(inachevé) L'amour vaincra toutes nos faiblesses (HOT) (Jaleigh)

L'amour vaincra toutes nos faiblesses.
Leigh & Jane
Epuisée, elle dormait d'un sommeil de plomb. Sans rêve, son corps était totalement relâché. Elle avait l'impression d'être sous pression constamment, apeurée à l'idée de voir son monde imploser sous ses yeux sans qu'elle ne puisse rien y faire. Car elle était persuadée que cela allait finir par arriver. Les évènements s'étaient enchainés rapidement, et elle n'avait rien pu faire pour l'éviter. Passée d'un état de bonheur et s'insouciance extrême, la vie avait finalement rappelé à Jane qu'elle n'avait pas la force de se battre contre le hasard. Leigh avait eut un accident, renversé par une voiture qui devait rouler trop vite.  
Hospitalisé pendant un temps elle avait fait les allers-retours constants entre chez eux et l'hôpital, allant le voir tous les jours, dormant sur place quand les médecins le lui autorisaient. Sinon, elle rentrait seule dans leur appartement sombre et silencieux, et elle s'endormait sur le canapé, la télévision allumée sur des émissions stupides. La reproduction des gazelles n'avait plus de secret pour elle. Pathétique, mais elle n'arrivait pas à trouver le sommeil sachant que Leigh souffrait.  
Il avait perdu l'usage de ses jambes, mais les médecins étaient assez confiants. Cela ne devait pas être irrémédiable. Il pourra retrouver l'usage de ses jambes avec du temps et des séances de kiné. Encore fallait-il qu'il puisse subir cela psychologiquement parlant. La jeune femme s'était mis en charge de lui rendre le sourire, et dés lors qu'il était rentré à la maison elle ne l'avait jamais laissé. Il était de son devoir de femme et de meilleure amie d'être là pour lui. Lui faire plaisir, lui changer les idées - quant bien même cela semblait impossible - c'est tout ce qu'elle désirait. Elle n'était pas rentrée dans son atelier depuis des jours. Elle n'avait pas touché son appareil photo depuis des jours. Sauf une fois, alors que Leigh dormait en boule dans le lit. La souffrance et la vulnérabilité de son mari l'avait touché, et comme bien souvent elle avait voulu l'immortaliser. Une photographie qu'elle ne montrera jamais à son mari. Ou en tout cas pas avant qu'il ne soit redevenu lui-même.

Pour l'heure il ne semblait plus être le même. Son Leigh souriant, moqueur et enfantin était terne, distant et déprimé. Elle le comprenait, elle ne pouvait pas lui en vouloir, mais il lui fallait énormément d'énergie pour continuer de sourire et faire comme si tout allait bien. Comme si elle allait bien. Elle ne voulait pas qu'il s'en veuille ou qu'il s'inquiète pour elle. Elle n'avait pas le droit d'aller mal, c'est lui qui avait perdu l'usage de ses jambes. C'est lui qui avait l'impression d'être un fardeau. Elle elle devait être son roc, son soutien, sous maintient. Mais cela lui demandait de l'énergie. Parce qu'elle avait eut terriblement peur pour lui et elle n'avait pas eu l'occasion de s'effondrer. Les larmes et l'angoisse étaient coincés dans sa gorge et ne voulaient pas sortir. Pas devant Leigh. Elle n'avait pas le droit de lui faire cela.
Pour l'heure Leigh refusait ses caresses quand elle venait poser sa main sur sa joue. Elle l'embrassait parfois, mais il semblait profondément froid et distant. Jane, aimante, ne pouvait s'empêcher de vouloir le sentir contre elle. Il était son mari, son meilleur ami, et malgré tout les choses n'étaient pas platoniques entre eux. Elle désirait son mari, elle voulait le sentir en elle, contre elle. Elle avait failli le perdre et elle voulait l'avoir à elle. Elle voulait se rassurer. Elle voulait le sentir vivant et vibrant. Elle voulait l'aimer.
