| | | Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ |  |
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| Auteur | Message |
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 | | Sujet: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 1:25 | |
| Eléonore Daisy Leicester
❝ Si vous n’avez pas de questions, c’est à moi qu’il faut les poser ! Et si vous voulez mon opinion ; ça j’peux aller vous la chercher ! ❞ 
identification complète Eléonore Daisy Leicester. âge 21 ans. lieu/date de naissance 08/05/94, à Cardiff. études suivies et année Arts plastiques, 4ème année. job Vendeuse à la games workshop orientation sexuelle Pansexuelle. statut et ça l'arrange, les histoires de couples, c'est pas fait pour elle ! statut social ££££ (mettez en gras. 1£ pour les revenus faible, 2 pour les revenus moyens, 3 pour les aisés et 4 pour les riches). caractère fragile - solitaire - secrète - a des tendances maniaco-dépressives - cyclothymique - douce - créative - féminine - résiliente - optimiste - méticuleuse – alternative – ironique – impulsive – écorchée vive – généreuse – femme-enfant – grande gueule si cela s’impose car ne se laisse pas marcher sur les pieds – indépendante – adepte de l’autodérision – tête en l’air – Surprenante - Gourmande. groupe Oxford Students. avatar Chloe Norgaard.
Welcome to the jungle
 Elle a toujours un calepin de dessin dans son sac, afin d’y griffonner à n’importe quel moment de la journée. Cependant, il n’est pas rare que, lorsqu’elle souhaite dessiner et qu’elle a la flemme de sortir son calepin, elle dessine sur tout ce qui lui tombe sous la main, ça passe par la serviette en papier lorsqu’elle est dans un restau mais aussi à ses billets de banque. Par exemple, si vous avez un dessin d’araignée rampant sur l’un de vos billets, ne cherchez pas d’où il sort...
Etant donné que sa mère est française, on pourrait croire que la jeune artiste a souvent été dans le pays de Molière, mais elle n’y a mis les pieds qu’une seule fois, durant l’été dernier, pour des vacances entre potes. Elle eut un véritable coup de cœur pour ce pays, mais uniquement pour l’Art français.
Personne ne touche à ses cheveux sauf elle, lorsqu’il s’agit de faire ses couleurs. Elle préfère gérer cela elle-même, pour avoir le résultat auquel elle pensait.
Depuis son plus jeune âge, elle est sujette à des sauts d’humeur, ce qui fait qu’elle a longtemps été qualifiée de lunatique ou encore de bipolaire. En réalité, elle souffre d’un étrange mélange de cyclothymie et de maniaco-dépression. Elle prend un traitement depuis près de 2 ans maintenant, mais elle a encore du mal à le prendre régulièrement, parce qu’elle est tête en l’air, mais aussi et surtout parce qu’elle déteste se sentir et se savoir malade.
Eviter de lui parler de son passé si vous ne voulez pas la voir se refermer sur elle comme une huître. De même, évitez tous les sujets qui touche de trop près à sa mère, et aux mères en général. La fête des mères est celle qu’elle déteste le plus, tout comme elle déteste de voir des gens très proches de leurs mères. Vous vous en doutez, elle a quelques difficultés avec sa mère...
A cause de sa mère, d’ailleurs, elle n’aime pas vraiment Noël. Avant, c’était une fête qu’elle méprisait, maintenant, elle parvient à la fêter sans sentir l’ombre de sa mère planer autour d’elle, mais n’allez pas imaginer Eléo’ s’exciter dès que Décembre arrive, juste pour Noël...
Il y a quelques années, elle a découvert que ses parents n’étaient pas ses parents biologiques. Eléonore n’a pas été adoptée, elle a été échangée à la naissance.
Son plus grand rêve serait d’être une artiste touche-à-tout dans le domaine du graphisme, et plus particulièrement au dessin, à la sculpture et à la peinture. Elle aimerait que ses dessins illustrent des romans ou encore des BD/mangas, que certains s’en inspirent pour faire des tatouages, mais aussi que ses œuvres se retrouvent dans les salons des gens ou dans les musées. Mais, bien qu’elle soit rêveuse, elle est aussi réaliste, aussi espère-t-elle plutôt devenir restauratrice d’œuvres d’art.
Elle a apprit à jouer de la guitare avec son père, lorsque celui-ci parvenait à se dégager du temps libre pour sa fille. Bien que celui-ci lui ait proposé de lui offrir une guitare neuve, elle a préféré prendre la sienne (qui ne lui servait plus), afin d’avoir toujours un morceau de son père avec elle, où qu’elle aille. Elle joue également du piano, ayant appris avec une camarade de classe au collège.
Très gourmande, elle ne sait résister à un gâteau (et encore moins s’il est au chocolat) et au chocolat en général. Elle adore les fruits et en mange au moins un à chaque repas. Elle n’est pas fan des yaourts (peu importe leur saveur), déteste le thé (préfère le café) ainsi que la cannelle mais aussi les plats trop épicés.
Bien que le premier prénom de la jeune femme soit Eléonore, dès sa naissance, tout le monde l’appelait Daisy. Non par caprice, mais parce que Daisy est le prénom de sa grand-mère paternelle, et que celle-ci n’a pas apprécié de voir que sa seule petite fille n’avait pas hérité de ce prénom qui faisait sa fierté. Lorsque sa grand-mère l’a repoussée après avoir appris qu’Eléonore n’était pas sa petite fille biologique, la jeune artiste a décidé de tirer un trait sur son passé : exit Daisy, bienvenue Eléonore !
La culture geek n’a aucun secret pour elle, et elle en est fière : elle est une fan incontestée des Marvels, Comics, mangas et série comme Star Trek ainsi que de film comme Star Wars. Énumérer les jeux vidéos qu'elle adore serait trop long ! D’ailleurs, certains de ses tatouages rendent hommage à cette culture qu’elle aime tant (et oui, Eléo est tatouée !).
The story of my life
Le soufflé court, l’oreille écrasée contre la porte, je ne perds pas une miette de la dispute qui oppose mes parents dans le salon. Je me fais la plus discrète possible, car je sais que mes parents n’apprécieront pas de me voir debout en cette heure tardive. Je ne me souviens que trop bien de ce qui s’était passé l’année dernière : ma mère m’avait surprise hors du lit, et m’avait vivement fait savoir qu’il était impératif que j’aille me coucher, sinon, le Père Noël ne pourrait passer chez nous. Elle n’avait pas crû un seul mot lorsque j’avais prétendu être debout pour rechercher Rusty, sachant que je veillais scrupuleusement à ne jamais m’éloigner de mon doudou qui me suivait depuis ma naissance. S’il est vrai que l’année dernière, la curiosité de percer le mystère du Père Noël m’avait réveillée, cette nuit, il n’en était rien, j’avais été tiré des bras de Morphée par les éclats de voix, certes mesurés, qui filtraient à travers la porte de ma chambre. Je sais toutefois que ma mère n’accepterait une telle excuse, elle ne me laissait jamais rien passé, dans sa froideur qui la caractérise lorsqu’elle s’occupe de moi. « Tu ne peux pas partir ce soir ! », répète mon père, d’une voix désemparée. « C’est la nuit de Noël : tu vas détruire Daisy ! ». Un ricanement désabusé accueille cette phrase, suivit d’un : « Elle n’est pas Daisy, notre fille ! ». Un bruit de valise que l’on referme vivement ponctue la réplique de ma mère. « Comment peux-tu dire ça ? Elle est notre fille, tu le sais aussi bien que moi ! Tu... », rétorqua mon père, qui fut interrompu par ma mère : « Je te l’ai déjà dis, je le sens, à chaque fois que je la regarde, que je la prenne dans mes bras, qu’elle me parle... ». Des bruits de pas se font entendre. « Tu veux savoir ce que je crois ? », crache alors mon père, « tu n’as jamais réussis à accepter notre vie modeste, et ce, depuis que tu as revus ton ex-fiancé, juste après la naissance de Daisy ! Avec lui, tu aurais eu la vie de princesse dont tu as toujours rêvé, alors qu’avec moi, tu n’as eu qu’une vie banale. L’histoire de Daisy, ça n’est qu’un moyen de me reprocher tout ça ! Grandis un peu, c’est ta fille bordel, elle a besoin de toi ! ». Le discours de mon père a vraisemblablement réussi à toucher ma mère, car je n’entends plus ses talons claquer contre le sol depuis le milieu de la tirade. Un silence prend alors place, comme si ma mère réfléchit à ce qu’il vient de lui dire. « Tu te trompes Sean. Ca n’est pas ça. Je ne suis pas un tel monstre, c’est juste... Je sens que ça n’est pas notre Daisy. Et ça me bloque lorsque je suis avec elle. Je ne peux l’aimer comme je devrai aimer notre fille, car elle ne l’est pas, et je sais que tu refuses de voir la réalité en face. Si tu veux continuer à vivre dans le mensonge, vas-y, mais ne m’oblige pas à continuer plus longtemps. Je ne ferai pas de tests ADN pour ne pas briser ton monde parfait, de toute façon, le mien est déjà en pièces : jamais je ne retrouverai notre Daisy... ». Un étrange pressentiment m’étreint, je sens que ces paroles seront les dernières que ma mère prononcera jamais dans l’appartement qui m’a vu grandir. Mon instinct me pousse à me montrer, quoi que cela puisse me coûter par la suite comme punition. J’ouvre donc la porte de ma chambre pour voir ma mère se diriger vers la porte d'entrée de notre modeste appartement, ses valises à la main, sous le regard effondré de mon père. « Maman, reste ! », dis-je en courant vers elle. Elle se fige en m’entendant, ce qui me permet de la rejoindre, pour la serrer dans mes bras. « Ne nous abandonne pas ! », voici la supplique qui sort de ma bouche d’enfant dont l’innocence ne sera bientôt plus qu’un vague souvenir. « Reste ! ». Lentement, elle me serre dans ses bras, mais toujours avec la distance qui la caractérise lorsqu’elle se montre affectueuse avec moi : je n’ai jamais connu l’étreinte chaleureuse d’une mère. « Je ne peux pas Daisy, c’est au-dessus de mes forces. Je suis désolée. », dit-elle avec une pointe de sincérité qui, jusqu’à cet instant précis, ne s’était pas encore manifesté. Elle n’ajoute rien d’autre, et je sens des larmes me tomber sur le crâne alors qu’elle se libère de mon étreinte. Mon père prend alors le relais, mais ses bras ne me réchauffent nullement, glacée que je suis en voyant ma mère franchir la porte de l’appartement, avec toutes ses affaires. La porte a à peine eu le temps de se refermer derrière elle que je me détache de mon père pour courir à la fenêtre de la cuisine, sachant que j’y verrai forcément ma mère, dans la rue. J’ouvre la fenêtre juste à temps pour l’apercevoir, et lui dire : « Reviens maman, je te jure que je serai très sage maintenant ! ». Vaine promesse d’une fillette de 7 ans, ignorée par sa mère...
C’est en sursaut que je me réveille. A tâtons, je cherche mon réveil sur ma table de chevet pour m’apercevoir qu’il est à peine 3h du matin. En poussant un soupir, je m’assois sur mon lit, me passant une main sur le front afin d’y effacer les traces de sueur. Cela a beau faire 6 ans que ma mère est partie, cette scène me hante toujours, avec un réalisme impressionnant. Il est certes possible que j’ai ajouté des choses, vu que cela a eut lieu il y a des années, mais le gros de la scène se résume en quelques mots : la veille de Noël, ma mère nous a abandonné, mon père et moi. C’est pour repartir de zéro que mon père a accepté d’être muté à Londres. « Une nouvelle ville pour une nouvelle vie ! », s’était-il écrié lorsqu’il m’avait annoncé la nouvelle, et avait tout mis en œuvre pour me convaincre du bien-fondé de déménager. Cela n’avait pas été aisé, j’avais peur de partir, peur que ma mère ne saurait pas où nous retrouver. Mon père m’a rassuré en me faisant savoir qu’on lui communiquerait notre nouvelle adresse. Et, je crois qu’au fond de moi, je sentais qu’elle ne reviendrait pas. Les enfants, en dépit de l’innocence propre à leur âge, ne sont pas bêtes. Ils savent comprendre la dureté cachée derrière des mots, la souffrance cachée derrière des regards... En bref, j’avais compris. Compris que ma mère ne reviendrait jamais et compris qu’elle ne m’aimait pas. Néanmoins, il subsistait un espoir au fond de mon âme d’enfant, espoir qui m’avait poussé à me comporter comme un ange après le départ de ma mère, pour essayer de lui faire comprendre que je pouvais arrêter de faire des bêtises. Non pas qu’à cette époque, j’étais réellement une enfant pénible et turbulente, j’étais comme tous les autres gosses, faisant des petites bêtises de temps à autre. Mais là, c’était fini, j’avais tout arrêté : je m’étais mis à faire mes devoirs avec plus de sérieux, j’avais même arrêté de dessiner car je savais que ma mère détestait cela (encore plus lorsque mon art s’exprimait sur les murs de ma chambre !), j’étais une enfant adorable, en somme. Alors c’est également cet espoir qui m’a poussé à cesser de ronchonner lorsque mon père parlait de Londres. Je voulais montrer à ma mère que j’avais grandi, que je pouvais me plier à leurs décisions sans râler. Mes efforts ont d’ailleurs continué dans la capitale. Du moins, la première année...
Par la suite, la maturité est arrivée jusqu’à ma porte, sans même frapper pour s’annoncer. Rien de tel que de se prendre en pleine gueule la triste réalité pour cesser de croire aux belles histoires dans lesquelles la famille finit toujours par se réunir pour vivre heureuse, à jamais. Une simple exploration dans l’armoire de votre père sous le coup de la curiosité, avec comme fruit de votre récolte quelques lettres envoyés par votre mère, et le tour est joué. Petit bémol qui a son importance toutefois, dans ces lettres, pour que ça vous détruise bien, il faut que votre mère écrive, noir sur blanc, qu’elle ne retrouvera jamais, qu’elle se sent à présent bien plus heureuse et libérée, maintenant qu’elle est éloignée du foyer qui l’étouffait autant. La cerise sur le gâteau est cependant de lire qu’elle est toujours persuadée que vous n’êtes pas la chaire de sa chaire.... Pour ne pas passer pour la connasse de sans-cœur qu’elle était en réalité, elle avait la « bonté » de m’envoyer des cadeaux pour Noël ou pour mon anniversaire. Cadeaux que, depuis 3 ans maintenant, je n’ouvre même plus, demandant à mon père de les lui renvoyer. Je ne veux plus rien devoir à ma mère, partant du postulat qu’étant donné qu’elle ne me considère pas comme sa fille, il est préférable pour moi de considérer que ma mère est morte. C’est d’ailleurs ce que je raconte à l’école ou à tous mes camarades de classe. Parce que j’ai beau faire comme si cela ne m’atteignait pas, je ne supporte pas de voir dans les regards des autres la pitié qu’on réserve à une gosse qui a été abandonnée par sa mère, je préfère qu’ils me prennent en pitié car ils pensent que je suis réellement orpheline de mère... Car celle-ci, de toute façon, à part essayer de s’acheter une bonne conscience en m’envoyant des cadeaux à la con de temps à autre, elle se contente de payer la pension alimentaire, sans donner plus d’argent que la loi ne l’exige : que mon père se tue au travail pour me garantir une scolarité dans de bonnes écoles ne la dérange pas ! Donc, les Comics ou autres trucs dans la même veine qu’elle peut m’envoyer, elle peut se les foutre là où je pense, et le plus profondément possible !
