[HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim
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Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
Sujet: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Ven 5 Fév - 22:36
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
« Bébé je suis rentré ! » Crie Eliakim en refermant la porte de leur maison. Aussitôt, Summer et Ocklahoma arrivent vers lui en sautillant, heureux de retrouver leur copain de jeux préféré. Les deux chats également arrivent vers lui en miaulant, signe qu'ils ont faim sans doute. Alors il marche jusqu'à la cuisine en jetant sur le canapé sa sacoche contenant ses cours et, en arrivant dans la pièce, sert une belle gamelle de croquettes aux deux chats qui se disputent un instant mais qui finissent par manger l'un contre l'autre. Pourtant l’absence de sa femme ne le rassure pas alors Eliakim, d'un pas peu rassuré, commence à la chercher dans la maison. D'abord l'extérieur où elle n'y est pas puis son bureau, le salon, la cuisine rien. Enfin il monte rapidement les escaliers pour faire toutes les chambres. C'est en arrivant dans celle du fond, la plus grande et surtout celle du couple, qu'il est arrêté alors qu'il veut ouvrir la porte. D'un coup d'épaule bien placé, il dégage le passage alors qu'un bruit de chute se fait entendre. Aussitôt il entre dans la pièce et remarque que la chute n'est autre qu'une pile de cartons contenant des tissus en tout genre. Et de toutes les couleurs surtout. Dans la chambre, plusieurs autres cartons sont disposés un peu partout. Dans un coin, des poches contenant des fausses fleurs, dans une autre plusieurs livres de couturiers, tous sur les robes de mariées. Ha ok... Je viens de comprendre... Il l'a demandée en mariage il y a quelques jours et il ne pensait pas qu'elle serait aussi rapide pour entamer les préparatifs. Il est vrai qu'il aimerait être rapidement marié à la femme de sa vie mais après tout Alice a bien assez à faire, il serait bien mieux qu'elle prenne soin d'elle et qu'elle se repos,e elle qui court entre les cours, son travail, les associations et le posh club qui est dangereusement ébranlé en ce début d'année. De toute façon il connaît sa femme il peut la faire jurer de se reposer qu'elle ne l'écoutera et n'en fera qu'à sa tête comme d'habitude. C'est une tragédie.
Alors d'un pas prudent il s'avance dans la pièce et remarque sur le lit, étalé, un plan de table très complet avec le nom de plusieurs personnes qu'il ne connaît même pas. « Tu compte inviter la vieille mégère du troisième étage ? Elle est imbuvable ! » S'exclame Eliakim en faisant référence à une femme qui travaille dans le même bâtiment que lui mais qui, franchement, n'est pas facile à vivre. Lentement il s'approche d'Alice et se glisse derrière elle en l'enveloppant dans une étreinte douce et chaude, pendant une seconde il la berce, n'osant pas bouger tant l'instant et la position est parfaite. « Je prendrais Rae et Liam en témoin sans doute. En revanche... J'aimerais que Lily, la fille d'Anastasia, nous emmène les alliances. » Murmure Eliakim contre la peau de sa femme en l'embrassant, tendrement. « Comment vas-tu ? » Demande le professeur en lui demandant, d'un geste, de se retourner. Là il vient tout doucement l'embrasser, comme une plume se posant sur l'eau, son baiser aussitôt se brise comme si il n'avait jamais existé. Il est enchanté de la savoir si heureuse à l'idée de l'épouser, pour la seconde fois. Oui elle ne considère pas Las Vegas comme un mariage mais lui si, c'est le minimum auquel il a pu s'accrocher pendant des mois alors dans son esprit ce mariage est tout de même valide. Même si il ne l'est que dans un seul état du monde, c'est toujours ça. Il avait peur qu'en lui demandant une seconde fois d'être sa femme, qu'elle refuse de peur qu'il ne parte encore où qu'il ne fasse une autre bêtise pour la faire fuir. Heureusement ce n'est pas le cas et même si la demande n'était pas très romantique, elle a acceptée et heureusement. Il ne sait pas si il aurait bien pris qu'elle refuse devant tout le monde, mais bon. C'était le risque après tout.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Sam 6 Fév - 21:50
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice Elle était à nouveau fiancée. Mais cette fois elle avait décidé de mieux gérer la chose. Trois jours auparavant, Margarett Flemming lui était tombée dessus lors d'une soirée au Duke, lui rappelant qu'elle était une Posh aujourd'hui. Et qu'elle devait faire preuve d'un peu plus de discrétion. Elle avait oublié la signification des mots subtilité, discrétion et panache. C'était une évidence. Depuis plus d'un an à présent elle n'était plus vraiment elle. Elle ne savait plus vraiment qui elle était. Mais cette remarque, cette mise au point lui avait ouvert les yeux, et l'avait touchée. Margarett connaissait bien Alice aujourd'hui, tout comme elle connaissait toutes ses filles. Et elle savait comment leur faire du mal. Elle était un véritable modèle pour elles. Du reste, le lendemain elle s'était retrouvée dans une réunion entre Posh où les mots d'ordres avaient été rappelé. Avec l'arrivée de ASTRAL sur le campus, elles devaient (plus que jamais) rappeler qui étaient les POSH. Un club qui rassembler les futurs femmes d'influence de ce monde. Des modèles de réussite et de bienséances. Des femmes dont la beauté, la richesse et l'intelligence n'étaient plus à prouver.
Alice avait travaillé sur sa nouvelle image les deux jours qui suivirent. Et cela devait passer par ses fiançailles. Elle ne les avait pas encore annoncé officiellement. Elle voulait le faire convenablement. Elle préparait sa nouvelle chaine Instagram, un nouveau compte youtube, et une nouvelle image d'elle. Elle avait été chez le coiffure, se faisait couper les cheveux pour une coupe dégradée plus courte, et plus jeune. Elle avait ôter de sa penderie toutes les affaires qui faisaient trop adolescentes, rebelles, ou fille de petites vertus. Elle les avait donné à des associations caritatives. Et elle avait acheté de nouvelles robes et des chemises. Des petites de femmes du monde. Elle en était plutôt fière, et elle aimait cette idée de prendre un nouveau départ.
Enfin, elle s'était penchée sur la question de son futur mariage avec Eliakim. Elle avait mis au courant Iseult et Daisy. Elle avait diné avec son père la veille (qui avait fort bien apprécié son nouveau look) et lui avait annoncé. Le Lord avait offert le champagne à sa fille et lui avait fait un bon chèque pour la cérémonie. Il avait aussi promis d'être présent pour l'accompagner jusqu'à l'Autel, et qu'il espérait pouvoir voir son futur beau-fils pour avoir une conversation entre hommes. Pour finir, Alice avait passé la journée à faire une lettre de démission pour le Newscomer Club, et avait demandé à quitter son rôle de Trésorière pour l'association caritative d'Oxford. Elle restait uniquement capitaine du club d'équitation pour cette année. Elle le quittera à la fin de l'année. Elle ne pouvait pas continuer à être sur tous les fronts. Elle devait faire moins de choses mais leur accorder plus de temps. Surtout à partir du moment où elle sera une femme mariée. Après ses cours elle rentra finalement chez elle, où elle sortie les cartons de son ancien mariage. Celui qui n'avait jamais eut lieu. Ce qui ne l'avait pas empêché de commencer ses recherches, et de penser déjà un premier plan de table. Une fois dans sa chambre elle ôta ses chaussures à talon, et sa chemise, pour mettre un t-shirt d'Eliakim et s'assoir sur le lit en tailleur avec son pantalon en toile. Elle inspira profondément et ouvrit les cartons les uns après les autres. Elle y (re-)découvrit des tissus pour les robes des demoiselles d'honneur, pour la robe de mariée, des magasins, des exemples de décorations, des noms de groupes et de DJ pour la soirée. Même des lieux pour la cérémonie, et pour la lune de miel. Elle ressorti le plan de table qu'elle avait confectionné avec l'aide d'Iseult à l'époque (et qui était largement à reprendre) et continua sa recherche, jetant les cartons par terre quand elle en avait fini avec. C'est alors que la porte s'ouvrit à la volé, la faisant sursauter.
Elle offrit un grand sourire à Eliakim, ne prenant pas cas de l'état dans lequel elle devait se trouver. « Bonjour chéri ! » Il était parti plus tôt qu'elle ce matin et elle n'avait pas eut l'occasion de le voir. Il vint vers elle et prit place derrière elle. Elle l'embrassa et retourna à ses recherches frénétiquement. « Tu compte inviter la vieille mégère du troisième étage ? Elle est imbuvable ! » Interrogative elle se tourna vers lui, et remarquait qu'il fixait le plan de table d'un air dubitatif. Elle se mit à rire, et arracha le nom de sa collègue. « Il faudra le reprendre ! C'est celui de l'année dernière, on l'avait fait avec Iseult. Mais il est évident qu'on ne pourra pas compter sur la présence d'Aaron ou d'Andrea par exemple... » Dit-elle avec un sourire triste. Son meilleur ami lui manquait, mais à cause de problème familiaux il avait dû quitter Oxford sans regarder derrière lui. Il ne reviendra sans doute pas. Au grand désarroi d'Alice. Passons, pour la suite, elle sortie divers tissus pour les robes des demoiselles d'honneurs, mettant à droite celles qu'elle appréciait encore, et par terre celles qu'elle préférait oublier. « Je prendrais Rae et Liam en témoin sans doute. En revanche... J'aimerais que Lily, la fille d'Anastasia, nous emmène les alliances. » Lily... C'était une préadolescente adorable, et qui faisait du cheval au club avec Alice. La Kensington était devenue son professeur particulier à la demande d'Anastasia et elles s'entendaient terriblement bien. Lily était (de plus) très mignonne et adorable. « J'ai demandé à Daisy d'être ma demoiselle d'honneur, et je pensais prendre Angelus comme témoin. Et Iseult, évidemment. Si elle ne repart pas à l'autre bout du monde d'ici là. J'aurai aimé qu'Oliver soit de la partie mais... Il n'est pas prêt à quitter la Suisse... » Dit-il d'un air triste. Un immense soupire lui échappa avant qu'elle ne retrouve la force de sourire, et de se tourner vers son homme. « Et pour Lily c'est une très bonne idée ! Elle en sera ravie j'imagine... Elle pourra être demoiselle d'honneur ? » Proposa-t-elle avec enthousiasme.
