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| Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 18:47 | |
| Ash Montgomery Qui se ressemble, s'assemble. Je finirai ma vie avec mon miroir.
identification complète Officieusement et couramment, Ash Montgomery. Officiellement, Liberty. Juste Liberty, pas de nom de famille. Mais ça, personne ne le sait. âge 25 ans. lieu/date de naissance le 4 juillet 1991 à Seattle. études suivies et année Septième année en informatique. job Vendeuse au Games Workshop et officieusement, elle peut hacker n'importe quoi, pour n'importe. L'ordinateur d'un patron trop exigeant ou celui d'un collègue que l'on veut éliminer. Il suffit de la trouver et de lui demander. Elle peut aussi espionner, enquêter, grâce à son génie de l'informatique. orientation sexuelle Hétérosexuelle mais elle est prête à tout pour arriver à ses fins. statut Célibataire, libre comme le vent. statut social ££££ (mettez en gras. 1£ pour les revenus faible, 2 pour les revenus moyens, 3 pour les aisés et 4 pour les riches). caractère Manipulatrice - Joueuse - Mauvaise - Insolente - Intelligente - Douée en informatique - Accro au jeux vidéos - Fière - Hautaine - Hypocrite - Impatiente - Impulsive - Indépendante - Insensible - Mystérieuse - Narcissique - Rebelle. groupe Oxford's Students avatar Margot Robbias
Welcome to the jungle Ash est née aux Etats-Unis, à Seattle. Mais ses parents l'ont abandonné et elle a passé son enfance et adolescence à l'orphelinat Elle n'a donc plus aucune famille mais rêve secrètement de retrouver ses parents C'était un vrai garçon manqué, elle était toujours avec les garçons et avait horreur des poupées, dînettes et autres C'est d'ailleurs dès sa plus tendre enfance qu'elle a commencé à jouer aux jeux vidéos. Et il était rare qu'elle perde Elle s'est enfuit de l'orphelinat l'année de ses 16 ans. Elle a été recueilli par un chef de gang qui a vu du potentiel en elle. Elle s'est rapidement fait une place au sein de ce fameux gang qui semait la terreur à Seattle Au fil du temps, elle s'est découverte une passion pour l'informatique, c'était comme un don. Maintenant, elle peut pirater tout et n'importe quoi sans aucun mal Le rituel au sein du gang était de faire une croix sur son passé de n'importe quelle manière qu'il soit. Elle a décidé d'aller tuer la directrice de l'orphelinat. Elle fut son premier meurtre mais ne fut jamais retrouvée Elle a su comment palcer son argent et encore aujourd'hui, il lui rapporte énormément Elle est accro aux cigarettes et au café, elle ne peut pas s'en passer Elle touche aussi à la drogue mais n'en est pas dépendante comme la caféine Elle a aussi un don pour le dessin et s'amuse parfois à redessiner les planches de BD que l'on peut trouver au Games Workshop Elle a fuit son pays natal pour Oxford il y a maintenant quatre ans. Quatre ans qu'elle se cache afin de ne pas être retrouvée. Elle a changé d’identité, s'est crée un passé auprès des autres et s'est construite une autre réputation Elle est indépendante de se fait, elle s'est vite trouvée un job, un appartement et une voiture. Elle habite dans un grand duplex au nord d'Oxford et roule en Range Rover, excusez du peu Elle est riche à en crever et ne sait même plus quoi faire de tout cet argent qu'elle a amassé dans de nombreux braquages Elle a plusieurs tatouages sur le corps. Le symbole de son gang, un as de trèfle, sur l'omoplate gauche, une manchette rappelant le costume d'Arlequin sur le poignet droit et une jarretière sur la cuisse. Elle compte en refaire un prochainement Elle excelle dans différents sports de combat Elle a été obligée de se teindre les cheveux en blond à son arrivée en Angleterre afin de vraiment passer inaperçue. Naturellement, elle est brune Une fois arrivée à Oxford, elle s'est faite une place très vite et a su rentrer directement en quatrième année d'informatique en prouvant son talent auprès du doyen.
