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 « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley

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MessageSujet: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyJeu 19 Mar - 18:48




« L'enfant reconnaît sa mère à son sourire »

ft. Eliakim & Azur.

Son avion en provenance de New York venait d’atterrir. Très vite la grande dame quitta l’appareil, d’un pas agacé, à la hâte.
Azur avait pourtant prévenue cette pauvre idiote de Lise de son départ pour Oxford. Départ définitif qui plus est. Et pourtant non, ce n’est pas en première classe que La Crowlley pu voyager ce soir. A l’instant même la rédactrice était dans une rage telle qu’une remise à jour par téléphone lui semblait nécessaire. Elle saisit son iPhone et compose le numéro des locaux du magazine à New York.
«Lise. Dites-moi, êtes-vous totalement dénuée d’intelligence à un tel point qu’il a fallu que je supporte  toute une famille de français et leurs enfants en bas âge durant tout le vol ? J’ai pourtant été clair à plusieurs reprises concernant mes déplacements ? »
Vêtue d’un long manteau en fourrure de vison, derrière de grosse lunettes de soleil noire, du haut de ses boots Jimmy Choo en daim, mitraillée par quelques flashes discrets la célèbre Azur Crowlley dévale le long couloir de l’Aéroport d’Oxford Kidlington tout en vociférant un tas d’insultes destinées à sa secrétaire à l’autre bout du fil.« Vous êtes définitivement une incapable, je suis réellement ravie de ne plus avoir à vous supporter à longueur de temps ! Rendez-vous utile, faites circuler une annonce dans tout Londres afin de me dégoter une nouvelle assistante principale. Plus belle et intelligente que vous cela va de soi.  » Elle raccroche, s’arrête, regarde autour d’elle, la fin du couloir des débarquement est proche. Elle s’avance, son visage récupérant une certaine douceur en même temps. Son fils est proche, elle le sait, il doit déjà être là à l’attendre au milieu de la foule, un bouquet ou des chocolats à la main, certainement. Peu importe tout ce qui comptait c’est qu’il soit là. Elle était là pour lui, et les derniers instants qui lui restaient à vivre lui seraient entièrement destinés.  



« La voilà ! La voilà ! »
Les paparazzis. Déjà tous là. Décidément Lise n’avait rien mis en œuvre pour que son départ pour l’Angleterre se déroule dans le plus grand des conforts. Machinalement Azur sourit et lève la main pour faire signe aux journalistes l’aveuglant à la lumière des flashes qui éclatait çà et là dans le hall de l’aéroport. Ce n’était, heureusement pas une chose permanente que d’être à ce point épié. Seulement lors de gros événements comme ce « déménagement ». Elle continue d’avancer derrière trois gardes du corps quand un groupe de cinq cameraman et journalistes de chaînes de télévision célèbres apparaissent devant elle.
« Azur, quelques questions s’il vous plait ! » Elle s’arrête. « Comment s’est passé votre voyage ? Etes-vous confiante concernant l’avenir de votre carrière et ce nouveau départ en Angleterre ? »
« Comme je l’ai suffisamment répété dernièrement, il s’agit là d’une décision mûrement réfléchie. Et je suis la femme la plus heureuse du monde que de venir vivre ici en Europe ! Maintenant si vous me le permettez j’aimerai pouvoir passer, retrouver mon fils qui doit certainement vous maudire tous autant que vous êtes pour harceler ainsi une femme de mon âge après un long vol très fatigant. »
Désagréable et désinvolte comme à son habitude, elle affiche un dernier sourire digne des plus grand tapis rouge de ce monde et se fraie un chemin au travers de la foule avant de pouvoir retrouver Eliakim.
Quand enfin elle l’aperçu au loin, le visage d’Azur s’illumina. Il était pour Azur sa seule et unique famille, sa plus belle création, sa plus belle richesse, sa chair, son sang, le seul qui connaissait ses sourire et sa sagesse. Se stoppant net, les larmes lui montèrent, c’était presque devenu une habitude ses derniers mois pour Azur que d’échapper quelques sanglots à chaque fois qu’elle voyait ou pansait à Eliakim. La blonde passe les mains sous ses yeux et sourit, mais pas n’importe quel sourire, celui d’une mère à son enfant. Un sourire bienveillant. Immortalisé à l’instant même par un énième flash. Azur tends les bras en l’air vers son fils au loin tout en s’avançant vers lui d’un pas rapide.
« Eliakim, mon fils ! »
Très vite elle l’atteint et l’étreinte longuement au milieu de cet amas de fourrure de vison. Son professeur d’enfant lui avait terriblement manqué, d’autres sanglots silencieux s’échappèrent. La mère prend le visage de son fils entre ses mains et le regarde dans les yeux, heureuse.
« Quel bonheur que celui d’être mère ! »



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Dernière édition par Azur Lily R. Crowlley le Ven 20 Mar - 14:39, édité 1 fois
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyVen 20 Mar - 0:45

Mère & Fils

« L'enfant reconnaït sa mère à son sourire. »

D'un air anxieux il se regarde dans le miroir, arrange sa veste sur son costard et se pose une question, doit il mettre sa cravate où pas ? Non mauvaise idée, autant dire qu'il aura l'impression d'étouffer et de s'étrangler alors, il détache sa cravate de son coup et la range dans son armoire. Enfin il attrape son parfum et s'en vaporise dans le cou mais aussi sur les poignets, comme sa mère le lui a appris. Avant de sortir de son appartement il jette un coup d’œil dans toutes les pièces. Bien évidemment il accueillera sa mère chez lui et sa chambre est prête. Il espère que cela lui conviendra d'ailleurs, il aimerait cuisiner pour elle ce soir. C'est rare que sa mère vienne chez lui autant de temps mieux encore, elle déménage en Angleterre d'après ce qu'elle lui a appris, une première ! Il ne sait pas ce qui la pousse à déménager à Oxford mais il n'en est que plus heureux. En bon petit garçon il est enchanté d'avoir sa mère proche de lui. Ils ont du temps à rattraper c'est certain, il trépigne en jetant un coup d’œil dans toutes les pièces.

