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 (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE

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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
ADMIN & POSH - la reine mère


☆ date d'arrivée : 06/12/2014
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MessageSujet: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyLun 6 Avr - 1:57

we will survive
Aaron & Alice
Alice n'arrivait toujours pas à y croire. Sa Iseult allait quitter l'Angleterre. Elle le comprenait, cela dit, elle ne pouvait pas en vouloir à sa meilleure amie. Si elle aussi avait eu le droit à ce genre d'opportunité elle l'aurait saisi. Iseult allait partir travailler à l'Ambassade Britannique en Chine. Ou quelque chose de ce genre. Tout cela pour dire qu'Alice ne pouvait que l'encourager pour partir. Même si elle ne savait pas si un jour elle reviendrait. Même si elle ne savait pas si un jour elles pourront se revoir. Elle ne doutait pas qu'Iseult revienne pour son mariage, elle ne doutait pas qu'elle reviendra pour voir ses enfants, et qu'Alice irait la voir de temps en temps. Mais c'était tout de même la fin d'une époque, la fin d'un âge. C'était la fin de quelque chose qui avait duré toute sa vie. Iseult était son repère dans la vie. Elle avait toujours été là, toujours près d'elle. Même si parfois elles passaient plusieurs jours sans se parler, à cause des études, à cause du travail, ou même à cause des vacances, elles pouvaient toujours débarquer l'une chez l'autre et y être accueilli comme chez elle.
C'était la fin d'une époque, et Alice était terrorisée. Fort heureusement la fin d'une époque marquée aussi le début d'un nouveau cycle. Elle regardait la bague à son doigt, serti d'un magnifique diamant et elle sourit. Elle était fiancée. Eliakim avait finalement fait sa demande lors de leur séjour à Paris, la veille de leur départ. Elle soupira. Elle avait aussi peur d'être enceinte, mais elle devait aller vérifier auprès de son médecin. Elle n'avait fait qu'un seul test, positif certes, mais cela ne voulait rien dire. Elle ne pouvait pas être tombée enceinte alors qu'elle perdait tous ses repères.  
Son demi-frère était partie en Suisse pour reprendre pied à la réalité. Sa meilleure amie partait à l'autre bout de la terre, pour vivre sa vie de femme adulte. Et elle hésitait à quitter l'Université pour se lancer dans la vie active. C'était trop de choses d'un seul coup. Le sms d'Aaron vint la tirer de l'angoisse qu'elle commençait à ressentir.
Sans attendre elle prit son portable, ses clés, et son chien, et elle sortie de son appartement pour prendre sa voiture et rejoindre le manoir de son meilleur ami. Cela lui ferait du bien de voir Aaron. Cela lui faisait toujours du bien de voir Aaron. Il était un petit rayon de soleil dans sa vie. Il était toujours présent pour elle, et elle était heureuse de l'avoir rencontré. Elle était heureuse qu'ils s'entendent aussi bien et qu'ils soient là l'un pour l'autre. Elle sonna à sa porte, et attendit qu'il vienne lui ouvrir. Son berger allemand attendit avant de sauter sur Aaron pour lui faire la fête. Elle était délicate cela dit, et ne l'envoya pas valser. « Oklahoma ! »  sa maitresse la rappela à l'ordre et la chienne s'arrêta immédiatement, non sans remuer la queue. Alice se jeta au cou d'Aaron, laissant soudainement les pleures couler sur ses joues. « Elle va partir Aaron ! Elle va partir, et je suis fiancée, je sais pas si je veux quitter l'université, et je suis peut être enceinte ! »  Elle ne pleurait pas devant n'importe qui, mais la peur était si présente qu'elle ne savait pas comment réagir autrement. Elle se recula et prit la bouteille qu'elle avait dans son sac à bandoulière. Et elle avait un sac à bandoulière. Elle, Alice Kensington, portait un putain de sac à bandoulière. C'était le début de la fin de sa vie, c'était évident. « Sors nous deux verres, on en a besoin. »  DIt-elle en montrant sa bouteille de vin français si convoité.
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyLun 6 Avr - 15:56

we will survive
Alice & Aaron
Dans la vie parfois il y a des évènements qui requiert la solidarité, le regroupement ou tout simplement le fait de ne pas se savoir seul. Ces évènements là sont en général d’ordre négatif, puisque c’est ce degré là qui agit comme un révélateur. Il nous dévoile qu’en était seul, il est plus difficile de faire face à une situation délicate, gênante, dérangeante, triste, en bref on se rend bien compte qu’en étant entouré, il y a plus de chances pour que l’on arrive à surmonter la dureté de la chose. C’est donc un peu dans cette optique là que je me retrouvais en ce moment même. Je venais en effet d’apprendre que Iseult, une fille merveilleuse que j’avais appris à découvrir et notamment de part l’organisation de notre évènement du Bodley Club, allait quitter Oxford. Elle avait en effet été convoitée pour travailler à l’Ambassade britannique en Chine, une place que l’on ne pouvait donc pas refusé, à moins de vouloir le regretter toute sa vie. J’avais donc accueilli cette nouvelle telle un coup de massue. Nous n’étions peut être pas si proche que ça, mais j’avais toujours ressenti tellement de bonté en cette fille, qui cela me touchait tout de même. D’autant plus que cela touchait encore plus ma meilleure amie Alice, qui elle connaissait Iseult depuis toujours.

C’est donc tout naturellement que ce soir, me retrouvant seul et ruminant cette pensée autour du départ de Iseult, que j’avais décidé d’envoyer un sms à ma meilleure amie, ma jolie blonde, dans l’optique de l’inviter chez moi afin que l’on puisse vivre ce mauvais moment ensemble. J’espérais qu’elle soit seule elle aussi ou du moins que même si elle ne l’était pas, elle accepte ma requête. Par chance je n’eus pas à attendre bien longtemps sa réponse, puisqu’elle accepta sans broncher, trouvant même l’idée tout à fait adaptée à la situation. Je savais qu’elle n’allait pas être dans son meilleur état d’esprit, du coup, j’attrapais les pots de glaces dans le congélateur avant de venir les poser sur la table basse du salon. Là, je cherchais un film sur la VOD de la télé pour que l’on puisse passer le temps en dehors de nos pleurs certain sur le départ de notre amie, quand j’entendis quelqu’un sonner à la porte. « J’arrive ! » laissais-je entendre tout haut. Arrivant finalement devant ma porte je n’eus à peine le temps de l’ouvrir que déjà, la chienne de la blondinette me sauta dessus. L’accueillent avec un sourire large et quelques caresses, je fus impressionné de la voir se stopper net quand Alice lui ordonna. Décidément ce petit bout de jeune femme sait dresser ses partenaires, Eliakim, maintenant la chienne, faudrait que je lui demande son petit secret. Reportant finalement mon attention sur mon amie, il n’en fallut pas peu pour qu’elle se jette dans mes bras et fondent en larmes. Oh mon dieu que je n’aimais pas la voir ainsi. Voir toute cette tristesse dans ces yeux, c’était juste trop dur pour moi. Ravalant mes larmes, pour rester fort et digne et surtout pour ne pas agrémenter davantage son chagrin, je la serrais ainsi fort dans mes bras, avant de l’attraper par les épaules et de la pousser un peu devant moi, histoire que je puisse accuser le coup de toutes ses révélations. J’en restais le regard ébahis, muet et figé face à elle quelques instants « Ohh doucement ma belle, on va se calmer tout de suite et on va voir ça calmement ensemble veux-tu … ». Elle était décidément plus mal en point que je ne l’avais imaginé, mais ce qui m’avait le plus interloqué malgré son chagrin indéniable, c’était sans doute le fruit de sa révélation concernant une possible grossesse. Attrapant son sac à bandoulière, je ne pus m’empêcher de faire une moue à l’image que me renvoyait cet objet « Laisse moi te débarrasser de cette horreur … ». Refermant la porte derrière nous, je l’invitais à prendre place sur le canapé du salon avant de mettre la bouteille de vin qu’elle avait apporté au frais, car ce soir il était hors de question qu’elle boive une seule goutte d’alcool, puisqu’elle pouvait se trouver être enceinte. Concernant son sac à bandoulière, comment pouvait-on encore aujourd'hui créer ce genre de chose, je le jetais dans ma poubelle. J’attrapais donc plusieurs jus dans mon frigo, les mélangeaient et y ajouter quelques petits ingrédients secrets. « Voilà notre breuvage de ce soir ma douce, pas d’alcool à l’horizon, si tu es enceinte tu dois arrêter tout de suite ce genre d’excès … tu te rattraperas sur le sex, Eli’ en sera davantage conquis, fais moi confiance … » essayais-je de plaisanter, avant de lui tendre un pot de glace, mon meilleur ami dans les situations comme celle-ci. Plongeant mon regard dans celui tout humide de ma meilleure amie, je vins à essuyer de mon pouce ses larmes coulant sur ses joues « Arrête de pleurer, Iseult ne voudrait pas te voir dans un tel état, elle voudrait au contraire qu’on soit entrain de faire la fête ! Après tout cette une super opportunité pour elle … Et puis tu sais la Chine on pourra y aller tous ensemble après tout, ce n’est pas un adieu, c’est juste un au-revoir » Je déposais un tendre baiser sur son front tout chaud, avant de boire une gorgée de ma préparation maison « Ce n’est certainement pas aussi exquis que le bon vin que tu as apporté ce soir, mais je pense qu’il est plus sage de s’accorder sur une chose, tant que tu ne sauras pas ce qu’il en est de cette supposée grossesse, je jouerai l’emmerdeur en t’interdisant le moindre excès pouvant affecter le développement d’un possible enfant » Je me trouvais bien mature pour une fois, peut être que la gravité de la situation me rendait plus adulte que jamais ou bien peut être aussi que j’agissais ainsi que parce qu’il s’agissait de Alice et non d’une quelconque jeune femme. « Explique moi maintenant calmement, un peu tout ce que tu m’as déballé plus tôt, ton désir de quitter l’université … stupide raisonnement si tu veux mon avis et surtout cette histoire de grossesse … tu as du retard ou c’est juste une simple supposition ? » Je voulais en savoir davantage sur ce dernier point, car ce n’était pas rien, c’était quand même une étape de la vie qui allait tout changer et non pas que pour elle, mais pour Eliakim aussi, puisque j’y mettrai ma main à couper, lui seul pouvait être le père de cet enfant, si jamais celui-ci est bien là.
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyLun 6 Avr - 23:46