The story of my life
Seattle – 4 juillet 1991
Dehors, c’était l’anarchie. Des pétards et feux d’artifices éclataient aux quatre coins de la ville, dégageant un épais nuage de fumée grisâtre. La fête nationale, la fête de l’indépendance, seule jour de l’année où mettre la ville sens dessus-dessous est autorisé et même fortement recommandé. Tout le monde souriait, piqueniquait sur l’herbe sous des millions de couleurs et d’étoiles. La joie était présente partout, à chaque coin de rue, dans chaque parc, chaque bar, chaque foyer. Et pourtant, dans une minuscule chambre de l’hôpital de Seattle, une conversation devint des plus houleuses. Des cris, des pleurs, des insultes résonnaient dans tout le couloir, couvrant presque le bruit de la foule qui fêtait l’indépendance dans les rues. Une jeune fille était en train de se battre avec une sage-femme. Cette dernière tenait un petit être tout rose et tout potelé les bras, qui ne pleurait pas, ne bronchait pas. La sage-femme voulait la montrer à sa mère, elle voulait montrer cette magnifique petite fille à sa mère. Mais celle-ci refusait, elle voulait abandonner l’enfant. Pas d’argent, pas de temps, pas d’amour à donner. L’argent servant pour la drogue, le temps pour la drogue et l’amour pour la drogue. L’infirmière, ne connaissant pas la vie que menait la jeune femme qui était arrivée à l’hôpital ce matin, ne se laissait pas faire et insistait pour que la mère voie son enfant, au moins une fois. Impossible. La jeune fille avait déjà signé les papiers et repartait, quittant l’hôpital et son enfant. Ne prenant même pas le temps de se remettre, voulant prendre sa dose quotidienne. Bien triste sort que d’être née sous X. Avec un peu de chance, elle sera vite adoptée. Cependant, il faut croire que cette petite fille n’était pas née sous une bonne étoile. La sage-femme la berçait tendrement, la regardait avec tristesse. Pauvre petite chose. Elle s’empara de son stylo et décida d’écrire un prénom sur le bracelet du bébé. Juste un prénom afin d’éviter le ‘X’ bien trop affreux. Elle réfléchit longuement et de son fauteuil, elle voyait des millions de couleurs. Encore un feu d’artifices qui éclatait. Le prénom lui vint alors comme une évidence. Liberty.
Dans un orphelinat à Seattle – Décembre 2001
« Rends-moi ma voiture espèce de voleur ! »
J’étais énervée à un point inimaginable. Ce Craig m’avait volé ma petite voiture, la bleue, ma préférée. Pour quelle raison ? Parce qu’il avait décidé que les filles ne doivent pas jouer à la voiture. Je lui courrais après afin de récupérer mon jouet mais il courrait plus vite que moi. Normal quand on a treize ans. Les filles nous regardaient, étonnées elle aussi que je fasse un scandale pour une voiture. Mais je n’aimais pas les Barbie et autres poupées affreusement laides. J’aimais les voitures, les jeux vidéo et les petites caisses à outils. Mes cheveux bruns étaient courts comme ceux d’un garçon. Mes vêtements étaient ceux des garçons de l’orphelinat. Je détestais les robes et jupes à frou-frou. On me qualifiait de ‘garçon manqué ‘. Mais je n’étais que moi.
« Alors Liberty, on abandonne sa pauvre petite voiture ? »
C’était le coup de trop. J’accélérais une dernière fois et alors qu’il ne s’y attendait pas, je lui sautai dessus et le plaquai au sol. Je le griffais et tirer ses cheveux, plus longs que les miens, tandis qu’il se débattait en hurlant. Il finit par capituler et jeta ma voiture qui par chance, ne se cassa pas. Je me relevai et la mis dans la poche de ma salopette. L’autre était toujours à terre en train de se morfondre. Bien fait. Sauf que je devais m’attendre aux représailles. Une porte claqua puis des pas pressés et violent se firent entendre. La directrice. Cette femme en surpoids évident, ce tyran, cette mégère. D’un coup, la salle de jeux devint silencieuse. Plus aucun bruit. La porte s’ouvrit et claqua aussitôt. Elle se tenait devant nous, nous surplombant de toute sa hauteur. Je croyais, en la voyant, que son tailleur et son chemisier allaient craquer, envoyant des boutons dans toutes la pièce. Ils baissèrent tous la tête, Craig se releva mais garda sa tête baissée. Sauf que moi, je la regardais. Je ne baissais pas la tête devant cette bonne femme. C’est peut-être bien pour ça qu’elle ne m’apprécie pas.