Il vient lui quémander un autre baiser, et elle se laissa aller contre lui. « Comment vas-tu ? » La question avec des airs inquiets qui fit sourire la demoiselle. Elle allait lui dire que tout allait bien quand un éternuement énorme lui déchira les tympans. Elle renifla, essayant d'ignorer le fait qu'entre la fatigue, et ses nouvelles tenues elle risquait d'avoir choper un rhume. « Ca va bien. J'ai quitté mon rang de Chargée de communication au Aloysius, et je ne suis plus marraine du comité d'accueil... Mais c'est tant mieux, je vais pouvoir me concentrer sur notre mariage et mon diplome. » Dit-elle, assez fière d'avoir réussi à faire des concessions et des choix. Elle devait adulte, c'était indéniable. « Mon père exige d'avoir une conversation en tête à tête avec toi au fait ! » Dit-elle avant d'oublier. « Et toi comment vas tu chéri ? »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Dim 7 Fév - 0:47
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
Depuis trois jours il remarque des changements chez sa femme. Elle est bien plus présente à la maison, elle a fait le vide dans son armoire en jetant quelques tenus de jeune fille rebelle et un peu sexy, lui qui adorait la voir en élève sauvage. Tant pis, il trouvera une tenue qui lui plaira dans quelques temps, ce n'est qu'une question de jour. Il remarque ce changement et il doit avouer que cela le rassure, elle fait bien plus femme et assume la demande en mariage qu'il lui a fait même si elle ne l'a annoncée à personne encore. Ça ne devrait pas tarder à arriver de toute façon, on ne peut rien garder secret à Oxford. L'Oxymoron a les gens partout, ils savent tout sur tout le monde. Mais il a tendance à oublier que parfois l'Oxymoron c'est sa femme justement et qu'elle joue au jeux du chat et de la souris avec le magasine. La seule personne qu'il connaît et qui a réussi à garder des secrets n'est autre qu'Anastasia, à son grand étonnement d'ailleurs. Cette dernière a toujours su garder secrète l'existence de sa fille, poussant à l'admiration toute personne qui l'apprenait sans l'aide du journal. C'est presque un record à l'heure d'aujourd'hui. Même lui, tout le monde a su qu'il avait recouché une seule fois avec Maxime. Il ne sait toujours pas comment d'ailleurs mais bon, c'est une histoire datant de l'année dernière et il n'a pas envie de penser à Maxime pour aujourd'hui. Cela va l'agacer et sans doute faire monter en lui un peu de colère. Le deuxième départ de Maxime a été la trahison de trop, il ne comprend pas pourquoi ce dernier est reparti sans même envoyer un sms, une lettre où un coup de fil. Ce n'était pas le bout du monde puis cette facilité avec laquelle Maxime part sans se retourner, lui il ne comprend pas. Il ne pourrait pas agir ainsi même si cela était obligatoire pour son bien être et sa survie. C'est horrible pour les gens autour et c'est extrêmement douloureux. Depuis il n'a aucune nouvelle et n'a pas cherché à en avoir, il lui en veut et nul doute que si il le voyait maintenant il lui dirait ce qu'il a sur le cœur avant de lui ordonner de partir. Ce serait mieux pour tout le monde. Maxime a abusé, laissant Eliakim et surtout Liloo cette fois-ci. Mais bon, un jour il s'habituera à sa lâcheté étonnante. Heureusement il vient e coller à sa femme, son torse contre le dos de cette dernière.
Il la prend contre lui et soupire d'aise, heureux d'être chez lui, chez eux. Summer saute aussitôt sur le lit et vient se caler contre le ventre de son maître pour une séance de câlins auquel Eliakim se prête avec plaisir. Ocklahoma aussi, jalouse, vient tirer la manche du professeur qui lui offre également quelques grattouilles. Alors qu'il fait une remarque sur un prénom du plan, la vieille mégère, sa femme lui fait remarquer que le plan n'est pas bon et qu'ils vont le reprendre. Il hoche la tête, signifiant qu'il comprend car plusieurs noms ne sont même plus à Oxford depuis longtemps. Une seconde, il pense à Andrea et sa nouvelle destination, Paris. Il n'a aucune de ses nouvelles et nul doute qu'il va bien, mais il aurait eu besoin d'un sms afin de lui assurer qu'il se portait bien. Andrea a sans doute besoin de s'éloigner et de couper totalement les ponts avec Oxford, Eliakim peut comprendre. Il ne le verra plus, c'est sur et certain. Et Aaron... Que dire d'Aaron ? Les mots manquent et l'absence est toujours là. Il n'en parle jamais avec Alice mais il sait qu'elle souffre de l'absence de son meilleur ami. Mais personne n'y peut rien, il faut seulement accepter. « J'ai demandé à Daisy d'être ma demoiselle d'honneur, et je pensais prendre Angelus comme témoin. Et Iseult, évidemment. Si elle ne repart pas à l'autre bout du monde d'ici là. J'aurai aimé qu'Oliver soit de la partie mais... Il n'est pas prêt à quitter la Suisse... » Doucement Eliakim la prend contre lui plus encore. Peut-être qu'Oliver sera au mariage, ce serait au moins ça. Il ne sait pas. « Et pour Lily c'est une très bonne idée ! Elle en sera ravie j'imagine... Elle pourra être demoiselle d'honneur ? » Sa femme retrouve son sourire, il l'embrasse sur l'épaule doucement en remarquant qu'elle porte un de ses tee-shirts. « Oui elle pourra l'être. Ca lui fera plaisir je pense. Dans quel ton de couleur tu veux tes demoiselles d'honneurs ? »
Doucement elle se laisse aller contre lui et l'embrasse encore alors qu'avec douceur, Eliakim passe ses bras contre le ventre de sa femme pour lui accorder un instant de douceur. Il lui demande comment elle va et tout en attendant sa réponse, l'embrasse dans le cou. « Ca va bien. J'ai quitté mon rang de Chargée de communication au Aloysius, et je ne suis plus marraine du comité d'accueil... Mais c'est tant mieux, je vais pouvoir me concentrer sur notre mariage et mon diplome. » Il hoche la tête, comprenant que la situation n'a sans doute pas été facile mais qu'elle en sera bénéfique par la suite. « Mon père exige d'avoir une conversation en tête à tête avec toi au fait ! » Il grimace un peu et préfère lui avouer quelque chose. « Ton père me fait peur. » Il s'arrête et en croisant le regard de sa femme, il sourit. « Je sais... J'ai affronté des hommes terribles et j'ai survécu aux coups de mon père mais le tien il... Enfin... Il me donne la chair de poule. Nul doute qu'il sera un grand père excellent et qu'il sera présent au mariage. Mais je sais qu'il va me mettre en garde et d'avance je sent que ça va me mettre mal à l'aise. Voire pire... » Il baisse la tête, honteux d'avoir peur devant sa femme. Elle lui demande comment il va. « Je vais bien. Mieux maintenant que je suis à la maison. » Enfin il se lève et doucement, déboutonne sa chemise. Il la pose sur une chaise dans la chambre en notant dans sa tête qu'il doit la mettre das la machine. Il en fait de même avec son pantalon et, une fois en caleçon, il part chercher dans son armoire une tenue plus cool. Il trouve un jogging et l'enfile, décidant de rester torse nu, il fait chaud dans la maison et il sera bien plus à l'aise comme ça. « Tu veux que je te cuisine quelque chose ? Tu as envie de manger quoi mon bébé ? » Demande le professeur en se penchant pour l'embrasser. Là, il s'approche du miroir trônant à l'entrée de la chambre, pendant une seconde il se regarde dedans. « T'as vu, j'ai bien repris depuis cet été non ? » Il fait référence à la masse musculaire qu'il a repris depuis cet été. Souriant, fier de lui mais aussitôt, son sourire s'efface. « Tu me trouves vieux Alice... ? » Demande Eliakim en remarquant quelques cernes aux coins de ses yeux.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Dim 7 Fév - 17:20
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice Elle a besoin d'un nouveau départ. Depuis la demande en mariage d'Eliakim elle se sent en confiance, capable de tout. Capable de dire au revoir à celle qu'elle était, à laisser ses erreurs et sa prétention pour changer, et grandir. Être enfin adulte, une femme respectueuse, une femme du monde. Il était temps qu'elle devienne la femme qu'elle devait être, celle que son père avait éduqué, celle qui savait se mettre tout le monde dans la poche, qui se faisait respecter. Une femme riche, belle, cultivée, ayant fait un bon mariage, et ayant réussi. Elle était prête à être cette femme aujourd'hui. Elle avait ressorti la photographie de sa mère, lorsqu'elle était enceinte d'elle, depuis cinq ou six mois, et l'avait mise sur sa table de chevet. Elle était son exemple, son phare, et Alice savait que de là où elle se trouvait elle était fière d'elle. Alice disait adieux à son adolescence, à sa manière de faire peu subtile et ses caprices de petites filles riches. A présent il était temps qu'elle devienne grande, qu'elle devienne quelqu'un de bien. Tout cela passait par son nouveau style, et par un travail sur elle-même. Elle faisait des choix, et elle avait décidé de se mettre au yoga, et à reprendre le sport plus intensément. Réussir à prendre soin d'elle, vraiment. A être en paix avec elle-même. En parallèle, elle devait préparer ce mariage, et surtout voir comment elle pourrait l'annoncer. Elle voulait faire les choses biens, en grand, mais avec une classe qui deviendrait sa marque de fabrique.
Pour l'heure, elle était auprès de son futur mari qui était rentré de sa journée de cours. Il était fatigué, ca se voyait, et assez étonné de la trouver dans ce bordel. Mais il était heureux. Il la regardait avec un air amoureux et tendre qui la faisait craquer à chaque fois. Elle se sentait en sécurité dans ses bras. Elle se sentait chez elle. Ils parlaient du mariage à venir, de leurs futurs témoins, et des demoiselles d'honneur potentielles. Comme Lily, la fille d'Anastasia Fitzwilliam. « Oui elle pourra l'être. Ca lui fera plaisir je pense. Dans quel ton de couleur tu veux tes demoiselles d'honneurs ? » Elle inspira et lui montra quelques tissus qu'elle avait mis de côté, et un épouvantails de couleurs. « Je voudrais qu'elles aient toute une couleur différente. Dans les tons chauds : jaune, orange, rouge... Et je voudrais que ma robe ne soit pas blanche mais plus dans les tons crèmes... Après tout ma vertu ne pourrait tromper personne. » Dit-elle avec une voix entendue, lui offrant un coup d'oeil un peu pervers. Elle devait penser à tout cela, mais elle avait encore du temps. Ils venaient se de fiancer, ils devaient se marier dans l'année. Elle aimerait le faire durant l'été, lors d'une saison assez chaud. Mais rapidement. Elle voulait devenir sa femme. Très vite.
