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 Je tisse des liens, j'en perd le fil.

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Anonymous




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MessageSujet: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 1:53

Iosef J. I. Gonzales
   On ne se dévoile à soi-même qu'une fois confronté à la vérité.


   
identification complète Iosef comme le père de Jesus. Judas comme le traitre. Ivanovitch car c'est son nom de naissance et Gonzales comme ses parents adoptifs. âge 27 ans lieu/date de naissance Moscou un soir d'hiver. études suivies et année Doctorat en médecine spécialisation chirurgie cardiaque. Maîtrise en Russe également job Autrefois chirurgien, il est maintenant professeur de médecine. orientation sexuelle Bisexuel statut Père célibataire statut social £££ caractère Intelligent, instruis, intéressé, patient, travailleur, râleur, violent, caractériel, colérique, jaloux, protecteur, souriant, calme, papa poule.groupe Hard Workeravatar Chris Hemsworth

   Welcome to the jungle
   Il a été adopté par ses parents, il l'a appris vers 13 ans en tombant dans le bureau de sa mère sur son dossier d'adoption. - Il sait qu'il est le fils d'un mafieux Russe et que sa mère l'a fait adopté pour le protéger, elle ne voulait pas qu'il devienne comme son père. - Passionné par la science il adorait regarder les étoiles, étudier la biologie alors que ses parents le voulaient dans l'art. - Depuis qu'il a su qu'il n'est pas leur fils, il se moque totalement de ses parents, il n'a plus de nouvelle. - Il ne voit plus sa sœur également, la jugeant responsable des mauvais jugements de ses parents car elle le poussait toujours à faire des bêtises. - Il fait sa vie tranquillement, sans se poser. Parfois quand il a besoin il ramène chez lui un homme où une femme mais il a peur de s'engager. Il a peur d'être déçu et d'avoir le cœur brisé. - Incroyablement intelligent en science, il a eu son diplôme avant tout le monde car il a sauté des classes. Il était l'un des plus jeunes chirurgiens d'Angleterre. - Il est Russe, il adore son pays pour l'avoir plusieurs fois visité, il parle très bien le Russe. - Il sait également danser le Kalinka comme personne, lorsqu'il a trop bu en soirée il le danse sur n'importe qu'elle chanson. - Grand amateur de chocolat, lorsqu'il n'a pas le moral il agrémente son chocolat chaud d'une touche de Vodka. - Il a eu un grave accident de moto, sa tête a tapée et il a été dans le coma plusieurs mois. Ne parlant plus à sa famille ils n'ont pas été au courant. - Sa main droite a été prise dans la moto pendant l'accident, sous le choc il a été trainé sur plusieurs mètres, sa main a été rappée, ouverte et brisée a plusieurs endroits. - Depuis il ne peut plus opérer alors après s’être rendu à l'évidence, il a accepté un poste de professeur à Oxford et de kiné dans un petit cabinet très discret. - Quand son véritable père a su pour lui, il a fait tuer sa mère. Elle n'est plus de ce monde, il l'a appris en trouvant son nom dans les archives nécrologique à Moscou. - A cause de son accident sa main est handicapée a 60%, elle ne répond pas parfois, se bloque. - Il apprend à travailler avec, doucement. Souvent il serre ses doigts et joue avec pour tenter de reprendre un peu d'autonomie. - Il a vraiment ramé pendant ses années d'études, enchainant les petits boulots et les demandes de bourse pour étudier. Heureusement très bon élève, il avait pas mal de bourse pour survivre. - Depuis il comprend et compatit avec les élèves qui ont du mal à joindre les deux bouts, il se reconnait en eux. - Il a un fils d'un an, Timéo, qu'il adore et chérit plus que tout. La mère de l'enfant est médecin comme Iosef. Ils ont eu leur enfant mais elle l'a abandonnée à sa naissance, laissant les droits au jeune père.

