(inachevé) Au détour d'un quartier (Sarah)

Depuis mon départ d'Italie, pour retourné à Oxford, ma vie a bien changé. J'ai quitté cette vie de débauche pour en construire une autre, une où je pourrais protéger celle que j'aime de ma famille paternelle, cette putain de famille de mafieux. J'ai rapidement retrouver de vieilles personnes que je connaissais lorsque nous étions enfants comme ma meilleure amie Daisy. J'ai pu aussi rencontré de nouvelle personne toute aussi différente l'une que l'autre. J'ai aussi eu le droit de racheté une nouvelle voiture. En effet, je suis un homme pensif et qui a tendance à rouler un peu trop vite, alors lorsque je suis tombé sur cette jeune femme qui sait absolument pas roulé, l'accident fut inévitable. Si sa voiture n'avait rien la mienne elle se trouvait complètement embouti. Le parechoc ressemblait plus qu'à un tas de masse. La conversation à ce sujet entre nous deux et vite monté dans les tons mais contre toute attente, c'est une amitié qui y est née.
Alors lorsque j'ai reçu un coup de téléphone de Sarah en me donnant un rendez-vous à un endroit précis de l'est d'oxford. Je me suis rendu sans réellement me posé de question. Je redécouvre les lieux en me disant que cela fait un moment que je ne me suis pas rendu au cinéma. Il faut dire que j'en trouve pas réellement le temps d'autant plus que je dois me trouvé une chambre ou un appartement pour pouvoir quitté enfin cette chambre d'hôtel. J'arrive pile poil à l'heure devant le lieu donné, et je réalise qu'autour de moi se trouve des maisons, des appartements. Je me demande pourquoi elle ma donné rendez vous-ici. Alors que Sarah est en retard, je me demande si elle m'a pas plutôt proposé de venir la cherché ou alors si elle veux que l'on passe un moment dans son appartement. Je réfléchi et je me dis que la première possibilité est la plus plausible.
Puis au détour d'une rue, je vois une silhouette avec une chevelure blonde. Je décide de descendre de la voiture afin d'aller saluer mon amie mais surtout pour lui demander ce que l'on fait ici.
" Coucou ma belle, comment tu vas ? "

J'attendais patiemment que la jeune femme fasse son arrivée et je n'eu pas à attendre longtemps. Je ne savais pas encore ce que je faisais ici, dans cette endroit de la ville entourée de maison et d'appartement mais je savais que rapidement j'aurais la solution à ce problème. Sarah était comme toujours ravissante, son petit jeans mettait en valeur ses petites fesses que je croquerais bien s'il n'y avait pas dans mon esprit Juliett, puis ce pull où l'on pouvait deviner ses attributs féminin. C'est étrange mais bien qu'elle soit magnifique et des plus sexy, elle ne me donnais pas envie de faire d'elle ma future proie. Au contraire, je la voulais en tant qu'amie et rien d'autre, j'avais pour elle un profond respect sauf pour sa conduite.
Lorsqu'elle fut à ma hauteur, on se fit la bise, elle me demanda comment j'allais. C'est avec un sourire que je répondis : " Ma voiture n'a pas été embouti aujourd'hui, donc ça va." J'aimais plaisanter, j'adorais l'enquiquiner et elle le savait. D'ailleurs, je savais qu'elle y répondrais sans attendre. Puis elle me fit savoir que je devais laisser ma voiture ici, qu'elle a quelque chose à me montrer. Je verrouilla donc ma voiture de loin avec mes clefs et fit savoir à la belle blonde que j'étais tout à elle. " Je te suis. " Elle m'amena jusqu'à dans son appartement et lorsque je mis un premier pied, je vis un appartement soigneux et plutôt bien décoré, bien que l'on pouvait voir qu'il s'agissait bien de l'appartement d'une femme. Soudainement, Sarah me fit une proposition, je pensa rêver mais lorsque je repris mes esprits, je compris que non. Elle venait de me demander d'emménager avec elle. Cohabiter avec une femme, il allait falloir que je pèse le pour et le contre. En réalité, un seul argument suffisait à accepté, le fait que je sois encore à l'hôtel. " Euh ... Bah ... Je sais pas, tu te promènes en petite culotte ? " J'explosa de rire en voyant sa tête et ajouta : " Je rigole, je rigole, ne me tue pas. Il y a une chambre pour moi au moins ? " Je réalisa que ma question se trouvait tout à fait idiote, pourquoi elle me l'aurait proposer, s'il n'y a la place que pour une seule personne.
Sarah ferma la porte d'entrée derrière nous et me posa une question déconcertante. Est ce que je suis un sérial killer ? Sur le coup, cela me rappela mon paternelle et l'acte horrible qu'il avait fait en tuant la meilleure amie de celle que j'aime. Non, c'est certain, jamais je ne pourrais tuer, je n'étais pas lui. " Dis donc ma belle, tu poses la question un peu tard maintenant que je suis dans ton appartement ... Non, je ne tue pas ou alors oui mais accidentellement des lapins sur la route ... Une fois ... Ou deux ..."