Continuant la conversation, elle en vint à lui annoncer que le Lord (le père d'Alice) voulait le voir pour lui parler entre homme. Elle n'avait pas de crainte. Elle avait beaucoup discuté avec son père la veille. Il savait pertinemment que sa fille était heureuse, et qu'elle avait changé. Qu'elle était plus calme, plus douce, plus réfléchie. Tu ressemble de plus en plus à ta mère. Avait-il murmuré avec qu'il la déposé devant le portail de sa nouvelle maison. Ce qui avait mis les larmes aux yeux à sa fille. C'était sans aucun doute le meilleur des compliments. Elle l'avait gardé pour elle. Ce compliment lui appartenait. « Ton père me fait peur. » Elle sourit, retenant (difficilement) un rire. Le lord n'était pas un homme à l'allure sympathique. Bien loin de là. Il était très froid, intransigeant, et méchant même quand il le fallait. Il pouvait être sans pitié. Mais pas avec son futur beau fils, pas cette fois-ci. « Je sais... J'ai affronté des hommes terribles et j'ai survécu aux coups de mon père mais le tien il... Enfin... Il me donne la chair de poule. Nul doute qu'il sera un grand père excellent et qu'il sera présent au mariage. Mais je sais qu'il va me mettre en garde et d'avance je sent que ça va me mettre mal à l'aise. Voire pire... » Il baisse alors la tête, honteux, et elle vient caresser sa joue, amusée, mais compatissante. « Dis toi qu'il n'a pas le droit de te tuer, sans risquer de se retrouver en taule. » Dit-elle comme si cela allait lui faire du bien de l'entendre. Elle ria avant de se pencher vers lui pour l'embrasser. « Ca va bien se passer Chéri, c'est juste... Un mauvais moment à passer. Histoire de te rappeler que tu vas épouser la prunelle de ses yeux, et que si jamais tu le déçois il t'arrachera les couilles. » Aller, reste fort bébé.
Finalement elle lui demanda comment lui allait. « Je vais bien. Mieux maintenant que je suis à la maison. » Elle sourit, ravie de l'entendre parler de la sorte. A la maison , la leur en l'occurence. Ils avaient une maison, à eux, à leur nom. Où ils élèveront leurs enfants, et vivront peut être même jusqu'à la fin de leurs jours. Elle en était heureuse. Il se leva et déboutonna sa chemise. Pendant ce temps, Alice rangea les tissus des demoiselles d'honneur qu'elle avait gardé dans le carton, tandis que les autres jonchaient le sol. Elle soupira, et leva les yeux vers son homme qui s'observait dans le miroir. Moment narcissique ? Elle retint un rire moqueur. « Tu veux que je te cuisine quelque chose ? Tu as envie de manger quoi mon bébé ? » Elle réfléchit un instant. « J'ai terriblement envie de manger des Sushis ! Il en reste de hier midi je crois. Et sinon... j'sais pas. Ce que tu veux ? » Ouais elle l'aide pas vraiment, mais elle est trop excitée par ses recherches dans les cartons pour avoir faim pour l'histoire. Elle se pencha un peu et récupère un carton avec plusieurs carnets et magasines. C'était les recherches qu'elle avait entamé avec Catherine Blackbird l'année dernière : des stylistes pour la majorité, et des magasines de robe de mariée. « T'as vu, j'ai bien repris depuis cet été non ? » Elle se tourna à nouveau vers son homme et sourit. « Si. Tu es terriblement séduisant. Un peu trop, ça m'agace. On recommence à te mater dés que tu vas dehors. » Dit-elle boudeuse, avant qu'il ne croise son regard dans le miroir. Elle fronça les sourcils. Une sorte de lueur inquiète brillait dans les pupilles de son homme. « Tu me trouves vieux Alice... ? » Il commence à toucher le coin de ses yeux avec ses mains, inquiet. Elle le regarda, tentant de ne pas simplement exploser de rire. Elle ne pouvait pas se mettre à rire. Mais sans déconner , il était adorable. « Les hommes c'est comme le bon vin chéri, plus c'est vieux, plus c'est bon. » Répondit-elle d'un ton naturel, comme si c'était une évidence pour elle. Elle se leva finalement et arriva derrière lui, tout sourire. « Pourquoi cette question Chéri ? Tu t'es rendue compte que si on a des enfants maintenant tu auras 50 ans quand ils en auront 20 ? » Demanda-t-elle en retenant son hilarité. « Mais tu es encore très endurant pour un homme de ton âge, ne t'en fais pas. » Finit-elle par lâcher en lui pinçant les fesses.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Mer 10 Fév - 23:33
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
« Je voudrais qu'elles aient toute une couleur différente. Dans les tons chauds : jaune, orange, rouge... Et je voudrais que ma robe ne soit pas blanche mais plus dans les tons crèmes... Après tout ma vertu ne pourrait tromper personne. » Il sourit à sa femme alors qu'elle lui lance un regard plein de sous-entendus coquins. Il la prend contre lui et l'embrasse plus fort encore. Depuis qu'il l'a demandée en mariage, ils n'arrivent plus à se décoller l'un de l'autre et passent leur matin de libre, dans ce lit à s'aimer encore et encore, jusqu'à épuisement. Par flemme ils commandent à manger, mangent au lit, se lèvent pour se doucher et refont l'amour un peu partout dans la maison. Ils doivent en profiter tant qu'ils n'ont pas d'enfants, lorsque ce sera le cas, ils ne pourront plus passer la matinée au lit à dormir et s'aimer plus fort encore. « Une couleur crème sera parfait. J'adore. » Assure le professeur avec un dernier baiser. Cette couleur, coquille d’œuf où crème comme on l'appelle bien souvent, est une de ses couleurs préférés. C'est très doux, il y a une époque il voulait repeindre son appartement dans ces tons. Puis le boulot c'est enchaîné et il n'avait pas le temps de s'attarder au bricolage. Alors pour changer de sujet, il préfère être honnête avec elle concernant son père. Le Lord est un homme froid et autoritaire, il lui fait peur et ne lui inspire aucune chaleur ni aucune douceur. Avec sa fille il est différent Eliakim le sait, mais il sait surtout qu'il a fait souffrir Alice et ça le Lord ne lui fera rappeler avant de le mettre en garde. « Dis toi qu'il n'a pas le droit de te tuer, sans risquer de se retrouver en taule. » Il tire la langue à sa future femme en se tournant pour de déshabiller. « Ca va bien se passer Chéri, c'est juste... Un mauvais moment à passer. Histoire de te rappeler que tu vas épouser la prunelle de ses yeux, et que si jamais tu le déçois il t'arrachera les couilles. » Il pousse un gémissement de douleur tout en grimaçant. « Pourtant j'en ai besoin. » Assure Eliakim en pensant à sa chère paire adorée.
Enfin, étant maintenant devant le miroir, il s’admire une seconde et trouve ne ride au coin de ses yeux. Ce matin même il a trouvé un cheveux blanc sur son tee-shirt noir, un véritable drame qui l'a hanté toute la journée. Il se demande si il ne devrait pas faire des couleurs où envisager des produits pour garder sa jolie chevelure bien rousse/blonde. Déjà qu'il n'est pas foncé des cheveux, il ne manquerait plus qu'il termine blanc comme un vieux à seulement trente et un ans. Il est jeune m'enfin ! Trop pour avoir des rides. Il se souvient de sa sortie d'Oxford comme si c'était hier, tout est allé si vite. Depuis qu'il a décidé de se ranger il pense un peu plus au fait qu'il aura... Cinquante ans quand ses enfants en auront vingt. Outch, coup de vieux d'un coup. Pourtant il décide de formuler ses craintes de vive voix, demandant un peu de soutien de la part de sa femme. Soutien qui ne vient pas, évidemment. Alice n'est pas connue pour être un modèle de vertus et d'empathie. Même si elle vient de lui dire qu'il est séduisant, ce n'est pas assez. Il se sent vieux à ses côtés. « Les hommes c'est comme le bon vin chéri, plus c'est vieux, plus c'est bon. » Ok. Il est vexé. Aussitôt Eliakim se détourne d'elle, le visage fermé et les lèvres pincées. Il avait clairement besoin de son aide et elle se moque de lui, c'est pire que tout pour lui. « Pourquoi cette question Chéri ? Tu t'es rendue compte que si on a des enfants maintenant tu auras 50 ans quand ils en auront 20 ? » Deuxième erreur. Elle vient de formuler tout haut ce qu'il vient de penser et surtout, ce qui lui fait le plus peur. Eliakim baisse la tête et se détourne d'elle. Il va pour sortir de la pièce alors qu'elle lance une dernière phrase. « Mais tu es encore très endurant pour un homme de ton âge, ne t'en fais pas. » Lui dit-elle en lui pinçant les fesses. Il ne dit rien et sort de la chambre en claquant la porte. D'un mouvement rageur il quitte le premier étage et file directement vers son bureau, là où il travaille. Il fait chaud, c'est au sous sol et ça garde toutes la chaleur. C'est agréable et pendant une seconde ça l'apaise. Alors sans rien dire, râlant contre sa femme, il rejoint son bureau où il s'installe et ouvre un de ses ordinateurs pour commencer à travailler. Il consulte ses mails, effacer les spams sans intérêt et tente, sans succès, de se changer les idées en écoutant une chanson quelconque et en avançant sa thèse. Il est vexé, clairement.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Ven 12 Fév - 20:27
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice « Une couleur crème sera parfait. J'adore. » Elle se tourne vers lui et sourit. Il fait très... gay soudainement. Avec sa manière de regarder les tissus, et de les juger avec un oeil pseudo-expert. Il fait dire qu'il a eut un comportement et des partenaires (surtout) très gays pendant un temps. Un passé qui a bien failli se mettre entre eux plus d'une fois. Mais les choses ont bien changé. Ils ont changé, ils ont grandi, ils ont avancé, et aujourd'hui ils vont se marier, et les choses sont parfaites. Absolument parfaites. Elle a l'impression d'être dans un rêve éveillé. Ils ne sont pas disputés depuis des semaines, comme si soudainement aucun problème ne pouvait se mettre entre eux. Comme si soudainement ils étaient parfaitement sur la même longueur d'ondes. Elle se demande parfois combien de temps ce répit va durer avant que l'un ou l'autre ne provoque une dispute ne serait-ce que pour les plaisirs de la réconciliation. Pas qu'elle se plaigne du sexe entre eux, mais il y a une sorte de hargne, une violence moins qui lui manque de temps en temps. Pour l'heure ils parlent de leur mariage à venir, et elle mentirait en disant qu'elle n'en ait pas ravi. Elle a toujours rêvé de se marier, et elle veut le faire en grandes bombes. Ce mariage à Vegas ne compte pas pour elle, même si Eliakim l'utilise pour la dire sa femme . Qu'importe, elle veut sa grande cérémonie, avec des fleurs, des colombes, et leurs proches. Tous leurs proches. Si elle s'écoutait elle ferait une grande cérémonie avec trois cent personnes. Voir plus. Elle pourrait réunir tout ce beau monde. Ne serait-ce qu'avec sa famille, malgré l'absence de sa mère. Mais elle devait en parler avec Eliakim. Pour l'heure, il devait surtout rencontrer le Lord, et la jeune femme le taquina sur le fait qu'il risquait d'y perdre ses couilles si jamais il la faisait souffrir (à nouveau) « Pourtant j'en ai besoin. » Elle rit à cette remarque. Oui, il doit les garder encore un peu. Au moins le temps de lui faire un enfant.
