 |  Sujet: Graham Hermann ► Entre l'être et le paraître. Lun 6 Avr - 15:27 | |
| Graham Hermann
Entre l'être et le paraître. 
identification complète Graham Hermann âge 25 ans lieu/date de naissance le 14 janvier 1990 études suivies et année Parcours Littérature - Septième année job Coach sportif orientation sexuelle Il se dit hétéro, mais c'est faux. statut Compliqué. statut social ££££ caractère Fidèle, Jaloux, Impulsif, Arrogant, Prétentieux groupe Oxford Students avatar Liam Hemsworth
Welcome to the jungle
Graham a vécu avec des enfants plutôt absents. Son père était militaire, tandis que sa mère était médecin. Ça l’a forcé à devenir rapidement indépendant et à se forger un sacré caractère. Il en a encore quelques souvenirs marquant, dont il ne sait pas vraiment s’il doit les mettre du côté des bons ou des mauvais souvenirs. ► Graham a perdu sa mère très jeune (voir histoire). De ce fait, il se retrouva seul avec son père. Au fil du temps, il a voué une certaine admiration pour son paternel et plus particulièrement pour le métier de celui-ci. À tel point que son souhait serait de suivre son parcours et de devenir militaire après l’université. Souhait que, comble de l’ironie, son père n’approuve pas. ► Toujours suite à la mort de sa mère, il a commencé à s’entrainer dur et à canaliser toute sa peine dans le sport. C’est une passion qui ne l’a jamais quitté puisqu’il est désormais Coach Sportif en dehors de l’université pour se faire un peu d’argent. Dès qu’une angoisse surgit, qu’une déception lui parvient, il fait un peu de sport et tout semble s’arranger dans sa tête. C’est définitivement quelque chose qui l’aide au quotidien. ► Contrairement à ce célèbre cliché qui veut que les sportifs n’ont pas de cerveaux, il se trouve que Graham est un très bon élève ! Il suit un parcours littéraire et se retrouve régulièrement avec la meilleure moyenne. Il s’entête à être le meilleur pour satisfaire son père qui le voit devenir un journaliste ou quelque chose dans le genre. Graham n’a jamais compris pourquoi, mais il fait en sorte de ravir son paternel malgré ça. ► Il est homosexuel. Il l’a pour ainsi dire toujours sut, n’ayant jamais eu de petite-amie. Mais il a énormément de mal à l’assumer. Il pense que la plupart de ses amis ne l’apprécieront plus une fois qu’il avouera sa véritable sexualité. De plus, avec son père ancien-militaire, il pense que cela posera problème. Il a peur de perdre la plupart, pour ne pas dire la totalité, de ses proches s’il avoue la vérité. Alors il préfère se mentir à lui-même. Tout simplement. ► Il n’a jamais eu de petite-amie, mais pas non plus de petit-ami. Il n’a jusqu’à maintenant jamais été amoureux. Oh bien sûr, il a eu des relations sexuelles avec des garçons rencontrés dans des bars mais rien de concret. Il s’efforce à se faire passer pour hétéro constamment. ► Il est extrêmement jaloux. En amitié, on peut surtout parler de possessivité. Il estime n’avoir que quelques véritables amis et n’apprécie donc pas que ces derniers le laisse en plans pour voir d’autre personne. En amour, même s’il ne l’a jamais connu, il est jaloux maladif. Un simple regard sur l’homme qui partage sa vie, un simple sourire ou pire une parole… et ça devient un monstre de haine. Il serait capable d’aller très loin, s’en prenant notamment à la personne qu’il aime. Il ne contrôle pas cette partie de sa personnalité.
