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 (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher


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Alice & Eliakim

« Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur.  »
Lentement il sort de son sommeil lourd, les yeux encore fermés il tâtonne jusqu'à une boule de poils qui dort tout contre son flanc. La petite chose, la tête quasiment sur le torse de son maître dort profondément. Eli sourit et câline son petit chien qui ouvre les yeux et remue la queue instantanément. D'un coup d’œil il regarde l'heure, 7H30 du matin, il est en avance et pourrait dormir encore, mais son ventre cri famine et en soupirant il se résout à se lever. Summer, c'est ainsi que son chien s'appelle se lève aussitôt suivant son maître. Ce doux prénom rappelle à Eliakim cette saison qui lui manque tant. Dehors le vent souffle, s'écrase contre les fenêtres closes du professeur qui frissonne en pensant que, dans une heure, il sera dehors sous le froid. L'homme se traîne presque jusqu'à la cuisine, attrape trois bols ainsi qu'une assiette creuse. Dans les bols il fait couler du lait avant de le mettre au micro ondes pour le faire réchauffer.

Pendant que le lait chauffe, il remplit l'assiette de croquettes pour chien et la pose au sol. Aussitôt le petit chien qui est âgé de seulement trois mois se jette sur sa nourriture et n'en fait qu'une bouchée. Le micro onde bipe, il sort les trois bols chaud et en pose un sur le sol, à destination de son animal. De ses deux bols, dans un il met une bonne dose de chocolat en poudre et trois sucres, dans l'autre une préparation toute prête pour porridge à la noisette. Il écrase un bâillement avant d'attraper un muffin au chocolat et de le coincer dans sa bouche. Il prend ses bols, son chien et marche jusqu'au salon. Eli allume la télévision et tombe sur des dessins animés. Encore mal réveillé il avale son petit déjeuner en jetant un coup d’œil à son téléphone. Un appel de son père qui veut encore lui faire une leçon de morale, ainsi qu'un message d'Alice. Tiens ? Voila quelque chose qui attire son attention, délaissant sa télévision il lit le petit texto, tapé entre une douche et un thé sans doute.

Si le cœur m'en dit, peut-être que je viendrais te saluer aujourd’hui... Un sourire, le premier de la journée, étire des lèvres du professeur. Elle veut jouer à la jeune fille inaccessible, libre et sans attache, mais elle meurt d'envie de le voir. Elle ne l'avouera jamais c'est certain, elle est bien trop fière pour ça. Voila plusieurs jours qu'il ne l'a pas vu, qu'ils ce sont croisés dans les couloirs. Il l'a aperçu hier, avec toute sa troupe de petit chien bien docile, mais il ne peut évidemment pas lui parler. C'est un jeu, dangereux certes, mais nécessaire car ils sont devenus accrocs l'un comme l'autre à cette mascarade que certain pourraient qualifier de ridicule. Elle est la princesse d'Oxford et ne se déplace jamais sans sa cour. Il est le prof cool, sans prise de tête qui est proche de ses élèves. Comment les gens autour pourraient croire à une simple liaison entre eux ? Eux même n'y croient pas. Tout simplement car ils ne sont pas compatible et pourtant, l'un ne va pas sans l’autre depuis quelques mois.

Ils se voient quand ils peuvent, se disputent souvent et se réconcilient sur l’oreiller. Le matin elle part rapidement jusqu'à sa chambre, personne ne doit savoir, il en va de leur réputation. Il doit reconnaître que, lorsqu'il voit un de ces jeunes et beaux garçons tourner autour d'Alice il se sent jaloux mais seulement une seconde. Il ne doit surtout pas lui montrer elle en jouerait trop. Eli repose son téléphone et ne prend pas le temps de lui répondre, il sait d'avance que cela va l'agacer et qu'elle est bien capable de lui envoyer une réplique sanglante, étant donné qu'elle sait qu'il est déjà debout.

D'ailleurs il devrait se dépêcher, par chance ses cours commencent à 9h aujourd'hui, il a le temps ! Suivi de son petit chien il pose sa vaisselle sale dans la cuisine et file à la salle de bain se passer un coup d'eau sur le visage, se brosser les dents et s'habiller. Il ne se douche jamais le matin, étant trop frileux pour ça. Il s'habille et enfile un de ces fameux polos à carreaux que les étudiants aiment tant. Le sien sera blanc et noir de la marque Burberry. Il n'est pas du genre à s'afficher avec des vêtements de luxe, pour lui la richesse et le faste sont éphémère et il ne prête pas attention aux marques qu'il porte. Mais ce polo est un cadeau de sa mère, un des rares présent de sa mère !

