give me a shot at the night (miró)

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Miró Calzada
Give me a shot at the night
Give me a moment, some kinda mysterious

identification complète Miró Lewis Calzada âge 36ans depuis peu. lieu/date de naissance Santiago du Chili, le 2 novembre 1978 études suivies Sa scolarité s'est arrêtée au même moment où son corps a atteint la majorité. Il n'a jamais foulé le sol des universités Chilienne pour une raison évidente, le manque d'argent mais surtout un besoin de liberté insatiable. Mais depuis son entrée à Oxford, il serait mentir que de dire qu'il n'a rien appris. Il écoute Miro, il se laisse vagabonder dans les salles de classe, feignant d'écouter de la musique alors que tout son esprit est focalisé sur la voix du professeur. Biologique, droit privé, informatique, son cerveau avale, agrippe, aspire chaque donnée qui effleure son ouïe. Mais quand ils écoutent les cours de littérature anglaise, ce n'est plus son esprit qui est ouvert, mais bien tout son être, lui qui manie aussi bien la plume que le balais brosse. job Homme à tout faire de l'université d'Oxford, il était sous la coupe d'un certaine Mr.Berhnart il y a encore trois ans. Seul à présent, il est cet homme discret qu'on voit enfiler la tenue de plombier un jour, puis celle de menuisier le soir. Le matin, il se montre dans les jardins, coupe, taille, cueille. Vous pourrez le croiser le midi, à balayer les couloirs vides, ou a récurer le sol pour ôter les quelques tâches d'encre. Il n'est pas le seul à s'occuper des menus problème d'Oxford, mais il est l'unique à faire tout à la fois. Homme indissociable du bon fonctionnement de l'Université, on le voit sans connaitre son nom, on l'oublie sans omettre de lui quémander de nettoyer tel lieu. Il est invisible Miro, invisible comme la poussière qu'il écrase contre les murs. Et la nuit, il est encore plus invisible et encore plus important. Dealer de ces enfants à qui il nettoie les couches la journée, ses origines sud américaine lui ont permis de se faire accepter dans un petit cartel de drogue colombien. Il deale, vend du rêve, du cauchemars, des nuits de tourments et de désespoir. Il n'aime pas ça Miro, il a l'impression de tuer à petit feu cette génération qui s'embrase pour n'importe quelle pilule. Mais si ce n'était que pour de l'argent, il aurait arrêté son trafic. Mais plus que des billets royaux, c'est les cours de ses acheteurs qu'ils demandent. Pour apprendre, pour vivre de sa passion, il vend la mort en dosette, la destruction en pilule rose. orientation sexuelle Hétérosexuel, Miro n'est pas un homme à femme même s'il n'est pas du genre à refuser une aventure. Les sentiments l'excitent plus qu'un corps, les mots plus que des baisers. Mais il reste un homme, écrasé par certain, adulé par d'autres. statut Célibataire statut social ££££ caractère Il est discret Miro, silencieux comme la brise, invisible comme le vent qui s'échappe du Céleste. Ses pieds foulent le sol carrelé, mais on ne l'entend pas, sa voix s'élève parfois, mais n'existe pas dans l'esprit de ceux qu'il côtoie. Il est un fantôme pour ces enfants du Monde, un esprit qui leur vend bonheur et facilité. Certains le pensent introverti, d'autres juste inutile. Mais il n'en est rien. Miro, il garde tout en lui, de la colère au désir, de la passion à la fureur. Son corps, c'est son coffre fort, celui où il garde ses secrets les plus personnels, ses sentiments les plus intimes. Il préfère rester muet que d'expliquer en quoi le monde ne tourne plus rond. Et puis, qui l'écouterait, cet homme aux allures paumées, au visage bruni par le Chili et à l'identité étrangère ? Il a beau ne rien montrer, ne rien dire, ne rien dévoiler, ça cogite à l'intérieur, ça s'entrechoque, ça bouillonne. A force d'écouter et d'avaler les connaissances, il en a appris des choses Miro, comme s'il avait fait des études diverses et variées. Il travaille sa mémoire pour ne rien oublier, et le soir, il étudie ce qu'on lui a offert en guise de paiement. Des livres, des cours, des thèses, des feuilles volantes. C'est un passionné Miro, un passionné de connaissances et de savoir, car qui dit esprit dit bel avenir dans cette ville qui pullule d'enfants au cerveau amoindri. Eux brûlent pour la fête, l'alcool et le sexe, alors que lui s'enflamme pour la littérature anglaise, la belle plume, les belles expressions et la lutte acharnée d'une petite fille contre un lapin trop pressé. Il écrit bien Miro, il a cette petit lueur au bout du stylo qui fait qu'il pourrait devenir bien autre chose que l'homme de ces enfant qui hurlent, geignent, pleurent pour une mascarade. Dans cet esprit secret, ça fourmille d'idées, de personnages et d'histoires. Ecrivain, c'est en gros mot pour lui qui ne peut se permettre de rêver. Auteur, nouvelliste, se hisser au même rang que Lewiss Caroll, C.S Lewiss, J. R. R Tolkien, c'est ce qu'il souhaite au plus profond de son être Miro. Pensez-vous que c'est une coïncidence qu'il débute son existence de romancier au sein des murs qui ont fait grandir ces hommes ? Rien n'est une coïncidence dans le monde de Miro, car il réfléchit, il se pose les bonnes questions et trouvent des solutions. Miro, c'est un intellectuel qui sait ce qu'il veut, et si vendre de la drogue est la seule solution pour lui permettre de s'élever dans les sphères sociales et que ses manuscrits soient lus par les meilleurs, il vendra de la drogue. Quand la nuit tombe, il se mue en une toute autre créature, son silence devient rocailleux, son charme imperceptible, lumineux au sein de la noirceur. Il se dévoile tel qu'il est, solaire et charismatique, devant ces enfants qui ne réclament que quelques minutes de jouissance absolue. Mais il n'est pas profondément méchant Miro, bien au contraire mais quand il voit ces gosses dont la vue furieuse s'ébranle à mesure que la bouteille diminue, mais il se dit que pour une fois, ce sera eux qui flancheront et lui qui se relèvera. groupe Hard Worker avatar Gabriel Garcia bernal

Welcome to the jungle
Né à Santiago du Chili, d'une père chilienne et d'un père anglais expatrié, Miro a eu la chance de vivre dans un cocon familial aimant malgré la difficulté de leur existence ☆ Son père lui a fait découvrir les classiques anglais, d'Alice au Pays des Merveilles, livre qu'il adule à présent, aux aventures d'un hobbit un peu trop solitaire. A peine était-il en âge de lire et de comprendre les mots, qu'il en demandait encore. La littérature fut son ancre vitale, ce qui lui permettait d'oublier que son pays implosait, brûlait, flanchait sous les émeutes et les coups d'Etats. ☆ Pas plus intelligent que les autres, mais peut-être plus débrouillard, Miro a toujours été indépendant, voguant au rythme de la liberté que lui offrait ses parents. Malgré les troubles et la violence qui sévissaient à Santiago, sa mère n'était pas capable de l'obliger à s'enfermer dans sa chambre. Les bombes, les émeutes, tout était pour lui une source d"inspiration et plus il voyait le mal, plus il écrivait Miro, comme en quête de l'humanité profonde qui se dévoilait devant lui dans l'immondice la plus totale. ☆ Son père a été tué par des révolutionnaires passionné par un nationalisme absolu. Lui qui était anglais, n'était qu'une erreur à effacer. Miro n'a jamais pardonné à son pays de lui avoir arraché son modèle. ☆ Il n'a pas fais d'études supérieur, ne supportant plus les castes dans lesquelles l'uniformisme de son Pays le mettait. "tu es pauvre, et tu resteras pauvre" ne convenait pas a Miro qui était conscient que l'Homme n'avait pas le droit d'être privé de sa liberté de choix. ☆ En 2001, envieux d'une vie qu'il ne pouvait effleurer dans son pays, Miro a abandonné les terres bouillantes du Chili pour celles de son paternel décédé en 2001. Qui serait plus apte à lire les histoires qu'ils écrivaient que ceux qui ont été aux prémices de la belle littérature ? ☆ Du nettoyage des rames de métro, au service de pizza à emporter, il en a écumé des petits boulots Miro. Et lui qui avait le "rêve anglais", comme il s'amuse à l'appelle, ancré dans son coeur, l'a vu se transformer en cauchemars furieux. ☆ Ce qui l'a amené à Oxford ? Le désir de découvrir l'univers dans lequel ses aspirations avaient grandi. Il vagabondait dans le jardin, interdit aux visiteurs normalement, quand un vieil homme lui a demandé s'il venait pour l'entretien. Il n'a pas menti Miro, il a juste omis de dire qu'il n'était là que pour visiter. Bilingue, ses lectures lui ayant permis d'avoir un léger baguage de connaissances anglaises, et son sourire jovial, lui ont permis de décrocher un poste d'homme d'entretien dans la célèbre Université. Il serait l'élève, le second de ce Mr. Bernarhd. ☆ Les années ont passé, les sols ont été lustré, les arbres coupés, les salles de classes nettoyées. Ce n'était peut-être pas ce qu'il souhaitait faire Miro, mais il vivait convenablement, et effleurait les sphères qu'il souhaitait intégrer un jour. Il ramassait les déchets de ces enfants trop riches, trop beaux, trop angéliques, il nettoyait derrière ces démons nocturnes, ces êtes capables de descendre tout un mini-bar en plein après-midi. ☆ A nouveau, ce fut une coïncidence qui l'a amené à débuter sa carrière de dealer. Il se promenait dans Londres quand un homme l'a interpellé. Cet homme, c'était Cassius, un ami d'enfance de Santiago. Ils ont parlé autours d'une bière, chacun expliquant leur vie. Et quand Miro a parlé d'Oxford, la lueur fut une flamme gigantesque dans le regard de Cassius. Lui qui vivait de la vente de drogue pour un petit cartel colombien, il avait tenté de s'intégrer dans l'univers oxfordien. Car plus consommateur que ces enfants vomissant de l'or et des bijoux, ça n'existait pas à Londres. Miro a refusé, Cassius a argumenter, Miro a accepter sous condition qu'il pouvait demander autre chose de l'argent en guise de paiement. Le deal était scellé. ☆ Il a eu du mal Miro, à se faire accepter comme vendeur au sein des sociétés secrètes de ces jeune affublés de costumes trois pièces et de robes guindées. Lui, le balayeur, vendre de la drogue pur, du bonheur en cachet ? Foutaises ! Mais il était intelligent Miro, et charismatique et il savait parlait malgré ce que ces chérubins pensaient. Il a débuté à l'âge de 28ans, et depuis sa réputation n'est plus à faire. Il est l'Officiel, l'homme vers qui on se tourne si on veut un trip, un snif ou un voyage intergalactique. Miro, c'est celui qu'on appelle pour faire la fête et Miro, on commence à l'accepter, à l'apprécier, à l'amadouer. ☆ Ses prix défient la concurrence, car il ne demande pas plus que la valeur initiale. Ce qu'il réclame, ce sont les cours de ces enfants, leurs fiches de révisions, leurs feuilles d'examens, et tout autre document qui pourraient lui permettre d'évoluer dans la société sans un examen en poche. Oui, il est intelligent Miro. Mais à force de contempler la suprématie, la beauté clinquante et la richesse démesurée, tout homme serait tombé. Mais Miro il tient, il ne flanchera pas. Du moins, pas encore. ☆

Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Un moyen de financer mes projets, de me révéler en tant qu'homme et non en tant que serpillère de ces hommes du monde qui pensent avoir déjà toutes les clés en main. Un tremplin pour la vie en somme. J'y travaille depuis maintenant 8ans, je suis passé du balais au balai brosse, du récurage de sol, au récurage de leur vie. Pour certain, c'est un job ingrat, mais en quoi est ce ingrat de rendre la vie des autres plus acceptable, de transformer leurs vices d'une nuit en sol parfaitement lustré ? Je n'ai que faire de l'avis des autres, car je sais qui je suis et que mes actes ne sont pas aussi désespérés que les leurs.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Shot de Tequila, j'ai le sang chaud, et l'alcool des British n'est rien comparé à celui du Sud. C'est bouillant dans la gorge, ça réchauffe le corps et le coeur dans une étreinte passionnée.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? En quoi est ce mal de faire plaisir à l'autre et de se faire plaisir dans une même égalité ? J'aime les femmes, leurs corps et leurs coeurs. La courbure de leurs reins est comme un dessert qu'on n'a pas le droit de gouter, comme le firmament qu'on ne peut encore toucher. Est-ce mal d'effleurer le bonheur intense alors que d'autres peines à y penser ? Je ne pense pas.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fier ? La fierté, c'est un sentiment qui fait suite à un succès. Je pourrais dire que je ne suis pas fier d'empoissonner ces hommes et ces femmes, de leur vendre ces pilules, cette poudre, ces liquides. Leur vie n'est déjà pas enviable malgré leur sourire et leur visage frôlant la perfection, et moi je ne fais que leur transmettre de l'horreur dissimulée dans le bonheur. Je ne suis pas fier de leur mentir, mais si cela m'amène à la position que je souhaite, si cela me permet de transformer mes tracés d'encre en des millions de lettres éparpillées dans le monde entier, je serais fier des choix que j'ai réalisé. Retirer un peu de succès à ceux qui n'en ont pas besoin pour en offrir à ceux qui le méritent.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Ils ne se rappellent déjà pas mon identité, comment pourraient-ils faire de moi leur cancan mensuel ?
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Parfois, il m'arrive de reprendre ces enfants suite à une erreur de compréhension, à un bafouillage ou à un mensonge. Quand ils révisent, quand ils s'expliquent des cours qu'ils ont loupé suite à une fête trop arrosée, je sors de mon enveloppe muette et tente de leur montrer qu'un balai ne me rend pas débile. Leurs regards me font comprendre que moi, l'homme à tout faire, j'ai fais un pas de trop dans leur monde clinquant et ignare. Alors je recule, et je les laisse dans leur incompréhension d'un monde dont ils seront un jour à la tête.

pseudo/prénom Morgane, aka Box&Shock âge Bientot 23ans lieu d'habitation Paris où as-tu connais le forum Via la commande de design :angel:

t'en penses quoi? De belles explications, un lieu bien déployé pour rp, que demandez de mieux ? :48:

un dernier mot? J'espère que Miró vous plaira :43:

Code:: [b]Gael Garcia Bernal[/b] ✗ Miró Calzada

Invité Invité

INSPIRATION DÉCADENTE
La plume trace des mots, l'esprit, des idées. L'encre dévoile les émotions, l'inspiration, la vérité. Je ne suis pas un romancier, ni un auteur à succès. Je ne suis que le piètre voyeur d'un monde qui s'évertue d'exister devant mon regard observateur. Mes histoires sont pleines de folie, d''absurdité et de vitalité. Les personnages sont eux-même des paradoxes, aimant leurs prochains et détruisant le monde dans lequel ils vivent. Les vivants sont similaires à ces monstres parfaits, ils aiment, désirent, et explosent dans un même ensemble. Oui, je contemple ce que l'univers me dévoile et je le transforme en beauté littéraire. Je calque mes inspirations sur ce que le monde a à m'offrir, car il n'y a pas plus beau, plus transcendant que la vérité douloureuse d'une génération qui s'auto détruit à la vitesse de leur descente d'alcool. Ils m'inspirent ces enfants.