we will survive
Aaron & Alice
La souffrance est sans doute le pire des sentiments qu'Alice n'avait jamais ressenti. Elle n'était pas du genre à pleurer facilement, elle n'était pas du genre de se plaindre ou même de râler. Elle ne regardait que rarement en arrière, et elle ne regrettait jamais ses actions. Elle faisait attention à tout, surtout à ne pas perdre le contrôle de sa vie. C'était devenue une véritable obsession avec le temps. Ne pas perdre le contrôle. Mais là elle ne savait plus ce qu'elle devait faire. Elle avait l'impression que son monde s'écroulait, et elle ne savait pas comment le gérer, elle ne savait pas comment vivre avec cela. Eliakim n'était pas là, son père était loin, sa meilleure amie allait partir. Il ne lui restait qu'Aaron. Alors c'est naturellement qu'elle accepta son invitation à aller chez lui. Dans un instant de lucidité elle prit cependant sa chienne, ne pouvant la laisser seule. Oklahoma était inquiète pour elle. Cette chienne était très alerte et attachée à sa maitresse. Alice ne pouvait pas la laisser seule, elle ne pouvait pas l'abandonner. Ce serait ignoble. Sans compter que la chienne savait se faire aimer de tous les amis d'Alice. Elle l'écoutait au doigt et à l'oeil, elle était bien éduquée, elle ne poserait sans doute pas de problème à Aaron.
Quand elles arrivèrent Alice se jeta au cou d'Aaron, en pleure. Elle sentait sa peur, la panique qui lui étreignait le coeur la rendre folle. Elle avait besoin de soutien, elle avait besoin de quelqu'un qui l'aidait à reprendre le contrôle. C'était une chose rare, mais elle savait qu'Aaron serait parfait dans ce rôle. Il était un homme fantastique. Elle ne le connaissait pas depuis longtemps mais elle avait l'impression qu'il était là auprès d'elle depuis toujours. C'était une amitié si naturelle qu'elle n'avait pas même réfléchie avant de parler avec lui. Ils s'étaient mis à rire, puis ils avaient partagé leur sentiment, et aujourd'hui ils se disaient tout. Parfois Alice avait l'impression que leur destinée étaient liées. Ils étaient amoureux de leur professeurs, ils s'étaient fiancés presque en même temps, et ils se comprenaient en un seul regard. Il était le frère qu'elle n'avait jamais eu. Le vrai frère, le jumeau, l'autre part de son âme en quelque sorte. En toute objectivité, car en réalité elle n'avait pas le moindre désir pour Aaron. Il n'y avait pas d'ambiguité entre eux. Elle ne pouvait pas tomber amoureuse d'Aaron. Pas qu'il n'était pas mignon, ou qu'il n'était pas un homme fantastique. Mais elle se sentait bien trop proche de lui. « Ohh doucement ma belle, on va se calmer tout de suite et on va voir ça calmement ensemble veux-tu … » Elle remua la tête, acquiesçant. Elle se sentait bien mieux déjà d'être entourée, d'être dans ses bras. Elle se rendit compte alors qu'elle portait un sac ignoble, et Aaron le remarqua aussi. Il posa un regard presque outré sur le bout de tissu difforme. Heureusement pour le reste Alice portait un jean déchiré aux genoux slim et un chemisier blanc trop grand qui flottait autour d'elle comme des ailes. Elle portait aussi des sandales noires, à talons hauts. Elle avait toujours le style. Cependant elle n'osait pas penser à son maquillage qui avait dû couler, et à ses cheveux décoiffé. Mais ce n'était pas la question pour le moment. « Laisse moi te débarrasser de cette horreur … » « Avec plaisir. »  Dit-elle à travers ses larmes. Après tout il n'y avait plus rien dedans. Aaron eut tôt fait de poser ses clés, et une petite pochette qu'elle avait quand même glissé dans le sac sur le bar avant de l'inviter à s'asseoir dans un canapés. Elle quémanda un verre pour boire du vin, mais son meilleur ami ne l'entendait pas de cette oreille. Chose qu'Alice ne voulait pas entendre, même si il avait raison. Elle était triste, elle se sentait seule, et il était son sauveur. Il lui prépara un cocktail sans alcool, laissant sa bouteille de vin de côté. Elle accepta le verre avec une mine boudeuse. Mais Aaron avait toujours le mot pour lui rendre la raison. « Voilà notre breuvage de ce soir ma douce, pas d’alcool à l’horizon, si tu es enceinte tu dois arrêter tout de suite ce genre d’excès … tu te rattraperas sur le sex, Eli’ en sera davantage conquis, fais moi confiance … » Elle soupira. Elle avait fait un test plus tôt, qui s'était révélé positif. Elle avait du retard. Elle était peut être enceinte. Eliakim et elle étaient plutôt actifs, très actifs, et après avoir fait les tests nécessaires ils avaient arrêté d'utiliser des préservatifs. Elle prenait cependant la pilule. Peut être que sa pilule n'était pas suffisante. Peut être qu'elle pouvait quand même tomber enceinte. Peut être qu'elle l'avait oubliée. Elle avait passé tellement de temps à s'occuper des compétitions, des cours, des Posh… Elle ne se souvenait pas si elle y avait toujours pensé. Elle était tête en l'air depuis plusieurs semaines. « J'imagine que je dois arrêter la clope aussi. » Dit-elle en sortant son paquet de sa poche, et le posant sur la table basse. Elle devait arrêter les excès. Mais elle ne voulait pas être maman. Elle n'était pas prête pour cela. Elle ne pouvait pas offrir à son enfant une vie entre les galas de charité, les cours, et les compétitions universitaires. Elle ne voulait pas faire la une de l'Oxymoron avec un ventre rond et un sous-titre du genre : La Kensington, poule pondeuse ? Rien que d'y penser ses pleures revinrent.
« Arrête de pleurer, Iseult ne voudrait pas te voir dans un tel état, elle voudrait au contraire qu’on soit entrain de faire la fête ! Après tout cette une super opportunité pour elle … Et puis tu sais la Chine on pourra y aller tous ensemble après tout, ce n’est pas un adieu, c’est juste un au-revoir » Il avait raison. Iseult avait une chance incroyable. Elle allait vivre son rêve, elle allait devenir quelqu'un d'important. Alice se réjouissait pour elle, elle aurait cependant préféré que cela arrive un peu plus tard. Elle avait tout à fait conscience que rien ne sera comme avant. Tout allait changer. Son quotidien allait être changé, bouleversé à jamais. Elle pourrait toujours voyager, mais jamais plus elle ne serait aussi proche de sa meilleure amie. « Tu as raison. Iseult est la fille la plus chanceuse, et la plus méritante que je connaisse. Elle va être une ambassadrice démentielle et ils vont l'adorer en Chine ! » Dit-elle en levant son verre pour boire à sa santés. Elle but un coup, et fut surprise d'apprécier autant le coup fruité de ce cocktail. Elle n'était pas du genre à demander des cocktails de fruits, alors qu'elle adorait cela. Aaron était un dieu vivant. Elle but encore une gorgée, et inspira profondément pour reprendre ses esprits. Elle devait être forte, elle devait resté forte. « Ce n’est certainement pas aussi exquis que le bon vin que tu as apporté ce soir, mais je pense qu’il est plus sage de s’accorder sur une chose, tant que tu ne sauras pas ce qu’il en est de cette supposée grossesse, je jouerai l’emmerdeur en t’interdisant le moindre excès pouvant affecter le développement d’un possible enfant » « Et tu seras parfait dans ce rôle. Mais ne nous avançons pas encore. Je ne dois pas être enceinte. Ce n'est pas possible. »  Dit-elle en buvant encore une gorgée. Elle se calmait vraiment, et elle était capable maintenant de parler sans ce trémolo dans la voix. Elle devait être forte. Elle devait être Alice Kensington. Elle ne pouvait pas se laisser aller à la panique. Elle ne pouvait pas tout simplement être quelqu'un de faible. Aaron s'en rendit compte car il lui demanda de reprendre tout du début.
« Explique moi maintenant calmement, un peu tout ce que tu m’as déballé plus tôt, ton désir de quitter l’université … stupide raisonnement si tu veux mon avis et surtout cette histoire de grossesse … tu as du retard ou c’est juste une simple supposition ? » Elle ôta ses chaussures, et se laissa aller dans le canapé soyeux d'Aaron. Elle se mettait à l'aise. Cette conversation n'allait pas être facile, et elle devait rester forte. Elle inspira un grand coup, et regarda Aaron dans les yeux. « Je ne suis pas une bonne élève Aaron. Cette année j'ai été l'égérie de Burberrys et j'ai adoré cela. Je veux devenir quelqu'un. Mais peut être que je devrais faire ma septième année, valider ma session en politique. Après cela ne me lancerait dans la vie active. J'en ai assez des études. Je vais être une femme mariée, je dois devenir une femme et ne plus être simplement une étudiante. » Dit-elle pour tenter de s'expliquer. Elle y pensait depuis un moment, mais elle avait peur de se jeter à l'eau. Elle adorait Oxford, elle adorait être quelqu'un à Oxford. Elle inspira, et se leva pour aller chercher quelque chose dans sa pochette. Elle l'avait pris avec elle, ne sachant y croire, ne sachant comment elle devait réagir. Elle revint auprès d'Aaron et lui montra le test et le rond bleu qui était resté allumé. « J'ai du retard, mais ca n'a rien d'étonnant, je n'ai jamais été de ces filles réglé comme des horloges. Mais je flippe. Un positif. C'est peut être un faux positif, je ne sais pas. Mais je ne veux pas être maman. Pas encore. C'est trop tôt. Je… Je ne me sens pas prête. » Dit-elle tout simplement pour s'expliquer. Elle ne voulait pas avoir d'enfant. Elle savait qu'elle voulait faire sa vie avec Eliakim, elle voulait l'épouser. Mais elle voulait prendre le temps de vivre. Elle ne voulait pas que tout soit aussi rapide, ca lui faisait peur. « Je ne veux pas en parler à Eliakim. Il veut être papa, et … Je ne veux pas, pas pour le moment. Sauf qu'il ne me le pardonnerait pas. Il voudrait cet enfant… Trop de questions. Et Iseult qui s'en va à l'autre bout du monde. Les examens qui approchent. Dis moi au moins que toi et Andrea vous allez toujours vous marier. Vous êtes … Vous êtes mon étoile du berger. Cette lueur qui me fait croire en l'amour. Vous me rendez romantique. »
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptySam 11 Avr - 15:06

we will survive
Alice & Aaron
La souffrance était un sentiment que j’avais bien malheureusement trop connu durant toute ma vie. Tout avait commencé lorsque je n’étais encore qu’un enfant, mon père mettait une pression monstre à mon encontre dans le but que je sois le meilleur dans tout ce que je pouvais entreprendre, l’école je n’ai donc jamais vraiment apprécié, c’était plus de stress que de l’épanouissement à mon sens. Le pire fut le moment où mon attirance pour les garçons se fit ressentir. Ce fut quand je fis ma rentrée au lycée, là alors toutes mes hormones en ébullition n’avait d’yeux que pour eux. Je ne passais pas à l’acte, mais rien que toutes ces pensées « impurs » aux yeux des autres, me donne l’impression d’aller du côté obscur. De là j’apparais alors comme une abomination, une personne malade pour mes parents, ils se seront efforcés de tout faire pour essayer de me faire changer, mais on ne peut pas changer sa nature propre, rien que parce que cela dérange un tel. J’ai donc longtemps connu cette souffrance qui vous prend au trip et vous déchire chaque jour un petit peu plus, même si cette souffrance n’était rien comparé à celle que j’avais pu ressentir le jour où j’avais découvert les photos mettant en scène l’infidélité d’Andrea. Enfin bref tout ça pour en venir au fait que la souffrance que ressentait ma meilleure amie aujourd’hui, je la comprenais, car même si il y a tout un tas de raisons pour lesquelles on peut souffrir, la souffrance reste toujours la même, elle est toujours là à vous rappeler que votre petit bonheur n’a plus de raison d’être. Mon rôle aujourd’hui auprès d’Alice était donc d’être celui qui apaiserait cette douleur qu’elle pouvait ressentir aujourd’hui.

C’est pourquoi ce soir je l’avais invité à venir me rejoindre afin qu’elle ne soit pas seule à pleureur le départ de Iseult. D’un côté sa présence me ferait du bien aussi parce que j’avais appris à apprécier dernièrement Iseult, mais je savais dès le moment où je l’avais vu devant ma porte les yeux humidifiés, que c’était elle qui avait là bien plus besoin de moi. Je ne sais pas si je suis quelqu’un qu’on pourrait qualifier d’altruiste dans son aspect le plus positif, mais quand il s’agissait des personnes chères à mon coeur (à savoir qu’aujourd’hui elle se compte sur les doigts de ma main : Andrea et Alice), je pourrais déplacer des montages pour les rendre heureux, pour les venger, pour apaiser leur douleur. Je m’étonnais parfois à pouvoir être quelqu’un d’aussi attentionné, étant donné qu’étant enfant unique et n’ayant jamais réellement reçu amour, admiration ou respect de la part de ma famille, je puisse être doté de cette capacité aujourd’hui. Heureusement pour moi je n’avais pas hérité du côté sombre de mes parents qui n’arrivaient toujours pas aujourd’hui à accepter mon choix de vie.

