Rosalina O. Zitelli STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 08/06/2016
☆ potins balancés : 220
 |  Sujet: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 12:20 | |
| Rosalina O. Zitelli
Le dessin exprime des sentiments plus forts que les mots. 
identification complète Rosalina Ornella Zitelli. Mais je préfère Rosa, juste Rosa. âge 24 ans et toutes mes dents. lieu/date de naissance Le 25 avril 1992, jour de fête nationale, à Florence, en Italie. études suivies et année Double cursus Arts Plastiques et Histoire de l'art, cinquième annéejobChargée d'accueil au Sheldonian Theatre et quelques fois, je vends certaines de mes œuvres. orientation sexuelle Bisexuelle. statut Célibataire. statut social £ (#lapauvreté). caractèreAmusante – Artiste – Attentionnée - Bavarde - Courageuse – Créative – Cultivée – Curieuse – Douce – Énergique – Excentrique – Extraverti – Fêtarde – Folle – Gentille – Gourmande – Impatiente – Impulsive – Indépendante – Joueuse – Optimiste – Passionnée – Rêveuse. groupe Oxford's Students. avatar Chloé Norgaard.
Welcome to the jungle
 Dès que j'ai su tenir un crayon, j'ai commencé à dessiner. Comme tout enfant, au départ ça ne ressemblait à rien. Enfin il fallait avoir beaucoup d'imagination. Lorsque j'avais terminé un de ses dessins, ma mère le complétait et le rendait magnifique.
Je suis fille unique, étant moi-même un miracle pour mes parents. Mes amis étaient comme mes frères et sœurs.
J'adore me promener la nuit, tout est plus beau la nuit. On voit tellement plus sans l'influence du soleil. La nuit, tout reprend sa vraie nature.
J'ai plusieurs tatouages sur le corps. Une rose sur l'omoplate, les quatre couleurs d'un jeu de carte sur le poignet, un crayon sur mon majeur gauche et d'autres.
Je suis une grande fan de films d'horreurs. Des classiques tels que Massacre à la Tronçonneuse, Les Griffes de la Nuits, l'Exorciste Mais aussi des plus récents tels que Conjuring, Annabelle et j'en passe.
Mon rêve serait de vivre de mon art. Faire de grandes peintures ou je ne sais quoi. J'aimerai aussi apprendre les techniques des peintres chinois et japonais.
J'aimerais aussi voyager. Aller en Afrique, en Amérique du Sud ou en Indonésie. Mais ça, ça sera quand j'aurai les moyens.
J'ai toujours su me débrouiller seule, je n'ai jamais eu besoin de personne. Même lorsque je suis en galère, je me débrouille toujours pour au moins manger.
Contrairement aux autres filles, je n'ai pas peur des araignées et autres insectes. Ça m'amuse. Je les trouve fascinants.
Je suis le genre de personne à aimer tout le monde. Je me dis que tout le monde à le droit à être apprécier.
Je ne prends pas part aux batailles qui peuvent se passer dans leur monde. Je suis dans mon coin. Ils ne me font pas chier, je ne l'es fais pas chier.
Je fume facilement un paquet de cigarettes par jour. Oui c'est mal. Oui je peux attraper le cancer. Mais chaque chose que je fais correspond à une cigarette. Je me lève: café + cigarette. Je sors de chez moi: cigarette. Entre deux cours: cigarette. Et ainsi de suite.