L'HEURE FATALE
Mes yeux grattent le papier, déchiffrant les idées parmi le flot de mots. C'est difficile d'étudier l'écriture des autres et de comprendre les annotations, mais je deviens un spécialiste en décryptage. Comme si mon cerveau avait acquis une nouvelle connaissance, celle de ne pas confondre les termes du professeur avec ceux de l'esprit dérangé de l'élève. C'est amusant parfois de voir à quel point certains partent loin durant les heures de cours, à quel point leu esprit s'évapore au fur et à mesure des minutes. Mon portable vibre, et je n'ai même pas besoin de me demander qui me contacte à cette heure-tardive. Je sais ce que le sms signifie, sans voir son auteur ni son contenu. Je suis l'ange de leur nuit, le dieu dont ils oublient le nom mais jamais l'utilité. J'abandonne la passion libératrice pour le costume d'antagoniste de la vie. J'attrape le portable, mon manteau et quelques petits sachets blanchâtres enfermées dans une boite bien dissimulée. Je suis le vendeur de rêve, l'homme qui leur propose du bonheur en poudre, de la jouissance en pipette. Il est beau le passionnée de la beauté et de l'écriture divine. Il est beau l'enfant des rues qui continue de les écumer malgré l'horreur qui y sévit. Il est beau l'homme droit, infaillible, dont le coeur a été piqué d'un besoin irrationnel de survivre qu'importe le prix a payé. J'ai toujours été celui qui demandait plus qu'il ne pouvait avoir, celui qu'il voulait la liberté alors qu'on lui offrait une vie parfaitement tracée. Je n'aime pas les frontières, je déteste les hommes qui nous obligent à nous asseoir et à rester sagement en dessous des autres. Je ne suis pas un homme serein, je vis dans la folie de vouloir un jour toucher le firmament, effleurer le succès et surtout la reconnaissance. Ce n'est pas la richesse que je souhaite, ni les courbettes de ceux que je sers en ce moment. Mais simplement être reconnu comme un homme dont l'esprit n'est pas seulement le miroir de son histoire, mais le reflet d'une passion débordante pour l'existence et l'humanité.

LE POIDS DE LA DIVINITÉ
"Deux sachets de poudre et… t'as les pilules de la dernière fois, les petites rouges ?" Mes mains fouillent mes poches et en sortent de la folie emplastiquée. Mon regard transperce le corps peinturé de richesse de ce jeune que je connais depuis son entrée à Oxford. Haut comme trois pommes, il souhaitait déjà déceler les mystères de la vie sous acide. Parfois, je me demande comment ils continuent à vivre alors qu'ils dansent continuellement avec la mort. " Un chacun suffira, n'allez pas au delà, sauf si vous souhaitez vous retrouver à la morgue d'ici demain matin." Ma voix est froide, rigide, presque brutale. Je contrôle cet univers dont ils ne sont que les clients. Avant, on ne me prenait pas au sérieux, on jouait de mon identité, on m'insultait de branleur, de menteur, de péquenaud à l'accent trop prononcé. Mais maintenant… "Ouais, ouais, bien sûr. " "Je ne rigole pas Andrew." La tournure des mots est différente, plus attendrissante, presque trop familière. Je ne veux pas le retrouver sur le sol carrelé demain matin, la bouche baveuse, les yeux injectés d'un sang que j'aurais contaminé. Il lève ses pupilles vers les miennes, et me sourit. Il accepte, il m'accorde sa confiance. Et je lui accorde le droit de troquer un monde terne, contre un univers acidulé. Je lui accorde le droit de mourir, et de se réveiller.

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OH Gael

, ce choix est tout simplement merveilleux mais je te l'avais déjà dit. Encore merci pour le header :bave:

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Pinaise, j'attendais de voir ce que tu allais nous prendre comme ~~vieux~~ homme aguerri et expérimenté. Je suis servie. :50: :50: Putain de choix trop bon, trop intéressant, trop original. :27: J'exige un lien et maintenant je retourne à ma fiche à demi-commencée. :22:

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Bienvenue!!!!!!!!!!!!!!!!! Ton personnage à l'air fort intéressant :42: !!!!!!!! Bonne continuation:32: :34:

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bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche :23:
l'avatar, le pseudo, j'ai hâte de voir le personnage que tu vas nous sortir :42:

Invité Invité

Merci beaucoup pour l'accueil :53:

Et pour l'intérêt que vous portez au début du personnage :mdr:

J'espère ne pas vous décevoir :perv:

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Bienvenue parmi nous :23:
Good luck pour ta fiche :24:

Invité Invité

Merci beaucoup :angel:

J'ai bientot terminé !

Invité Invité

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès

Omg ton style d'écriture!! :23: J'adore, ça m'a entraîné dans l'histoire de Miro :23: Bref je te valide avec plaisir!

Ton avatar est dans le bottin et tu intègres, à partir de maintenant, les Hard Worker. Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Si tu as des questions n'hésite pas :coeur:

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