Pour en revenir à ma belle blonde, outre sa douleur causée par le départ de sa meilleure amie, elle venait également de me déballer tout un tas de points qui ne pouvaient pas restés dans l’ombre. C’est pourquoi après l’avoir débarrasser de ses affaires ou du moins de l’immonde objet lui servant de sac, que je nous avais préparé un cocktail fruité sans alcool, car ses mots concernant une éventuelle grossesse n’étaient pas tombés dans l’oreille d’un sourd, bien au contraire. La rejoignant alors sur le canapé, je lui avais servis notre breuvage de la soirée et j’avais acquiescé lorsqu’elle avait fait l’effort de laisser également la cigarette de côté, le temps d’être certaine de savoir si elle était ou oui non enceinte « C’est une sage décision oui » acquiesçais-je aussitôt avec une petite moue amusée. Je la regardais avec un regard tendre et protecteur à la fois, cette fille était devenue en si peu de temps l’une des personnes les plus importante à ma vie et la voir si peinée n’était pas à mon goût. Malgré sa peine, je pouvais aussi très bien entendre au delà de ça, sa crainte du futur, elle se posait beaucoup de questions sur son avenir, sur son statut de femme, notamment maintenant qu’elle était en couple officiellement avec Eliakim, qui la rendait heureuse comme jamais. Ayant essayé de lui faire entendre que le départ d’Iseult était une concession nécessaire à l’épanouissement professionnelle de cette dernière « Oui ils ne vont pas regretter de l’avoir choisie, Iseult sera parfaite dans ce rôle là .. » Buvant une gorgée de ma préparation, je fus moi même étonné par le goût agréable qui s’en dégagé, ce que je ne tardais pas à laisser entendre « C’est pas mauvais, c’est même plutôt bon … Je sais dans quoi me réorienter si jamais le droit et moi on ne s’entend plus ! » essayais-je de plaisanter pour créer une petite diversion, mais au vue de ce qu’elle allait me dévoiler, ce n’était peut être pas le meilleur moment. J’écoutais ainsi ses mots qui se voulaient être plus déterminés que jamais. Elle en avait marre des études, elle voulait devenir quelqu’un, rentrer dans la vie active au plus vite et peut être que son futur mariage avec Eliakim en était aussi l’une des raisons. Faisant une petite moue douteuse, j’inspirai un bon coup avant de lui répondre « Tu sais être une femme mariée ne veut pas dire que tu dois dessuite t’enfermer dans un modèle de vie que tu crois être celui le plus adapté … Si tu veux mon avis, termine ta septième année, je suis sûr que tu la valideras sans grande difficulté ! … » Replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille, je continuais « Puis cesse de dire des bêtises, tu n’es pas n’importe qui … Tu es déjà une femme respectée ma belle, qui ne connait pas, ne craint pas Lily Alice Kensington ici à Oxford voir même au delà … tu veux entendre une confidence ? … Avant que l’on soit amis, tu m’inspirais le respect et l’admiration, tu n’es pas une personne banale je peux te l’assurer » Déposant un tendre baiser sur son front chaud, je plongeais mon regard dans le sien « Tu es ma Reine et je serai ton preux chevalier jusqu’à mon dernier souffle, je t’en fais le serment ». À la suite de ça, je te regardais te lever, le regard inquisiteur, curieux de savoir ce que tu allais chercher dans ta pochette que j’avais pris soin de retirer de ton sac à bandoulière avant de le jeter à la poubelle. Ma curiosité fut rapidement comblée, puisque voilà que tu apparaissais à nouveau devant moi, mais cette fois-ci avec entre tes mains, l’un de ces fameux test de grossesse. L’attrapant et apercevant le rond bleu présent qui indiqué une éventuelle grossesse, je souriais en t’imaginant maman le temps de quelques instants, avant d’entendre ton avis sur la question. « Je comprends ton apriori sur la question de devenir maman, après c’est pas une décision à prendre dans ce genre de moment où tout semble pointé vers un avenir assombri par le départ de Iseult, tes interrogations sur ta poursuite d’étude … On en reparlera à un moment plus convenu » Me mettant à rire nerveusement, je m’excusais d’un geste de la main avant de reprendre « Puis comme tu le dis ce n’est pas forcément très fiable ce genre de test, la preuve, je me rappelle un soir où j’avais bu, bien trop bu en avoir acheté un en pharmacie et après avoir uriné dessus, le test m’affichait le même résultat que le sien et à moins que je sois la nouvelle Marie des temps modernes, je n’ai jamais vu de petit Jésus tenter de pointer le bout de son nez » Ce n’était pas une manoeuvre pour la rassurer c’était bien véridique et c’est pourquoi je continuais en essayant de la rassurer « Hop hop hop, avant de penser à Eliakim et à ce qu’il en penserait il faut que tu penses à toi. Demain je t’accompagne faire une prise de sang, on sera fixé dans la soirée sur ta grossesse éventuelle … donc jusque là, je t’interdis de penser à ce genre de chose » Buvant une nouvelle gorgée de ma boisson, je passais ma langue sur mes lèvres pour en savourer le goût sucré « Avec Andrea tout va bien oui, à vrai dire je crois que depuis Paris notre amour n’en est devenu que plus fort et puissant. Même si ta petite intervention m’a fait craindre le pire, aujourd’hui on est plus que jamais unis. Je vois chaque jour qu’il est enfin heureux, qu’il me fait confiance et en plus maintenant avec l’arrivée de sa soeur à Oxford, je peux t’assurer que monsieur est aux anges … et c’est d’autant plus positif pour moi, car quand il est dans ce genre d’humeur cela veut dire que son désir sexuel est encore plus ardue … Je suis un homme comblé, ne t’en fais pas » Attrapant nos pots de glace que j’ouvrais, je lui tendais le sien « Mange, dans tous les cas cela ne pourra te faire aucun mal ça et au contraire c’est l’un des meilleurs remèdes » Plongeant ma cuillère dans mon pot, je l’amenais à ma bouche et savourait ce délice « Hmmmm … c’est trop bon ». Soudain une idée me passa par la tête pour changer les idées de ma belle. « Bouge pas de là, je reviens dessuite ! ». Sautant du canapé telle une gazelle plein de charme, je me dirigeai vers le coin cuisine et poser mon téléphone sur la station d’accueil. Là je fouillais dans ma liste musical, avant de lancer I’m a Slave 4 U de Britney Spears (oui car tout gay qui se respecte aime Britney ^^). Là alors je me retournais vers Alice le regard enjoué et amusé tout en commençant au rythme de la musique à m’avancer vers elle de façon lascive, animale. Commençant à me déhancher tout en déboutonnant les premiers boutons de ma chemise laissant ainsi apparaître mon torse quelque peu musclé et où mes poils me donnait ce côté viril je lui lançais tout haut « Je crois que tu as besoin d’un petit remontant … » Continuant mon petit jeu, je me déhanchais toujours plus et arrivant devant elle, je laissais ma chemise s’ouvrir complètement. Attrapant ses mains je les posais sur mon corps nu « Profite de ce corps de dieux ma belle, tu n’auras pas souvent l’occasion d’en toucher d’autres maintenant » j’éclatais de rire, ne pouvant pas rester sérieux face aux propos que je tenais. L’attrapant malgré tout par la taille pour la mettre debout à mon niveau, je lui lançais un défi « Montre moi la femme qui se cache sous ce petit air innocent que tu me fais là ». La soirée risquait de devenir rapidement du grand n’importe quoi, mais c’était aussi pour ça que j’aimais sa présence, parce qu’avec elle je n’avais peur de rien et surtout pas du ridicule.
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyDim 12 Avr - 1:38

Défis   : à l'attention d'Alice
jusqu'à l'excès

Bonjour Alice,
Voici le défis que l'on te lance : Alice, tu devras écrire le mot "abracadabrantesque" dans ton prochain RP (et comme j'suis sympa, j'veux que la joueuse le dise 5 fois a voix haute, juste pour qu'elle s'amuse un peu - pas de preuves nécessaires, heeeein)

Bonne chance !
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
ADMIN & POSH - la reine mère


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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyDim 12 Avr - 22:44