Dans sa chambre il a fait arranger un beau bouquet de Lys blanc, symbole de pureté et d'amour sincère, il espère que cela lui fera plaisir surtout que les fleurs embaument la pièce d'un parfum délicat. Le voilà prêt alors il sort de son appartement, Summer sur les talons car son petit chien sait d'avance qu'il va suivre. Il l'écoute au doigt et à l’œil, ce n'est pas un problème de l'avoir à ses côtés. Il rejoint sa voiture, son chiot s'installe à l'arrière sagement et se couche en boule pour dormir. « Devine qui on va chercher petit canard ? » Summer lève la tête d'un air interrogateur, regarde son maître et remue la queue comme si il lui répondait. Enfin Eliakim démarre et roule jusqu'à l'aéroport avant d'être en retard. En route il s'arrête chez un fleuriste et dans un des meilleurs chocolatiers de la ville afin de prendre un assortiment de chocolats mais aussi quelques macarons. Il arrive à l'aéroport, prend les deux présents et sort de son véhicule alors que Summer le suit tout content, la tête bien droite, bien trop fier.

Son avion vient sans doute d'arriver car déjà une horde de paparazzis prennent l'aéroport de force, ne prêtant même pas attention aux gens autour d'eux. Eliakim soupire, trouvant ce genre de comportement impossible à supporter. Sa mère mériterait un instant de repos et il ne sait pas comment elle supporte d'être épiée tout le temps, sans répit. Il l'admire c'est certain, mieux encore sa mère est la femme la plus importante à ses yeux. La seule pour qui il changerait et surtout, qu'il écoute sans réfléchir une seule seconde. Même Alice ne peut pas se vanter d'avoir ce pouvoir sur lui, homme si libre et sans attache. Dans ses mains il tient un bouquet de plusieurs roses, 36 pour tout avouer. Des roses pour la douceur et l'affection, des blanches pour la pureté, des jaunes pour la lumière qui représente si bien sa mère, des oranges pour l'admiration et enfin quelques rouges pour la pureté de ses sentiments, de l'amour si beau que l'on porte à une mère.

Pourtant la foule devant lui se poussa doucement pour laisser apparaître une femme qu'il connaît bien. Sa classe légendaire explose aux visages des gens autour d'eux. Elle en impose c'est certain et aussitôt un sourire enchanté naît sur les lèvres du professeur. Il s'approche d'elle, ouvre grand ses bras et l'accueille dans une étreinte douce et chaleureuse. Doucement il la serre contre lui, respire son parfum si particulier et se donne l'impression d'être un enfant, comme lorsqu'il venait se blottir contre elle après un cauchemars. Elle se détache de ses bras chauds pour prendre son visage entre ses mains douces, elle le regarde, lui sourit. Mais pas comme dans les journaux, comme une mère. Elle est si sincère avec lui. « Quel bonheur que celui d’être mère ! » Il lui rend son sourire, touché et lui répond, faisant écho avec sa propre phrase. « Quel bonheur que celui d'être ton fils ! » Encore il la prend contre lui et chastement lui dépose un baiser sur le front, un baiser protecteur. Mais également il remarque que ses yeux sont brillants, un peu trop même. « Tu vas bien maman ? » Plus de mère entre eux depuis longtemps, le protocole n'a plus raison d'être lorsqu'ils sont ensemble, ils sont honnêtes l'un avec l'autre. « Tiens, c'est pour toi ! » Il lui tend le bouquet et la boite de chocolats et de macarons avec un sourire, sa mère est une gourmande non assumée. Galant il lui offre son bras et ensemble, ils quittent l'aéroport. Bien évidemment il prend ses bagages sans même qu'elle le lui demande. Summer suit sagement, courant devant eux et revenant vers son maître. « Après ce long voyage veux-tu manger quelque chose où tu préfères te reposer ? » Il lui propose cela en ouvrant la portière de sa voiture, l'invitant à entrer. Pour la première fois depuis longtemps il est heureux.

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Dernière édition par Eliakim A. Crowlley le Ven 20 Mar - 21:43, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyVen 20 Mar - 14:32




« L'enfant reconnaît sa mère à son sourire »

ft. Eliakim & Azur.

Azur était fière de l’homme qu’étais devenu son bambin. Pourtant elle n’avait guère participé à l’éducation de celui-ci. Sans doute trop occupé entre le magazine, les défilés, les conférences, les séances de photo à superviser, les soirées de gala, les soirées branchées, les soirées tout court. En bref Azur n’avait été que peu présente, mais jamais cela n’avait pu affecter tout l’amour qu’elle portait pour son unique enfant. . « Tu vas bien maman ? »
Elle lui adresse un sourire en guise de réponse. Certainement trop orgueilleuse pour admettre que non ça ne va pas du tout, ou bien trop protectrice pour nuire au bonheur de son fils en lui annonçant que peut-être demain au réveil elle ne serait plus. Demain, dans un an, deux ou dans cinq minutes. Non, elle ne pouvait définitivement pas avouer à son fils ou quiconque qu’elle vivait désormais avec une épée de Damoclès sur la tête. Reposant une nouvelle fois les yeux sur les présents elle adresse un nouveau sourire à Eliakim . « Des roses, des macarons et des chocolats… Tu connais bien ta mère à ce que je vois ! » Elle plonge le nez dans son bouquet de fleurs, le délicat parfum de celle-ci vient l’enivrer de bonheur. Les femmes aiment les roses c’est bien connu, et encore bien plus lorsqu’elles viennent d’un être cher. Naturellement elle glisse son bras sous celui que son fils lui invite à prendre. Amusée la blonde d’un certain âge lui sourit en inclinant le menton. « Monsieur »


