(Hot) Crazy in Love (Lucia Zembrano)

Liam & Lucia
   
   

Elle croit amadouer mon garçon. Il ne mangera aucun fruit, aucun gâteau appartenant à Lucia. On ne sait pas les intentions d'une femme, peut-être l'empoisonner. Où même le manipuler, le contrôler comme une marionnette influençable. Il y a bien une chose qu'on ne doit impérativement pas toucher dans mon entourage. La personne, c'est mon garçon. Il est mon sang, mon bonheur, ma raison de continuer. J'ai même accepté le divorce pour garder mon garçon, et qu'il ne se retrouve pas dans un orphelinat. Quoi vous croyez vraiment qu'elle aurait gardé ? Elle ne vient même pas le voir pendant les week-ends. C'est beaucoup trop demandé ! Les pleurs de mon garçon, quand il se rend compte qu'elle ne reviendra pas. Je suis tellement impuissant, comment pourrais-je aider mon garçon si sa maman lui manque beaucoup. J'ai impression d'être un mauvais parent, un homme méchant. Comme si je ressemblais davantage à l'homme que je méprise énormément. Je refuse de devenir comme mon paternel. Un homme méprisant, méchant, qui voit sa femme, son enfant comme des machines, qui doivent impérativement obéir à son commandement. Il emmène ses enfants à l'armée pour qu'il leur ressemble, et qu'ils deviennent des hommes méprisants, en observant la misère du monde.

Je me rends donc devant la porte ou quelques élèves s'empressent de regagner un second enseignant. Le temps que les nouveaux reviennent. On peut régler nos comptes. Je craque mes doigts machinalement, en repensant que mon garçon acceptait quelque chose d'une femme étrangère. Qui pensait l'amadouer avec un objet. Cela me rend beaucoup plus méprisant. Je suis prêt à tout donner pour mon garçon. Il n'est pas question qu'on se serve de lui pour me toucher, ou même me blesser. Il n'y a aucun élève, du coup, je pénètre dans l'immense pièce pour me retrouver devant Lucia. Je la plaque contre le mur à ce moment, pour monter le son comme avant :

« Cela ne t'a pas suffi ! Tu as voulu également empoisonner, mon garçon ! » grondais-je de mépris contre enseignante, ne permettant pas qu'on touche à mon enfant. « Je ne te permettrai pas de le retourner contre moi ! Tu as compris ? » demandais-je en serrant mon emprise sur Lucia.

Je détache mon emprise pour la libérer, en surveillant ses mouvements, observant chacun de ses regards pour me préparer mentalement à contrer un coup-de-poing. Là, je ne pardonnerai pas, qu'elle soit une femme ou non, mon garçon passe en premier. Je frapperai une femme, si une femme le touche, le fait pleurer ou même l'amadoue. Il est tout ce qui me reste, tout ce que j'ai au monde. Je ne peux pas me permettre de le négliger. Ou même d'accepter que mon garçon accepte quelque chose d'une personne étrangère. Cela aurait pu être n'importe qui. Elle donne le mauvais exemple. Il a cru à ce que dit une femme, croyant qu'elle serait gentille comme sa maman. Le problème, c'est que sa maman n'est pas quelqu'un de vraiment gentil. Elle ne nous aurait pas abandonnés, si mon ex-femme avait amoureuse. J'aimerais comprendre d’où vient le problème. Comment elle a pu changer soudainement. Mon regard longe son magnifique corps, et son doux visage, qui me donnent des envies peu communes. Du moins peu communes depuis le divorce avec mon ex-femme. J'ai renoncé au plaisir, aux femmes, au bonheur, pour donner du repos à mon cœur. Qui a beaucoup trop saigner à force d'aimer quelqu'un.

« Je vous jure que si j'apprends qu'il est arrivé quelque chose à mon garçon à cause de vous.. Je.. Je.. » m'énervais-je avant de coller mes lèvres contre les siennes sans avoir une raison particulière.