The story of my life
Je n’ai jamais été de ces gens débiles. Le genre de personnes qui prennent un journal intime juste pour y raconter leur vie. Qui a besoin de ça ? Un journal intime n’écoute pas. Il ne répond pas. Il ne fait rien d’autre que de laisser inscrire des paroles de gens déprimés recherchant de l’attention. Je ne suis pas de ceux-là, et je pense que je ne serais jamais ce genre de personne. Pour autant, je suis là à écrire dans ce genre de journal. Pourquoi ? Peut-être parce qu’un de mes profs m’a conseillé de faire ça, avant d’avouer qu’un devoir portera sur le fait d’avoir un journal. Si ça aide, si ça peut changer une vie. Le devoir en soi est débile, mais je veux une bonne note. Je refuse d’entacher ma belle moyenne. Mon père serait trop déçu, et c’est très certainement la dernière chose que je veux. Alors… me voilà. Bon, j’avoue ne pas savoir ce qu’on doit écrire dans ce genre de journal. Pour débuter, peut-être qu’il faudrait que j’écrive ma vie jusque dans ses moindres détails ? Tiens, me voilà faire un point d’interrogation. Comme si je posais une question, comme si tu allais me répondre. Tu n’es qu’un journal intime. C’est bizarre. En fait, je commence à comprendre ce que les gens trouvent chez toi. Quoiqu’il en soit, je vais te raconter ma vie. Rien de bien passionnant, vous autres avez déjà dut lire des choses bien pire.
Alors… l’histoire commence un 14 janvier 1990 à Oxford. Oui, j’ai grandis dans cette grande ville. J’ai eus de la chance de naitre au sein d’une famille aux revenus importants. Par conséquent, l’argent n’a jamais été un problème pour nous. Je dois remercier mes parents. Mon père était militaire, et ma mère était médecin. C’est vrai, j’ai un peu souffert de leur absence quand j’étais petit. Mais l’un dans l’autre, je m’en suis sortie. Il est clair que ça m’a forgé mon caractère. Ça m’a forcé à devenir un peu plus indépendant. Donc dans un sens, ça m’a aidé à devenir celui que je suis aujourd’hui. Et puis je n’étais pas malheureux. Je n’ai pas subit le cliché populaire du gosse de riche qui bénéficie de tout ce qu’il veut, sauf de l’affection de la part de ses parents. Ma mère était aimante, plus que toute autre mère sur terre. Et mon père était un véritable modèle. Mon enfance fut plutôt heureuse. Jusqu’à une certaine période, où tout bascula. Oui je sais, là je suis dans un cliché total. Mais c’est l’histoire de ma vie. En fait, ma mère nous quitta. Une vilaine maladie qui la terrassa. Je sais, c’est plutôt ironique vu son métier de l’époque. On a dut faire en conséquence. Je n’avais que 12 ans. C’est à cette période que la puberté se met en route. Qu’on évolue, que notre caractère change aussi. J’aurais pu me renfermer sur moi-même, perdre toute confiance et devenir un être fragile. Mais ce ne fus pas le cas, à vrai dire.