Est-ce que c'est l'idée de faire un enfant qui a insinué en lui la question qu'il posa par la suite ? Elle ne prit pas le temps de lui demander sérieusement. Elle le fit avec sarcasme et moquerie, attendri par le regard perdu de son amant. Il avait peur d'être vieux ? Sérieusement ? Elle ne s'était jamais fait ce genre de remarque. Il a trente ans, elle en a vingt-six. Il n'ont que quatre ans d'écart, et ils sont encore jeunes, dans la fleur de l'âge. Elle fait ses études, il a un bon poste de professeur à Oxford. Ils sont bientôt prêts pour être parents et commencer une vie d'adulte. Mais jusqu'à présent est-ce qu'ils auraient pu le faire. Ne serait-ce que l'année précédente ? Sans doute pas. Alors que lui se chercher encore, et qu'elle ne lui faisait pas confiance. Non. Définitivement. Ils sont prêts maintenant, mais ils vont se marier. Elle ne va quand même pas s'avancer vers l'autel avec un ventre rond. Si ? Non. Elle sait pas. En tout cas pour le moment ils n'ont pas encore mis en place le plan faisons un bébé. Cela dit elle envisage l'idée d'être mère de plus en plus facilement. Pour l'heure, elle se rend compte que les interrogations d'Eliakim prouvent d'une véritable angoisse. Ce qui explique sans doute le fait que son fiancé sorte de la pièce sans dire un mot, claquant la porte derrière lui. Elle sent tout de suite sa gorge se serrer. Il est en colère. Pourquoi est-il en colère ? Elle reste interdite, ouvrant la porte, et le regardant descendre pour rejoindre son bureau. Sérieusement ? Il est vexé. Il est vexé. C'est trop mignon.
Elle descend, réprimant un rire avant de s'arrêter devant la porte du bureau, et d'y taper deux coups. « Bébé ? Mon ange ? » Appelle-t-elle à travers le battant. En même temps s'il n'était pas Eliakim elle n'aurait eut que cela à faire. Mais son homme en plus de se vexer facilement est une vraie tête de mule. Dans le genre rancunier qui te fait la tête pendant des heures si jamais ce que tu lui dis le touche profondément. Elle n'a pas vu à quel point cela semblait compter pour lui. Elle reste là, s'appuyant sur le montant de la porte. « Chéri sort aller... Fais pas la tête... » Demanda-t-elle d'une voix moins moqueuse, un peu plus agacée, plus ... plus tendre aussi quelque part. Elle s'en veut (un peu) de s'être moquée de lui. Mais elle ne pensait pas qu'il pouvait être sérieux ! Il a trente ans. Trente ans c'est encore tôt pour qu'un homme s'engage. Enfin, dans la vision d'Alice. Elle pense un peu aux hommes autour d'elle : son père s'est marié à vingt ans, et il avait vingt-cinq ans quand elle est venue au monde. Angelus est loin d'être engagé dans un truc sérieux. Et elle ne parlera pas d'Aaron, de James, ou les autres membres des Riot et de l'université. Ces étudiants n'ont en tête que le sexe facile et les délires d'adolescents. C'est dans l'air du temps, dira-t-elle. Mais pour ce qui concernait Eliakim c'était... anormal. « Qu'est-ce qu'il s'est passé Chéri ? Dis moi... » demanda-t-elle, plus sérieusement à présent. Elle soupira, et décida de quitta la porte. « Si tu ouvre la porte maintenant tu me trouveras nue, et prête pour toi. Sinon... je m'amuserais toute seule. » Dit-elle en faisant volte-face, retournant vers le canapé en laissant derrière elle ses vêtements...
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Sam 13 Fév - 2:23
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
Il est vexé. C'est ridicule il le sait mais il ne peut pas s’empêcher de rougir et de sentir la gêne et cette vexation horrible monter à son visage. Il se détourne et part dans son bureau, refusant de dire quoi que ce soit. Il boude, comme un gamin lorsqu'il avait 15ans et que quelque chose le vexait. Pourtant ce n'est pas facile de vexer Eliakim, d'une nature calme et enjouée, il a tendance à tout prendre avec le sourire et se froisser rarement. Hors pour une raison quelconque, aujourd'hui il s'attendait à du soutien venant de sa femme. Il connaît la nature moqueuse et taquine d'Alice, il sait qu'en temps normal elle lui aurait répondu ce genre de chose et qu'il aurait éclaté de rire. Mais voilà aujourd’hui il est fatigué, épuisé même et puis ce matin il c'est violemment pris la tête avec une élève, d'où ses peurs et ses craintes qui l'ont poussés à demander ça à sa femme. Ce n'est qu'une passade, il va souffler et se calme et dans une heure maxi, il pourra retourner voir sa femme et s'excuser pour son comportement de gamin. Hors c'est elle qui revient en premier en toquant à la porte de son bureau. Il soupire et lui donne la permission d'entrer alors que le visage de sa femme apparaît derrière la porte. « Chéri sort aller... Fais pas la tête... » Il ne dit rien et détourne son regard du visage de sa future épouse et de son air de chien battu, il ne veut pas céder si vite. Ce serait trop facile pour elle. « Qu'est-ce qu'il s'est passé Chéri ? Dis moi... » Il réfléchit pendant une seconde mais apparemment trop longtemps pour sa femme qui soupire et s détourne de lui. « Si tu ouvre la porte maintenant tu me trouveras nue, et prête pour toi. Sinon... je m'amuserais toute seule. » Très bien. C'est une invitation au sexe. Il ne sait pas si il peut la rejoindre et de ce fait, il pense au pour et au contre. Il n'y en aura aucun, le sexe sera dément comme toujours.
Finalement il se lève et ôte son tee-shirt en le laissant tomber dans un coin de la pièce, il retrouve les vêtements de sa future épouse, laissé au sol dans son bureau également. « N'essaye pas de m'avoir avec le sexe Alice ! » Crie Eliakim en sortant de la pièce pour chercher des yeux sa femme. Il la retrouve dans le canapé du salon juste à côté du bureau. « Aujourd'hui je me suis pris la tête avec une étudiante, une sixième année. Elle n'a rien à faire en science mais ses parents l'ont forcés alors lorsqu'elle vient en cours c'est pour parler de mec. Elle a la grosse tête, ce matin je lui ai rendu son contrôle où elle avait un zéro. Je lui ai dis d'arrêter de s’intéresser aux mecs et de se concentrer sur ses études. Elle m'a répondu qu'un vieux comme moi ne peut pas comprendre ses centres d’intérêt. Et que d toute façon mes cours ne servaient à rien. » Tout en disant cela il s'approche d'elle et se glisse sur elle, il pose la tête sur son ventre et ses seins, écoutant les battements de son cœur. « En temps normal cela m'aurait fait rire mais aujourd'hui je ne sais pas... Vous avez le même age et venant d'elle, qui a ton age évidemment et bien cela m'a touché. » Avec un sourire carnassier il la regarde. « Je l'ai envoyée dans le bureau du doyen. Elle est virée d'Oxford lundi, motif, insulte un professeur. Et là, l'argent de papa et maman n'aidera pas. » Il repose sa tête alors que sa main vient chercher les doigts de sa future épouser pour jouer avec. « C'est ridicule je sais... » Murmure Eliakim en relevant la tête pour venir l'embrasser. En une seconde il pose ses mains sur elle et commence à la câliner, sentant le désir monter pour elle. Comme toujours, il lui suffit de la voir nue une seconde pour avoir envie d'elle.
Il est incapable de lui en vouloir longtemps et seulement l'idée de lui avoir dit ce qui le tracassait, l'apaise. Il sourit et ne se sent plus vexé ni même blessé, il sait qu'elle plaisantait et qu'elle n'était pas sérieuse. Jamais elle ne s'amuserait à le blesser volontairement. Alors il l'embrasse plus fort encore, ravi et pressé. Tout de même il tente de la prendre au chantage et, d'une petite voix, parle encore. « Tu dois te faire pardonner tu sais... » Lâche Eliakim avec un petite sourire tout en la détaillant d'un regard gourmand. Elle est magnifique, elle est parfaite. Et elle lui appartient.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Mar 16 Fév - 20:08
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice « N'essaye pas de m'avoir avec le sexe Alice ! » Et pourquoi pas ? La fourbe ne lui répond qu'en riant. Elle est nue, complètement, assise sur le canapé du salon, l'attendant dans toute sa splendeur sensuelle. C'est comme cela qu'ils fonctionnent de toute façon. S'ils ne sont d'accord sur rien, ils se mettent nus, font l'amour, et le reste du monde disparait. Et puis elle a trop chaud. Tout à fait. Sans compter qu'il refusait de lui ouvrir alors qu'est-ce qu'elle aurait dû faire ? Attendre qu'il se calme, et lui fait à manger pour qu'il sorte et qu'il puisse diner tranquillement, discutant comme deux adultes normaux ? Elle est pas normale et alors ? Elle, elle joue avec son corps pour attirer son homme, et forcée de constater que ca marche plutôt bien.
Il vient vers elle, et il semble déjà être un peu plus calme. En tout cas il est plus prompt à lui parler. Et elle à l'écouter. Elle a merdé, ok, mais comment pouvait-elle penser qu'il était sérieux, et surtout qu'il avait besoin d'entendre qu'il n'avait pas encore un pied dans la tombe ? Il la retrouve, et alors qu'il marche vers elle, il lui raconte tout ce qu'il s'est passé. « Aujourd'hui je me suis pris la tête avec une étudiante, une sixième année. Elle n'a rien à faire en science mais ses parents l'ont forcés alors lorsqu'elle vient en cours c'est pour parler de mec. Elle a la grosse tête, ce matin je lui ai rendu son contrôle où elle avait un zéro. Je lui ai dis d'arrêter de s’intéresser aux mecs et de se concentrer sur ses études. Elle m'a répondu qu'un vieux comme moi ne peut pas comprendre ses centres d’intérêt. Et que d toute façon mes cours ne servaient à rien. » Elle hausse un sourcil. Ce genre de filles c'est... Son genre. Les filles qui sont rentrés par piston (comme elle) parce que leurs parents le voulaient, et qui profitaient de l'argent que leurs parents donnent à l'université pour faire ce qu'elles voulaient. Sauf qu'Alice joue le jeu. Elle n'avait pas le dossier, les notes, ou même l'intelligence pour rentrer à Oxford. Mais elle avait le porte monnaie, et pour sa part ca a servi. Sans compter qu'elle était très proche de Daisy Hamilton, ce qui est toujours bien quand on veut se mettre le père dans la poche. Mais Alice sait qu'Oxford est une chance, et jamais elle n'irait se mettre un professeur à dos. C'était stupide. Encore moins le futur mari d'une des élèves les plus sadiques de l'Université. « C'était qui ? » demanda-t-elle le regard assombri par la colère. Qu'on drague son homme, elle le comprenait. Il est beau, sexy, intelligent, et en couple (ce qui est sans doute la meilleure raison de le draguer d'ailleurs). Mais jamais elle n'accepterait de voir une fille, une greluche, l'insulter. Sans raison, à part la bêtise. Tout en parlant il est venue s'allonger contre elle, et a la tête posée entre ses deux seins, écoutant son coeur battre. Quant à Alice, elle le câline distraitement. Cette proximité lui plait énormément. Cette vie de couple la ravie tant. « En temps normal cela m'aurait fait rire mais aujourd'hui je ne sais pas... Vous avez le même age et venant d'elle, qui a ton age évidemment et bien cela m'a touché. » Elle lève les yeux au ciel. Peut être oui, elles peuvent avoir le même âge, mais Alice a la maturité en plus. Et un homme. Un mari. Ce que cette connasse ne pouvait pas prétendre avoir.
