?! On est assez intime pour que je puisse me le permettre tu crois pas ? »  Demanda-t-elle en lui faisant des grands yeux de chat.
Finalement elle lui sourit, et le regarda de bas en haut, impudiquement. « Nous verrons si l'occasion se présente à nouveau. Je préfère laisser le destin décider pour nous ! C'est plus marrant. Pis je prévois jamais rien, parce qu'à chaque fois ça foire. » Dit-elle en se mettant à rire, comme si elle se souvenait de toutes les fois où elle s'était retrouvée à regretter d'avoir tirer des plans sur la comète. « J'me suis assagie je trouve cela dit. Je suis moins conne, un peu plus sociale, et surtout j'ai arrêté de faire chier les autres. Enfin de... Tu sais. Les rendre coupable de mes conneries. J'ai même un casier judiciaire ! »  Dit-elle comme si cela était une véritable fierté pour elle. Elle gardait ce sourire sur les lèvres, regardant le petit bout de chou qui se tenait à son père mais posait un regard assez intéressait vers elle (et ses mèches de cheveux roses). « Faut dire que les parents se balancent de ce que je peux faire de ma vie. Tant que je me trouve un mari digne de ce nom et du niveau social qu'ils convoitent... Tu sais, j'suis en train de me dire que tu ... N'aurais pas la vie que tu as aujourd'hui s'ils étaient restés près de toi. Tu as bien fait de te tirer. Mais je suis contente de te retrouver. De vous retrouver. » Dit-elle en les regardant tous les deux. Elle sentait une boule d'émotions aller et venir dans sa gorge, ce qui n'était pas une habitude chez elle. Elle déglutit et inspira profondément.

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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyDim 7 Fév - 1:01

On doit parler
Iosef & Liloo
« C'est cool. Au moins tu es un mec bien qui ne trompe pas sa copine. » C'est sur. Il n'a pas eu de copine depuis l'université, la dernière s’appelait Vanessa et était dans la même classe que lui. C'était une fille jolie et intelligente, ils allaient bien ensemble mais Iosef ne l'aimait pas. Il était elle pour le fun, ils formaient un couple très beau et allaient superbement bien ensemble. Lui, le major de sa promotion et elle, seconde de leur classe et élève brillante en médecine aussi. Autant dire qu'ils étaient ensemble plus pas intérêt qu'autre chose, ils avaient tendance à attirer l'attention lorsqu'ils étaient ensemble. Tant ils étaient beaux et classe ensemble. Mais ce n'est pas allé plus loin, à la fin de sa dernière année ils ce sont séparés d'un commun accord, reconnaissant que ni l'un ni l'autre n'avait de sentiment et que de toute façon ils ne se manqueraient sûrement pas. D'après ce qu'il sait elle est chef de service dans un hôpital et ne va pas tarder à se marier. Il est heureux pour elle, parfois il l'envie un peu. Elle peut opérer alors que lui a du laisser tomber son rêve. Mais il a gagné autre chose depuis ça, c'est une chanson à son goût. « Tu sais pour une fille qui s'est déjà retrouvée à l'autre bout du pays avec des blacks et un dauphin tatoué sur le cul, sans se souvenir de rien, c'est presque une journée comme les autres. » Ok trop d'information pour lui. Il note dans son esprit de lui demander des explications sur ce qu'elle vient de dire, mais pas tout de suite, dans quelques temps lorsqu'ils auront retrouvés une complicité qu'ils n'avaient plus à cause des années. Il sourit à l'image d'un dauphin sur les fesses de Liloo. Il faut avouer qu'il n'a pas vraiment eu le temps de le voir le soir où ils ont couchés ensemble, la lumière était trop basse puis... Il avait l'esprit ailleurs.