Liam & Lucia
   
   

La chaleur s'empare de mon corps, me remplissant d'un désir, d'un besoin que je croyais oublier depuis longtemps. La méprise, la méfiance, la colère m'empêche de raisonner. Le devoir de protéger mon enfant, mon garçon de n'importe étranger lui donnant un objet. On dit toujours aux enfants d'accepter aucun présent d'un étranger. La première chose qu'elle fait, c'est de remettre une pèche à un garçon en le touchant. Je refuse de perdre mon enfant, uniquement parce qu'elle a donné le mauvais exemple. Les enfants sont innocents, influençable, et beaucoup trop attachant. Le fait qu'il pourrait voir une potentiel maman, et accepter de l'accompagner. J'ai le cœur qui est complétement retourné, et chamboulé. Que j'ai du mal à m'imaginer mon bébé s'envolait avec une parfaite inconnue. Uniquement parce qu'elle ressemble à mon ex-femme. Sa mère qui l'a abandonné pour un autre homme. Comment pourrais-je lui avouer la vérité ? Il n'est pas en âge de comprendre.

Je serre mon poings ressortant mes veines apparentes, montrant mon énervement. Il n'est pas question qu'une femme m'enlève mon garçon. La mère a déjà manqué de pouvoir me retirer sa garde. Le tout pour pouvoir divorcer et retourner avec son autre homme. Je la plaque contre le mur, la menaçant comme à mon habitude, pour lui expliquer son erreur en voulant donner un objet. Elle ne sait pas comment sont les enfants ou quoi ?

« La prochaine fois, je ne t'épargnerai pas ! » menaçais-je clairement, pour montrer que je ne compterai pas pardonner.

Je la menaçais, avant de couper en déposer un baiser, simplement guider par mon attirance. Qui m'a conduit à vouloir coucher avec l'enseignante, qui me plait beaucoup. Elle ne se rend pas compte, qu'elle me condamne, qu'elle détruit mon code, en acceptant de me plier uniquement à mon plaisir. Les pulsions sexuelles s'emparent de mon corps, et de mon cœur pour apprécier pleinement ce moment. Je prolonge le baiser sensuellement, langoureusement, mes mains longeant son magnifique corps. Les lèvres descendant doucement à son cou, pour marquer ma propriété, en déposant des milliers de baisers enflammés, sauvages, et passionnels. J'ai comme impression de recommencer à vivre, comme si quelque chose m'en empêcher. Mes yeux changent pour un bleue comme la mer calme, aimante, et sauvage. Je dézippe sa magnifique robe, pour qu'elle glisse le long de chaque courbes. Laissant dévoiler un corps féminin, envoutant, qui comme je m'en doutais me plait énormément. Je reviens embrasser langoureusement, sensuellement, passionnément, glissant mes mains lentement sur son corps, montrant mon expérience. Je sais me montrer doux, comme sauvage, faut seulement me le comprendre. J'aime savourer, apprécier chaque préliminaire pour découvrir le corps de quelqu'un. C'est comme ça qu'on peut s'amuser autant à torturer mentalement, comme physiquement une femme. Les mains caressent chaque partie de son corps, lentement, doucement, pour apprendre à le connaître, et pouvoir pour partager un pur moment de plaisir.

Je la soulève pour la mettre sur son bureau, pour qu'elle soit un minimum bien installée. Mon regard plonge dans celui chocolat de Lucia, venant prendre l'air de temps en temps. Mon cœur bat comme s'il comptait exploser, peut-être le manque d'amour ou même de relation sexuelle avec une femme. A force de les éloigner, c'est quelque chose qui peut arriver à un moment. C'est mon choix pour une vie tranquille !

Liam & Lucia
   
   

Les femmes se servent d'une arme pour pouvoir tuer n'importe quel homme. Il suffit d'un coup pour nous tuer. Une fois pour nous mettre au sol. La deuxième pour nous achever complétement. Elle a pris mon cœur pour le compresser comme une éponge. Je ne peux même plus respirer normalement, comme si elle m'a coupé mon air. Il faut que je me reprenne, que je puisse recommencer avec mon garçon, en me comportant normalement. Et non comme mon père aurait voulu sans doute que je me comporte. […] Je ne peux même plus me concentrer. Les pensées sont reportées sur ce magnifique corps, aux courbes envoutantes, qui me demandant de tout oublier. Les pulsions sexuelles contrôlent mon corps comme une marionnette, embrument mon esprit. La belle créature a complétement m'a complétement retourné. Lorsqu'elle caresse mon torse, après avoir remonté les mains pour déboutonner ma chemise. Je frisonne légèrement, en soupirant de plaisir, appréciant chaque moment. Nos corps collaient ensemble, changeaient ma chaleur corporelle qui montait régulièrement. Un feu ardent me consumait progressivement, me rendant même impatient de prolonger cet ébat. Mes mains serraient ses hanches, quand sa bouche s'attaqua à mon torse, une fois que ma chemise tomba rapidement sur le sol.