« Liberty, encore toi espèce de gamine insolente ! Regarde-moi ce pauvre Craig ! Il saigne en plus de ça ! Dans mon bureau ! Maintenant ! »
Je suivis son ordre. Mais je ne baissais pas la tête pour autant. Ne jamais baisser la tête. Je la suivis donc dans son bureau. Enfermées dans la pièce, elle me fit me pencher sur sa commode et me donna plusieurs coups de règles. Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était toujours pareil. Vingt coups de règle en bois. Mais je ne pleurais pas. Je ne plaignais pas. J’encaissais et ressortais la tête haute. Surtout ne pas baisser les yeux.
Seattle – Juin 2007
Je me précipitais. Il ne fallait pas que la vieille ne me voit. Dans un sac à dos, je fourrais toutes mes affaires. Enfin le peu que j’avais du moins. Salopettes, jean troués, sweat à capuche, Converses enfin bref. Je voulais me casser de là. Les trois petites qui partageaient ma chambre me regardaient, l’air triste. Je me penchai alors vers elle et leur dis :
« Ecoutez mes amours… Je dois partir. Je ne veux pas finir ma vie ici, je veux voir le monde. Je compte sur vous pour me couvrir d’accord ? Vous êtes les trois mousquetaires ! »
Elles me sourirent et partirent afin de mettre notre plan en action. Elles devaient distraire la directrice, qui les aimait plus que tout, ce qui était étonnant, pendant que je m’enfuirais par une fenêtre du premier étage. La dernière pièce de mon sac : mon vieil ordinateur que j’avais reçu à Noël l’année précédente. Je l’avais boosté avec des pièces que j’avais récupérées de différents appareils. J’adorais la technologie. J’adorais les jeux vidéo. Et j’adorais tellement ça que j’avais réussi à piraté l’ordinateur de la directrice afin de lui faire une blague. Elle a su que c’était moi. Vingt coups de règle. Mais je m’en foutais complètement. J’entendis le signal de mes compères et je sortis de ma chambre.
La fugue fût prodigieuse. Magique. Tout s’est déroulé comme sur des roulettes, à la perfection. Une fois dehors, je couru dans les rues de Seattle sans un regard vers cet orphelinat où j’ai grandi. Orphelinat que je détestais de tout mon cœur et que je ne voulais plus revoir. Une nouvelle vie s’offrait à moi et j’étais prête à enfin saisir cette chance.
Seattle – Quelques jours après la fugue.
Quelques jours avaient passé depuis ma fugue. Je n’avais toujours pas d’argent et donc je volais dans les petites supérettes. Le schéma était toujours le même. Je me posais devant, sur un banc, je piratais les caméras de surveillance, je rentrais et je ressortais. Ni vue, ni connue. Enfin jusqu’à ce jour du moins. Tout commençait comme d’habitude. Je piratais les caméras, je rentrais, je prenais ce que je voulais. Sauf que je ne suis pas ressortis seule. Le gérant de la supérette ? Non, bien-sûr que non. Lui dormais à moitié derrière son comptoir. Mais un jeune homme était derrière moi et me suivait dans tous les rayons. Bordel. Je m’arrêtai devant des sandwichs et sa voix me fit sursauter.
« Alors Mademoiselle, on vole ? Même pas effrayée des caméras de surveillance juste au dessus de toi ? »
Je me retournai en une seconde, me mettant en position de défense. Ou d’attaque. Il me regardait amusé, levant les bras, prouvant qu’il ne me voulait pas de mal.