Je pousse un soupir en tendant le bras pour allumer la lumière, et sortir de mon lit, pour aller me chercher un verre d’eau. En traversant ma chambre, mon regard se pose sur mon étagère, sur laquelle trône Rusty, le doudou de mon enfance, qui est aujourd’hui dans un état aussi pitoyable que je le suis, même si moi, je cache cela sous mon attitude. Mon cœur se serre alors, car ce misérable chien en peluche me fut offert par ma mère, et est l’une des rares choses que j’ai conservées et qui soit liée à cette femme. Je sais que je devrai le jeter, mais, faible que je suis, je ne parviens à me séparer de l’un des symboles de mon enfance. En serrant les poings, je décide de continuer mon chemin au lieu de me replonger dans une douloureuse réflexion. Je ne prête même plus attention à mon reflet, que je peux aperçevoir rapidement grâce à la glace accroché à ma porte de chambre : mes cheveux multi-colorés sont à présent une habitude pour moi. Cela doit faire 2 ans que je mets ainsi de la couleur dans ma vie, illustrant ainsi parfaitement une phrase qui me tient à cœur : « Tout le monde veut le bonheur, personne ne veut la douleur, mais tu ne peux avoir un arc-en-ciel sans avoir un peu de pluie... » Je suis un arc-en-ciel, je suis née dans la souffrance et les larmes, c’est à la fois ma plus grande force, mais aussi ma plus grande faiblesse... En silence, je rejoins la cuisine, veillant à ne surtout pas faire de bruits qui pourraient réveiller mon père : il a besoin de dormir. Il n’a de cesse de faire toujours plus d’heures de travail, afin de m’aider à réaliser mes rêves en m’offrant la meilleure scolarité possible. L’attention est des plus adorables et admirables, mais il devrait ouvrir les yeux : cela fait bien longtemps que je ne rêve plus. Je suis le curieux paradoxe de l’artiste qui peut donner vie à plein de choses avec un simple crayon, mais qui, dans un même temps, sait que le monde dans lequel elle vit est.... sombrement merdique... Cette pensée m’arrache un sourire ironique alors que je regagne ma chambre, à présent que ma soif a été étanchée.
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« Putain t’as une sale gueule ma vieille ! ». Bien que cela ne soit pas les mots que l’on préfère entendre dès le réveil, je dois admettre, tandis que je me contemple dans le miroir, que Miranda a raison. « Bordel, ta voix est hard à supporter dès le matin, tu sais ! », dis-je à ma comparse en fouillant dans son armoire à pharmacie. Je connais sa maison comme ma poche, pour y avoir passé des tonnes de soirées et un paquet de fêtes, ces 8 dernières années, ce qui fait d’elle ma plus vieille amie. Je ne suis pas sûre qu’il y ait de quoi s’en vanter, vu que les innombrables conneries que l’on a faites ensemble, mais bon... Si elle n’avait pas été ma camarade de prédilection pour m’aider à mettre de la débauche dans ma vie, ça aurait été une autre personne qui aurait rempli cette fonction, vous savez ? C’est avec Miranda que j’ai commencé à faire la fête, que j’ai découvert l’alcool, la drogue, celle qui m’a fait comprendre que les filles m’attiraient également, mais aussi la 1ère avec laquelle nos rapports ont été plus loin que de simples baisers. Elle m’a d’ailleurs fait réfléchir sur moi : si je ne souhaite pas me ranger dans une catégorie, c’est juste pour ne pas limiter les possibilités affectives que ça engendre. C’est dingue à dire lorsqu’on me voit, tantôt pétillante et pleine de vie, tantôt renfermée sur moi et blasée, cependant toujours avec des cheveux farfelus, mais j’ai besoin d’affection, pour combler le déficit affectif que j’ai depuis mon enfance. Entre une mère qui s’est sauvée comme une pétasse, et un père qui passe plus d’heures à trimer qu’à s’occuper de moi, on ne peut pas dire que j’ai croulé sous les câlins.... Sans doute pour ça que je suis pas forcément douée à ce niveau, j’en ai pris conscience avec Angus. Qui est Angus ? C’est... compliqué. Nous avons été amis pendant quelques mois. Enfin, non, en fait, je doute que nous ayons réellement été amis, il y a toujours eu un goût de « plus » entre nous. Mais j’ai mis longtemps avant de l’admettre : je suis du genre à prendre peur lorsque je me sens fortement attachée à quelqu’un, au point que la présence de l’autre m’est presque essentielle. Je déteste dépendre de qui que ce soit. C’est pour ça qu’il n’était pas prévu qu’Angus soit mis au courant de mes sentiments, mais... bordel, je vous apprends rien, la vie est pleine de surprises. Alors que je plonge la pastille d’aspirine dans un verre d’eau, je continue mon introspection.