Ils étaient étranges les Crowlley, tellement proches et distants à la fois. Plein de bonnes manières élégantes et raffinées tout en étant intimes au travers de leurs regards et sourire échangés. Une vraie complicité s’était installée entre eux, alors que pourtant ils n’avaient jamais été prêt l’un de l’autre physiquement parlant. Ce nouveau départ pour Azur en Angleterre était d’ailleurs une façon de remédier radicalement à cette absence passée. Devancés par Summer, le chiot d’Elia, mère et fils quittent le hall de l’aéroport encore suivi par les journalistes qui les assaillent de flashes. Escortés, de loin, jusqu’à la voiture par l’un des gardes du corps de Madame, pendant que les deux autres retiennent la horde de paparazzis ; Eliakim fait entrer Azur dans la voiture, suivie à la hâte par Summer qui prend place, bien éduquée, sur le siège arrière.
Azur se débarrasse de son lourd manteau de vison en le posant délicatement sur ses genoux avant de glisser  son gros sac à main de couturier à ses pieds. .« Après ce long voyage veux-tu manger quelque chose où tu préfères te reposer ? » Toujours soucieux, le petit Crowlley enchante sa mère de secondes en secondes.
« Je me délecterai avec grand plaisir d’un bon repas préparé avec amour par mon fils ! A moins que tu es autre chose en tête ? Mais par pitié rien d’extravagant, je ne supporte plus tout ce brouhaha autour de moi… » La femme désigne du menton, les journalistes un peu plus loin retenus par ses hommes. La portière se referme, le temps qu’Eliakim la rejoigne, certainement quelques secondes juste de quoi ranger ses valises dans le coffre ; Azur s’empare d’un macaron à la vanille de l’une des boîtes offertes précédemment, qu’elle pose ensuite aux côtés de Summer. Son fils la rejoint, elle lui sourit de nouveau avant de poser sa main sur son avant-bras. « Et toi, comment vas-tu ? Tout se passe bien à Oxford ? Et cette jeune fille…» Elle s’arrête un instant pose son index sous son menton, lève les yeux au ciel, en vain. « Je ne me souviens plus de son nom, tu la voit toujours ? » Azur affectionnait énormément Alice, c’était suffisamment chose étrange pour qu’en plus de cela elle puisse se souvenir de son prénom. Ce n’était pas là de l’arrogance ou quoi que ce soit d’autre dans le genre de sa part. Simplement qu’en étant une femme à la réputation internationale il va de soi que du monde on en connait et des prénoms… Malheureusement on en retient peu. Mais elle finirait sans doute par le retenir maintenant qu’elle était enfin là, pour de bon. Plus heureuse que jamais.

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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyLun 23 Mar - 1:44

Mère & Fils

« L'enfant reconnaït sa mère à son sourire. »

Eliakim adorait sa mère malgré l'enfance que lui avait infligé son père. Il n'en voulait pas à sa chère maman bien au contraire il comprenait que son travail et son quotidien prenant l'avait empêchée de voir pendant des années que son père n'était qu'un tyran. Il en voulait à ce dernier mais jamais, Ô grand jamais il n'avait fait le moindre reproche à sa mère. Simplement car cette dernière lorsqu'elle le voyait lui témoignait la plus grande douceur et un amour sans égal. Eliakim se sentait encore comme un enfant même si il avait bientôt avoir 31 ans. Proche de sa mère il redevenait un petit garçon câlin et affectueux, en manque d'amour et avec ce besoin de rendre fière celle qui lui avait donné la vie. Il lui dédiait tout, ses recherches, ses découvertes, son succès, sa fierté. Il voulait qu'elle soit fière de lui. Il avait réussi à s'en sortir seul sans obéir à son père, sans être l'homme soumis qu'il aurait pu devenir. Alors oui il était fier qu'elle soit là aujourd'hui, car pour lui sa mère est tout ce qu'il a de plus cher au monde. « Des roses, des macarons et des chocolats… Tu connais bien ta mère à ce que je vois ! » Il rit, enchanté alors qu'ils prennent le chemin de sa voiture. Quelques paparazzis suivent les deux Crowlley mais Eliakim ne leur prête aucune attention. Demain ils seront dans tous les plus grands journaux de ce monde et alors ? Ils verront une mère et son fils, heureux l'un avec l'autre.

Au pire ils inventeront une nouvelle histoire. Elle lui sourit et incline le menton dans un geste noble, lui donnant l'air d'être une reine en visite diplomatique. Il en fait de même et se penche exagérément en avant, mimant une révérence ridicule. Aussitôt qu'ils entrent dans la voiture le bruit assourdissant de l'aéroport, des avions et des journalistes se tait. L'habitacle est silencieux, une chaleur légère flotte dans le véhicule. « Je me délecterai avec grand plaisir d’un bon repas préparé avec amour par mon fils ! A moins que tu es autre chose en tête ? Mais par pitié rien d’extravagant, je ne supporte plus tout ce brouhaha autour de moi… » Lui dit-elle alors qu'il lui propose de faire un détour pour manger quelque chose. Bien évidemment il se doute que sa mère veut se reposer alors sans discuter un repas chez lui sera le mieux pour tous les deux. « Je nous ai préparé un simple poulet au four ce matin avec quelques légumes et une salade verte. C'est simple mais disons que cela nous rappellera ce que tu cuisinais parfois lorsque j'étais enfant ! » Il lui dit cela avec le sourire, remarquant qu'elle tient dans sa main un macaron à la vanille. Sa mère parfois cuisinait lorsqu'elle avait le temps, c'était rare mais cela arrivait et il adorait ces instants.