Rapidement il enfile son manteau noir, ses gants et son écharpe de la même couleur. Il fait de même avec son sac à dos qu'il enfile sur son épaule. Après une dernière caresse pour son Jack Russel il sort de sa demeure et ferme à clé. Il marche rapidement, luttant contre le froid. Tout en râlant contre cet hiver qui, déjà, l'agace, il arrive à l'université d'Oxford et ne se fait pas prier pour rejoindre sa classe. Ses élèves l'attendent et, tout en les saluant, il pose ses affaires avant de commencer sa classe. L'heure passe, puis une autre, vient le temps de la pause. Alors qu'Eliakim range ses affaires, la tête baissé, plongé dans ses idées, il n'entend pas que quelqu'un s'approche sur la pointe des pieds.

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Dernière édition par Eliakim A. Crowlley le Jeu 11 Déc - 18:16, édité 1 fois
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
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Je savais que tu viendrais, je te connais par coeur
Eliakim & Alice
Un pot de fleur s'écrasa sur le sol dans un bruit énorme. Un chat hurla, un chien aboya, et Alice râla. Elle ouvrit les yeux, sursautant alors que ses animaux avaient décidé que sa nuit était terminée. Elle soupira violemment, et tourna le regard vers le radio-réveil high-tech qui se trouvait sur sa table de chevet. 6:34 , voila l'heure qui se mit à clignoter au plafond. Elle ferma les yeux à nouveau, mais sa petite boule de poils sauta sur le lit, suivit de prêt par une bestiole de plus de vingt kilo. Ouvrant à nouveau les yeux, énervée, elle tomba nez-à-nez avec son énorme berger allemand. Oklahoma la dévisageait, la langue dehors, essoufflée par son jeu avec son amie Chester, la petite chatte d'Alice. Contrairement à ce que l'on pourrait attendre de la jeune anglaise elle adorait les animaux, et avec les siens elle ne mentait jamais. Elle avait Chester depuis qu'elle était arrivée à Oxford. Quant à Oklahoma elle venait de la ramener chez elle. Son père la lui avait offerte lorsqu'elle avait réussi sa dernière année à l'Université. Mais c'était plus une excuse pour gâter sa fille une fois encore. Depuis qu'elle était enfant elle rêvait d'avoir un chien à elle. Elle adorait sa chienne, elle était complètement folle, et très bruyante mais elle l'adorait. En plus de ces deux-là, Alice possédait un étalon noir qu'elle montait à Oxford, et qui se nommait Idalgo . Elle prenait grand soin de ses animaux, tout comme elle prenait grand soin d'elle.  
Sachant qu'elle ne pourrait plus s'endormir, elle se leva, suivit de près par les deux monstres. Elle vivait en dehors du campus, dans un duplex que son père avait trouvé. Elle ne voulait pas d'une colocation sauf avec son demi-frère, mais celui-ci était assez indépendant et ne désirait pas se retrouver dans les jupes d'Alice. Alors elle se retrouvait seule. Portant uniquement une culotte et une brassière elle marcha jusqu'à sa cuisine où elle prépara une gamelle de croquettes pour Chester, et servit un plat composé à son chien. Les deux affamés avalèrent leurs plats dans un bruit horripilant. Elle mit la cafetière en marche et alla prendre une douche rapidement - elle avait largement le temps. Elle alla même jusqu'à se laver les cheveux, se les sécher, et se les lisser. Elle mit du temps à choisir sa tenue, et opta finalement pour une robe rouge à manche longue, mettant en valeur sa poitrine, et des bas noirs, ainsi que des escarpins. Si ils n'étaient pas très hauts ils avaient la vertu d'allonger sa silhouette. Elle ne les mit cependant pas tout de suite, et préféra aller déjeuner avant. Elle se prépara un plateau spéciale : une grande tasse de café au lait, des pancakes de la veille avec du sirop d'érable et un jus d'orange pressé. Elle prit le tout et se mit devant la télévision écran plat. Elle l'alluma et tomba sur les dessins animés. S'arrêtant elle se décida à regarder ces petites figures dessinées en avalant son petit déjeuner. Soudainement elle se rendit compte qu'elle avait oublié son portable dans sa chambre. Après avoir bu la moitié de son café évidemment. Elle alla le chercher : elle avait six nouveaux messages. Treize notifications Facebook et plusieurs mails, de l'université et des différents magasins où elle était cliente. Parmi les messages deux étaient de son demi-frère, un de son père pour lui demander comment elle allait. Un de son entraineur d'équitation pour lui rappeler qu'ils devaient se voir pour préparer les concours qui allaient arriver très vite. Et deux de filles de l'Université pour lui partager quelques ragots de la veille. Prise d'une soudaine folie elle envoya un sms : Si le cœur m'en dit, peut-être que je viendrais te saluer aujourd’hui..., choisissant Eliakim Crowley parmi ses contacts elle lui envoya le message. Il était 7h30.