Durant approximativement 3 ans, Angus a été un pilier dans ma vie chaotique. Pilier que j’ai malmené, au gré de mes humeurs. Il a été la 1ère personne dont j’ai réellement été amoureuse, mais cela n’a eut de cesse de me faire peur. Je ne suis pas faite pour l’amour, suffit de voir le merdier existant dans mon entourage : ma mère m’a abandonnée, et mon père se tue au boulot... Des amitiés, j’en ai pas réellement, comme Miranda, c’est juste de potes de Débauche. La seule personne qui m’ait réellement connu, c’est Angus. Et paradoxalement, c’est aussi la personne à laquelle j’ai le plus menti. J’avais pas envie qu’il sache pour ma mère, mon père m’aidant depuis des années à faire croire qu’elle était morte. Il n’a jamais su que j’étais un imposteur : Daisy Leicester, ça aurait dû être une autre, si nous n’avions pas été échangées à la naissance. Cette sombre découverte, l’année de mes 13 ans, m’a encore plus incité à sombrer dans les brumes des fêtes endiablées pour oublier que ma vie n’était qu’un tissu de mensonges... Il m’était déjà douloureux d’admettre cette réalité, il m’était impossible de m’en ouvrir à Angus. Ca n’aurait été pour moi qu’un moyen de mettre en exergue le fait que nous n’étions pas fait l’un pour l’autre, car nous n’aurions jamais dû nous rencontrer ! Si j’avais été cette Olivia, et que ma route avait croisée celle d’Angus, sans doute n’aurions nous pas sympathisé, et peut-être même que nous n’aurions pas été attirés l’un par l’autre. Parfois, je me disais que ça n’aurait pas été plus mal : nous n’aurions jamais été pris dans une relation destructrice. Lorsque je repense à tout cela, je me dis que si ma vie aurait été différente, dans ma réelle famille ou non, je n’aurai pas été aussi néfaste pour Angus. Je n’aurai pas un tel caractère instable, je n’aurai pas passé mon temps à aller voir ailleurs lors de nos innombrables séparations, et je ne me serai pas tapé le patron de mon père, causant ainsi notre séparation définitive....
« Je songe à te faire payer les aspirines un jour, tu sais ! », déclare Miranda, me faisant sortir de mes pensées. Je lui adresse un doigt d’honneur avant d’ingérer l’eau médicamenteuse qui, je l’espère, apaisera mes maux de tête. « Oliva Rosebury ! », dis-je dans un murmure en m’observant dans le miroir, tâchant d’imaginer ce qu’aurait été ma vie si j’avais grandis parmi les miens. Mais un grimace se dessine sur mon visage : je déteste ce patronyme, je déteste cette Olivia qui ne symbolise que trop à mon goût le fiasco qu’est ma vie. C’est elle qui a rajouté une couche à mon Enfer en apprenant à mon père et moi que je n’étais pas une Leicester.... « T’es sûre que tout va bien, Dais... Eléonore ? », me demande Miranda, ayant encore du mal à utiliser mon 1er prénom pour s’adresser à moi. Manie que j’ai imposé à mon entourage depuis quelques semaines. Parce que Daisy est le prénom de la mère de mon père, et qu’elle m’a reniée lorsqu’elle a appris la vérité sur ma naissance (on a tenu cela secret avec mon père, ne tenant guère à ce que cela s’ébruite : notre vie était assez merdique comme ça, pas besoin d’ajouter les journalistes et autres curieux à la con !). Une autre raison de mon désir de ne plus être appelée Daisy, c’est que ce prénom est trop lié dans mon esprit à Angus. Il avait une manière de prononcer ce prénom qui me donnait l’impression d’être quelqu’un de réellement important, qui peut compter dans la vie d’autrui. Et c’était une sensation enivrante, plus additive que n’importe quel alcool ou drogue. Je refuse d’être la Daisy de quelqu’un d’autre...
« Mir, tu crois que je suis folle ? », voici la seule phrase que je rétorque à sa question. Cette interrogation me hante, parfois, lorsque je tente de comprendre pourquoi j’agis et réagis ainsi. Je suis un véritable ascenseur émotionnel, c’est pas normal, non ? Parfois, je me dis que je suis trop brisée pour être normale, pour aimer et me laisser aimer, pour ne pas chercher des alternatives dans la débauche au lieu de consulter un psy. La vérité, c’est que j’ai peur d’être folle. Et à voir le regard que me lance Miranda, elle aussi doit se parfois s’interroger sur ma santé mentale. Même si elle est considérée comme une marginale dans notre lycée, elle l’est nettement moins que moi... Elle n’a jamais tagguée la maison d’un de ses profs, la nuit, en réaction à une mauvaise note qu’elle estimait ne pas avoir mérité. Bien qu’elle ait participé à l’expédition, elle n’a pas été à la tête d’un petit groupe ayant pour but de se rendre dans le collège adverse pour y voler leur mascotte afin de déstabiliser l’équipe de polo rivale la veille d’un match important. Elle n’a jamais ligoté contre une rambarde du stade de foot une peste qui avait tenté de s’immiscer entre elle et son petit ami (oui, j’ai fais le coup à une crétine qui voulait éloigner Angus de moi pour avoir le champ libre avec lui.) Elle ne se fait pas des teintures farfelues, n’a pas en permanence les mains sales à force d’user ses crayons sur ses carnets à dessin ou à sculpter des œuvres dignes de figurer à Wonderland. Elle n’a jamais passé un soir d’Halloween dans le cimetière à appeler les esprits avec des potes. Elle n’a jamais hurlé qu’elle allait se tuer, dans des toilettes, en pleine fête de lycéens.
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J’ai beau prendre des médoc pour passer des nuits plus sereines, aujourd’hui encore, je m’éveille à plus de 4h du matin. Par chance, je parviens à étoffer le cri qui s’apprêtait à franchir mes lèvres. Il ne faudrait pas que je réveille mes coloc’. Eden pourrait venir me réveiller demain matin à coup de verre d’eau balancé à la gueule pour me faire payer de l’avoir éveillée en pleine nuit (pour une fois qu’elle tente de se reposer au lieu de faire la fête !), et Tallulah serait capable de débarquer ici immédiatement pour me demander ce qui ne va pas. Eden, c’est une nana qui me ressemble pas mal, à bien des égards, et que j’ai rencontré lors de mes études à Oxford. Ouais, je suis à Oxford, on dit merci à mon père qui s’est endetté pour me permettre d’étudier ici.... Bref... Tallulah, c’est ma demi-sœur. Mon père a fini par refaire sa vie, depuis quelques années maintenant. Elle avait, elle aussi, déjà été mariée, mais avait deux enfants : Judicaël, qui a 4 ans de plus que moi, et Tallulah, qui a mon âge. Les premiers temps, ce fut compliqué de vivre tous ensemble. A présent, ça va mieux. Je n’irai pas jusqu’à dire que je considère leur mère comme la mienne, loin de là, mais je l’apprécie : elle guérit les blessures de mon père. Quant à Judi et Tal’.... Je crois que Judi me tourne plus ou moins autour, et ça m’amuse : après tout, il est mignon, mais j’ai pas envie de ça, pas envie de le flinguer avec mon aura néfaste... Bref, je flirte avec lui, je joue un jeu potentiellement dangereux, mais c’est sous contrôle. De toute façon, je suis pas prête pour une relation sérieuse, et si tel venait à être le cas, il ne serait pas celui que je choisirais. Tal’, quant à elle, elle est devenue au fil du temps ma meilleure amie. Je l’adore, même si j’ai envie de l’étriper lorsqu’elle me parle d’Angus et me suggère d’aller le saluer. Car oui, il est aussi à Oxford, même si dans son cas, c’est moins surprenant que dans le mien. On s’est peu à peu perdus de vue, pour finir tous les deux à Oxford. On peut comprendre que je n’ai pas sauté de plafond lorsque j’ai été accepté ici, je savais que je pourrai le recroiser, et que ça serait douloureux. Et ça n’a pas manqué, même si, pour l’heure, je ne l’ai aperçu que de loin, m’éclipsant à chaque fois. Je sais pas trop où j’en suis par rapport à lui, même si je pense avoir quelque peu grandi depuis le lycée, je ne suis pas sûre d’être moins toxique pour lui et instable émotionnellement. Mes fêlures d’enfance sont toujours là, et ont été rejointes par d’autres, au gré de la vie. Ma mère (pas la biologique), refuse toujours de me voir, j’ignore même où elle se trouve, et ma mère biologique semble ne même pas se soucier de moi. J’ai eu un accident de voiture alors que Miranda conduisait, accident suite auquel j’ai eut quelques blessures, emmerdantes, douloureuses mais sans grande gravité. Accident qui a coûté la vie de Miranda, me faisant ainsi perdre ma plus vieille amie...