   The story of my life
   Dehors la neige s'abat sur les arbres, le paysage devient triste et presque angoissant alors qu'une lueur artificielle attire l’œil. Dans un grand bâtiment, en particulier dans une salle d'accouchement miteuse, une femme donne la vie. Sous les hurlements de la femme et sous les encouragements de l'équipe médicale, elle met au monde un enfant, un garçon. Beau comme un cœur, les joues bien rondes et une touffe de cheveux noirs sur la tête, l'enfant pousse son premier hurlement. Mais alors que le gynécologue veut le mettre dans les bras de la mère, elle tourne la tête en refusant de voir son enfant. Les infirmières échangent un regard plein de tristesse alors que l'enfant est enroulé dans un linge et emmené loin de sa mère qui ne veut pas de lui. « Comment devons nous l’appeler Madame ? » Demande poliment une aide soignante. « Iosef. Iosef Judas Ivanovitch. J'ai seulement le droit de choisir son prénom. » L'aide soignante n'en dit pas plus. On ne demande pas en Russie, surtout en cette période de l'année. Nous sommes en pleine guerre des gangs et des mafias. Partout en Russie on peut entendre des coups de feu, des meurtres et des enlèvements. Alors devant cette femme nouvellement mère elle ne demande pas, elle ne regarde pas. L'enfant est lavé, habillé d'un beau pyjama bleu et enfin apporté à sa mère. Dans la chambre alors que sa mère se repose, une autre femme attend. Une belle femme blonde au visage dur et très sévère. Lorsque le petit Iosef endormi est posé dans les bras de sa mère, il bouge doucement. Celle qui vient de le mettre au monde quelques heures avant lui dépose un baiser sur le front et le donne à l'immense femme blonde qui attend dans un beau costume.

Avec l'enfant, une lettre est donnée à la femme. Cette dernière est une assistante sociale. Elle vient pour prendre Iosef et le protéger, car dans son pays il n'est pas en sûreté. Déjà une autre famille attend l'enfant, une famille d'adoption où une petite fille blonde va recevoir un grand frère. Une larme bouleversante coule sur la joue de la mère de l'enfant alors qu'elle regarde partir son fils qu'elle ne reverra jamais. Il est un Ivanovitch, le fils du bras droit de la mafia Russe. Et si elle veut protéger son enfant de la violence de son père, elle doit le faire adopter. Elle a fait croire à ce dernier qu'elle avait perdu l'enfant il y a des mois déjà. Pendant le reste de sa grossesse elle n'est quasiment pas sortie de chez elle et quand elle le devait, elle enfilait un immense manteau. Heureusement son amant était retenu dans un autre pays pour les affaires comme il appelle ça. Heureusement sinon il l'aurait faite avorter lui même. Il ne voulait pas d'enfant, et pourtant il en aura un. Qui vivra à l'autre bout du monde, caché, mais tout de même. Dans un petit hôtel de la Moscou, l'enfant est posé dans les bras d'une femme. Une mère à présent qui vient d'adopter son fils. Avec un sourire le futur père, un Hispano-Américain dépose un baiser sur le crane de l'enfant. Iosef s'envole bientôt pour l'Angleterre.

L'enfant grandi dans une famille en apparence aimante et très présente. Mais il nourrit un amour sans fin pour la science, tout le contraire de ses parents. Iosef est un petit garçon très excité, qui a toujours le besoin de se défouler et de courir partout. Sauf qui est également très bagarreur et un peu violent sur les bords, ce qui parfois effraye ses parents et légèrement sa sœur. Il rentre régulièrement chez lui avec des griffures et des bleus, signe de ses bagarres régulières. Sauf que sa famille n'est pas une famille comme les autres. Il a été adopté par la famille Gonzales, très connue dans le monde des affaires. Son père est un grand homme d'affaire. Et d'après la logique en tant que garçon, il devrait reprendre les reines de l'immense royaume de son père. Mais Iosef n'est pas du tout attiré par la finance, il ne la comprend pas. Lui c'est la science sous toutes ses formes et surtout la médecine. Il veut savoir comment fonctionner son corps, par quel principe il marche et respire. Sauf que ses parents sont farouchement opposé à l'idée qu'il étudie la médecine, ils hurlent lorsqu'ils le voient avec un livre sur le corps humain. Alors plus les années passent, plus il se renferme sur lui même. Il ne parle plus, il lit le soir tard dans sa chambre des livres sur le corps humain. Si bien que lorsqu'il a 12 ans, loin des conventions que voulaient ses parents, il a été envoyé en pension.

Un pensionnat catholique et privé, où le silence régnait en maître. Contrairement à ce que pouvaient penser ses parents, il supportait bien cette situation. Il n'avait pas le droit de parler à table, pendant les cours, le soir passé 19h. Pendant des années il est resté dans ce pensionnat, il était heureux. Il avait des amis et surtout des notes excellentes. Ses professeurs le poussaient à étudier la science, chose que ses parents refusaient expressément. Sauf qu'avec sa sœur, Jane, leur relation se dégradait de plus en plus. Elle prenait un malin plaisir à le faire punir lorsqu'il revenait en vacance, les rares fois où il sortait de son école. En effet lorsqu'il revenait chez lui, il n'avait pas le droit de sortir de sa maison. Il devait faire comme si il n'existait pas, comme si il n'avait jamais existé aux yeux des voisins même. Mettant cela sur le compte d'un besoin de solitude exacerbé, les voisins n'ont jamais posé de questions. Sauf que la nuit, lorsque tout le monde dormait Jane poussait son frère à sortir. Et plus d'une fois il a obéit, plus d'une fois il a été sévèrement puni car il se faisait pincer à chaque fois. Sauf la toute dernière fois où il a fait confiance à sa sœur.