The story of my life
Mon histoire commence le 25 avril 1992, dans la magnifique ville de Florence, en Italie. Je suis née dans une famille modeste. Mes parents ont toujours cru qu’ils ne pouvaient pas avoir d’enfant et surprise, je suis arrivée. Mes parents étaient assez âgés lorsque je suis arrivée, du moins assez âgés pour un premier enfant. Ma mère avait quarante-huit ans et mon père cinquante-trois. Ils ont eu beaucoup de mal à se faire à cette nouvelle vie mais ils m’aimaient et ils s’aimaient, alors quoi de mieux ? J’ai été nommée après que mes parents aient combiné les deux prénoms de mes grands-mères, Rosa et Lina. Mon deuxième prénom est celui de ma mère, et je suis tellement fière de le porter aujourd’hui. Mon père quant à lui s’appelle Giovanni. Le parfait cliché italien. J’ai eu une enfance magnifique, baignée dans l’art et l’amour. Ma mère était peintre et dieu qu’elle peignait magnifiquement bien. J’adorais la regarder quand elle peignait. Tantôt des paysages, tantôt des portraits, tantôt des animaux. Elle s’exprimait à travers la peinture. C’est surement grâce à elle que je tiens mon don et ma passion pour le dessin. Mon père quant à lui était sculpteur, il avait de l’or dans les doigts, j’en suis encore convaincue aujourd’hui. Tantôt sculpture sur bois, tantôt sculpture sur marbre. Il pouvait passer des heures dans son atelier, au son des musiques traditionnelles italiennes. Lorsque je venais le voir, il s’arrêtait et dansait avec moi, sous les éclats de rire de ma mère. Y’a pas à dire, j’ai eu l’enfance que chaque enfant rêve d’avoir. Puis arriva l’adolescence.
Généralement, l’adolescence est un moment difficile pour beaucoup. Entre poussées de boutons affreux et rébellion contre les parents, certains changent radicalement. Moi, je n’ai pas connu ça. Je baignais toujours dans le dessin, je m’améliorais de jour en jour. Un jour peinture, l’autre fusain, l’autre aquarelle, je variais souvent, je m’essayais à tout type de matériel. Ma chambre était devenue mon atelier et j’y passais le plus clair de mon temps. La musique était celle de mon père, celle qui imprégnait les murs de notre petite maison. A l’école, je n’étais pas le genre de fille à avoir un seul groupe d’amis. J’étais populaire sans le vouloir, les gens aimaient mes dessins et ... mes cheveux. Dès l’âge de douze ans, j’ai commencé à faire des folies avec ma tête. Rose, bleu, vert, violet, il n’y a pas une seule couleur que je n’aie pas tenté. Et depuis, c’est devenu mon identité, ma marque de fabrique. Je commençais par me peindre les cheveux avec ma peinture avant de partir à l’école, sans que ma mère ne le voie. Mais un jour elle l’a vue et bizarrement, elle ne m’a pas engueulé ou quoi. Elle m’a regardé avec son regard fatigué, soupirant, et m’a pris rendez-vous chez le coiffeur le soir même pour faire ce que je voulais. Je suis ressortie avec les cheveux rose vif et un sourire jusqu’aux oreilles. Ma mère était heureuse aussi, heureuse de voir que sa fille, la chair de sa chair, s’exprimait aussi bien sur une toile qu’avec ses cheveux.
Puis est arrivé le lycée et ma vie était toujours similaire. Lorsque je n’étais pas en cours, je trainais dans la ville, dans Florence, ma ville. Je la connais par cœur, je connais les moindres coins et recoins de la ville. Ville de l’art par excellence qui plus est. C’est grâce à mes nombreuses promenades que j’ai pu faire la connaissance de nombreux artistes, tous d’horizons différents. Des peintres, des mimes, des chanteurs de rue, des jongleurs, dompteurs d’animaux et autres. Tellement de personnes, tellement d’arts, tellement de passions réunies dans le groupe que nous avons formé. Les meravigliosi, merveilleux en italien. Je n’étais pas de ce genre de fille à aller en boite, à boire sans m’arrêter, à prendre de la drogue dure ou autre. La plupart du temps, je ne sortais qu’avec mon groupe d’artistes, je ne rentrais jamais après minuit et c’est sûrement grâce à ça que mes parents sont si fiers de moi, encore aujourd’hui. Alors voilà, j’ai passé des années au lycée géniales : parfois avec mes potes de lycée, parfois avec les meravigliosi. Mon seul défaut serait que je fumais, beaucoup. Je ne sais même plus comment j’ai commencé mais j’ai commencé. Mes parents ont essayé de m’arrêter mais ils n’y sont jamais arrivés. Alors ils se sont faits à cette idée, il n’avait guère le choix. Puis un jour, à la fin du lycée, alors que j’étais en train de dessiner dans la rue, sans réellement me préoccuper de ce qu’il se passait autours, on m’a tapoté sur l’épaule afin de me féliciter pour mon dessin. Je dis merci, sans relever la tête, trop concentrer sur ma planche à dessin. L’homme en question m’a demandé mon prénom et nom de famille et j'ai alors relevé les yeux vers lui. J'avais peur, je me demandais ce qu'il voulait. Puis je me suis faite des films et je me suis qu'il était intéressé par mes dessins. Alors je lui aie décliné mon identité et il l'a noté avant de me dire au revoir et de partir. Ouais. Je riais nerveusement, c'était étrange ça. Mais bon, plus les jours passaient et plus mes espoirs s'envolaient. Je ne savais pas qui était cette homme, je ne le saurais probablement jamais.
Et puis environ trois semaines après, en plein milieu du mois de juillet, je fus réveillé par la sonnerie de mon portable. Je décroche dans un grognement, tête dans le cul, dans un brouillard épais mais je fus vite sur terre, pleinement réveillée. Le Doyen de l’Université d’Oxford lui-même était au téléphone, en train de me parler. A moi. Heureusement que j’étais douée en anglais. Ce cher Doyen Hamilton me proposait une bourse pour aller à l’université, dans le cursus Art Plastique. Choquée. Tellement choquée, que je n’ai pas répondu tout de suite. Ce n’est que lorsque qu’il a redis mon nom de famille que je suis revenue sur Terre et j’ai accepté. J’ai accepté sans penser à rien. Il m’a alors expliqué que je serais logée sur le campus et que les frais d’études seraient pris en charge. J’ai alors demandé pourquoi moi, une italienne. Il m’a juste répondu qu’un professeur avait parlé de moi et qu’il voulait m’avoir pour mon talent. Je n’ai pas su quoi répondre, j’ai juste dit merci et j’ai raccroché. Putain. J’allais aller à Oxford. J’allais quitter mes parents. Putain. Putain. Je suis directement allée à la cuisine afin de voir ma mère et je lui en ai parlé. Elle était aux anges, bien que réticente à l’idée de laisser sa fille unique partir à plus de mille kilomètres d’elle. Mais elle était heureuse parce qu’un beau futur m’attendait. Mon père a partagé son avis et j’ai passé cet été-là à faire des petits boulots, histoire de ne pas partir dans rien, les mains dans mes poches, et à passer du temps avec mes parents et mes amis. Ma vie avait déjà changé.
J’ai quitté ma Florence natale avec un sac à dos aux nombreuses signatures de mes amis et une valise. Première fois que je prenais l’avion. Ma mère était en larmes, mon père se contenait mais je leur ai promis de travailler pour revenir les voir pendant les vacances. Je ne pourrais pas rester loin de Florence éternellement de toute façon. Bien qu’ils m’aient donné quelques une de leurs économies, je savais que la vie là-bas était plus chère qu’ici. Une fois arrivée à Oxford, j’étais un peu déboussolée mais j’ai vite pris mes marques dans la ville et sur le campus. D’abord la maison Penrose, puis le bâtiment Abraham où ma chambre est mon petit coin de paradis. Les murs sont recouverts de mes nombreux dessins et tout dans cette pièce rappelle l’Art et ma vie à Florence. Je n’ai donc, bien évidemment, pas perdu ma passion pour le dessin, mes études me font progresser encore plus. Mes cheveux sont toujours aussi colorés. J’aime ma vie. J’aime Oxford.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Une nouvelle vie, une chance de me faire remarquer pour mes dessins.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? N'ayant pas les moyens de me payer une bouteille de scotch, se sera les shots de tequila. Et avec du citron, s'il vous plait.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Je pense qu'il n'y a pas de mal à se faire du bien. Si c'était si mal, il n'y aurait plus de plaisir.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Pas que je me souvienne en tout cas.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Je suis bien trop insignifiante pour qu'il publie des choses sur moi. Je ne fais pas partie du monde des grands.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Changer de couleur de cheveux tous les deux mois? Sinon je dessine sur tout et n'importe quoi. Une serviette, un bout de papier froissé, tout ce que je trouve.
pseudo/prénom Manon. âge 19 ans. lieu d'habitation Dans l'est de la France  où as-tu connu le forum C'est mon QC  . t'en penses quoi? Ça a un goût de reviens-y. La preuve. Scénario ou Inventé? Inventé. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Alice m'a amplement suffit au début, tel un oiseau j'ai pris mon envol  . un dernier mot? Prout 
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[b]Chloé Norgaard[/b] ✗ Rosalina O. Zitelli
Dernière édition par Rosalina O. Zitelli le Mer 8 Juin - 14:39, édité 3 fois |
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Seyrah Fallen TEACHER — guide du savoir.
☆ date d'arrivée : 03/09/2015
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| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 12:21 | |
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J. Liloo Gonzales ADMIN — les maitres du royaume
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Rosalina O. Zitelli STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 08/06/2016
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| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 12:50 | |
| Liloo:C'est toi qui me dis ça, Madame-j'ai-bientôt-huit-comptes?  Mais j'accepte ta proposition  Je me relis et je la poste  Kiki: EH SIIIIIIIIIII  T'en auras jamais terminé avec moi J'allais pas refuser cette proposition mon Kikidur Merciiii |
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Gaëlle M. Dubois STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 01/06/2016
☆ potins balancés : 102
| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 13:51 | |
| T'en as pas marre d'être canon à chaque fois toi ?  Breeeeeeef, tu me dois un lien tu m'as promis |
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Rosalina O. Zitelli STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 08/06/2016
☆ potins balancés : 220
| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 13:54 | |
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Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014
☆ potins balancés : 5082
| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Mer 8 Juin - 14:10 | |
| Mon chat Bienvenue encore une fois, super choix d'avatar comme toujours  Hâte de voir ce que tu vas nous faire |
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Rae I. Fitzpatrick ADMIN — Wisdom's speaking to you
☆ date d'arrivée : 06/12/2014
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| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Jeu 9 Juin - 12:56 | |
| Félicitations, tu es validée !
jusqu'à l'excès
J'en ai marre de te voir, Princess Troll  En vrai, j'aime beaucoup ce personnage - beaucoup plus en douceur qu'Eden ou Ash Et puis, #pauvreté Eclate-toi bien! Tu sais où se trouve ma fiche de liens, je t'invite à t'y rendre (en vrai, on peut voir ca sur la CB  ) Vérifie que ton avatar est dans le bottin. Tu intègres, à partir de maintenant, les OXFORD STUDENT . Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Tu peux aller demander des liens, des rps, ou encore intégrer un club ! N'oublie pas non plus, si tu es étudiant, d'aller te trouver un (ou des) colocataire(s). Ouvres toi une page Instagram, et crées-toi un téléphone portable ! Tu peux aller flood ou discuter sur la Chatbox ! N'hésites pas à proposer un scénario ou à poster une recherche de lien important ;) Si tu as des questions n'hésite pas Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces ! |
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Rosalina O. Zitelli STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 08/06/2016
☆ potins balancés : 220
| | Sujet: Re: Rosa ~ Dessine moi un mouton Jeu 9 Juin - 12:59 | |
| Mais non t'en as pas marre Tu m'aimes Je le sais C'est une vraie gentille, pauvre, elle s'en fout de tout  Non mais je veux pas de toi  (Je poste ma fiche et j'arrive t'embêter ) |
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