we will survive
Aaron & Alice
« C’est une sage décision oui » Alice ne put se retenir de souffler en directement d'Aaron. Elle n'avait aucune envie d'être sage. Alice n'était pas une gentille petite fille, c'était Iseult la plus douce et rangée des deux. Alice c'était la jeune femme qui fumait, buvait, dansait à moitié nue, et se tapait un prof. Iseult c'était la jeune femme qui voulait rester vierge jusqu'au mariage, qui avait toujours été première de la classe, et qui ne faisait aucun excès en public. Sauf en soirée, parce qu'Alice l'amenait avec elle dans les sombres recoins de la vie excessive. Alice avait découvert la cigarette avec l'angoisse des podiums et de la vie de mannequin. Elle ne fumait pas avant cela. Il faut dire aussi qu'Eliakim fumait, et cette odeur était associée à l'after coïte . C'était une odeur séduisante dans l'esprit de la jeune femme. Tout comme elle passait sans doute plus de temps à boire de l'alcool que de l'eau. Elle était constamment dans des soirées mondaines, ou des soirées étudiantes, ou même elle buvait des verres avec ses amis. Vin rouge, vin blanc, champagne, bière... Elle ne passait pas une semaine sans être ivre ne serait-ce qu'une seule fois. Une habitude tout à fait ignoble certes, mais c'était aussi l'obligation de tous les étudiants de l'université. Oxford, lieu de tous les excès. Elle adorait être riche, elle adorait dépenser de l'argent pour des choses futiles, et ignobles. Elle adorait acheter des vins très chers pour les boire avec Iseult devant une série télévisée allemande où une jeune femme ignoble était amoureuse de son patron sortie tout droit d'un magazine de mode. « Abracadabrantesque ! Moi qui arrête tout excès. N'importe quoi ! »  Murmura-t-elle alors qu'elle s'effondrait littéralement sur le fauteuil d'Aaron.
Ils se mirent à discuter d'Iseult, prenant tous les problèmes qu'Alice se créaient les uns après les autres. Il faut dire que cette fille avait le chic pour se poser les questions qu'il fallait. Elle n'était pas du genre à paniquer rapidement, mais là elle ne savait pas comment elle était censée réagir. Après tout Iseult était son phare, une certitude qu'elle avait auprès d'elle depuis toujours. Elle allait la perdre, et que lui restait-il après ? Iseult avait été sa compagne dans le meurtre, et ce n'était pas une expression symbolique. Elle avait réellement tué quelqu'un sous le témoignage d'Iseult. Elles s'étaient surprotégées depuis. Et maintenant Iseult allait partir, laissant Alice toute seule. Et celle-ci ne pouvait que reconnaitre que c'était une bonne chose pour elle. Elle allait enfin approcher son rêve du bout des doigts, entrer dans le monde et resplendir. « Oui ils ne vont pas regretter de l’avoir choisie, Iseult sera parfaite dans ce rôle là .. » Alice acquiesça et but une gorgée de son cocktail avant de reconnaitre qu'il était délicieux. « C’est pas mauvais, c’est même plutôt bon … Je sais dans quoi me réorienter si jamais le droit et moi on ne s’entend plus ! » Alice imagina Aaron derrière un bar, secouant des chaker en rythme sur une musique de boite de nuit, alors que des folles furieuses à demi-nue hurleraient son nom en cadence. Ou alors des drag queens qui danseraient sur le bar pour espérer avoir son attention. Aaron, torse nu, qui danserait sur le bar en secouant son mélangeur à cocktail, avec une banane entre les lèvres, et des cerises en guise de boucle d'oreille. Adorable, mignon, et si beau. Aaron était un mec doué, mais cette vision donnant envie à Alice d'exploser de rire. Pour s'en empêcher elle eut l'idée géniale de boire, et toussa alors qu'elle risquait de s'étouffer avec ce breuvage. Elle devait vraiment se calmer et relativiser.
Elle fit part à Aaron de ses angoisses en ce qui concernait son avenir à l'unviersité. Alice n'était pas faite pour les études. Elle jouait le jeu pour faire plaisir à son père et parce qu'elle savait que ce serait quelque chose de fantastique sur son CV et pour son avenir. Elle allait sortir de l'école la plus prestigieuse de Grande Bretagne, et une des écoles les plus fantastique au monde. Elle se faisait des relations qui lui serviront pour le restant de sa vie. Elle était conscience de tout cela, mais elle n'en avait plus envie. En ce moment elle se sentait fatiguée, en ce moment elle avait envie et besoin d'autre chose. Elle avait envie de changer d'air, et de voir le monde. Elle avait envie de se marier, et de n'avoir que cela en tête. De ne pas avoir à penser à des stages pratiques, à des examens, ou des cours. Elle se sentait si éloignée de tout cela que ca lui paraissait ridicule d'y penser. Elle ne voulait plus de tout cela aujourd'hui. « Tu sais être une femme mariée ne veut pas dire que tu dois dessuite t’enfermer dans un modèle de vie que tu crois être celui le plus adapté … Si tu veux mon avis, termine ta septième année, je suis sûr que tu la valideras sans grande difficulté ! … » Mais Aaron avait raison. Elle n'était pas la seule étudiante à avoir envie de tout abandonner à quelques mois de la fin de l'année. A une année de la fin de sa session. Elle n'avait pas envie de faire neuf ans d'études ? Fort bien, que pouvait-elle faire avec un diplôme supérieur en Politique et philosophie de toute façon ? Elle ne voulait pas devenir Lord ou premier ministre du Royaume-Uni. Elle voulait être capable de mener l'entreprise de son père après lui, ou même de travailler auprès des plus grands. Mais elle savait que pour cela il lui suffirait de faire marcher ses connaissances, et de partager son don pour la manipulation et la communication. Elle était capable de faire des grandes choses, mais Alice n'était pas connue pour sa patience. Elle voulait les choses vites, maintenant, sur un plateau d'argent. « Moi qui rêvait d'être une mère des années cinquante avec de magnifique robe taille haute, et des tabliers pour faire des gâteaux... Me voila obligée d'être une femme active dans le monde. La société d'aujourd'hui est ignoble. »  Elle était ironique, mais elle ne savait pas comment réagir autrement. Elle se sentait de plus en plus déprimée, et félicitait mentalement Aaron de l'avoir invitée, et de lui dire la vérité. Elle devait reprendre du poil de la bête, elle devait être à nouveau Alice Kensington ! « Puis cesse de dire des bêtises, tu n’es pas n’importe qui … Tu es déjà une femme respectée ma belle, qui ne connait pas, ne craint pas Lily Alice Kensington ici à Oxford voir même au delà … tu veux entendre une confidence ? … Avant que l’on soit amis, tu m’inspirais le respect et l’admiration, tu n’es pas une personne banale je peux te l’assurer » Elle releva la tête vers Aaron, et sourit. Il venait de flâtter sa fierté. La jeune femme aimait savoir qu'elle était craint. Elle aimait savoir que les élèves avaient peur d'elle, et respectait son jugement. Elle l'oubliait de temps en temps, et le fait que même Aaron ait eut cet crainte et ce respect pour elle la touchait profondément. Elle se sentait incroyablement fière, et presque inconsciemment elle se redressa sur le fauteuil et tint son verre avec un peu plus de classe. « Tu es ma Reine et je serai ton preux chevalier jusqu’à mon dernier souffle, je t’en fais le serment » Elle sourit. « Epouse moi Aaron. Oublions Eliakim et Andrea, et allons vivre notre amour ! »  Dit-elle pour toute réponse, pour tout remerciement. Elle le prit dans ses bras, et lui embrassa la joue dans un claquement sourd. Elle adorait cet homme, et de plus en plus elle avait la preuve que c'était quelqu'un de bien. Elle pouvait tout dire à Aaron, sans avoir la crainte d'être jugée, tout comme il pouvait tout lui dire, et tout faire avec elle sans qu'elle ne soit là à le tourner en ridicule. A Oxford elle mettait un point d'honneur à ce que ses plus proches amis soient respecter par tout le monde. En ce moment elle faisait la misère à tout ceux qui pouvait critiquer le mariage entre homosexuel et les tendances douteuses selon eux de certains professeurs et certains élèves de l'université. Deux jours auparavant un élève de deuxième année s'était retrouvé à moitié nu, accroché au mât du drapeau de l'entrée du bâtiment des sciences. Avec écrit sur le torse Je suis un homophobe assumé, regardez-moi. Il avait terminé sur le site de l'unviersité, et sur les réseaux sociaux. Un des spires d'Alice l'avait attrapé pour lui montrer qu'il ne fallait pas trop chercher les homosexuels d'Oxford. Alice ne l'acceptait pas, et elle faisait sa loi au sein de l'université. De temps en temps elle le rappelait à ceux qui osaient oublier que ce n'était pas un pays libre, mais bien un royaume conquis.
Outre cela, elle partagea avec Aaron la nouvelle de sa possible grossesse. Une chose qui lui faisait horriblement peur. Elle ne pouvait pas être maman. Elle avait perdu la sienne beaucoup trop tôt et ne saurait pas comment élever un enfant. Encore moins si elle devait encore passer une année à Oxford. Elle ne savait pas quelle genre de maman elle voulait être. Quel genre de mère elle était. Elle ne voulait pas être une mère absente ou prise dans le monde de la haute société. Elle ne voulait pas être une menteuse ou une hypocrite avec ses enfants. Elle ne savait pas. Elle ne prenait déjà pas soin d'elle comment pourrait-elle prendre soin d'un enfant ? « Je comprends ton apriori sur la question de devenir maman, après c’est pas une décision à prendre dans ce genre de moment où tout semble pointé vers un avenir assombri par le départ de Iseult, tes interrogations sur ta poursuite d’étude … On en reparlera à un moment plus convenu » Il avait raison. Ce n'était pas le moment de ce prendre la tête pour cela. « Puis comme tu le dis ce n’est pas forcément très fiable ce genre de test, la preuve, je me rappelle un soir où j’avais bu, bien trop bu en avoir acheté un en pharmacie et après avoir uriné dessus, le test m’affichait le même résultat que le sien et à moins que je sois la nouvelle Marie des temps modernes, je n’ai jamais vu de petit Jésus tenter de pointer le bout de son nez » Elle éclata de rire. Imaginant Aaron bourré. Puis Aaron enceinte, et surtout Aaron accouchant d'un enfant dans une grange avec un âne et un boeuf. La nouvelle Marie des temps moderne. Evidemment ce genre de test n'était pas du tout fiable, mais tout de même, cela donnait à réfléchir. « Tu aurais fait une vierge très mignonne mon Aaron ! »  S'exclama la demoiselle. Elle se calma par la suite avant de retrouver l'angoisse. Elle partagea avec lui sa peur de décevoir Eliakim. « Hop hop hop, avant de penser à Eliakim et à ce qu’il en penserait il faut que tu penses à toi. Demain je t’accompagne faire une prise de sang, on sera fixé dans la soirée sur ta grossesse éventuelle … donc jusque là, je t’interdis de penser à ce genre de chose » Elle acquiesça et le remercia avec un sourire. Elle but la fin de son cocktail. Regrettant déjà d'arriver au fond du verre. Elle se sentait bien, et sentait déjà les bienfaits de la présence d'Aaron avec elle. Il avait une faculté incroyable de la rendre heureuse, et de la rassurer. Elle avait l'impression que tout était possible quand elle se trouvait près de lui. Il avait une telle confiance en la vie et en l'avenir qu'elle avait envie d'y croire elle aussi. Et pourtant, paradoxalement, Aaron était aussi celui qui avait douté de tout et de tout le monde lorsqu'elle avait annoncé à Andrea son passé avec Eliakim. Il avait peur de l'avenir avec son homme. Pas qu'il avait des doutes quant à son amour, mais il avait peur de perdre cet avenir qu'il désirait tant. Alice - quant à elle - ne doutait pas. Elle savait qu'ils étaient fait l'un pour l'autre.
« Avec Andrea tout va bien oui, à vrai dire je crois que depuis Paris notre amour n’en est devenu que plus fort et puissant. Même si ta petite intervention m’a fait craindre le pire, aujourd’hui on est plus que jamais unis. Je vois chaque jour qu’il est enfin heureux, qu’il me fait confiance et en plus maintenant avec l’arrivée de sa soeur à Oxford, je peux t’assurer que monsieur est aux anges … et c’est d’autant plus positif pour moi, car quand il est dans ce genre d’humeur cela veut dire que son désir sexuel est encore plus ardue … Je suis un homme comblé, ne t’en fais pas » « Tu prends ton pied hein ? Pervers va. Je suis sûre que vous êtes incroyablement créatif quant à la manière de vous faire du bien va. Ca se lie sur ton putain de visage que tu es un homme satisfait. »  Dit-elle en montrant la rougeur sur ses joues quand il parlait du sexe avec son amant. Elle aussi prenait pas mal son pied en ce moment, un peu trop d'ailleurs. Eliakim risquait de la foutre enceinte, tant il lui faisait l'amour avec ardeur. Au moins Aaron et Andrea ne risquaient pas de procréer dans le vouloir. D'ailleurs elle se posa soudainement une question qui pouvait bien lui valoir la gueule de son meilleur ami. « Vous voudriez des enfants tous les deux ? Je vous imagine tellement dans une petite maison dans la banlieue londonnienne avec une barrière blanche, un gros chien, et deux enfants adorables qui seront aussi séducteurs que toi. »  Dit-elle avec une franchise folle.
Pour toute réponse il lui servit un pot de glace, et elle se rendit compte qu'elle n'avait quasiment rien manger de la journée. Ce pot de glace arrivée à temps. « Mange, dans tous les cas cela ne pourra te faire aucun mal ça et au contraire c’est l’un des meilleurs remèdes » Elle le prit, planter sa cuillière dedans et la mit dans sa bouche. « Hmmmm … c’est trop bon ». « Pas meilleure que le sexe, mais la nourriture est deuxième sur ma liste d'anti-dépresseur. »  DIt-elle farouchement, non sans reprendre une cueillière encore de glace. Elle se mit même le plaisir d'en prendre une troisième alors que son meilleur ami se levait. « Bouge pas de là, je reviens dessuite ! ». Elle était déjà avec la quatrième bouchée dans les mains. Elle dévorait les glaces plus vite que son ombre, comme toute femme déprimée qui se respectait. « Abracadabrantesque... N'empêche c'est dur de le dire rapidement. Abracadabrantesque. Et plusieurs fois d'affiler... Abracadabrantesque, abracadabrantesque, Abradacradresque... Pff... En plus sans déconner ca ne veut rien dire... » souffla-t-elle. Ce fut Britney qui lui répondit. Elle se mit à rire alors que son meilleur ami arriva vers elle en se déhanchent allègrement. Effectivement avec un déhanché pareil elle comprenait qu'Andrea soit tombé sous son charme. « Je crois que tu as besoin d’un petit remontant … » « Ca c'est clair ! »  Dit-elle en s'asseyant en tailleur, le regardant amusée, alors qu'elle mangeait encore de la glace. Elle s'éclatait, mais apparemment ce n'était pas assez pour Aaron qui espérait plutôt qu'elle le rejoindrait sur la diva des homos'. « Profite de ce corps de dieux ma belle, tu n’auras pas souvent l’occasion d’en toucher d’autres maintenant » Il était à présent torse nu devant elle, alors elle lâcha le pot se leva et répondit à son invitation en caressant son torse tout en se déhanchant également contre lui. Elle adorait danser, même si sans rire elle ne supportait pas vraiment Britney. Mais elle sentait déjà son angoisse disparaitre, loin dans une partie de son cerveau où elle pouvait laissait sa pudeur et ses bonnes manières derrière elle. « Montre moi la femme qui se cache sous ce petit air innocent que tu me fais là » Elle rit et dansa avec plus de séduction encore. « Tu risques de tomber amoureux, fais gaffe ! » Dit-elle alors qu'elle dansait contre lui comme faisaient les jeunes gens en boite. Elle était rieuse et de bonne humeur alors qu'elle dansait sur cette chanson qu'elle écoutait lorsqu'elle était adolescente. Elle avait l'impression de redescendre en enfance. « I really wanna dance, tonight with you. »  commença-t-elle à chanter en prenant la cueillière du pot de glace. Elle se frottait toujours contre Aaron. Reprenant le déhanchée de Britney dans son clip alors qu'elle dansait comme une fille de petite vertue. Mais sans gêne la jeune femme se laissait aller, oubliant le monde autour d'elle pour simplement danser avec son meilleur ami sur une chanson vieille d'une dizaine d'années. « Baby, don't you wanna, dance upon me, Leaving behind my name, my age ! »  Elle monta sur le canapé pour continuer à danser alors qu'elle chantait la chanson à tu-tête, relevant son t-shirt, alors qu'elle commençait déjà à avoir affreusement chaud. Elle l'ôta littéralement pour danser en soutien-gorge. Elle se laissait aller, et elle s'amusait sans penser à l'avenir ou à ses angoisses. Elle danser tout simplement sans plus. « Get it get it, get it get it (WHOOOA) »  elle tendait de temps en temps la cuillière vers Aaron, pour l'inciter à chanter avec elle. Et alors que la musique arrivée vers la fin elle s'avança à son tour vers la station de radio et choisit une chanson qu'elle appréciait tout autant : Toxic. Elle se tourna vers Aaron, jouant les femmes fatales sur les premières paroles de la chanson : « Baby, can't you see I'm calling A guy like you Should wear a warning It's dangerous I'm fallin' »  Elle prit son t-shirt pour le passer autour du cou d'Aaron et danser autour de lui d'une manière absoluement scandaleuse si ce n'était pas horriblement jouée. Elle prit ensuite son téléphone pour commencer à filmer cet échange magique. Elle adorait Aaron, elle voulait un souvenir de ce moment totalement délirant. « Merci Petit Kiwi ! »  DIt-elle en lui faisant un smack qu'elle immortalisa avec une jolie photo.
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyJeu 16 Avr - 23:28