Sachant que je ne vais pas me rendormir de suite, je tends le bras vers ma table de chevet pour attraper ma liseuse, que je mets en marche. Bien souvent, que je me dis que mes médicaments pour dormir sont aussi inutiles que ceux que je prends pour soigner mes troubles du comportement. Bordel que j’aime pas être malade, ça me donne l’impression d’être folle. Et j’ai pas besoin de ça pour avoir ce sentiment ! Je dois vivre en sachant qu’Angus n’est pas si loin que je l’avais prévu lorsque je me projetais en fac, mais aussi en sachant qu’Eden, ma cousine (enfin, celle de ma vie de fausse Eléonore Leicester), vit avec Olivia (sa véritable cousine, même si Eden l’ignore : secret inavouable de famille oblige, rare sont les personnes au courant de cela.). Je me demande bien souvent si cette pimbêche d’Olivia ne va pas essayer d’éloigner Eden de moi, parce qu’elle me méprise. Et le hasard faisant foutrement mal les choses, je croise souvent Olivia, car elle vit avec ma cousine, qui est également une amie à ma coloc’ Eden... Mais bon, je dois dire que je n'ai pas dit mon dernier mot : Laydiana, une amie d'Olivia et accessoirement son autre colocataire, s'avère être ma prof de piano. Oui, j'ai voulu approfondir mes connaissances sur cet instrument, et comme elle est étudiante en musique, et donne des cours, j'ai sauté sur l'occasion. Je fais d'une pierre deux coups : j'apprends le piano, et je me rapproche de Laydianna. Non, j'ai pas de vues sur elle, j'ai juste envie de faire chier Olivia ! Qui a dit que ma vie était merdique ? Ah, moi, pardon... Bon, allez, au lieu de divaguer, je ferai mieux d’aller dormir : demain est un autre jour, après tout !
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Un espoir de me construire un avenir brillant dans lequel les problèmes d’argent seront moins récurrents qu’à l’heure actuelle. Mais aussi la malchance de croiser souvent le fantôme de la vie que j’aurai dû mener quand je vois Olivia Rosebury parader sur le campus. Oh, et il ne faut pas oublier Angus... Bref, faut que je me concentre sur mes cours. Ou sur les fêtes....
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Les deux pardi ! J’aime déjà pas me limiter à un seul sexe ou genre pour me trouver un partenaire de jeux (oui, je parle bien de sexe !), alors je ne vais pas m’emmerder à choisir un alcool plutôt qu’un autre. Tant qu’ils remplissent leur office, à savoir, me faire oublier les cicatrices qui s’accumulent en moi : c’est parfait !
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Mais quelle question de merde ! T’es sérieux là ? Sachant que, depuis que j’ai découvert le sexe, (j’en garde pas un souvenir mémorable !), je m’en sers comme exutoire, comme moyen de me détendre moins néfaste que l’alcool ou la drogue... Pour moi, le sexe, c’est un très bon moyen de passer un instant agréable, si tant est que l’on ait un partenaire doué. Puis merde, c’est naturel après tout !
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Pff, un paquet ouais... Entre autre chose, j’ai donné ma virginité à un abruti, j’ai eu pour amant le patron de mon père et j’ai aussi fais croire à Olivia qu’elle n’avait pas perdu chez moi une écharpe à laquelle elle tenait. Ouais, elle est venue une fois ou deux à l’appartement à Londres, et elle m’avait tapé sur le système à donner l’impression de parader en dédaignant l’appart’ et notre vie modeste. Lorsque j’ai retrouvé son écharpe, peu de temps après son départ, je l’ai amené dehors avec moi, j’ai été chez Miranda, et on a brûlé l’écharpe. On avait un rituel : brûler les trucs qu’on aimait pas... J’ai beau ne pas aimer Olivia, je regrette assez mon geste, parce que bon... Elle est quand même malade, la pauvre, et son écharpe semblait importante à ses yeux....
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Bof, je m’en cogne. Qu’il dise ce qu’il veut sur moi, j’ai plus ou moins l’habitude qu’on parle de moi, pas toujours en bien d’ailleurs. Je suis pas le genre de nana qui passe inaperçue dans la rue, aussi bien par mon style capillaire, que par mes tenues parfois geek (disons que bosser dans une boutique à tendance geek aide à craquer pour quelques achats en tout genre, même si je fais gaffe, mon boulot m’aide à filer un coup de main financier à mon père pour rembourser son prêt.). Je disais donc qu’outre mes cheveux et mes fringues, j’ai aussi un comportement assez exubérant, lorsque je vais bien. Donc, j’attire l’attention sur moi, et les rumeurs les plus déjantées qui soit. Puisque les cons aiment à parler, je les laisse faire, ça les occupe !
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Un truc qui me vient de mon enfance et de mon désir d’attirer l’attention de ma mère sur moi, lorsqu’elle était encore avec nous : je sors parfois des mots en français, quand je suis surprise, agacée ou fortement énervée. Oh, et comme j’aime bien avoir les ongles de toutes les couleurs, j’ai toujours plein de vernis dans mon sac à main, et je me vernis donc les ongles à n’importe quel moment de la journée, dès lors que j’estime que cela est nécessaire. Je m’enlève aussi le vernis si besoin. Bref, je peux me faire les ongles en cours, au café, au ciné, au restau... Et puis bon, pour certains, mon comportement fluctuant est considéré comme une manie, et ça les insupporte : selon eux, je fais exprès d’être ainsi !
pseudo/prénom Cacahuète. âge Classé confidentiel XD. lieu d'habitation Quelque part en France. où as-tu connais le forum PRD. t'en penses quoi? Quelle question, voyons ! Si je suis ici, c'est que je déteste.   Scénario ou Inventé? Scénario  D'ailleurs, Angus, je te hais pour avoir fait un tel scénario  . Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Pourquoi pas ? un dernier mot? J'espère qu'Eléo' vous plaira ! Oh, et je vous ai ramené une folle, et sans doute d'autres qui suivront... Les gens sont faibles ! .