Pour l'heure alors qu'il fait faire le rot à son fils, Liloo se lève et lui demande de prendre le petit dans ses bras. Avec un regard digne du chat Potté et un chantage à peine dissimulé, il termine par accepter et doucement, lui donne Timéo qui gazouille à l'idée d'être balancé dans d'autres bras encore. « Il adore les bras... » Murmure Iosef d'un air un peu dépité, à son grand désespoir son fils adore être porté. Et avec sa bouille adorable les femmes chargées de le surveiller n'ont pas la force de lui refuser ce privilège. Résultat, son fils adore être porté. Il ne pleure pas vraiment pour ça mais dés qu'il peut faire un petit regard mouillé pour qu'on le porte, il ne refuse pas. Un comédien, déjà ! Liloo rajoute qu'elle préfère laisser le destin faire pour eux, refusant de prévoir car tout foire à chaque fois. « Ha ça ! J'ai quelques souvenirs où nos plans ont lamentablement foirés oui ! » Répond Iosef en prenant une autre gorgée de son cocktail. Sa sœur adoptive, dés qu'elle prévoit quelque chose, ça finit toujours mal et souvent dans des situations horribles pour elle et pour les autres même. Ils n'étaient pas proche lorsqu'il était enfant mais ils n'étaient pas non plus l'un contre l'autre. Il se souvient de quelques bonnes discussions où ils rigolaient à l'insu des parents et surtout de leur père, ils ont passés des bons moments lorsque l'un et l'autre mettait de côté la rancune et la colère du à des mauvais traitements et des privilèges accordé. « J'me suis assagie je trouve cela dit. Je suis moins conne, un peu plus sociale, et surtout j'ai arrêté de faire chier les autres. Enfin de... Tu sais. Les rendre coupable de mes conneries. J'ai même un casier judiciaire ! » Il pousse un faux sifflement admiratif, se moquant ouvertement de sa sœur qui joue au gangster. « Ba dis donc, je pensais pas que tu étais recherchée par Interpol ! » Remarque Iosef en riant un peu. « C'est bien. Je suis content pour toi... » Rajoute le professeur avec cette fois-ci, un sourire sincère. Il sent au fond de lui, que des cendres de sa relation chaotique avec Liloo, pourrait naître une vraie et belle complicité. A défaut d'être frère et sœur, ils pourraient devenir amis après tout. « Faut dire que les parents se balancent de ce que je peux faire de ma vie. Tant que je me trouve un mari digne de ce nom et du niveau social qu'ils convoitent... Tu sais, j'suis en train de me dire que tu ... N'aurais pas la vie que tu as aujourd'hui s'ils étaient restés près de toi. Tu as bien fait de te tirer. Mais je suis contente de te retrouver. De vous retrouver. » Il lui sourit, heureux de savoir qu'elle est contente également d'être en présence de son frère. « Je ne l'aurais pas lui. Alors j'aurais tout raté si il n'avait pas été là. » Ajoute Iosef en câlinant la joue de son fils qui, maintenant, s'amuse avec une des mèches roses de Liloo. « Les parents ont toujours dans l'idée de faire de toi une bonne épouse ? C'est... Écœurant. T'es qu'un bout de viande qui peut leur apporter un titre, rien d'autre. Et si tu tombes sur un mec violent où quoi ? Tu ne pourras rien dire juste parce qu'il a des titres ? » Demande Iosef, agacé à l'idée que Liloo ne soit qu'une monnaie, un motif d'échange entre deux familles bourrées de fric qui devront caser leur petit dernier avec une fille jolie et pas bête.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyDim 7 Fév - 19:47