Il finit par se tourner vers elle, avec un sourire qui... appartenait à Alice. Vraiment. Genre, le sourire de la connasse sadique. C'était hallucinant. Et ca fait sourire la jeune femme en retour. « Je l'ai envoyée dans le bureau du doyen. Elle est virée d'Oxford lundi, motif, insulte un professeur. Et là, l'argent de papa et maman n'aidera pas. » Elle ne peut empêcher un fou rire la prendre, alors qu'elle se penche vers son homme pour l'embrasser. « T'es encore plus cruel que moi maintenant ! J'adore. C'est sexy un homme impulsif. » Dit-elle en haussant un sourcil, le regard aguicheur. Ca l'excitait. Vraiment, de savoir qu'il était devenu aussi cruel, méchant, mesquin... Quand on sait que la plupart des professeurs n'osent pas s'élever contre la voix de Papa et Maman. Quant à Alice, elle sera ravie d'apprendre qui leur fille à insulter. S'ils ont de l'argent, elle doit les connaitre. C'est quasiment sûre. Elle n'est pas prête de sortir d'un quelconque internat pour fille au fond du pays. Ou pire : une université communautaire. Pour l'heure elle se sentait fière de son homme, et avait envie de lui montrer à quel point il pouvait être un vieux con. Terriblement bien monté. Et doué. De ses doigts, de sa langue et de sa... passons. « C'est ridicule je sais... » Elle lui caresse les cheveux et lève les yeux au ciel. « Oui. Parce que tu es ... un homme mûre. Prêt à s'engager, vraiment. Alors que ces pimbêches sont bonnes à se faire sauter sans se poser la moindre question. » Dit-elle. Et c'était la vérité. Il se tourne vient l'embrasser et pose ses mains sur son corps. Gémissement. Putain, il la rend folle avec une simple caresse. Juste parce qu'il est là. Dans sa tête tourne les images de leur partie de sexe, et déjà elle se sent... se liquéfier. « Tu dois te faire pardonner tu sais... » Elle hausse un sourcil alors qu'il la domine. Sérieusement ? Se faire pardonner ? « Si tu veux une gâterie, chéri, il suffit de demander. Tu sais que je ne dis jamais non... » Dit-elle en le repoussant pour qu'il s'assoit sur le canapé. Elle s'agenouille devant lui, défait son jean, et le descend, le mettant à moitié nu. Cash, sans doute, mais elle a envie, déjà de le rendre fou. Alors elle joue avec son intimité, le faisant durcir sous sa main, sa langue, l'enveloppant dans sa bouche. Chaudement. « En tout cas, ton sexe est encore jeune et fringuant lui ~ » Dit-il en voyant ce dernier réagir à ses caresses. Avant de finalement se lever, et s'assoir sur son homme, descendant sur son sexe, doucement. « Alors, vieux con, tu penses pouvoir me satisfaire ? Moi si jeune et insolente ? »
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Jeu 18 Fév - 23:42
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
« T'es encore plus cruel que moi maintenant ! J'adore. C'est sexy un homme impulsif. » Impulsif oui, c'est le mot. Il n'a pas réfléchi lorsqu'il a quitté son bureau pour rejoindre le doyen et lui expliquer la situation, scellant le destin de cette pimbêche aussi peu intelligente que la plupart des étudiants en politique. Il n'aimait déjà pas cette fille mais là, les conséquences seront dramatique pour elle. Elle va sans doute finir à Cambridge, faire la même chose et se faire virer également au bout d'un an. Ça fait déjà quelques mois qu'il l'avait dans sa ligne de mire, il attendait seulement le faux pas pour lui tomber dessus. Ça n'a pas raté. Tout de même avec un soupir et une légère rougeur sur les joues, il reconnaît que sa réaction est abusive et que c'est ridicule sa façon de se vexer si vite, il a l'impression d'être une jeune fille une veille de règle pour tout prendre de travers comme ça. Mais le sourire de sa femme le rassure alors qu'il se couche sur elle. « Oui. Parce que tu es ... un homme mûre. Prêt à s'engager, vraiment. Alors que ces pimbêches sont bonnes à se faire sauter sans se poser la moindre question. » Il ne dit rien, que répondre à ça ? Après tout Alice connaît ce genre de fille, elle les fréquente. Pas qu'elle est comme elles, seulement c'est ce genre de fille bourrée de fric qui grossit le répertoire de sa femme. Mais rapidement, le corps nue de sa femme attire son attention alors qu'une simple caresse la fait déjà gémir sous ses doigts habiles. « Me désireras-tu encore comme ça dans dix ans ? » Murmure Eliakim en se penchant pour l'embrasser avant de lui dire qu'elle devrait se faire pardonner. La réponse le fait sourire alors qu'elle inverse les positions pour s'agenouiller devant lui. Alors qu'elle lui enlève son jogging et son caleçon, il fait passer au dessus de sa tête son tee-shirt et se retrouve aussi nu qu'elle, beau et déjà excité à la vision de sa femme englobant dans sa bouche, sa virilité. Il ferme les yeux et laisse sa tête tomber en arrière en glissant sa main dans sa chevelure blonde et brillante, d'un geste ferme mais doux en même temps, il la guide sur sa virilité et se tend alors qu'il sent cette chaleur l'envelopper. « En tout cas, ton sexe est encore jeune et fringuant lui ~ » Dit-elle alors qu'un petit rire lui échappe. « Ose me dire que j'ai le corps d'un vieux... » Murmure Eliakim en se mordillant la lèvre, en faisant référence à ses abdos fraîchement dessinés et à ses muscles saillant. Elle grimpe sur lui et vient s'empaler sur sa virilité alors qu'il prend ses seins en croupe pour jouer avec.
« Alors, vieux con, tu penses pouvoir me satisfaire ? Moi si jeune et insolente ? » Un grognement lui échappe alors qu'il pose ses mains sur ses hanches et que d'un geste, il la soulève. Là, avec douceur et fermeté, il la plaque contre le meuble télévision en la forçant à s'asseoir sur une surface plate. Tout en calant sa tête dans son cou, il attrape fermement ses cuisses et commence à bouger en elle, de plus en plus vite, plus loin encore. Il se mord la lèvre pour ne pas crier tant c'est bon, cela fait des semaines qu'ils n'ont pas fait l'amour avec autant de violence, eux qui sont si doux parfois, ils ont besoin de retrouver la fougue du début. Alors il lève les yeux et a regarde tout en bougeant en elle comme un fou, la labourant autant qu'il peut jusqu'à la faire venir dans un hurlement. Là il se recule et la fait descendre du meuble pour se retourner et poser ses mains sur cette même surface où elle était assisse. Il ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle, de calmer le rythme de son cœur anarchique que déjà, il se glisse en elle tout en la tenant par les hanches. Là, tapant son bassin contre celui de sa femme, il se laisse porter par ce plaisir et cette chaleur qui l'envahit. Poussé, guidé par les râles de sa future épouse, il ne voit pas et ne sent pas le meuble taper contre le mur et les quelques bibelots dessus tomber et se fracasser au sol dans des bruits sourds. Il s'en moque, son attention est ailleurs surtout alors qu'il glisse sa main devant lui, atteignant le sexe humide de sa femme pour caresser son point sensible et la faire venir une deuxième fois. Alors qu'ils atteignent ensemble cet orgasme violent et dévastateur, il se retient pour ne pas s'écrouler sur elle et parvient à murmurer quelques mots. « Alors, je suis toujours un vieux con... ? » Dit-il en s'éloignant d'elle, doucement, et en se laissant tomber au sol, les bras en croix et le corps en nage.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Dim 21 Fév - 15:31
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice Rapidement elle perd le sens de la réalité, retrouvant son amant entre ses bras. Jamais le désire ne semble pouvoir se tarir entre elle et Eliakim. Connaissant leurs caractères et leurs passés communs il ne pouvait pas en être autrement. Eliakim était connu pour être un véritable tombeur, incapable de rentrer chez lui en solitaire. Et durant presque six ans il a enchainé les conquêtes, que ce soit autant chez les femmes que chez les hommes. Quant à Alice, si elle n'a couché qu'avec lui, cela ne l'a pas empêché de se découvrir une sexualité assez débridée, et libérée. Ils ont déjà passé plus de trois jours enfermés dans une chambre à faire l'amour. A coucher ensemble, plutôt, car à l'époque ils n'étaient pas encore du genre à se déclarer. Mais outre Eliakim elle était une charmeuse, une jeune femme qui adorait se faire désirer et voir les autres lui courir après. Mais elle lui revenait toujours, laissant son désir s'exprimer dans les draps de cet amant d'exception. Leurs corps étaient pour être ensemble, c'était une évidence pour elle. Il était fait pour la faire sienne. L'amour était venu plus tard, se dévoilant doucement. Et aujourd'hui ils étaient sur la même longueur d'ondes, dans une relation qui les rendait heureux tous les deux. Malgré tous les anciennes habitudes étaient bien installés. Et lorsqu'une dispute risquait d'exploser la jeune femme n'avait qu'une seule solution pour l'éviter : le sexe. C'est ainsi qu'elle se retrouva sur le canapé du salon, proche du bureau de son homme, nue, à l'attendre. Et il réagit automatiquement. Faibles, tous les deux, face aux corps de rêve de leur amant. Partenaire de vie, pour toujours. Futurs mariés... l'idée excitée terriblement Alice, ce qui devait se voir. Son amant vint lui parler un temps, et elle tenta de le rassurer. Il n'était pas trop vieux, certainement pas, et quiconque lui dirait cela serait forcément stupide. Il n'avait qu'une trentaine d'année, et commençait une vie à deux, qui allait inclure un mariage et sans doute des enfants. Il avait une vie totalement normale. C'est ce qu'elle tente de lui dire, de lui faire comprendre. Elle ne fait pas attention à ce que l'autre étudiante à pu lui sortir. C'est une pauvre abrutie, comme il y en a beaucoup dans sa propre formation. Comme elle a pu l'être elle aussi de temps en temps. Mais elle espérait avoir changé, ne pas être mise dans le même panier que ce genre de fille aujourd'hui.