« Relaxe Princesse, je ne te veux rien. Mais je t’observe depuis plusieurs jours et tu ne te fais jamais attraper. Comment ? »
Il me surveillait ? Sérieusement ? J’haussai un sourcil, la tête haute et le dévisageais. Il était vraiment mignon. Il devait avoir vingt ans, ou un peu plus. Un look de zonard un peu. Jean noir, une paire de Rangers, un pull délavé à capuche et une veste en jean, noire, sans manche. Il portait aussi un bonnet bordeaux. Vraiment pas mal. Et en une seconde, je décidai de lui faire pleinement confiance. Mon instinct me disait de lui faire confiance.
« Les caméras ? Je les pirate. L’écran diffuse une image de la boutique vide. Et puis le vieux somnole alors bon. »
Je lui montrai mon super ordinateur et il me regarda avec un sourire en coin.
« Tu me plais bien toi. Et je suis sure que tu t’entendrais à merveille avec Bug. Allez suis moi, je vais te présenter à quelques amis. »
Quelques amis ? Un gang ? Ils tuaient des gens ? Mais j’en avais tellement marre d’être seule depuis des jours que je lui suivis sans me poser plus de question. Après tout, mon instinct me disait de le suivre. On sortit de la boutique sans problème et je remarquai que lui aussi avait les poches pleines, ce qui me poussa encore plus à le suivre. On marcha sans bruit pendant environ dix minutes. Il se tourna vers moi et me dit :
« Moi c’est Carter mais dans le milieu on m’appelle Le Faucon. Je peux savoir ton nom. »
Il avait un nom de code. Il faisait partie d’un gang.
« Liberty. C’est Liberty et oui c’est mon vrai prénom. »
Il rit doucement à l’entente de mon nom et je le frappai doucement sur l’épaule. Le courant passait plutôt bien. Mais plus on avançait, plus j’avais peur. J’avais beau être forte et tout le bordel, mais j’avais peur. Il tourna dans une petite ruelle et poussa une vieille porte en métal. Génial. Dans quoi m’étais-je embarqué moi encore.
L’hangar désaffecté était lumineux, éclairé par quelques guirlandes, des bougies et des lampes de chevet. Il n’y avait qu’une seule grande pièce mais quelques petites pièces avaient été créées grâce à des rideaux ou autres bouts de tissus. Cet endroit me plaisait déjà. Je m’étais stoppée et observais le lieu autour de moi quand la voix puissante de… de je-ne-savais-pas-son-nom me fit légèrement sursauter.
« Vous vous planquez ou quoi ? J’ai retrouvé la fille que Bug a repérée grâce aux caméras de la ville ! Venez accueillir notre invitée bande d’ingrats ! »
Il riait doucement et soudain, plusieurs personnes sortirent de l’ombre. Que des hommes. Enfin des jeunes hommes qui avaient tous environ la vingtaine. Ils avaient tous le sourire aux lèvres et se bousculaient gentiment en arrivant près de nous. Celui qui m’avait amené ici monta sur une vieille cagette et pris un ton officiel :
« Vous autres je vous présente Liberty. Liberty, voici les autres, membres du gang Black List, parce qu’on est tous sur liste noire. Je ne vais pas dire tous les prénoms, trop nombreux, t’iras les voir par toi-même. MAIS ! »
Son « mais » était plusieurs tons plus hauts que les autres. Il se redressa sur sa cagette afin de paraitre plus grand, bien qu’il nous dominait déjà tous par sa hauteur. Il reprit alors sa tirade :
« Il te faut un nom de code, bien que Liberty soit vraiment cool. Mais il te faut un surnom, princesse. »
Il m’énervait de m’appeler princesse. Je n’en étais pas une. Loin de là. Je le regardais de travers ce qui lui provoqua un rire moqueur mais gentil.
« Ok j’ai trouvé. Rackham. Je veux m’appeler Rackham. »
Ils me regardèrent tous, étonnés et ne comprenant pas très bien ma démarche. Devant leurs regards perplexes, je rajoutai l’explication qui m’était venue à l’esprit.