Mais pour l'heure elle était entrain de dormir dans le lit conjugale. Rassurée de voir Leigh à ses côtés elle retrouvait le sommeil. Elle se faisait violence pour ne pas coller Leigh, au risque de lui sauter dessus sans qu'il ne le veuille vraiment. Alors elle restait dans son coin, souriant tristement. Dans son sommeil cependant elle sentie une chaleur l'envahir. Son corps réagit automatiquement, alors qu'elle se collait contre le torse de son mari qui venait lui quémander une étreinte. Tendre, douce, Jane sentait le voile du sommeil s'émanciper. Elle ouvrit les yeux, et se tourna dans le lit pour faire face à Leigh.  
Elle lui sourit, à moitié endormie encore, et sans réellemet pouvoir se retenir, elle vint l'embrasser. Un baiser qui n'avait rien de chaste, se collant contre son mari pour jouer avec ses lèvres, l'invitant à venir danser avec sa langue. Ses mains se posaient sur le visage de Leigh, le caressant, les doigts enlaçant ses cheveux, alors qu'elle ondulait des hanches le désir prenant le dessus sur sa raison. " J'ai eu tellement peur de te perdre Leigh... Je t'aime... Je t'aime tellement... " Dit-elle contre ses lèvres. Elle inspira profondément et plongea son regard dans celui de ton mari. " J'ai envie de toi... J'ai besoin de... te sentir... S'il te plait. " demanda-t-elle en se penchant sur ses lèvres encore, amoureuse.

L'amour vaincra toutes nos faiblesses.
Leigh & Jane
Amoureuse, Jane était capable de tout faire pour Leigh. Abandonner son quotidien pour tenter de le rendre plus heureux, comme elle l'avait fait déjà pour revenir à Oxford. Parce qu'elle savait qu'il avait besoin de se réconscillier avec son passé, parce qu'il n'avait pas encore réglé tout ce qu'il lui restait sur le coeur. Mais aujourd'hui elle l'avait connu heureux. Dans les bras d'Eliakim, à ses côtés, elle avait découvert un être nouveau, dont la mélancolie n'était plus un fardeau. Malgré les années de joie, de sourire, et de rires entre eux elle avait remarqué la mélancolie dans le regard de Leigh. Quand il parlait de son passé, quand il parlait d'amour, quand il parlait de l'avenir. Parce qu'il avait perdu l'être qu'il aimait, pour le protéger. Pour qu'il puisse continuer à vivre. Mais être loin d'Eliakim devenait de plus en plus douloureux, et Jane l'avait compris sans doute avant Leigh. C'est pour cela qu'elle avait fait faire leurs valises. Elle ne regrettait pas cette décision, elle n'en regrettait aucune.
Elle ne pouvait rien lui refusait, sa vie à ses côtés prenait tout son sens. Sans Leigh elle n'était plus elle même. Avant Leigh elle avait été une fille frivole et libre, totalement perdue dans un monde bien trop grand. Elle avait aimé, jusqu'à se perdre, jusqu'à ne plus savoir vraiment qui elle était. Elle avait été abandonnée, elle avait aimé encore, elle s'était donnée entièrement. Une âme sans identité, un amour libre et sans attache. Un amour qui n'avait pas de raison d'exister. Elle était une amoureuse de l'amour, se laissant séduire par le simple fait de plaire. Elle avait eut des aventures, beaucoup d'aventures, mais celle qu'elle vivait avec Leigh était sans égale. Elle aimait Leigh avec autant d'évidence qu'elle respirait. Il était son oxygène, son roc, sa raison de sourire, de peindre, de sculpter. Il était son inspiration, la première personne qu'elle représentait dans ses oeuvres, sans même s'en rendre compte. Il faisait parti d'elle, il était une partie de son être, de son âme. Elle l'aimait plus que tout.