Passons, il reporta rapidement son attention sur le corps nu qu'Alice exhibait devant lui depuis quelques minutes maintenant. Enfin ... pensa-t-elle en partageant son regard gourmand. « Me désireras-tu encore comme ça dans dix ans ? » Sans aucun doute s'il est aussi bien monté... Le regard de la jeune femme tombe sur le renflement de son pantalon, et elle se mord la lèvre. « Et toi ? » demanda-t-elle avec un air sceptique. Quand elle aura plus de rides, et les seins tombant ? Elle grimaça à l'idée. Non, ils mourront dans un accident de voiture avant d'être hideux et de ne plus être désirables. Le désir c'est leur manière d'être, c'est leur identité. C'est ce qu'ils sont. En prouve la caresse intime que la jeune femme offre à son homme. Se glissa entre ses cuisses elle vient trouver son sexe tendu et frémissant pour le gouter goulument. « Ose me dire que j'ai le corps d'un vieux... » Elle laisse échapper un rire cristallin alors qu'il fait le paon, fier de ce corps sculptural qu'il arbore fièrement. Il a retrouvé son corps pré-dépression. Celui qui a fait succombé la jeune femme. Le corps qui la rend folle, totalement. Et elle lui montre, en lui offrant cette caresse qui le rend complètement fou. En prouve son regard assombri par le désir, et l'envie de hurler qui l'observer à se mordre durement la lèvre. Elle aime l'avoir en son pouvoir, elle ne peut pas s'en lasser. Mais c'est un bras de fer qui s'engage entre eux...
Il la force à se lever et la bloque contre un meuble sur lequel elle s'assoit, en équilibre précaire. Il vient la prendre, la possédant d'un geste fier et conquérant. Hurlement de la part de la jeune femme face à cette invasion soudainement. Elle l'a cherché, elle a provoqué cela, et elle savoure. Violence, domination qui étreint son homme. Il vient en elle avec des mouvements durs et rapides qui la rendent folle. Elle crie son plaisir, le suppliant de lui en offrir plus. Folle, ivre de lui, de ce désir qui les envahit ensemble. Elle s'accroche à son cou, vient trouver ses lèvres, alors que leur corps tapent l'un dans l'autre. Durement, la douleur se bat avec le plaisir alors que la jeune femme succombe une première fois au plaisir dans un hurlement divin. Elle suffoque, s'essouffle, mais il ne lui laisse pas le temps de se reprendre. Elle descend du meuble, fait dos à son homme qui revient à la charge, toujours aussi dure et excité par la vue de sa femme. Elle s'accroche, autant qu'elle le peut au meuble qui semble s'effondrait autour d'elle. Elle s'en fout, complètement, les objets se cassant autour d'eux. Elle a l'impression qu'ils vont en mourir, si jamais ils devaient se quitter maintenant. Elle se tend vers lui, l'incitant à aller plus vite encore si cela était possible. Il se penche vers elle, trouve son point sensible, et les yeux de la jeune femme s'ouvrent soudainement, exorbités par les sensations violentes qui l'assaillent. Elle se cambre, vient le chercher, et dans un dernier mouvement violent se met à hurler comme une hystérique. Elle reste là, le corps vibrant de plaisir. Bordel . « Alors, je suis toujours un vieux con... ? » Elle aimerait rire, mais son sourire lui demande déjà un énorme effort. Il quitte son intimité, et elle grogne de mécontentement. Il se laisse aller par terre sur le tapis du salon, et propose son corps en sueur. Elle se tourne, et s'assoit sur ses cuisses, devant son sexe fatigué par cette partie violente. « Hum... Tu es plutôt doué. Je l'avoue. » dit-elle en se penchant sur son corps pour quémander un baiser, et se laisser aller contre lui.
Elle sourit, soupirant d'aise d'être dans ses bras. Elle dessine des arabesques sur son torse et son bras. Attendant qu'ils se remettent, quelques instants. Elle sent des courbatures déjà arriver. Soupire, et se relève, dans un dernier mouvement, grognant, pour rejoindre la cuisine. « Tu devrais te faire insulter plus souvent par tes élèves. » Dit-elle avec un air malicieux. Elle arrive devant leur frigo et prend une bouteille d'eau. Ainsi que des apple pie pour manger un peu. Ca creuse, de faire l'amour. Surtout comme cela. Elle revient vers son homme, buvant, et lui tend la bouteille à son tour, debout devant lui. « Est-ce que ... Est-ce que je suis comme ce genre de fille ? » demanda-t-elle, son angoisse la saisissant soudainement.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Mar 23 Fév - 18:08
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
Il ne sait pas si un jour son désir se calmera, sept ans qu'ils sont ensemble plus ou moins, un an véritablement qu'ils s'aiment sans que cela ne pose aucun problème. Ils ont passés six années à se courir après sans pouvoir s'attraper, à s'aimer entre deux cours, comme des amants maudits. Amour impossible, il n'aurait jamais pensé avoir cette chance, avoir Alice pour lui, prête à l'épouser et à devenir sa femme et la mère de ses enfants. Il réalise tout ça, cet amour, ce désir violent et qui le prend, même après sept ans il désire toujours autant sa femme. Il ne sait pas si cela durera, si ils sont véritablement des âmes sœurs comme voudrait le faire croire les romantiques. Eliakim est un homme de science, un professeur qui en même temps a des solides connaissances en théologie, il a du mal à croire que deux âmes puissent se rencontrer et n'en former qu'une seule, cela irait à l'encontre de toute théorie que Eliakim adore lire depuis qu'il est adolescent. Pourtant avec Alice, il se sent tellement en osmose, une symbiose parfaite de deux corps et deux âmes, qu'il a l'impression parfois qu'il est né dans l'unique but de rencontrer et d'aimer cette femme parfaite. Et cet amour, cette perfection, cette tendresse se retrouve à chaque fois qu'ils font l'amour. Ils ne se quittent plus, s'aiment jusqu'à l'épuisement, jusqu'à tomber raide mort dans le lit et s'endormir d'un sommeil de plomb tant la fatigue les prend. Il bouffe son énergie, elle en fait de même sans même s'en rendre compte. De ce fait ils font l'amour pendant parfois toute une après-midi entière, sans se laser de découvrir encore et encore le corps de l'autre. Il aime Alice, il aime sa femme, profondément. « Hum... Tu es plutôt doué. Je l'avoue. » Lui dit-elle alors qu'elle s'allonge contre lui. Il rit un peu tout en laissant sa main glisser dans son dos pour la câliner. « Je suis un Dieu du sexe, tu ne peux pas dire le contraire ! » Murmure Eliakim en l'embrassant sur le front, conscient que dans quelques secondes elle va sans doute lui répondre quelque chose pour le faire râler, elle fait toujours ça lorsqu'il tente de s'envoyer des fleurs.
Elle se lève, il soupire en sentant le corps chaud de sa femme le quitter. « Bébé ! » S'exclame Eliakim en tendant ses mains vers elle pour la retenir, en vain. « Tu devrais te faire insulter plus souvent par tes élèves. » Il lui tire la langue en rampant un peu vers le canapé pour attraper un coussin qu'il cale sous sa tête, au sol avant de se rallonger tranquillement. Bonheur d'avoir un chauffage au sol. Sa femme revient avec une bouteille d'eau fraîche et un reste d'apple pies, il sourit alors qu'elle lui tend sa bouteille d'eau, il la prend et avale quelques gorgées avant que sa femme ne lui pose une question, le faisant un peu s'étouffer au passage. « Est-ce que ... Est-ce que je suis comme ce genre de fille ? » Il tousse un peu en lui rendant sa bouteille. « Pourquoi tu penses ça Alice ? » Dit-il en lui attrapant un coussin pour qu'elle s'assoit dessus si elle envie. « Bébé, tu as déjà manqué de respect à un professeur injustement ? Parfois on abuse c'est vrai, mais là je ne lui avais rien fait c'est elle qui m'a attaquée. Tu n'es pas comme ce genre de fille... C'est ce qui me plaisait chez toi lorsque je t'ai rencontrée. » Dit-il en déposant un baiser sur une de ses cuisses. « Viens là... » Dit-il en lui ouvrant un de ses bras, l'invitant à venir se réfugier contre lui pour un instant câlin après l'amour. « Pourquoi tu te poses ce genre de question ? » Dit-il en lui caressant une cuisse nue alors qu'elle s'installe prêt de lui. Il pique un morceau d'apple pie, affamé après la séance de sexe qu'ils viennent d'avoir. « Et toi ? Tu... L'idée ne t'a jamais traversée de peut-être chercher quelqu'un de plus jeune ? Je ne suis pas si vieux je sais, mais tous les étudiants auraient été enchantés d'être à ton bras, pourquoi moi ? Pourquoi un professeur ? »
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Mer 24 Fév - 22:02
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice « Je suis un Dieu du sexe, tu ne peux pas dire le contraire ! » Elle ne peut pas nier ce fait, ou lui faire croire le contraire. Il est bien trop doué pour son propre bien. Ou pour celui de la jeune femme d'ailleurs. Outre le fait qu'il la rende complètement folle, la rumeur de ses prouesses à fait de lui le mec que tout le monde voulait s'envoyer. Et à Oxford il est connu pour être un peu le type au mille et une conquête. Le genre de professeur dépravé qui ne dit que rarement non . Et même s'il n'est vu que dans les draps d'Alice a présent, ce genre de rumeurs, et d'habitude met du temps à disparaitre à Oxford. Et elle reste persuadée que cela restera toujours derrière eux. Eliakim sera toujours vu comme cet être un peu facile, un peu à la portée de tous, qu'importe qu'il soit marié ou pas. Et même, l'épisode de son adultère sera gravée dans leur avenir. SAns doute pas officiellement, dans les journaux relatant de leur avancé professionnel, mais sans nul doute dans leur quotidien oxfordien. C'est sans doute pour cela qu'Alice espère trouver une place à Londres, même si elle doit faire les aller-retour constamment. Qu'importe, elle sera heureuse, parce qu'elle sera avec lui.
