AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le deal à ne pas rater :
Jeux, jouets et Lego : le deuxième à -50% (large sélection)
Voir le deal
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 burger/frites et copains (willow & séraphin)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyLun 14 Mar - 0:19

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
« T’es con, Lexie. » Il la regarde, semblant ignorer sa remarque avant de prendre ses affaires, et de se tirer pour aller en cours. Elle soupire, regarde son café noir, et décide de laisser ça comme ca. Il lui casse les couilles de toute façon, à toujours faire les trucs comme il l’entend. Lex, c’est pas le colocataire qui te donne envie de sauter partout dés le matin quand il en fout partout en se servant le café et qu’en plus il t’engueule pour ca. Genre c’est de ta faute si le café est chaud, ou s’il est pas doué de ses dix doigts. Il est con, c’est tout. Et Willow, ca lui casse les pieds. Elle a pas envie de se mettre à gueule comme une truie à huit heures du matin, alors elle dit rien et à moitié dans les choux elle se décide à laisser tout en vrac, prenant son café dans sa chambre.
Là elle pose la tasse sur une commode avant d’ouvrir son placard pour retrouver des fringues confortables. Elle a un rendez-vous avec son directeur de thèse à 9h, ce qui explique son réveil matinale. Elle doit bosser au salon de Tatouage dans l’après midi, mais le reste de la journée elle fait ce qu’elle veut. Elle aimerait ne rien foutre du tout, d’ailleurs, parce qu’elle a une flemme monumentale aujourd’hui. Elle a envie de … de… De voir son meilleur pote. Mais passons, elle mit dans un coin de son esprit appeler Séraphin et lui bouger le cul pour venir manger des frites . Douche rapide, elle met une salopette en jean, un t-shirt à manche longue en-dessous, et attache ses cheveux en un chignon rapide. Elle met ses bottes de motard, et sort de l’appartement en prenant avec elle une clé USB avec le début de sa thèse. Elle doit rendre un premier jet. Un long premier jet. Recherches pointues sur l’art picturale du paysage anglais au dix-septième siècle. Génial, vraiment – et ce n’est pas ironique – mais la jeune femme n’a pas vraiment envie de s’éterniser. Elle en a même oublié son café, alors qu’elle sort en trompe du Coffre pour rejoindre l’université des Arts qui se trouve … oui. De l’autre côté d’Oxford. Embarquée sur sa moto la jeune femme fait le tour de la ville pour rejoindre son maitre de thèse. Qui arrive dix minutes en retard. Prend la clé. Lui demande si elle va bien et si elle dort assez. Elle sourit. Ce mec est cool, vraiment. Il lui offre une viennoiserie écoeurante, un café dégueulasse dans un petit snack. Ils discutent un peu, de tout, de rien, de pas grand chose, avant qu’il ne se rende compte qu’il est en retard pour un cours avec des troisièmes années. Il lui souhaite bonne chance, prendre la clé et lui promet de la contacter rapidement avec les corrections. Cool.

Elle décide de se promener un peu avant de reprendre sa bécane pour rentrer à l’appartement. Ses colocataires sont tous en cours – sans doute – mais elle a pas envie de s’enfermer. Elle va aller à l’atelier pour quelques heures, elle doit prendre l’air avant. Alors elle en profite pour envoyer quelques sms à Séraphin qui lui répond bien vite. Ce trou du cul, elle doit toujours lui courir après tout avoir le droit à un regard de sa part, et quelques heures autour d’un hamburger. Finalement ils se mettent d’accord pour un déjeuner ensemble. Fort bien. Elle rentre, rapidement, et commence à préparer tout ce qu’il faut pour qu’ils puissent se sustenter. Séraphin c’est un mec vraiment bizarre, mais elle s’en balance, elle le trouve extraordinaire. Séraphin c’est son pote : c’est un espace de dépressif pervers qui se tape des filles différentes tous les jours, et qui se gratte les couilles en public en te regardant en mode Vas y fais moi une remarque j’te défonce, et j’attends que ca ! Et Willow, elle le défonce, parce qu’elle aime pas sa tête quand il fait le petit merdeux. Mais Séraphin c’est aussi un putain d’artiste avec un putain de talent, et il le sait pertinemment. Ils se sont rencontrés comme cela d’ailleurs. Il est venu se faire tatouer un de ses dessins. Une fois. Puis deux. Puis trois. Et elle a commencé à parler avec lui. Elle le connaît, il la connaît. Il en sait plus sur elle, qu’elle-même ; et au final ils ont apprit à adorer les défauts de l’autre. Une amitié sans faillie s’est créé entre eux.

Elle est en train de faire chauffer les pains à burger dans le four, et préparer les tomates, le fromage, les cornichons, les feuilles de salade, et les oignons pour les mettre dés que ca sera prêt lorsqu’elle entend la sonnerie si particulière (et assourdissante) du Coffre. C’est un immense entrepôt abandonné que la jeune femme a acheté et réhabiliter. C’est aujourd’hui une grande colocation avec une cuisine et une salle à manger très grande. Deux salons, avec une grande télévision. Un atelier. Cinq chambres. Trois salles de bains. Un vrai petit paradis. Elle laisse tout tomber pour aller ouvrir à son ami. Et l’accueille en souriant. « Putain t’as grandi depuis la dernière fois que je t’ai vu non ?! » demanda-t-elle avec un sarcasme évident, avant de se jeter dans les bras de son cher et tendre Séraphin. « T’es beau putain. Aller rentre ! Tu as pris des trucs cools à boire j’espère. » Dit-elle en l’invitant à entrer. Et a faire comme chez lui. En même temps Séraphin c’est pas du genre à se gêner en règle générale. Elle retourne dans la cuisine et sors les steak hachés et la poelle pour les saisir rapidement, et qu’ils puissent manger chaud. Elle est en pleine préparation quand elle sent qu’il la regarde. « Alors mon doudou, qu’est-ce que tu racontes ? Tu vas bien ? » demanda-t-elle en se tournant vers lui pendant que les steaks sont dans la poelle, et cuisent tranquillement. Elle lui sourit, et vient vers lui pour ôter une manche de son t-shirt et regarder son dernier tatouage. « Ca a bien cicatrisé chou ? T’es pas revenue me voir pour que je te fasse les remplissages, t’es couillon ! J’espère qu’elle était bonne la salope qui t’a fait oublier notre rendez-vous ! » Dit-elle en embrassant sa joue.
Revenir en haut Aller en bas
Séraphin R. Prescott




Séraphin R. Prescott
RIOT — rich, rotten, spoilt, filthy


☆ date d'arrivée : 26/02/2016
☆ potins balancés : 72


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyMar 15 Mar - 18:24

burger/frites et copains.
Willow & Séraphin
C'est comme si tout un troupeau de bisons venait courir dans son esprit, ravager sa tête, lui lancer une migraine folle et repartir comme si rien n'était après avoir causé des dommages dans sa tête. Doucement il se lève de son lit, repoussant un bras féminin posé sur son torse nu et tatoué. Il se met sur ses pieds et tente de se lever, refoulant la nausée qui monte dans sa gorge. Difficile après une nuit aussi... Rock, mouvementée, riche en alcool, drogues et femmes. Il a du mal à tenir debout, il regarde toute autour de lui en cherchant des yeux un vêtement, il se rend compte qu'il est totalement nu. Alors il trouve son caleçon, l'enfile en priant pour réussir à rester debout et une fois fait, se tourne vers son lit pour virer la fille qui dort dans les draps. Il n'y a pas une fille mais deux, elles dorment l'une contre l'autre et elles sont nues elles aussi. Il cache un petit rire alors que les images de la veille lui reviennent en mémoire, qu'elle nuit ! « Allez debout ! » Dit-il en tapant dans ses mains pour réveiller les deux jeunes filles, ce qui fonctionne car elles sursautent et tournent des yeux embués par la fatigue vers lui. « Tais toi ! T'es beau mais t'es con où quoi ? » Il rit un peu en se retournant et marche jusqu'à la cuisine. Là il se fait couler un café et cherche dans son placard quelque chose à grignoter. Il se trouve un muffin au chocolat, tout en croquant dedans il fouille son portable, lit les sms dont un de Willow qui vient d'arriver. Elle exige de le voir, il lui répond qu'il ne viendra que si il a le droit de déguster ses hamburgers qui sont, il faut l'avouer, une tuerie. La réponse de sa meilleure amie ne se fait pas attendre, ils se donnent rendez-vous dans une heure chez elle, dans son immense appartement retapé. Il sourit en terminant son muffin, prend son café qu'il boit tout en marchant jusqu'à la salle de bain. « Tu m'fais un café ? » La voix féminine l'arrête dans son chemin alors qu'il se tourne vers une des deux filles, habillée, qui le regarde en sortant de la chambre. « Non. Mais le serveur en bas de la rue dans le snack sera enchanté de t'en faire un. Je dois partir, vous avez dix minutes. » Elle lui adresse un magnifique majeur tout en prenant ses affaires. Elle et sa copine ne tardent pas à quitter l'appartement alors que Séraphin est déjà sous la douche. Il se savonne, se rince et voilà qu'il est déjà devant son armoire à hésiter sur une tenue. Finalement il enfile un tee-shirt noir, un jean et une veste en jean avec les manches coupées. Il se chausse d'une paire de baskets, pose une casquette sur sa tête et termine par mettre ses bracelets, sa montre et ses lunettes de soleil noire. Il est prêt à rejoindre sa meilleure amie. Heureusement, aujourd'hui les filles en question n'ont pas traînées, il arrive souvent qu'elles tentent de rester et de s'incruster. Elles le rappelleront, la nuit a été torride et excellente pour tout le monde. Il leur laisse... Trois jours pour lui envoyer un sms, il est sur d'avoir des nouvelles bientôt.

Pour l'heure il marche dans la rue, en direction de l'appartement de sa meilleure amie. Sur la route il s'arrête dans une boutique pour acheter un pack de 12 et des donut's sucrées, de quoi s'offrir un super dessert après les hamburgers de son amie. Il paye le tout et sur la route, ouvre le pack pour prendre une pierre. Il décapsule la bouteille avec les dents, crachant le bouchon en fer sur le trottoir. La première gorgée lui brûle la gorge, preuve que la veille encore il a beaucoup bu et que son corps en garde les traces mais il s'en moque, il va recommencer le soir même de toute façon. Alors qu'il voit apparaître l'immeuble qui abrite l’appartement de son amie, il termine sa bière et la jette habilement dans une petite poubelle à disposition dans la rue. Sans attendre il traverse une route et arrive chez Willow. Il écrase sa main sur la sonnette du Coffre, comme elle l'appelle. Le bruit de la sonnette est strident, Séraphin rit un peu en imaginant son amie qui crise après lui. Il lui vrille les tympans, il en est sur. Après une seconde elle vient lui ouvrir, il lui sourit, elle lui rend son sourire aussitôt. « Putain t’as grandi depuis la dernière fois que je t’ai vu non ?! » Il hausse les épaules en la regardant de haut en bas. « Où alors c'est toi qui perd des centimètres. C'est l'age qui fait ça ! » Dit-il en riant un peu. Elle se jette dans ses bras et l'invite à entrer, il s'exécute sans pour autant lâcher son sourire amusé. Lorsqu'il est avec Willow il se sent bien, toute colère, toute crise le quitte. Il est seulement bien, heureux d'être avec elle, il profite car c'est une des rares personnes avec qui il est seulement lui même. Elle repart dans la cuisine, il la suit et pose ses bières fraîches sur la table, ainsi que les donut's. Il remarque qu'elle est en pleine préparation des hamburgers alors, il décide de mettre la table et part chercher des assiettes et des couverts qu'il dispose sur la table. « Alors mon doudou, qu’est-ce que tu racontes ? Tu vas bien ? » Lui dit-elle alors qu'il vient de s'adosser contre le mur et la regarder faire. « Ca peut aller et toi ? J'ai la migraine, grosse soirée hier soir. Je suis rentré avec deux filles que j'ai vite viré. Elles pensent toujours que je vais faire le service petit-déjeuner. » Dit-il en prenant deux bières dans le pack en carton. Il les ouvre et en tend une à son amie. Ils trinquent, il prend une gorgée d'alcool. Mais rapidement elle revient vers lui et lui prend le bras en relevant sa manche, il la regarde faire sans comprendre. « Ca a bien cicatrisé chou ? T’es pas revenue me voir pour que je te fasse les remplissages, t’es couillon ! J’espère qu’elle était bonne la salope qui t’a fait oublier notre rendez-vous ! » Il réfléchit un peu et repose sa bière sur le comptoir de la cuisine. Il en profite d'ailleurs pour lui voler un cornichon. « Elle avait un cul d'enfer ouais... » Dit-il en repensant à la jeune Française qu'il a ramené chez lui ce jour là, ce qui lui a fait oublier son rendez-vous en effet. « Et toi comment tu vas ? Le boulot ? Les cours ? » Demande Séraphin en la regardant terminer de préparer ce délice culinaire, cette perfection grasse et trop salée mais tellement parfaite une fois en bouche. « T'es toute seule ? Ca fait... Vide. » Dit-il en remarquant que les autres colocataires de Willow semblent absents.
Revenir en haut Aller en bas
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyMar 15 Mar - 21:57

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
Séraphin c’est vraiment un beau mec ; il est plutôt grand, bien bâti, et d’après les nombreuses fois où elle l’avait vu à poil, il était bien monté. Il était pas trop con, avait de la culture, et était très observateur. Mais Séraphin c’est un mec, et c’est une tête de con. Il semble ignorer la signification des mots « amour » « fidélité » ou même « modestie ». Malgré tout, après quelques soirées en sa compagnie elle avait finit par trouver en lui une oreille attentive, et même par se reconnaître dans ces grands yeux bleus. Séraphin c’est un mec un peu paumé qui sait pas quoi branler de sa vie. Un peu comme elle. En somme ils se sont plutôt bien trouvés. Quand il est dans les parrages elle se lâche complètement, elle est elle-même, et elle n’a pas de barrière ; Elle ne se demande pas si elle doit se retenir de dire quoi que ce soit, si elle va le vexer ou s’il est prêt à entendre ce qu’elle doit lui dire. Elle lui parle toujours avec une franchise déconcertante, et une loyauté sans égale. Elle sait qu’elle sera toujours là pour lui, qu’importe le genre de connerie qu’il pourrait faire. Et elle se doute qu’il est du genre à faire des grosses conneries. Elle ne le juge pas, elle l’aime comme il est. Il lui fait un peu penser à son petit frère parfois, Jack. Il avait le même air cochon, et cette faculté à ramasser des filles en un rien de temps. Une putain de tête à claque mais qu’elle aime de tout son petit cœur de femme.
Dés qu’il arrive elle lui offre un grand sourire, et une étreinte presque trop amicale. « Où alors c'est toi qui perd des centimètres. C'est l'age qui fait ça ! » Faussement offusquée elle vient frapper son épaule avec son poing fermé. Et mime les mots je t’emmerde mon cher avec toute la grâce dont elle est capable.

Il rentre dans son petit univers, avec ses bières à la main. Elle marche bien nu, sur le sol à peine tiède, et retourne dans sa cuisine pour s’occuper des steak. Alors qu’ils grésillent dans la chaleur de la poele, elle sort les pains et commence à les tartiner avec du ketchup et de la mayonnaise. Sauce américaine, elle est pas née à Seattle pour des brunes ! « Ca peut aller et toi ? J'ai la migraine, grosse soirée hier soir. Je suis rentré avec deux filles que j'ai vite viré. Elles pensent toujours que je vais faire le service petit-déjeuner. » Elle explose de rire face à la mine désapointée de son ami. « Non mais c’est vrai, quelle idiote peut espérer encore un petit café après une nuit à s’être donner entièrement à un amant aussi génial ! C’est inhumain. » Dit-elle en se foutant allègrement de sa gueule. Son comportement avec ses maitresses – multiples – ca la fait marrer. D’un côté il y a ces filles qui semblent toujours étonner de découvrir que c’est un connard. Et de l’autre il y a lui, qui semble toujours étonné de voir que les filles c’est pas que des trous à remplir. Ouais, elles aiment aussi boire leur café au réveil. C’est fou quand même ! Mais Low elle juge pas, Séraphin fait ce qu’il veut de son pénis, ca la concerne pas. Pour toute réponse à sa migraine elle sort un café, et un verre d’eau. « Combattre le mal par le mal c’est des conneries, tu vas être à l’envers demain si tu te soigne pas un peu. Surtout que je doute que tu ailles au lit à huit heures après avoir mangé une simple soupe hein ? » Dit-elle en le regardant droit dans les yeux. Il prend une bière et la lui tend. Elle la saisit avec un sourire, trinque avec lui et boit une gorgée.

Elle finit par venir à côté de lui, et regarder son dernier tatouage. Un poisson Koi, Grave bien réussi. Comme toujours. Mais quelques petites retouches sont nécessaires, et comme bien souvent il a préféré passer outre pour s’envoyer en l’air. « Elle avait un cul d'enfer ouais... » Petit con. Elle revient dans sa cuisine. Pour continuer sa préparation. Elle met les petits oignons, puis une tranche de Cheddar. Va vérifier les steak, et les retourne. « Et toi comment tu vas ? Le boulot ? Les cours ? » Elle prend un cornichon à son tour et le croque, se rendant compte qu’elle était morte de faim, effectivement. Faut dire qu’elle avait pas mangé, et qu’elle était pas du genre à picorer une salade comme beaucoup de toutes ces hypocrites oxfordiennes. Elle aime le gras, elle aime la vie. L’alcool. Et le sexe. Enfin le sexe avec modération, le sexe sans amour perd de sa saveur même si la jeune femme n’aime pas dormir seule. Elle prend sur elle depuis deux ans. « Je pète le feu ! Le salon marche plutôt bien même si c’est calme en ce moment. Et les cours se déroulent tranquillement. J’ai été amené ma première version de thèse ce matin, j’vais attendre que le vieux binoclar prenne le temps de le lire. J’pense que je peux m’octroyer quelques jours de vacances en attendant. » Dit-elle en souriant. Les steak terminent de cuir tranquillement, et Séraphin a mit la table. Finalement ce mec est peut être parfait. En tout cas il l’est quand il s’en donne la peine. « T'es toute seule ? Ca fait... Vide. » Elle regarde aux alentours, et sourit. Elle adore le Coffre, c’est vraiment une grande fierté pour elle. C’est un havre de paix (ou pas). « Yani est allé bosser. Alex est en cours. Et le nouveau j’crois qu’il dort. J’sais pas. En tout cas je l’ai pas croisé. Peut être qu’il a découché. » Dit-elle en haussant les épaules. Elle prend les steak enfin prêts, et les mets sur les petits pains. Puis rapidement, et méticuleusement, elle met une autre tranche de fromage. Les tomates. Les cornichons. La feuille de salade (utilité). Et elle referme le tout. Ils sont énormes, mais ils vont s’éclater. Elle les pose sur leur assiette, et se retourne quand même pour prendre les frittes qui sont au four. « J’ai l’autre boutonneux qui s’est tiré avant-hier. Il a emménagé avec sa copine à face de rat. Ils sont beaux tous les deux. Mais du coup j’ai une chambre de libre. Tu connais pas quelqu’un qui cherche un toit par hasard ? » Dit-elle, sachant que la réponse avait peu de chance d’être positive.

Finalement elle apporta le saladier plein de frittes, et s’assit en face de son ami, prenant une fritte pour la croquer, et se brûler au passage. « Bon appêtit mon Doudou ! » Dit-elle en lui offrant un grand sourire. Elle prend la bière, et en boit encore une gorgée. « Et toi chaton, quoi d’neuf ? »

Revenir en haut Aller en bas
Séraphin R. Prescott




Séraphin R. Prescott
RIOT — rich, rotten, spoilt, filthy


☆ date d'arrivée : 26/02/2016
☆ potins balancés : 72


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptySam 19 Mar - 2:34

burger/frites et copains.
Willow & Séraphin
Willow est son amie, sans doute la seule qu'il ne pourra jamais se faire car, à son grand désespoir, elle aime vraiment les filles. Et uniquement les filles, c'est un point commun qu'ils ont au moins. Lui même est un grand coureur de jupons, les femme il les adore, les jeunes, les moins jeunes, les mariées, les célibataires. Il les prend comme elles viennent et souvent, il n'a pas besoin de sortir son petit regard pour qu'elles tombent dans ses bras. Dés qu'il arrive dans une boite, elles viennent aussitôt se coller à lui pour danser, elles le cherchent et il ne met pas longtemps avant de céder. Il est aussi un grand adepte des hommes mais ça, c'est un côté totalement secret de sa personnalité, il aime le sexe autant avec les hommes qu'avec les femmes. C'est ainsi, ça le calme, lui qui a parfois du mal à calmer ses pulsions et sa colère. Sauf avec Willow, lorsqu'il est un peu trop sec avec elle, ils se battent sans attendre et parfois, elle lui colle des belles raclées. Aussi parce qu'il se laisse souvent faire, sans parler du fait qu'il se maîtrise. Elle n'est pas un mec, il veut pas la frapper comme si elle était son égal. Elle est fragile sa Willow malgré ses gros airs de brute et son franc parlé. Il l'adore, c'est tout. « Non mais c’est vrai, quelle idiote peut espérer encore un petit café après une nuit à s’être donner entièrement à un amant aussi génial ! C’est inhumain. » Il hausse les épaules en riant un peu. « J'suis pas un serveur. Elles gouttent aux orgasmes avec moi, rien que pour ça j'ai le droit d'être exigeant ! » Dit-il alors qu'elle lui fait une remarque sur le fait que combattre le mal par le mal est une connerie. Il sourit et la regarde en lui tendant une bière, il s'en fou d'aller au lit tôt et de se reposer, il a envie de vivre et de profiter tant qu'il est jeune. De toute façon Séraphin est le genre de mec qui est sur qu'il ne vivra pas vieux. Il mourra jeune, dans un accident où une overdose, c'est sur et certain. « Je pète le feu ! Le salon marche plutôt bien même si c’est calme en ce moment. Et les cours se déroulent tranquillement. J’ai été amené ma première version de thèse ce matin, j’vais attendre que le vieux binoclar prenne le temps de le lire. J’pense que je peux m’octroyer quelques jours de vacances en attendant. » Il lui rend son sourire en la regardant terminer les hamburgers. Il en salive d'avance, c'est gras, salé, énormissime et ils vont se péter le bide. Et s’en mettre partout à tenter de manger ça correctement, mais dieu qu'ils sont bons ! Depuis qu'il a goûté aux hamburgers de sa meilleure amie, il en réclame très souvent. Willow cuisine bien la garce ! Elle parle de ses colocataires, il l'écoute et regarde autour d'eux, le coffre semble calme. Peut-être qu'ils ne sont qu'entre eux finalement. Elle termine les hamburgers et sort les frites du four, il en profite pour emmener les hamburgers sur la table.

« J’ai l’autre boutonneux qui s’est tiré avant-hier. Il a emménagé avec sa copine à face de rat. Ils sont beaux tous les deux. Mais du coup j’ai une chambre de libre. Tu connais pas quelqu’un qui cherche un toit par hasard ? » Il se tourne vers elle alors qu'elle revient avec un plat de frites. Il s'assoit à table après avoir cherché sa bière. Elle le rejoint, ils s'installent alors qu'il pique une frite et prend une gorgée de bière. « Si. Moi. » Dit-il, simplement. « Ça me gonfle de vivre seul, mon appartement est trop grand. Mais je sais que je suis pas toujours facile à vivre donc bon... » Se justifie Séraphin en trinquant une seconde fois avec elle. « Bon Appétit chaton ! » Dit-il alors qu'il prend son hamburger et qu'il mord dedans. C'est un véritable délice, entre la tonne de fromage, les cornichons et le steak, il n'en mange pas d'aussi bon même dans les meilleurs restaurants de la ville. Il attrape le saladier de frites et s'en sert deux belles poignées, qu'il arrose de ketchup et de mayonnaise. On ne peut pas dire que Séraphin fait attention à sa ligne, au contraire, dés que quelque chose lui plaît il le mange et ne se prend pas la tête même si il enchaîne les heures de sport. De toute façon il est beau et bien fait, il ne voit pas pourquoi il se priverait. Le gras c'est la vie. « Et toi chaton, quoi d’neuf ? » Lui dit-elle alors qu'il fait passer cette belle bouchée de hamburger avec une gorgée de bière. « Rien. Les cours. Et j'ai une nouvelle psy, une fille très canon mais trop sure d'elle. Elle pense qu'elle peut m'aider, la bonne blague ! J'vais la calmer vite fait, c'est pas la première qui est sure de pouvoir me faire plier. Ça me gonfle de changer de psy tout le temps, obligation de mes parents tu sais ? » Dit-il en mangeant plusieurs frites. « Au moins ils me laissent tranquille, en échange ils payent le loyer de mon appartement. Et c'est justement ça qui me gonfle maintenant. Je les laisse tranquille, ils devraient en faire de même. » Termine Séraphin en parlant la bouche pleine.
Revenir en haut Aller en bas
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptySam 19 Mar - 21:55

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
Elle sait pas comment ils en sont venus à être amis tous les deux. Sans doute parce qu’il est un artiste bourré de talent, et qu’elle est une artiste à recherche de talents. Sans doute parce qu’il a ce côté un peu bagarreur et casse-couille qui rappelle à Willow ses quatre… ses trois frères. Sa gorge se sert alors qu’elle pense un court instant à William. Mais elle renvoie le souvenir de son jumeau dans un coin de son esprit et revient à l’instant présent. Séraphin la regarde avec un air malicieux et joueur. Elle se demande si elle est la seule à le connaître comme cela. A connaître l’homme, l’adolescent, le jeune enfant, celui qui souffre, qui ne sait pas vraiment où il campe, qui ne sait pas vraiment quoi foutre de sa vie. Celui qui se sent seul, souvent, la majorité du temps. Est-ce qu’il laisse quelqu’un d’autre voir ce mec-là ? Quand elle le croise dans des soirées ou même dans la rue il lui arrive de ne pas la calculer, trop occupé à embrasser à pleine bouche une espèce de salope décolorée qui rêve que de se faire sauter. Willow ne s’en offusque pas, elle est habituée avec Séraphin, et elle est la seule qu’il vient voir avec le sourire. Elle est la seule à avoir eut le droit à un café. Elle est la seule à avoir dormi habillée dans son pieu – ce qui n’est arrivé qu’une seule fois après une soirée particulièrement arrosée. Elle est la seule à pouvoir l’appeler trou du cul sans qu’il tente de lui casser la gueule par la suite. Ca le fait marrer.
Elle l’adore Séraphin vraiment. Sans doute le considère-t-elle un peu comme un nouveau frère ; ou plus que cela. Ce n’est pas une amitié fraternelle entre eux, c’est autre chose. C’est une véritable amitié fille – garçon sans ambiguïté (au grand désarroi du bellâtre n’est-ce pas ?) et elle ne regrette pas de l’avoir fait chier pour qu’il vienne lui montrer ses dessins quand ils se sont rencontrés. A l’époque elle vivait encore chez Delilah. A l’époque elle … enfin c’était une autre époque. Et pourtant malgré toutes les épreuves qu’elle avait pu traverser, Séraphin était resté. Il avait été son soutien, sa bouée de sauvetage. Il n’avait pas été tendre avec elle, loin de là, mais il savait qu’elle n’était pas du genre à aimer la compassion mièvre ou la pitié. « J'suis pas un serveur. Elles gouttent aux orgasmes avec moi, rien que pour ça j'ai le droit d'être exigeant ! » Elle lève les yeux au ciel et part dans un rire énorme. Non, de la pitié Séraphin n’en a pas. Ni pour elle, ni pour personne. Et encore moins pour ses greluches. Pas que ca dérange Willow, elles sont consentantes, et elles prennent leurs pieds. Elles ont pas à se plaindre, c’est claire.

Ils passent à table, et les voilà à parler de tout et de rien. Des colocataires de Willow qui sont aux abonnés absents aujourd’hui. Elle vit majoritairement avec des mecs, ce qui ne la dérange pas : ils ne la draguent pas, et elle leur vole leur conquête parfois. C’est marrant, et ca les faire chier. Mais voilà, pour que le Coffre marche normalement il lui faut quatre personnes, et elle n’en a que trois pour le moment. « Si. Moi. » Son mouvement reste en suspens alors qu’elle tourne un regard sceptique vers Séraphin. Lui qui vit dans un appartement immense et luxueux voudrait le quitter pour un vieil entrepôt changé en loft pour adolescent ? Sans déconner ? « Ça me gonfle de vivre seul, mon appartement est trop grand. Mais je sais que je suis pas toujours facile à vivre donc bon... » Résigné il baisse la tête, et Willow touche son bras comme pour ravoir son attention. « Chéri, je serai ravi de te compter comme locataire du Coffre. Vraiment. On peut faire un essaie si tu veux. Genre tu vis ici pendant… deux semaines ? Voir si tu t’y fais. Les gars sont cools en général et chacun respecte la vie privée de l’autre. » Dit-elle en haussant les épaules. Elle tient à ce que chacun respecte l’espace vital de l’autre. Après tout ils sont colocataires, ils sont pas mariés. Et ils ont tous besoin d’avoir une vie privée. Elle-même ne supportait pas l’idée de vivre seule. Après avoir été mise à la rue par Delilah elle a fait de cet endroit son nouveau chez-elle. Elle venait de se l’offrir dans le but d’en faire une galerie. Un projet qu’elle a dû abandonner pour ne pas dormir dans un carton. « Si tu pouvais juste éviter de ramener des gamines qui hurlent leur tripe dés qu’elles jouissent ca s’rait cool par contre. Et le ménage c’est chacun fait sa part ! » Dit-elle en réprimant un rire alors qu’elle imaginait Séraphin avec un plumeau en train de faire les poussières. Improbable. Vraiment. Malgré cela, elle serait plus que ravie de pouvoir vivre avec son meilleur ami, même si dans son fort intérieur elle sait que les périodes J’suis un connard de Séraphin risquent d’être un peu dur à vivre. Surtout qu’Alex et Yani sont pas du genre à fermer leur gueule et à rester bien sages dans leur coin. Ah les mecs et leurs hormones…

Enfin elle en vint à lui demander à lui comment il allait, avant de croquer dans son hamburger, pour s’en foutre partout sur les doigts. Putain c’est trop bon ! J’me baiserai dans ces moments là… Pensa-t-elle en écarquillant les yeux, lâchant un gémissement de plaisir. « Rien. Les cours. Et j'ai une nouvelle psy, une fille très canon mais trop sure d'elle. Elle pense qu'elle peut m'aider, la bonne blague ! J'vais la calmer vite fait, c'est pas la première qui est sure de pouvoir me faire plier. Ça me gonfle de changer de psy tout le temps, obligation de mes parents tu sais ? » Elle acquiesce. Une psy pas trop sûre d’elle ? C’est elle qui devrait consulter. Willow sourit. Elle sait que Séraphin est malade, en quelque sort mais elle … Elle l’accepte comme cela. Il a des moments où c’est un crétin fini ? tous les mecs sont des crétins finis. Une tarte dans la gueule, et il repart. Tranquillement. Combien de fois ils se sont retrouvés dans la salle d’attente de l’hôpital après s’être passé l’un – l’autre à tabac. Elle soupçonne cependant Séraphin de retenir ses coups avec elle. Ca la fait sourire : ses frères n’étaient pas aussi gentils. « Au moins ils me laissent tranquille, en échange ils payent le loyer de mon appartement. Et c'est justement ça qui me gonfle maintenant. Je les laisse tranquille, ils devraient en faire de même. » Elle prend une fritte, et la trempe dans un peu de ketchup avant de l’avaler d’une traite. « Ils vont pas de casser les couilles si tu déménages ? » Demanda-t-elle en premier lieux alors qu’elle croquer à nouveau dans son hamburger – et s’en fout encore sur les doigts. « Si elle est pas trop conne, et qu’elle est jolie, change pas. Au pire tu la drague et tu profites de tes séances pour l’allonger sur le bureau : joint l’utile et l’agréable you know . » Dit-elle en lui offrant un clin d’œil.
Elle, ca la ferait chier de voir des psy tout le temps. Séraphin n’est pas fou. Il a des passade où … Bon. Ok. Il a un petit problème comportemental, mais il suffit de prendre le temps de le connaître pour découvrir qu’il en souffre finalement. Peut être plus que ce que les gens peuvent le croire. Séraphin c’est vraiment un mec en or. Et cela, Willow n’en démordra pas. Et elle frappera quiconque oserait dire le contraire. « C’quoi le nom de cette nouvelle Psy-qui-croit-pas-en-elle-et-a-besoin-de-consulter ? » Demanda-t-elle avec sarcasme. « Tes parents sont des trous du cul. J’suis désolée mais j’le pense toujours. Ils devraient te foutre la paix, t’es grand maintenant. » Dit-elle avec un peu plus d’énergie. Ses propres parents la laissait tranquille depuis qu’elle avait quitté le nid familiale. Comme tous ses frères d’ailleurs. Les Leah-Rose savaient faire la part des choses, et elle était ravie de pouvoir jouir de son indépendance aujourd’hui. Financière et autre. « T’sais, en plus, si tu veux du job j’peux voir avec le patron pour … que tu dessines pour nous. Tu as largement assez de talent pour cela, et j’suis sûre que ca le ferait bader. Pour le reste, j’peux t’apprendre à tatouer si ca t’branche. »


Revenir en haut Aller en bas
Séraphin R. Prescott




Séraphin R. Prescott
RIOT — rich, rotten, spoilt, filthy


☆ date d'arrivée : 26/02/2016
☆ potins balancés : 72


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyMar 22 Mar - 23:40

burger/frites et copains.
Willow & Séraphin
Sa meilleure amie, la seule personne sur cette foutue terre qui ne le juge pas et avec qui il est totalement lui même. Il se sent simplement en confiance avec elle et si elle lui balance quelque chose en pleine poire, surtout lorsque c'est quelque chose qui ne lui plaît pas alors, c'est un conseil venant d'elle. Elle ne fait rien qui peut le blesser et surtout, elle le prend comme il est, ce que personne n'a jamais fait avec lui. Il parle comme il veut, se comporte comme cela lui chante. Au pire ils se collent quelques baffes et finissent à l'hosto, mais jamais trop fort car il se maintient avec elle, c'est une femme et il ne veut pas lui briser un morceau. Elle est fragile sa Willow avec sa taille de minipouce et ses 50kg tout mouillé. Il lui souffle dessus elle s'envolerait presque ! Pour autant, il se prête parfois à s'imaginer vivre en colocation avec elle et il doit avouer que l'idée lui plaît, il pourrait même tenter de faire l'effort d'être vivable avec elle. Il serait bien obligé et au pire, si il sent qu'il en devient trop chiant alors il sort courir, baiser ou frapper et ça ira bien mieux à son retour. « Chéri, je serai ravi de te compter comme locataire du Coffre. Vraiment. On peut faire un essaie si tu veux. Genre tu vis ici pendant… deux semaines ? Voir si tu t’y fais. Les gars sont cools en général et chacun respecte la vie privée de l’autre. » Lui dit-elle tendrement, alors qu'un sourire naît sur ses lèvres « C'est vrai ? » Répond Séraphin, une lueur d'espoir passant dans ses yeux. « Si... Je veux bien faire un effort. Et si je deviens trop gonflant, tu me le dis et je tenterais de... Je sais pas. Me trouver une fille. Où pousser de la fonte, ça devrait me faire du bien. » Dit-il en avalant trois frites pleines de sauce rouge. Enfin,  Séraphin prend son burger et  croque dedans, un bout de tomate s'enfuit et la sauce gicle. Il lâche un râle de plaisir en goûtant à cette perfection culinaire. « Un jour je t'épouserais et je te ferais des gosses. » Dit-il en prenant un autre morceau de burger. « Si tu pouvais juste éviter de ramener des gamines qui hurlent leur tripe dés qu’elles jouissent ca s’rait cool par contre. Et le ménage c’est chacun fait sa part ! » Il avale son morceau de brger et hausse les épaules. « Je nous prends une femme de ménage. Lorsque j'ai mes passes dépressives... Je ne range pas. C'est un fardeau. » Dit-il. « Par contre pour les filles... Un petit bandeau dans la bouche, elles devraient pouvoir se taire. » Il lâche un espèce de rire gras entre le Tu m'as compris hein? et la blague salace de mec de bistrot.

« Ils vont pas de casser les couilles si tu déménages ? »
Lui dit-elle après qu'il ai abordé le sujet de ses parents. « Ils ont rien à dire, je peux payer mon loyer tout seul si je veux. » Après tout il gagne assez avec ses petits combats. Mais si il peut faire payer ses parents il ne se gênera pas de toute façon. « Si elle est pas trop conne, et qu’elle est jolie, change pas. Au pire tu la drague et tu profites de tes séances pour l’allonger sur le bureau : joint l’utile et l’agréable you know . » Il lui fait un clin d’œil, amusé. « Bonne idée ! » Elle lui demande le nom de sa nouvelle psy, pendant une seconde il réfléchit tout en mâchant un morceau de son burger qui, au passage, commence à se briser de toute part. Tant pis, ça reste un véritable délice. « Koro... Koroleva je crois. Un truc comme ça ! » Répond Séraphin. Une psy de plus, une femme qui pense pouvoir le guérir, le rendre gentil et tout mignon aux yeux de ses parents. Ils n'ont toujours pas compris que Séraphin ne pourra jamais être soigné. La seule chose qui pourrait fonctionner c'est une opération, afin qu'il puisse redevenir normal sans prendre aucun cachets. Sinon il devra toute sa vie se bourrer de médicaments pour se calmer, c'est sans doute le pire de tout. « Tes parents sont des trous du cul. J’suis désolée mais j’le pense toujours. Ils devraient te foutre la paix, t’es grand maintenant. » Il lève les yeux vers elle, la bouche pleine, ayant l'air d'être un hamster. Il hoche vivement la tête pour lui faire comprendre qu'il est d'accord avec ce qu'elle vient de dire. De toute façon il ne va pas pouvoir changer ses parents ni sa condition maintenant, alors autant vivre. « T’sais, en plus, si tu veux du job j’peux voir avec le patron pour … que tu dessines pour nous. Tu as largement assez de talent pour cela, et j’suis sûre que ca le ferait bader. Pour le reste, j’peux t’apprendre à tatouer si ca t’branche. » Pendant une seconde il reste interdit, il ne montre jamais ses dessins à personne, c'est une règle qu'il c'est toujours fixé. Ses dessins... C'est son jardin secret qu'il refuse de partager sauf avec Willow. « Dessiner pour vous oui. Tatouer non, je ne... Je peux pas. Si ça me gonfle, le gars je vais lui faire un canard sur le bras. Et lui balancer mon poing dans la tronche au passage. » Répond Séraphin en riant un peu. « Et t’inquiète, je gagne ma vie. Tous les week-ends je participe à des combats. Et je un des grands champions. » Dit-il en frimant un peu, pas peu fier de lui après tout. Il fait souvent tomber des colosses qui font une tête de plus que lui. Il n'a pas peur. Jamais, de rien. C'est peut-être ça qui le perdra un jour. Il tombera sur quelqu'un de fou qui le tabassera jusqu'à le laisser raide mort par terre. « Et toi les amours ? Toujours personne ? Peut-être que tu devrais taper ailleurs tu sais... » Dit-il en jouant avec ses sourcils, comme dans les cartoons, lui faisant clairement comprendre qu'il parle de lui même.
Revenir en haut Aller en bas
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyJeu 24 Mar - 12:45

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
« C'est vrai ? » Le visage de son meilleur ami s’illuminait d’une lueur d’espoir qui la fit sourire. Séraphin n’est pas un mec très entouré. Sans doute parce que de temps en temps il lui arrive d’être un sombre crétin narcissique et pervers qui se met à ne penser qu’avec sa queue. Même elle avait eut le droit de la voir, et même l’autorisation de la toucher si elle le désirait. il s’était retrouvé avec les couilles remonté, plié en deux sur le sol. Jamais plus il ne lui avait proposé de le sauter. En tout cas pas à poil. Mais elle devait avouer une chose : il était bien monté le salopard. Ce qui explique sans doute qu’il ait un tel succès auprès de la gente féminine hétérosexuelle. Et dans ces moments-là il pouvait être parfaitement imbuvable, vulgaire, et violent. Malheureusement les gens ont tendance à oublier que le reste du temps Séraphin est un mec génial. Elle ne l’a pas oublié. Étrangement ; Willow a toujours très bien pris ce côté de sa personnalité. Sans doute parce qu’elle a grandi avec des frères imbus d’eux-même qui ramenaient leurs conquêtes chez eux sans impunité : quitte à baiser dans le lit de leur charmante petite sœur. Elle ne comptait plus le nombre de ces gonzesses qu’elle avait croisé le matin au petit-déjeuner habillée du t-shirt d’Elliot. Il avait fini par en épouser une : riche, belle, avec l’intelligence d’une poêle à frire. Elle peut tout aussi bien virer les gamines qui se laissent prendre dans les filets de Séraphin. Elle, elle le voyait comme un mec génial, comme son ami, son confident, et la seule personne présente quand Yoenai l’avait mise dehors. Alors quand il lui demande s’il peut venir au Coffre elle ne peut qu’acquiescer en prenant une fritte. « Si... Je veux bien faire un effort. Et si je deviens trop gonflant, tu me le dis et je tenterais de... Je sais pas. Me trouver une fille. Où pousser de la fonte, ça devrait me faire du bien. » Elle sourit. C’est ce qu’elle aime chez Séraphin : il ne se fait pas d’illusion. Il sait pertinemment comment il est, et assume ses défauts. Même si parfois il semble en avoir honte, ou le regretter. Il était comme cela, et elle ne tentera pas de le changer. Certainement pas. « Tu sais, Alex et Yani aussi sont casses-couilles parfois. A croire que la plus normale dans cette colloc c’est moi ! » dit-elle avec l’air de dire arrête de te dénigrer, t’es pas un extra-terrestre. Elle n’aime pas le voir aussi défaitiste. Séraphin est Séraphin c’est tout. Et elle l’aime ainsi. « Tu pourras amener tes affaires ce week-end. Le bigleux doit encore prendre deux ou trois trucs dans sa chambre. » Dit-elle pour boucler ce nouveau contrat entre eux. Ravie de savoir que son ami va venir vivre chez elle. Excitée à cette idée aussi, comme une jeune fille qui organise une soirée pyjama pour la première fois.

Ils se mettent à manger les hamburgers, se mettant de la sauce partout sans en avoir rien à foutre . « Un jour je t'épouserais et je te ferais des gosses. » Elle explose de rire à ses mots. « Tu ne pourras jamais me la mettre Prescott mais continue d’espérer. » Dit-elle en croquant elle aussi dans son hamburger – profitant du fait qu’il soit encore chaud. « Je nous prends une femme de ménage. Lorsque j'ai mes passes dépressives... Je ne range pas. C'est un fardeau. » Elle lui sourit. « Si elle veut aussi faire ma chambre qu’elle se gêne pas. » Dit-elle, sans relever sa dernière déclaration. C’est pas un fardeau quand on a les tunes qui vont avec. Elle aussi quand elle a des phases de blues elle range pas. Faut dire que la jeune femme range pas souvent. Les parties communes oui, elle laisse rarement des choses trainer. Mais dans sa chambre c’est le bordel, constamment. « Par contre pour les filles... Un petit bandeau dans la bouche, elles devraient pouvoir se taire. » Sourire pervers qu’elle lui rend. Attache les même si tu veux Prescott, mais si l’une d’entre elles me réveillent je viens la sodomiser à sec pour lui apprendre. pensa-t-elle essayant de faire passer tout cela dans son sourire sadique. « Et puis comme ca s’il y en a une à mon goût j’aurai juste à venir me service dans ta piole. » Finit-elle par lâcher, avec un sourire moqueur. C’est un truc qu’elle fait parfois. Yani ou Alex ramènent une fille à la maison. Elle les voit, lui parle, la drague, et la saute. Voilà, c’est ca Willow, et elle s’en balance complètement de faire chier ses colocataires.

Enfin le sujet de l’indépendance de Séraphin de sa relation désastreuse avec ses crétins de parents, et avec sa nouvelle psychologue. Sasha Koroleva, elle note le nom. Elle va faire quelques recherches sur la jeune femme, mais elle est sûre que c’est une bombe. Après tout Séraphin avait déjà accepté l’idée de se la faire. Et même si c’est un putain de pervers il avait toujours besoin de se faire des bombes atomiques. Enfin, elle lui proposa un job. Elle sait que Séraphin ne montre pas ses dessins à tout le monde, et elle-même a dû batailler pour avoir ce privilège. Mais ce crétin ne sait pas tatouer, alors comme il ne veut que ses dessins sur sa peau elle a bien été obligée de les voir à un moment. Et depuis elle a le privilège de pouvoir en jouir. Cela dit si ses parents lui coupent les vivre il allait avoir besoin d’un boulot non ? et s’il pouvait vivre de ses dessins, ce ne pouvait être qu’une bonne chose. « Dessiner pour vous oui. Tatouer non, je ne... Je peux pas. Si ça me gonfle, le gars je vais lui faire un canard sur le bras. Et lui balancer mon poing dans la tronche au passage. » Elle explose de rire à cette idée. Imaginant l’un de ses clients réguliers repartir avec un canard sur le cul parce que Séraphin n’a pas aimé sa tronche. Sérieusement ca devrait mériter le coup d’œil ! « Ouais, on va éviter. » Dit-elle lorsque le fou rire la quitte enfin. « Et t’inquiète, je gagne ma vie. Tous les week-ends je participe à des combats. Et je suis l’un des grands champions. » Elle grimace. Elle n’aime pas l’idée qu’il se fasse défoncer la gueule par des mecs baraqués. Même s’il est bien fichu, et musclé, il reste un gamin à ses yeux (après tout il a deux ans de moins qu’elle). Ca l’aide à se recentrer certes, mais tout ce même. Elle est venue voir un de ses combats une fois. Elle l’a amené à l’hosto après, parce qu’il avait l’arcade pété, le nez de côté, et une côte cassée. Crétin. Jamais plus elle ne retourna le voir. Qu’il soit champion, fort bien, tant qu’il restait en vie. Mais elle ne fit aucune remarque. Elle n’était pas assez conne pour lui faire la morale sur ce sujet.
« Et toi les amours ? Toujours personne ? Peut-être que tu devrais taper ailleurs tu sais... » Un regard de côté et elle lui lance un sourire sarcastique. « T’es pas à la hauteur Gamin. » Dit-elle en lui tapotant la joue. Elle termine en deux bouchées sont hamburger, et s’enfonce dans son siège, mettant les pieds sur le bord et entourant ses jambes de ses bras. « Quelques filles à droite à gauche. Hier encore j’ai rencontré une charmante brunette : Alex. Elle était plutôt aventureuse la gamine. Une bonne hétéro qui a finit dans l’pieux de Yani ce matin. » Dit-elle comme si c’était une chose naturelle. Et en somme au vue de sa relation avec Yani, ca l’était. Suite à cela elle perdit malgré tout son sourire et poussa un énorme soupire. « Demain ca fera deux ans que Yoenai m’a mise dehors. Deux ans et aucune nouvelle. Aucune nouvelle de Will non plus d’ailleurs. Ils vont jamais le retrouver dans ce putain de désert. » Dit-elle entre ses dents. Elle en parle jamais de Yoenai, et de son jumeau, sauf à Séraphin. Elle a besoin d’en parler parfois. Et cette date « anniversaire » la perturbe. C’est passé vite, et pourtant elle a l’impression que cela était hier qu’elle la mettait dehors. « J’crois que je veux plus tomber amoureuse de personne. L’amour ca craint. » Finit-elle par dire en prenant une fritte entre ses lèvres.


Revenir en haut Aller en bas
Séraphin R. Prescott




Séraphin R. Prescott
RIOT — rich, rotten, spoilt, filthy


☆ date d'arrivée : 26/02/2016
☆ potins balancés : 72


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptySam 26 Mar - 16:08

burger/frites et copains.
Willow & Séraphin
Séraphin est conscient de ses problèmes, de ses vices et surtout de ses crises de colère. Il est violent, il le sait et il ne parvient pas à se contrôler lorsqu'il est dans ses périodes mauvaises. De ce fait, le sexe et la musculation parviennent a calmer un temps ses crises, c'est sans doute pour ça qu'il pratique autant de... Sport ? Willow le sait et ne lui en tient pas rigueur, lorsqu’il abuse trop ils se frappent un peu dessus et tout roule après, ils repartent sur un bon pied et ne s'en tiennent jamais rigueur. Pourtant parfois elle frappe fort la garce ! Elle lui a déjà ouvert l'arcade avec un coup de poing bien placé. De ce fait, il n'hésite pas à lui dire que si il abuse trop elle peut le recadrer, il prendra sur lui et évitera de trop l'envoyer promener avant d'aller se calmer dehors. C'est sans doute la seule personne à le supporter lorsqu’il est dans ses mauvaises phases. Qui sont très fréquente, il faut l'avouer. Aujourd'hui ça va, il c'est levé du bon pied puis Willow a toujours eu ce don, le calmer et l'apaiser, ce qui n'est jamais facile avec Séraphin. Personne ne sait comment le prendre, sauf elle. « Tu pourras amener tes affaires ce week-end. Le bigleux doit encore prendre deux ou trois trucs dans sa chambre. » Il sourit de plus belle et hoche la tête. Il va commencer à faire ses sacs alors, de toute façon il vit dans un appartement meublé alors, à part ses vêtements et ses affaires de cours, rien ne lui appartient. Il sera bien ici, il le sait. Ca va l'apaiser d'être entouré et au pire, il prendra une tarte dans la tronche si il est trop gonflant. Séraphin a cruellement besoin de voir du monde, plus il est seul et se renferme, plus il devient infect avec lui et les autres. La solitude aggrave sa maladie mais il est tellement difficile parfois que personne ne le garde bien longtemps en colocation. Il va faire des efforts, pour lui et Willow, il va se maîtriser au maximum. C'est soit ça... Soit il va vraiment terminer ses jours en hôpital psychiatrique. « De toute façon... C'est soit ça et ça calme ma bipolarité. Soit je termine en asile pour la seconde fois. » Crache Séraphin en baissant la tête pour grignoter ses frites, n'aimant pas parler de ça. Sauf avec elle, comme d’habitude. Heureusement le sujet devient plus léger et c'est avec le même sourire qu'elle lui répond alors qu'il avoue qu'il bandera ses conquêtes pour qu'elles ne hurlent pas. « Et puis comme ca s’il y en a une à mon goût j’aurai juste à venir me service dans ta piole. » Il éclate de rire avant d'ajouter quelques mots, toujours sur ce ton léger. « Je suis sur que tu le fais ! »

Enfin ils parlent un peu de la possibilité qu'il tatoue un jour quelqu'un. Elle finie par reconnaître que cela pourrait mal partir, Séraphin est du genre impulsif et si une tête ne lui revient pas il est capable de faire un véritable carnage. « Quelques filles à droite à gauche. Hier encore j’ai rencontré une charmante brunette : Alex. Elle était plutôt aventureuse la gamine. Une bonne hétéro qui a finit dans l’pieux de Yani ce matin. » Lui dit-elle alors qu'il lui demande comment vont les amours. Il termine son hamburger et finit de grignoter ses frites avec une bonne dose de ketchup dessus. Il fait passer le tout d'une gorgée de bière alors que sa meilleure amie se met à l'aise. « Demain ca fera deux ans que Yoenai m’a mise dehors. Deux ans et aucune nouvelle. Aucune nouvelle de Will non plus d’ailleurs. Ils vont jamais le retrouver dans ce putain de désert. » Il lève les yeux au ciel. « C'est pas la mer à boire de retrouver un mec. Ils ont simplement trop la flemme de se bouger... » Dit-il s'adossant à sa chaise également, dans une position bien plus confortable. « Tu peux pas essayer de... J'sais pas... Contacter Yoenaï ? » Dit-il, conscient que ça ne changera rien au final. « J’crois que je veux plus tomber amoureuse de personne. L’amour ca craint. » « J'sais pas. J'ai jamais été amoureux. Mais apparemment c'est chiant ouais. Ca te rend... J'sais pas. Tous les gens qui tombent amoureux deviennent... Gnéééé. » Il accompagne la fin de sa phrase par une grimace ridicule. « Et Yoenaï, elle t'aime ? Pourquoi elle revient pas elle même ? » Demande Séraphin. Il est au courant de toute l'histoire, c'est le genre d'amour compliqué qui fini souvent mal. Le genre d'histoire impossible où l'un fini toujours par souffrir alors que l'autre tente de feindre un bonheur qui n'en est pas vraiment un. Il sait pour William, depuis sa disparition il sait. Il espère en tout cas qu'ils ramèneront ce pauvre gars en un seul morceau.
Revenir en haut Aller en bas
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyJeu 31 Mar - 0:34

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
Séraphin est un mec bien, elle en est persuadée. C’est un mec bien qui a vécu des choses plutôt dur et qui tente de vivre avec sa croix. Comme tout le monde. Qui peut se targuer d’être toujours souriant, agréable et gentil ? Elle-même est une vraie salope quand elle s’y met. Alors pourquoi condamner Séraphin pour cela ? Bipolaire, peut être, encore une putain de maladie du vingt-et-unième siècle. La psychologie ca la laisse sceptique pour sa part. Si on écoute la psychologie tout le monde a des névroses, des vices, des problèmes. Comme si le monde même dans lequel grandit l’espère humain était fait pour la détraquer. Ou alors elle l’est de nature. Et comme d’autres humains peuvent prétendre soigner les vices de l’être. Elle ne comprenait pas la logique et la pensée de cette pseudo « science humaine » qui inventé chez jour de nouveaux problèmes : l’adolescente, le burn out, la bipolarité… Des termes qui apparaissent et sont adoptés par le plus grand nombre sans problème. Elle, elle se refuse à croire que Séraphin a besoin de cachet pour être lui-même. Il est déjà lui-même. Il est ce qu’il doit être, et elle l’aime comme ca. « De toute façon... C'est soit ça et ça calme ma bipolarité. Soit je termine en asile pour la seconde fois. » Elle grimace et le foudroie du regard. « Hors de question. » elle refuse d’aborder ce sujet-là avec lui. Ca l’a met dans une rage folle qu’on puisse penser à l’interner. Il est pas malade, il est pas dangereux. Tout au plus l’est-il pour lui-même mais certainement pas pour les autres. Ces filles qu’il s’envoie elles sont consentantes, qu’elle ne s’étonnent pas de se réveiller à côté d’un connard après avoir écarté les cuisses comme des salopes. C’est tout ce qu’elles méritent. Et lui, il ne sera pas enfermé pour elles. Certainement pas.

La conversation divague, revient, repart. Ils terminent de manger, jusqu’à ce qu’elle ose parler de son frère, et de l’anniversaire fatidique qui arrive. Deux ans. Deux putains d’années qu’elle n’a pas de nouvelle de son frère. Son jumeau, son William. Elle met les bras autour des jambes, et se roulent en boule pour comprimer sa poitrine, et éviter de ressentir le vide qu’il a laissé en elle. « C'est pas la mer à boire de retrouver un mec. Ils ont simplement trop la flemme de se bouger... » Elle hausse les épaules. C’était sans doute vrai, mais elle n’en sait rien. Après tout dans son esprit là-bas il n’y a que du désert, des islamistes, des rebelles, ou elle ne sait pas quoi. Elle n’y comprend pas grand chose. Et peut être que le corps de son frère a été laissé dans un coin. Peu probable cela dit, ils avaient besoin d’avoir les corps pour monnaie d’échange pas vrai ? Ou alors peut être qu’il était mort pour exemple. Mais dans son esprit elle n’arrivait pas à imaginer William encore en vie. Dans son âme, au plus profond d’elle-même, cet espoir était mort il y a deux ans, et elle ne pouvait pas se leurrer à ce sujet. Dût-elle en souffrir atrocement.
« Tu peux pas essayer de... J'sais pas... Contacter Yoenaï ? » Elle grimace et lâche un rire triste. « Elle a été assez claire sur ce sujet. Je devais disparaître de sa vie. Alors j’ai disparu. J’imagine qu’elle ne… elle ne reviendra que lorsqu’elle s’apercevra que j’avais raison. » Dit-elle, la voix brisée par une émotion soudaine et fulgurante qui l’étreint. Elle grimace. Elle n’aime pas vraiment parler de cela. De cette relation avec Yoenai. Mais elle en a besoin aussi, parfois. Surtout en ce moment. Deux ans, c’est long. Loin de son frère. Loin de sa meilleure amie. Loin de la femme qu’elle aime encore. La seule femme dont elle soit tombée amoureuse.
Alors l’amour, elle n’en veut plus, et elle est assez claire sur ce sujet. Explicitement. Elle ne sait même pas si elle serait capable de se retrouver en présence de Delilah et de ne pas la toucher. De ne pas la sentir sous ses doigts. Putain que c’est douloureux. De savoir qu’elle l’aime, mais que jamais elle ne pourra… la sentir contre elle à nouveau. Putain. « J'sais pas. J'ai jamais été amoureux. Mais apparemment c'est chiant ouais. Ca te rend... J'sais pas. Tous les gens qui tombent amoureux deviennent... Gnéééé. » Grimace. Elle se met à rire. Séraphin est comme ca. Il l’a fait rire. Facilement, aisément, là où d’autres seraient mal à l’aise face à la mine contrite de Willow. Séraphin ne s’en formalise pas, et la fait rire. Ouais, les gens amoureux ont l’air con. Le cerveau délavé par les hormones. L’amour c’est con. Mais putain que c’est bon. « Et Yoenaï, elle t'aime ? Pourquoi elle revient pas elle même ? » Elle perd son sourire petit à petit. Elle hausse les épaules, et soupire. D’un geste distrait elle se redresse et commence à débarasser, prenant les couverts de Séraphin pour les rassembler avec les siens. Est-ce que Delilah l’aime ? Est-ce qu’elle a ressenti pour elle autre chose que cet incommensurable désir ? « Parce qu’elle est marié à mon frère, et qu’elle garde l’espoir de le voir débarquer du jour au lendemain. Elle a besoin de le savoir en vie. Ou d’apprendre qu’il est mort. » Dit-elle sans oser regarder Séraphin.

Elle a eut le temps d’y penser, d’y réfléchir, de revenir sur le sujet encore et toujours. Pourquoi Delilah ne revient pas ? Pourquoi reste-t-elle aussi silencieuse malgré les deux années écoulées ? Elle soupire lourdement, et prend les assiettes qu’elle ramène dans la cuisine et les pose juste dans l’évier avant de revenir vers Séraphin. « J’crois pas qu’elle ait été amoureuse de moi. Elle aimait William, c’était évident. Quand elle le regardait son visage était… lumineux. Heureux. Mais quand elle était avec moi… Elle avait cette fougue, cette passion dévorante. Elle me désirait, oui. Mais je ne pense pas qu’elle m’aimait. Pas comme moi je pouvais l’aimer en tout cas… » Sa voix se perd dans cette dernière phrase. Elle hausse les épaules. « Je comprends. Elle avait choisit mon frère depuis le début. Il était… Il est l’amour de sa vie. Son premier amour. Le grand, l’unique. Je n’étais qu’une… un vice. Caché. Humiliant aussi. Parce qu’elle trompait son mari dans mes bras. Parce que je trompais mon frère. » Dit-elle en le regardant droit dans les yeux. « Tu vois, t’es peut être pas le pire connard qu’il y ait sur cette terre finalement ! » Dit-elle avec un pseudo-ton-moqueur comme pour détendre l’atmosphère. Elle revient vers lui, et s’assoit sur la chaise juste à côté de Séraphin ses jambes trouvant le chemin des genous du jeune homme. Un contact naturel qu’elle apprécie. « Tu pense que je devrais aller la voir ? J’pense pas. Tant qu’on saura rien sur Will elle refusera de m’entendre. D’entendre qu’il ne reviendra pas. Alors … Je ne devrais rien faire. N’est-ce pas ? » Demanda-t-elle, perdue.


Revenir en haut Aller en bas
Séraphin R. Prescott




Séraphin R. Prescott
RIOT — rich, rotten, spoilt, filthy


☆ date d'arrivée : 26/02/2016
☆ potins balancés : 72


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyJeu 31 Mar - 15:23

burger/frites et copains.
Willow & Séraphin
« Hors de question. » Malheureusement si un psychiatre le juge dangereux, elle ne pourra rien faire et lui non plus de toute façon. Il sera obligé de retourner en asile et de faire une cure de six mois maximum, pour voir si son comportement change et si il se calme. Il sait que Willow a du mal avec l'idée mais il sait surtout qu'il est dangereux, même si sa meilleure amie ne veut pas l'entendre ni le reconnaître. Séraphin peut parfois pousser la limite jusqu'aux extrêmes, il sait qu'il peut être violent avec les gens qui le poussent où qu'il ne supporte pas. Il ne se fait pas d'idées sur son caractère et sur sa bipolarité qu'il le ronge. Malgré tout ce que peut dire Willow il st dangereux. Mais ça le touche de voir quelqu'un qui prend sa défense comme ça, il a l'impression qu'elle est sa grande sœur et il adore cette idée. Personne n'a jamais voulu prendre sa défense, c'est la première fois que quelqu'un le soutien et le prend comme il est. Willow est son petit bonheur personnel, il le sait et s'en rend compte à chaque fois qu'il l'approche. Il l'adore sa meilleure amie !

« Elle a été assez claire sur ce sujet. Je devais disparaître de sa vie. Alors j’ai disparu. J’imagine qu’elle ne… elle ne reviendra que lorsqu’elle s’apercevra que j’avais raison. » Lui dit-elle en réponse à la question qu'il vient de lui poser sur Yoenaï. Il grimace et hoche la tête, comprenant que l'autre femme est trop têtue pour revenir elle même de toute façon. Où elle souffle trop peut-être, il ne sait pas, il ne la connaît pas. Il regarde sa meilleure amie se lever pour commencer à débarrasser, il se lève aussi et part chercher les donut's qu'il a emmené avec les bières. C'est un repas tout sauf diététique mais ce n'est pas comme si ils en avaient vraiment quelque chose à faire ! « Parce qu’elle est marié à mon frère, et qu’elle garde l’espoir de le voir débarquer du jour au lendemain. Elle a besoin de le savoir en vie. Ou d’apprendre qu’il est mort. » « C'est évident. » Dit-il, il n'y a que comme ça que Yoenaï fera son deuil où au contraire, reverra sa relation qu'elle pensait morte à jamais, renaître. Il ne peut pas s’empêcher d'être triste pour Willow, sa meilleure amie souffre de cet amour impossible qui est difficile et qu'elle ne parvient pas à oublier. C'est horrible comme situation, il comprend sans connaître pour autant. Disons qu'il a de l’empathie pour elle et uniquement elle. C'est un sentiment étrange d'ailleurs. « J’crois pas qu’elle ait été amoureuse de moi. Elle aimait William, c’était évident. Quand elle le regardait son visage était… lumineux. Heureux. Mais quand elle était avec moi… Elle avait cette fougue, cette passion dévorante. Elle me désirait, oui. Mais je ne pense pas qu’elle m’aimait. Pas comme moi je pouvais l’aimer en tout cas… » Il hoche la tête, laissant son amie poursuivre. « Je comprends. Elle avait choisit mon frère depuis le début. Il était… Il est l’amour de sa vie. Son premier amour. Le grand, l’unique. Je n’étais qu’une… un vice. Caché. Humiliant aussi. Parce qu’elle trompait son mari dans mes bras. Parce que je trompais mon frère. » Dit-elle en le regardant droit dans les yeux. Ils reviennent s'asseoir, il ne dit rien encore une fois.

« Tu vois, t’es peut être pas le pire connard qu’il y ait sur cette terre finalement ! » Il lève les yeux au ciel et vient l'embrasser sur le front, tendrement. « Arrête de dire des conneries... » Murmure Séraphin en reprenant place à côté d'elle alors qu'elle glisse ses pieds sur ses cuisses. Il sourit en la voyant faire ce geste,venant de quelqu'un d'autre il aurait refusé mais étant donné que c'est elle, il accepte. Étrangement, elle le fait adorer tout ce qu'il déteste profondément. « Tu pense que je devrais aller la voir ? J’pense pas. Tant qu’on saura rien sur Will elle refusera de m’entendre. D’entendre qu’il ne reviendra pas. Alors … Je ne devrais rien faire. N’est-ce pas ? » Il prend un donut's et mord dedans en ouvrant une autre bière. « Ne serais-ce que l’appeler. Savoir si elle sait des choses... Je sais pas. C'est compliqué car il n'y a pas qu'une dispute entre vous, il y a aussi une histoire d'amour. Et je refuse d'entendre qu'elle ne ressentait rien pour toi. Si elle a pu tromper son époux qu'elle adorait, c'est bien que tu étais bien plus importante que tu ne le pensais. » Dit-il après avoir avalé un gros morceau de donut's. « Écoute ton cœur. Si il te dit d'attendre alors... Fais toi discrète. » Lui dit Séraphin avec un sourire doux. « Tu devrais peut-être essayer... Je sais pas. De passer à autre chose... Non ? » Dit-il en terminant son premier beignet.
Revenir en haut Aller en bas
Willow Leah-Rose




Willow Leah-Rose
STUDENT — l'élitisme est maitre mot


☆ date d'arrivée : 04/03/2016
☆ potins balancés : 223


burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) EmptyVen 1 Avr - 11:49

burger/frites et copains
Willow & Séraphin
Parler de Delilah la met mal à l’aise. Pas parce que qu’elle se sent gênée ou honteuse d’avoir vécu cette histoire qui restera (sans aucun doute) la plus belle de sa vie mais aussi la plus terrible. Mais parce qu’elle ne sait pas quoi en dire. Elle n’a pas revu ou entendu parlé de son ancienne amante depuis deux ans à présent. Durant ce temps Willow a tout fait pour tenter de l’oublier, de passer à autre chose. Mais à force d’essayer elle a vite compris que cela était inutile : Delilah faisait partie d’elle. Elle était son âme sœur au même rang que William (qui lui était la seconde partie de son être). Elle n’avait pas la même connexion qu’avec son frère jumeau, c’était certain, mais parfois dans ses rêves il lui semblait la retrouver, lui parler, la réconforter comme elle voulait le faire dans le monde réel. Le réveil était alors plus dur encore, et elle se surprenait à vivre comme un automate, rentrant chez elle le soir sans être capable de dire ce qu’elle avait fait de sa journée.
C’est ainsi que depuis deux ans elle tente de surprise, voyant passer les jours sans pouvoir les retenir. Des jours qui l’éloignent un peu plus de Delilah, des jours qui la rendent plus mélancolique encore si c’est possible. Elle tâchait d’oublier de temps en temps. Elle se perdait dans une étreinte avec une parfaite inconnue pour une nuit. Une fois. Une unique fois avant de revenir à son quotidien. Malgré tout elle n’était pas à proprement parler éteinte. Elle avait eut le sentiment d’avoir fait le deuil de son frère, quant bien même elle ignorait encore où il se trouvait. Son corps uniquement parce que quelque part elle savait pertinemment que son frère ne reviendrait pas en vie. Putain de guerre. Mais pour ce qui concernait son ancienne amante – meilleure amie et confidente de surcroit- elle savait que les choses n’étaient pas aussi « simples » et qu’elle avait besoin de savoir. « C'est évident. » Hochement de tête. Oui. C’était évident.

Pour l’heure, il en vient à lui demander s’il ne peut pas tout de même retourner vers elle et elle grimace, lui faisant part de ses réflexions sur la question. Son histoire avait Delilah était sans doute aussi tortueuse que belle, terrible que fantastique. Elles étaient tombées sous le charme l’une de l’autre sans même s’en rendre compte. Willow pensait encore à cette soirée en Italie avec une tendresse qui n’avait pas d’égal Jamais elle ne s’était sentie aussi heureuse. Alors qu’elle embrassait cette fille dont elle rêvait depuis des années, elle se sentait vibrer d’une passion qui la bouleversa. Tout comme Delilah, qui répondait à son étreinte avec une force au moins équivalente. Elles se sont perdues dans cet instant parfait. Elles avaient fait l’amour ce soir-là. Plusieurs fois, jusqu’à ce que l’aube les sorte de cet instant onirique et idyllique. Un rêve, qui devait rester dans cette chambre Italienne. Au départ.
Tout était devenu pervers et horrible aux yeux de Willow (et sans doute à ceux de Delilah) quand elles avaient continué leurs rencontres nocturnes, dans le dos de ce frère partie se battre pour la liberté. « Arrête de dire des conneries... » elle hausse un sourcil interrogateur. Est-ce qu’il ne voyait pas à quel point elle avait été horrible avec son frère ? Elle aurait dû partir, ne pas suivre Delilah à Oxford, ou du moins ne pas vivre avec elle durant ces six années. Mais Séraphin ne la jugeait pas, comme toujours, et tentait plutôt de la rassurer. Elle s’installa plus confortablement, à moitié sur lui. Elle savait qu’il n’était pas du genre à être très tactile, et qu’il n’aimait pas ce genre de démonstration d’affection, mais elle s’en foutait. Elle, elle était tactile, caline, et elle adorait dormir contre lui quand elle en avait l’occasion. Elle n’aimait pas dormir seule, elle n’avait jamais aimé cela.


Pour l’heure, elle se mit à douter : est-ce qu’elle avait tord de rester loin de DElilah ? « Ne serais-ce que l’appeler. Savoir si elle sait des choses... Je sais pas. C'est compliqué car il n'y a pas qu'une dispute entre vous, il y a aussi une histoire d'amour. Et je refuse d'entendre qu'elle ne ressentait rien pour toi. Si elle a pu tromper son époux qu'elle adorait, c'est bien que tu étais bien plus importante que tu ne le pensais. » Elle sursaute, surprise par le discours de Séraphin au sujet des sentiments de Delilah. Etait-ce le cas ? Est-ce qu’elle l’avait aimé ? En tout cas si tel était le cas elle n’avait jamais rien dit, alors que Willow ne s’était pas gêné pour se déclarer. Pas souvent, elle sentait dans le regard meurtri de Delilah qu’elle s’en voulait. Elle s’en voulait parce qu’elle n’avait pas le droit de l’aimer elle, et d’aimer son frère dans un même temps. Un cœur, deux amour, triangle amoureux qui ne pouvait que mal finir. Alors Low avait fini par se convaincre qu’elle ne l’aimait pas, mais que son désir pour elle était trop grande pour supporter de rester près d’elle sans la toucher. C’était plus supportable. « C’était du désir. Violent. Mais du désir. C’est tout. » Elle se ferme en disant cela, discours qu’elle se répète depuis deux ans. Parce que c’était plus simple de vivre ainsi. « Écoute ton cœur. Si il te dit d'attendre alors... Fais toi discrète. » Elle acquiesce, prend le donut que son meilleur ami va apporter à sa bouche, et en arrache un bout pour le manger. Il aime pas ca. Tant pis.
« Tu devrais peut-être essayer... Je sais pas. De passer à autre chose... Non ? » Elle soupire, et prend une bière, ainsi qu’un donut pour elle aussi. Ouvre la première, mâche le second, et soupire de plaisir. Putain que c’était bon. « J’ai essayé. J’me suis bien éclatée depuis deux ans mais… mais putain j’arrive pas à me la sortir de la tête cette fille ! Elle… » elle inspire profondément et se masse la base de la nuque. Elle rentre le Donut entier dans sa bouche et le mache sans aucune élégance. Willow, normal. « J’peux pas l’oublier. Notre histoire n’est pas terminée. Et les autres me semblent… Elles sont jolies, gentilles, parfois douées au pieux mais. Elles sont pas Delilah. » Dit-elle finalement avec un sourire, hochement d’épaules comme pour dédramatiser son discours. Elle ne veut pas donner d’importance à tout cela, c’est déjà assez compliqué.
« Et toi, c’est quand que tu tombe amoureux un peu ? J’suis sûre qu’il y a quelque part une femme qui saura exaucer tous tes délires sexuels. »



Revenir en haut Aller en bas




Contenu sponsorisé




burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty
MessageSujet: Re: burger/frites et copains (willow & séraphin)   burger/frites et copains (willow & séraphin) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
burger/frites et copains (willow & séraphin)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jusqu'à l'excès  :: Le coin des petits whiskies :: Archives Administratives :: Les RPs égarés-
Sauter vers: