Grace ❧ When I start drinking, not thinking...

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Grace Katherine O'Conor
You're nothing but Trouble and I should have known better

identification complèteGrace Katherine O'Conor âge 21 ans. lieu/date de naissance Dublin, Ireland, 5 octobre 1994. études suivies et année écrire ici. job si toute fois votre personnage en possède un. orientation sexuelle Aux dernières nouvelles, hétéro. statut Célibataire ! statut social £££ caractère Douce- Excessive- Désenchantée - Cinglante – Artiste – Persévérante- Fragile – Fougueuse – Tendance bi-polaire - Impulsive – Compréhensive – Têtue – Jalouse – Secrète - Instinctive – Protectrice - Perfectionniste – Loyale – Joueuse - Mélomane – Colérique – Séductrice groupe Je suis encore étudiante, donc Oxford Student avatar Nina Agdal.

Welcome to the jungle
❧ Si ça ne tenait qu'à elle, jamais elle n'aurait été à l'université, ou alors si, elle aurait rêvé de partir pour Londres et de faire l'une de ces célèbres école d'art dramatique... Mais, vu que ces grand parents ont bloqué l'héritage jusqu'au jour ou elle aurait fini ses études, elle n'a pas vraiment le choix. De toute manière, c'est une artiste dans l'âme. Elle touche véritablement à tout, musique (elle joue du violon et de la guitare), peinture (même si elle n'est pas plus douée que cela), art de la scène ( son véritable talent)... L'art fait partie intégrante de sa vie.
❧ Elle ne s'attache pas facilement aux gens, certains disent d'elle qu'elle peut paraître froide aux premiers abords, mais la véritable raison c'est qu'elle est méfiante. Elle garde dans un coin de sa mémoire le traumatisme de son enfance, et même si elle clame haut et fort que cette vieille histoire ne l'atteint plus, elle a complètement façonné sa perception de la vie, et son caractère.
❧ Même si elle ne l'avouera jamais, elle garde une peur bleue de son père et il lui arrive toujours de faire des cauchemars relatif à ce dernier. De ce fait, son rapport avec les hommes est très compliqué, elle a une peur bleue de s'attacher, enchaînant les relations. Ce dont elle a peur ? Faire les mêmes erreurs que sa mère et avoir une sorte de destin croisé vis à vis de cette dernière. Si jamais son père venait à frapper à la porte de la coloc, même pour enterrer la hache de guerre, elle serait tout simplement incapable de bouger, tétanisée. La petite fille qu'elle est et sera toujours en face de l'autorité paternelle.
❧ Juste après le procès, Grace à fait de l'anorexie en réponse à cette longue période de stress... Elle s'en est plus ou moins sortie seule, avec l'aide de son frère qui l'a surprise un jour à 16 ans en train de se faire vomir dans la salle de bain. Son psy aussi l'a aidé qui, tenue par le secret professionnel n'en a jamais parlé à sa mère, cette dernière étant à cette époque encore beaucoup trop brisée par l'attitude de son ex mari qu'autre chose. Aujourd'hui la jeune femme n'est plus malade, même si elle garde toujours le regard de l'anorexique, elle est incroyablement critique sur elle même : trop grosse, pas assez parfaite, c'est un vrai sujet de débat entre Judi et elle.
❧ La famille, qu'elle soit recomposée ou non est très importante pour Grace. Elle apporte énormément de valeurs à cette famille dont elle ne voulait pas à la base, avec cette étrange nana aux cheveux arc-en-ciel, sa demi-soeur Eléo mais oui désormais cette famille recomposée est sienne, et elle s'y accroche. Aujourd'hui, elle considère réellement Eléonore comme sa sœur de sang et ne verrait plus sa vie sans elle. Mais le lien le plus étroit qu'elle ait c'est son frère, même si désormais ils ne vivent plus sous le même toit, elle ne peut pas passer une semaine sans le voir. Elle en a besoin dans sa vie et même si ils passent leur temps à se chamailler, ils sont très proches.
❧ Elle a toujours clamé n'être jamais tombée amoureuse, se ficher éperdument des types qui ont croisés sa vie, on peut dire que même si elle s'avère être particulièrement franche, vous avez ici, le plus beau bobard de toute son existence. Elle est sortie il y a quelques mois en arrière avec le meilleur amis de son frère Kayden, sans que Judi le sache, sinon imaginez le scandale... Il faut dire que depuis le temps qu'ils jouaient au chat et à la souris tous les deux, c'était prévisible. Tout aurait pu être parfait, sauf qu'elle vient d'y mettre un terme il y a une petite semaine de cela... La raison ? Un test de grossesse... Positif...