On doit parler
Iosef & Liloo
« Il adore les bras... » Elle sourit, alors que le petit bout vient dans les bras de sa tante, ou ex-tante puisqu'elle ne l'est pas vraiment, et gazouille en prenant directement entre ses petits doigts une mèche de cheveux blondes. Elle le tient contre elle, adorant l'odeur de bébé qui émane de cette petite chose rose. Il est adorable, tout mignon, et tout petit. Elle le regarde, attendrie, n'osant croire qu'une chose si fragile puisse être dans ses bras. Liloo n'est pas une mère en devenir. Elle n'a pas spécialement envie d'avoir un enfant. Elle n'est même pas prête à avoir un père pour son enfant, et elle ne pense pas être prête à cela un jour. Elle tient à sa liberté, à l'idée de pouvoir se tirer aux quatre coins du monde du jour au lendemain. Mais alors qu'elle tient son neveu dans ses bras elle se dit que peut être elle se plante. Ca serait quand même cool d'avoir un bébé à elle.
Voila qu'elle devient une vraie fille. Qu'est-ce qui lui prend ? La conversation avec son frère continue alors qu'elle marche de long en large, en tenant le gamin contre elle. « Ha ça ! J'ai quelques souvenirs où nos plans ont lamentablement foirés oui ! » Pire que cela encore. Elle se met à rire en se souvenir de tous les fois où ils avaient prévus de sortir en soirée, ou de monter sur le toit pour voir les étoiles, en cachette des parents, et où ils s'étaient fait prendre. Parce que ca partait en couille. Tout le temps. « J'suis pas douée mais au moins j'en ai conscience. » Dit-elle avec une sorte de fierté dans la voix. Elle finit par parler un peu d'elle, du fait qu'elle était une rebelle et tout cela. Elle se sentait fière d'assumée ses actes. Elle faisait toujours des conneries d'adolescente, mais au moins maintenant elle assumait ses actes. C'était une belle avancée pour la jeune femme. N'est-ce pas ? N'est-ce pas ? « Ba dis donc, je pensais pas que tu étais recherchée par Interpol ! » Elle lève les yeux au ciel, et utilise une de ses mains pour lui faire un jolie doigt alors que son fils devient de plus en plus lourd dans les bras de la jeune femme. Elle sent qu'il tient toujours une mèche de cheveux contre lui mais que ses yeux se ferment doucement. « C'est bien. Je suis content pour toi... » Elle sourit à Iosef, assez fière finalement.

Jusqu'à ce qu'elle parle des parents, avouant qu'elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait de sa vie, ils s'en tapaient royalement. Elle était ravie de voir que de son côté Iosef avait fait sa vie, et qu'il avait un magnifique petit garçon, qu'il semblait aller bien, être heureux. Ou en tout cas qu'il pouvait être fier de l'homme qu'il était. Elle, elle vivait sur l'argent de papa et maman, et elle pouvait même se droguer, et baiser tout Oxford, ils s'en tapaient. Tant qu'elle se mariait. Vive sa vie. « Je ne l'aurais pas lui. Alors j'aurais tout raté si il n'avait pas été là. » Elle aquiesça, remarquant que le petit garçon est parfaite endormi à partir de ce moment, elle le ramène à son frère qui le récupère. Avant de se tourner vers elle, le regard plus dur. Qu'est-ce qu'elle a dit ? « Les parents ont toujours dans l'idée de faire de toi une bonne épouse ? C'est... Écœurant. T'es qu'un bout de viande qui peut leur apporter un titre, rien d'autre. Et si tu tombes sur un mec violent où quoi ? Tu ne pourras rien dire juste parce qu'il a des titres ? » Elle hausse les épaules. « Je sais me défendre, il est pas né le mec qui me la fera fermer. » Dit-elle avec un ton arrogant et sûre d'elle. Elle n'y a pas pensé, elle l'avoue. Elle ne pensait pas se retrouver sur un taré. Ce genre de chose ca arrive toujours aux autres n'est-ce pas ? « C'est pour ça que j'aurai aimé épousé Maxime. Il était mon parrain quand je suis arrivée à Oxford en littérature. Et il est gay. Ca lui aurait permis d'être avec qui il voulait, et moi j'aurai donné aux parents le titre qu'ils voulaient. Mais il s'est tiré. Retour à la case départ. » Dit-elle en soupirant.
Il lui fait signe qu'il va coucher son fils, et elle le suit en sautillant, découvrant en même son appartement. Il le dépose dans son berceau, avant de quitter la chambre en en fermant la porte. Ils sont seuls, tous les deux. Elle retourne vers le salon, et finalement, elle se tourne vers lui, en souriant. Un sourire bien plus... joueur. « Et puis tu sais, c'est pas si mal d'être un morceau de viande... Ca me permet d'être assez libre de mes mouvements... » Dit-elle en s'asseyant sur la table de la salle à manger, écartant les jambes, en haussant un sourcil. « Sans avoir à rendre de compte... »
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyMer 10 Fév - 22:37

