(terminé) Hey brother, do you still believe in one another ? | Iosef & Lex

Hey brother, do you still believe in one another ?
Alex & Iosef
La veille, Timéo a été malade toute la nuit. Iosef c'est fait porter pâle au travail le jour même, refusant de laisser son fils qui avait apparemment un peu de fièvre. Il l'a veillé toute la nuit, revenant toute les heures auprès de son bébé pour le faire boire et pour prendre sa température. Heureusement vers dix heures du soir l'enfant c'est endormi dans les bras de son père, alors que ce dernier regardait la télévision d'un œil fatigué. Là, il a pris son fils pour aller le coucher dans son lit, exceptionnellement emménagé dans la chambre de son père afin que ce dernier puisse le surveiller et se réveiller au moindre problème. Une simple poussée de fièvre, Timéo en fait parfois. C'est un enfant fragile qui est rapidement assommé lorsque sa température monte, pas de quoi s’inquiéter mais pour le papa poule qu'est Iosef, il ne lui en faut jamais beaucoup pour paniquer. Alors, vers 8H du matin il se lève alors que son petit garçon tend ses bras vers lui. Il lui sourit et part lui préparer un biberon afin de le faire déjeuner, c'est là qu'il remarque que dehors le soleil est haut et que les températures sont avancées malgré la saison normalement froide. Son fils semble avoir remarquer car pendant quelques secondes, il fixe le paysage extérieur à travers la fenêtre. Iosef travaille beaucoup et il sait qu'il ne peut pas voir son fils autant qu'il le voudrait, pour son bien de toute façon, il doit travailler afin d'apporter à Timéo tout ce dont il a besoin. Mais aujourd'hui il n'ira pas donner cours étant donné qu'il a fait passer un mot d'absence, il peut prévoir de sortir avec son fils et de faire un saut au parc. Il termine de nourrir son garçon, le lave, l'habille et s'habille au passage avant de préparer un sac. De quoi goûter, un peu d'argent, de l'eau et des jouets pour son fils et voilà qu'il quitte l'appartement avec son garçon gazouillant dans sa poussette blanche. Il n'oublie pas également le thermomètre, de quoi vérifier que Timéo n'ai pas la fièvre qui monte encore. Une fois dehors, il marche pendant quelques secondes, le soleil est haut, il fait très bon et aucune rafale de vent ne vient leur arracher des frissons, c'est agréable. « On va se balader mon bébé ! » Dit-il à son fils qui le regarde et sourit, avec sa bouille adorable et ses deux petites dents du bas. Ils arrivent au parc, Iosef s'approche d'une marre aux canards et sort un peu de pain à jeter à quelques canards qui se précipitent pour manger. C'est là qu'il remarque, derrière lui, une masse qui semble bouger. Endormie, le jeune homme pue l'alcool et un reste de tabac froid, cela fait froncer les sourcils de Iosef alors que son fils tend vers le jeune homme une main potelée. Prudent, le professeur s'approche et s’accroupit auprès du jeune homme. Ses réflexes de médecin le poussent à s'assurer qu'il n'est pas à deux doigts de faire un coma où autre chose. C'est courant à Oxford les étudiants qui boivent comme des trous, mais c'est encore plus courant les overdoses et les comas malheureusement. « Ca va Monsieur ? » Demande Iosef en le secouant un peu, tout en tenant Timéo assez loin du jeune homme. Il pose sa main sur son épaule et le remue un peu plus vite. Là, il sort une bouteille d'eau de son sac et la tend à l'étudiant semblant revenir d'une soirée de débauche. « Vous avez besoin d'aide ? »

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Alex & Iosef
Iosef est médecin et obligatoirement, lorsqu'il voit quelqu'un en danger où seulement quelqu'un qui est mal, il se sent obligé d'aller aider la personne en question où lui demander si tout va bien. Il fait honneur à sa profession, il est également professeur et le jeune homme devant lui pourrait être un élève, il ne voudrait pas qu'il lui arrive malheur pour la simple et bonne raison qu'il a trop bu la veille. Oxford a été assez secoué par le meurtre de Balthazar, ce n'est un secret pour personne que depuis, la ville et les universités vivent dans une sorte de paranoïa collective assez effrayante, on est fouillé aux entrées des universités, dans les rues les forces de l'ordre patrouillent toute la nuit et les clubs sont muselés au maximum. Depuis, une peur ambiante rode, tout le monde attend le prochain drame et surtout tous les clubs se balancent la pierre. Riot, Posh et les autres se jettent des horreurs au visage en s'accusant mutuellement de la mort de Balthazar, ce qui bien-sûr n'arrange, n'aide personne et surtout, ne prouve rien du tout. De ce fait Iosef aimerait éviter un drame avec ce jeune homme qui semble encore saoul et mal de la veille. Le professeur installe son fils proche de là et sort une bouteille d'eau avant de s'accroupir devant le jeune homme avec un sourire. Il l'appelle un peu, le temps que ce garçon se réveille et sorte de son état second. Il lui demande comment il va, la réponse du jeune homme en question le fait sourire. En effet il doit avoir vu mieux avec son air d'ours mal léché, ses cernes, ses cheveux en bataille et son petit air perdu. Finalement le professeur lui demande si il a besoin d'aide en récupérant la bouteille que le jeune homme a quasiment terminée. « Merci m'sieur...Et non, ça devrait aller. Enfin j'crois. » Iosef hoche la tête et repose la bouteille auprès de lui. « Garde la, j'en ai d'autres ! » Dit-il avec un sourire. « Tu veux quelque chose à manger ? Je peux peut-être prévenir quelqu'un pour te raccompagner chez toi. » Dit-il en se passant une main dans ses cheveux mi-longs. « Où le faire moi même, surtout si tu as du mal à tenir debout. » Rit un peu Iosef en posant ses yeux sur le jeune homme.