The story of my life
Pour que vous puissiez comprendre qui je suis, je dois débuter par l'histoire de mes parents... Ma mère, cette grande blonde d'un mètre soixante seize, n'a jamais eu de chance dans sa vie, elle a cru à sa bonne étoile en rencontrant mon père, elle la gamine anglaise en vacances en Irlande... Elle avait tout juste 18 ans, issue d'une famille de huit gosses, et elle rêvait d'aventures, d'émancipation, de s'en sortir et de montrer que l'élévation sociale était possible. Rêve de jeunesse brisés par la suite. Oh elle y a cru quand elle a rencontré ce grand brun de 25 ans qu'était mon père, cet accent irlandais qui l'a tout de suite charmée, ces yeux d'un verts profond qui semblait annoncer une fin heureuse... Et surtout un nom, une fortune, un hôtel en plein cœur de Dublin, un autre à Cork. La suite est typique des histoires d'amour improbables mais tellement mielleuses, ma mère trouvé un boulot temporaire à l’hôtel de mon père, la magie a opéré et au bout de six mois ils étaient fiancés... Elle la gamine sans le sous, lui l'héritier d'un empire... Un mariage trop soudain, très peu au goût des deux familles, mais ils s'en fichaient, c'était ce qu'ils voulaient. Ensemble, ils ont consumé la vie par les deux bouts, la douceur de ma mère contrait cependant la tendance de mon père à s'emporter trop vite, ils avaient tout pour régner sur leur empire... Jusqu'à ce que mon frère arrive dans le tableau, grossesse inattendue, elle n'a fait qu'entachée la relation entre mon père et ma mère. Il n'était pas prêt, elle beaucoup plus, mais pour lui il lui volait la jeunesse qu'il espérait tant, mais c'était un fils, donc il tentait de voir le positif dans toute cette histoire. Il serait l'héritier des O'Conor. Puis je suis arrivée, cette fois ci j'étais voulue, ma mère voulait un second enfant, et ses attentes furent récompensées. Grace Katherine O'Conor décidèrent ils de m'appeler, prénom de deux grands mères de mon père, pour plaire à l'illustre famille, quoi de mieux ? Ma mère avait coupé les ponts avec ses propres géniteurs, ses parents à l'époque de son mariage n'avaient de cesse de lui demander de subvenir aux besoin de la famille, ce que ma mère n'a jamais pu tolérer. Elle ne pouvait plus le tolérer et se voyait uniquement comme une machine à sous alimentant leur banqueroute perpétuel.
Mon père se noyait dans l'acool plus les années passaient, il délaissait son boulot, préférant arpenter les couloirs sa bouteille de Brandy à la main, se retrouvant parfois le pantalon en bas des chevilles pour profiter de ce que la clientèle fémnine pouvait lui offrir. Oui, mon père avait du charme, énormément de charme dont il usait et abusait sans ménagements, a moins que les maîtresses qu'ils entretenaient soient plus intéressée par l'appât du gain qu'autre chose. Ne me parlez pas d'amour, il n'y en avait pas. Juste une manière de se prouver qu'il avait toujours le contrôle sur sa vie se disait il, alors qu'en réalité, plus les filles défilaient dans sa vie, plus il en perdait le contrôle. Dans un premier temps, son alcoolisme nous pesaient, mais on faisait bonne figure, et il faut avouer qu'à l'âge de 6 ans, je ne m'en rendait pas véritablement compte. J'étais une petite fille presque modèle, certes, je faisais des bêtises avec mon frère, mais ma mère nous couvrait, toujours, inlassablement. Jusqu'à ce que tout dérape...
Ma mère était épuisée de l'alcoolisme de mon père, mais plus encore elle ne supportait plus d'être ainsi traînée dans la boue, trompée à maintes reprises, un soir d'août. Une demande de divorce posée sur le bureau de mon père. Il avait bu ce soir là, comme tous les autres soirs d'ailleurs, une dispute à éclaté, alors que Judicaël et moi jouions dans le salon. La voix de mon père retentit soudain nous faisant à tout deux relever la tête : « Tu crois réellement que je vais accepter …. Tu n'es rien sans moi Clara... » Je me lève en premier, suivie de près par mon frère qui me prend la main et me dissuade d'un regard de les laisser régler leurs affaires. Mais c'est plus fort que moi, mes pas me guident vers la provenance des cris, jusqu'à la porte entrouverte donnant sur mes parents. Je sens la présence de mon frère, dans mon dos, alors qu'il pose ses mains sur mes épaules, la dispute reprends de plus belle. « Je n'en peux plus Max... Laisse moi, tu me détruis, tu me rends folle. Tu croyais réellement que ça allait continuer de cette manière toute notre vie ? Sois heureux, je te rend ta liberté, tu pourras aller sauter toutes tes putes sans que ça ne dérange plus personne... Fin de la discussion. » Elle tourne les talons, les larmes aux yeux, croyant qu'elle vient de tirer un trait sur son histoire avec mon père. Ce dont elle ne se doute pas, c'est que mon père va franchir dans les secondes qui suivent, une nouvelle limite... Tout se déroula si rapidement, mon père finit son verre d'une traite alors qu'il se jette sur ma mère, la tirant par les cheveux alors que son regard croise le mien. En l'espace de quelques minutes, mon père passe ma mère a tabac, coups de pieds, coups de poings, rien ne nous échappe. Une larme coule sur ma joue alors que mon frère me tire par le bras, je ne comprend pas tout, je n'ai que six ans après tout, mis je sais que ma mère souffre. Que tout cela n'est pas normal. Judi insiste pour que je le suive, ce que je finis par faire, tétanisée, il me tire jusqu'à notre chambre ou pour la première fois de ma vie, je passe une nuit blanche...

Le divorce n'a pas été prononcé tout simplement parce que ma mère s'est rétractée peu de temps après, parce que mon père a pris goût au fait de la frapper... Il trouvait de minables excuses lorsqu'il agissait sous le compte de l'alcool, le lendemain, il rentrait les bras chargés de cadeaux pour ma mère et pour nous... Mais bientôt le monstre qu'il était devenu pris le pas sur celui qu'il était rapidement, et nous devenions Judi et moi ses nouveaux souffre douleur... Les années passaient, les mises à tabac s’enchaînaient. On ne disait rien, vivant dans la peur, des bleus dissimulés sous des vêtements, un bras cassé était synonyme de chute dans les escaliers à l'école. Personne n'aurait jamais pu se douter que l'illustre père de famille O'Conor était un monstre de brutalité pour l'ensemble de la famille. 8 ans, 8 ans à nous détruire aussi bien psychologiquement que physiquement, ma mère n'était plus que le reflet d'elle même, et nous, nous vivions dans la peur que notre père nous fasse subir l'une de ses furies. Chaque soir, quand il rentrait nous n'espérions qu'une chose, qu'il soit assez sou pour aller directement cuver dans sa chambre, ou qu'il s'endorme une fois de plus, la bouteille de brandy à la main dans l'un des fauteuil en cuir du salon.Ses bons jours en quelques sortes. Mais ce soir là, il rentrait une fois de plus dans une interminable colère, et passait ma mère a tabac, une fois de plus... J'avais alors 14 ans, et je ne sais pas ce qui me poussait pour la première fois de ma vie à prendre la défense de ma mère, je m'étais mise entre deux, et la rage de mon père ne c'était accentuée. Il tapait, tapait, inlassablement, alors que j'étais recroquevillée au sol, lui suppliant de s'arrêter quand soudain tout s'arrêta et je l'entendis rire. Un rire machiavélique, gras qui me donnait des frissons dans le dos. J’entrouvrais les yeux, mes chairs soufrant le martyre de la maltraitance de mon père, je captais à peine ce qu'il se passait, sentant peu à peu mes forces me quitter... « Qu'est ce que tu vas faire Judicaël, tu crois sincèrement que tu as le cran pour ça ? » Une détonation, un grognement, le corps de mon père qui s'effondre à mes cotés, tandis que moi je sombre dans l'inconscience.

