| Sujet: tu me crois la marée et je suis le déluge. (carmen) Lun 29 Fév - 20:21 | |
| carmen campbell des bleus au cœur.
identification complète carmen. c'est doux, carmen, c'est beau. ton prénom, malgré les personnes qui te l'ont donné, tu l'as toujours aimé. tu trouves que ça sonne bien, c'est joli carmen. ça chante, juste du bout des lèvres. ça danse sur la langue, ça s'échappe dans l'air, ça vole dans les esprits. campbell tes noms, c'est le feu et la glace, c'est le chaud et le froid. campbell. ça te fait froid au coeur, ça te fait froid à l'âme. ça te glace le sang, ça te glace les larmes. et le coeur qui se sert, qui s'déchire, un peu plus, toujours plus. t'as beau avoir forgé une lourde porte derrière laquelle tu caches ton passé, ton nom de famille, c'est l'oiseau noir qu'a réussi à s'échapper. âge Vingt-sept ans. C'est pas trop vieux, tu trouves. Juste à temps pour se créer des souvenirs, juste à temps pour avoir le cœur qui bat plus vite et les mains moites, et juste à temps pour être heureuse, tout simplement. lieu/date de naissance t'es née le sept janvier quatre-vingt sept. t'es pas particulièrement heureuse à l'arrivée de cette date. après tout, elle n'est pas si spéciale. tu n'es pas si spéciale, puisque l'on ne te l'a jamais souhaitée. là où tu vivais, là où tu es née, l'endroit que t'as fui, c'était new-york. t'as jamais aimé cette ville. tout est trop grand, les gens sont trop tristes, tu n'as jamais aimé voir les abrutis dans leur costumes mal taillés et les femmes dans leurs talons aiguilles et leurs robes qui leur arrivent plus haut que le genou se pavaner dans la rue. toi, tu préférais le calme, tu préférais fermer les yeux et entendre les feuilles qui craquent. études suivies et année écrire ici. job tu es institutrice. tu les aimes, tes enfants. c'est des rires qui s'échappent, des regards rieurs, des sourires innocents. c'est des cœurs qui battent à l'unisson, qui battent à mille à l'heure. c'est l'bonheur, de les voir là, courir à en perdre le souffle. c'est pas le tien, d'bonheur, mais tu t'en contentes bien. orientation sexuelle tu ne sais pas. non pas que tu ne veuilles pas te coller une étiquette, tu n'es pas du genre à crier haut et fort les injustices qui se bousculent au coude à coup entre les murs gris de la rue, entre la fumée d'cigarette et les mots qu'on oublie. tu ne sais pas, parce que tu n'aimes pas, tu n'as jamais aimé. tu ne sais pas parce que ton coeur saigne, et que personne n'a jamais été là pour penser les blessures. statut célibataire. célibataire et surtout très seule. ce n'est pas la même chose. statut social ££. caractère donnez 5 traits de caractère au minimum. groupe écrire ici. avatar écrire ici.
Welcome to the jungle Donnez nous les informations les plus importantes concernant votre personnage. Ce qu'il aime et ce qu'il déteste. Ce qu'il voudrait faire de sa vie, ses ambitions, ses rêves. Ce qui fait de lui la personne qu'il/elle est actuellement. Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit, sed do eiusmod tempor incididunt ut labore et dolore magna aliqua. Ut enim ad minim veniam, quis nostrud exercitation ullamco laboris nisi ut aliquip ex ea commodo consequat.
The story of my life t'as grandi dans une famille trop pauvre, là où on t'aimait pas assez. c'est un regard vide, un regard noir que l'on pose sur toi. enfant, tu rêves d'un corps contre lequel te serrer, une épaule sur laquelle pleurer. tu rêves de parents aimants, tu étouffes tes sanglots répétés contre l'oreiller blanc. dans ton lit bien trop grand, tu te sens seule, et chaque soir, tu attends le moment et la porte d'entrée fera clic, lorsque maman rentre du travail. chaque soir, tu rêves d'un baiser déposé sur le front, d'un je t'aime murmuré au creux de l'oreille. mais t'as droit à une indifférence qui glace, qui blesse. plus le temps passe, plus tu sens ton coeur se vider, ton coeur se briser. dans ton esprit raisonnent les mots qui n'ont jamais été prononcés. tu ne peux que t'imaginer l'amour que l'on ne t'a jamais donné. à l'école, tu es la petite fille au sourire trop grand pour être vrai, tu sautes partout, tu ries trop fort. boule d'énergie, tu es heureuse, qu'ils se disent. pourquoi irait-on chercher plus loin qu'un sourire d'enfant ? bien sûr qu'on l'aimait, ils pensaient. bien sûr, cette enfant là était heureuse, était chanceuse. elle était née au bon endroit, au bon moment. la vie en oublie certains, mais pas elle. pas la petite fille aux yeux qui pétillent. bien sûr que non, les étoiles dans ses prunelles noires ne sont pas des perles salées. carmen est un miracle, une étoile filante, c'est le bonheur en personne, carmen, c'est un sourire ambulant, elle brille, elle intincelle. carmen elle est gentille, trop gentille, elle soigne les maux de coeur, elle recolle les morceaux coupants, elle soigne les âmes terrassées. mais carmen, qui la sauve, elle ? carmen, tu es seule. carmen, tu auras laissé le temps t'écorcher. corps âbimé. larmes versées. coeur niqué. mais carmen, tu subis toute la douleur que peut engendrer la solitude en serrant les dents. tu ne te plains pas, jamais. tu continues d'avancer dans un tunnel qui devient chaque jour un peu plus sombre, et tu n'en vois pas le bout. carmen, tu te donnes aux autres sans même te posséder. tu te dis que, peut-être, en contribuant au bonheur des autres, cela forgera le tien. mais jamais il ne vient. à chaque minute qui passe, tu te dis que ton heure arrivera. mais t'as beau attendre, t'as beau prier, les mains jointes, tes genoux âbimés appuyés contre le sol froid de ta chambre, t'as beau prier le dieu auquel t'as arrêté de croire de te donner un petit peu, rien qu'un petit peu, un peu de bonheur, un sourire, un regard différent de tous les autres, il ne vient pas. tout reste sombre, tout reste froid. parce qu'il est évident que la vie en oublie certains. alors tu te dis que t'es pas si malheureuse, t'as un toit où coucher, une table où manger, un lit pour reposer ton corps fatigué, fatigué d'avoir trop cherché. peut-être que tu te fais des idées après tout, peut-être le bonheur est-il sous ton nez. peut-être que tu l'as loupé un jour, que tu l'as pas vu, qu'il t'es passé d'vant sans prendre le temps de s'arrêter. tu te dis que tu vas bien finir par l'trouver, ce bonheur dont tout le monde parle. les papillons qui volent dans le ventre, un sourire, un vrai, pas ce faux sourire que t'affiches continuellement. les oiseaux qui volent dans la cage thoracique, le souffle qui manque. mais carmen, le temps passe, et t'as beau penser que le malheur, c'est pas ce sentiment, ce sentiment qui te hante tout le temps, qui te bouffe de l'intérieur, t'as beau y croire sincérement, tes yeux restent éteints. le sourire est chaque jour un peu moins vrai, le rire un peu plus fort, et les larmes plus nombreuses. tu te recroquevilles sur toi même, contre le mur, et tu sanglotes silencieusement, les mains glacées, les yeux rougis, le coeur bouffé, fatigué de n'avoir personne à aimer. t'en as marre de subir le quotidien. t'en as marre d'avoir envie de rester dans tes draps, le matin venu. t'en as marre de chercher en vain, de chercher ce quelque chose ou bien ce quelqu'un. ce quelqu'un qui saura faire la différence, qui fera battre ton coeur un peu plus vite. t'en as marre de ne trouver aucune raison d'exister. c'est dur, vous savez. c'est dur de vivre sans même savoir pourquoi. d'avoir à se trouver, à chaque seconde qui passe, une raison de ne pas partir. carmen, la majorité en mains, tu t'es barrée, tu t'es enfuies. lâchement peut-être, mais personne ne t'attendait nul part, alors. t'es partie. t'es partie, et t'as galéré, mais t'as réussi. t'as fait ta vie ailleurs, loin des peurs du passé, le passé qui finira quand même par te rattraper, tu l'sais. t'es pas heureuse, t'es juste mieux. t'es partie de loin, et tu te l'es promis, tu irais haut. t'as fait des études, t'as prouvé au monde que t'étais pas si faible. et maintenant, tu n'es plus seule, t'as tes enfants. on t'a dit souvent, que c'était con de s'entêter à apprendre l'alphabet à des mioches de six ans, mais tu t'en fous, toi, tes enfants, tu les aimes. désormais, l'matin, t'as une raison de te lever. tu dois les aider, les guider, tu dois aider ceux aux sourires trop faux, les sourires comme le tien. tu dois tendre la main à ceux qui n'en n'ont jamais serrée aucune. tu t'es promis que jamais personne n'aurait à revivre cette solitude qui t'as bouffée de l'intérieur, qui t'as laissé un coeur détruit, ravagé, dont il ne reste que des débrits. personne ne le mérite, personne ne mérite de verser tant de larmes, personne ne mérite de ne pas être aimé. personne ne mérite d'être si seul, si triste. personne ne mérite d'entendre le hurlement constant des pensées ravagées, des pensées répétées, des pensées usées. oui, tu le aiderai, tu te l'étais promis. carmen, faute d'avoir connu l'bonheur tant rêvé, tu t'es promis de l'offrir aux autres. de ne jamais baisser les bras. carmen, l'instit' au sourire un peu trop faux, au regard un peu trop triste et au coeur déchiré que l'espoir n'a jamais quitté.
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Ici Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Ici Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Ici As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Ici Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Ici Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? Ici
pseudo/prénom adèle. âge treize ans. (quatorze dans six jours les gars). lieu d'habitation france. où as-tu connu le forum sur bazzart. t'en penses quoi? il est beaau, les gens sont cools, et le contexte est juste parfait je trouve. Scénario ou Inventé? inventé. Voulez-vous un parrain pour vous aider sur le forum ? je devrais pouvoir m'en sortir, merci. un dernier mot? - Code:
-
[b]Nom de la célébrité[/b] ✗ Nom du personnage
Dernière édition par Carmen Campbell le Mer 2 Mar - 11:23, édité 1 fois |
|