we will survive
Alice & Aaron
En vrai, Alice c’est un peu mon pays des merveilles à moi. Elle est cette lueur d’espoir qui m’a redonné goût en l’espèce humaine. Elle est tellement en adéquation avec tout ce que je suis, ce que je pense, ce que je fais, qu’elle pourrait être mon moi au féminin. À vrai dire, je crois même que nous sommes de vraies âmes soeurs. Vous savez, ces âmes qui d’un simple regard peuvent se comprendre, se rassurer, se faire du bien. Sa présence est pour moi un véritable souffle de bonheur, elle m’est nécessaire à mon bon fonctionnement, à ma nouvelle vie. Qui aurait cru qu’une telle relation fusionnelle aurait pu se tisser entre nous. À vrai dire si Iseult n’avait pas joué l’intermédiaire durant la soirée du Bodley Club, je n’aurais très certainement jamais eu l’occasion d’abordée la très populaire Lily Alice Kensington.

À Oxford, elle est connue et reconnue par tous, c’est d’ailleurs un point qui m’a toujours rendu admiratif à son égard. Moi on me connait peut être pas mal aussi, notamment de part ma collection plutôt impressionnante de conquêtes, mais elle c’est différent. Elle a tout pour me plaire et pour plaire aux autres, elle a d’abord ce charme fou si particulier et si espiègle à la fois, qui la rend totalement irrésistible. Elle est divinement belle et sexy à mes yeux et je pense pour beaucoup d’autres aussi. Ensuite ses son attitude, son caractère qui font d’elle une personne respectée, voir même crainte par un bon nombre d’étudiants. Elle a un nom imposant, de l’argent et elle sait ce qu’elle veut. Elle déambule telle une reine dans sa ruche où tout le monde est à ses petits soins. Mais le plus important là dedans, c’est que je suis moi son preux chevalier, celui qui sera prêt à tout pour elle, bien plus que n’importe qui, car c’est peut être difficile à croire qu’en si peu de temps je puisse m’accrochais à une personne, mais entre nous, j’en suis certain le destin a voulu que nos routes se croisent et ne se décroisent à plus jamais.

C’est donc pourquoi je me trouvais être là pour elle dans ce moment douloureux qu’elle traversait bien plus difficilement que moi. Certes Iseult était une fille formidable et incroyable que j’avais appris à découvrir, à connaitre et à apprécier tout particulièrement, mais au fond je savais que la peine que je ressentais vis à vis de son départ pour la Chine, était pourtant bien maigre face au chagrin d’Alice, face à l’exil lointain de sa meilleure amie, qu’on pourrait même qualifier de soeur, tellement leur relation est forte. Je me retrouvais donc là pour elle, car j’en ressentais terriblement le besoin. La voire dans un tel état me déchirait littéralement le coeur, je vous assure que je suis certain que Alice et moi sommes des âmes soeurs, car autrement je ne pourrais pas ressentir de tel sentiment, une telle implication. Nous étions donc maintenant tous les deux dans mon humble petit appartement que m’avait accordé le manoir des Riot. Ce n’était pas le luxe auquel j’étais habitué, mais ça faisait l’affaire, c’était déjà beaucoup plus à mon goût que les pauvres petites chambres des simples étudiants n’appartenant à aucun club prestigieux. Complètement affalait l’un est l’autre sur mon canapé, j’essayais de lui fair entendre raison, j’essayais de lui remonter le moral comme je le pouvais, malgré mes moindres moyens. Je ne m’étais jamais imaginé ou retrouvé dans ce genre de situation. À vrai dire je n’avais jamais vraiment eu de réelle relation amicale pour connaître ce semblant de proximité, de lien que j’essayais tant bien que mal de construire avec elle. J’avais toujours fait partis des populaires, des personnes que tout le monde appréciait, mais peut être que ma prétentieux et mon arrogance me rendant froid et distant et faisait peur aux autres, j’aimais être crains, mais la solitude me pesait parfois aussi. Alors là en sa compagnie, j’appréciais ce nouvel apport à ma vie qu’elle représentait et même si là dans l’état actuel des choses ce n’était pas un moment dès plus agréable à vivre, j’appréciais pourtant tout autant mon rôle.

C’est de ce fait que j’essayais de la rassurer tant bien que mal, pour ça j’essayais de trouver les bons mots, les bonnes attitudes. Mais rapidement l’humour prit le dessus, car après tout c’était l’un des domaines où je pouvais me réfugier en cas de problèmes. C’est ainsi qu’amusé par sa réponse à ma promesse de lui jurer ma loyauté éternel, que je lui répondais tout aussi sérieusement que possible « Un seul mot … tu n’as qu’un seul mot à me dire et on s’en va loin de tout, loin de Oxford, de Andrea et de Eliakim vivre notre amour ma reine » Je serrais alors mon étreinte lorsqu’elle me prit dans ses bras et lui accordait un baiser en corrélation du sien. Notre moment bisounours terminé, nous reprenions la discussion sur son éventuelle grossesse et sur ses craintes, là aussi je cherchais les bons mots pour la rassurer, même si au fond, j’avais peur, peur qu’elle soit concrètement bien enceinte et qu’elle se retrouve à devoir être confronté à ce choix de garder ou pas cet enfant, d’autant plus que le rôle d’Eliakim là-dedans semblait être à l’opposé du sien et que du coup, cela pourrait amener des tensions entre eux. Je préférais m’enlever toute ces mauvaises images de mon esprit pour plutôt me concentrer sur le présent, sur elle. Souriant à sa petite allusion perverses concernant nos pratiques sexuelles avec Andrea, je ne pus m’empêcher de la taquiner « Je suis un homme comblé effectivement … mais tu vas pas me faire croire que de ton côté c’est différent, je sens la tension sexuelle qui vous attire aussi Eliakim et toi à chaque fois que je vous vois ensemble … et des souvenirs que j’en ai, Eliakim est plutôt un très bon partenaire, donc j’imagine que vous vous amusez plutôt pas mal aussi … » Elle savait que Eliakim et moi avions eu une histoire d’un soir, elle avait d’ailleurs été celle qui avait lancé cette réplique fatale lors de nos retrouvailles à quatre à Paris, je savais donc qu’elle n’allait pas m’en vouloir de venir mettre en avant le fait que je connaissais son homme de façon plus ou moins détaillé. Levant les yeux au soleil l’air de rien, j’éclatais de rire avant de finalement reprendre mon sérieux quand j’entendais sa prochaine question. Andrea et moi parents ? À vrai dire je n’y avais jamais vraiment pensé. Certes je n’imaginais personne d’autre être le père des enfants que je pourrais avoir, mais de là à m’être imaginé père de mon côté, c’était une autre question. Faisant ainsi mine de réfléchir, venant même à gratter mon menton, faisant ainsi entendre le bruit du frottement sur ma barbe, je lui avouais sans gêne « On en a jamais vraiment parlé enfaite … ces six années de perdues ont fait que le sujet aujourd’hui n’a pas été encore abordé. Je pense en vouloir, mais je sais qu’à l’heure actuelle je serai incapable de m’occuper d’un enfant, je suis bien trop amoureux pour venir à partager l’homme de ma vie … mais dans un futur plus ou moins proche ce sera certainement une chose à envisager … Je sais que la famille c’est très important pour Andrea, donc j’ai du mal à imaginer qu’il ne veuille pas créer la sienne … contrairement à moi qui pourrait être plus réticent aux vues des relations que j’entretiens avec la mienne … ». Avalant une cuillère de ma glace, je me laissais à penser à cette possibilité. Une famille rien qu’à moi et Andrea … pourquoi pas, cela méritait à réfléchir … mais pas ce soir. Ce soir j’avais dans l’idée de la faire sourire, de la rendre heureuse et de lui faire oublier tous ces démons du moment. C’est pourquoi je décidais rapidement de prendre les choses en main de manière plus sérieuse. Je me retrouvais ainsi bien vite à moitié dénudé devant ma muse, à me tortiller au son d’une musique sensuelle.