« Ainsi qu'un soufflé au citron en dessert... » En effet peut-être qu'il cuisine trop après tout ils ne sont que deux, mais il est si heureux qu'elle soit là qu'il a cuisiné toute la matinée, juste pour avoir le plaisir de la voir déguster ses plats. La cuisine est un art qu'il pratique peu souvent, par manque de temps mais aussi car il est seul. Il se contente parfois d'un simple bol de soupe pour se rassasier, ce n'est pas assez mais il préfère taire cet aveux car sa mère lui ferait remarquer qu'il ne mange pas assez ! Elle lui pose la main sur l'avant bras alors qu'il tourne la clé et allume le contact de sa voiture. « Et toi, comment vas-tu ? Tout se passe bien à Oxford ? Et cette jeune fille…» Elle réfléchit un peu alors que déjà il quitte le parking, roulant loin des journalistes. Est-ce qu'elle va s'en souvenir ? Peu possible étant donné que sa mère rencontre énormément de monde, tous les jours. « Je ne me souviens plus de son nom, tu la voit toujours ? » Il est déjà en route alors qu'il tourne légèrement la tête vers elle pour lui murmurer un Oui discret mais sonore. « Nous sommes toujours ensemble disons que ça va mieux entre nous... Nous nous sommes fiancés à Paris. ». Il rit doucement, repensant à ces moments magique qu'ils ont passés dans la capitale Française. « D'ailleurs tu risques sans doute la voir ce soir où demain. Elle rêve de te revoir... Et elle s'appelle Alice »

Alors qu'il ne lâche pas la route des yeux il attrape doucement sa main et dépose un baiser sur cette dernière, lui accordant un baise-main. « Je suis heureux que tu sois là... Tu as fais bon voyage ? »En quelque sorte il répond à sa question il va bien car elle est là et surtout car il est enchanté de la voir. Il tourne au bout d'une rue, son appartement est proche, Summer à l'arrière trépigne d'avance, excité à l'idée de rentrer chez lui.

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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyMar 24 Mar - 17:52




« L'enfant reconnaît sa mère à son sourire »

ft. Eliakim & Azur.

Il y a quelques heures encore Azur était à New-York, luttant contre les paparazzis et les mauvais ragots qui se colportaient au sujet de son divorce. Il y a quelques heures encore Azur était loin d’imaginer à quel point ce serait un soulagement que de partir. Quitter cette vie de folie qu’elle s’était construite, cet empire où elle seule régnait, maîtresse du jeu, tenant toutes les cartes en main, faisant valser qui bon lui semble. Pourtant la Crowlley avait profondément désiré tout ceci. Adulée, enviée, ou encore même idolâtrée, elle avait passé pratiquement trente années à travailler d’arrache-pied pour être celle que l’on revendiquait comme la madone de la mode. Cette femme de caractère, cette armoire à glace pourtant chic mais peu aimable. Cette femme que personne ne savait apprécier et qui pourtant était vue et invitée partout. Celle à qui on offrait des faux sourires et d’autres belles paroles pleines de faux semblants. Tout ce qu’elle avait pu désirer en ce bas monde lui avait été servi sur un plateau d’argent, tout sauf de la sincérité. Voilà trente ans qu’elle vivait au milieu d’une bande d’hypocrites la craignant bien trop pour l’offusquer et lui dire clairement qu’elle était profondément détestables.
Son téléphone vibre. Encore un appel en provenance de New York. Mais rien d’urgent. Elle soupire, et finalement prends la décision d’éteindre l’appareil. Elle n’avait pas eu l’occasion de passer un vrai moment intime avec son fils depuis très longtemps, New York attendra. « Je nous ai préparé un simple poulet au four ce matin avec quelques légumes et une salade verte. C'est simple mais disons que cela nous rappellera ce que tu cuisinais parfois lorsque j'étais enfant ! »  Un sourire tout à fait naturel se dessina ses les lèvres de la femme lorsqu’elle entendit le rire de son fils. C’était tellement bon que d’entendre son enfant plaisanter en pensant au passé, ou bien en l’ayant vu manger son macaron, gourmande. Azur n’avait pas été une mère très présente. De ce fait les fois où elle avait cuisinés pour la famille se comptait probablement avec les doigts d’une main, ou bien un peu plus, mais souvent sa cuisine n’était pas du grand art, simplement un peu d’amour dans ses recettes suffisait à satisfaire son enfant, qui même au plus jeune âge et malgré la tragique situation qu’il vivait, jamais n’avait cessé d’aimer sa mère. «  C’est vrai que je n’ai jamais été une cuisinière hors pair… » Lui répondit elle amusée. « Ainsi qu'un soufflé au citron en dessert... »  Elle en salivait d’avance. A vrai dire, si elle avait même pu passer directement au dessert elle l’aurait suggéré, mais son fils s’était certainement donné du mal pour lui mitonner ces petits plats, puis cela faisait un grand nombre d’année qu’elle n’avait pas mangé un poulet au four, aussi simple soi ce plat. « C’est parfait. » Oui, c’était amplement suffisant. Malgré les apparences, Azur était une femme relativement simple, ne raffolant guère de cette multitude de plat ridiculement consistant au nom imprononçable, à rallonge, qu’on lui servait chaque fois qu’elle sortait dîner quelque part.



La voiture s’éloigne de l’aéroport petit à petit. Azur respire enfin, loin de la foule et des photographes, cette vie était bien souvent plus contraignante qu’autre chose, et elle n’avait plus vraiment l’âge ni la santé requise pour supporter tout ça. Mère et fils continuent leur discussion qui dérive sur la jeune Alice. « Nous sommes toujours ensemble disons que ça va mieux entre nous... Nous nous sommes fiancés à Paris. » La demoiselle et Azur s’étaient rencontrés à Aspen, très vite la mère remarqua le petit jeu sentimental entre son fils et elle. Après moult discussion la blonde avait fini par avouer à sa potentielle future belle-mère ses sentiments pour son fils. Ce qui quelque part ravi Azur, qui s’est elle-même très vite éprise d’affection pour Alice. «  Fiancé ? Quelle nouvelle, je n’ai pas le souvenir d’en avoir été informée ! » De toute manière, actuellement, même si Eliakim avait pu le lui dire, il était tout à fait possible qu’elle l’est oublié, comme il était tout à fait possible qu’un jour elle se réveil en ayant oublié toute ou partiellement sa vie… Elle le savait, c’était les risques qu’elle encourrait en refusant toute intervention chirurgicale visant à prolonger ses chances de survie. Peut-être même qu’un matin elle se réveillera en ayant même oublié qu’elle était une mère aimante.
Azur s’était plus ou moins faite à cette idée. De toute façon elle n’avait guère le choix, puisque mise à part pour Ned, elle avait décidé de taire ce secret, même pour Eliakim, surtout pour lui. En aucun cas elle ne voulait qu’il se fasse du soucis concernant sa santé ou bien quoi que ce soit d’autre pouvant nuire à son bonheur. Eliakim souligna que sa fiancée se prénommait Alice, et qu’elle rêvait de revoir sa future belle-mère. « Pardonnes moi… Tu sais que j’ai toujours eu énormément de mal à me remémorer le prénom des personnes que je croise. Mais je tâcherai de me souvenir du sien, après tout, elle ma future bru, et sera la mère de mes futurs petits enfants. » Il était sans doute un peu tôt pour aborder un tel sujet, mais Azur savait que la fin pour elle était proche, elle savait que ce serait sans doute difficile, jamais le ciel ne lui ferait l’offrande d’une mort douce et silencieuse sachant qu’elle avait tyrannisé le tout Manhattan et même ailleurs durant des années entières. Alors elle espérait pouvoir au moins partir en ayant de belles images à se remémorer pour oublier la douleur qu’est celle de devoir partir définitivement, être arrachée à la vie, par ce fichu cancer… Tâchant de ne plus y penser Azur pris soin de savoir comment se portait son tendre enfant, qui en guise de réponse déposait un baiser sur les douces mains de sa mère.  « Je suis heureux que tu sois là... Tu as fait bon voyage ? » Un sourire en coin se pose sur les fines lèvres d’Azur. «  Et bien à vrai dire, ce fût le pire vol de toute mon existence. Cette incapable de Lisa, Lise, Emilie… je ne sais même plus, n’a pas été fichue de me réserver un billet en première classe. Et autant dire qu’avec l’enfer que me fait vivre ton père depuis l’annonce du divorce il m’est difficile de me déplacer en toute discrétion. Et le Jet privé, malheureusement, lui appartient. J’ai donc supporté une famille de français à l’odeur infecte… Sans parler de leurs enfants… Un véritable calvaire. Enfin, maintenant que je suis avec mon fils ce n’est plus qu’un mauvais souvenir. » Le divorce… D’ailleurs, lui avait-elle dit ? Elle n’en savait rien, elle avait certainement dût oublier. Faisant mine de rien, au cas où, Azur détournes son regard vers la fenêtre, observant les lampadaires défiler les uns après les autres. Elle passe une main dans son épaisse chevelure blonde, presque blanche, la douleur commençait à se présenter, comme tous les soirs. Rapidement la rédactrice saisi une petite boîte en argent gravée de son nom, dans son sac et en extrait deux petites gélules qu’elle avale avec un peu d’eau de sa bouteille d’eau minérale en verre dans ce même sac qui la suivait partout. Avant même de laisser un quelconque soupçon s’installer Azur rassure son fils. Accompagné d’un sourire bienveillant elle enlève sa main de l’avant-bras de son fils pour la passer délicatement dans ses fins cheveux cuivrés, le recoiffant un peu par la même occasion. « Prendre l’avion me déclenche toujours d’horribles migraines… Je commence sans doutes à me faire vieille pour tout ceci… » Le véhicule conduit aisément par Eliakim tourne dans une petite rue qui lui est familière et à en entendre Summer qui s’agite à l’arrière, ils étaient probablement bientôt arrivés.

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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyJeu 26 Mar - 20:35

Mère & Fils

« L'enfant reconnaït sa mère à son sourire. »

Si on le lui avait dit jamais Eliakim ne l'aurait cru. Sa mère loin de l’Amérique, loin de ce pays où la mode est reine et où sa mère était assise sur son trône depuis plusieurs années maintenant. Non définitivement il n'aurais jamais cru qu'elle reviendrait en Angleterre et mieux encore qu'elle le rejoindrait. Ho certes elle n'était pas à Oxford que pour lui enfin... Il ne le savait pas. Elle déménageait carrément ses locaux. Une envie de se rapprocher de son fils adoré ? Sans doute et il adorait cette idée. Avoir sa mère proche de lui était un cadeau que le ciel lui avait fait et encore aujourd'hui, dans sa voiture il n'osait pas le croire. Elle était là avec lui, c'était si rare, si précieux, si bon. Il voulait profiter au maximum et pendant quelques temps elle resterait avec lui, le temps que la construction de sa maison se termine. Il l'accueillerait dans son appartement avec plaisir, ils c'étaient toujours bien entendu. Enfant il avait passé les premières années de sa vie avec sa mère avant qu'elle ne gravisse brillamment les échelons. Et puis le temps, la vie, son père les avait séparés à tel point qu'ils avaient finis par s’appeler occasionnellement. Cette situation faisait souffrir les Crowlley plus que de raison mais l'un comme l'autre ils ne savaient pas et n'osaient revenir. Le fils... D'avoir été si distant avec celle qui lui avait donné la vie et sa mère... Il ne savait pas. Elle était une femme si mystérieuse que parfois lui même ne savait pas lire dans ses yeux azur magnifique.

Et puis doucement il avait tenté un premier pas car il avait besoin d'elle. Il en voulait à son père, toute relation était morte entre les deux hommes mais sa mère restait son joyau qu'il chérissait tendrement. Jamais au grand jamais il ne lui en avait voulu, d'avoir été éloigné de Londres, de son père trop violent et exigeant. Elle ne savait pas, elle était innocente et heureusement, il n'aurait pas supporté qu'il s'en prenne à elle. Pourtant il avait craint la réaction de sa mère lorsqu'il était revenu, ayant peur de l'avoir trop faite souffrir par son absence et que de ce fait, il ne trouve qu'une femme froide si bien représentée dans les magasines. Il c'était trompé, royalement. Elle l'avait accueillie dans ses bras chaleureusement et aujourd'hui elle revenait sur leur terre et il n'en était que plus heureux.

Ils dérivèrent sur le menu que son fils lui avait préparé. Ce n'était pas très luxueux mais il se doutait que sa mère avait besoin de retourner aux sources. Et puis il fat l'avouer la nourriture gastronomique souvent ça ne nourrit pas ! Elle lui fit remarquer qu'elle n'avait jamais été une cuisinière d'exception, il hausse les épaules avec un sourire. Lui il adorait les petits plats qu'elle tentait parfois. Rarement oui par manque de temps mais lorsqu'elle se mettait aux fourneaux il adorait ça. Et elle était bien plus douée qu'elle ne le pensait ! Ensuite ils parlent d'Alice et il lui fait savoir qu'ils sont fiancés, craignant légèrement sa réaction. «  Fiancé ? Quelle nouvelle, je n’ai pas le souvenir d’en avoir été informée ! » Il grimace comme un enfant, un peu honteux et sachant qu'il a fait une bêtise. Pourtant il pèse le pour et le contre, réfléchit un peu et dans un souffle, une murmure il annonce d'une petite voix. « Ce sont nos pères qui nous ont fiancés à Aspen... » Il préfère être honnête avec elle et c'est un peu mécontent qu'il remarque que son père a bien évité de tenir sa femme, ex femme maintenant, au courant des fiançailles de son fils. Bien évidemment sinon il l'espère, sa mère ce serait interposé entre cela. « Mais nous étions déjà ensemble donc au final ça nous va... » Il tempère cette annonce comme il peut et lui sourit tendrement. Elle s'excusa d’avoir oublié le prénom d'Alice et il la rassura d'un sourire, elle lui signala également qu'elle tacherait de s'en souvenir car elle sera la mère de ses futurs petits enfants. Il laissa un rire franchir ses lèvres, trouvant cela précipité mais adorable.

Jamais sa mère n'avait parlé de ses petits enfants après tout, il ne lui avait jamais laissé entendre qu'il était assez sérieux avec quelqu'un pour se poser. Des enfants... Pourquoi pas ? Il en avait envie, surtout avec Alice. Elle serait invivable, ayant des envies impossibles, hurlerait à chaque kilo gagné à cause de sa grossesse mais il voulait la voir porter ses enfants. «  Et bien à vrai dire, ce fût le pire vol de toute mon existence. Cette incapable de Lisa, Lise, Emilie… je ne sais même plus, n’a pas été fichue de me réserver un billet en première classe. Et autant dire qu’avec l’enfer que me fait vivre ton père depuis l’annonce du divorce il m’est difficile de me déplacer en toute discrétion. Et le Jet privé, malheureusement, lui appartient. J’ai donc supporté une famille de français à l’odeur infecte… Sans parler de leurs enfants… Un véritable calvaire. Enfin, maintenant que je suis avec mon fils ce n’est plus qu’un mauvais souvenir. » Il l'écoute parler attentivement et soupire contre cette assistante. Un billet en première classe tout de même ce n'était pas si difficile. Il lui fit un sourire alors qu'elle lui avouait que maintenant qu'elle était avec lui, tout irait mieux. « J'ai appris pour le divorce il y a quelques jours, dans les magasines. Et je dois avouer... Que c'est une bonne nouvelle. » Il ne se cachait pas pour lui exprimer sa joie, elle quittait enfin son père, elle qui valait mieux que lui sur tous les points. Sa mère savait depuis longtemps le conflit qui opposait les deux hommes, c'était impossible de raisonner son fils à ce sujet. Et il ne se privait pas pour cracher sur son père accessoirement ! Il la voit sortir une petite boite de son sac, prendre quelques cachets avec une gorgée d'eau. Il s'inquiète mais elle le rassure d'une caresse dans les cheveux, chose qu'il adore, et d'une excuse lancée avec un sourire tendre. Bien, une simple migraine, rien d'autre et puis avec la chaleur dans l'avion surtout en deuxième classe, il comprend que sa mère puisse avoir des maux de tête.

Enfin ils arrivent, il se gare et sort de sa voiture, Summer sur les talons. Il fait le tour de son véhicule et ouvre la portière à sa mère et lui offre son bras, pour qu'elle sorte. Ce sont des manières qu'ils ont l'un avec l'autre, de loin on a l'impression de voir deux personnes du 18 eme siècle. La duchesse et son cocher. Ensuite il prend les valises de sa mère et passe devant elle pour lui montrer le chemin. Il déverrouille sa porte d'entrée et s’efface pour qu'elle passe devant lui. Alors qu'il verrouille la porte derrière eux, Summer se pavane déjà dans la maison alors qu'une boule de poils vient ronronner entre les jambes de sa mère, réclamant l'attention qui lui est promise. Kinaï son petit chat, nouveau venu de la maison depuis quelques jours a déjà son petit caractère et reconnaît son monde. « Installe toi, tu es ici chez toi ! Je te sers quelque chose à boire ? » En lui demandant cela il dépose ses valises sur le sol, dans l'appartement une odeur de bon petit plat flotte dans l'air. « Je te montre ta chambre ? » Il ne sait pas si sa mère est déjà venue car il est dans cet appartement depuis peu de temps, le début de l'année tout au plus.

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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyDim 5 Avr - 17:54




« L'enfant reconnaît sa mère à son sourire »

ft. Eliakim & Azur.

Quand Azur et le père d'Eliakim se sont rencontré ce fut pour eux une évidence. Ils termineraient leur vie ensemble. Et pourtant les aléas de la vie en avaient fait autrement. Aujourd'hui ils étaient en instance de divorce. Pourtant Azur s'était battue corps et ongles pour construire une parfaite petite famille. Mais elle avait lamentablement échoué.
La cérémonie de mariage fut des plus somptueuses que cette terre est pu connaître. En une de tous les journaux, l'exclusivité vendu à un prix exorbitant. C'était l’événement de l'année, sur toutes les bouches. La jeune et talentueuse Azur Lily-Rose Middleton promise à un grand avenir dans la presse épouse le jeune et tout aussi talentueux, monsieur Crowlley. Le couple parfait. Tous deux beaux et séduisants, à l'aube de leur réussite, fraîchement diplômés d'Oxford. La vie leur souriait et le bonheur semblait les attendre bras grand ouvert.
Tout deux réussirent professionnellement, maintenant leur belle histoire d'amour sur les tabloïds. Ils font rêver, les amants modèles. Et pourtant derrière cette belle mise en scène le couple se déchire, Azur ne parvient pas à tomber enceinte ce qui éloigne son époux petit à petit. Les mois passent des rumeurs commencent à s'ébruiter et prendre de l'ampleur. La presse ne leur donne que très peu de temps avant la fin, et là, miracle. Azur tombe enceinte, et mettra au monde neuf mois plus tard après une grossesse tout à fait banale un beau petit garçon qu'ils baptiseront Eliakim. Les Crowlley ravivent alors la flamme de leur amour qui s'était presque éteinte.  
Les années passent et fils Crowlley grandit à l'abri des journalistes et des scandales de la presse, quasiment élevé par son père. Azur est au sommet de sa carrière, rédactrice en chef de son propre magazine de mode aux Etats-Unis elle y emménage et ne rend visite a son fils et son époux que lors de déplacement en Angleterre et lors de rares moments de répit. Les paparazzis sont alors bien trop obsédés par Azur pour s'attarder sur son couple qui à nouveau "bat de l'aile". D'autres années défilent et la rédactrice prend une pause de quelques mois pour des raisons personnelles qui restent aujourd'hui encore inconnues du publique... Elle se ressassait le passé intérieurement et la suite elle la connaissait, et elle préférait ne pas y penser une fois encore. C'était trop dur.


Ils venaient d'arriver, Eliakim était beau et plein d'assurance au milieu de cet appartement visiblement neuf. Il avait traversé tant d'épreuves et il en était là, épanouie, fort  et heureux. C'était son fils, elle en était fière.
Une petite boule de poil vient se glisser entre les jambes d'Azur. Le chat d'Eliakim. Elle sourit et s'abaisse vers lui, lui offrant des caresses avant de s'emparer de lui. Elle se redresse et le câline. Le félin se frotte et se blotti contre elle, échappant un ronronnement régulier. Installe toi, tu es ici chez toi ! Je te sers quelque chose à boire ? Azur dépose Kinaï sur le sol, se redresse et observe l'endroit dans lequel elle se trouve. Son fils avait bon goût. " Je boirai volontiers un verre de vin blanc, bien frais, si tu as." Eliakim lui propose de lui faire visiter sa chambre. Azur préfère reporter à plus tard. Tant pis pour les valises dans l'entrée, elles patienteraient, les deux avaient bien d'autres choses à se raconter. Posant ses mains sur l'arrière de ses hanches elle flâne dans la pièce appréciant la décoration.. Elle repense au divorce, encore, puis elle se tourne vers son fils.J'espère que tu ne m'en veux pas, si je ne t'ai pas appelé pour t'apprendre moi-même le divorce. Elle se racle la gorge, réfléchie. Elle lève les yeux au ciel, sentant encore un sanglot se pointer d'un instant à l'autre. Sa voix s'élève, partagée entre le rire et les larmes. Je me suis tout simplement dit qu'après tout ce que ton père t'as fais subir, c'était un dénouement plutôt logique tu ne crois pas ? Un soupir s'échappe d'entre ses lèvres, et elle tombe sur un fauteuil, une chaise ? Quelque chose d'assurément confortable, non loin d'elle. Elle semblait devenir, folle ou simplement fatiguée, désorientée. Après tout elle avait toutes les raisons de l'être. La femme tente de retrouver ses esprits. Elle tapote le dessous des yeux de ses index repliés. Tu as un appartement tout à fait somptueux, je ne me souviens pas d'être venu, si c'est le cas sache que c'est bien plus beau que dans mes souvenirs ! Et ça sens divinement bon ! Trop tard ou non pour passer inaperçu, cette courte phase de semi-folie devenait chose récurrente pour Azur, elle ne semblait pas vraiment s'en rendre compte, sa maladie gagnant du terrain, l'affaiblissant de jour en jour lui menait la vie dure. Elle perdait la tête, un peu.  
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MessageSujet: Re: « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley   « L'enfant reconnaît sa mère à son sourire » Eliakim & Azur Crowlley EmptyLun 6 Avr - 20:00

Mère & Fils

« L'enfant reconnaït sa mère à son sourire. »

Il avait hâte de passer du temps avec sa mère, comme un enfant où même un gamin. Il savait que le temps perdu ne pourrait plus être rattrapé mais il pouvait vivre pleinement les instants avec sa mère et c'est ce qu'il allait faire. Il ne lui en voulait pas pour ses absences même si c'était son père qui l'avait élevé. Quand ce n'était pas une nourrice. La seule personne pour qui il ressentait de la rancune serait son paternel, à vie. La liste des choses que son père lui avait fait était trop longue et il n'aurait pas le temps de tout expliquer. Alors il décida de ne pas penser à cela pour profiter pleinement de sa mère, la prunelle de sa vie qu'il avait depuis quelques temps gravé sur la peau. En effet depuis quelques semaines il avait craqué et c'était fait tatouer sur la cheville gauche trois plumes en l'honneur de sa mère. Pureté, respect et liberté sont les trois qualités qu'il accordait à sa mère et pour l'avoir toujours avec lui il c'était fait ce plaisir. Il ne savait pas comment elle réagirait à ce tatouage, ne connaissant pas l'avis de sa mère sur ce genre de marque d'ailleurs. Pourtant Eliakim en avait plusieurs sur le corps. Son père avait hurlé en voyant celui dans son dos.

Mais il n'avait pas le temps de penser réellement, ils venaient d'arriver dans son appartement. Summer passa devant son maître pour courir dans la maison, joyeux d'être de retour. Et Kinaï sa boule de poils passait et repassait déjà entre les jambes de sa mère. Cette dernière vint l'attraper entre ses bras pour le câliner, il ronronnait déjà. Il lui proposa de lui montrer sa chambre et de ranger ses valises. Mais elle lui proposa de faire cela après, ils avaient mieux à faire pour l'instant. «  Je boirai volontiers un verre de vin blanc, bien frais, si tu as. » En effet il avait cela dans son frigo, dans le coin réservé à ses bouteilles de vin de marque. Avec un sourire il marcha jusqu'à la cuisine, sortit deux verres à pied et une bonne bouteille de vin blanc moelleux et leur servit une belle dose dans les verres. « J'espère que tu ne m'en veux pas, si je ne t'ai pas appelé pour t'apprendre moi-même le divorce » Ajouta sa mère alors qu'il revenait avec les verres et qu'il en tendait un à sa mère adorée.

Non il ne lui en voulait pas, comment pouvait-il en être autrement ? Il comprenait qu'elle manquait de temps et puis ce divorce était prévisible. « Non maman pas du tout, tu connais déjà mon point de vu à ce sujet. » Sa mère était trop bien pour son père et il savait que ce n'était qu'une question de temps avant que le divorce soit officiel. Il n'existait plus rien entre eux depuis longtemps. « Je me suis tout simplement dit qu'après tout ce que ton père t'as fais subir, c'était un dénouement plutôt logique tu ne crois pas ? » Il trinque avec sa mère et prend une gorgée de vin, savourant le liquide frais sur sa langue. « Tu divorces à ce sujet ? » Sa mère n'était pas au courant de tout et c'était tant mieux. Même sous la torture Eliakim ne lui aurait rien dit par respect et surtout pour ne pas qu'elle s'inquiète. Voire qu'elle culpabilise même. Et ce qu'elle savait était déjà trop pour son fils.

« Tu as un appartement tout à fait somptueux, je ne me souviens pas d'être venu, si c'est le cas sache que c'est bien plus beau que dans mes souvenirs ! Et ça sens divinement bon ! » Il sourit amusé et touché, de voir sa mère si détendue avec lui. « Non je suis dans cet appartement depuis peu de temps. Et la décoration est d'Alice. » Depuis qu'elle venait régulièrement chez lui elle avait prit le temps pour décorer son appartement avec goût, lui s'en moquait royalement d'avoir une décoration acceptable. Tant qu'il était bien habillé ! « Nous passerons à table lorsque tu voudras. » Il le fit pas attention aux yeux un peu trop brillant de sa mère, sachant qu'elle le rassurerait en lui disant qu'elle se portait bien. Il préféra mettre cela sur le compte de son changement de pays, de situation, des retrouvailles avec son fils même.

Il ferma les yeux, soupirant profondément avant de prendre une autre gorgée de son vin. Tout de même il osa lui demander, s'inquiétant pour elle car elle semblait être triste par moment. Comme si un voile de profonde triste s’abattait dans son regard avant de s'envoler plus vite encore. « Tu vas bien maman ? Je veux dire... Vraiment ? Tu ne me caches rien ? » Il s'approcha d'elle et ouvrit ses bras pour une étreinte rapide et pudique. Lorsqu'il était enfant il venait se blottir contre elle et respirer son parfum rassurant, maintenant c'était contre lui qu'elle pouvait venir. Son grand garçon.

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