 |  Sujet: Dear Daddy ~ Lana Nadzieja ~ Sam 19 Déc - 23:01 | |
| Lana Nadzieja
Mama, Papa Forgive Me, Out of sight, out of mind, Out of time to decide, Do we run ? Should I hide. For the rest of my life 
identification complète Je me nomme Lana Nadzieja, un prénom russe et à la fois polonais. Lana signifie " l'éclat du soleil " et Nadzieja, signifie " l'espoir ". âge Je suis âgée de 25 ans, et oui, je ne les fais pas. lieu/date de naissanceMa naissance se fit un certain 21 Décembre 1990, à Londres, en Angleterre. études suivies et année Et bien j'étudie la philosophie et quelque peu la politique aussi. jobJe ne travaille pas, bien trop riche pour cela. orientation sexuelleMon orientation sexuelle est hétérosexuelle, j'aime les hommes. statut Et bien, je suis tellement compliquée que je n'ai pas trouvé l'homme parfait alors je suis célibatairestatut social ££££ caractèreJe suis manipulatrice, séductrice, et orgueilleuse. Je suis une personne ambitieuse, curieuse, intelligente. Je suis une égoïste aussi. groupe Pour l'instant, je fais partie des Oxfords Student mais j'inspire à être une Posh comme mon amie Alice. avatar Cette femme me ressemble beaucoup mais je suis plus sexy que cela, je parle bien évidemment d'Amanda Seyfried.
Welcome to the jungle
Je suis beaucoup de choses et rien à la fois. Je suis une personne complexe. De mon apparence, je suis une grande salope, je suis une manipulatrice. Je manipule le monde qui m'entoure, je les entraîne dans les pires choses pour arriver à mes fins. Je suis une personne qui envie le pouvoir, qui en est attirée par celui-là. Je suis prête à tout pour arriver à mes fins quitte à faire du mal aux autres. Je ne pense qu'à moi, je n'aime pas donner aux autres. On m'a rien donné à moi. On m'a offert mille et un présents mais ils n'étaient pas précieux. Je suis une prétentieuse, j'aime prétendre à avoir de jolis choses afin de masquer l'absence de quelque chose qui m'a vraiment fait changé. J'ai beaucoup d'ambition, ma plus grande était de ressembler à Alice et plus tard devenir politicienne ou avocate. Je ne suis pas une bonne personne, je suis peut-être même une horrible jeune femme. Je joue de mes charmes, je joue de mes atouts. Je suis une personne qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, pas facilement. J'ai un sacré caractère et une sacrée culture. Je suis aussi curieuse, j'aime fouiner et connaître la vie des gens afin de connaître leurs faiblesses et en jouer pour les maintenir en une menace permanente. Oui, de mon apparence, je suis une femme hautaine, une garce manipulatrice. Il faut bien se faire respecter dans la vie. Surtout lorsqu'on était fortuné comme moi et mon père.
Bien sûr, je suis une femme stratège. La stratégie est de faire diversion en crachant sur les autres tout en cachant mes propres secrets. J'ai beau être une personne qui aime se montrer et rester discrète, tout en dominant certains élèves. Il y a quelque temps, lorsque j'avais 17 ans , suite à une crise, je fus diagnostiquée de bi-polaire. Une honte pour ma part ! Une honte qui a encore changé le regard de mon père sur moi. Je pense que je l'ai déçu. Depuis pour moi, c'est une déception, c'est une honte que je dois cacher.