Entrainant la belle blonde dans mon élan d’excitation, je me retrouvais ainsi rapidement envouté par son charme si déstabilisant « C’est déjà trop tard … Je suis tombé sous ton charme depuis le premier jour où j’ai posé mon regard sur toi Alice, tu es mienne que tu le veuilles ou non » lui répondais-je amusé. Enfin je retrouvais son sourire malicieux et ses yeux pétillants, mon alternative pour faire diversion semblait donc fonctionner. Je l’admirais alors se déhancher telle une petite trainée, euh pardon comme une fille de petites vertus. Qu’elle était belle et séduisante, je comprenais pourquoi Eliakim avait finit par tomber sous son charme. Continuant ainsi notre petit jeu de danse, je me laissais aller à ses côtés à chanter à tue-tête les paroles de la musique qui me rendait complètement hors de moi, j’assumais là tout mon côté homo, puisque je connais peu d’hétéro donnant tout ce qu’ils ont sur du Britney Spears « I’m A Slaveeeee for U ». Je lâchais totalement prise sur tout ce qui pouvait bien venir envahir mon esprit, je ne pensais plus à rien. Elle semblait appréciait ce petit moment de folie puisqu’à son tour elle allait mettre une nouvelle musique, qui réveilla à nouveau tous mes sens. La voyant s’avança vers moi de manière lascive et parfaitement maîtrisée, je levais les yeux au ciel et me ventiler le visage d’une de mes mains. Elle me donnait chaud, j’étais pourtant bien gay, mais Alice avait ce don de pouvoir rendre toute situation sexy. La laissant alors se trémousser tout contre moi, j’accueillais son baiser sans refus « Tu risques de réveiller mes désirs hétéros ma belle … tu sais au fond je reste un homme malgré tout » Bien entendu je plaisantais, du moins je n’avais pas dans l’optique de me taper ma meilleure amie, même si elle était la créature la plus sexy que je connaisse à ce jour. Son petit jeu vidéographique me donna alors une idée, pourquoi ne pas mêler nos deux amants à ce petit jeu. Attrapant son téléphone de ses mains je me lançais alors et tout en lançant le début de la vidéo, j’attrapais alors le visage d’Alice de mon autre main et venait lui offrir un baiser des plus langoureux, venant même à y mettre la langue. Une fois le baiser terminé, je la regardais avec un rire nerveux « Rassure toi, je ne te compte pas te violer ce soir … il me faudrait juste un peu d’alcool pour que ça puisse me venir à l’esprit, quoi que ... » plaisantais-je, avant de reprendre « J’ai juste envie de montrer à nos hommes que leur absence si elle continue à se prolonger risque de leur coûter cher … » Aussitôt alors j’envoyais la vidéo en pièce jointe d’un message « Quand les chats ne sont pas là, les souris dansent … ne tardez donc plus trop mes amours » à nos deux hommes. Replongeant mon attention sur Alice, je lui laissais alors entendre le fond de ma pensée, mon esprit tordu et dangereux semblait se réveiller tout à coup et des idées folles venaient alors à me traverser l’esprit « Qu’est ce que tu dirais d’aller re-décorer à l’aide de rouleaux de papiers toilette tout le hall de l’université, le campus aussi ! J’ai envie de me défouler, de faire quelque chose de fou ! Allez dis oui ! Ce sera un moyen d’évacuer tout ce qu’on ressent ! … Si tu as une meilleure idée je suis preneur, mais je veux du risque ! ….après tout, tout ce qu’on risque c’est les cris du gardien » terminais-je tout en plongeant mon regard dans celui de ma meilleure amie, lui faisant une petite moue de chien battu auquel elle ne pourrait pas résister. Aaron Evans et ses idées, que risque t-il après tout s’il se faisait prendre ? À part une exclusion ou une nuit en prison ? Rien non ? Il devrait certainement être le premier au courant, vu que monsieur étudie le droit, c’est donc une affaire à suivre de prêt, qu’est ce que ces deux là vont bien pouvoir nous faire ….
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyVen 8 Mai - 17:57

we will survive
Aaron & Alice
« Un seul mot … tu n’as qu’un seul mot à me dire et on s’en va loin de tout, loin de Oxford, de Andrea et de Eliakim vivre notre amour ma reine » Elle s'imagina un instant en couple avec Aaron, et l'idée lui sembla tellement étonnante et saugrenue qu'elle se mit à rire aux éclats. Mais cela serait tellement plus simple. Avec Aaron son amitié était si évidente qu'elle avait l'impression de le connaitre depuis toujours. Alice riait toujours au visage de ceux qui pensait que l'amitié fille et garçon n'existaient pas. Au contraire, Alice était persuadée qu'il était plus simple d'être l'amie d'un garçon. Un homme qui voulait se taper une fille s'était une évidence, cela se voyait tout de suite. Alors qu'un homme qui n'a aucune idée derrière la tête était un confident de confiance, doux et compréhensif, qui ne vous jugeait pas. Alice adorait parler avec Aaron parce qu'elle avait ce sentiment qu'elle pouvait tout lui dire il l'accepterait sans la juger. Après tout elle était arrivée avec les larmes aux yeux et un test de grossesse positif, et pourtant il était prêt à s'enfuir avec elle à Vegas pour en faire une femme honnête. Il était complètement fou, certes, mais il était aussi sans doute le meilleur des amis qu'elle ait jamais eu depuis Iseult. Elle avait l'impression qu'il la comprenait sans même qu'elle ait besoin de parler. Il savait dire ce qu'elle avait besoin d'entendre, et une telle complicité, une telle fusion était une chose rare. Elle était persuadée que leur rencontre n'était pas dû au hasard, que c'était plus que cela. C'était le destin. Ils étaient destinés à terminer amis tous les deux. Ils s'étaient trouvés à un moment où ils avaient eu besoin l'un de l'autre. Alice avait besoin d'Aaron aujourd'hui plus que de n'importe qui. Sans doute même plus que d'Eliakim. Son homme était important, certes, mais il n'avait pas cette faculté de prendre assez de recule pour pouvoir la faire rire. La douleur de sa femme le touchait également et il ne savait que dire pour calmer sa peine. Aaron était capable de prendre cela avec du recul, et de tourner la situation en dérision. Elle adorait cette faculté qu'il avait de rendre toute situation agréable et amusante. Il était un homme heureux, et cela se voyait. Il rayonnait littéralement. Elle avait un halo de douceur et d'amour autour de lui qui enveloppaient toute personne l'entourant.
Cela n'empêcha pas alors de parler d'amour, de l'amour d'Aaron. La dernière fois qu'ils s'étaient vu c'était à Paris, et Alice avaient dit certains choses qu'elle regrettait aujourd'hui. Elle avait forcé la main d'Aaron en dévoilant une partie de son passé qu'Andrea semblait ignorer. A son sens Andrea devait le savoir surtout alors qu'ils allaient se marier, mais sans doute Aaron aurait-il préféré choisir lui-même le bon moment. Alice lui avait forcé la main, mais au moins c'était chose faite. « Je suis un homme comblé effectivement … mais tu vas pas me faire croire que de ton côté c’est différent, je sens la tension sexuelle qui vous attire aussi Eliakim et toi à chaque fois que je vous vois ensemble … et des souvenirs que j’en ai, Eliakim est plutôt un très bon partenaire, donc j’imagine que vous vous amusez plutôt pas mal aussi … » Alice se mit à rire. « Cet enfoiré m'a peut être mise enceinte alors ca te donne une idée de notre activité sexuelle en ce moment... Surtout depuis qu'il m'a passé la bague au doigt ! C'est fou. Les fiançailles ca donne envie de faire l'amour. »  Dit-elle comme si c'était la plus grande découverte de son existence. Elle ne releva même pas le fait qu'Aaron ait connu son homme charnellement. Il n'était pas le seul après tout, et Alice refusait que cela devienne un obstacle. Si elle devait rayer de sa liste d'amis toutes les personnes qui étaient passées dans les draps d'Eliakim, elle serait la fille la plus seule au monde. Mais elle avait décidé qu'Aaron n'était pas un danger pour son couple. Il ne risquait pas de venir chercher à récupérer son homme. Eliakim était à elle, entièrement à présent. Elle retourna cependant la conversation sur Andrea. Et sur le fait que lui et Aaron ait un jour des enfants. Une fois encore elle eut la preuve de l'amour sans borne de son ami pour son amant. Et elle trouva cela fantastique. Elle voyait les yeux d'Aaron pétillait quand il en parlait et c'était une chose remarquable et belle. « On en a jamais vraiment parlé enfaite … ces six années de perdues ont fait que le sujet aujourd’hui n’a pas été encore abordé. Je pense en vouloir, mais je sais qu’à l’heure actuelle je serai incapable de m’occuper d’un enfant, je suis bien trop amoureux pour venir à partager l’homme de ma vie … mais dans un futur plus ou moins proche ce sera certainement une chose à envisager … Je sais que la famille c’est très important pour Andrea, donc j’ai du mal à imaginer qu’il ne veuille pas créer la sienne … contrairement à moi qui pourrait être plus réticent aux vues des relations que j’entretiens avec la mienne … ». Alice lui caressa les cheveux, doucement, un geste qui la calmait et qui l'attendrissait également. Elle était confiante. « Tu ferais un papa fantastique Aaron. Nous ne sommes pas nos parents. Et tu ne feras pas les mêmes erreurs, j'en suis sûre. »  Elle était persuadée que les mauvais parents ne faisaient pas forcément guise d'exemple pour leur enfant. Pour sa part elle n'avait pas d'exemple maternelle mais elle n'avait pas peur d'être un jour mère. Pas pour le moment car elle n'était pas prête, mais un jour elle voudra avoir un enfant, et l'élever, quant bien même elle n'avait pas d'exemple. Elle avait Eliakim, et elle avait confiance.
La soirée prit une nouvelle tournure, totalement différente. Aaron commença à mettre de la musique, et à faire danser sa meilleure amie qui se laissa emporter sans beaucoup de résistance. Elle adorait ces moments, des moments où elle ne s'occupait plus de son image, où elle pouvait être elle-même sans risquait de voir sa réputation partir en éclats. Elle était une femme fière, bornée, certes, mais elle était aussi une jeune femme qui aimait la danse, l'alcool et la fête. Une jeune femme capable de chanter du Britney Spears à tue-tête. « C’est déjà trop tard … Je suis tombé sous ton charme depuis le premier jour où j’ai posé mon regard sur toi Alice, tu es mienne que tu le veuilles ou non »   Elle se collait contre lui, et amusée lui répondit. « C'est normal, je suis irrésistible ! »  s'exclama-t-elle alors qu'elle commençait une danse endiablée avec son meilleur ami. Son sexy meilleur ami. Bien vite, pris dans une espèce d'effervescence elle se retrouva à allumer son meilleur ami, dansant comme si le diable l'avait emportée.
« Tu risques de réveiller mes désirs hétéros ma belle … tu sais au fond je reste un homme malgré tout »   Alice ne répondit qu'en se collant à lui plus encore. Elle jouait, s'amusant en oubliant tout ce qui lui faisait peur. Alice n'était pas du genre à être une jeune femme qui devait être protégée. Elle avait un caractère assez fort, et personne n'osait réellement la regarder dans les yeux. Parfois elle se donnait l'impression d'être l'une de ces créatures mythologiques qui habitent les contes et les légendes antiques. Cela lui plaisait énormément. Mais il arrivait des moments où elle perdait le contrôle et alors il n'y avait que peu de personne qui pouvaient la voir dans ces instants de faiblesses : Iseult, Oliver, et Aaron. Elle avait encore du mal à se montrer faible devant Eliakim. Elle avait peur de le décevoir, de le faire fuir, ou de le perdre une fois encore. Elle se sentait bien trop vulnérable face à lui pour pleurer dans ses bras. Pour l'heure, elle recherchait le réconfort avec Aaron.
C'est alors qu'une chose improbable et de ce fait hilarante arriva. Aaron déposa ses lèvres sur celles d'Alice qui lui rendit son baiser. L'euphorie de l'instant la faisait perdre pied à la réalité, et embrasser Aaron n'était pas si désagréable, même si elle avait presque l'impression d'embrasser son reflet dans le miroir. Aaron était son miroir, c'était une partie de son âme qu'elle avait enfin retrouvé. Une partie puérile, enfantine, et délirante. Un souffle de vie qui la libéré des liens imposés par les convenances. « Rassure toi, je ne te compte pas te violer ce soir … il me faudrait juste un peu d’alcool pour que ça puisse me venir à l’esprit, quoi que ... » « Ce n'est pas un viol si je suis consentante. » Répondit-elle avec le même ton désinvolte que lui. Elle se mit alors à rire, alors qu'Aaron envoya un message à leurs hommes. « J’ai juste envie de montrer à nos hommes que leur absence si elle continue à se prolonger risque de leur coûter cher … » Alice acquiesça c'était une excellente idée. Après tout ils n'avaient qu'à être là, les absents ont toujours tord ! C'était une philosophie et une manière de voir qu'Alice adorait. Elle s'assit sur le canapé à nouveau et termina son cocktail sans alcool. Elle soupira d'aise, et se laissa aller sur le fond du canapé moelleux.
« Qu’est ce que tu dirais d’aller re-décorer à l’aide de rouleaux de papiers toilette tout le hall de l’université, le campus aussi ! J’ai envie de me défouler, de faire quelque chose de fou ! Allez dis oui ! Ce sera un moyen d’évacuer tout ce qu’on ressent ! … Si tu as une meilleure idée je suis preneur, mais je veux du risque ! ….après tout, tout ce qu’on risque c’est les cris du gardien » Alice lui offrit un sourire entendu. Alors elle se leva, et alla dans les toilettes de son meilleur ami, pour chercher le paquet plein de PQ qui se trouvant dans le placard au-dessus de ses toilettes. Elle sortie de la pièce de manière triomphale ! « Et je te propose de repeindre quelques pigeons en bleu et blanc ! Il existe des teintures indolores pour les animaux non loin de l'université. Et cette ville a besoin de quelques touches de patriotisme ! Les tournois inter-universitaires vont bientôt commencer après tout. »  Dit-elle alors qu'elle l'invitait à sortir de chez lui, reprenant ses affaires, et les clés de sa voiture pour le conduire jusqu'à l'université.
Elle le conduisit jusqu'au bâtiment administratif de l'université, devant lequel se trouvait de grand saule pleureurs, des arbres idéaux pour jeter des rouleaux de papiers toilettes. « Tu as ton portable ? »  Demanda-t-elle. Elle le brancha sur sa radio pour passer le reste de l'album de Britney en fond sonore de leur petit crime. Elle mit la musique à fond, laissa le moteur tourner, et sortie de la voiture en courant, laissant ses chaussures derrières elle pour courir pieds nus sur le gazon. Elle lança le premier rouleau qui s'enroula autour d'une branche. « Wouah ! Je n'avais encore jamais fait ça ! » Cria-t-elle alors qu'elle le lançait à nouveau.
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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyMer 20 Mai - 23:43