Je me réveillais quelques heures plus tard, une perf' planté dans l'avant bras, mon frère à mon chevet... Qu'est ce que je foutais là ? Je tentais en vain de me redresser arrachant l'aiguille de mon bras alors qu'une plainte s'éhcappaient de mes lèvres. Mon corps était un martyre à lui seul, et ma tête semblait sur le point d'exploser. Mon frère vint à ma hauteur, se levant le plus rapidement possible de son siège. Je sentis la caresse de mon frère sur ma joue. « Ne bouge pas petite sœur... C'est fini... Tout est désormais fini... » Je ne comprenais pas, me débattant, pleurant à chaudes larmes, usée par ses années d'enfer. Une infirmière alertée par mon frère qui venait d'appuyer sur le bouton rouge de l'appel d'urgence venant de me remettre ma perf, une piqûre de calmants et je repartais dans les bras de Morphée.

Le fin mot de l'histoire je ne l'eus que quelques jours après … Mon frère avait tiré sur notre père avec l'arme que mon père gardait dans son bureau, révélant par la même occasion au monde quel monstre était mon père. La balle l'avait atteint en pleine poitrine, même si cette dernière avait sûrement du être foutrement douloureuse, ces jours n'étaient pas en danger. Deux ans de procès, deux ans de galère, deux ans de psychiatres en tout genre, et le début de mon anorexie mentale, en réponse à ces années de galère, mon enfer personnel. Je ne le montrais pas, je tentais de m'en sortir jusqu'à e que mon frère me tombe dessus, et me pousse à en parler à mon psy. Entre temps, ma mère avait voulu nous sortir la tête de tout ça et nous avons déménagés à Londres... Londres, jamais je n'y avais mis les pieds, et ma mère tentait de reconnecter un minimum avec ses frères et sœur, se raccrochant au peu de racines qu'elle avait. La fin du procès avait bientôt eut un terme après comme je le disais deux ans. Le verdict ? Mon père allait croupir en prison, et ma mère avait vu avec ma grand mère materelle, à ce que nous ne manquions de rien, ainsi le pactole qu'allait empocher ma mère nous serait destiné, à une seule condition vue avec mes grands parents : nous n'en verrions la couleur mon frère et moi qu'à la fin de nos études, à la fin d'un master... Ce qui entrait également en compte avec le testament de mon grand père paternel.

On se reconstruisait, petit à petit, moi je bravais mon anorexie, c'est au bout de six mois dans la capitale anglaise que ma mère rencontra quelqu'un... Et six mois plus tard, elle nous annonçait qu'elle emménageait avec lui, nous emmenant avec elle dans ses bagages. J'étais heureuse pour elle, même si je partais chez mon beau père avec une appréhension grandissante. Je ne dirai pas que tout était simple, je ne dirai pas que dès que je rencontrais Eléo ce fut un coup de foudre énorme, non. Loin de là, parce que même si nous avons le même âge, j'avais peur, peur que tout finisse par se casser la gueule, après tout, tout ce que j'avais connu c'était l'enfer de mon enfance, puis l'enfer du procès. Une vie normale je n'avais jamais réellement connu. Mais j'ai grandi supporté par mon frère, et peu à peu que le temps passait, plus je me rapprochais d'Eléo, jusqu'à ce qu'elle devienne étrangement ma meilleure amie. Sinon, j’enchaînais les conneries,me moquant des conséquences avec mon frère comme allié, toujours derrière mes baskets, se sentant en quelques sorte responsable de la vie que nous avions eue. Alors oui, je traînais principalement avec lui et ses potes, mon caractère ayant particulièrement changé depuis mes 14 ans. Paradoxalement j'avais des bonnes notes, mais je croquais la vie à pleine dente, ne voulant pas avoir de regrets sur mon passé, je reprenais enfin ma vie en mains, alors que mon anorexie passait petit à petit... Et il y a Kay aussi... Kayden, le meilleur ami de mon frère, 4 ans de plus que moi, rencontré à Londres grâce à mon frère. Le petit con aux airs de Bad Boy, sûr de lui qui enchaîne les plans cul de la vitesse à laquelle il change de caleçons. Guitariste doué de ses dix doigts qui en joue pour mieux les faire tomber comme des mouches pour mieux les larguer ensuite. Ce jeu du chat et de la souris, mes crises de larmes que lui seul arrivait à calmer... Comment est ce que je n'ai pas pu ouvrir les yeux que depuis le temps que nous nous connaissions il y avait toujours eu plus entre nous deux ? Sûrement à cause de cette stupide règle imposée par mon frère : Le premier qui touche à ma sœur, je le dégomme... Sauf qu'il y a six mois, lors d'une soirée étudiante, je me suis retrouvée avec Kay, et le cap que nous nous étions promis de ne jamais franchir à été surpassé... 6 mois, 6 mois à nous cacher, à être couverts par Eléo qui était la seule au courant de l'histoire que j'entretenais avec le meilleur pote de mon frère... Sauf que ce matin, je me réveille, et encore une fois, je me retrouve en culotte et long t-shirt à chialer sur mon sort, parce que ça fait une semaine... Une semaine que je sais que je suis enceinte, une semaine que je l'ai quitté sans lui donner d'explications, une semaine que je cache ce foutu test de grossesse à mes colocs, ma demi-soeur et Noa. Il va falloir que je me bouge, il va falloir que je me prenne en mains, il serait peut être temps que je me comporte en adulte et non en gamine écervelée. Juste pour une fois dans ma vie. J'ai l'impression de suivre la même voie que ma mère parfois...

Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ?Une prison dorée ? Non plus sérieusement, Oxford est juste le moyen pour que je touche mon héritage, alors oui, de base, je ne me sentais pas faite pour faire des études, mais selon la décision de justice, j'ai pas le choix et je ne toucherai le pactole qu'à la fin de mes études, souhait de mes grands parents vu que mon père a été déshérité après qu'il fut jeté en prison... Sinon, Oxford à ses bons cotés, ses soirées, sa vie estudiantine, bref, heureusement sinon j'aurai levé les voiles bien avant.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Pourquoi faire un choix ? Les deux même si mon rapport avec l'alcool est assez controversé. C'est ce foutu scotch qui a détruit ma famille, mais je ne sais pas résister à un verre, en soirée, ou plutôt à dix... Il paraît que c'est dans les gênes, qui sait je tiens peut être du monstre qu'est mon père. Le problème c'est que quand on me lance, je ne sais pas m'arrêter, le plus souvent, je suis du genre à refuser un verre, surtout en semaine, parce que je me connais. Aucune limite, et une cuite en cadeau le lendemain.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? C'est une blague c'est ça ? On dirait une idée reçue du XVIIIème... Faut vraiment arrêter les conneries pseudo catho qui résument le sexe à la procréation. En tout cas moi, je ne me limite pas à la procréation, encore heureux. En même temps, je ne suis pas vraiment ce qu'on pourrait qualifier un cœur d'artichaut, loin de là, je ne tombe que rarement amoureuse. Alors oui, le sexe serait plus à mes yeux une sorte d'exutoire... De toute façon, biologiquement parlant on en a tous plus ou moins besoin, non ?
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? J'sais pas... J'ai une certaine tendance à me dire que dans la vie, si on veut avancer, il ne faut pas avoir de regrets, sinon on stagne sans même s'en rendre compte. En y réfléchissant bien, oui il y a un seul point pour lequel je m'en veux, celle de ne pas avoir été en mesure d'arrêter mon frère quand il a tiré sur notre père, même si je n'avais que 14 ans, j'aurai pu tenter de l'en dissuader, mais je n'ai pas eu les couilles de le faire, et je sais que malgré tout, ça ronge Judi... Donc oui, j'aurai aimé être en mesure de lui enlever l'arme des mains ce fameux soir pour éviter que cette période de sa vie ne soit un fantôme sur notre vie actuelle. Même si ça nous a permis de nous en sortir.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Franchement ? Je m'en balance... Il n'y a plus rien à savoir, notre vie a déjà été étalée sur le papier glacé quand mon père a sombré, alors un peu plus un peu moins... Ca ne m'atteint pas. Par contre, je pourrais me montrer particulièrement cinglante si l'Oxymoron s'attaquait aux gens que j'aime. Tant que c'est sur moi, je m'en fiche, mais si on touche à ma famille ou à mes amis proches, je sais que je pourrais mordre.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? J'écris, n'importe ou, à n'importe quel moment... J'ai toujours un calepin sur moi, souvenez vous de mon très fort rapport à l'art, oui j'ai oublié de dire que j'écrivais...Ca peut énerver ceux avec qui je gravite de me voir sortir le calepin au beau milieu d'une conversation, et m'échapper dans mon monde le temps que je couche mes idées de scénario ou d'histoire sur le papier. Ça surprends, mais apparemment ça énerve pas mal aussi. Sinon autre manie ? J'ai un véritable soucis avec le fait d'être à l'heure, sincèrement, j'ai beau me dire que je vais tout faire pour arriver en temps et en heures à un rendez vous, j'arrive toujours avec un temps de retard, si bien que mes amis me baratinent toujours, quitte à me donner 30 de marge sur l'horaire d'un rendez vous pour être certaine que je serai présente.