Ma première rencontre avec la ravissante Sarah c'était fait de manière un peu chaotique. L'ancienne voiture que j'avais en arrivant à Oxford ne pouvait que s'en souvenir et pour cause elle se trouvais aujourd'hui à la case avec des voitures qui comme celle-ci n'avait pas demander à croiser le chemin d'une pauvre femme. A chaque fois que je voyais Sarah, je ne pouvais m'empêcher de lui rappeler ce moment où il avait découvert qu'elle est un danger ambulant. Je suivi la belle brune et ses jolies fesses jusqu'à entrée dans un appartement somptueux. Contre toute attente, elle me fit une proposition que je pris d'abord pour une plaisanterie en lui demandant si elle se promenait en petite culotte. Je m'étais vite rattraper en lui faisant savoir que c'est une blague mais en lui demandant plutôt s'il y a une chambre pour moi. Je ne me voyais pas dormir sur le canapé et bien que l'option dormir avec Sarah est intéressante, c'était tout simplement une mauvaise idée pour récupérer la femme que j'aime mais aussi pour rester au plan initial, que Sarah ne soit qu'une amie. Elle me répondit d'abord elle aussi une plaisanterie en me disant que je pourrais dormir dans la baignoire puis très rapidement elle me fit savoir qu'en effet l'appartement disposé d'une seconde chambre. " La baignoire pourrait bien me plaire après tout ils en font désormais des très confortable. Mais je pense pas que tu en es une aussi confortable qu'un lit. " Elle me demanda après avoir fait une telle proposition si je n'étais pas un tueur en série. Cela avait fait remonter en moi le souvenir de mon père, lui qui avait déjà tuer. Je ne pouvais pas m'imaginer enlever la vie d'un être humain, je n'étais pas capable d'un tel acte. Alors je répondis que je ne tuais pas ou alors quelques lapins sur la route accidentellement. Cette phrase avait du la rassurée puisqu'elle en plaisanta en me disant que la seule solution pour que cela passe entre nous c'était que je me repentisse. " Et toi tu t'es repentis pour ma belle voiture ? " Étant un homme qui prend la vie simplement comme elle vient, je me mis à genoux, mis mes deux mains devant moi comme pour prier et finis par dire : " Pour ces lapins, veuillez me pardonner, je ne recommencerais plus. " Puis je me releva naturellement. " Tu penses que l'on me pardonnera ? " On en revenu au sujet principal, la colocation. Elle me fit savoir que son ancien colocataire avait dû partir et que du même coup l'appartement lui revenait désormais trop cher. " En terme de prix, on serait à combien ? " Bien que je savais que cela me reviendrais toujours moins cher que ma chambre d'hôtel, je devais tout de même me poser la question avant d'accepter. Lorsque Sarah me demanda ce que je voulais, je lui fis savoir que je désirais un coca.