On doit parler
Iosef & Liloo
« J'suis pas douée mais au moins j'en ai conscience. » Il sourit, incapable de faire autre chose. Peut-être qu'avec le temps il pourra être ami avec cette fille qui, il y a encore quelques heures, était sa sœur adoptive. Toute relation avec ses parents est désormais terminé mais avec sa sœur adoptive, peut-être que les choses peuvent s'arranger. Ils ne sont plus des enfants, ils peuvent mettre cette ancienne colère de côté pour avancer ensemble et enfin, se comporter comme des amis. Malgré tout ils ce sont toujours bien entendu l'un avec l'autre et pire encore depuis qu'ils ont couchés ensemble, il se rend compte qu'ils ont des points communs et que sexuellement... Ils pourraient être sur la même longueur d'onde. Il est tiré de ses pensées par Timéo qui baille et tombe de fatigue. Iosef prend alors son fils dans ses bras et part le coucher. D'abord il le change, lui refait une toiette à l'aide de lingettes et lui passe un beau pyjama propre. Timéo dort quasiment quand son père le pose dans son lit et le couvre d'un tout petit plaid bien chaud. Pas qu'il fasse froid dans la pièce mais un bébé a toujours un peu froid lorsque la température corporelle tombe à cause du sommeil. Enfin il allume une veilleuse et après être sur que Timéo dort doucement, il rejoint l'autre pièce accompagné de Liloo qui au final, ne l'a pas quitté. Elle l'a regardée fait dans chacun de ses gestes, le faisant parfois rire et surtout, faisant rire le bébé qui s'amusait à attraper ses mèches blondes. En revenant dans la pièce, il repense à ce qu'elle lui disait sur Maxime et sur le fait que le mariage aurait arrangé l'un comme l'autre.

« Au pire, tu restes libre et ce n'est pas plus mal. » Répond Iosef en haussant les épaules. Même si ce mariage n'aurait pas été si difficile, il aurait été arrangé et rien que cette idée dégoûte Iosef sans qu'il ne puisse s'en empêcher. « Et puis tu sais, c'est pas si mal d'être un morceau de viande... Ca me permet d'être assez libre de mes mouvements... » Il pose ses yeux sur Liloo qui le regarde d'une façon étrange, entre le jeux et la drague. C'est clair et net que cette simple discussion va finalement très mal partir si il en juge par la flamme brûlante dans le regarde de la belle brune. Il ne dit rien et la regarde s'asseoir sur la table et écarter les jambes d'une manière sensuelle et provocante. En se mordant la lèvre il laisse ses yeux glisser le long de la robe de la belle, se poser sur ses cuisses et surtout, sur son string apparemment trempe. Un gémissement franchit ses lèvres alors qu'il se recule pour attraper son sac et fouiller dedans pendant une seconde, juste le temps de trouver un petit emballage carré. Là il se retourne alors qu'elle parle encore. « Sans avoir à rendre de compte... » Il s'approche d'elle et doucement, sans lui laisser le temps de lutter, pose ses lèvres sur sa bouche pour un baiser bouillant et plein d'envie. Là, il pose ses mains sur ses hanches pour faire remonter sa robe le long de son corps et enfin, la lui enlever dans un geste ample. « Alors, plus de cas de conscience... ? » Murmure Iosef en riant un peu, tout en embrassant le cou, le haut de sa poitrine et son ventre doucement. Il glisse une de ses mains entre ses cuisses et, tout en soupirant d'envie, exerce une pression sur son sexe déjà trempe. Là, il commence un délicat mouvement à travers son sous-vêtement, juste pour lui donner envie.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptyJeu 11 Fév - 22:18