Mais alors qu'il vient critiquer clairement les agissements de son élève elle sent sa gorge se serrer. Ce genre de fille, d'étudiante qui n'est là que parce qu'elles ont le bon nom ou l'argent suffisant pour cela, elle les connait. Elle en fait partie. Elle ne peut que les comprendre. « Pourquoi tu penses ça Alice ? » Elle baisse le regard. Est-ce qu'il n'en a jamais pris conscience avant ? Du fait qu'elle n'était pas une étudiante normale qui avait gagné sa place à Oxford ? Alice l'avait volée, très clairement. Elle jouait de son nom, et de son aptitude à manipuler les autres pour passer les épreuves, et les années d'études depuis le départ. Parce qu'il serait malvenu de tourmenter la fille du Lord Kensington, c'était une évidence. Mais apparemment pas pour son homme qui s'étouffe en entendant la question d'Alice. Elle sourit, et soupire profondément, mangeant une part de son apple pie. Manger la détend, et en plus elle meurt de faim. « Bébé, tu as déjà manqué de respect à un professeur injustement ? Parfois on abuse c'est vrai, mais là je ne lui avais rien fait c'est elle qui m'a attaquée. Tu n'es pas comme ce genre de fille... C'est ce qui me plaisait chez toi lorsque je t'ai rencontrée. » Elle penche la tête sur le côté et le regard droit dans les yeux. Est-ce qu'elle était vraiment différente de ce genre de filles ? Elle en doute sincèrement. En tout cas elle ne s'est jamais considérée comme différente d'elle, bien au contraire. Elle se retrouve beaucoup trop dans leur manière d'agir. De quémander toujours l'attention et le pouvoir, de passer au-delà des exigences des professeurs, et de jouer de leur influence pour se faire remarquer, et réussir à avoir leurs diplômes au final. Elle n'est pas une excellente élève, elle arrive dans la moyenne. Elle est excellente, malgré tout, dans quelques matières. La politique, la communication, principalement. Mais elle n'est pas le genre d'étudiante qui marque les annales par leur intelligence. Abigael était géniale. Oliver était un putain de géni. Elle, elle était manipulatrice, rien de plus. Elle l'assumait, mais sous le regard d'Eliakim elle se rend compte que lui aussi est un géni. Et elle, qu'était-elle ? « Viens là... » Elle sourit, et vient trouver le réconfort dans les bras de son homme.
Elle soupire contre lui, et se laisse aller contre son torse dur et chaud. Elle laisse ses doigts glisser sur sa peau et former des arabesques. « Pourquoi tu te poses ce genre de question ? » Il caresse sa cuisse dans un geste tendre, et lui vole son apple pie. Elle rit, et lève les yeux au ciel devant son geste si puéril. « Parce que je suis ce genre de fille, Elia. J'ai payé pour être ici. Je ne suis pas la fille qui manque de respect aux profs, je suis celle qui les attise ou qui leur rappelle qui est son père pour avoir la moyenne et ses mentions. Je suis l'élève qu'on ne peut pas virer parce que son père est un gros donateur. Je ne suis pas ici parce que je l'ai méritée. Je le suis parce que je sais comment fonctionne le système. » Dit-elle sincère, en se relevant un peu et le regardant dans les yeux. « Quelle opinion as-tu des étudiants en politique, bébé ? Je suis comme ces étudiants. Je suis même la pire de toute. » Dit-elle en lui souriant, tristement. Et s'il se rendait compte de cela maintenant ? Et si soudainement son image d'elle changeait. Après tout il devait avoir conscience de cela. Elle n'était pas un gêni. Elle était une arriviste. Comme beaucoup d'autres.
« Et toi ? Tu... L'idée ne t'a jamais traversée de peut-être chercher quelqu'un de plus jeune ? Je ne suis pas si vieux je sais, mais tous les étudiants auraient été enchantés d'être à ton bras, pourquoi moi ? Pourquoi un professeur ? » Elle ne peut contenir un rire amusé à sa question. Sincèrement ? Il lui pose la question ? Après tout ce qu'elle lui avait fait subir, justement parce qu'il était un putain de professeur. « Tu penses que j'ai choisi ? J'aurai aimé que tu sois un étudiant, je t'aurai moins fait gambader. » Dit-elle en riant sincèrement. Vraiment, la peur du scandale et de l'opinion négative de son père l'avait poussée à ignorer les déclarations, et les demandes d'officialisation d'Eliakim durant six ans. L'aurait-il oublié ? Etait-il si heureux à présent que tout ce qu'elle lui avait fait subir n'avait plus d'importance ? « Je suis tombée amoureuse de toi. L'idée d'être avec un autre ne m'est pas venu. Je me suis montrée aux bras d'autres étudiants, parfois. Juste pour faire le scandale, ou pour le plaisir des tabloïds. Pour aider à ma réputation aussi. Mais sincèrement, je t'appartenais déjà. » Dit-elle en se penchant vers lui pour l'embrasser. « Et toi, tu n'aurais pas voulu d'une étudiante plus brillante ? Moins... riche ? Ou moins avare ? » Demanda-t-elle en souriant, posant délicatement son menton sur le torse de son homme.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Jeu 25 Fév - 18:22
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
Il se détend, se laisse aller dans les bras de sa femme après lui avoir encore fait l'amour. En temps normal elle serait venue se reposer sur lui et ils auraient discutés de tout et de rien, jouant avec la main de l’autre et s'embrassant jusqu'à ce que la fin leur rappelle qu'ils ne sont que des humains et heureusement. Douloureuse expérience qu'ils vivraient si ils étaient des créatures immortelles ne souffrant pas de la faim où de la fatigue, nul doute qu'ils passeraient leur journée l'un collé à l'autre, à s'aimer jusqu'à n'en plus finir. Leur condition d'humain leur permet de faire des pauses, c'est une chance au final. Mais apparemment, là où l'orgasme devrait calmer sa femme, il semble que le doute s'installe dans son esprit. Il grimace en voyant son visage se marquer d'un doute qu'il ne lui connaît pas. Il la regarde, cherchant dans ses yeux les réponses à ses questions mais rien ne vient, elle ne parlera pas encore. Elle s'installe, ils commencent à manger et le fourbe va même jusqu'à lui voler un morceau d'apple pies, tout sourire et fier de lui comme un coq après avoir fait jouir sa femme. Tous les hommes n'y arrivent pas, lui est toujours heureux de voir qu'Alice se libère sans aucun problème entre ses mains. « Tu te souviens de notre toute première fois... ? » Murmure Eliakim, laissant ses souvenirs prendre le dessus alors qu'il cale son bras droit sous sa tête en picorant des morceaux de pommes. « Tu étais si belle. Si pure. J'ai eu beaucoup de chance d'être ton premier... » Dit-il en se tournant vers elle. « Je crois que je t'ai aimée dés le premier soir. Mais je ne savais pas, je ne voulais pas que ça soit de l'amour. » Il venait à peine de sortir de Maxime à l’époque, il n'aurait pas supporté d'être rejeté une seconde fois, il le sait.
Pourtant il repart sur un sujet différent, les doutes de sa future femme. Enfin il lui demande les raisons de ce trouble qui l'envahit et qui semble l’attrister sans qu'il ne sache pourquoi. La réponse ne se fait pas attendre, elle est honnête avec lui. « Parce que je suis ce genre de fille, Elia. J'ai payé pour être ici. Je ne suis pas la fille qui manque de respect aux profs, je suis celle qui les attise ou qui leur rappelle qui est son père pour avoir la moyenne et ses mentions. Je suis l'élève qu'on ne peut pas virer parce que son père est un gros donateur. Je ne suis pas ici parce que je l'ai méritée. Je le suis parce que je sais comment fonctionne le système. » Il hausse les épaules et lève les yeux au ciel. « Tu n'es pas non plus la dernière des abruties Alice. Arrête de te dénigrer. » Dit-il en marmonnant, il n'aime pas l'entendre parler ainsi d'elle. Il sait que sa femme n'est pas première de sa classe mais il s'en fou complètement, il l'aime comme elle est et puis elle est brillante dans son domaine, c'est tout ce qui est important. « Quelle opinion as-tu des étudiants en politique, bébé ? Je suis comme ces étudiants. Je suis même la pire de toute. » Il soupire et réfléchit pendant une seconde, cherchant les bons mots. « Comme dans tous les domaines il y a du bon et du mauvais hors, tu dois le reconnaître, beaucoup de gosses de riches sont en politique et de ce fait, à mon goût, ça donne une image infecte de ce domaine. Je ne le connais pas, je n'ai jamais étudié cela. Mais... Je ne parle pas pour toi d'accord ? Mais beaucoup sont en politique pour faire quelque chose, mais qui au final reprendront l'entreprise de papa. Et ils vont en cours pour se faire bien voir et nous manquer de respect, c'est dommage, c'est tout. Le doyen n'ose pas trop râler car les parents sont des gros donateurs, résultat Oxford est livré aux gosses de riches qui n'ont rien dans le cerveau. »
Le sujet part sur eux, pourquoi lui et pourquoi elle ? Il ne se gêne pas pour lui demander, la réponse le fait rire avec elle. « Tu penses que j'ai choisi ? J'aurai aimé que tu sois un étudiant, je t'aurai moins fait gambader. » C'est vrai qu'elle l'a royalement fait ramer, parfois injustement. Ils ont seulement mis du temps avant de se trouver. « Je suis tombée amoureuse de toi. L'idée d'être avec un autre ne m'est pas venu. Je me suis montrée aux bras d'autres étudiants, parfois. Juste pour faire le scandale, ou pour le plaisir des tabloïds. Pour aider à ma réputation aussi. Mais sincèrement, je t'appartenais déjà. » Il lui jette un regard noir. « Je sais oui. » Dit-il, boudant presque au souvenir d'elle au bras d'autres étudiants friqués et, sincèrement, moches. « Et toi, tu n'aurais pas voulu d'une étudiante plus brillante ? Moins... riche ? Ou moins avare ? » Lui dit-elle en posant sa tête sur son torse, lentement il vient passer sa main droite sur sa joue, la câlinant avec un sourire tendre. « Tu es brillante, mon but n'est pas de regarder tes capacités. Tu es intelligente dans mon domaine, je le suis dans le mien c'est tout. Ton argent je m'en fou, j'en ai autant. Où peut-être un peu moins mais le gouffre va vite être comblé là. » Dit-il en riant et en laissant sa main glisser sur le dos de son épouse. « Et tu n'as jamais fait preuve d'avarice avec moi. » Mais aussitôt une question lui brûle les lèvres. « Alice, tu te serais arrêtée sur moi si... Je n'avais été qu'un professeur simple, sans... Beaucoup de richesse ? » Demande le professeur, perdant son sourire en une seconde.
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Lun 29 Fév - 16:55
Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Eliakim & Alice Elle se sent comblée, heureuse. Enfin elle peut être elle-même, elle peut vivre comme elle l’entend, avec l’homme qu’elle aime. Elle peut être heureuse, elle peut être quelqu’un. Sa vie prend un tournant terriblement satisfaisant. Elle se sent fière d’elle, de ce qu’elle est, de ce qu’elle construit. Et comment ne pas l’être ? Depuis qu’elle est enfant son père la prépare à cela. Depuis qu’elle est enfant il lui rappelle que dans leur monde c’est ainsi que les choses se passent : un bon mariage, une place, de l’argent, la réputation. Pour le reste, qu’elle fasse tout pour préserver sa vie privée, pour montrer uniquement ce qu’elle voulait que les autres sachent, et rien de plus. Qu’elle reste prudente, qu’elle se méfie toujours de ceux qui semblent bien trop prompt à lui balancer des informations sur les autres, sur son entourage. Ils en feront de même avec elle. Qu’elle fasse de beaux sourires à la caméra, c’est elle qui lui permettra de créer son image. Alice Kensington, une des reines d’Oxford. Loin d’être aussi terrifiante et intransigeante que Daisy, son alter ego dans le domaine, Alice était bien plus impliquée, mais inaccessible. Elle faisait sa vie dans une autre strate, ne se mélangeant pas au commun des mortels. Posh, belle, célèbre, riche. Improbable. Une image construite de toute pièce, et parfaitement contrôlée. Et en plus de cela elle avait trouvé un homme tout aussi séduisant, intelligent, et riche qu’elle. La puissance de la famille des Crowlley était parfaitement ce que son père pouvait espérer pour elle. Qu’espérait de mieux ? Sa vie était un conte de fée des temps modernes et elle était bien trop heureuse de la vivre pour s’en plaindre. « Tu te souviens de notre toute première fois... ? » Elle sourit alors qu’il la ramenait presque sept années en arrière. Une fille n’oublie jamais sa première fois. Pas en plus avec un homme aussi bien fait, et aussi doué. Elle avait eut la chance de connaître le plaisir dés sa première étreinte, et c’était sans doute grâce à l’agilité et la douceur de son homme. « Evidemment. » Dit-elle simplement comme réponse, alors qu’elle se plongeait dans son regard. « Tu étais si belle. Si pure. J'ai eu beaucoup de chance d'être ton premier... » Et beaucoup aurait tué pour être à sa place. Alice avait toujours été convoité, mais elle avait eut la chance de pouvoir choisir à qui elle voulait donner sa première fois. A un homme dont elle était tombée amoureuse. Combien de filles avaient eut cette chance ? « Je crois que je t'ai aimée dés le premier soir. Mais je ne savais pas, je ne voulais pas que ça soit de l'amour. » Elle fronce les sourcils, interrogative : « Pourquoi tu ne le voulais pas ? » Demanda-t-elle. Elle, elle avait toute sa pression sociale et sa stupidité. Mais lui, pourquoi fuir ces sentiments ?
Ils en vinrent à parler des étudiants stupides qui profiter de leurs noms pour se faire une place à Oxford. Comme Alice. Elle essayait de faire entendre à son homme qu’elle faisait partie de ces étudiants-là. Sa place, elle avait payé pour l’avoir, elle ne l’avait pas gagné par le fruit de son travail. « Tu n'es pas non plus la dernière des abruties Alice. Arrête de te dénigrer. » Elle secoud la tête, et baisse le regard. Il ne comprend pas son point de vue, et la crainte que lui influe les remarques qu’il a vis-à-vis des étudiants de son domaine. Les étudiants en politique ne sont pas forcément bien vus par les professeurs. Parce qu’ils sont l’archétype même des hypocrites et des futurs dirigeants vereux de notre monde. Comment ne pas tous les détester ? « Comme dans tous les domaines il y a du bon et du mauvais hors, tu dois le reconnaître, beaucoup de gosses de riches sont en politique et de ce fait, à mon goût, ça donne une image infecte de ce domaine. Je ne le connais pas, je n'ai jamais étudié cela. Mais... Je ne parle pas pour toi d'accord ? Mais beaucoup sont en politique pour faire quelque chose, mais qui au final reprendront l'entreprise de papa. Et ils vont en cours pour se faire bien voir et nous manquer de respect, c'est dommage, c'est tout. Le doyen n'ose pas trop râler car les parents sont des gros donateurs, résultat Oxford est livré aux gosses de riches qui n'ont rien dans le cerveau. » Elle grimace. Il ne parle pas pour elle mais elle se retrouve dans ses paroles, incommensurablement. Elle ne peut en être vexée, ce n’est que la pure vérité. Elle va en cours en sachant que si jamais elle rate ses examens son père en sera vexé, et ne sera plus aussi généreux. Ses professeurs avaient plutôt intérêt à se montrer généreux avec elle, de ce fait. De même, elle était ici parce que son père et le Doyen étaient proches. Elle reprendra l’entreprise de son père, c’était pour cela qu’elle était là. Est-ce qu’elle avait quelque chose à offrir en plus ? Elle n’en était pas vraiment sûre. « Tu décris assez bien ma situation je trouve. » dit-elle avec un sourire gêné sur les lèvres. Vraiment, elle se demanda soudainement s’il ne s’était pas trompé à son sujet.
Elle finit par s’allonger près de son homme, écoutant les battements de son cœur, autant que ses paroles. « Tu es brillante, mon but n'est pas de regarder tes capacités. Tu es intelligente dans mon domaine, je le suis dans le mien c'est tout. Ton argent je m'en fou, j'en ai autant. Où peut-être un peu moins mais le gouffre va vite être comblé là. » Elle laisse échapper un petit rire. De l’argent elle en avait assez pour vivre une dizaine de vies, plus encore, et elle en gagné constamment. Vive la richesse de papa, et l’héritage de maman, les petits travails et les droits à l’image. Et vive les procés gagnés contre les papazzis tous les six mois aussi. « Et tu n'as jamais fait preuve d'avarice avec moi. » Elle grimace. Il avait tord, en réalité. Quand elle était revenue vers lui un an auparavant, tenter de le convaincre de l’épouser, elle en avait après son nom et son argent. Une trahison qu’il réalisa, première dispute aussi mémorable entre eux, qui finit par le sang et les larmes (dirons-nous). Comment pouvait-il passer outre tout cela ? Elle était parfaitement avare et intéressée. Elle avait simplement eut de la chance de tomber amoureuse de lui. « Alice, tu te serais arrêtée sur moi si... Je n'avais été qu'un professeur simple, sans... Beaucoup de richesse ? » Elle sentit sa gorge se serrer. Elle ne pouvait pas lui mentir, c’était impossible. Gênée, elle se releva et s’assit, en tailleur, lui tournant le dos. Ses mèches blondes tombaient en cascade autour de son visage, comme pour cacher son émoi. « Nous aurions vécu caché, jusqu’à ce que je rencontre l’homme que mon père désirait pour moi. » Dit-elle simplement. Elle se tourna vers lui, espérant qu’il ne prendrait pas mal ce qu’elle était en train de lui dire. Elle était sincère, vraiment. « J’ai eut la chance de tomber amoureuse de toi. Tu es exactement celui que… mon père attendait. Que j’attendais. D’une manière totalement intéressée. » dit-elle en rougissant de gêne et de honte. Mais elle ne voulait pas qu’il pense qu’elle était revenue un an en arrière, ne l’épousant que pour son argent ou pour son nom. « Mais je t’aime. Je t’aime toi, bien plus que pour ton argent ou parce que tu es un Crowlley. J’aime l’homme que tu es, entièrement. Et c’est tout ce qui compte maintenant… non ? » demanda-t-elle en se mordant la lèvre, peu sûre d’elle. « Comment un homme avec ton intelligence et ta franchise a pu tombée amoureux de moi ? Parfaite illustration de l’hypocrisie et de la manipulation ? » Demanda-t-elle en souriant, amusée par ce paradoxe impossible.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: [HOOOOT] Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! Alikim Mar 1 Mar - 20:22
Alikim
« Pour un flirt, avec toi... Je ferais n'importe quoi ! »
La conversation prend un tournant qui ne lui plaît pas tellement. Après l'amour il aime les câlins, la tendresse, recommencer même mais pas parler des sujets qui fâchent, des sujets qui imposent le doute aux deux personnes. Pourtant sa femme semble avoir besoin de parler alors tel le mari et l'époux aimant qu'il est, il l'écoute sagement et lui répond avec un sourire. Pourtant vient le moment où ils parlent d'elle et de son attitude, il n'est pas idiot il est au courant de la réputation de sa femme. Une fille qui sort avec les garçons car ils ont une bonne réputation et qu'ils sont riches, une femme qui personne n'a eu dans son lit sauf lui, malgré les rumeurs que tout le monde voulait bien apporter. Lui seul est au courant qu'elle a un grain de beauté sur la cuisse. Lui et Eden, mais cette dernière ne compte pas. Pas pour lui en tout cas, il est le seul homme à avoir eu sa femme et c'est une victoire pour Eliakim, ainsi qu'une grande fierté. Il lui ouvre son bras alors qu'elle vient se coller à lui, nue comme au premier jour de sa naissance. Il se rend compte qu'il l'observe encore et encore, il l'aime tellement. Et la trouve si belle, si parfaite. Tellement bien faite, il pourrait l'observer pendant des heures. Pourtant ils changent de sujet, il se laisse un peu emporter sur les étudiants en politique, sans se rendre compte que le visage de sa femme blêmit. « Tu décris assez bien ma situation je trouve. » Dit-elle alors qu'il se mord l'intérieur de la joue. Il s'assoit et s'approche d'elle, posant sa tête sur son épaule. Doucement il glisse ses bras autour de sa taille pour la prendre contre lui dans une étreinte réconfortante et puissante. Pourtant il se laisse tenter par une question qui brûle ses lèvres depuis le premier jour où il l'a rencontrée, il n'a jamais osé la lui poser car il craint la réponse. Il lui demande si elle l'aurait aimée si il n'avait pas eu d'argent, il sait d'avance que cela n'aurait pas été possible entre eux. Mais il lui demande quand même. « Nous aurions vécu caché, jusqu’à ce que je rencontre l’homme que mon père désirait pour moi. » Il baisse la tête et se passe une main gênée dans les cheveux, comprenant que dans tous les cas, si son père n'avait pas voulu Alice ne serait jamais avec lui. « J’ai eut la chance de tomber amoureuse de toi. Tu es exactement celui que… mon père attendait. Que j’attendais. D’une manière totalement intéressée. » Il a l'impression de revenir un an en arrière, lorsque Alice tentait de le charmer pour l'épouser, comme son père avait voulu. Il comprend qu'encore une fois tout est question de pouvoir et de réputation, bien loin du romantisme qu'il avait imaginé. « Mais je t’aime. Je t’aime toi, bien plus que pour ton argent ou parce que tu es un Crowlley. J’aime l’homme que tu es, entièrement. Et c’est tout ce qui compte maintenant… non ? » « Si... » Répond Eliakim en se levant et en cherchant son caleçon, qu'il retrouve au milieu de la pièce et qu'il enfile. « Je t'aurais aimée même si tu n'avais pas eu un centime moi... » Dit-il, toujours un peu contrarié d'apprendre que l'argent et le jugement du Lord avait permis à leur couple de se faire. Et pas leur amour. « Comment un homme avec ton intelligence et ta franchise a pu tombée amoureux de moi ? Parfaite illustration de l’hypocrisie et de la manipulation ? » Il hausse les épaules et s'approche d'elle pour lui déposer un baiser sur les lèvres. « Je n'ai jamais cherché plus loin. C'est ça que tu ne comprends pas Alice. Je t'aime, c'est tout. J'espère juste que si un jour je perd toute ma fortune, tu ne me largueras pas pour autant. » Dit-il avec un petit sourire, avant de se retourner et de chercher la suite de ses vêtements. « Et amuse toi encore à me traiter de vieux et je t'attache toute une journée, soumise à mes envies, sans pouvoir bouger et te défendre. »