« Rackham. Parce qu'il était un pirate célèbre. Et puis vous savez déjà que je peux pirater pas mal de chose. Et puis j'aime bien ce nom, comme ça on ne soupçonne pas que je suis une femme. Rackham est parfait. »
Toujours à Seattle – Novembre 2012]
Enfermés dans notre pièce, notre bureau, Bug, le moi au masculin, et moi-même étions sur un gros coup. Un énorme coup. On était dessus depuis plus de quatre mois, on avait pris l’avion pour New-York, puis nous sommes revenus avant de repartir pour revenir. Nous ne faisions que ça depuis quatre mois. La raison ? Nous étions sur le point de pirater l’une des plus grosses banques de New-York alors que nous nous trouvions toujours à Seattle. Nous avions étudié les systèmes de cette banque, on les avait reproduits afin de simuler le braquage. Et nous étions sur le point de réussir, de faire la transaction. Cent millions de dollar. Voilà la somme que nous voulions voler. Dix millions chacun. C’était une somme énorme mais nous pouvions le faire, je croyais en nous. Les autres pendant ce temps faisaient diversion et essayaient de nous faire oublier pendant un temps. Le Black List s’était éteint, disaient les journaux à scandale. Et il n’avait pas tords. Nous avions décidé de nous séparer après ce gros coup, le bouquet final, l’apothéose. Se séparer pour mieux revenir, c’est ce qu’ils avaient dit. Mais moi je ne voulais pas revenir, j’avais déjà tout préparé. De nouveaux papiers et un billet d’avion direction Oxford, au Royaume-Unis. Je n’allais pas revenir. Mais ils ne le savaient pas.
« A toi de jouer Rackham. Je crois en toi. »
La voix de Bug, mon coéquipier me sortit de ma torpeur et derrière, du bruit se fit entendre. Ils étaient rentrés au hangar, attendant que nous aillions terminé. J’inspirais profondément sous le regard inquiet de Bug et tapais à toute vitesse une suite de chiffre et de lettres sur mon ordinateur, un nouveau bien mieux que mon vieux, bien plus puissant, bien que je l’ai boosté quand même. J’appuyai sur la touche ‘entrer’ et attendis. J’attendis que mon programme se mette en place doucement dans les systèmes de cette banque. Un son se fit retentir. Ça y été. J’étais dedans.
« Je suis dedans. »
Je n’arrivais pas à le croire. Tout avait fonctionné. Bug se relâcha et passa ses mains sur son visage. Putain putain putain. On allait voler cent million de dollar. Je me remis rapidement au travail, me rendant compte que le temps était compté. Quelques minutes et autres programmes plus tard, la transaction était terminée. J’avais tout supprimé, impossible de nous pister. Pour être bien sûre, j’ai envoyé des virus dans les bases de données. On allait être tranquille. Je pris Bug dans mes bras et bientôt, nos huit autres compagnons entrèrent dans le bureau, comprenant que nous avions réussi à merveille. Nous étions tous désormais plus riche de dix millions de dollar. Ce qui me faisait quinze millions, grâce aux petits coups qu’il y a eu avant. Quinze millions et une nouvelle vie qui m’attendait. Une nouvelle vie sous l'identité de Ash Montgomery. Mais j’avais décidé de profiter de l’instant présent, de célébrer notre réussite. Tout était parfait.
Le lendemain, j'étais dans l'avion, direction l'Angleterre. J'allais commencer une nouvelle vie afin de faire taire mon nom. J'allais dompter cette ville et je voulais la mettre à feu et à sang. Je n'avais pas peur, peur de rien. Et bientôt, je ferais cette ville mienne.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Une échappatoire, un moyen de me planquer, un moyen pour moi de ne pas pourrir dans une prison morbide des Etats-Unis. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Tequila, sans hésiter. Pour moi, le scotch est réservé à ses vieux qui passent leurs soirées dans de gros fauteuils en cuir, lisant le journal économique de la journée. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Le sexe? Mal? Pitié, qui a dit ça un jour? Une bonne soeur? Ou alors une prude conservatrice. Le sexe est ce qu'il y a de mieux dans ce monde. L'extase, le bien-être, l'apothéose. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Tout ce que j'ai fait, je l'ai fait par volonté, par plaisir et je ne regrette aucun de mes gestes. Aucun. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Je pourrais vite retrouver le coupable qui a donné les infos et lui faire payer. Mais en même temps, je dois rester discrète. Alors je ne dirais rien. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Je ne ballade jamais sans ma tablette que j'ai débridé, modifié, arrangé. Avec elle, je peux pirater n'importe quoi, n'importe où, n'importe quand.