Je ne sais pas ce qui me prend d’enfreindre le règlement. Et moi qui récemment mordait, parce que les élèves se vantaient de coucher avec une enseignante, uniquement une rumeur. Je ne suis pas vraiment sous le coup. Il faut admettre, mais l'attirance m'a conduit à vouloir coucher avec Lucia. Je veux qu'on ne forme qu'un, qu'elle soit mienne pour ce moment. Je le veux encore plus maintenant. Je ne pourrai attendre longtemps. Là, je viens la déposer sur son bureau, quand ses jambes galbées, sveltes, viennent entourer mes hanches. Le premier gémissement qu'elle sortit, étira mes lèvres pour un magnifique sourire, satisfait, mais qui en attendait davantage. Je me mordis la lèvre quand son bassin ondula, rapprochant nos corps pour se frotter sensuellement. Ce qui me fit réagir, en sortant un gémissement, mon membre durcit en ressentant cette pression oppressante, sexuelle. Les baisers enflammés qu'elle déposa dans mon cou, me consumait, bouillonnait mon corps. Je gémis de nouveau quand elle mordilla l'aube de mon oreille, que son bassin ondula dans une danse entrainante, envoutante. Qui me rendait complétement fou. Mon sourire s'élargit quand elle me demanda dans sa langue natale de la prendre, avec une voix rauque qui me donne un frison le long de mon corps.

Je prolonge le baiser passionnément, langoureusement, sensuellement, quand elle retira ma ceinture pour m'enlever mon pantalon. Je viens dégrafer son sous-vêtement, prenant en main chaque sein pour le masser avec beaucoup d'énergie, et de douceur. C'était grisant de pouvoir toucher le corps d'une femme. Cela m'a tellement manqué. Je refuse d'y replonger pour souffrir comme avec mon ex-femme. Certes, elles ne sont pas pareilles, néanmoins une femme peut vouloir changer d'homme. Mes lèvres descendent à sa poitrine pour l'embrasser, la mordiller et la lécher lentement, sensuellement. Quant à mes mains viennent caresser doucement son corps, son ventre, sa poitrine pour pouvoir en prendre beaucoup de plaisir. Les préliminaires qu'on partage, me déchirent quelques gémissements, sous ma frustration. Diable, que c'est bon !

« Lucia.. » gémissais-je avec beaucoup d'envie, et un regard embrumé par le plaisir qui me rongeait.

Liam & Lucia
   
   

Lucia me rend complétement fou. L'homme qui suivait un règlement, s'est comme évaporé, disparu, d'un coup comme si cet ébat que j'ai provoqué, été une condamnation. Il reste seulement un homme, désireux, aimant, prêt à se donner entièrement à une femme. Le tout dans un moment érotique, sensuel, et charnel qui nous rendait complétement ivres d'un amour puissant, d'un amour passionnel qui dépasse même imaginaire. Je vous rassure ce n'est pas l'homme qui la repoussait, emmerdait, et la provoquait. Justement, c'est ce qui m'effraie beaucoup. Je ne veux pas replonger uniquement pour une femme, pour un seul et unique ébat avec une femme. Je pense que lorsque cela sera terminé tout reprendra du sens, et on se provoquera comme auparavant. Bref. J'ai pour le moment qu'une envie, c'est de fusionner avec Lucia. Qu'elle m’appartienne pour quelque temps, pour pouvoir me sentir aimé, adoré par quelqu'un. Un long frémissement, me prit au moment ou un gémissement s'échappa de ses magnifiques lèvres, pulpeuses, qui me donnent tellement envie. La fièvre s'empara de moi, en même temps que la température montait régulièrement. Elle déboutonna mon pantalon, dé-zippant la fermeture, pour qu'il retombe au sol, et me retrouver uniquement avec mon boxer de couleur noire qui recouvrait mon membre durci. Sa main venait même le caresser, un profond gémissement s'échappa de ma gorge, resserrant mon enfreinte sur sa poitrine généreuse. Je la massais activement, passionnément, me donnant toujours plus envie de longer son corps. Nos corps étaient en symbiose, ondulant merveilleusement bien. Je frissonnais quand ses mains viennent lentement, doucement remonter le long de mon dos, en fermant les yeux pour savourer ce moment exquis.

Je grimaçai machinalement, quand elle me décoiffe, une réaction commune dans ma famille. Ma respiration haletante, et saccadé, qui avait du mal à reprendre un rythme aussi frénétique, dynamique. Que je m'en perdais moi-même, dans mes pensées, dans mon raisonnement. Elle se raidit lorsque ma bouche passa sur son ventre, pour embrasser, l'effleurer pour qu'elle en réclame davantage, pour la provoquer, pour la torturer mentalement. Je ne ressenti aucune douleur, quand elle s'agrippa à mes cheveux doucement, sous le plaisir qui l'envahissait, la consumait complétement comme un brasier. La sublime enseignante s'allongea sur son bureau, m'entrainant avec elle, dans un baiser passionnel, que je prolongeai avec fougue, et sensualité, en mordillant sa lèvre inférieure. Ses jambes se resserraient autour de ma taille, pour me rapprocher de son corps. Je montai sur la table comme une bête sauvage, la chevauchant, pour la toiser de mon magnifique regard bleuté, sans aucune méchanceté, ou animosité. Il n'y a que l'homme qui désirait seulement à être aimé, sans qu'on l'abandonne avec son garçon. Je me retrouvai sans vêtement, et en fut de même pour le sien, pour retrouver nos deux corps complétement nu, pouvant se frôler frénétiquement, se mouvant à merveille comme s'ils étaient prédestinés depuis longtemps.

Une de mes mains descendit doucement, pour venir caresser doucement, lentement ta fleur de plaisir, avec un léger sourire montrant que je commençais uniquement une longue et douloureuse torture qu'elle aimera énormément. La seconde restait sur un sein pour le caresser, le masser énergétiquement, observant chacune de tes réactions pour prendre un maximum de plaisir. Je m'ouvrais à quelqu'un sans m'en rendre compte. Et acceptait même de vouloir rester en compagnie d'une femme, plus longtemps que cinq minutes. Ce qui est quand même un énorme record pour moi, mais également une révélation qui m'apprendra que je me suis condamné, à me raccrocher à une femme. Ce que je vais amèrement regretter quand celle-ci me rappellera que ce n'était qu'un rêve éphémère, qu'un besoin bestial, sauvage, qui n'aura jamais de lendemain.

   
Lucia & Liam
 
   
   

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Liam & Lucia
   
   

Il y a un homme derrière ce monstre, cet homme au pouvoir, qui se protégeait des sentiments, de l'amour pour une femme, qui me rendrait au même état que maintenant. Les mots sont présent pour exprimer ma douleur, pour cracher mon venin, contre mon ex-femme qui m'a détruit, m'a anéanti dans un claquement de doigt. Je refuse d'aimer une femme, de plonger dans un piège banal, qui me condamnerai. La vie m'a déjà bien sali, entre deux hommes malsains, méchants, qui ont gâché chaque moment de mon existence. Le summum c'est qu'ils en prenaient plaisir, une immense joie en ressortait, en me voyant mal quand ils me rejetaient, parce que je ressemblai aucunement à mon paternel. Le plaisir a été partagé,  quand ma mère m'a appris à mon retour, que mon père était renvoyé du domicile pour m'avoir envoyer me combattre. Le grand frère a accompagné mon paternel, simplement.