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Alex & Iosef
Lorsqu'il était jeune Iosef était bouffé par la colère et rongé par la haine. A cause d'une enfance malheureuse où sa sœur adoptive était largement préférée à lui et surtout à causes des coups de son père, il était un enfant renfermé, préférant passer ses soirées à lire ses bouquins de médecine pour en apprendre toujours plus, se nourrir d'information jusqu'à s'endormir complètement épuisé et la tête prête à éclater. Il se retrouve dans le regard perdu de ce jeune homme, lui même était dans cet état i y a encore quelques années, avant qu'il ne soit papa de son petit garçon pour tout dire. Avant l'arrivée de Timéo, Iosef n'avait aucun but sauf réussir et sauver le plus de vie qu'il pouvait. Hors son accident à tout ravagé, il pensait qu'il ne serait plus bon à rien et que sa vie professionnelle était terminée dans tous les cas. Mais il a été forcé de constater que quelque chose de plus beau et de plus gratifiant que son travail pouvait lui tomber dessus. Son fils a été comme un second souffle, dés qu'il l'a trouvé dans cette maternité il a su que tout ce qu'il avait vécu ne serait rien face à ce qu'il avait à vivre. Iosef est loin de la vie de dépravation des professeurs et des étudiants vivant à oxford, il se tient loin des grandes soirées et rentre rarement chez lui avec une fille différente. Il préfère sa vie calme et posée avec son petit garçon, autrefois à la FAC il était dans ce style. Dragueur, coureur et charmeur, il ne comptait plus ses amantes et ses amants. Mais il était jeune, il profitait au moins et maintenant il n'a aucun regret. Il n'échangerait sa vie pour rien au monde. Et même si parfois il peut sembler rabat-joie, il est loin de ressembler à sa sœur du moins. Liloo bouge, sort, faire la fête et rentre tous les jours avec un mec différent. Elle vit ce que lui vivait il y a quelques années, elle est seulement en souffrance. Les gens qui vivent ainsi cachent des plaies parfois douloureuses, même des années après. Et en croisant le regard de ce jeune homme il comprend qu'il ne se trompe pas, quelque chose le pousse à se mettre dans cet état. Il le remercie, Iosef fait un vague signe de la main pour lui signaler que ce n'est rien. Puis, dans un effort incroyable il se lève. Iosef en fait de même et s'approche de son garçon, toujours dans sa poussette. Là il remarque que Timéo a attrapé la bouteille et la tend au jeune homme, ce dernier fait un autre sourire, sincère à son fils et au professeur. « J'ai personne à appeler. Mais ça va aller. Je mérite pas votre attention. » Iosef reste interdit une seconde mais le regarde partir. Prudent, il le suit doucement, bien décidé à ne pas le laisser s'en aller tout seul sans être sur qu'il peut tenir sur ses jambes. Il risquerait de se faire écraser où dépouiller là vu son état. C'est là qu'il trébuche et se rattrape avant de tomber sur les fesses. Heureusement ils ont fait quelques pas et ils ne sont plus sur le pond, ils sont maintenant dans un petit coin tranquille, proche de l'eau. C'est calme et les gens semblent ne même plus regarder ce jeune homme qui pourtant aurait besoin d'aide. Iosef soupire et revient auprès de lui, poussant la poussette de Timéo avant de l'installer proche d'eux. Là, le professeur détache son fils et, après lui avoir installé une grande serviette par terre ainsi que des jouets, il s'installe près du jeune homme toujours à terre. « Tu vois que tu mérites mon attention. » Dit-il en s'asseyant après avoir installé Timéo, ce dernier gazouille et commence à jouer avec ses figurines, ignorant les deux hommes à coté de lui. Un instant Iosef le regarde faire, il sourit, son fils est tellement beau. « Comment tu t'appelles ? » Demande le professeur en tournant son visage vers le jeune homme. « Reste là un peu, le temps de reprendre tes esprits. Tu reprendras ta route après, tu ne penses pas ? » Dit-il avec un sourire.

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Alex & Iosef
Il se reconnaît dans le regard perdu et embué de ce garçon, il se reconnaît dans sa façon laborieuse de se lever et de marcher. Difficilement il le regarde se lever et tenter de marcher avant de finalement, se poser sur son derrière devant un point d'eau. Alors Iosef reprend sa route et vient s'asseoir avec ce garçon. En premier lieu il veut le surveiller, s'assurer qu'il ne va pas tomber dans un coma où faire un malaise qui pourrait lui être fatal. C'est malheureusement souvent le cas à Oxford, les étudiants ne savent pas boire, ils finissent dans des états lamentables. Puis son instinct de médecin le pousse à rester avec lui, en tant que professeur de médecine il ne peut pas le laisser tout seul. Il pourrait évidemment appeler les secours afin de le faire aller à l’hôpital, mes les urgences sont pleines et les médecins urgentistes sont tellement habitués à voir ce genre de garçon dan cet état, qu'ils ne s'en occupent pas. Pire encore ils les laissent partir, souvent ils recommencent le soir même à boire et leur état se dégrade. Iosef se dit que si il peut parler à ce jeune homme et lui permettre de lâcher son sac un peu alors il se sentira utile. Mieux encore, si il peut lui donner l'impression qu'il est là pour lui alors ce jeune homme se sentira peut-être mieux, il a sans doute besoin d'une présence et de quelqu'un pour l'écouter et lui parler. Ça se voit dans ses yeux qu'il est profondément seul. Iosef se voit dans ses yeux et cela lui fait peur, il a l'impression d'avoir un lien avec ce jeune homme sans pouvoir s'expliquer. Il se dit que c'est uniquement son instinct de père et de médecin qui lui fait ressentir ça, c'est tout. « Oui, je vais rester un peu, le temps de récupérer. Merci... » Il sourit et hoche vivement la tête en cherchant dans son sac à dos. Timéo, son fils, joue tranquillement au bord de l'eau tout en restant proche de son père. Il regarde un instant le nouvel arrivant, lui fait également un sourire et recommence à se faire ses histoires avec ses figurines. Iosef, entre temps, trouve dans son sac quelques biscuits et une pomme. Il pose le tout sur son sac, accompagné également d'un sandwich thon-mayo-tomates. Ce n'est pas un grand luxe mais c'est tout ça. « Tu as mangé ? L'alcool va te brûler l'estomac si tu as le ventre vide. Sers toi. » Dit-il en se tournant vers lui après que le jeune homme ce soit installé. « Je m'appelle Alexander Norrington, mais appelez-moi Lex, c'est plus court. Et vous ? » Il butte un instant sur son prénom et se tourne vers lui. Ce prénom et ce nom de famille lui dit quelque chose sans qu'il ne sache quoi. Finalement il hausse les épaules et se dit qu'il en a peut-être entendu parler à l'université, c'est tout. « Iosef Gonzales. Je suis professeur et s'il te plait... Laisse tomber le vouvoiement ! » Dit-il avec un sourire. « Comment tu vas ? Tu te sens comment ? » Demande Iosef, un peu plus inquiet. « Si tu veux en parler... Je t'écoute ! »

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Alex & Iosef
Il ne comprend pas comment les gens tous autours d'eux, peuvent passer à coté e ce jeune homme sans s'arrêter et sans le réveiller pour lui demander si il va bien. Cela pourrait être grave, il pourrait avoir fait un malaise où pire, une overdose que personne ne se demanderait si il va bien. Ça ne prend pas longtemps pour s'arrêter et lui donner un peu à boire, ne serais-ce que pour s'assurer si il peut rentrer chez lui où si il faut envisager de rester avec lui le temps qu'il reprenne ses esprits. Iosef ne comprend pas, étant médecin il a le devoir d'aider les gens qui ne vont pas bien et de s'assurer que les gens autours de lui vont bien. Il se sentait obligé de s'arrêter à côté de ce jeune homme pour lui demander si il a besoin de quoi que ce soit. L’égoïsme des gens l'étonnera toujours, c'est quelque chose qui reste un mystère pour le médecin qui a juré de donner sa vie aux autres, jusqu'à y laisser sa santé si le besoin se fait sentir. Alors, avec un sourire satisfait il invite le jeune homme à l'accompagner au bord de l'eau et remarque qu'il s'assoit à coté de lui. C'est d'un sourire heureux que Iosef l'invite à manger, gardant un œil sur son garçon tout de même. D'ailleurs ce dernier s'approche de lui en lui montrant du doigt un canard sur le lac. Iosef rit un peu et sort un morceau de pain de son sac à dos. Puis il se lève, s'approche de l'eau et avec l'aide de son petit garçon, jette quelques morceaux de pain dans l'eau. Timéo réclame de le faire lui même en tentant vainement de prendre un morceau de pain de la main de son père. Alors le médecin attrape son fils, le porte et revient auprès de l'eau en le laissant jeter des miettes dans l'eau. Les canards ne se font pas prier pour venir s'empiffrer et aussitôt, plusieurs s'approchent du bord et picorent du pain dur. Lorsqu'ils n'ont plus de pain, Iosef repose son fils qui repart jouer et revient auprès du jeune homme. Il remarque avec plaisir que Lex croque dans une pomme bien verte et sucré après l'avoir remercié. « Enchanté Iosef ! Tu es prof de quoi ? » Il le tutoie, parfait, il se sent bien moins vieux d'un coup ! « Professeur de médecine. Cardiologie surtout, et toi tu es étudiant non ? » Dit-il en attrapant un morceau de quatre-quart de son sac et en croquant dans le gâteau savoureux. « Ca va mieux, grâce à vo....toi, merci beaucoup. L'amour, enfin c'est le bordel dans ma vie sentimentale... » Il hoche la tête, c'est apparemment le bordel pour tout le monde justement. L'amour est ce qu'il y a de plus difficile et Iosef doit avouer que cela reste un mystère pour lui. Il n'a jamais été amoureux, il n'a jamais eu le temps surtout. Sortant de l'université, il a enchaîné avec le travail son accident et son fils, n'ayant pas le temps de s'arrêter sur une fille où sur un homme. « Tu veux en parler ? » Dit-il à Lex avec un sourire doux. « C'est plus facile de parler à des inconnus. » Se justifie Iosef en prenant un autre morceau de son quatre-quart.

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Alex & Iosef
« Ouais, j'suis étudiant en droit. Mais je travaille dans un cabinet à côté, pour payer mes études » Lui aussi était ce genre d'étudiant, très travailleur en Fac mais aussi, toujours en mouvement à côté pour payer ses études. Iosef vient d'une famille où il y avait de l'argent, ses parents auraient pu payer ses études sans aucun problème, cela n'aurait fait aucun trou dans leur budget déjà énorme. Sauf que Iosef a été le caprice d'une femme, sa mère adoptive n'arrivait pas à avoir d'enfant après avoir eu Liloo et de ce fait, elle a réclame auprès de son mari l'arrivé d'un nouvel enfant. Elle voulait un garçon et elle le voulait rapidement, sans réfléchir, sans savoir si son idée était bonne et surtout si son mari voulait également d'un deuxième enfant. Iosef a été adopté tout jeune, il n'avait même pas une semaine lorsque ses parents adoptifs l'ont eu dans leurs bras. Ils l'ont eu rapidement grâce à des grosses sommes d'argent mais résultat, le petit garçon n'a pas été voulu par son père adoptif et ce dernier le lui a allègrement fait sentir. De ce fait lorsque Iosef a compris qu'il pouvait se payer ses études lui même, il n'a pas hésité une seule seconde. Il serait mieux tout seul qu'avec des personnes qui ne voulaient pas de lui. Pas vraiment du moins. De ce fait lui aussi travaillait à côté mais pas dans un cabinet, pas dans quelque chose d'aussi prestigieux. Lui il enchaînait les petits boulots au McDo, les nuits à surveiller des supérettes, le ménage chez des particuliers et tout ce qui pouvait lui permettre de gagner quelques billets. Le sujet dérive sur Lex et son mal-être, Iosef l'invite à en parler, prêt à l'écouter sans le juger quoi qu'il lui arrive. « Y'a pas grand chose à dire, j'ai retrouvé mon amour d'enfance que j'ai jamais pu oublié. Elle m'a lâchement abandonné, je la hais, mais malgré tout, je l'aime, enfin, c'est complexe quoi... » D'accord, il comprend que l'histoire est en effet, très complexe. « Ha les femmes ! » Soupire Iosef en croisant ses bras devant lui alors que son regard se pose sur son fils. Son plus bel exemple concernant les femmes qui sont incroyablement lâche parfois. « Je sais ce que c'est et je dois avouer que je n'ai aucun conseil à te donner. » Dit-il avec un sourire désolé. Il attrape une bouteille d'eau dans son sac et boit une gorgée. « Reste avec nous, ça te changera les idées. » Dit-il, sur de lui concernant ce conseil en revanche. Il relève la tête, le soleil brille haut dans le ciel, la journée est belle finalement.