| Sujet: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 14:35 | |
| Edwin Grey Nos nuits sont plus belles que vos jours.
identification complète Edwin Lukas Grey. âge Vingt trois ans. lieu/date de naissance Le 28 aout 1991, à Bristol. études suivies Histoire et Politique. job Son argent de poche est amplement suffisant. orientation sexuelle Hétérosexuel. statut Célibataire. statut social ££££. caractère Distant + Impulsif + Peu bavard + Franc + Intelligent + Froid d'apparence + Fêtard + Je m'en-foutiste + Sûr de lui + Bagarreur + Moqueur + Insolent. groupe Oxford's students. avatar Aaron Taylor Johnson.
Welcome to the jungle Edwin fume beaucoup, beaucoup trop. + Quand il commence à boire il ne sait pas s'arrêter et cela se termine bien souvent sur des problèmes. Étant impulsif de nature, il en faut peu pour qu'il parte au quart de tour avec de l'alcool dans le sang. + Il a été amoureux une fois mais a eu le cœur brisé, depuis il ne croit plus en l'amour. C'est devenu un baiseur irrespectueux. + Rien ne lui ferait plus plaisir que de foutre son poing dans la figure de son père mais son héritage l'en empêche, sans l'argent et la reconnaissance de sa famille il n'a aucune chance. + Il rêverait de faire le tour du monde et d'écumer tous les bars des grandes villes. + Il conduit une moto, pour la sensation de liberté et le côté badass qui l'amuse beaucoup. + Il oublie souvent de manger et n'aime tout simplement pas cuisiner. La plupart du temps il achète des plats tout faits. + Il parle très bien français, c'est un pays qui l’intéresse beaucoup d'un point de vue historique.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Une agréable obligation qui l'éloigne de son paternel. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Le scotch est bien meilleur. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Les gens qui pensent comme ça sont tout simplement frustrés. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Edwin ne compte plus les conneries qu'il a pu faire, mais de là à dire qu'il n'en est pas fier. Disons plus qu'il s'en fou. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Ça l'énerve au plus haut point. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Fumer clope sur clope.
pseudo/prénom PINK TIGER, Margot. âge 21 ans. lieu d'habitation Banlieue parisienne. où as-tu connais le forum sur Bazzart. t'en penses quoi? J'aime évidemment, sinon je ne serais pas là. un dernier mot? J'avais réservé Jamie Dornan mais finalement je penche pour Aaron Johnson, du coup vous pouvez libérer le beau Jamie :23:
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[b]Aaron Taylor Johnson[/b] ✗ Edwin L. Grey
Dernière édition par Edwin L. Grey le Dim 7 Déc - 18:48, édité 5 fois |
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| Sujet: Re: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 14:35 | |
| The story of my life« Edwin chéri, tiens toi droit s’il te plait. Si ton père te voyait. » La voix aiguë et autoritaire de sa mère avait toujours eu quelque chose d’agaçant. Tout comme l’était sa manie de le corriger, de remettre ses vêtements en place ou de passer sa main dans sa chevelure sauvage. Le regard vide, il ne put que se conformer aux ordres qu’elle lui donna, dressant son dos avec le plus de droiture qu’il ne le pouvait. Ces diners mondains étaient bien plus fatiguants qu’on ne pouvait le penser, surtout lorsqu’on était qu’un jeune gamin. Tout en cachant son bâillement d’ennui, Edwin balaya la table et ses convives du regard. Ils étaient tous plongés dans une conversation politique des plus passionnantes, en tout cas pour eux. Lui, il n’y comprenait rien et quelque chose lui disait que ce domaine ne serait probablement jamais sa tasse de thé. Plus le temps passait et plus l’ennui s’amplifiait. On amenait plat sur plat, les débats semblaient tous les même et sans fin. Jamais il ne s’habituerait à cela. Quand on arriva finalement au dessert et au café, quelqu’un sembla enfin s’intéresser à lui. Jeune garçon invisible qu’il avait été durant l’intégralité du repas. « Dis-moi mon garçon, tu en as de la chance d’avoir un père si talentueux. Es-tu fier ? » lui demanda un homme assez âgé, respecté dans le monde politique d’après les dires de son père. « Oui monsieur. » finit-il par répondre, assez mécaniquement, sans vraiment de sincérité. Il n’avait pas vraiment le choix après tout. L’homme émit un rictus dérangeant et lui ébouriffa les cheveux. « Brave garçon, je suis persuadé que tu sera amené à faire de grandes choses dans ta vie. Le portrait craché de son cher père. » Cette déclaration aurait pu le laisser rêveur, mais il n’en était rien. Edwin n’avait que dix ans et ne souhaitait pas réellement penser à sa vie d’adulte. Elle ne semblait pas si belle, de l'aperçu qu’il pouvait en voir.