La raison qui me pousse à m'éloigner des personnes, c'est simplement mon ex-femme. Avant même qu'on soit un « couple » on était principalement deux merveilleux amis. On a beaucoup partagé, même voyager dans des pays étrangers pour nous rapprocher. Et comme ca d'un coup, nos sentiments sont devenu beaucoup plus qu'une amitié. On s'était rendu compte qu'on se protégeait, qu'on se mentait à soi-même. On était vraiment amoureux de chacun, mais on ne voulait pas l'admettre pour corrompre notre amitié. Du coup je refuse de me lier d'amitié avec une femme, au risque d'en tomber amoureux. Et cela peut recommencer, me sachant sentimentale. Je viens même brisé mon code, le règlement, à ce moment même pour une femme. Ce qui demain vais-je complétement le nier, ou même admettre, car cela voudrait dire qu'elle aura gagner un point. Il n'est pas question de m'avouer vaincu sentimentalement. […] Mon regard bleuté était plongé dans celui-ci chocolat de Lucia, pendant que nous prolongions le baiser. Un mélange de passion, de douceur, et de sensualité. Je prenais un immense plaisir à découvrir chaque parcelle de son corps, pour m'en amuser, pour lui donner également du plaisir qui me rend complétement fou. Une main caressait, massait avec énergie, et passion son sein rond. La seconde taquinait doucement, lentement son intimité, pour montrer que je comptais malgré moi prolonger ce moment. Car au réveil, tout devra recommencer comme avant. Certains appellerons ça, un appel, comme pour demander que ce moment dure. Comme pour éviter le retour au monde réel, qui me replongera dans mon cauchemar.

Ce que je n'avouerai certainement pas, mais qui peut quand même se ressentir physiquement. Les belles jambes galbés, sveltes, me rapprochaient d'elle, comme pour m'empêcher de m'éloigner. Ce qui pour le moment n'était pas vraiment mon intention. Lorsque le plaisir s'empare de son corps magnifique, quand elle ressent mon doigt. J'apprécie énormément ce spectacle, en me léchant la lèvre sensuellement. La voir cambrer, gémir sous mon doigt, me déchire un énième gémissement. Elle roula du bassin comme pour répondre à ma caresse, avant que ma deuxième main regagne la première pour pénétrer un doigt entre ses jambes doucement, ne cessant de l'autre de caresser son intimité pour la voir gémir encore sous mes mains. Les lèvres descendent légèrement pour déposer un léger suçon à son cou, avant d'y déposer des centaines de baisers enflammés, brûlant sous leurs corps devenant des brasiers incontrôlables, tellement le plaisir rongeait leurs corps et leur âme. Incapable de pouvoir me contenir longtemps, sous le désir qui s'est emparé de mon corps. Je retire au bout de quelques minutes mes doigts pour pénétrer en elle, tout en m'agrippant à sa main, en déchirant un gémissement puissant et rauque. La main dans la main quelque part me réchauffa, même cela me torturait d'accepter que je prenne plaisir de recevoir de l'attention d'une femme. La cadence était régulière, et rapide, sous le plaisir qui me rendait fébrile, et qui m'excitait énormément. Je donne quelques coups de reins rythmés, en posant mon autre main sur ses hanches.

   
Lucia & Liam
 
   
   

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Liam & Lucia
   
   

Je deviens accro à nos baisers, nos caresses, un pur délice, un vrai bonheur, que je n'aurai peut-être pas dû goûter. Le meilleur moyen de devenir dépendant à quelque chose, c'est d'y replonger comme une drogue. Il n'y a pas moyen de me libérer de ce cauchemar. Le cœur reprend vie, mes pensées sont confuses, perdues, embrouillées. Je prends peur, commence à suffoquer, cependant mon plaisir intercepte, en me plongeant dans un bonheur éphémère, temporaire, qui durera uniquement qu'un ébat. On peut m'expliquer comment je peux aimer quelqu'un d'un amour passionnel, destructeur. Alors que je m'efforce de m'éloigner de cette personne, en la repoussant, me montrant immonde, en lançant des préjugés pour qu'elle me déteste. Elle revient toujours pourtant, en me frappant, en m'insultant, normalement, elle devrait m'ignorer complétement, m'oublier, pourquoi cela ne fonctionne pas ? Les femmes sont compliquées à comprendre, beaucoup trop complexes. Il ne faut même plus chercher à comprendre par moment, seulement s'adapter.

Je retire mes deux doigts, chacun ayant un emplacement particulier, avant de pouvoir entrer en elle d'un coup, donner des va-et-vient dynamiques, rapides, pour réussir à nous combler. J'attrape sa main pour la prendre dans la mienne, la serrer au moment ou le plaisir est à son paroxysme, et de la deuxième vient empoigner doucement ses cheveux. La cadence augmente régulièrement, nous gémissons de plus en plus, avant que chacun de nous furent frapper par un orgasme puissant, Lucia poussa un cri de jouissance, essayant de se reprendre. Je poussai le mien en même temps d'éjaculer dans ma magnifique partenaire, en serrant une nouvelle fois sa main. À ce moment, je suis complétement vidé, exténué, dépourvu de toutes énergies, même pas pour m'éloigner, ou reprendre mon comportement à chier d'auparavant. Je reprends doucement ma respiration, en me remettant de cet ébat grandiose, divin. Le peu d'énergie qui me reste en ce moment, mon cœur a le plein pouvoir, ma raison est tombé en morceau, tout comme mon plan pour l'éloigner de moi. Mes lèvres viennent chercher les siennes pour un énième baiser, pour réclamer de l'attention, de l'amour. Le regard quelque peu brisé, anéanti, par la douleur d'une femme, a retrouvé un peu d'éclat, pour le temps d'un magnifique ébat qui m'a montré la beauté d'une femme, la beauté d'un amour puissant, destructeur, qui devait sûrement être interdit. Ma main serre la sienne doucement, tandis que mon regard plongea dans le sien chocolat.

Il y a quelqu'un qui dit : profiter de chaque instant comme si c'était le dernier. Le cœur lui permet d'avoir l'homme qu'elle veut, le temps que ma raison reprend du service, en se rendant compte que l'amour commence à s'évaporer. Il vaut mieux pour tout le monde que cela soit la première, comme la dernière fois. Je vis encore dans le temps de mon ex-femme, mes sentiments sont peut-être encore présents, et le coup du divorce est malgré tout omniprésent. Je fais que gueuler pour qu'on comprenne ma douleur, mon chagrin, mon amertume. Oui, cela montre principalement que je ressemble à mon paternel. Là, ils n'ont pas complétement tort. Je ne suis pas prêt à dire honnêtement mes sentiments. Cela voudrait dire d'abandonner une femme qui me plaît, et essayer de me comprendre, mais je n'ai jamais demandé à personne de me comprendre, personne ne le peut vraiment. Ils n'ont pas vécu un amour idyllique, avec leur meilleure amie, pendant cinq ans, avec un mariage, et un enfant, des voyages mémorables. Ils n'ont rien eu de tout ca, mais uniquement un simple amour de routine. J'ai cru que c'était le grand amour, le vrai amour, celui qu'on pourrait tout traverser qui durerait longtemps. Je me rends compte que pendant le divorce, et la séparation que c'était qu'un leur, qu'un mirage, pour me faire comprendre qu'elle n'a jamais été aussi amoureuse qu'elle semblait me le montrer, mais que c'était qu'une image.

Le téléphone me réveille de mon rêve éphémère, un sourire sincère, aimant sort de mon visage. Là, c'est maman qui m'appelle pour me dire que mon garçon m'attend avec impatience. Il doit être content d'avoir passé du temps avec mamie, et ma tante. Je vais le récupérer après avoir changé, et regarder une dernière fois son magnifique visage. J'enfile mes vêtements d'un coup, me repeignant d'une main, avant de lui tendre une main pour qu'elle puisse également se préparer à regagner sa demeure. Il n'y a pas de mots pour exprimer ça, même un merci peut signifier énormément de chose. Je dois forcément passer un message, rapide, clair, et qu'elle comprendra. Je viens donc m'approcher d'elle, et pour lui faire comprendre que c'est un adieu, avant de retourner à nos embrouilles. Je l'embrasse amoureusement, sans m'en rendre compte, avant de regagner mon automobile pour pouvoir retrouver mon garçon.