On doit parler
Iosef & Liloo
Sa pire n'a plus aucun sens, plus aucune ligne de conduite, et plus aucune morale. Qu'est-ce qui est bien et mal finalement ? Elle devait faire un mariage arrangé, ce n'était pas spécialement bien d'un point de vue morale. Mais en même temps que son fiancé se soit tiré ce n'était pas bien non plus. Elle couchait à droite et à gauche ce n'était pas Bien, mais elle ne faisait de mal à personne. Elle avait couché avec Iosef, et pensait que c'était Mal parce qu'il était son frère. Mais s'il n'était pas son frère, alors qu'y avait-il de mal à cela. Elle ne distinguait plus les notions de bien et de mal. Elle n'avait plus qu'une chose pour dicter sa conduite : l'envie.
L'envie c'est ce qui tiraille votre corps, et risque de vous rendre fou. C'est ce qui n'est pas vitale mais si important à la fois. L'envie est un mensonge, divin et délicat. C'est une manipulatrice de talent qui pourrait vous faire gouter à l'obsession. L'envie est une salope, avec des airs de vierges effarouchées. L'envie est mal à bien des égards, mais elle s'en tape. Liloo n'a plus que l'envie aujourd'hui et alors qu'elle regarde Iosef elle sait pertinemment quel genre d'envie nait dans ses reins.

Ils ont énormément discuter, et elle a découvert des choses qui l'a déstabilise. Et comme bien souvent, quand Liloo commence à angoisser, à ne plus comprendre ce qui l'entoure, elle réagit d'une seule manière : le sexe. Reprendre le contrôle ou perdre complètement la face, et laisser son corps exploser. Le sexe est ce qu'elle a trouvé de mieux pour se sentir vivante, pour avoir une raison de continuer à avancer. Le sexe, sans lendemain, sans engagement. Du plaisir à l'état brut, à l'état pure. Alors qu'elle discute avec Iosef, ouvrant des blessures qu'elle ne pensait même pas avoir, elle sent ce besoin de le sentir contre elle. Lui ou un autre, qu'importe. Mais avec lui le sexe est terriblement bon. Avec lui elle se sent incroyablement désirable, et désirée. Alors pourquoi s'en priver ? Qu'y avait-il de mal à cela ? « Au pire, tu restes libre et ce n'est pas plus mal. » Libre. Oui. Elle restait libre.

Libre de ses mouvements. Libre de ses envies, et de ses actes. Elle pouvait bien faire ce qu'elle voulait, elle se fichait des conséquences. Alors, elle s'assit sur la table de la cuisine, et ouvrit ses cuisses pour l'inviter vers elle. Fiévreuse déjà. Elle l'attire vers elle, et il ne se fait pas prier pour venir la rejoindre, et l'embrasser avec avidité. « Alors, plus de cas de conscience... ? » Dit-il en lâchant ses lèvres pour venir picorer son cou. Elle se laisse faire, laissant sans tête aller en arrière, un gémissement lui échappant. « J'emmerde le Bien et la morale. » Répondit-elle alors qu'elle se laisse aller complètement en arrière, le corps arqué sous les baisers de son amant. Il vient lui ôter sa robe, et vient embrasser son corps, passant sa main dans son string, pour découvrir son intimité déjà humide. Trempée pour être exacte.