« Viens Iosef... Tu aimes la science, ce soir il y a des étoiles filantes. Viens on va voir ! » Tu lui souris, tu te sens en confiance. Peut-être que ce soir les parents ne t'entendront pas et que tu pourras admirer le spectacle seulement dix minutes, pas plus. Alors tu sors de ta chambre sans un bruit, tu approches du balcon du salon et tu enjambes la rambarde. Là tu attrapes la corde attachée au balcon et en quelques gestes habiles, tu descend jusqu'à ce que tes pieds nues touchent l'herbe fraîche du jardin. Ta sœur suit une seconde après, avec un sourire elle t'attrape par la main et vous courrez jusqu'au centre du jardin. Tu ne peux pas sortir par la porte d'entrée, l'alarme se déclencherait. Mais d'ici tu vois bien le ciel, quelques étoiles filantes passent. La soirée est belle, l'air est frais, tu es incroyablement heureux. Mais alors que tu te retournes rapidement, tu entends des pas venir dans ta direction. Alors que ton père s'approche à une vitesse folle, la gifle s'abat violemment sur ta joue. Ta sœur, courageuse s'interpose en hurlant que tu n'as rien fais. « Inconscient ! Et si ta sœur était tombée ?! Encore tes sales idées pour t'enfuir ! Tu entraînes ta sœur dans les toutes les bêtises qui te passent pas la tête ! » Et toi ? Si tu étais tombé ? On s'en fou... Sans pouvoir te défendre tu es tiré par ta chemise de nuit jusqu'à la maison et jeté dans ta chambre. Tu as 13 ans et il te reste une semaine de vacance. Tu ne sortiras plus de ta chambre pendant la semaine à venir, sauf pour te doucher.

Il ne lui fera plus jamais confiance après cette nuit. A un tel point que lorsqu'elle lui parle, il ne répond pas. Lors des vacances suivantes, il sera régulièrement puni pour des choses qu'il n'avait pas commis. Ses parents l'accusaient de toutes les bêtises que sa sœur pouvait faire. Il ne disait rien, il encaissait. Un jour alors que personne n'était à la maison, il partit dans le bureau de son père pour fouiller. Il lui avait confisqué ses livres de science il voulait les retrouver. Ainsi en cherchant dans le bureau, il tomba sur un dossier portant le nom Iosef Judas Ivanovitch. Avec hâte il le vola pour l'emporter dans sa chambre, le cacha sous le lit et attendit la nuit pour le lire. Le dossier comportait un extrais de naissance, le jour où il était né. Ainsi qu'une photo de lui bébé et d'une femme, brune, très belle mais l'air triste. Le nom de cette femme, d'un homme et plusieurs renseignements sur lui étant enfant. La réalité le frappa en pleine tête alors qu'il laisse ses yeux couler sur un certificat d'adoption. Il n'est pas leur fils. Il ne l'a jamais été. Dans le dossier une lettre à son nom. Il l'ouvre et lit les mots d'un anglais mal orthographié.

Mon fils.
Je suis désolé de ne pas pouvoir te garder auprès de moi et t'élever comme je le voulais. Tu es le fils d'Ivan Ivanovitch. Ton père est un dangereux mafieux, bras droit du chef de la mafia Russe. Il te pense mort depuis des mois, j'ai réussi à cacher ma grossesse comme j'ai pu. Si je voulais pas qu'il te reconnaisse, c'était simplement car je ne voulais pas une vie de meurtre et de sang pour toi mon fils. Je t'aime profondément, je ne sais pas si tu liras mes mots un jour. Je suis ta mère, Isabella Ivanovitch et je serais peut-être morte le jour où tu liras ces mots. Tu es un enfant magnifique et où que tu ailles, mon amour sera toujours là pour t'accompagner. Deviens un homme, sauve des vies mais je t'en prie, ne deviens jamais un militaire où un policier. Ne tue jamais je t'en supplie, tu as ça dans le sang, tache de devenir un homme bien. Le contraire de ton père. Tu vas être adopté par une grande famille qui pourra t'éduquer et te donner un enseignement de haut niveau. Sois quelqu'un et peut-être qu'un jour, on se retrouvera.