pseudo/prénom Pseudo j'ai repris l'un de mes vieux pseudo, Red Fantasy, sinon c'est Auré' !âge Un certain âge, je suis majeure il paraît ! lieu d'habitation La région parisienne ça te parle ? où as-tu connais le forum Une bande de gueuses, manants, pleutres, vilaines, gourgandines, fourbes, fesses d'huitre m'ont amenées ici. J'suis faible :cry:

t'en penses quoi? écrire ici. Scénario ou Inventé? Inventée, sauf le lien avec Elé m'a été dictée. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Pourquoi pas, on va éviter que je me perde un dernier mot? Dites, vous avez du gâteau ? Des cookies ? Du chocolat ? Vous :fuck:er les gens ?

Code:: [code][b]Nina Agdal [/b] ✗ Grace K. O'Conor[/code]

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 2583

ENFIN. Mademoiselle a une tête! (enfin, une célébrité. une tête, si j'ai bien suivi, c'est pas sur... :arrow:

)

T'as 7 jours pour terminer ta fiche. Si t'as la moindre question, n'hésite surtout pas à contacter quelqu'un du staff (sauf moi, j'pars mercredi :arrow:

). Amuse toi bien à écrire ta fiche, petiote :love:

edit; Bienvenue officiellement, au passage :mdr:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 08/12/2014 **☆ potins balancés** : 5082

Bienvenue ma belle :love:

Tu disposes de 7 jours pour finir ta fiche, si besoin le staff est là :love:

Invité Invité

Bienvenue par ici !! :wai:

Invité Invité

'spèce de cul de moule va ! :fuck:

T'es faible !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! XD

Courage pour ta fiche ! ^^

Invité Invité

Gueuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuse ♥

Invité Invité

Rae : Oui je sais j'ai enfin une tête (enfin un feat... ) et merci pour le message de bienvenue, un jour on fera l'inverse :siffle:

Eliakim: Merci et pas de soucis je n'hésiterai pas ( en passant super choix de feat :dr:

)

Eamon : Merci !!!! :26:

Elé:

moi aussi je t'aime ma fesse d'huitre ! Allez, files vilaine tentatrice ou viens me tâter c'est comme tu le sens :viens:

Olivia: Gueuuuuuuuse !!!!!! :fuck:

Invité Invité

Bienvenue parmi nous

Invité Invité

Bienvenue !

Invité Invité

Bienvenue parmi nous !
Ton avatar est seksy ! :dr:

Bonne chance pour ta fiche !

Invité Invité

La sublime nina :love:

Bienvenue parmi nous !

Invité Invité

Quel accueil ! :11:

Merci à vous tous :29:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 08/12/2014 **☆ potins balancés** : 5082

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès

Je te valide tout est parfait :love:

Hate de voir la réaction face au test de grossesse :siffle:

En revanche peux-tu me dire ce que tu étudie et en qu'elle année ? Que je puisse t'ajouter, merci :love:

Vérifie que ton avatar est dans le bottin. Tu intègres, à partir de maintenant, les Oxford Student . Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Tu peux aller demander des liens, des rps, ou encore intégrer un club ! Ouvres toi une page Instagram, et crées-toi un téléphone portable ! Tu peux aller flood ou discuter sur la Chatbox ! N'hésites pas à proposer un scénario ou à poster une recherche de lien important ;) Si tu as des questions n'hésite pas :coeur:

Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces !

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 2583

Une fille de Dublin... quelle idée :hm:

Ravie de te voir validée, petite :43:

Invité Invité

yeah, merci pour la validation Eliakim ! Désolée de ne pas avoir pu répondre avant, ça fait une semaine que je suis malade comme un chien, temps de ... Bref, sinon Grace est en quatrième année et en Histoire de l'art.

Ravie également d'être validée Rae... mais c'est moi ou tu m'as appelée Petite ? Oo

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 4007

BIENVENUE (en retard *niaf Niaf*) :32:

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