Elle voulait un avenir radieux dans les bras de Leigh mais après son accident elle avait peur qu'il ne soit plus le même. Il ne la touchait plus, baissait les yeux quand elle croisait son regard et elle commençait à douter des sentiments qu'il avait aujourd'hui pour elle. Peut être qu'ils n'auraient pas dû revenir. Peut être qu'elle était en train de le perdre. Et s'il ne voulait plus d'elle ? Il lui en voulait peut être ? Elle pourrait le comprendre, il avait le droit d'être en colère. Son accident et son soudain handicap étaient terriblement injustes. Il avait déjà assez souffert. Elle ne pouvait pas lui reprocher d'être en colère. Mais elle tentait de tout faire pour que sa vie soin moins pénible. Et il ne semblait pas le remarquer parfois. Ou alors si et il culpabilisait d'être ainsi. Tout cela devenait compliqué. Ils ne se parlaient plus, plus comme avant du moins. Leigh avait toujours été son confident, et ne lui avait jamais rien caché. Mais à présent il s'enfermait dans la lecture et ne disait rien. Elle faisait de même, regardant parfois des émissions artistiques sur la tablette en face de lui. Elle ne s'enfermait plus dans son atelier. Elle avait peur de le laisser. Elle avait besoin de rester avec lui, à ses côtés.
L'amour qu'elle éprouvait pour lui n'avait pas de limite, tout comme son désir et son envie de le sentir. Ce n'était pas un simple désir sexuel comme elle en ressentait pour d'autres. Elle avait besoin de le retrouver, de le sentir en elle. Son âme, son amour, son mari. Voila ce qu'elle voulait. Elle voulait d'un avenir radieux, elle voulait le combler, elle voulait être son soleil, sa lune, la lumière de sa vie.
Alors qu'il venait l'enlacer, elle se réveilla, encore dans les vappes et vint contre lui. Son corps était brulant, son désir sans faille. Elle voulait le toucher, lui montrer que rien ne changeait pour elle. Qu'elle le voulait toujours autant. Qu'il était son mari. Son Leigh. Que rien d'autre que cela n'importait : il était en vie, elle aussi. Elle se colla contre lui, et son homme la fit passer au-dessus de son corps musclé. Elle sourit contre sa bouche. "Je suis là, je suis désolé mon amour. " Elle ne se formalise pas de ses excuses, elle ne lui en veut pas. Pas vraiment. Il avait toutes les raisons du monde de ne pas être en forme et de ne pas sauter de joie. A plus forte raison parce qu'il ne pouvait pas sauter pour le moment... Comment pouvait-elle penser ainsi ? Illogique. Elle s'accrochait à lui, lui murmurant qu'elle l'aimait, qu'elle voulait le sentir. "Je t’aime mon coeur. " Elle soupire contre lui. Elle a l'impression de ne pas avoir entendu ces mots depuis longtemps. Leigh... comme je t'aime. Si tu savais.
Les mains de son amant se glissent sous son t-shirt, et elle l'aide à l'enlever, dévoilant sa poitrine devant ses yeux brillants. Elle retrouve sa confiance et leur complicité dans son regard. Le désir y brille de mille feux, et elle est heureuse de le retrouver. Pour sa part, elle laisse ses mains glisser sur son torse alors qu'elle se penche vers lui pour glisser sur ses lèvres une fois encore. Elle l'embrasse tendrement, doucement. Elle sent les mains de Leigh sur elle, caressant son corps, déclenchant des frissons de plaisir qui traversent son corps. Elle adore cela. "Je veux un enfant. Maintenant. " Elle croise son regad, étonnée. Il attrappe ses lèvres, ivre de désir. Un enfant... Un bébé...
