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| Sujet: LIBRE ✗ Alexander Ludwig/Alexander Pettyfer Sam 9 Mai - 22:37 | |
| | Vitaly A. Vasili la citation iciâge 23 ans études suivies au choix. job au choix, obligatoire. orientation sexuelle Homosexuel/bisexuel statut célibataire. statut social £, boursier.caractère Perspicace, fier de ses origines, mélancolique de sa terre natale, passionné, ouvert d'esprit, un brin bagarreur, charmeur. avatar Un blond, monsieur est slave. Got nothing in my brain - Fils d'un travailleur russe resté à Moscou, il sait les sacrifices qu'à dû endurer son père pour lui permettre de rentrer dans une des meilleures universités d'Angleterre. Certes, décrocher une bourse aide ... mais ça ne paie pas tout. - En plus de vouloir la meilleure éducation pour son fils, le père sait surtout que son fils n'est pas hétérosexuel (homo ou bi, au choix) et c'est pour cette autre raison qu'il compte l'envoyer loin de son pays natal. Faut dire que les gens "comme lui", différents, sont mal traités. - Avoir une bourse, c'est bien. Avoir un boulot étudiant à côté, c'est mieux. Le jeune homme, travailleur, accepte toutes les offres qu'on lui propose (ou presque). - Il essaye d'en apprendre le maximum sur l'Angleterre. Il adore ce pays et ses coutumes même si son pays natal lui manque bien souvent. - Il ne comprend l'effervescence qu'apportent les Riot et Posh club. Il ne comprend pas cette idéologie du plus riche et du plus clinquant. Au contraire, il se bat contre ça, étant lui même un bel exemple de " on peut s'en sortir en étant pauvre ". |
James Lewis Caroll (PV pris)étudiant. Dorian Gray des temps modernespersonnage pris - veuillez contacter directement James pour développer le lien. idée: James est tout ce que Vitaly recherche : une gueule d’ange, un porte-monnaie en or et une prestance qui l’intrigue autant qui le met mal à l’aise. Les deux hommes sont arrivés en même temps sur Oxford, en Septembre dernier, l’un venant de Russie, l’autre venant de Cambridge – si bien que Vitaly y a vu un signe du destin. Depuis, le jeune homme observe James depuis l’ombre, prenant son mal en patience, ne rêvant que d’une seule chose : lui parler. De nouveau. Faire connaissance. Et plus si affinité. Si seulement il savait que James n’était pas de ce bord-là… Et si seulement Vitaly savait que James l’avait remarqué, attendant le moment opportun pour lui proposer un travail. Le riche héritier ne tient pas à se salir les mains, ravi à l’idée d’avoir quelqu’un sous la main pour le servir. Parce qu’il le sait, ça, que Vasily ne pourra pas lui refuser.
Fergus Leslie Jefferson (PV libre)cuisinier/policier sous couvertureMalaise. A chaque fois que Vitaly vient se servir au réfectoire, Fergus ne peut s’empêcher de le suivre des yeux. Le russe, content de susciter l’intérêt de quelqu’un, en est déboussolé, persuadé d’être au goût du cuisinier… ce qui est loin d’être le cas. Ce que Fergus poursuit, c’est un accent chantant (l’accent russe). Ce que Fergus tente d’ignorer, ce sont les souvenirs de la dernière mission (avant celle-ci) où il a envoyé la moitié de la mafia russe en prison. Le policier sous couverture doute : derrière les airs innocents du gamin, se cacherait-il le réseau de drogue qu’il doit démonter ? Ou serait-ce seulement les séquelles de la mission et la peur d’avoir raté une branche de la mafia ? Quoiqu’il en soit, les deux hommes échangent souvent des regards, entre interrogation et défiance. Que Fergus lâche du lest, cependant : à ce rythme-là, Vitaly risque de porter plainte contre harcèlement auprès de l’administration.
Cindy Gallager (PV libre)protection/agacementUn jour au réfectoire, Cindy a remarqué la manière dont Fergus regardait Vitaly ; ce mélange d’incompréhension et de … haine ? Alors, faisant partie de la brigade de protection des élèves, Cindy s’est promis de garder Vitaly dans son secteur pour l’aider… et mettre à mal Fergus (elle ne sait pas qu’il est policier sous couverture). Mais l’aide de la demoiselle ne semble pas très « compréhensible » : elle lui demande souvent de rester pour nettoyer une salle, l’appelle le week-end « au nom d’une enquête », le bombarde de questions à chaque fois qu’elle le croise. L’aider et le protéger : oui. Mais certainement pas sans l’emmerder. Elle estime que c’est sa manière de faire payer ses services.
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