The story of my life
Mon cher père,
Une lettre que je n'oserais t'envoyer, une lettre qui restera dans mon bureau, ou finira par brûler avec la lueur du briquet. Personne ne doit savoir, mon vrai visage. Celle qui se cache derrière ce masque hautain. Ce masque froid qui m'irrite le visage parfois, mais je m'y oblige. Je me force à cela. J'en prends le goût d'être cette garce. Je me sens puissante, dans le regard des autres. Je me sens grande. Je me sens moins moi alors cela me plaît forcément. Mais en cette soirée, un énième coup de blues, je n'ai pas pris mes pilules magiques qui m'aident à voir clair. Ces pilules qui te font marmonner lorsque je les prends devant toi. Heureusement, ce n'est pas souvent. En cette soirée, je me rappelle tout le mal qu'on m'a fait, enfant. Je me souviens petite, je me souviens de tes cadeaux, des belles robes que tu m'offrais. Des bijoux. Quoi de plus normal, lorsqu'on était né dans une famille riche. Je suis née le 21 Décembre, d'un père ambassadeur et russe et d'une mère inconnue. Une mère qui n'avait pas été là pour me voir, pour me sourire et me serrer dans ses bras, pour me choyer, pour m'entendre dire mon premier mot, mon premier rire et me voir gambader, faire mes premiers pas. Elle était partie, me reniant. Elle m'a abandonné. Je n'avais pas eu ce modèle féminin essentiel. Je n'avais pas eu cette présence féminine à mes côtés. Je venais à peine de naître que je venais de subir la pire injustice de l'enfance. L'abandon. Tu avais eu la chance de connaître ta mère, moi, je n'ai pas eu cette chance. Cette absence pèse lourd sur mon esprit. Tu le savais ? Non, bien sûr que non. Cette absence m'avait pesé beaucoup surtout lors de mon enfance, où je voyais des filles appeler leur mère. Appeler tendrement une femme qui les ressemblait. Même là, j'ai 25 ans. Mais le regret de ne pas avoir connu ma mère me pèse encore. Me ressemble-t-elle ? Pourquoi m'a-t-elle abandonné ? Tu n'as jamais répondu à mes questions sur elle. Tu as encouragé ce sentiment qui me rendait inférieur à ces gamines pauvres. Ce sentiment d'abandon et de ne pas mériter d'une mère convenable. Elle nous avait laissé seule. Moi, toute bébé, faible et frêle n'attendait que de l'amour et de la tendresse, que malgré cet abandon, quelqu'un serait là pour moi. J'avais dû mettre tous mes espoirs sur toi mais tu n'as jamais répondu à cela. Toute petite, je ne te voyais jamais. Tu avais beau m'offrir des cadeaux, tout ce qui pourrait me plaire sauf du temps. Tu ne m'as jamais consacré du temps. Tu n'as jamais pris la peine de venir me voir à l'école, de se balader avec moi. Non, trop occupé.
" Laisse moi Lana, je suis occupé, tu le vois bien ". Cette phrase est sans doute celle que j'ai le plus entendu. J'étais seule. Tu avais beau m'entourer de nourrice, j'étais seule. Je ne les aimais pas, ces femmes. Moi, je voulais une maman et un papa qui s'occupaient de moi. Tu as été absent. Comme ma mère, tu as été absent tout le long de ma vie. Tu avais une vie chargée mais n'étais-je pas assez précieuse pour toi, pour que tu t'arrêtes juste 10 minutes dans ton travail ? Apparemment non. Notre relation aurait dû être complice, aurait dû être belle à voir mais tu l'avais rendu en des promesses brisées et de la solitude. Tu n'étais jamais là pour moi, tu n'avais jamais pris la peine de savoir si j'allais bien et si je ne m'ennuyais pas. J'aurais dû être ton soleil, ta perle précieuse mais au final, j'étais invisible. Tu m'offrais des cadeaux pour que je me sente pas mal mais tu me rendais ainsi. Les premiers symptômes de ma maladie apparurent mais on n'en savait rien. J'étais souvent mise à l'écart, habituée à l'être après tout. J'allais souvent chez Alice Kensigton. Une petite fille qui avait une mère, qui s'occupait d'elle. Tout de suite, je l'ai pris pour modèle. Pourquoi ? Ne me demandes pas ! Elle était parfaite et surtout, son père s'occupait d'elle et elle avait une mère ! De mes yeux d'enfants, la copier était le meilleur moyen d'avoir ce que je n'avais pas. Alice avait tout , une belle maman tendre avec elle. Une maman que je n'avais pas. Un papa qui s'occupait parfois d'elle et qui était plus présent que toi, malgré ses affaires qui prenaient presque tout son temps. Alors je la suivais, j'étais comme son ombre, je mimais chacun de ses gestes. Mais sa mère fut morte et Alice se retrouvait affectée ainsi que moi. J'avais perdu la seule femme qui était proche de moi et qui m'avait donné ce sourire encourageant et éclatant qui me manquait. Ne me parle de ses nourrices. Les nourrices étaient payées par toi et bien trop strictes pour être une mère. Elles avaient refusé mes marques de tendresses, mes bras tendus pour des câlins. Une enfance sans câlin, avec une mère qui m'avait renié et un père absent. Voilà.
Alice avait changé, elle était devenue une méchante fille depuis la mort de sa mère. Dans ses prunelles, j'avais vu la même douleur à cause de cette souffrance , de cette absence. De moins en moins, j'avais eu de sourire de sa part, mais je la suivais car elle était mon modèle. Elle avait encore son père qui s'occupait parfois d'elle. Puis, un autre symptôme apparut de ma maladie. L'éloignement d'Alice m'avait fait beaucoup de mal, cela me pesait énormément. J'étais de nouveau seule. Je venais que pour ses anniversaires, que pour ses fêtes. Mais elle avait changé, ce n'était pas par plaisir qu'elle m'invitait comme autrefois mais par stratégie. Tu étais un gros client de son père. Comme tous les autres filles, elles ne traînaient avec moi que par intérêt. Avec ma mère, tu as ruiné ma vie. J'avais beau avoir tout ce que je veux en artifice, je n'avais rien question d'attachement, je n'avais pas eu du temps. A part quelque repas, quelque Noël passé ensemble où les histoires de famille prenaient le relais. J'étais invisible, j'avais cette impression de tomber dans un gouffre sans fond face à tes rejets, à tes promesses brisées. Au final, j'avais perdu l'espoir d'avoir un jour, une journée que tu consacres à moi et uniquement à moi. Jamais. Alors je grandis, j'étudie dur, j'étais une excellente élève mais j'étais seule avec mes nourrices. La solitude, j'avais haï cela mais ça, tu t'en fichais. Je grandissais seule et malade sans le savoir. Tu étais fier de mes résultats mais tu t'arrêtais à eux. Jamais, tu regardais mon état physique, ou si tout allait bien à l'école. Tu demandais à mes nourrices et tu partais. Je t'en veux papa, tu aurais pu me donner tout ce que je voulais mais tu ne l'as pas fait. Qu'importe mes belles robes, mes coiffures, mes bijoux, je n'avais pas ce qu'un enfant normal avait. De l'amour, de la tendresse et de la compagnie ! Les nourrices étaient bien trop strictes pour me faire rire et de plus en plus, je m'enfermais sur moi même. Le quatrième symptôme venait d'apparaître mais tout le monde l'ignorait parce que personne ne se souciait de ce que je pouvais ressentir.
Mais la maladie se fit voir, un jour d'un Août très chaleureux. Lors de mes 17 ans, tous mes ressentis étaient sortis, des sentiments que je gardais depuis ma prime enfance. Dans un état de nerf, je t'avais interrompu et fais preuve de violence envers des hommes d'affaires avant de repartir et m'enfermer dans la salle de bain. Mes souvenirs étaient flous mais je me souvenais de ma lassitude, de cette solitude et le fait que je voulais vraiment mourir en ce jour. Dans cette optique, j'avais du prendre énormément de médicament pour partir, pour revenir. Une TS. Je me souvenais de cette amertume qu'était ma vie. Je me souvenais de mes remords, de mes regrets et des abandons. De cet amour dont j'ai manqué. Je voulais avoir un père qui me regardait avec de l'amour, riche ou pauvre. C'était tout ce que je voulais. J'avais fermé les yeux pour ne plus les ré-ouvrir. C'était un S.O.S que je t'avais envoyé. Un S.O.S pour que tu bouges, pour que t'ouvres les yeux sur la peine et le mal que tu me faisais. Mais je les avais ré-ouvert et sur toi, ton regard était dardé d'inquiétude. Enfin un regard. Tu m'avais offert un sourire comme rassuré. Enfin, il m'avait fallu 17 ans pour avoir ce sourire. Un sourire qui disparut bien vite. L'annonce de ma maladie mentale t'avait fait changé d'attitude. Ton regard s'était assombri instantanément. Un regard de déception. Je t'avais déçu. C'était ce que je voyais. Pour une fois, que tu t'occupais de moi, je t'avais déçu. Imagine ce que cela pouvait me faire, à moi. Je savais que je n'avais pas choisi d'être malade mais j'avais prié pour ne jamais voir ce genre de regard venant de toi. La fierté que tu avais à m'avoir était la seule chose que j'avais de toi. Mais je l'avais perdu et dans ma tête, encore en état de choc de ce que je venais de faire. Je te demandais pardon ainsi qu'à ma mère. Car ce regard, cette enfance. Pour moi, c'était ma faute.