- Code:
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[code][b]Chloe Norgaard[/b] ✗ Eléonore D. Leicester[/code]
Dernière édition par Eléonore D. Leicester le Sam 18 Avr - 11:44, édité 9 fois |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 1:34 | |
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| | | | Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014
☆ potins balancés : 5082
| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 1:50 | |
| Bienvenue ma belle  Ca fait plaisir de voir un avatar aussi original, t'es belle !  Tu disposes de 7 jours pour finir ta fiche, si besoin demande un délais nous sommes là !!! |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 9:08 | |
| Bienvenue sur le forum !   J'espère que tu te plairas ici. Bonne chance pour ta fiche ! |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 9:23 | |
| Bienvenue à toi & bonne chance pour ta fiche ♥ |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 12:22 | |
| Merci beaucoup pour votre accueil !   Je n'hésiterai pas à demander un délai si besoin, normalement, je ne devrai pas en avoir besoin, mais bon, les imprévus, ça existe ! ^^ |
| | | | Alice Kensington-Crowlley ADMIN & POSH - la reine mère
☆ date d'arrivée : 06/12/2014
☆ potins balancés : 4007
| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 12:59 | |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 16:33 | |
| Bienvenue par ici !!  |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 22:48 | |
| Merci à vous ! ♥
Alice : On est deux à vouloir les cheveux de Chloe :P
J'espère que ma fiche te plaira ^^ |
| | | | Rae I. Fitzpatrick ADMIN — Wisdom's speaking to you
☆ date d'arrivée : 06/12/2014
☆ potins balancés : 2583
| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Jeu 16 Avr - 23:11 | |
| J'KIFFE C'TE MEUF \o/ Bienvenue dans l'coin, magnifique rainbow. Colour my world with your cuteness, owé.  En plus, j'adore les infos qu'on a au début |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 1:14 | |
| Quel accueil de folie, vous êtes tous adorables ♥
Bon, par contre, j'espère que vous avez pas peur des cinglés, car j'en ramène un p'tit paquet là ^^" Mais promis, elles sont gentilles... Enfin.... Folles malgré tout XD |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 1:19 | |
| Va te faire  à sec (un Zad s'impose mais y en a pas xD) Moi j'suis gentille et je fais jamais de bêtises (enfin sauf quand il s'agit de BN (a)) |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 1:47 | |
| Avec nous, vous allez être servit, pour l'instant, on débarque à 4.... On va essayer d'en faire craquer une 5ème ! XD Bellipoêle : T'es faible  Et si, tu fais que des bêtises et tu sais même plus écrire ! Va te coucher au lieu de dire des bêtises sur la smiley et au tél ^^ |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 2:01 | |
| J'ai riiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiien fait (a) Et à force de te suivre et de faire tes scénarios, tu vas me devoir une licorne (ou un panda à mon nom au choix)  |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 2:07 | |
| Alors toi ! Je te hais au plus profond de moi ! Arrête de nous corrompre de partout ! |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 10:43 | |
| Est-ce de ma faute si vous êtes tous excessivement faible ? XD Et moi aussi je te , gueuse va ! |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 15:41 | |
| bienvenue parmi nous ! Bon courage pour ta fiche ! Bon choix de scénario ! Merci de ramener du monde |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 16:39 | |
| Merci Andrea ! Et crois-moi, tu ne me remercieras pas longtemps, une fois que les gueuses auront montrer l'étendue de leur folie (car tout le monde le sait, la plus saine du groupe, c'est moi ! XD) |
| | | | Alice Kensington-Crowlley ADMIN & POSH - la reine mère
☆ date d'arrivée : 06/12/2014
☆ potins balancés : 4007
| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Ven 17 Avr - 23:16 | |
| Je te présente ton nouveau parrain : ELIAKIM LE BEAU  Tu peux retrouver le sujet de conversation ici : Eclates-toi la moule  |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Sam 18 Avr - 8:42 | |
| je donne mon aval pour la présa, tout est parfait dans le caractère et l'histoire |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Sam 18 Avr - 11:42 | |
| Merci Alice, je vais pouvoir aller embêter mon parrain !  Contente que ça te plaise Angus !  Je vais pouvoir officiellement annoncer la fin de ma fiche en ce cas !  |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Sam 18 Avr - 12:18 | |
| Lorsque je lance mon DC il nous faudra un lien alors ^^ |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ Sam 18 Avr - 12:27 | |
| Ca roule, on se mpottera *-*
Le lien promet d'être intéressante en plus XD |
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| | Sujet: Re: Eléonore • ❝ Color my life with the chaos of trouble. ❞ | |
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