Elle avait cours à 9h, mais vivait en face de l'Université. Alors elle prit le temps de débarrasser la table, et se prendre son chien en laisse pour aller faire une promenade avec lui. Durant cette petite heure de promenade elle en profita pour réfléchir à cette situation. Elle avait appris il y a bien longtemps à contrôler son image. Il ne fallait pas que les autres voient en elle quelque chose qu'elle ne maitrisait pas. Depuis longtemps on la voyait comme une fille de riche qui travaillait bien, mais qui n'était pas un génie. Qui s'investissait dans les clubs et dans la vie de son université. Elle faisait partie du groupe d'accueille des nouveaux, du club d'équitation, et elle organisait plusieurs évènements dans l'année. Personne ne pouvait s'imaginer qu'elle était aussi une élève avec un ordinateur rempli de dossier sur chaque élève de cette université. Elle gardé tous les numéros d'Oxymoron depuis son arrivée à Oxford. Elle payait un dealer pour qu'il conduise ses ennemis vers la folie. Et n'hésitait pas à tout faire pour que les personnes qu'elle déteste quittent Oxford. Elle était manipulatrice, fourbe et stratège. Une très bonne menteuse.

Et personne ne pouvait imaginer qu'elle était en train de tomber sous le charme d'un prof.

Quand elle avait rencontre Eliakim elle ignorait tout de lui. Au premier regard ce fut une sorte de coup de foudre. Ils avaient passé la soirée à discuter jusqu'à ce qu'il la ramène chez lui. Elle n'avait même pas eu l'envie de le lui refuser. Ils avaient couché ensemble. Une fois, puis deux. Puis cinq fois. Puis dix. Cela faisait bientôt un an que ce petit manège durait et elle n'avait pas le coeur de rendre les choses officielles, surtout parce que c'était interdit. Bien qu'il n'était pas son professeur. Elle ne savait pas comment fonctionnait les choses dans ce cas-là. De toute façon elle ne l'aimait pas, elle ne pouvait pas l'aimer. Elle devait avoir l'esprit libre pour pouvoir être la femme qu'elle voulait devenir. Elle ne pouvait pas être en couple, elle ne pouvait pas être inaccessible pour les jeunes hommes riches d'Oxford. Cela la rendrait moins intéressante, et elle ne voulait pas être moins intéressante. De plus elle ne voulait pas être la victime des ragots, elle ne devait pas faire parler d'elle hors de ce qu'elle voulait entendre. Elle contrôlait tout cela, et ca ne devait pas changer. Ell ne pouvait pas prendre le risque de ne plus contrôler son image. C'était ce qu'elle était. Elle avait besoin de tout contrôler. C'était un jeu auquel elle jouait depuis trop longtemps. Son avenir en dépendait.
Mais elle était aussi une jeune femme de vingt-quatre ans qui aimait s'amuser. Et si elle ne voulait pas se caser cela ne signifiait pas qu'elle n'avait pas des envies. Elle désirait Eliakim, cela elle en était sure, et rester loin de lui trop longtemps lui brulait les cuisses. Elle avait besoin de le voir aujourd'hui. Alors à neuf heures quand elle se rendit à son premier cours de la journée, seule l'idée de le retrouver la fit tenir. La sonnerie de midi retentit comme une délivrance pour elle. Elle prit son sac en cuir à bandoulière et elle partie dans les couloirs. Heureusement pour elle la salle de classe de son amant secret était non loin de là. Elle attendit que tous les élèves en sortent avant de se faufiler à l'intérieur et de fermer la porte. « Bonjour monsieur le professeur. J'ai besoin d'un cours de rattrapage je pense ... » Comme toujours il avait laissé les clés de la salle sur le première bureau à gauche de l'entrée. Elle s'en saisit et ferma le verrou. Alors elle s'approcha de lui, sans un bruit et se glissa dans son dos. « Je dois réviser l'anatomie humaine ... » Dit-elle avec une voix suave. Elle ne voulait pas perdre son temps dans un papotage inutile. Elle avait envie de lui, et ils avaient peu de temps avant que des élèves ou un professeur ne viennent dans la salle.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim   (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim EmptyJeu 11 Déc - 18:17

Alice & Eliakim

« Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur.  »
Consciencieusement il range ses fiches de cours sans lever les yeux. Il les tries, les glisses dans son sac à dos dans un bruit de froissement de papier. Le claquement d'une porte le fit sursauter, il leva les yeux et tomba sur Alice qui lui souriait, un air mutin sur le visage. Les clefs de la salle, posés sur le bureau proche de l'entrée avaient disparus. Elles étaient dans les mains de la jeune qui déjà verrouillée la porte afin d'avoir un peu d’intimité. Ils ont une heure, pas plus avant que la classe ne soit réclamée. « Bonjour monsieur le professeur. J'ai besoin d'un cours de rattrapage je pense ... » Il lui sourit, heureux sans lui avouer de la voir. Elle se glissa derrière lui, il n'osait pas bouger. Ne voulant pas briser ce moment il la laissa faire et, d'une voix chaude elle murmura contre sa nuque. « Je dois réviser l'anatomie humaine ... » C'est à ce moment là qu'il se tourna vers elle, tout sourire. Lentement il rapprocha sa bouche des lèvres d'Alice et lui vola un baiser tendre. Ils n'étaient pas ensemble, mais il se montrait bien souvent très tendre avec. Enfin au début. Plus elle le suppliait, plus il devenait passionné.

Sans lui laisser le temps de réagir il la souleva par les hanches et la posa sur le bureau, derrière lui. Ses mains se faufilèrent sous ses cuisses mais il fut arrêté par un détail. Il releva légèrement sa robe pour tomber sur des bas noirs. « Un cour approfondi alors... ? » Lui dit-il avec un sourire coquin. Sans attendre sa réponse il l'embrassa passionnément tout en la plaquant contre lui. Il avait ce besoin incompréhensible de la sentir contre son corps. Depuis combien de temps ils ne c'étaient pas retrouvés ? Trop longtemps, il était en manque d'elle, de sa peau, de son odeur. Sans la lâcher il glissa ses lèvres dans son cou pour parsemer sa peau de milliers de baisers papillons, aussi tendre les uns que les autres. Avec douceur il mordit sa peau, l'embrassant après comme pour se faire pardonner. Perdu dans ce tourbillon de sensation il respira à plein poumon son parfum sucré. Lavande, chocolat et cannelle mais aussi sa propre odeur qui se mélangeait à la sienne pour un mariage délicat et parfait.

Après avoir admiré sa robe rouge -sa couleur préféré- il lui enleva. Elle se retrouva su sol alors qu'Alice le regardait, une lueur sauvage, en sous vêtement noir et une posture qu'on aurait pu qualifier d'indécente si ils n'avaient pas été seul dans cette classe. Ils allaient faire l'amour là, sur ce bureau. Dans une heure maximum un des collègues d'Eliakim allait s’asseoir sur ce bureau pour faire cour. Sans savoir que dans cette même pièce, un couple interdit c'était uni dans une passion dévorante.

Tu te réveilles dans un cocon de douceur et de tendresse. Tu es chez toi, à tes côtés Alice dort la tête contre ton torse. Elle se réveille également, te sourit, t'embrasse, grimpe sur ton torse. Vous faites l'amour, encore une fois avant d'aller en cour.

A moitié nue il admire ses courbes fines, câline sa peau, effleure sa hanche avant de la coller contre lui sans lâcher sa bouche. Il mord sa lèvre, la suçote. Sa main droite se pose sur son sein alors qu'il dévore le lobe de l'oreille d'Alice qui n'est plus que gémissement. Elle se laisse faire, grisée par les sensations qui se déversent en elle d'une vitesse folle. Sans la laisser souffler, le professeur dégrafe son soutien-gorge en dentelle, aussi plaisant soit-il. Une fois ses seins libérés, il s'occupe de l'un, puis de l'autre. Jouant, léchant, mordillant, suçant même avec avidité. Depuis combien de temps n'a-t-il pas goûté à une femme ? Longtemps. Seul Alice est dans son lit depuis qu'ils ont commencés à se voir. Pas qu'elle lui impose d'être la seule femme dans sa vie, seulement aucune autre ne l'attire. Lui si coureur de jupon, si libre, n'arrive plus à avoir de désir pour les autres. Elle seule lui fait cet effet mais chut... Il ne doit rien savoir. C'est la dernière pensée qui passe dans son esprit alors que qu'il s'agenouille devant elle et qu'il fait glisser le long de ses jambes parfaites, sa petite culotte en dentelle noire.

Premier matin. La veille vous avez fait l'amour. Elle est partie avant que tu ne te réveilles. Tu te lèves, t'habilles et pars en cour avec une rancœur que tu ne saurais expliquer. L'impression d'avoir été utilisé pour du sexe et seulement ça. Mais pourtant, tout te hurle que tu n'étais pas qu'un simple amusement pour elle. C'était fort, malgré tout c'était puissant cette soirée. Tu fais cour, étant un peu ailleurs tu ne fais pas attention qu'à l'heure suivante une élève pas comme les autres est dans ta classe. Alice est là, au milieu de tes 3eme années en Biochimie. Cour libre sans doute, elle est en première ligne, devant tout le monde. Le cour commence, elle porte une robe rouge très courte et des bas noirs. Tu le sais car à mesure que l'heure avance elle prend des postures de plus en plus indécente. Parfois même elle te regarde et écarte légèrement les jambes. Souriant de son petit effet, tu lui lances un regard assassin. Tu as du mal à garder ton calme, l'envie d'elle, de lui faire hurler ton prénom sur la table juste pour lui faire payer ce qu'elle t'impose là. Mais pourtant tu ne peux empêcher tes yeux de glisser sur ses jambes, remonter à ses cuisses avant d'être freiné alors qu'elle croise les jambes avec un sourire carnassier.

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MessageSujet: Re: (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim   (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim EmptyDim 14 Déc - 23:47

Je savais que tu viendrais, je te connais par coeur
Eliakim & Alice
« Un cour approfondi alors... ? » Elle n'eut pas le temps de répondre, déjà sa bouche dévorait la sienne. Elle laissa échapper un gémissement, ravi de retrouver cet amant passionné qu'elle aimait tant. Elle aimait sa fougue et sa dureté. Elle aimait le sentir aussi proche d'elle, contre sa peau douce et chaude. Il était musclé, incroyablement séduisant, et il était très bien monté. Trop bien pour la santé mentale d'Alice qui n'avait eu que lui comme amant, et qui ne s'imaginait dans les bras de personne d'autre. Elle n'était pas prude comme pourrait l'être certaine demoiselle, mais elle n'avait jamais pu se permettre d'être une fille facile. Elle voyait ces demoiselles qui se donnait au premier mec qu'elles croisaient comme des catins.  Elle ne comprenait pas cette nouvelle habitude de perdre sa virginité à quinze ans. Pour sa part, à quinze ans elle était bien trop consciencieuse à l'école, et concernée par ses activités périscolaires pour s'inquiéter de sentir un pénis dans son entrejambe. Elle n'aurait pas été prête de toute façon. Elle n'était pas très intéressée par les choses du sexe, contrairement à ce que l'on pourrait penser. Dans les films, les jeunes filles riches et manipulatrice dans son genre se retrouvent dans le lit de tous les mecs populaires de l'université. Pas elle, bien au contraire, elle avait acquis une image de jeune femme inaccessible et adorait cela. C'est aussi pour cela qu'elle ne désirait pas rendre public sa relation avec Eliakim. Elle savait que beaucoup de demoiselles avaient des vues sur lui, et elle espérait qu'il avait la descence de ne pas leur répondre. Après tout, pour sa part elle ne disait jamais non à une partie de sexe torride avec lui.
Elle ne l'aimait pas cela dit. Elle ne pouvait pas l'aimer. Il n'était pas ce qu'il attendait de la vie. Il n'était que professeur, elle ne s'imaginait pas faire sa vie à ses côtés. Elle ne serait pas la femme de pouvoir qu'elle désirait être. Elle n'aurait pas la possibilité d'être quelqu'un d'important. Elle avait peut être une vision biaisé de cet homme si beau, mais elle ne pouvait pas se permettre de tomber amoureuse de lui, quant bien même sexuellement, physiquement et mentalement ils étaient plus que compatibles. Ils ne discutaient pas souvent, certes, préférant passer leurs temps à se prendre comme des pervers finis. Mais lorsqu'ils se mettaient à discuter d'art, d'histoire, ou même de choses les plus banales ils ne s'arrêtaient plus. Ils adoraient échanger leurs opinions et leurs points de vue qui - loin d'être parfaitement divergentes - se complétaient bien souvent.