Elle se laisse faire, la main experte de Iosef la rendant folle avant qu'elle ne relève d'un coup et vienne l'embrasser passionnément. Elle laisse ses mains se perdre sous son t-shirt qu'elle lui enlève, avant de se laisser glisser de la table pour venir s'agenouiller devant son pantalon, qu'elle lui ôte aussi. D'un geste ample, expert. Combien de fois a-t-elle fait cela ? A combien d'hommes ? Un de plus ce soir, alors qu'elle prend son sexe entre ses lèvres pour le gouter. Le plaisir en premier lieu. Le leur, le sien, celui de son amant. Plaisir partagé, plaisir fiévreux, qui la rend trempe. Elle ne peut pas attendre, pas longtemps. Elle se relève, se tourne et lui offre une vision délectable. « Si tu es en accord avec ta conscience, viens me prendre. » exige-t-elle avec un sourire carnassier.
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MessageSujet: Re: [HOT] On doit parler. (ioloo)   [HOT] On doit parler. (ioloo) EmptySam 13 Fév - 2:28

On doit parler
Iosef & Liloo
Il ne pense plus, il agit. Complètement dicté par ses désirs et ses envies, il se laisse aller contre cette femme qui, il y a trois jours, il ne pensait pas revoir. Pour beaucoup cette relation serait horrible étant donné qu'ils ont tout de même grandi ensemble, mais il s'en moque complètement. Elle l'excite, il la veut plus que jamais. Voila une bonne année qu'il n'a pas savouré le plaisir d'être avec une femme où même un homme, il ne sait plus ce que c'était de sentir cette chaleur et cette douceur sous ses mains. Il n'arrive pas à la repousser alors qu'elle le regarde d'une façon si sensuelle et si aguicheuse, elle a envie de lui et il ne peut pas lutter. Homme faible dicté par ses désirs, il s'avance vers elle et l'embrasse en lui transmettant toute son envie d'un seul baiser. Elle se laisse aller alors qu'il cajole son corps et le découvre d'une façon bien plus précise. Dans cette boite lorsqu'ils ce sont accordés un moment de sexe, la lumière était tamisée et il n'a pas pu savourer ce beau corps sous ses mains. Finalement il la découvre bien plus belle et bien mieux faite qu'il ne l'aurait pensé. Alors il embrasse son corps, sa poitrine tout en lui ôtant sa robe qui devient gênant pour son regard gourmand. « J'emmerde le Bien et la morale. » Il rit doucement en attrapant un de ses seins dans sa bouche pour le cajoler. Lui aussi, elle pourrait le repousser qu'il ne serait pas capable de lui obéir tant il a envie d'elle actuellement. Finalement ils échangent les rôles et elle vient lui ôter son tee-shirt, dévoilant sa musculature fine et bien dessinée. Elle s'agenouille devant lui et ouvre son pantalon, il l'aide à l'enlever alors qu'elle prend son membre pour le goûter. Il ferme les yeux et laisse sa tête aller en arrière sous ce plaisir chaud qui glisse en lui. Pendant plusieurs secondes il la laisse faire avant qu'elle ne se décide à se lever, nue et très belle sous ses yeux. « Si tu es en accord avec ta conscience, viens me prendre. » Il ne lui faut qu'une seconde avant de trouver dans le tiroir de son entrée, des préservatifs. Il en enfile un et s'approche d'elle, l'emmenant jusqu'au canapé pour s'allonger au dessus d'elle, se glissant entre ses cuisses. Il entre en elle doucement mais fermement, guettant sa réaction pour savoir si il lui fait mal. Il bouge en elle, plus vite, plus fort en se tenant au canapé comme il peut pour pas s’effondrer sur elle. C'est bon, c'est délicieux. Pire encore qu'il ne pourrait le penser. Elle ferme les yeux et se tend, emportée par ses envies alors qu'elle vient au bout de plusieurs minutes, il la rejoint sans attendre. Ils s'accordent un moment pour souffler avant qu'elle ne se lève, se rhabille et avec un sourire mutin, lui dépose un smack sur les lèvres. « A la prochaine... » Murmure Iosef, toujours nu sur son canapé, beau comme un dieu. Il la regarde partir, ses jolies petites fesses ondulant loin de son appartement.
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