we will survive
Alice & Aaron
L’espace d’un instant je me laissais à m’imaginer à vivre la vie d’un hétéro. À ce moment là alors je m’imaginer à pouvoir être le futur mari de ma meilleure amie. Quel homme ne rêverait pas de pouvoir avoir la chance de l’avoir pour futur femme. Elle avait cette un sacré caractère et une réputation sulfureuse, mais cela n’était rien à côté de sa beauté fatale. Alice était à mes yeux la créature féminine la plus à même à faire changer de bord un homo tel que moi. Elle a tout pour rendre n’importe quel homme fou d’elle. Elle a ce joli minois espiègle et angélique à la fois, elle a ses courbes divines qui la rendent si sexy, qu’à côté toutes les petites starlettes de cinéma peuvent aller à se rhabiller. En bref, Alice c’est un peu à mes yeux la perfection féminine. Toujours dans mes rêves les plus fous, je m’imaginer ainsi à être celui qui partagerait sa vie et d’autant que je la connaisse je me doutais que la vie à ses côtés devait être tout sauf un long fleuve tranquille. Avec elle, c’était surprise, émotion, tension, attraction et j’en pense.

Reprenant finalement mes esprits je préférais ainsi rester son meilleur ami, son confident, l’homme sur qui elle pourrait compter toute sa vie, plutôt de pouvoir m’imaginer être celui qui pourrait lui briser le coeur. D’ailleurs en parlant de ça, j’avais longtemps eu une réticence pour sa relation avec Eliakim, j’avais longtemps gardé en moi ce petit point qui m’embêtait un peu et notamment du fait que j’avais pu connaître intimement cet homme. En effet Eliakim était connu pour être un professeur terriblement sexy, mais aussi et surtout pour être un coureur de jupons invétéré, j’en étais bien la preuve. J’en avais jamais vraiment fait part à Alice, de ma petite réticence vis à vis de son homme, simplement parce que quand je la voyais parler de lui ou bien quand je les voyais ensemble, il n’y avait aucun doute qui la rendait heureuse, bien plus heureuse que je ne l’avais jamais vu.

En effet, même aujourd’hui où en ce jour difficile après le départ de Iseult, à chaque moment où elle venait à parler de Eliakim, que ce soit en matière de sexe, de futur ou même du fait qu’elle était peut être enceinte, ses yeux s’illuminaient comme deux étincelles, dès qu’elle venait à prononcer son nom. Je me résignais ainsi à admettre qu’il avait sûrement changé, tout comme moi il avait su voir en Alice la femme parfaite qu’elle représentait et ainsi il avait choisit de tirer un traits sur son passé pour ne voir que l’avenir avec elle. Je devais me faire à cette idée là, même si au fond, je me promettais de jeter un coup d’oeil sur les activités de ce cher professeur, histoire de ne pas lui laisser la moindre possibilité de pouvoir la blesser un jour.

Mais à ce moment précis de la soirée, nos préoccupation à Alice et moi étions bien différente. On était maintenant tous les deux entrés dans une phase où elle comme moi n’étions plus que deux électrons libres, se laissant porter par leur désirs enfouis. On se retrouvait ainsi à chanter et dansait à tue tête dans mon studio où résonnait un brin de musique pop, de notre bien aimé Britney Spears. C’est ainsi qu’Alice et moi dansions mettant l’un contre l’autre, on multipliait les mouvements langoureux et sensuels tellement qu’à nous voir ainsi sans véritablement nous connaître certaines personnes auraient pu penser que d’ici quelques minutes nous finirions à coucher ensemble comme deux bêtes sauvages. Continuant ainsi notre folle soirée, je prenais alors l’initiative pour continuer à changer les esprits de ma meilleure amie, de lancer une idée tordue, celle de vandaliser les locaux de l’université. Il n’en fallut pas plus à Alice pour directement me prendre et mots et ainsi débarquer quelques minutes plus tard avec le paquet plein de rouleaux de papier toilette. La voyant ainsi de la sorte je ne pus m’empêcher de la prendre en photo avec mon téléphone, pour garder à jamais cette image de la très célèbre Alice Kensington « Dis Cheeseeeeee ! » Appuyant sur mon objectif, je ne pus m’empêcher de rire avant d’acquiescer à l’idée qu’elle venait d’avoir, en plus de redémarrer le campus de papier toilette, nous allions ainsi repeindre les pigeons du gardiens ! « Mais quelle idée ! j’adore ! Allons-y le devoir nous appel ! ».

Quelques minutes à peine plus tard, on arrivé sur les lieux de notre futur crime. Laissant gronder le moteur au son de la blonde préférée de l’Amérique, du moins jusqu’au jour où elle décida de se raser le crâne, on sortait aussitôt à toute allure, bien décidés à nous amuser. J’attrapais ainsi un premier rouleau de papier toilette, que j’envoyais le plus fort possible en direction d’un arbre « Eh bingo ! touché coulé ! » criais-je alors que j’atteignais ma cible. J’enchainais ainsi plusieurs coups, le coeur battant la chamade, le sourire aux lèvres, tout excité de notre petit jeu « Je n’avais jamais fait ça non plus et je n’aurais jamais pu espérer de meilleur partenaire de crime que toi ma Reine ! » Continuant les lancés durant plusieurs minutes, on se retrouvait finalement à court de projectiles, c’est ainsi qu’il était temps de s’occuper des pigeons, je filais ainsi à nouveau vers la voiture et récupérer la peinture que l’on avait récupéré dans une boutique sur notre chemin. Revenant vers Alice, je lui lançais un paquet de teinture et l’invitait à me suivre « Maintenant c’est au tour des pigeons de notre gardien adoré ! » Le gardien et ses pigeons c’était une très grande histoire d’amour, j’imaginais alors très bien la tête qu’il allait bien pouvoir faire lorsqu’il les verrait ainsi colorés. Arrivant devant la volière, j’entrais le premier tout en tendant la main à Alice « Fais attention à où est ce que tu mets les pieds surtout … » Ne pouvant m’empêcher de rire en la voyant grimacer à l’idée de marcher sur de la fiante de pigeons, j’entamais avec mal ma première approche de l’animal. Force de tentatives, je réussis finalement à peindre le plumage de plusieurs volatiles, quand soudain, j’aperçois à travers la volière la lumière de plusieurs lampes torches s’approcher de nous « Eh merde » Aussitôt je rejoignais Alice à l’autre bout de la cage et l’informé de la situation « Il faut qu’on bouge, des gens arrivent pour nous ! « Ne pouvant plus perdre de temps, j’attrapais alors Alice que je portais dans mes bras et me dirigé vers la sortie le plus vite possible. Une fois en dehors de la volière, je la déposais sur le sol « Maintenant coure aussi vite que tu le peux jusqu’à ta voiture, la police est là, regarde les deux voitures garées juste là ! » Ne pouvant m’empêcher de rire de la situation, mon coeur quand à lui commença à battre la chamade, si bien que ma poussée d’adrénaline me fit alors me mettre à courir à toute allure jusqu’à la voiture, j’arrivais le premier, suivi de près par ma blonde préférée. « Et maintenant on dégage d’ici ! » À peine avais-je prononcé ces mots, que les gyrophares des voitures de police qu’on avait vu se mirent en marche, tout en se rapprochant de nous « Eh merde, Alice appuie sur le champignon ! Une course poursuite va être de rigueur ! J’espère que tu seras démontrer tes talents d’as du volant ! » Notre soirée tournée au cauchemar, nous allions nous faire poursuivre par les flics, mais peu m’importait, tout ce qui m’intéressait c’était de faire oublier à Alice le départ de Iseult et à voir le sourire qu’elle affichait à cet instant précis, c’était gagné, alors pourquoi devoir tout arrêter maintenant. Dans le pire des cas on écoperait d’une grosse amende et d’une peine légère … elle comme moi avions le bras long pour pouvoir nous débarrasser de condamnations alors soyons fous et allons jusqu’au bout de cette folle aventure. La voyant ainsi prendre le volant avec une vivacité folle et un talent fou, je lui lançais amusé « Tu es ma Bonnie et je suis ton Clyde ce soir ! Où tu iras j’irai mon amour ! »
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
ADMIN & POSH - la reine mère


☆ date d'arrivée : 06/12/2014
☆ potins balancés : 4007


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MessageSujet: Re: (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE    (inachevé) Nous nous battrons ensemble. We will survive ! AARON & ALICE  EmptyJeu 21 Mai - 19:26

we will survive
Aaron & Alice
 « Dis Cheeseeeeee ! » La folie se partage. C'est une chose qu'Alice n'avait découvert cela grâce à son Aaron. Avant cela elle gardait toute sa folie juvénile en elle, décidant que ce n'était pas des manières convenables pour une femme telle qu'elle. Elle regardait beaucoup de vieux films. Elle était une grande fan de Marylin Monroe, et de Grace Kelly. Elle adorait ces idôles et espérait être un jour aussi importante qu'elles. Cependant Alice ne s'imaginait pas devant la caméra. Contrairement à ce que l'on pourrait croire la jeune femme n'avait aucune attirance pour le cinéma, le théâtre ou la scène. Sauf en tant que Mannequin. Elle adorait être adulée pour son physique parce que c'est ce qu'elle contrôlait le mieux chez elle. Elle savait être désirable, elle savait comment plaire, elle savait qu'elle était magnifique, et qu'elle ferait succomber n'importe qui. Elle était même sûre de pouvoir faire succomber Aaron, mais elle s'était dévoilée devant elle. Grâce à lui elle était devenue une femme libérée, et joueuse, qui n'hésitait pas à paraitre ridicule ou à faire des choses complètement stupide. Comme aller chercher un paquet de Papier Q en riant et les montrant comme s'il s'agissait d'une médaille. Elle n'aurait jamais pensé faire ce genre de choses deux ans plus tôt. Pas avant de connaitre Aaron. Il avait libéré quelque chose en elle de toute à fait incroyable. Une force et une joie qu'elle ignorait avoir. Il était le frère qu'elle n'avait jamais eu. Un véritable frère.
Que l'on ne s'y trompe pas, Alice aimait son demi-frère Oliver. Mais il était son jumeau maléfique, il la tirait dans les excès et la manipulation. Il était sa part d'ombre, ils avaient faits des choses ignobles tous les deux, ils étaient craints de tous dans leur ancienne école. Ils avaient imposé leurs lois à Oxford. Et aujourd'hui il était parti pour régler ses problèmes d'addictions avant que cela ne le tue. Il était partie en Suisse. Dans une école privée pour le reste du monde. Dans un institue de soin en réalité, et Alice n'avait pas encore le droit d'aller le voir. Enfermement complet pendant les prochains six mois. Alice soupirait. Son départ dans l'institue avant mal commencé, alors il était sanctionné .
Elle avait parfois l'impression que sa vie était horrible et qu'elle n'avait pas de véritable raison d'être heureuse ou de sourire parfois. « Mais quelle idée ! j’adore ! Allons-y le devoir nous appel ! »   Mais quand elle croisait le regard de son meilleur ami et elle sourit. Elle était là sa raison d'être joyeuse. La folie. La folie se trouvait dans la spontanéité, l'envie soudaine de faire quelque chose de complètement fou, et surtout d'écouter cette envie. Cela Alice n'avait pas l'habitude de le faire avant. Elle ravalait toujours ses délires et ses envies de peur d'être jugée ou d'avoir l'air stupide. Elle n'avait pas peur d'être stupide avec Aaron. Elle se sentait capable de tout faire avec Aaron, et elle avait enfin compris une chose : quand on fait les choses avec conviction on a pas l'air ridicule. Elle ne se sentait pas ridicule. Elle se sentait heureuse. Elle se sentait forte. Elle se sentait jeune. Elle était une jeune femme de vingt-cinq ans qui voulait s'amuser.

Ils étaient sur le terrain de l'Université, lançant des rouleaux de papierQ sur les arbres. « Eh bingo ! touché coulé ! »  Alice entendait son meilleur ami s'éclater à côté d'elle et cela lui donna une idée encore plus stupide. Elle n'avait jamais eu l'occasion de lancer des rouleaux sur des arbres. Elle l'avait vu à la télévision, et elle savait que pour Halloween les enfants le faisaient aux Etats-Unis. Elle comprit pourquoi ils le faisaient. Les enfants savaient ce qui était vraiment marrants. Les enfants savaient comment réellement s'amuser, et riaient pour de vraie raison : la vie est belle, la vie est marrante est pleine de possibilités qu'il faut savoir saisir au bon moment. Savoir dire oui à la vie avant de ne plus être capable de faire les choses. Et même alors en faire d'autre. Constamment imaginer, inventer comment rendre la vie plus belle. Comment s'amuser. Comment être un éternel enfant. Alice avait le désire d'être une éternelle enfant. Toujours pouvoir s'amuser, toujours pouvoir rire pour rien. Toujours pouvoir être elle-même.
Alors dans une folle idée elle proposa à Aaron d'aller peindre les oiseaux du Gardien. Aux couleurs de la vie, aux couleurs de la folie, aux couleurs de l'amour et de l'amitié. Des oiseaux avec plein de couleurs, pour changer du gris hideux de ces pigeons qu'elle ne supporte pas. « Je n’avais jamais fait ça non plus et je n’aurais jamais pu espérer de meilleur partenaire de crime que toi ma Reine ! »  Elle leva sa main face à son meilleur ami. « High Five Bro ! » Dites-elle alors qu'il venait frapper dans sa main. Ils étaient une équipe du tonnerre, et cela elle le savait. Elle lança encore un dernier rouleau qu'elle avait avec elle, et vit son meilleur ami partir vers la voiture pour récupérer les pots de peinture. Ils n'étaient pas loin de la volière, mais ils devaient traverser un petit jardin intérieur avant d'atteindre la porte d'entrée. Alors qu'il arrivait vers elle il lui envoya un paquet de peinture qu'elle attrapa au vol.  « Maintenant c’est au tour des pigeons de notre gardien adoré ! » Elle échangea avec lui un regard entendu avant de foncer vers la volière. Ils traversèrent le premier jardin sans encombre, fluide dans l'herbe, retenant tant bien que mal les rires que les rendaient hystériques. Elle avait envie d'éclater de rire à s'en tenir les côtes mais ils ne devaient pas se faire repérer. Il entra en premier, et se tourna vers elle avec une mine amusé et presque moqueuse.  « Fais attention à où est ce que tu mets les pieds surtout … » Il lui montra l'endroit étroit où ils se trouvaient et il fallut un instant à Alice pour comprendre ce dont il parlait. « Oh ces oiseaux sont répugnants... » Dit-elle alors qu'elle passa à deux doigts de marcher sur une fiante encore fraiche. Elle sentit la nausée lui monter dans le ventre mais elle la retint. Ils allaient atteindre la volière dans quelques marches encore, et elle ne devait pas faiblir maintenant. Elle voulait voir son arc-en-ciel à plume volant. Des oiseaux aux couleurs de la Gay Pride. Ca devait plaire à Aaron cette idée...
Ils arrivèrent dans la cage, et commencèrent leur ouvrage, attrapa quelques plumes d'oiseaux avec leur couleur en bombe de peinture. « HAHAHA vous êtes tout beaux mes mignons ! »  Dit-elle avec une voix de sorcière un peu flippante. Elle avait l'impression d'être Maléfique dans la Belle au bois dormant. Soudainement cependant Aaron revint vers elle avec un air inquiet et un peu paniqué même. Il l'attrapa dans ses bras, la tenant sur lui comme un sac à patates, l'enjoignant à descendre avec lui. « QU'EST-CE QUE TU FOUS ??? »  Demanda-t-elle paniquée, la nausée revenant soudainement alors qu'elle avait la tête en bas. « Il faut qu’on bouge, des gens arrivent pour nous ! »  Oh Mon Dieu. Arrivé en bas il la déposa au sol. « Maintenant coure aussi vite que tu le peux jusqu’à ta voiture, la police est là, regarde les deux voitures garées juste là ! »  Elle suivit du regard l'endroit qu'il lui montrait et sans plus attendre ils se mirent à courir. Il y avait vraiment des yeux partout à Oxford, et ils n'étaient pas autorisés à faire quoi que ce soit sans que tout le monde ne soit au courant. C'était ce qui rendait tout cela plus marrant encore. Elle riait en écho avec Aaron. Elle arriva en deuxième à la voiture, son meilleur ami courrait vraiment incroyablement vite, et elle avait des petits talons qui l'handicapé (oui elle aimait se trouver des excuses) et s'assit côté conducteur. C'était une voiture dernière génération qui fonctionnait avec la clé à proximité de la voiture pour démarrer. Elle appuya sur un bouton et le moteur se mit à gronder. « Et maintenant on dégage d’ici ! »   Elle acquiesça et démarra en trombe mais elle eut l'impression que la voiture marcher au ralenti. Elle sentit son coeur battre de plus en plus vite dans sa voiture alors que la voiture refusait d'aller plus vite. Elle se mordit la lèvre, appuyant plus fort encore sur la pédale d'accélération mais rien n'y faisait. Sans compter que les flics étaient à leur trousses et qu'ils se rapprochaient rapidement.  « Eh merde, Alice appuie sur le champignon ! Une course poursuite va être de rigueur ! J’espère que tu seras démontrer tes talents d’as du volant ! » Elle regarda autour d'elle.. Et soudainement le problème lui sauta aux yeux. Elle se sentait stupide d'avoir oublié quelque chose d'aussi basique, qui pouvait expliquer la légère odeur de brûlée qui émanait de la voiture. Elle prit le frein à main bien fermement... « Tiens toi bien. » Demanda-t-elle alors qu'elle baissait le frein. La voiture bondit littéralement, accélérant rapidement, laissant derrière elle les deux voitures de polices qui semblèrent ralentir fermement, étonné par la tournure des événements.
Ils ne risquaient rien, c'était une chose sûre. Elle avait beaucoup d'amis dans les policiers d'Oxford, principalement parce qu'elle avait fait virer plusieurs dealers qu'elle ne supportait pas à l'Université. Elle les leur avait toujours envoyé avec des preuves à l'appuie, des numéros d'acheteurs, et tout ce qu'il fallait pour les appréhender. Outre cela ils étaient tous les deux parmi les Riot et les Posh Club. Ils finançaient la majorité des institutions caritatives ou culturelles de ce pays, et ils avaient des familles avec des bras immenses. Mais c'était amusant d'essayer de semer la police.
Elle roulait dans les rues d'Oxford qu'elle connaissait par coeur, mais ce n'était pas là qu'elle s'amusait le plus. Bientôt ce n'était pas deux, mais quatre voitures de police qui les suivaient. Alice les attirait vers la sorite de la ville. « Tu es ma Bonnie et je suis ton Clyde ce soir ! Où tu iras j’irai mon amour ! »  Dit Aaron alors qu'elle cherchait à savoir s'il était d'accord pour quitter la ville. Alors elle sourit, et accéléra encore. « Espérons que nous finirons mieux qu'eux... »  Dit-elle en riant, faisant référence à la fin tragique de ces deux truants, voleurs et assassins. Elle arriva à l'autoroute, enfin, et la voiture se lança sur cet espace immense où Alice pouvait se donner à coeur joie. « Est-ce que tu sais qu'à Londres on peut boire à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit ? Je connais un endroit super ca te dit ? »  Proposa-t-elle sur le ton de la plaisanterie. Derrière eux les voitures de polices étaient toujours présentes. Elle n'arrivait pas à les compter, mais elle avait l'impressions qu'ils étaient de plus en plus nombreux. Elle s'amusait comme une folle. Elle appuya sur l'auto-radio et mis de la musique à fond. Enfin elle prit le portable qui trônait encore sur le tableau de bord et mit la version vidéo. Elle le mit face à eux sur le tableau de bord. « Hey Salut nos amours de nos vies ! Vous pensiez épousés les personnes les plus stables d'Oxford ? Détrompez-vous nous sommes des criminels en puissance ! L'Amérique n'a qu'à bien se tenir ! »  Dit-elle en riant. Elle se tourna ensuite vers Aaron. « A ton avis, je peux les semer ? » 
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