Depuis ce jour il est parti étudier la médecine à Oxford sans donner de nouvelle à ses parents ni sa sœur. A l'aide de bourses et de petits boulots, il a réussi à se hisser sur les meilleurs listes de l'école Anglaise. Quelques années après il a décroché un diplôme en médecine, spécialisé en chirurgie cardiaque, sa vie était parfaite. Mais il n'a pas de chance, Iosef n'en a jamais eu et cela ne changera pas maintenant. Un soir alors qu'il roulait en moto, qu'il rentrait d'une longue intervention particulièrement épuisante, sa moto a glissée sur une flaque. Il est tombé au sol, son poignet droit c'est brisé sur plusieurs endroits. Ses doigts étaient en miettes car la moto est venue rapper sa main en le traînant sur plusieurs mètres. Il garde quelques cicatrices de cet accident et sa main droite ne répond plus autant qu'elle ne le devrait. En effet il n'a que 40% de sa main ce qui veut dire pas grand chose, il ne peut plus opérer. C'est à cette période qu'il a rencontré une jeune femme, médecin comme lui. Ils ont eu une brève histoire avant qu'elle ne lui apprenne qu'elle était enceinte. Elle a voulue garder le bébé mais le jour de l'accouchement, elle lui a annoncée que si il ne s'en occupait pas, elle ne voulait pas leur enfant. Elle a donc abandonnée tous ses droits de parent sur leur enfant, un petit garçon du nom de Timéo. Il a décidé de s'en occuper, seul, devenant père célibataire alors qu'il était dans une période de sa vie où il avait l'impression d'être bon en rien . Finalement cet enfant, son fils lui a donné l'envie de vivre, de se battre. Alors qu'il était en pleine dépression il a recommencé à sourire et vivre pour lui, son fils, la prunelle de ses yeux. Il l'aime tellement, son amour n'a pas de limite pour son petit Timéo. Finalement un an après la naissance de son fils il a du accepter un poste de professeur de médecin à Oxford. Il doit bien travailler pour vivre et offrir tout ce dont son fils a besoin. Il redémarre une nouvelle vie, avec son fils, son petit être à ses côtés.

   Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
   Que représente Oxford pour toi ? Ma maison, là où je travaille, où je vis, où j'ai étudié, où mon fils grandira.
   Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Ici
   Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Le sexe c'est la vie
   As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Je viens d'une famille où rien n'est clair donc bon...
   Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Ils ne savent rien sur moi
   Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Il se ronge les ongles et se passe souvent la main gauche dans les cheveux. Sa main droite étant handicapée, il la bouge souvent

   pseudo/prénom Eliakim, Ezeckiel, Angelus, Manon âge21 ans lieu d'habitation Dans une grotte où as-tu connais le forum DTC MOUHAHAHA t'en penses quoi? Pas mal Scénario ou Inventé? Inventé Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Je m'auto-parraine xD un dernier mot? Le gras c'est la vie.

   
Code:
[code][b]Nom de la célébrité[/b] ✗ Iosef J. I. Gagosian[/code]
   


Dernière édition par Iosef J. I. Gonzales le Lun 19 Oct - 3:05, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 9:30

Luke Evans :amoureux: :amoureux: :amoureux:
Comme toujours, tu vas nous pondre un super personnage :love:
Je réserve un lien d'avance :48:
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Eden A. Winchester




Eden A. Winchester
ASTRAL — against the system


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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 11:33

FAIS MOI L'AMOUR TOI TETE DE........ SAUMON FUME!!!! :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit: :lit:

RE BIENVENUE MON CHAT D'AMOUR DE MA VIE
JE T'AIME TOUT PLEIN :love: :love: :love: :love: :love:
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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 21:55

Merciiiiiiiiiiiiiiii :danse:

J'ai fini :siffle: me faut l'aval d'Helix :gnihihi:
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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 22:31

Heli et Cie étant en pr cette semaine pour cause d'éloignement d'ordinateur je valide par mon portable l'histoire est parfaite !
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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 22:54

Ca marche :mdr:
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. EmptySam 5 Sep - 23:06

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès
Je suis beau :love:

Vérifie que ton avatar est dans le bottin. Tu intègres, à partir de maintenant, les hard Worker . Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Tu peux aller demander des liens, des rps, ou encore intégrer un club ! Ouvres toi une page Instagram, et crées-toi un téléphone portable ! Tu peux aller flood ou discuter sur la Chatbox ! N'hésites pas à proposer un scénario ou à poster une recherche de lien important ;) Si tu as des questions n'hésite pas :coeur: Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces !
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MessageSujet: Re: Je tisse des liens, j'en perd le fil.   Je tisse des liens, j'en perd le fil. Empty

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