Mon père m’a beaucoup soutenu. Et alors qu’il n’était jamais là, il prit quelques semaines afin de rester avec moi pour m’aider à aller mieux. J’ai réussi à traverser ça grâce à lui. J’ai toujours idolâtré mon père. Pour son courage et pour sa détermination. Mais après cette dure épreuve, il est devenu mon héros. J’ai pris la décision de devenir comme lui à partir de cet instant. Il ne passe pas un jour sans que je pense à ma mère. À la relation qu’on aurait maintenant. À ce que je serais devenu si elle était toujours parmi nous. Je pense à elle constamment, je ne fais rien sans me dire que j’ai son approbation. Ça peut paraître ridicule. Mais pour moi, c’est important. J’ai continué ma vie comme j’ai pu, j’ai vécu une adolescence plutôt heureuse en dépit de tout ça. Même si une nouvelle épreuve vint me frapper en plein visage. Vers 14-15 ans, j’ai découvert être gay. Enfin, découvert… disons que j’ai commencé à me l’avouer à moi-même. Et sur ce point, je n’ai pas vraiment évolué. Je suis toujours envie l’être et le paraître. Il y a même des jours où je préfère me mentir à moi-même pour ne pas souffrir de la vérité. En fait, mon père ne le sait pas. Mes amis non plus. Mes proches, de manière générale, ne sont pas au courant. J’ai peur de leur réaction. Peur d’être rejeté. Peur d’être mis de côté. Mes amis sont des sportifs. Le genre de mecs qui ne fréquentent pas forcément d’homosexuels. Donc, c’est normal d’avoir peur, non ? Et puis mon père. Il a pris sa retraite. Mais ça n’enlève pas qu’il a été militaire. Et dans ce milieu, l’homosexualité fait débat. Je ne veux pas lui imposer ça. Je veux dire, il n’a pas à subir mes doutes et mes interrogations sur une orientation sexuelle que je ne suis même pas sûr d’avoir. Je n’ai jamais eu de petit-ami, encore moins de copine. Comment je pourrais être sûr que je suis gay ? Les filles ne m’attirent pas. Les mecs si. Ça fait de moins un homo ? J’en sais trop rien, et ça m’énerve de me répéter sans cesse les mêmes questions.
Enfin… à partir de cette découverte, à l’adolescence, j’ai commencé à me mettre au sport. J’avais besoin de canaliser certaines peines, certaines colères. J’ai un peu tout fait : la musculation, en passant par la natation mais aussi par le golf. Je dois dire que ce dernier ne m’a pas vraiment emballé, mais j’ai testé. C’est déjà ça. D’ailleurs, je continue à en faire à l’université. Parce que ouais, je suis à l’université maintenant. Ça fait déjà… 7 ans, wow. J’imaginais pas y être depuis aussi longtemps. Je fais des études pour être genre journaliste. C’est un peu le rêve de mon père, j’ignore pourquoi. Je lui ai pourtant dit que je voulais devenir militaire. Pas un journaliste, parce que ça craint un peu. Je pense qu’il ne veut pas que je suive ses traces. Enfin, j’essaye de lui faire plaisir. J’ai des bonnes notes, je suis presque sûr de finir diplômé. Jusqu’à maintenant, il m’a paru hyper satisfait donc je continue dans cette voie. J’avoue que l’université m’a un peu changé depuis que j’y suis. Pour plusieurs choses. Je pense que j’ai eu de mauvaises fréquentations. On m’a mis dans la tête que ma singularité dû à mon argent devait forcément me rendre arrogant et prétentieux et inconsciemment, je le suis devenu. Certes, ça ne se voit pas à l’écriture mais très franchement, je me trouve parfois détestable. À force, j’ai obtenu une certaine réputation que je dois tenir. Alors je continue d’être détestable, comme si je ne pouvais faire autrement. Et puis, il y a ce secret. Ça ne m’aide pas à être moi-même. Non seulement personne ne sait que je suis gay mais en plus je me suis embourbé dans cette histoire avec ce garçon là… Finnian. On est proche, on se voit et il arrive qu’on couche ensemble. Depuis quelques temps, on se voit même plus. Son ex est revenu d’on ne sait où, alors je me suis effacé. J’ai le droit de dire que ça me gonfle carrément ? Non pas que Finnian soit content et tout. Mais je sens pas ce mec-là, Sauron qu’il s’appelle. Parce qu’il est réapparu sans crier gare et sans se demander si Finnian pouvait avoir retrouvé quelqu’un. À croire qu’il se croit tout permit ! Quoiqu’il en soit, on ne se voit plus. Mais cette histoire ne m’a pas aidé à devenir plus agréable à vivre. Il me manque peut-être un peu, et ça me rend irritable. Je peux pas saquer les filles et leurs problèmes d’ongles cassés. Je ne peux pas saquer mes amis qui me parlent de filles qu’ils veulent se faire genre, à longueur de journée. Et avec tout ça, je ne peux pas trainer avec des gays parce que les rumeurs feraient vite le tour du campus. Alors ouais, je suis irritable avec toute cette histoire. Mais… bon, finalement, peut-être pas plus que d’habitude. Disons juste que pour une fois, celui que je suis vraiment est en adéquation avec celui que je laisse paraître. Mais bizarrement, ça ne me plait pas vraiment…
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Une grande étape de ma vie ? Si j'écoute mon père, et je suis parfois tenté de le faire, alors c'est là que mon avenir se joue. Selon moi, il ne s'agit que d'une étape de ma vie. Je ne compte pas me servir du résultat de mes études, de ce diplôme tant convoité. Alors... ouais, une étape, une bonne expérience, des amis, des fêtes... Tout ça quoi'.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Shots de tequila. Question de goût. Mais il n'y a que moi qui trouve que cette question ne sert pas à grand chose. Sérieusement, on peut en savoir plus que le caractère de quelqu'un en sachant ce qu'il préfère boire comme alcool ?