pseudo/prénom Manon. âge 19 ans. Mais on n'a qu'à dire que j'ai la vingtaine. lieu d'habitation DANS LES VOSGES ET J'EN SUIS FIERE OK?. où as-tu connu le forum C'était il y a environ un an. t'en penses quoi? Vous savez ce que j'en pense (jvsbz) Scénario ou Inventé? Inventé. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? Je veux Eden (je rigole ça va). un dernier mot? J'ai décidé de prendre le dernier mot du livre que je suis en train de lire (L'Infini + un, je le recommande au passage): longtemps.
- Code:
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[code][b]Nom de la célébrité[/b] ✗ Nom du personnage[/code]
Dernière édition par Ash Montgomery le Dim 7 Fév - 1:01, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 19:29 | |
| Une hackeuse Intéressant Re bienvenue avec ce perso baddass |
| | | Killian O'Sullivan STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 18/10/2015 ☆ potins balancés : 584
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 19:30 | |
| elle a l'air pas mal la miss Le début est sympa en tous cas ! ça me fait penser à Millenium ! Et les Vosges, c'est cool ! Rebienvenue ! |
| | | Alice Kensington-Crowlley ADMIN & POSH - la reine mère
☆ date d'arrivée : 06/12/2014 ☆ potins balancés : 4007
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:05 | |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:11 | |
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| | | Alice Kensington-Crowlley ADMIN & POSH - la reine mère
☆ date d'arrivée : 06/12/2014 ☆ potins balancés : 4007
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:17 | |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:18 | |
| Mon prochain perso aura les cheveux rouge ou rose, fuck J'te baise aussi Violemment A en casser le lit Les murs Tout |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:34 | |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 20:41 | |
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| | | Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 21:09 | |
| Canon Tu connais la maison Bienvenue |
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| | | | Eliakim A. Crowlley ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 31 Jan - 22:17 | |
| Grave |
| | | Olivia Mills STUDENT — l'élitisme est maitre mot
☆ date d'arrivée : 12/11/2015 ☆ potins balancés : 318
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Sam 6 Fév - 13:28 | |
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| | | Phoenix C. Feuerbach TEACHER — guide du savoir.
☆ date d'arrivée : 01/01/2016 ☆ potins balancés : 257
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Sam 6 Fév - 22:44 | |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 7 Fév - 0:12 | |
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| | | Mischa Dempsey ASTRAL — against the system
☆ date d'arrivée : 18/07/2015 ☆ potins balancés : 1083
| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 7 Fév - 13:48 | |
| Félicitations, tu es validé ! jusqu'à l'excès
Une seule chose à dire : OMYGAD. Ton personnage dépote, il est rock, sexy, et génial ! Une grosse malade, que Liloo et Phoenix vont adorer adorer ou détester, ou les deux ou peu importe !! BREF. Trop hâte de rp avec toi ma chouquette Même si je suis sûre que tu n'aimerais pas ce surnom ! Enfin une groossssse groooosssssse méchante à Oxford. Ca va être rock'n'roll Baby !! Eclates toi bien avec ton TC (et on se retrouve pour ton QC ou ... ? ) Vérifie que ton avatar est dans le bottin. Tu intègres, à partir de maintenant, les NOM DU GROUPE . Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Tu peux aller demander des liens, des rps, ou encore intégrer un club ! Ouvres toi une page Instagram, et crées-toi un téléphone portable ! Tu peux aller flood ou discuter sur la Chatbox ! N'hésites pas à proposer un scénario ou à poster une recherche de lien important ;) Si tu as des questions n'hésite pas Et surtout éclates toi sur Jusqu'à l'exces ! |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. Dim 7 Fév - 13:53 | |
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| Sujet: Re: Ash ~ Les murs ont des oreilles, j'ferais en sorte qu'ils n'aient pas de bouche. | |
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