La première fois qu'ils avaient couché ensemble ils avaient passé la soirée dans un bar branché de la ville d'Oxford. Elle venait d'arriver, depuis quelques semaines sans plus. Il lui avait tapé dans l'oeil. Elle s'était totalement laissé emporter dans cette soirée bien étonnante. Ils avaient discuté de tout : littérature, histoire, politique, économie, philosophie. Ils avaient parlé jusqu'à la fermeture du bar vers deux heures du matin. Il lui avait alors proposé de continuer la conversation chez lui, naturellement, et loin de se douter qu'il pourrait vouloir coucher avec elle - ou en tout cas sans s'en inquiéter - elle avait accepté. Ils avaient continué à discuter, et comme par enchantement ils s'étaient perdus dans les yeux l'un de l'autre. Il avait commencé à l'embrasser, et elle lui avait enlevé sa chemise. Ce n'est qu'une fois à moitié nue sur le canapé qu'elle lui avait dit qu'elle était vierge. Il lui avait demandé si elle voulait arrêté. Elle refusa.
Le lendemain matin, se réveillant dans un lit qu'elle ne connaissait pas, elle fut prise d'une sorte de panique. Elle se leva, et récupéra ses affaires sans réveiller le bel homme qui dormait nu sur le ventre dans le lit. Elle tomba alors sur une carte de visite du chercheur-professeur. Eliakim Crowley, professeur de biochimie à Oxford. Alors, souriant, elle le laissa et ne revint que plus tard dans sa classe. C'est alors que leur jeu commença.  
Six ans s'était écoulées depuis.

Elle se laissait embrasser, se rendant compte soudainement qu'elle était à moitié nue - déjà - devant Eliakim. Elle tourna le visage vers les grandes fenêtres, ravie de constatée que la classe de son homme se trouvait au deuxième étage. Personne ne pouvait les voir, mais entendre les pas des élèves dans le couloir l'excitait horriblement. Elle était assise sur le bureau à présent, et tenait le visage d'Eliakim contre sa poitrine, la tête rejetée en arrière, profitant de ce moment de grâce. Elle Se retrouva bientôt totalement nue, le visage de son partenaire entre ses cuisses. « Par quoi allons-nous commencer, Professeur ? » demanda-t-elle alors qu'elle mit ses mains dans les cheveux d'Eliakim. Elle le poussa alors à approcher sa bouche de son intimité pour la lécher. Elle adorait ce geste, elle adorait cette pratique, et elle comptait en profiter complètement. Elle oublia le monde autour. Cet homme était un dieu du sexe, il savait parfaitement comment la prendre. Il était fait pour lui faire prendre son pied. Elle jouit une première fois sur sa langue, et se laissa glisser en-bas du bureau, et s'agenouilla devant lui, enlevant son pantalon par la même occasion.
Elle libéra son membre dur, le prenant en bouche pour lui faire gouter au plaisir à son tour. Elle n'était plus elle-même. Elle oubliait son rôle, son image de jeune fille sage, tout ce qu'elle était aux yeux d'Oxford. Elle n'était plus Lady Kensington. Elle était Alice. Tout simplement Alice.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim   (terminé) (Hot. Très Hot -18 !) Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur. Alice&Eliakim EmptyLun 15 Déc - 18:22

Alice & Eliakim

« Je savais que tu viendrais, je te connais par cœur.  »
Perdu dans un tourbillon de sensation, d'odeur. Il se fait transporter dans un monde qu'il semblait avoir oublié. Il l'embrasse, la mord, la sent, se drogue de son odeur. Goûte sa peau du bout de la langue, joue en traçant des arabesques avec ses lèvres. Il ne sont qu'un. Une perfection digne des grands peintres, fait pour être ensemble, s'accordant comme deux âmes sœurs. Cela en devenait troublant, cette évidence entre eux, ce besoin d'appartenir à l'autre et de s'unir dans une danse frénétique. Ce n'était pas de l’amour, ça ne pouvait pas en être. Elle ne l'aimait pas et souvent elle le lui disait.