Elle aviat envie d'enfant depuis des semaines, mais ils n'en avaient pas parlé. Pas vraiment. Mais il en avait envie aussi. Qui était elle pour le lui refuser ? Personne. Elle le voulait aussi. Alors, heureuse, le sourire rayonnant sur ses lèvres elle se relève et lui sourit. " Alors faisons un bébé chéri... " Dit-elle en prenant la main de Leigh pour la poser sur sa poitrine offerte. Elle aime le contact doux de ses mains sur sa peau brulante. Elle le guide dans ses caresses mais déjà elle sent les vagues de désir étreindre son corps, et glisser jusqu'à son sexe. " Faisons un bébé maintenant..." dit-elle coquine, et malicieuse. Elle glisse sur le corps de son homme et vint trouver son bas de sous vêtement pour le mettre nu à son tour. Le ôtant de ses jambes sans lui demander de l'aide, rapide. Elle saisit alors le sexe de son homme dans sa main, retrouvant le contact familier. Elle adore cela, elle se sent femme, désirée, ennivrée. Emplie de désir. Elle commence les mouvements amples et séducteurs avec sa main, alors qu'elle remonte vers sa bouche pour l'embrasser.

L'amour vaincra toutes nos faiblesses.
Leigh & Jane
Jane retrouvait enfin l'homme dont elle était tombée amoureuse, et c'est avec une joie non déguisée qu'elle profitait de cette instant d'intense retrouvailles. Elle embrassait Leigh comme s'il allait soudainement disparaître sans qu'elle puisse l'éviter. Depuis l'accident elle a constamment l'impression qu'il va disparaître, qu'il n'est plus réellement lui-même, et qu'elle était en train de le perdre. Il était sans doute la première personne qu'elle aimait à ce point, et elle avait terriblement peur de voir s'évanouir ce qu'elle avait de plus pure dans sa vie. Jane voyait le monde comme un cumul de mensonge et d'hypocrisie. Jouant des sentiments, les hommes devenaient de plus en plus odieux les uns avec les autres, s'utilisant pour leurs propres profits avant de passer à autre chose. Mais Jane n'était pas ainsi. Si elle avait grandi dans une famille où l'argent et le nom prévalait sur le reste, elle avait su rester quelqu'un d'intègre et d'honnête. Elle en était fière. Ses rencontres avaient faits d'elle ce qu'elle était aujourd'hui, et elle pouvoir se targuer de connaître la force d'un sentiment d'amour unique. Elle aimait Leigh sans contre-partie, n'attendant rien de lui. S'il désirait la quitter pour être heureux alors elle l'accepterait, parce que tout ce qui comptait pour elle c'était le bonheur de son mari. Elle avait toujours tout fait pour lui. Elle était devenue sa confidente, sa meilleure amie, son amante, sa femme. Elle assumait tous ces rôles avec un plaisir évident, parce qu'il était tout ce qui important dans son existence. Leigh était son univers, son monde, depuis le premier jour de leurs rencontre. Ils n'avaient jamais su se séparer, comme si cette relation était une évidence, voire une nécessité pour eux. Elle l'avait aimé dés le premier regard, et tous les jours un peu plus depuis. Elle acceptait tout de suite, tout comme il accepterait d'où d'elle sans le moindre jugement. Aucune moralisation. Aucune dispute. Ils s'entendaient à la perfection. Pourquoi ? Parce qu'ils n'aimaient pas l'idée qu'il se faisait de l'autre, mais l'autre tel qu'il était. Contrairement à tous ces couples hypocrites qui se faisaient une idée de la personne qu'il avait en face d'eux, et se retrouver déçu de découvrir que finalement l'être aimé n'était pas ce qu'ils espéraient. Jane savait pertinemment qui était Leigh, et il la connaissait par coeur. Ils étaient amis avant d'être amants. Ils étaient tout. Une unité, un être dans deux âmes. Elle se fondait en elle, elle se retrouvait dans son regard.
Le handicap de Leigh lui minait le morale, l'approchant tous les jours un peu plus de la dépression, et Jane tournait autour de lui comme un satellite autour de la lune, cherchant à la réchauffer sans pouvoir y parvenir. Elle ne jugeait pas son comportement, elle se contentait d'être présente pour lui, de l'aimer, de le soutenir, d'être toujours elle-même. Du mieux qu'elle pouvait. Mais ce qu'elle voulait véritablement c'était l'aimer. Qu'il l'autorise à l'aimer encore comme elle l'avait toujours fait. Jane était quelqu'un de très tactile, qui avait ce besoin de sentir les autres, de les toucher, de les embrasser, d'autant plus Leigh que le reste du monde. Il était rare qu'elle reste dans la même pièce que lui sans – à minima – lui toucher la même, ou frôler son dos. Elle avait besoin de le sentir auprès d'elle, de lui montrer qu'elle était présente, qu'elle était toujours là. Mais depuis qu'il avait perdu l'usage de ses jambes il refusait tout contact physique comme si cela risquait de le brûler. Blessée, la jeune femme gardait en elle sa peur de le voir la quitter, et rester à le regarder, l'aidant du mieux qu'elle pouvait. Souriant, l'écoutant lui lire quelques passages de romans, ou encore le regardant dormir. Elle avait peur. Terrifiée. Tremblante.


Mais elle le retrouvait à présent. Au milieu de la nuit, baignée dans la pénombre de leurs chambres à peine éclairée par la lueur cristalline de l'astre lunaire, elle se retrouvait bien vite sur les hanches de Leigh, le dominant de son corps nu et exposé. Adulant ses formes, elle retrouvait la fougue et l'envie d'un amant qu'elle pensait perdu. Elle ne chercha pas à savoir ce qui avait déclenché ce changement, bien trop heureuse de profiter des retrouvailles avec son homme. Son mari. Elle l'embrassait, jouant avec ses lèvres comme avec une délicieuse sucrerie, elle les mordillait, les suçaient, les léchaient, dansant avec sa langue dans une étreinte frénétique. Alors qu'il venait cajoler sa poitrine, ses mains se perdirent sur la peau chaude de son homme. Son crane rasé, ses épaules musclés, son torse dur et chaud. Elle adorait le sentir sous ses doigts, elle adorait être aussi proche de lui, et excitée de plus en plus par ses caresses elle eut la hardiesse d'aller chercher son membre pour le caresser dans des gestes amples et longs. La main de Jane entoure sa virilité, déclenchant un râle de plaisir chez son homme qui la fait sourire. Elle aimait sentir la force de son désir pour elle, et s'enhardissait d'être aussi désirable. Elle se sentait femme, dominante et forte.
Descendant sur ses lèvres, elle l'embrasse avec une avidité folle, tandis ce qu'elle sent la main de son amant se poser sur son sexe déjà humide pour lui. Elle lâche un gémissement quand il vient la caresser, et ressert son emprise sur son membre virile. Elle ne tiendra pas longtemps, le manque de lui découplant son envie de le sentir en elle. Elle a envie de l'avoir, de l'accueillir dans son intimité pour ne faire plus qu'un avec cet homme qu'elle aime sans limite. Cet homme qui est tout pour elle. Absolument tout. Elle veut un enfant, elle veut avoir une vie à ses côtés. Un avenir. Un bébé. Elle continue son jeu érotique pendant plusieurs minutes, encore, mais bien vite le désir est trop grand, trop présent. « J'ai envie de toi, Leigh… »  Murmure-t-elle à son oreille, prenant la main de son amant qui glisse sur son sexe pour le faire revenir son sa poitrine. Elle arrête ses caresses, un instant, plongeant son regard dans celui de Leigh. Elle se positionne au-dessus de lui, et doucement, lentement, elle se laisse envahir par son sexe en elle. La chaleur de cette étreinte érotique lui coupe le souffle. Elle savoure l'instant, ressentant son amant en elle. Ils ne font plus qu'un. Elle la retrouvait. Elle se relève, le dominant et lui offre un regard heureux et un sourire flamboyant. Avant de se mordre la lèvre inférieur et d'entamer des mouvements de va-et-viens, lents. Puis de plus en plus rapides à mesure que le désir monte en elle.