" On arrangera ça, on gardera ça secret Lana" t'avais déclaré pensivement.
Lorsque je sortis, médicamentée à vie, malade à vie. Plus seule que jamais. Je repris tant bien que mal ma vie. Parfois, tu venais déjeuner avec moi. Tu grimaçais face à mes médicaments et j'ai eu honte d'être malade, honte de t'avoir déçu. Je continuais mes études, j'étais encore une fois une excellente élève. Une excellente élève qui ne te rendait plus aussi fière maintenant qu'on me dit malade. Je me crevais dans les études, faisant preuve de débauche lors des fêtes. Je gardais ma petite honte et mon secret. Puis l'heure était venue pour moi, de quitter la maison, cette maison qui était mon repère de solitude pendant toute ma vie. Je la quittais pour la fac. Là-bas, Alice me reprit sur mon aile, enfin, un visage de nouveau connu. On s'était perdu de vue depuis ma T.S. Je m'étais lancée dans la philosophie et la politique afin d'être politicienne ou avocate. Avec Alice, tout est redevenu plus joyeux, nous partageons presque les mêmes peines. L'absence d'une mère qui pesait sur nos épaules. Je la suivais et elle me changea, elle rentra sous ma peau et enfin à ses côtés, je n'avais plus honte, j'étais de nouveau fière , confiante et hautaine. Comme tu avais toujours voulu. Tout est de ta faute, tu es la personne qui m'avait fait le plus de mal. Alors que tu aurais du être la personne qui me fait oublier l'abandon d'une mère. Tu as ruiné ma vie, et Alice, à l'université m'avait donné ce que tu n'as jamais voulu me donner. Elle était mon modèle, le seul que je voulais avoir.
Cette lettre partira dans la fumée mais en cette soirée, cela m'avait fait du mal, mais en même temps du bien. Je vais prendre mes médicaments et remettre mon masque afin de devenir celle dont tu étais fière.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Oxford, c'est un lieu que j'adore, cela représente mes études, mes heures de débauches et surtout , je me sens entourée et aimée dans cette école. Elle est ma deuxième maison.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ?J'aime les deux moi, l'alcool c'est trop bon mais je dirais la tequila, car c'est plus chaud.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Qui a dit ça ? Que je le défonce ? Que je le tape ? Mais c'est trop bon le sexe, je le conseillerais aux bonnes soeurs.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? J'ai cassé la voiture de mon père et j'ai accusé le chien.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Ils peuvent toujours essayer, je les aide à trouver des infos même !
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Je joue bien ma prude mais je ne le suis pas.
pseudo/prénom Luna âge 18 ans lieu d'habitationPrès de Disney où as-tu connu le forum Triple compte t'en penses quoi? Mais il est bien Scénario ou Inventé? Scénario Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Je pense réussir toute seule un dernier mot? D'Oh !
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Dernière édition par Lana Nadzieja le Dim 20 Déc - 2:14, édité 3 fois |
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) 
Son père 
C'est génial 