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Rien au monde n’était plus délicieux que le goût de ses lèvres, si fruité, si délicat. Le cœur bondissant d’amour, Edwin quitta sa bien aimé dans une dernière étreinte, un dernier baiser. Grace et lui partageaient un amour fou depuis maintenant sept mois et rien ne semblait plus ravir le jeune adolescent. Si bien qu’il en oubliait parfois de se concentrer sur les études, au plus grand désarroi de ses parents qui ne lui laissaient pas le droit à l’erreur. Avec un métier comme celui de son père, il n’était pas possible qu’Edwin échoue dans sa scolarité. Mais lui, il s’en fichait. Tout ce qui lui important c’était Grace, sa Grace. La plus belle création de la Terre. Le sourire aux lèvres, il ouvrit la porte de sa maison, chantonnant gaiement. Perdu dans les souvenirs d’un après-midi ensoleillé, il ne prêta pas gare à sa mère, assise dans le salon, l’air paniqué. Néanmoins, il fut bientôt contraint d’être ramené à la réalité. Sans qu’il ne s’y attende, il reçut une claque violente. Perdu, il leva ses yeux d’azur en direction de son père. Ce n’était pas de la colère qui était lisible sur son visage, c’était de la rage. « Petit merdeux! Comment as-tu osé me faire ça ? A moi ? » La situation semblait couler de source pour son paternel, mais ce n’était pas aussi simple pour Edwin qui lui, ne comprenait pas grand-chose. Il n’eut cependant pas le temps de répondre grand-chose, que de nouveau son père haussa le ton. « Mon propre fils qui m’a vendu à la fille de mon plus grand opposant. Comment ? Mais comment ? » Décidément, le jeune adolescent était totalement perdu. Peu confiant, il osa toutefois interroger son père. « De quoi tu parles ? Je ne t’ai vendu à personne. Je ne comprends rien. » Cette intervention de sa part ne manqua pas de mettre son paternel dans un état de rage plus immense encore. Edwin s’en mordit la lèvre, impuissant devant la violence dont faisait preuve son père, cognant inlassablement contre le mur. C’est à ce moment que sa mère intervint, tentant tant bien que mal de stopper la folie de son mari. Elle se tourna alors vers Edwin. « Chéri, est-ce que oui ou non tu es sorti avec cette Grace ? », « Oui mais… », « Est-ce que tu lui as parlé de ton père ? », « Oui évidemment, c’est ma copine. Mais… » Une fois de plus, il n’eut pas le temps de finir sa phrase, qu'il fut coupé par son père, heureusement retenu par sa mère. « Et tu n’as pas pensé une seconde que lui dévoiler toute notre vie, mes ambitions, mes moyens de pression, pourrait mettre en danger ma candidature à l’assemblée à la rentrée prochaine ? » Edwin était plus perdu que jamais, incapable de comprendre le lien qui pouvait unir Grace à la candidature de son père. « George vient de m’appeler. Il m’a ri au nez, il m’a dit que j’étais fini, qu’il me ferait tomber. Et que je pouvais remercier mon fils pour ça! » Comme pour clore cette nouvelle accusation, il frappa de nouveau l’adolescent en plein visage. Mais ce ne fut pas le coup qui fut le plus douloureux à cet instant, c’était ce qu’il venait d’apprendre. La fille dont il était éperdument amoureux s’était moqué de lui, l’avait utilisé. Ne voulant pas croire une chose pareille, il eut pour premier réflexe d’appeler sa petite amie, du moins celle qu’il croyait être sa petite amie. Et elle confirma. Son cœur se brisa en mille morceaux. Puis, dans un bruit sourd, il entendit son père arriver dans sa chambre. « L’amour c’est pour les faibles, que ça te serve de leçon. »
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« Vous êtes Edwin Grey, c’est bien cela ? » Les yeux brouillés, la mâchoire douloureuse, l’estomac retourné, Edwin ne donna aucune réponse. « Monsieur s’il vous plait, répondez à mes questions. » La voix de l’agent de police résonnait dans sa tête, si fort, trop fort, ça lui faisait un mal de chien. Tout en fronçant ses sourcils recouvert de sang, il posa sa tête dans sa main, manquant de la rater et de se cogner contre la table froide du commissariat. « Monsieur vous avez frappé gravement un agent de police, alors vous feriez mieux de répondre à mes questions, maintenant. » dit-elle en frappant de toutes ses forces sur la table qui les séparait. Edwin lâcha un râle de mécontentement et répondit d’une voix rauque. « Vous avez mes papiers devant vous, évidemment que c’est moi Edwin Grey. » Aussi étonnant que cela puisse paraitre, sa réponse ne sembla pas plaire à la femme qui lui lança un regard glacial. Amusé, et surtout complètement alcoolisé, le jeune homme se mit à rire, laissant tomber sa tête le long de son bras. Il devenait bien trop difficile de se tenir, sa mère ne serait pas fière de lui si elle le voyait en ce moment. « Vos parents sont arrivés jeune homme, ils veulent vous voir. » Et merde. Tout en restant semi-allongé, Edwin pesta. Il en avait presque oublié son âge, encore mineur malheureusement. Plus pour très longtemps bien heureusement, plus que quelques jours et enfin il serait libre. Libre de cette autorité qu’il ne supportait plus. « Quand arrêtera-tu de me causer des problèmes ? » cria une voix qu’il ne connaissait que trop bien. Dans un sourire insolent, il se redressa et salua d’un signe de main son père, ainsi que sa mère, visiblement bouleversée de découvrir son visage ensanglanté par la bagarre qui avait eut lieu quelques temps plutôt. « Qu’est ce qui t’as pris d’agresser un policier ? Dis-le si tu veux me pourrir la vie, parce que c’est réussi. » Edwin rigola, jetant des coups d’œil au regard attristé de sa mère. « Je faisais que me chamailler avec un autre gars, c’est pas de ma faute si le policier s’est incrusté. Fallait pas se mêler des affaires des autres… » D’une mollesse incroyable, il manqua de nouveau de s’écrouler sur sa chaise mais la rage dont faisait preuve son père à son égard était bien trop virulente pour lui permettre s’endormir. « Tu me fais honte. Je ne sais pas ce que j’ai fais pour mériter un fils comme toi. Je vais être très clair avec toi, tu vas réussir ta scolarité à Oxford comme je l’ai prévu depuis ta satané naissance et si tu oses m’énerver, je te déshériterai ! Tu m’entends ? » Les paroles de son père lui attérirent à la figure comme un coup violent. Malgré toute l’intelligence dont il faisait preuve, Edwin n’était rien sans l’argent de la famille. Beaucoup trop laxiste, sans la moindre envie de travailler pour devenir quelqu’un, il avait besoin de cela. Etait-ce donc ce qui lui était destiné ? Obéir sans ouvrir la bouche et accepter ces conditions en échange d’une vie déjà tracée ? S’il le fallait.
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Sur l’ordre de madame Grey, le chauffeur se mit à la tâche, amenant chaque valise dans le coffre de sa Mercédès noire. Assis dans la cuisine, un café entre les mains, Edwin se contentait d’attendre, attendre que son destin ne s’accomplisse sans le moindre désir de se donner. Les yeux petits par la fatigue de sa nuit de fête, il observa silencieusement sa mère se diriger vers lui. « Prêt pour ta rentrée à Oxford mon chéri ? » Dans un râle exaspéré, le jeune homme leva les yeux au ciel. « Je t’ai déjà dit d’arrêter de m’appeler comme ça, j’ai plus dix ans. C’est insupportable. » Visiblement habituée au mauvais caractère de son fils à ses remarques peu sympathiques, sa mère sourit et s’installa à ses côtés tout en lui prenant la main. « J’ai parlé avec ton père, il sera plus tolérant avec toi si tu te comportes bien et que tu nous apportes de bons résultats. J’ai confiance en toi. » Un rire sarcastique s’échappa de la bouche du futur étudiant. « Qu’il ne s’inquiète pas. De toute façon mes déboires à Oxford ne risque pas d’arriver jusqu’à ses oreilles. » Comme il l’avait prévu, sa mère soupira face à ses propos, resserrant l’emprise de sa main sur celle d’Edwin. Gérer les querelles entre son fils et son mari n’était en rien difficile, mais en tant que mère aimante, elle se devait d’aider son fils malgré tout. « Si tu as un problème appelle-moi, je t’aiderais sans que ton père ne sache rien, d’accord ? » Dans un hochement de tête attendri, Edwin se leva et déposa un léger baiser sur le front de sa mère qui représentait désormais la seule femme de sa vie. Il était maintenant temps de partir et découvrir le luxe de l’indépendance, loin de l’autorité de son père. Les études n’étaient qu’un détail à ses yeux après tout, un jeu d’enfant.
Dernière édition par Edwin L. Grey le Dim 7 Déc - 18:02, édité 2 fois |
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| Sujet: Re: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 14:43 | |
| Oh le sublime Aaaron Johnson, très beau choix et très beau pseudo en passant bienvenue ici ! |
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The Founder ADMIN — les maitres du royaume
☆ date d'arrivée : 06/12/2014 ☆ potins balancés : 472
| Sujet: Re: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 17:12 | |
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| Sujet: Re: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 17:19 | |
| C'est pas de ma faute, j'ai le cerveau embrumé par mes révisions de civilisation britannique :23: Je peux me faire pardonner ? :27: |
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| Sujet: Re: (edwin) these violent delights have violent ends. Dim 7 Déc - 19:00 | |
| Félicitations, tu es validé !jusqu'à l'excèsAlors ton histoire mais omg, je retrouve Thomas un peu Alors je te valide Ton avatar est dans le bottin et tu intègres, à partir de maintenant, les Oxford's students. Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Si tu as des questions n'hésite pas |
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