Lui, ne pouvait pas s'attacher à elle. Si, de la tendresse bien-sûr, de l'attirance car après tout, ils ne se donnaient pas le temps d'apprendre à se connaître. Lorsqu'ils sont ensemble ils font l'amour, s'embrassent, s'unissent pour ensuite partir chacun de leur côtés mais quand ils prennent le temps de se parler, d'échanger plus qu'une simple partie de plaisir alors ils sont complémentaires. Elle est passionnée, plein de ressource, elle veut tout savoir. Lui, dans ses bras, il se sent écouté et sait qu'il l’intéresse. Elle boit ses paroles, il se perd dans ses yeux bleus profonds. Depuis combien de temps ne s'est il pas senti aussi bien avec une femme ? Jamais. Il n'a jamais été aussi proche de quelqu'un, pas en amour en tout cas. Il se sent revivre lorsqu'elle le regarde et là, alors qu'elle est gémissante et presque suppliante, il la trouve belle comme au premier jour. Comme la première fois qu'il l'a vu, dans ce bar assise à une table. Il a croisé son regard et aussitôt, il est venu lui parler. Ayant une audace qu'il ne se connaît pas ils ont passés la soirée ensemble et la nuit. Devenant son premier amant, son premier amour. Avant qu'elle ne fuit demain, perdue et effrayée.

Il releva les yeux, lui souriant alors qu'il était encore à genoux devant elle. Nue, tremblante, fébrile même, elle le regarde en se mordillant la lèvre. Attendant que son homme fasse le premier pas, chose qu'il ne fera pas. Il aime se faire diriger parfois, surtout avec Alice. Alors elle mit ses mains dans les cheveux courts du professeur qui ne pu retenir un violent frisson remontant jusqu'à sa nuque. Elle le poussa jusqu'à son sexe nue, doucement mais fermement et docile, il se laissa faire. Pendant plusieurs minutes il joua avec son sexe, l'emmenant à l'orgasme lentement. Elle se laissa retomber dans ses bras après une jouissance violente, la première de cette partie de sexe qu'il s’annonçait passionnelle.

Elle s'agenouilla devant lui et lui offrit une gâterie qu'il pouvait qualifier d'excellente. Les yeux fermés, le souffle court, il savourait ce moment de pur plaisir. Un monde de luxure qu'Alice lui faisait toucher à ce moment là. Il l'arrêta bien, sentant le plaisir monter trop vite. Le professeur se retourna vers son sac, en sorti une protection et l'enfila en quelques secondes. Une fois fait il prit Alice par la main, la poussa contre le bureau, la fit asseoir et tout doucement entra en elle après avoir plaqué les jambes de son amante contre ses hanches. Dans cette position il pouvait l'embrasser et la toucher, chose qu'il fit sans attendre. Bougeant en elle, contre elle, il se sentait comblé.

« Tu es magnifique... » Une petite phrase, murmurée entre deux baisers tendres. Il la regarde, lui sourit. Frappé par sa beauté, par cet air absolument indécent qu'elle a sur le visage. Elle est superbe. Pourquoi son cœur bat plus vite alors qu'elle pose ses yeux sur lui ? Pourquoi son rythme cardiaque devient frénétique ? Dieu qu'il la veut !

© Chieuze

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Je savais que tu viendrais, je te connais par coeur
Eliakim & Alice
Elle n'était jamais tombée amoureuse. Elle était persuadée qu'elle ne pouvait pas tomber amoureuse, sauf de l'homme qui lui apportera tout ce qu'elle attend de la vie. Elle ne pouvait pas tomber amoureuse d'Eliakim, il n'était pas fait pour elle et cela elle en était persuadée. Il n'était pas ce qu'elle attendait de la vie. Pourtant lorsqu'il la regardait comme à cet instant elle arrivait presque à penser qu'elle pourrait aimer cela. Il était un homme intelligent, cultivé, beau comme un dieu, et avec une famille riche. Elle ne doutait pas qu'en tant que professeur et chercheur à Oxford il devait bien gagner sa vie, mais il n'avait pas ce qu'elle attendait le plus de la vie : le pouvoir.
Elle pouvait devenir folle pour le pouvoir, être exécrable, voire carrément dangereuse. Elle avait déjà été dans les extrêmes pour pouvoir être amis avec des personnes hauts placés. Elle avait manipulé le doyen d'Oxford pour avoir une place dans l'Université six ans plus tôt. Elle manipulait la majorité des élèves qui la suivaient pour avec des relations . Elle avait un site internet, un blog, une page Facebook et un instagram qui étaient suivi par des milliers d'internautes. Elle manipulait sa propre image pour être vu comme une fille populaire, un modèle pour les demoiselles de ce temps. Certaines internautes la voyait comme un symbole de beauté et de réussite. Beaucoup l'idôlatrait comme on pouvait aimer une actrice ou un chanteur. Elle était devenue une image de marque, elle était devenue une réalité virtuelle. Elle n'était plus une jeune étudiante comme toutes les autres, elle était un produit qu'elle vendait. Elle vendait du rêve à des jeunes dans le monde entier, et cela lui demandait des sacrifices : rares étaient les moments où elle pouvait être elle-même, et s'abandonnait totalement sans se demander ce que l'on allait penser d'elle.
Quand elle était dans les bras d'Eliakim elle s'abandonnait, elle n'était plus une image, ou un produit de marque. Elle était Alice, une jeune femme de vingt-quatre ans, qui laissait parler ses désirs, ses envies, et ses sentiments. Elle était simplement une amante. « Tu es magnifique... » Elle leva le regard vers lui et lui sourit. Elle ne refusait pas souvent ses marques d'affections et de tendresses. Il n'était pas rare qu'il l'appelle chérie ou amour . Elle lui retournait parfois la politesse, le faisant passer pour un jeu mais le pensant avec une honnêteté qui lui faisait parfois peur. Un jour ils devront parler de cette relation qui les liait, mais elle avait alors peur de le perdre. Elle savait qu'il devait aller voir ailleurs, elle avait entendu parler quelques élèves. En général après avoir entendu de telles rumeurs elle le retrouvait et lui faisait l'amour avec avidité et démence.  
Aujourd'hui elle avait juste eu envie de se retrouver dans ses bras. Alors qu'elle lui faisait plaisir de la manière la plus délicate qu'elle connaisse elle sentit qu'il se tendait. Avant d'exploser il la fit se relever et la prit sur le bureau. Ils étaient des animaux, faits de luxure et d'amour de la chaire. Ils étaient l'un en l'autre, ils ne faisaient plus qu'un. Il était son seul amant, le premier et l'unique, peut être même l'ignorait-il, mais elle tenait à ce que les choses restent ainsi. Elle jouissait avec lui, elle pouvait être fière d'avoir connu les plaisirs d'un orgasme avec son premier amant à l'âge de vingt-quatre ans. Elle ne se lassera sans doute jamais d'être dans ses bras. Elle sentait le plaisir monter en elle, une vague immense et intense de volupté. Elle glissa sa main entre eux deux pour décupler son plaisir sans pour autant briser cette étreinte. « Tu me rends folle, Eliakim, Mon Eliakim... » Souffla-t-elle alors que son corps fut envahie par l'orgasme. Il ne lui laissa pas le temps de souffler cependant, la faisant descendre pour la retourner et taper contre son bassin. Elle vint contre lui, laissant échapper un râle de plaisir. Elle était folle, elle ne voyait plus ce qu'il y avait autour. Elle ne sentait et ne voyait que lui. Lui, le seul et l'unique.

Ils étaient essoufflés, heureux comme des adolescents ayant fait quelque chose de terriblement interdits. Elle reprenait doucement ses esprits, se rhabillant avec les affaires qu'elle arrivait à retrouver. Elle avait déjà remit son chemisier, et sa jupe lorsqu'il lui montra son string en dentelle noir qui pendant à son doigt. Elle se mit à rire et l'embrassa fougueusement. « Il y a quelqu'un là-dedans ?» demanda un professeur derrière la porte. La jeune fille repoussa son amant, remit ses cheveux en place, et reprit ses esprits. Eliakim la regardait faire en retenant son sourire moqueur. « Oui une minute ! » Elle ouvrit la porte et se retrouva nez-à-nez avec un professeur de mathématiques ou de chimie, ou de elle-ne-sait-quoi qu'elle n'avait jamais vu. Elle se tourna vers Eliakim. « Merci pour ces conseils Professeur Crowley. Aurevoir... » elle lui fit un clin d'oeil et partie, heureuse de ce petit instant de plaisir.
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
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☆ date d'arrivée : 06/12/2014
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