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Le sexe, c'est le maaaal. Non sérieusement ? Je pense que la tentation est partout et qu'il n'est parfois pas facile d'y résister. Je sais qu'il m'est arrivé d'y céder et que j'y céderais sans doute encore. Je ne suis pas du genre à rester chaste jusqu'au mariage. Mais je ne suis pas non plus du genre à coucher tout le temps et avec n'importe qui. Alors non, le sexe ce n'est pas mal. Mais pour autant, ce n'est pas à prendre à la légère. Et ouais, responsable le Graham.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fier ? De mon petit secret ? Quand j'y pense, je ne suis pas vraiment fier de moi. Je n'assume pas. Certaines fois, je me dis que je pourrais et que je me ficherais des conséquences. Et la seconde d'après, je perd toute once de courage et je renonce à le dire à qui que ce soit. Donc ouais, je ne suis pas forcément fier d'être lâche sur ce point. Mais heureusement, personne ne sait que je le suis. À part peut-être Finnian.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Je le dirais quand il en publiera. Je suis peut-être le seul sportif sur lequel il n'a rien à dire. Je ne couche pas avec les pom-pom girls, je ne bois pas à en dormir sur le gazon et j'ai des bons résultats qui m'assurent un avenir brillant. Alors l'Oxymoron, c'est le dernier de mes soucis. Il ne me fait pas peur. Tant que je ne lui donne pas matière à spéculer, alors je ne crains rien.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle ? Je me ronge les ongles, j'enroule mes mèches de cheveux autour de mon doigt, je bois énormément de café... je suis rempli de petite manie, de geste quotidien qui m'énerve ou qui énerve les autres. Pour autant, je n'ai pas envie d'y renoncer. Chacune de ces actions m'aident à me canaliser. Je suis du genre impulsif, et si je ne fais pas ces choses, alors je serais à fleur de peau. Je préfère avoir des ongles moches, mais ne tuer personne. Vous me comprenez, non ?
pseudo/prénom Kévin âge 21 ans lieu d'habitation En Picardie, le presque-nord où as-tu connais le forum On m'a passé le lien sur PRD t'en penses quoi? Ma foi, je l'ai choisi entre 4-5 forums, donc j'en pense du bien  Scénario ou Inventé? Scénario. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Pourquoi pas, pour débuter. un dernier mot? Baaah non 
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Dernière édition par Graham Hermann le Mar 7 Avr - 0:22, édité 5 fois |
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Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
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| | Sujet: Re: Graham Hermann ► Entre l'être et le paraître. Mar 7 Avr - 0:15 | |
| Parfait ta présentation Graham, j'attends l'aval de Finnian pour te valider car tu es son scénario  Je te validerais sans doute demain dans l'après midi car je ne me connecte pas avant, donc pas de stress (Il y a point S  ) Et je suis ton parrain petit scarabée |
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c'est FINDUS qui va être content 
Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces !