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 animals (adanix) HOT HOT HOT

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Phoenix C. Feuerbach




Phoenix C. Feuerbach
TEACHER — guide du savoir.


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MessageSujet: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyDim 17 Avr - 21:28

animals
Phoenix & Adam
« Vous me rendrez votre travail dans deux semaines. Cela fera office de premier partiel, et comptera pour la moitié de votre note du semestre. Alors je vous conseille de ne pas le bâcler en prenant comme excuse que vous « n’aviez pas le temps ». Si vous avez des questions vous avez tous mon adresse e-mail, je tâcherais de vous répondre rapidement. » Dit-il, accoudé sur le bureau de l’amphithéâtre où il donnait son cours. A l’écran le sujet d’un dernier devoir avant la fin du semestre. La scène de crime parfaite, avec la présentation psychologique du meurtrier. Un dossier qui comprendrait les ouvrages de psychologies et de droits qui ont inspiré les étudiants, mais aussi tout ce qui leur donnera matière à élaborer leurs meurtres. Il regarde les quatrièmes années ranger leurs affaires, sous un brouhaha constant, alors qu’ils commencent déjà à râler, et à discuter sur ce dernier devoir. Qui tombe sans doute mal avec les examens qui approchent. Mais sincèrement, Phoenix s’en moque allègrement. Il retourne derrière son bureau, et éteint son ordinateur ; il termine sa matinée de cours et n’a rien à faire jusqu’à quatre heures de l’après midi. Naturellement – sans qu’il ne puisse rien y faire – son regard glisse vers Adam qui descend les marches de l’amphithéâtre pour rejoindre la sortie accompagné d’autres étudiants. Pas un mot. Pas un putain de regard. Phoenix sert les dents, et ferme rageusement son écran alors que l’ordinateur n’est pas encore éteint. Il le regrettera mais qu’importe. Il enlève les câbles de branchements et range le tout dans sa pochette. Une étudiante tend à venir vers lui, mais il l’arrête d’un geste brusque de la main en prenant ses clopes. « Par mail. » Peu avenant, mais ils finissent par avoir l’habitude, et loin de s’en vexée elle hausse les épaules et fait demi-tour.
Il se retrouve rapidement dehors, une clope entre les lèvres, tenant son sac sur l’épaule avec ses dossiers et son ordinateur. Le printemps s’est installé. De lourds nuages de pluie s’installent au-dessus de leurs têtes, et les étudiants profitent de ce répit pré-tempête pour aller déjeuner dans l’herbe.  Pour sa part, il regarde autour de lui la silhouette familière d’Adam. Mais force est de constater qu’il est parti bien trop vite.

Il décide de prendre un sandwich dans un des snacks par chers qui bordent les ruelles d’Oxford. Il trouve rapidement son bonheur dans un espèce de sandwich à la viande séchée, et prend la direction de la bibliothèque. Dans un espoir fou – sans doute – il se dit que peut être Adam commencera son devoir dés à présent. Alors ils pourront sans doute discuter ce qu’il s’est passé entre eux. Une semaine – encore – de ce putain de silence qui tend à le rendre fou. Il ne sait comment il doit prendre cela – encore. Il regrette ? Il l’emmerde, ils étaient deux pour faire l’amour dans l’appartement d’Adam. Il ne l’a pas violé, il ne l’a pas contraint, et il lui semblait bien qu’il prenait son pied. Durant cette semaine, Phoenix avait constamment basculé entre un état de dépression durant lequel il s’enivrait de Whisky bas de gamme trouvé dans le supermarché à côté de chez lui, et des moments de « conneries » durant lesquels il lui prenait l’envie de se toucher devant des anciennes photos de son amant. Putain de merde. Il était en train de péter les plombs, et sa bipolarité en était accentuée. Il était même allé dans un bar, un soir, se laissait draguer par un étudiant ivre qu’il avait finalement abandonné. Et à présent ? il ne savait plus, ne contrôlant ni ses émotions, ni son corps qui tremblait à la pensée de peut être croiser Adam. Se retrouvait face à lui. Pourvoir le toucher…
Il entre dans la bibliothèque, et trouve rapidement la salle de psychologie – et sciences humaines en tout genre. Alors qu’il se rend dans la partie « psychologie criminelle » de la pièce, son regard est attiré par une chevelure châtain désordonné qu’il ne connaît que trop bien. Son cœur manque un battement et il sourit. Carnassier, moqueur, excité. Il pose ses affaires devant Adam, et s’installe sur la chaise à côté de lui. « Je vois que tu es toujours aussi studieux. » Dit-il d’une voix ferme, chuchotant à peine, recevant quelques « chut » rageurs qu’il préféra ignorer. « Tu m’ignores encore. Ça m’énerve. Tu me laisse te faire l’amour. Tu me vires de chez toi. Puis tu m’ignores. » Dit-il, le regard sévère, tenant le dossier de la chaise de son amant comme pour le coincer, l’empêcher de fuir. Il sert les dents, et inspire profondément. Au moins – bon côté cette fois – Adam ne sèche pas son cours. C’est déjà cela. « J’ai envie qu’on s’engueule si violemment que tu me demanderas de te baiser pour oublier, Adam Harper. Tu me mets dans des états de rage tel que je ne me reconnais même pas. » Il sent qu’il est dans sa mauvaise passe, il sent qu’il devrait laisser Adam tranquille, ne pas l’effrayer par ce côté « violent et salop » de sa nouvelle personnalité. Phoenix – ou plutôt Gabriel – était un garçon charmeur, charmant, qui aimait plaire, et joueur. Mais pas cruel, jamais cruel. Là. Si. « Tout ce que tu m’as laissé te faire… Ca tourne dans ma tête. Ca m’excite. Ca me pousse à me faire des choses… que te ferais rougir. » Dit-il en s’approchant d’Adam, se penchant vers son oreille en chuchotant. Connard.



Dernière édition par Phoenix C. Feuerbach le Sam 23 Avr - 12:28, édité 1 fois
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Adam E. Harper




Adam E. Harper
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyLun 18 Avr - 19:44

Animals
Adanix
« Vous me rendrez votre travail dans deux semaines. Cela fera office de premier partiel, et comptera pour la moitié de votre note du semestre. Alors je vous conseille de ne pas le bâcler en prenant comme excuse que vous « n’aviez pas le temps ». Si vous avez des questions vous avez tous mon adresse e-mail, je tâcherais de vous répondre rapidement. » Il écoute attentivement son professeur parler, il note dans son carnet la date de retour du devoir puis alors que dehors la sonnette retentit, annonçant la fin du cours, Adam se lève et range ses affaires. Une jeune fille l'accoste et lui demande des précisions pour son devoir, avec un sourire il commence à répondre aux questions qu'elle lui pose tout en sortant de la pièce. Pas un regard pour Phoenix, pas un clin d’œil, rien du tout. Pour se protéger, pour refuser de croiser son regard plein de sous entendus et d'images salaces. Il refuse de repenser à la dernière fois où ils ont fait l'amour. C'était génial, parfait, magnifique et incroyablement bon. Mais cela doit rester une dernière fois, ils ne doivent jamais se retrouver dans la même pièce, ils ne devront jamais recommencer. Adam pense à se protéger, c'est tout cela qui compte pour son bien être mental. Phoenix a tellement de pouvoir sur lui, une telle emprise n'est pas normale et correcte, elle n'est pas bonne pour construire une relations stable. Adam se tient loin, il va à ses cours et lorsque Phoenix a terminé, il range ses affaires et s'enfuit à toute hâte. Il ne peut pas rester, il ne peut pas croiser ses yeux, sentir l'envie de son amant sur lui. Alors pour avoir la paix, il va commencer à travailler à la bibliothèque. Son père vient le voir ce week-end, il ne peut pas se permettre d'avoir du travail à faire. Son père pense toujours qu'il travaille seulement en tant que professeur, il ne sait pas qu'il a repris ses études. Et il ne peut pas se permettre de le lui dire, il déclencherait sans doute la seconde guerre mondiale. Son père est un homme violent.S ans parler du fait qu'il protège également sa sœur, pour elle il ne peut pas défaillir. Alors tout en laissant la jeune fille lorsqu’elle a terminée ses questions, il se détourne et rejoint l'immense bibliothèque où plusieurs élèves travaillent déjà. Il pose ses affaires sur la table, sort son ordinateur et commence à travailler. Il a pensé à emporter de quoi manger ce matin. Alors il sort également de son sac une boite contenant des petites tomates, des babys carrots ainsi qu'une salade de riz. Il mange tout en travaillant, les yeux rivés sur son écran.

Puis, alors qu'il relit une phrase de son cours, il sent que quelqu'un pose violemment uns ac à côté de ses affaires. Il sursaute alors que les étudiants présent se tournent vers eux et lancent des chuuuuut! agacé. Adam relève la tête et tombe sur son amant. Phoenix. Ici avec lui, trop proche, tenant le dossier de sa chaise pour l’empêcher de fuir. « Je vois que tu es toujours aussi studieux. » Il déglutit difficilement et baisse les yeux. « Bonjour Phoenix. » Dit-il en se mordillant la lèvre et en refusant de croiser le regard de Phoenix. Il attrape une petite tomate et la fourre dans sa bouche pour la croquer. « Tu m’ignores encore. Ça m’énerve. Tu me laisse te faire l’amour. Tu me vires de chez toi. Puis tu m’ignores. » Une légère rougeur s'empare de ses joues alors que Phoenix lance ces mots bien trop fort. Autour d'eux, quelques étudiants se mettent à rire dans leur barbe. « Parle doucement s'il te plaît. » Dit-il en relevant les yeux vers son amant. « J’ai envie qu’on s’engueule si violemment que tu me demanderas de te baiser pour oublier, Adam Harper. Tu me mets dans des états de rage tel que je ne me reconnais même pas. » Un instant le doute s'infiltre dans son esprit. Phoenix n'a jamais été comme ça. Gabriel était un garçon doux et charmeur, jamais un mot plus haut que l'autre, qui s'amusait à le mettre dans des états pas possible d'un regard et de quelques mots bien placés. Mais jamais il n'a laissé la colère prendre le dessus ni même la vulgarité s’immiscer dans leur couple. Évidemment parfois ils faisaient l'amour plus violemment, avec des mots crus et des gestes violents, mais jamais cela n'était... Vulgaire. C'était simplement un peu plus de passion que d'habitude. C'est tout. « Tout ce que tu m’as laissé te faire… Ca tourne dans ma tête. Ca m’excite. Ca me pousse à me faire des choses… que te ferais rougir. » Il se lève d'un bon, comme si quelque chose de bouillant venait de se poser dans son dos. Sans un mot il range ses affaires et attrape sa boite contenant son pique-nique. Puis il attrape la main de Phoenix et le traîne hors de la bibliothèque. Loin des regards et des ragots que les élèves vont colporter dés qu'ils auront quittés l'endroit. Une fois dehors, Adam trouve un endroit au calme, loin des regards indiscrets. Il lâche la main de Phoenix et se tourne vers lui. « Qu'est ce que tu as ?! » Dit-il sans comprendre, observant son amant. « Un coup tu es charmeur, tu me veux, tu me fais l'amour, tu es doux et tendre. L'autre fois tu es violent et presque agressif. Mais qu'est ce que tu as ? Tu n'es pas le Phoenix que j'ai connu. Tu me fais peur... » Dit-il en laissant tomber ses affaires dans un coin et en venant prendre place sur un petit rocher. « Qu'est ce que tu me caches ? »blockquote>
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyMer 20 Avr - 0:26

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Phoenix & Adam
En règle générale, depuis qu'il avait déclaré sa maladie il subissait deux types de crises assez fréquentes et virulentes. Lors de la première, il s'enferme, loin du monde, incapable de supporter leur présence ou leur regard. Incapable de se trouvait ailleurs que dans un endroit clos qu'il peut parfaitement maitriser. L'impression d'être surveillé, épié, et les images qui tournent dans son esprit le pousse à consommer toutes sortes de substances pour tenter de les chasser. En général il commence par l'alcool, les cigarettes, avant de commencer à rechercher des drogues, de plus en plus dures. Adam l'avait déjà vu dans cet état. Une fois. Sans doute la fois de trop pour Phoenix qui avait du mal à assumer ces moments de perdition où il se sentait prêt à accueillir la mort à bras ouverts. Alors que lors de ses secondes crises, il est à l'exacte opposé de cet état apathique. « Bonjour Phoenix. »   Il sourit. Lors de ces secondes crises il porte un tel désir de vivre qu'il en deviendrait violent; fiévreux il semble vouloir plier le monde à ses moindres désirs, et ses désirs prennent le pas sur sa raison. Il hurle, frappe, boit, fume, baise, sans se limiter, sans se restreindre, et sans penser aux conséquences de ses actes. Il joue avec le feu, enivré, désireux de se brûler s'il le peut. Et dans ces moments-là il n'a plus vraiment consceince des civilités. Ce qu'Adam ne met pas longtemps à remarquer, avec gêne. « Parle doucement s'il te plaît. »   Non. Il lance un regard peu concerné autour d'eux avant de reprendre le jeu. Sans se soucier de la portée de ses mots, de sa gestuel clairement déplacée. De sa tentative - veine - de faire réagir Adam autrement qu'en le faisant fuir.

Mais surpris, il sent son amant lui prendre la main et le guider hors des lieux. Il se laisse faire, et lance un doigt d'honneur à quelques femmes âgées qui les regardent avec consternation. Il ne se maitrise déjà plus, il le sait. Ils arrivent hors du bâtiment, et Phoenix sort une clope. Il va fumer, beaucoup. Il suit Adam, qui marche sans vraiment faire cas de ce qui se trouve autour de lui. Finalement il s'arrête dans une ruelle sombre et fait volte-face. « Qu'est ce que tu as ?! » Hausse d'épaules nonchalante. Il fume toujours, crachant sa fumée à la figure d'Adam, pour s'amuser, un sourire moqueur aux lèvres. Son coeur battait fortement dans sa poitrine, et il avait le désir de l'embrasser. Il ne le laisserait pas faire. Et cette idée l'excite d'autant plus. « Un coup tu es charmeur, tu me veux, tu me fais l'amour, tu es doux et tendre. L'autre fois tu es violent et presque agressif. Mais qu'est ce que tu as ? Tu n'es pas le Phoenix que j'ai connu. Tu me fais peur... »   Sourire carnassier. « La seule chose qui n'a pas changé c'est que je te veux toi. » Répondit-il en caressant le coeur d'Adam par un regard aguicheur. Et il est vrai que ce désir violent ne l'a pas quitté. Jamais. Et sans doute le ressentira-t-il encore longtemps. Toujours s'il le pouvait. Mais alors qu'il s'approche Adam fait volte-face, et trouver une place sur une pierre difforme à l'autre bout de la ruelle étroite. En face, Phoenix s'adosse au mur, pliant une jambe pour y poser son pied. dans une posture terriblement nonchalante. « Qu'est ce que tu me caches ? » Il soupire, et amène sa cigarette à ses lèvres. « T'es un étudiant en psy, non ? Alors trouve tout seul. » Dit-il avec un air moqueur sur le visage. Il se tourne vers Adam et le fixe d'un air de défis. « Aller Harper. Montre moi que tu écoutes mes cours assidument. A ton avis, qu'est-ce que je peux bien te cacher ? »  Demanda-t-il avec un sourire digne du Joker.

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Adam E. Harper




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptySam 23 Avr - 0:19

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Adanix
Il ne reconnaît pas cet homme et cela lui fait peur. Il sait que dix années ont passés, que ce n'est pas rien et qu'après tout Phoenix peut avoir vécu des choses qui l'auront changés à jamais et qui l'auront transformés jusqu'à en faire un être étrange et un peu agressif, comme aujourd’hui. Lunatique également, car il passe du rire aux larmes. Adam se souvient de la fois où il l'a trouvé complètement drogué, à deux doigts de l'overdose si il avait sniffé sa dose de cocaïne qui était bien trop puissante pour un être humain normal. Il s'en souvient, ce souvenir brûle dans son esprit et lui donne l'impression étrange que son amant lui cache quelque chose. Une chose qu'il ne devine pas, qu'il n'arrive pas à comprendre malgré toutes les fois où il y pense. Mais qu'est ce qu'il a ce mec ?! Pour avoir la paix et se retrouver loin des oreilles indiscrètes, Adam le prend par la main et l’emmène hors de la bibliothèque, dans un coin sombre et à l'écart. « La seule chose qui n'a pas changé c'est que je te veux toi. » Il lève les yeux au ciel alors que Phoenix vient s'adosser contre un mur, dans une posture hautement sexy et je m'en foutiste. Adam le regarde faire, le dévore du regard, entre l'envie et la colère. Si il s'écoutait il viendrait se faire prendre contre ce mur tout en insultant Phoenix tant il l'exaspère actuellement. « Je ne suis pas qu'un putain de coup à tirer Phoenix. » Dit-il d'une voix froide en serrant les poings. Son amant le met au défis de trouver ce qu'il a, lui rappelant qu'il est étudiant en psychologie. Phoenix fume, Adam réfléchit encore et encore. Il s’adosse également au mur et croise les bras sur son torse alors que son regard se perd sur un point invisible au sol. « Aller Harper. Montre moi que tu écoutes mes cours assidument. A ton avis, qu'est-ce que je peux bien te cacher ? » « Bipolarité où schizophrénie. J'hésite encore. » Dit-il en se passant une main sur le visage. « Schizophrénie tu ne serais pas conscient d'avoir quelque chose. Et tu serais un véritable danger pour toi et les autres. Le doyen ne t'aurait jamais laissé enseigner... Alors tu es bipolaire. Ça explique tes changements d'humeur, tes phases de bien être, tes envies de sexe et tes périodes connard. » Dit-il en s'approchant de Phoenix pour lui prendre sa cigarette et tirer une latte sur le bâtonnet de tabac. « Mais la question se pose. Est-ce que j'ai raison où pas ? » Demande Adam. « Est-ce que ton élève est assez brillant pour mériter une récompense ? » Murmure Adam avec un sourire amusé, toute colère l'ayant quitté en une seconde. Au moment même où il a posé ses lèvres sur cette cigarette, le tabac l'a aussitôt calmé et lui a fait un bien fou. Il tire une autre latte de la cigarette de Phoenix avant de la lui rendre. « Tu te soignes Phoenix ? » Demande l'étudiant en recroisant ses bras sur son torse et en posant ses yeux sur son amant. « Ne joue pas au con avec moi Phoenix. Avec les autres si tu veux, mais pas avec moi. » Dit-il d'une voix plus forte, mettant en garde son amant de le faire tourner en bourrique. Il n'est pas qu'un petit jeune qu'il a ramené chez lui pour partager sa nuit, il est son amant et surtout, l'homme qui l'a attendu pendant dix années. Il a droit à un minimum de vérité.
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptySam 23 Avr - 12:09

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Phoenix & Adam
Il a changé durant ces dernières années. Il en a conscience, et pourtant en ce qui concernait Adam il avait l’affligeante impression que tout était resté exactement pareil. Il le regardait, droit dans les yeux, laissant sa crise prendre le dessus – sachant qu’il ne pourrait de toute façon rien faire contre sinon la rendre plus mauvaise encore – et il ressent toujours ces vagues de désir déferler dans son être. Adam a toujours eut cette capacité de le rendre fou par sa simple présence. Par son regard, sa posture, ses cheveux, son style, ses lèvres attrayante. Tout avait changé, sauf sa passion amoureuse pour Adam Harper. « Je ne suis pas qu'un putain de coup à tirer Phoenix. » Il sourit, ricanant pour toute réponse. Il n’était pas un putain de coup à tirer ? Pourtant il ne s’en plaignait pas quand Phoenix venait trouver son point de plaisir pour le faire jouir. Pourtant il ne s’en plaignait pas quand Phoenix venait le prendre en bouche pour le rendre fou. Pourtant il n’était pas contre le recevoir au plus profond de lui-même, intimement, et à plusieurs reprises. Alors Phoenix ne fait que le regarder moqueur, l’air de dire « Si c’est exactement ce que tu es ». Sa salope, son amant, son fruit interdit.

Finalement, il semble s’éveiller, constatant que quelque chose est différent chez Phoenix. Alors que cela fait presque quatre mois qu’ils se retrouvent. Phoenix est presque déçu du temps qu’il a mis à le constater, mais se contente de le mettre au défis de le découvrir. La réponse est rapide, franche. Alors il comprendre. « Bipolarité où schizophrénie. J'hésite encore. » Adam y réfléchissait depuis un moment. Il l’observait, ayant remarqué les signes, sans oser en parler à Phoenix. Et l’aurait-il fait s’il l’avait compris ? Le professeur ne répondit pas, se contentant de rester adossé au mur en face d’Adam et d’attendre la suite. « Schizophrénie tu ne serais pas conscient d'avoir quelque chose. Et tu serais un véritable danger pour toi et les autres. Le doyen ne t'aurait jamais laissé enseigner... Alors tu es bipolaire. Ça explique tes changements d'humeur, tes phases de bien être, tes envies de sexe et tes périodes connard. » Prenant sa cigarette entre la bouche, Phoenix applaudit la démarche et la performance. En effet, le Doyen de l’université semblait considéré que sa Bipolarité pouvait être maîtriser. Raison pour laquelle il voyait Sasha Koroleva deux fois par semaine. Sans doute pour trouver un moyen de le « guérir ». Mais il ne savait pas s’il le voulait vraiment. Et s’il savait ce que Phoenix fait endurer à Adam Harper, sans doute le Doyen viendrait à reconsidérer la notion de « dangerosité ». « Mais la question se pose. Est-ce que j'ai raison où pas ? » Phoenix reprend sa position, et enlève sa clope de sa bouche. Adam la prenant pour lui, sous le regard fasciné de son amant. « Tu es un élève brillant, Adam Harper. » Dit-il pour toute réponse. Avouer à haute voix « je suis bipolère » l’agaçait prodigieusement. Sans doute parce ce que c’était avouer que tout ce qu’il avait vécu avait fini par prendre le dessus sur sa personnalité. Lui qui se targuait d’être un esprit fort et habile. « Est-ce que ton élève est assez brillant pour mériter une récompense ? » Surpris il sonde le visage d’Adam pour constater qu’il ne reste aucune trace de colère. Sourire. Il s’approche alors que son amant, d’un pas félin. Il tire une autre latte de sa cigarette avant de la rendre à Phoenix qui est à présent à quelques centimètres de lui.
« Tu te soignes Phoenix ? » Haussement de sourcil. « Donne moi une bonne raison de me soigner. » Dit-il entre ses dents, avec qu’Adam se ferme, croisant ses bras sur son torse dans une posture qui agace Pheonix. « Ne joue pas au con avec moi Phoenix. Avec les autres si tu veux, mais pas avec moi. » Il ignore la menace inhérente à sa phrase, et jetant son mégot à moitie entamé par terre, il attire son amant en l’attrapant par son pantalon. Il le colle contre lui, et vient embrasser la peau tendre de son cou. De sa main, en même temps, il vient défaire le bouton de jean, et trouve la paroi de son sous-vêtement qu’il caresse, sentant son intimité s’éveiller. « Pourtant le jeu en vaut la chandelle… » Lance-t-il d’une voix carnassière et perverse, riant. Poussant Adam contre le mur, à l’ombre de la ruelle, il vient sortir son sexe de sa prison de tissu. Un regard à son amant, et le voilà qui s’agenouille devant lui pour venir jouer avec son sexe, d’abord avec sa main, avant de venir le lécher doucement. « Arrêtes moi Adam… » Proposa-t-il avant de le prendre en bouche entièrement.


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Adam E. Harper




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyLun 25 Avr - 18:56

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Adanix
Il a évidemment remarqué que Phoenix était étrange, qu'il semblait passer du rire aux larmes en un claquement de doigt mais il ne s'en est pas formalisé plus que de raison, pensant simplement que la fatigue où le fait de revenir tapait sur le système de son ancien amant. Puis maintenant qu'il est devant lui et qu'il le nargue, le mettant au défis de trouver ce qui ne va pas chez lui et ce qui le fait dérailler, Adam se demande si au final Phoenix n'est pas clairement malade. Il ne l'aurait pas pensé au début mais depuis quelques temps tout de même, il avait des doutes. Avant qu'il se rende compte que ses doutes étaient peut-être inutile et impossible, il l'aurait vu si Phoenix était malade. A moins que a maladie soit assez fourbe pour ne pas se manifester tous les jours, c'est apparemment ça. Bipolaire, oscillant entre deux états de nerfs et d'humeur, un entre-deux contant qu'Adam connaît assez bien car il a déjà croisé plusieurs bipolaires. Mais il faut avouer que toutes les fois où il croisait Phoenix, ce dernier avait plutôt envie de sexe et de rien d'autre, c'est pour cela qu'il a mis du temps avant d'ouvrir les yeux sur son ancien amant. Maintenant il comprend mieux, pourquoi il est ici, pourquoi il semble aussi étrange d'un jour à l'autre, pourquoi il a été muté dans son travail. Adam le croit maintenant qu'il comprend, il le croit alors que Phoenix lui a dit qu'il bossait dans les services secrets. C'est effrayant de se dire qu'en partant Gabriel allait bien et qu'à son retour, il retrouve un homme qui n'a plus la même personnalité ni le même prénom. Adam frissonne et baisse la tête alors que son jugement tombe et qu'il comprend qu'il a raison. « Tu es un élève brillant, Adam Harper. » Il hoche la tête, il aurait aimé se tromper sans doute. Il rend sa cigarette à Phoenix avec un petit sourire, gêné en voyant qu'il a percé le secret de Phoenix, un de ses secrets du moins car il se doute que son amant en a d'autre. « Donne moi une bonne raison de me soigner. » Lui dit-il alors qu'Adam lui demande si il se soigne. Ce dernier soupire et lève les yeux au ciel, c'est bien du Phoenix tout craché ça. Déjà à l'époque il devait hurler pour que son amant se soigne alors il se doute que maintenant, l'idée de prendre soin de lui est impossible. « Pour moi. » Dit-il comme si c'était une évidence. « Je ne peux pas prendre le risque que tu partes à tout moment. » Murmure Adam en posant ses yeux sur son homme. Car Phoenix est son homme, maintenant et à jamais, quoi qu'il arrive et même si il est malade rien ne change, il reste son amant et son amour. Son homme depuis qu'il est revenu à Oxford et qu'ils ont recommencés à coucher ensemble.

Parce que Adam est faible et qu'il n'est pas capable de résister au regard brûlant d'envie de son homme, ce même regard que Phoenix lui lance alors qu'il le détaille d'un air gourmand. Adam sent un violent frisson monter en lui alors que son homme s'approche un peu trop prêt. Il voudrait le repousser et installer une distance de sécurité avec lui mais il est incapable de faire quoi que soit. Son amant s'approche et sans qu'il ne puisse faire quoi que ce soit, la main de Phoenix se glisse dans son jean. « Pourtant le jeu en vaut la chandelle… » Lui dit-il en s'approchant. Adam ferme les yeux et respire doucement, il doit résister. Recule Phoenix, je t'en supplie... Ses yeux semblent hurler à Phoenix de ne pas s'approcher plus mais son homme ne l'écoute pas, il ouvre son jean et le pousse contre le mur, dans un endroit sombre où personne ne peut voir le couple. « Phoenix... » Murmure Adam alors que son homme s'agenouille devant lui. Déjà il sent l'envie et l'excitation prendre le dessus jusqu'à lui faire tourner la tête. « Arrêtes moi Adam… » Il ne peut pas, pas alors que la bouche de Phoenix englobe son membre gonflé de plaisir et qu'il pousse un râle en laissant tomber sa tête en arrière. Aussitôt il fourre ses mains dans la chevelure courte de son homme comme pour le guider. Il murmure quelques mots qui ne veulent rien dire, il ferme les yeux plus fort en se mordillant la lèvre. « Arr... Arrête... » Murmure Adam en sentant le plaisir monter plus fort encore, en sentant cette jouissance couler en lui jusqu'à le rendre fou. Il lui demande d'arrêter et pourtant, d'un geste de hanche il lui fait comprendre que si il arrête, il serait bien capable de le violer ici et maintenant. Puis alors qu'il se mord la lèvre plus fort, il sent le plaisir monter encore, jusqu'à exploser en lui dans une pluie d'étoiles. Lui faisant tourner la tête à tel point qu'il est obligé de s'adosser au mur pour ne pas tomber.
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Phoenix C. Feuerbach




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyJeu 28 Avr - 1:03

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Phoenix & Adam
Il a été découvert, et étrangement il sent que cela n'a pas d'importance. Adam aurait fini par le comprendre, autant que ce soit maintenant, n'est-ce pas ? et pourquoi cela compte-t-il ? Il ne sait pas, il ne se l'explique pas. Il cherche une réponse, sans vraiment savoir s'il la désire. La crise est toujours là, son coeur palpite durement dans sa poitrine, et son esprit est embrouillé par le désir de sexe qu'il ressent. Le désir de lui faire mal, de le dominer, de le posséder. Sans que cela n'ait rien à voir avec l'amour qu'il lui porte, ou toute la tendresse qu'il a pour lui. Il disparait, l'homme qu'il est. Il ne reste que son instinct sauvage et cruel. Pourquoi se soigner ? Pourquoi combattre ces crises et cette fatalité ? « Je ne peux pas prendre le risque que tu partes à tout moment. » Il le fixe d'un air insondable et pendant une seconde il sent poindre une lucidité terrible. Pour Adam. Il devrait se soigner pour Adam. Tant que tu seras ainsi votre histoire sera impossible. Mais est-ce qu'une fois changé il sera toujours lui-même ? Est-ce que ses sentiments changeront ? Est-ce qu'il pourra toujours aimer et désirer Adam avec autant de force ? Il craint de prendre les pilules, il craint de ne plus être lui-même, il craint de se perdre plus encore, et de ne plus se reconnaitre. Tu ne sais déjà plus qui tu es.
Mais bien vite le brouillard revient, et il ne répond même pas avoir de se jeter sur Adam. Et de le soumettre comme il en a envie. Il le soumet en venant trouver son sexe qui prouve rapidement de son excitation. Il l'amène dans l'ombre avec lui, s'accroupit, et le saisit. « Phoenix... » Il sourit, il sait qu'il a gagné - une fois encore.

Il vient trouver le sexe de son amant qu'il prend en bouche. Il le goute dans toute sa longueur, se délectant du pouvoir et du contrôle qu'il peut avoir du lui. Il entend son souffle se couper, et des gémissements qu'il tente de contenir. Il se tient à sa chevelure pour ne pas tomber alors que Phoenix attrape ses hanches pour intensifier ses allers-et-venus le long de la verge si délicieuse. Il suce, jouant avec sa langue et ses dents sur la peau fine et tendue. Il aime cette sensation... « Arr... Arrête... » Il lâche un ricanement glutural sans le lâcher. Non, il n'arrêtera pas. La torture dure de longue minutes jusqu'à ce qu'il sente son amant se tendre. Il sait alors. Il sourit, quand Adam vient dans sa bouche, et se délecte de son excitation jusqu'à ce qu'il n'en reste rien. Une perversité qui va de paire avec ses crises. Et avec Adam ce n'est que plus délectable encore. Il sourit, rhabille son homme, et se relève, doucement, le laissant se remettre de son excitation. Un sourire à la con sur le visage, il lui fait face. « Délicieux. » Dit-il en essuyant ses lèvres avec son pouce avant de le présenter à la bouche d'Adam pour l'inviter à y gouter. « Pour quelqu'un qui n'est pas qu'un putain de coup à tirer tu te laisse faire assez facilement. » Lâche-t-il avec un ricanement moqueur, sans le lâcher du regard. « Je pourrais te baiser que tu ne verrais rien à y redire. »  Rajouta-t-il en se rapprochant encore une fois, toujours aussi félin. Toujours aussi joueur. « Mais j'aimerai que ca soit toi qui tape en moi, Adam... » 

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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyJeu 28 Avr - 17:21

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A l'époque il pouvait lire à travers Phoenix comme à travers un livre ouvert, il adorait ça et cela lui permettait d'être plus connecté à son homme qu'il ne l'était déjà. Mais depuis qu'il l'a retrouvé, il a parfois l'impression de ne pas retrouver Phoenix, ce même homme qui le faisait rêver à l'époque, comme si quelque chose c'était brisé en lui, une chose si énorme et violente qu'il ne pourra jamais plus être ce jeune homme plein de vie et un peu fou que Adam connaissait par cœur. Pourtant aujourd’hui il comprend pourquoi Phoenix est ainsi parfois, il comprend tout, cela s'éclaire dans son esprit comme si quelqu'un venait d'ouvrir la lumière. Adam voit que son amant tombe le masque et il en est ravi, pour autant il lui fait bien comprendre que rien de sérieux ne pourra exister entre eux tant que Phoenix ne prendra aucun cachet, il a trop peur d’être abandonné du jour au lendemain, il sait qu'il ne le supporterait même pas alors il ne préfère pas tenter le diable, ce serait trop dur et trop douloureux pour lui. Pourtant il sent lui même qui perd pied alors que Phoenix s'agenouille devant lui et le prend en bouffe d'un geste hautement sensuel. Il voudrait l'arrêter, lui hurler qu'il n'est pas qu'un objet mais il est incapable de bouger tant le plaisir l'envahis et le fait trembler. Il fourre ses mains dans les cheveux de Phoenix et se laisse aller, complètement soumis aux gestes de son homme. Je me fais sucer derrière le bâtiment de psychologie. Tout est parfaitement normal. Et logique évidemment. Il tente vainement, sans trop y croire, de demander à son homme de le laisser mais ce dernier lâche un petit rire et lui fait comprendre qu'il n'arrêtera pas, Adam serre les dents en venant sous les caresses de son homme, incapable de se retenir plus longtemps tant le moment est sensuel. Phoenix remonte vers lui alors que Adam reboutonne son jean maladroitement, le rouge envahissant ses joues. « Délicieux. » Lui dit-il en lui tendant son pouce. Adam sourit et vient lécher son pouce du bout de sa langue, doucement, sensuellement. « Pour quelqu'un qui n'est pas qu'un putain de coup à tirer tu te laisse faire assez facilement. » Il serre les dents et baisse les yeux. « Ferme la Phoenix. Je suis pas ta pute. » Dit-il en se penchant pour attraper ses affaires. Il va partir, cette remarque est celle de trop et pourtant Phoenix s'approche de lui. « Je pourrais te baiser que tu ne verrais rien à y redire. » Il va lui cracher quelque chose d'agressif au visage mais son amant rajoute quelques mots, assez pour calmer instantanément Adam.

« Mais j'aimerai que ca soit toi qui tape en moi, Adam... »  Il sent son envie remonter plus vite encore alors qu'il croise le regard de son homme. « Pas ici. Suis moi sans un mot. » Dit-il en lui attrapant la main. Son appartement n'est pas loin, à seulement quelques minutes de marche. Ils arrivent au bout de trois minutes, courant presque et évitant quelques personnes au passages. Adam monte jusqu'à son appartement, tenant toujours la main de Phoenix, incapable de la lâcher une seule seconde. Lorsqu'ils arrivent dans le couloir qui mène à son appartement, il plaque son homme contre la porte de son appartement et vient l'embrasser alors que d'une main, il tente d'ouvrir la porte avec les clefs. Lorsqu'ils arrivent enfin chez lui, il laisse tomber son sac et sa veste au sol alors qu'il emmène son homme jusqu'à sa chambre. Là, sans ménagement, il pousse Phoenix sur son lit et vient se placer au dessus avant de l'embrasser. Ses mains glissent aussitôt sur le torse de son homme, sous son tee-shirt où il prend un malin plaisir à redécouvrir ses muscles fins et puissant. « T'es beau bordel ! » Dit-il alors qu'il ôte le tee-shirt de son homme et admire les courbes de son corps. Pendant une seconde il reste ainsi, juste l'admirant dans toute sa beauté. Puis un détail attire son regard, une bosse significative déforme le jean de son homme alors qu'il s'agenouille devant lui avec un sourire. Bien vite il fait glisser le jean et le caleçon de Phoenix le long de ses jambes, dévoilant son membre imposant sous son regard gourmand. Puis, joueur, il vient poser le bout de sa langue sur le gland rosée de son homme. Le goûtant, redécouvrant son odeur masculine et son goût puissant.
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyVen 29 Avr - 19:52

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Beaucoup de choses avaient changer dans la vie de Phoenix en dix ans. Mais il ne pouvait pas nier que la seule constance c'était ce désir ardent, dévastateur de retrouver Adam Harper, de pouvoir jouir de sa présence, et de son corps athlétique. Adam Harper avait été la seule personne importante dans son existence. La seule personne pour laquelle il était prêt à toutes les folies. Un amour grandiose qui l'avait finalement terrifié. Parce qu'il ne voulait pas rentrer dans le moule de l'amour transi qui s'installait, avait une maison, un chien et des enfants adoptifs qui jouaient du piano et faisaient de la gymnastique. Il refusait d'être commun, d'être comme tout le monde, de s'enfermer dans une habitude au risque de finalement se perdre et de ne plus se sentir aussi vivant. Il avait toujours eut ce sentiment de liberté exacerbé, depuis que sa mère était morte. Depuis qu'il n'était plus sous la garde d'un parent, et qu'il avait compris que les règles n'étaient faites que pour être reniées. Être libre et ne dépendre de personne, voila ce qui importait plus que tout autre chose pour l'abrutis qu'il était à l'époque. Le jeune adulte encore transi d'idéaux qui n'avaient pas le moindre sens. Il avait été stupide, il le savait, mais aujourd'hui il avait le sentiment que c'était trop tard. Il s'était bien trop habitué à être celui qu'il était : lunatique, inconstant, malade, traumatisé. Mais excessivement passionné par Adam. Toujours, cette constance. « Ferme la Phoenix. Je suis pas ta pute. » Il sourit. Parce que si, très justement, Adam ne pouvait pas lui résister. Il ne l'avait jamais fait, et même s'il n'était plus exactement le même certaines choses ne pouvaient pas changer. Comme ce désir entre eux, qui pouvaient les submerger et les rendre fous.
Adam fait un geste pour lui échapper mais Phoenix le retient, d'une phrase, laissant la crise l'éprendre et parler à sa place. Laisser les instincts, et le besoin de sexe lui dicter ses gestes et ses paroles. Il est crut, peut être trop mais il s'en branle complètement. Il veut juste être contre Adam, il veut juste le sentir au plus profond de son être. Cela était rarement arrivé - une seule fois il y a des années - car Phoenix n'aimait pas être dominé. Mais cette fois il en ressentait le besoin impérieux. Celui de voir Adam prendre les commandes et faire lutter son instinct pour le dominer. Le battre sur son terrain. « Pas ici. Suis moi sans un mot. » Un sourire aux lèvres, il s'exécute.

Ils marchent dans un silence qui n'a rien de besoin, la tension sexuelle prenant le pas sur tout le reste; Phoenix ne prend pas de cigarette, il se contente de suivre Adam, savourant la chaleur de sa paume dans sa main alors qu'il le tire par le bras, sans jamais le lâcher. Il doit sans doute craindre de voir Phoenix lui échapper mais ce dernier n'en fera rien. Il avait bien trop envie de se retrouver dans les draps d'Adam. Le sentiment de manque l'étreint, et il sait qu'il n'y aura que cela pour l'aider à aller mieux. Il n'avait pas envie de s'envoyer n'importe qui pendant ses crises, en prouve sa pseudo-fidélité depuis qu'il avait retrouvé Adam. Faux, il s'était fait sucer lors d'une soirée, le lendemain de leurs retrouvailles. Mais c'était bien la seule entaille qu'il avait commise. Depuis, il voulait Adam. Il se touchait en pensant à lui quand l'envie de sexe était trop forte. Une fois, deux fois. Plus. Jusqu'à tomber d'épuisement, le corps nu d'Adam dansant derrière ses paupières closes.

Ils arrivent dans l'appartement d'Adam mais Phoenix ne fait pas attention à ce qui l'entoure alors que les lèvres de son amant retrouvent les siennes dans un gémissement sonore. Il pose ses affaires, et attire rapidement Phoenix sur le lit qui est bien trop heureux de se laisser faire. Il se retrouve rapidement jeté sur les draps, et observe son amant avec un sourire malicieux sur le visage. Adam l'approche, et fait voler ses vêtements, un par un, avec une sensualité qui le dévore. « T'es beau bordel ! » Il rit de la remarque, et l'observe avec un air gourmand et sensuel. Il veut le voir, aussi, mais il n'en fera rien. Il est soumis aux caresses de son homme qui dévoile son intimité déjà imposante. Il vient alors entre ses cuisses, et Phoenix attend, impatient; il en tremblerait presque de ce désir mal contenu. Alors que la bouche de son amant trouve le chemin vers son membre il laisse sa tête partir en arrière, et un grognement lui échappe. « Ta bouche est divine putain. » Dit-il en le regardant faire, accompagnant ses gestes d'une main posée dans sa chevelure qu'il empoigne avec force. Il sourit, et le regarde lui administrer cette douce torture, comme Phoenix l'avait fait tantôt. Mais il se retient, se contient, et d'une geste violent il repousse Adam pour le faire venir sur le lit à sa place. Et échange les rôles. Il lui ôte son t-shirt en le déchirant sans aucune patience. Il vient ôter son jean, son sous-vêtements, ses chaussures. Tout, à une vitesse folle, embrassant sa bouche avec avidité en même temps qu'il découvre sa nudité.
« J'pourrais jouir de juste te regarder. » Dit-il avec un sourire charmeur alors qu'il invite son homme à s'allonger sur le lit, et vient empoigner son membre dur pour le caresser un peu. Rapidement, cependant, un trouve le chemin de ses hanches, et vient s'agenouiller, le membre entre ses cuisses. Sourire aux lèvres, lentement, il vient s'emballer. Sans plus de cérémonie, l'excitation le rendant ivre de le sentir. Il ignore la douleur, et ferme les yeux alors qu'Adam vient - enfin - le posséder.

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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptySam 30 Avr - 20:54

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Les années ont passées et pourtant, ce désir ne c'est jamais calmé à son plus grand désespoir. Il n'a jamais pu oublier le regard brûlant et violent de son amant, sa bouche chaude, son corps parfait et chacun de ses muscles qui rendait son être si attractif pour Adam. Ce dernier a cherché chez les autres tout ce qui pouvait le rapprocher de son ancien amant et pourtant, il n'a jamais rien trouvé qui pouvait le pousser à rester. Qui pouvait panser ses plains, celles laissées pour Phoenix lors de son départ. Alors à défaut de pouvoir le retrouver dans d'autres étreintes, il a accepté et il a tenté de ne plus jamais le retrouver, il a tenté d'être avec des personnes qui étaient les opposés de Phoenix. C'est alors qu'il parvenait à survivre que Phoenix est revenu et que Adam se rend compte maintenant que son amant a toujours ce pouvoir sur lui. C'est désespérant de ne pas pouvoir lui dire de se tenir loin tout en sachant que dés qu'il approchera, il lui tombera dans les bras sans une once d'hésitation. Adam vit très mal le pouvoir que Phoenix exerce sur lui, il n'est plus lui même lorsque son homme est dans les parages, il redevient son esclave soumis et incapable de se refuser à lui. Pour preuve, alors que Phoenix s'approche, Adam se laisse faire en tentant de le repousser sans trop y croire. Alors qu'il croise le regard de son homme, il comprend que l'envie est trop forte, que cela ne sert à rien de lui refuser quoi que ce soit. De toute façon il n'en a pas envie alors que son homme lui demande d'être au dessus pour la première fois. Enfin première fois non pas vraiment, il a déjà été au dessus une seule fois depuis le début de leur relation. Mais Phoenix n'aimait pas ça. Ainsi alors qu'il lui demande ça aujourd’hui, il comprend que Phoenix lui fait une sorte de cadeau et cela l'excite tellement, qu'il n'est pas capable de lui refuser quoi que ce soit. Alors il l’emmène chez lui en courant presque tant l'envie de le sentir devient violente. Ils entrent à peine dans l'appartement que déjà ils se sautent dessus.

Bien vite Adam pousse son homme sur son lit et vient le déshabiller d'un air gourmand, savourant la vision de son corps bien fait. Il câline son homme avant de s’agenouiller entre ses cuisses pour venir le cajoler comme il se doit. Assez pur arracher quelques mots hautement sensuel à son homme, ce qui a pour effet de l'enflammer plus encore. Il savoure, passe sa langue sur son membre, l'englobe dans sa bouche chaude et joue avec ses dents pour faire frémir son homme. Puis lorsque ce dernier sent que cela devient trop, il repousse Adam et vient ôter ses vêtements également. Juste assez pour le caresser alors que Adam vient saisir les fesses fermes de son homme. « J'pourrais jouir de juste te regarder. » Il rit un peu et glisse une main entre eux, ses doigts viennent frôler le membre de son homme pendant qu'il cherche à l'embrasser doucement. Phoenix a envie, il le voit, il le sait. Alors pour ne pas le faire attendre, il porte sa main à sa bouche et suce deux de ses doigts avant de venir les glisser entre les fesses fermes de son homme pour commencer à le préparer. Mais le professeur n'attend pas, il le veut avec une telle envie que sans prévenir, il vient s'empaler sur le membre d'Adam après avoir relevé ses hanches. Adam pousse un râle se plaisir alors qu'il pose ses mains sur les hanches de son amant. Ce dernier attend un peu, sans doute pour s'habituer et enfin, il vient bouger au dessus d'Adam qui sent sa bouche s'assécher tant l'image est sensuelle. Mais Phoenix ne bouge pas vite alors, l'étudiant bascule sur le côté gauche afin de dominer plus encore son amant. Il vient glisser ses mains sous les cuisses de Phoenix, l'invitant à s'accrocher à ses hanches à l'aide de ses jambes. Ainsi, dans cette position, Adam se met à bouger de plus en plus vite, plus fort, plus profondément à mesure des gémissements de son homme. Doucement une de ses mains glisse sur le ventre de Phoenix pour attraper son membre et imprimer lui imprimer le même mouvement que ses va-et-viens. « Tu aimes ? » Dit-il en croisant son regard et en lui souriant entre ses râles et ses frissons. Il sent le membre lourd de Phoenix dans sa main, tremblant, prés à exploser à tout moment. Alors Adam bouge plus fort, cherchant à toucher ce petit point, cette zone pleine de nerfs qui va faire hurler son homme pendant la jouissance. Lorsqu'il parvient à le trouver, il tape en lui encore et encore, le suppliant silencieusement de venir parce que lui même ne pas plus tenir longtemps.
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyLun 2 Mai - 20:29

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Sa tête valsait vers l'arrière alors qu'il bougeait sur les hanches de son amant, le sentant au plus profond de lui. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas été aussi grisé par une étreinte charnelle, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas été aussi foutrement excité par quelqu'un, et par la perspective de se laisser prendre de la sorte. Il sourit, carnassier, alors qu'il bouge en bas sur la verge tendue et délectable de son amant. Il se fiche de la douleur, l'oubliant bien vite alors qu'il tape sur son point de plaisir, et le fait gémir comme un beau diable. Ses yeux se révulsent, et il bouge plus violemment encore. Il en veut plus, il sent que ca le consume, que ca le rend ivre, que son corps explose, et s'exalte de cette retrouvaille délectable. Cela fait douze ans qu'il n'a pas senti Adam aussi profondément en lui, et il se rend compte que cette sensation le rend complètement fou. Il l'aime, l'adore, la désir, la consume. A cet instant c'est plus grisant encore que de le sentir autour de sa verge gonflée. Il aime le saisir, et le dominer, c'est un fait. Mais il adore plus encore le sentir aussi fort et excité.
Il le bascule, et Phoenix ouvre alors les yeux sous la surprise, se retrouvant sous le corps d'Adam. Il soulève ses hanches, il s'exécute, bien trop heureux de le voir prendre les commandes de leur petite partie de jambes en l'air. C'est tellement plus que cela putain. clairement, c'est beaucoup plus qu'une petite partie de jambe en l'air. C'est divin, c'est sensuelle, c'est foutrement sexy. De la pornographie réelle à l'état pure, avec tant de délectation et de sensualité que Phoenix aurait pu en rougir. Il grogne, ses mains glissant sur les épaules d'Adam pour les griffer alors que son corps s'électrise. « Tu aimes ? » Il lâche un ricanement qui se change en gémissement et en grognement. Il n'est qu'instinct, animal et bestial. Il n'est que désir et encore. Il s'attache aux épaules de son homme, lui vole un baiser. Ses mains sont partout, elles cherchent plus de contact encore. Adam bouge en lui, prends d'autres angles, le cherche, le trouve, le consume. Il tape soudainement exactement là où il faut et Phoenix s'exulte de cette sensation. Une de ses mains passent entre eux et se saisit de son propre sexe gorgée de sang, et de désir qu'il caresse doucement. La sensation est divine, délectable, alors que de son autre main il s'est saisit de la nuque d'Adam qu'il griffe sans aucune douceur. « Tu me baises bien putain... » Lâche-t-il entre ses dents, dans le désir sensuel de l'instant. Il bouge les hanches, le poussant à venir vers lui encore, à taper plus profondément, à toujours aller plus loin. Et a ne surtout pas s'arrêter. Il se caresse plus vite, ses gestes devenant hiératiques. « Je vais jouir. » Dit-il avec force, croisant le visage de son amant pour venir le trouver, et hurle son plaisir alors qu'il transparait sur son ventre. Il encercle les hanches d'Adam avec ses jambes et le force ainsi à rester en lui encore. Il est fou, il a mal, il s'en tape. Il a juste encore de rester encore un peu dans cette étreinte.
Il souffle, cherchant à retrouver son air, le coeur battant. Il finit par lâcher Adam, lui autorisant à sortir de cette étreinte, et se tourne vers lui, calmée. La crise est passée. Il a mal. Il grimace, mais sourit en même temps. Putain que c'était bon. « Tu vas me virer de ton lit maintenant ? »  Demanda-t-il en se tournant vers Adam, une lueur d'inquiétude dans le regard. Il déglutit difficilement, et sent ses sens revenir à la normale. Il est vidé de son énergie, mais il se sent apaisé, tranquille. Il se sent un peu plus lui-même. « J'ai peur de me soigner. » Avoue-t-il finalement à demi-mot. Il passe un bras sous sa tête dans une posture nonchalante qui lui va s bien. Ca l'aide à garder sa contenance, et à ne pas craquer. Quelque part il sent qu'il doit bien cette vérité à Adam, qu'il a le droit de sa voir. après tout s'il se soigne un jour ce sera sans doute pour lui, comme il l'a si bien dit. Pour cette histoire qui lui manque et qu'il recherche chaque fois qu'il revient vers le jeune homme. Qu'il soit en crise ou non. Quant il est déprimé, il regrette Adam. Quand il veut du sexe, il veut Adam. Le reste du temps, le jeune homme a toujours part à ses pensés d'une manière ou d'une autre. Être à Oxford n'a fait que renforcer son obsession. Une autre part de sa maladie, qui s'exacerbe avec le jeune homme. Il l'a dans la peau. « Ca veut dire que je vais devoir parler de ce que j'ai vécu à Sasha Koroleva. Et je n'en est pas envie. Ca me fait peur. » Dit-il en avouant pour la première fois à voix haute ce qu'il tente de cacher. Il est terrifié par ce passé. Et s'il ne pouvait pas en guérir ? Et s'il ne pouvait pas combattre ce qu'il avait fait et vécu. « Tu seras vraiment là, Adam ? Et si jamais... Et si jamais je ne pouvais pas le combattre, est-ce que je te perdrais définitivement ? » Lâche-t-il finalement en se tournant, cherchant le regard de son amant.

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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyLun 9 Mai - 1:11

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Il est complètement grisé par la vision de Phoenix bougeant de haut en bas le long de son membre, plus vite, plus fort, cherchant à l'avoir dans ses hanches avec une telle violence qu'il va finir par en avoir mal. Mais il semble s'en moquer tellement le plaisir se lit sur son visage, ça en devient presque indécent tant il semble aimer ça. Adam ne peut plus bouger, dicté par ses instincts primaires et son désir, il regarde simplement son homme bouger, se mouvoir au dessus de lui avec grâce et délicatesse. Doucement il pose ses mains sur les hanches de Phoenix et l'accompagne, tapant plus fort en lui dés qu'il le peut. Mais il n'a pas assez de pouvoir et de maîtrise alors, il le fait basculer et vient au dessus de lui. Cherchant à taper sur son point sensible pour le faire hurler, ce qui ne devrait pas tarder car le visage de son homme se voile de plaisir. Adam lui demande si il aime et seul un grognement mêlé à un râle lui répond, il comprend qu'en effet Phoenix aime et qu'il prend son pied comme jamais. Adam regarde son homme glisser sa main entre eux et empoigner son membre, cette vision l'excite tellement qu'il cherche à bouger plus vite, plus fort en se retenant pour ne pas crier à chaque fois. C'est délicieux, une douce chaleur se propage en lui, il se sent étroitement serré dans le corps de son amant et cela n'en est que plus grisant encore. « Tu me baises bien putain... » Il lâche un râle alors qu'il se mord la lèvre, les mots crus de Phoenix lui déclenchent quelques frissons. Il n'a qu'une envie, le faire jouir ici et maintenant, il pourrait continuer dans cette position pendant des heures. Juste parce qu'il crève d'envie de le sentir encore et encore. « Je vais jouir. » « Alors jouis Phoenix ! » Parvient à murmurer Adam alors que son amant se laisser aller dans un hurlement libérateur, suivi rapidement par un son guttural lâché par Adam lorsque ce dernier se laisse aller. Il retombe contre Phoenix, restant en lui et respirant difficilement. Doucement l'étudiant se penche et vient récolter sur le ventre et les abdos de son amant, les traces de son plaisir. Enfin son homme le lâche et Adam se laisse tomber à côté de lui, complètement épuisé, les bras endoloris par une telle séance de sexe. « Tu vas me virer de ton lit maintenant ? » 

Il croise le regard inquiet de son homme et sourit aussitôt, incapable de se jouer de lui où de lui faire croire quoi que ce soit. « Non, pas aujourd'hui... » Dit-il en se collant à Phoenix et en posant sa tête sur son torse. Il coule contre le corps de son homme et soupire de bonheur. Il veut simplement un moment câlin. Le genre d'instant qu'il n'a pas avec ses amants, avec ses coups d'un soir. Le genre d'instant que seul Phoenix lui accorde et qu'il n'a pas eu depuis dix années. « J'ai peur de me soigner. » Il sursaute et regarde son homme, étonné de le voir se confier pour une fois. Il l’invite d'un regard à continuer, attentif à ce qu'il va lui dire et ce qu'il pourrait lui révéler. Son amant passe un bras sous sa tête dans une posture sexy, qui fait fondre Adam et lui donne envie de se coller à lui plus fort encore si cela est possible. « Ca veut dire que je vais devoir parler de ce que j'ai vécu à Sasha Koroleva. Et je n'en est pas envie. Ca me fait peur. » « Pourquoi ça te fait peur Phoenix ? » Il sen que l'après orgasme pousse son homme à parler et il en est heureux alors, il ne se prive pas pour le câliner et l'écouter autant qu'il le veut. « Tu seras vraiment là, Adam ? Et si jamais... Et si jamais je ne pouvais pas le combattre, est-ce que je te perdrais définitivement ? » « Non car tu auras au moins essayé. Mais tu vas y arriver, il n'y a aucune raison pour que tu ne puisses pas te soigner. » Dit-il en jouant du bout de ses doigts sur le torse de son homme. « Tu sais... Je n'ai jamais attendu de toi une petite vie parfaite. Une maison, des enfants, le chien dans le jardin ce n'est pas mon envie. Je veux simplement quelque chose de sérieux avec toi, je voudrais rentrer chez moi sans l'angoisse de retrouver la maison abandonnée et tes placards vides. Je veux me lever la nuit et te trouver à côté de moi. Je sais que tu voudras bouger, que tu ne voudras peut-être pas rester à Oxford toute ta vie. Mais... J'aimerais qu'on puisse envisager de partir tous les deux. Je neveux plus être un simple amant pour toi, je veux être ton mec, ton homme. » Il relève la tête et le regarde. « Je veux pouvoir te faire confiance et me donner à toi sans avoir peur que tu me détruises. » Dit-il en sentant l'angoisse monter en lui. « Je ne survivrais pas à une seconde rupture aussi violente que la première. Je veux que tu sois sur de toi lorsque tu voudras être avec moi. » Il est honnête, pour la première fois et sans ménagement, il se laisse aller à lui parler sans craindre de le voir partir et claquer la porte en lui disant qu'il n'est pas le mec qui lui faut. Adam sait ce qu'il veut et il sait que Phoenix peut lui apporter. Encore faut-il qu'il le veuille.
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyJeu 12 Mai - 19:02

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Il a le sentiment soudain de s’éveiller après une cuite, ou une journée passer sous extasie. Il a du mal à reprendre le cours normal de ses pensés, mais la présence chaleureuse du corps nu d’Adam l’aide à calmer les battements de son cœur. Il se concentre sur lui. Sur son torse bien dessiné, sur ses abdominaux bien marqués, sur ses cheveux en bataille, sur sa virilité qui l’a rendu fou. Il le regarde, le redécouvre, et sent une vague de honte l’étreindre. Putain qu’est-ce que j’ai encore fait ? La crise est passée, il est à nouveau lui. Lui qui a usé de son charme, de son désir, de sa perversion pour emporter Adam avec lui. Dans ce gouffre sans fond qui risque de l’emporter à chaque instant depuis des années. Ce gouffre envahie par sa luxure, ses amants, ses déboires, ses excès. Ce gouffre honteusement dévoilé au regard d’Adam aujourd’hui. Il ne sait que dire, ce qu’il doit faire. Il combat le sentiment de culpabilité, se disant qu’Adam ne semblait pas s’en plaindre – après tout. Mais la peur l’étreint, et il se demande s’il devait partir, bien qu’il n’en eut aucunement envie. « Non, pas aujourd'hui... » Un sentiment divin l’envahit alors qu’il se détend et se laisse aller contre l’autre homme, Adam venant s’allonger sur son torse. Naturellement le bras de Phoenix passe derrière son dos pour l’étreindre plus étroitement encore si c’est possible. Il vient embrasser le haut de son crâne, et cache son nez dans sa chevelure pour profiter de son parfum musqué. Il retrouve les sensations qu’il avait perdu depuis le temps. Il tient à nouveau Adam contre lui, profitant de cet instant d’allégresse après la jouissance. Un instant où il sent son cœur battre durement contre sa poitrine, et où il sourit imperceptiblement, sans pouvoir se maîtriser. Il sentirait presque des mots amoureux lui brûler la gorge, mais il est encore trop tôt pour cela. Et il est bien trop instable pour se permettre de jouer de la sorte. Les penserait-il ces mots ? Pourrait-il les assumer ? Il grimace. Sans doute pas.

Il réfléchit. Il revit les instants passés comme un vieux film, comme un spectateur muet. C’est souvent l’effet désagréable que lui laisse ses crises. Un film muet dans lequel il n’a pas d’emprise. Mais les mots d’Adam lui revienne. pour moi , Pour lui. Voilà la raison pour laquelle il doit arrêter cette folie et finalement se décider à grandir. Mais la peur lui étreint la gorge. Finalement peut être s’est-il habitué à être un parfait connard de temps en temps. Instable, certes, mais cohérent. Il sait qui il est, il sait qu’il est toujours un peu lui. Et se reconnaîtrait-il si jamais il se soignait ? Est-ce que vraiment il se « soignerait » ou subirait-il encore une fois un lavage de cerveau qui lui donnerait l’impression d’être un autre. Qui est-il ? Il a peur. Il l’avoue. Et le regard d’Adam croise les siens. Il y voit une incompréhension et une stupeur terrible. Il sourit. Le visage d’Adam a toujours été incroyablement transparent pour lui. Il y perce ses sentiments sans gêne et sans mal, et il a l’impression qu’il peut lire ses pensés s’il se concentre assez. Adam est un putain de livre ouvert. Et lui est un livre délavé où plus rien ne transparaît. « Pourquoi ça te fait peur Phoenix ? » La question lui enserre la gorge, et il inspire profondément. Instinctivement sa main va chercher un paquet de clope sur la table de chevet. Mais il n’est pas chez lui. ET il n’y a pas de clopes sur la table de chevet d’Adam. « Fais chier. » Lâche-t-il entre ses dents, agacé. Qu’importe, il prendra sur lui, oubliant son habitude à la con. « Je peux revivre ce passé, encore et encore. Mais mettre des mots sur ce que j’ai vécu, ca rend les choses tangibles. Je ne sais pas si je serai assez fort pour m’y confronter, à défaut d’oublier. » Dit-il, espérant que ces explications seront assez claires. Sans doute pas. Mais que pouvait-il dire de plus ? « Durant les douze dernières années je me suis évertué à tuer, détruire, annihilé ce qu’il y avait de plus mauvais dans le genre humain. Mais j’ai tué des êtres humains, parfois à bout portant. Parce que c’était des trafiquants d’armes, d’être humains, ou même des hackers. Parce que l’humanité est détestable, et que j’ai compris que je n’étais pas un putain de héros. Je suis un putain de meurtrier. Je suis aussi pourri que ceux que je dois détruire. » sans doute ne pouvait-il pas l’avouer à Adam. Pas son Adam.

Alors il angoisse, se demandant ce qu’il se passerait s’il n’était pas assez fort. Est-ce qu’il le perdra ? Lui qui lui était si important, bien plus que n’importe qui d’autre. Il avait besoin d’Adam à ses côtés, à chaque instant. A chaque moment de sa misérable vie. Il voulait savoir qu’il pouvait compter sur la présence chaleureuse d’Adam. « Non car tu auras au moins essayé. Mais tu vas y arriver, il n'y a aucune raison pour que tu ne puisses pas te soigner. » « Tu ne sais pas ce que j’ai traversé. » Lâche-t-il en grimaçant, torturé – sans doute trop. Il lutta un moment contre l’envie de déballer son sac à Adam. Mais il le perdrait, il le ferait fuir. Il ne voulait pas ne pouvait tout simplement pas se laisser aller à ce genre de révélation. Pas alors qu’il avait le sentiment que peut être il pourrait le retrouver pour ne plus jamais le perdre. Il avait tant espéré que cela adviendrait. Il lui avait terriblement manqué. « Tu sais... Je n'ai jamais attendu de toi une petite vie parfaite. Une maison, des enfants, le chien dans le jardin ce n'est pas mon envie. Je veux simplement quelque chose de sérieux avec toi, je voudrais rentrer chez moi sans l'angoisse de retrouver la maison abandonnée et tes placards vides. Je veux me lever la nuit et te trouver à côté de moi. Je sais que tu voudras bouger, que tu ne voudras peut-être pas rester à Oxford toute ta vie. Mais... J'aimerais qu'on puisse envisager de partir tous les deux. Je ne veux plus être un simple amant pour toi, je veux être ton mec, ton homme. » Le cœur de Phoenix s’étreint dans un étau glacé. Ces mots, ce sont les siens. Ceux d’un Phoenix âgé de vingt-deux ans, amoureux pour la première fois et qui a peur de l’engagement. Un Phoenix qui aime penser qu’il est libre de faire ce qu’il veut, et qui pense que l’homme qu’il aime ne pourrait pas le supporter. Un Pheonix stupide qui préfère fuir devant la difficulté et la peur de perdre celui qu’il aime plutôt que de parler de l’avenir. Ce putain d’avenir si incertain. Mais ces envies Adam les avait aussi aujourd’hui. Phoenix ne peut nier qu’il le veut. Mais il ne combat pas son instabilité. Un jour il pourrait partir sans se retourner parce que c’est maintenant. C’est ce jour là que son esprit exulte l’ordre de s’enfuir. « Je veux pouvoir te faire confiance et me donner à toi sans avoir peur que tu me détruises. » Il ferme les yeux, sert les dents, et retient l’émotion qui l’étreint. « Confiance… » Le mot est lâché. Ce putain de mot qui s’est toujours mis entre eux. La confiance, Phoenix en joue, comme d’un terme désuète. Un mot sans sens et sans valeur. Il n’a pas confiance en lui, il n’a confiance en personne. Il n’a pas confiance en l’amour, en la vie humaine, en rien. Comment Adam pourrait-il avoir confiance en lui ? « Je ne survivrais pas à une seconde rupture aussi violente que la première. Je veux que tu sois sur de toi lorsque tu voudras être avec moi. » Il croise enfin son regard, et il se sent enfermé. Il a envie d’être dans ses bras, il se sent fort, capable de tout dans les bras d’Adam. Mais il a peur. Il se connaît à présent. « Je le veux. Mais je ne peux pas. » Avoue-t-il, sur le même ton d’honnêteté que son amant ; Après tout n’était-ce pas cette odieuse vérité qui les sépare ? « Je… C’est ce que j’ai toujours voulu. Être avec toi, simplement. Ne pas s’enfermer dans un putain de quotidien, parce que je ne l’ai jamais supporté. J’ai tellement… j’ai tellement vu de famille déchirée, de gens ignobles, de pays différents. J’ai envie de vivre, j’ai envie de voir des milliers de choses avant de mourir. Et je voulais que tu sois avec moi. Mais je m’étais persuadé que tu méritais mieux qu’une vie à courir après … après quoi ? Le temps. La découverte. La vérité ? Je ne sais pas après quoi je cours Adam. Mais je ne peux pas m’arrêter de courir. » Dit-il, se mordant la lèvre inférieure. Il espérait qu’il se ferait comprendre. Il n’arrive pas à rester sur place. Il pourrait se perdre, ne plus être lui-même. Il pourrait être différent. « Je pourrais partir sans même penser à toi, aujourd’hui. Si j’ai une crise, ca sera fini sans même que je le veuilles… » continue-t-il sur un ton égal. « Tu ne t’ai jamais dit que tu méritais mieux que moi ? Tu mérites mieux que moi, définitivement. Je suis brisé, Adam. Ces années loin de toi ont laissé des marques. » Dit-il en passant son doigt sur une cicatrice qui tranche sa hanche aujourd’hui. Un tire perdu, quelque part dans les quartiers malfamés de Seattle. Quelques années auparavant. Deux mois d’hôpital, cinq mois de rééducation. Aucun autre traumatisme. Sauf une propension à ne plus se séparer de son arme. « Je me suis habitué à ne compter que sur moi. A vivre seul, avec une arme parce que je ne vois plus que le danger à l’extérieur. » Dit-il en regardant le plafond défoncé de la chambre à présent. « Je fais des cauchemars. Je parle dans mon sommeil. Je dors mal, quand j’arrive à dormir. J’ai un flingue sous mon oreiller, et j’ai tiré sur mon lustre il y a une semaine. Parce que je me suis réveillé avec l’impression d’être observé. » Sa voix est un murmure à présent qu’il ne maitrise plus. Il ne sait pas ce qu’il veut. Lui faire peur ? Lui faire mal ? Le convaincre qu’il doit l’oublier, qu’il doit passer à autre chose ? « Je ne veux pas que tu vois ce que je suis, mais je veux t’avoir à mes côtés. Alors j’imagine que je n’ai pas le choix hein ? Si je te veux, je dois tout te montrer. »


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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyVen 13 Mai - 1:01

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Adam est habituellement un homme sur de lui, un homme dur qui ne se laisse pas aller si facilement. Il attend beaucoup des autres et de lui même, c'est ainsi qu'il a été élevé et son père n'était pas un homme tendre lorsqu'il s’agissait de son fils. Il voulait en faire un vrai mec, un dur des durs qui ne se laisse pas marcher sur les pieds et qui impose son caractère à toute personne qu'il croise. De ce fait aussi, Adam n'a jamais vraiment pu se poser avec quelqu'un car personne ne supportait son caractère, il est tellement difficile et exigeant. Ils ne sont pas assez bien, ils ne sont pas Phoenix. Et ne parlons pas des femmes, il a souvent été qualifié de salaud à la belle gueule, c'est pour dire la réputation qu'il a auprès des femmes avec qui il aurait pu faire quelque chose. Mais construire une vie à deux ne lui disait rien, il ne voulait pas quelqu'un d'autre, il en voulait un seul qui en revanche, ne voulait plus de lui. De ce fait Adam est resté seul et cela convenait à tout le monde finalement. Son père l'a élevé d'une manière parfois étrange, lui apprenant à ne jamais montrer ses faiblesses et à toujours être plus dur que les durs qui sont proches de lui. Résultat, il a toujours eu du mal à montrer ses sentiments sauf avec Phoenix et sa sœur. Mais avec Phoenix, lorsque ce dernier est parti, il c'est juré de ne plus jamais se laisser faire, pour lui et pour sa survie, il c'est promis de devenir dur comme un roc, il a juré que plus rien ne pourrait l’atteindre. C 'était il y a de cela dix ans. Dix années à juger tout le monde et à ne laisser aucune chance à personne, même à ceux et celles qui auraient voulus construire quelque chose avec lui et qui auraient voulus s'arrêter sur lui. Évidemment il sait qu'il a brisé des cœurs avec son comportement. Il se souvient d'une jeune fille, à peine un an après la fuite de Phoenix. Elle était jolie et timide, c'était son binôme en cours d'économie. Elle voulait sortir avec lui. Il a couché avec elle, il l'a violemment baisée car aucun autre mot ne peut convenir et ne peut expliquer son geste envers elle. Il a été infect, il l'a faite tomber dans ses bras avant de la jeter comme un vulgaire torchon qu'on met aux ordures lorsqu'il est trop abîmé. Puis le lendemain il c'est levé et l'a laissée seule dans son lit, la repoussant lorsqu'elle voulait venir contre lui pour un réveil tendre, adorable même. Il l'a faite souffrir pour extérioriser sa propre souffrance, il a été mauvais, violent et colérique envers elle car il voulait la faire souffrir à la hauteur de ce que lui souffrait à cause de Phoenix. Il a payé. Dix ans pour avoir brisé la première fois d'une jeune fille qui n'avait rien fait et qui ne demandait qu'à être aimée. Il a honte de ses actes aujourd'hui mais il ne peut pas revenir en arrière. Finalement Phoenix a eu beaucoup plus d'impact sur lui qu'il ne l'aurait pensé. Alors c'est avec un désespoir affligeant qu'il se rend compte qu'il n'a pas eu le caractère pour le repousser ni pour se refuser à lui. Comme toujours son homme fait ce qu'il veut de lui. C'est désespérant.

Phoenix le prendre contre lui et lui explique un peu les raisons de ses peurs concernant l’éventualité de voir un psy. Adam ne comprend pas, c'est flou et difficile pour l'étudiant. Mais il ne dit rien, il le laisse parler et lui accorder un certain temps pour réfléchir et se remettre les idées en place. « Confiance… » « Oui de la confiance Phoenix. » Murmure Adam avec douceur, sans aucun jugement dans sa voix. « Je le veux. Mais je ne peux pas. » Son cœur se brise aussitôt alors qu'il ferme les yeux. Il prie intérieurement pour que Phoenix s'explique plus encore, car si il le laisse dans ses doutes il n'est pas sur de pouvoir se contrôler. Il a juste une envie, c'est se lever et partir de cette chambre pour prendre une douche, fuir pour pouvoir pleurer sous la douche, en paix, loin des bras de cet homme qui a bien trop de pouvoir sur lui. « Je… C’est ce que j’ai toujours voulu. Être avec toi, simplement. Ne pas s’enfermer dans un putain de quotidien, parce que je ne l’ai jamais supporté. J’ai tellement… j’ai tellement vu de famille déchirée, de gens ignobles, de pays différents. J’ai envie de vivre, j’ai envie de voir des milliers de choses avant de mourir. Et je voulais que tu sois avec moi. Mais je m’étais persuadé que tu méritais mieux qu’une vie à courir après … après quoi ? Le temps. La découverte. La vérité ? Je ne sais pas après quoi je cours Adam. Mais je ne peux pas m’arrêter de courir. » Il lève les yeux et regarde Phoenix. Rien ne sera jamais possible entre eux alors, c'est que que ce dernier tente de lui faire comprendre. « Je pourrais partir sans même penser à toi, aujourd’hui. Si j’ai une crise, ca sera fini sans même que je le veuilles… » Il déglutit difficilement. « Tu ne t’ai jamais dit que tu méritais mieux que moi ? Tu mérites mieux que moi, définitivement. Je suis brisé, Adam. Ces années loin de toi ont laissé des marques. » « Ce n'est pas un autre que je veux. Tu ne t'es jamais dis ça non plus. » Dit-il d'un ton plus sec et agressif, tout en serrant les dents. Se protéger, toujours et encore, se protéger et être agressif pour l'éloigner de lui même et ne plus se faire souffrir. « Je me suis habitué à ne compter que sur moi. A vivre seul, avec une arme parce que je ne vois plus que le danger à l’extérieur. » « Laisse moi te montrer que tout n'est pas mauvais en ce monde. » Dit-il en se blottissant encore plus fort contre Phoenix, dans un geste désespéré. Il a besoin de le sentir avant qu'il ne parte et qu'ils ne se revoient plus avant la prochaine crise. « Je fais des cauchemars. Je parle dans mon sommeil. Je dors mal, quand j’arrive à dormir. J’ai un flingue sous mon oreiller, et j’ai tiré sur mon lustre il y a une semaine. Parce que je me suis réveillé avec l’impression d’être observé. » Mais qu'est ce qu'il a fait, qu'est ce qu'il a vu pour être dans cet état ? « Je ne veux pas que tu vois ce que je suis, mais je veux t’avoir à mes côtés. Alors j’imagine que je n’ai pas le choix hein ? Si je te veux, je dois tout te montrer. » Il le regarde. « Je veux tout voir. Tout savoir. Je suis prêt à tout entendre pour toi. Tu n'imagines pas ma résistance, arrête de me voir comme un petit garçon fragile Pheonix, je suis un homme. Un homme qui a encaissé des choses douloureuses, un homme qui a fait des choses dangereuses. J'aimerais que tu me traites comme ton égal et que tu arrête de te cacher. » Il glisse sa tête dans le cou de son homme une fois encore pour sentir son parfum. « Je veux être avec toi et je me battrais pour ça. Mais tu dois te battre aussi. »
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Phoenix C. Feuerbach




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyMer 18 Mai - 22:15

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Phoenix & Adam
Il ne peut pas se résoudre à le voir le quitter. C'était paradoxale. Il y a douze ans c'est lui qui était parti, ravie de penser qu'il avait détruit le coeur d'Adam, l'aidant à oublier ce qu'ils ont partagé pour continuer à avancer. Non seulement il s'était lourdement fourvoyer, détruisant inutilement le coeur de son amant. Mais en plus Adam avait stagné, l'attendant sans en avoir pleinement conscience. Mais Phoenix s'accrochait à lui aujourd'hui comme un désespéré proche de la noyade. Il vient constamment vers lui, retrouvant dans son regard une innocente naïveté qui lui fait défaut aujourd'hui. Ou alors l'imagine-t-il parce que c'est exactement ce dont il a besoin. Il serait facile d'accorder à Adam un rôle de sauveur; Il voudrait qu'il le sauve, il voudrait qu'il soit ce type qui lui rende sa raison d'être. Il n'a jamais eut de raison d'être, putain. Il ne sait pas pourquoi il est ici. Il s'est battu pour des peuples, des gouvernements, contre des idéologies. Il a combattu une idéologie contre une autre, dans un massacre qui n'a laissé que des cadavres. Pas de vainqueur dans la guerre, putain. Qu'importe sa forme. C'est tout ce qu'il a comprit, tout ce qu'il a gagné. Une désillusion flagrante qui l'a détruit aussi. En quittant Adam c'est lui qu'il a finit par détruire. Et il en a conscience à présent. Qu'est-ce qu'il peut bien lui apporter ? « Ce n'est pas un autre que je veux. Tu ne t'es jamais dis ça non plus. » il sourit, mélancolique, sentant sa gorge se serrer. Adam est accroc, et il s'en veut pour cela. Il s'en veut parce que Adam a pas été fichu de l'oublier, parce que lui non plus ne le peut pas. Parce qu'ils sont des âmes soeurs ou un espèce de connerie romantique du genre. Il se hait parce qu'il n'aurait jamais dû jouer ce jeu-là avec lui il y a quatorze ans. Ou plus. Il sait plus, il perd la notion de temps, et tout se mêlange. Ca lui fait du bien, il se sent reposé quand son esprit divague. Il se perd dans le regard de son amant, lui caresse la joue, et laisse l'angoisse parler pour lui.

Le monde est une atrocité, et il est incapable de le voir autrement aujourd'hui. Il a bien trop connu. Il a bien trop fait. Il n'est plus que l'ombre de ce qu'il aurait pu être. Il est un mirage, une idée, une insolence. Il est monstrueux. « Laisse moi te montrer que tout n'est pas mauvais en ce monde. » Il secoue la tête, défaitiste. « J'aimerai pouvoir y croire, putain. » Mais il a le sentiment que c'est une chose impossible. Pourtant voir le monde à travers le regard d'Adam ne doit pas être si mal. Est-ce qu'il en sera capable ? Est-ce qu'il sera capable de se poser, de se mettre face au monde, et d'oser le regarder directement ? Est-ce qu'il pourra se mettre devant l'humanité et y trouvait un semblant de beauté ? Il regarde Adam et il a le sentiment qu'il est la seule chose qui vaut la peine que l'on se batte. Il est tout ce qu'il lui faut, tout ce qui compte, tout ce qu'il veut. Il est son essentiel, son absolue. Il est Adam Harper, la seule personne qui compte pour lui. La seule qui ait toujours compté. La seule chose qui lui donne une raison de rester à présent dans ce bas monde. Il doit se soigner, il doit le sauver. Il doit faire une chose bien dans sa vie pour une fois putain. Au moins pour une fois prendre la bonne décision.
Adam le fixe, et le monde s'envole, s'échappe, disparait. Il grimace, son coeur bat fortement dans sa tête. Il devient fou, ca y est. « Je veux tout voir. Tout savoir. Je suis prêt à tout entendre pour toi. Tu n'imagines pas ma résistance, arrête de me voir comme un petit garçon fragile Pheonix, je suis un homme. Un homme qui a encaissé des choses douloureuses, un homme qui a fait des choses dangereuses. J'aimerais que tu me traites comme ton égal et que tu arrête de te cacher. » Il a grandi, cette maturité et cette force dans la voix il ne les avait pas. Finalement peut être qu'il a grandi, peut être qu'il a avancé. Plus que Phoenix ne l'aurait cru. Il veut tout entendre ? En entendant cela le regard de Phoenix se durcit, lançant des éclairs, un défis naissant au coin de ses lèvres. Il veut tout entendre ? Vraiment ? Une voix dans la tête de Phoenix le met au défis de lui faire peur, de montrer le monstre qu'il a pu être. Mais avant qu'il puisse dire quoi que ce soit Adam vient trouver le réconfort contre son cou, et inspire son odeur, déclenchant des frissons le long de la colonne vertébrale de Phoenix. « Je veux être avec toi et je me battrais pour ça. Mais tu dois te battre aussi. » « J'ai peur de ne pas être assez fort. » Putain de franchise, de sincérité, de sentiments. Il aimerait ne pas avoir de sentiments, ne pas être un coeur ouvert. Ne pas être aussi faible et vulnérable.

Il se recule, obligeant Adam à se détacher de lui. Nu, il se lève, et inspire profondément, quittant le lit sur lequel ils se trouvent pour regarder l'extérieur. La nuit est tombée. « La première fois que j'ai tué quelqu'un c'était durant la guerre en Afghanistan. Le type se tenait devant moi, il hurlait un truc que j'comprenais pas, avec sa putain d'arme braqué sur mon unité. J'lai descendu, sans attendre les ordres. Les ordres c'tait de survivre. » Dit-il d'un air détaché. Pendant la guerre c'était facile de tuer. C'était les ordres, c'était normal. C'était la guerre qui voulait ca. N'est-ce pas ? « Après ca les meurtres ce sont enchainés. Y a eut la guerre. Puis les services secrets. Et les planques. Les bastons. La drogue. C'est connerie. Odessa - j'ten parlerai pas. J'peux pas. C'est trop tôt. » Il se sent lasse tout à coup. « J'ai été baisé par une fille qui était une criminelle recherchée. J'ai baisé des filles jusqu'à ce qu'elles pètent les plombs et s'enfoncent dans la drogue, et l'alcool. Et le sexe. Je m'y suis perdu aussi; j'ai dû être désintoxiqué. Pour ne plus y penser. Pour oublier. » Sa voix est ridiculement atone quand il parle. Il tique, grimace, s'assoit sur le drap, toujours dos à Adam. « Rien n'est pire que de prendre une vie et de ne pas ressentir la culpabilité. Parce que c'est ce qui doit être fait. J'peux tuer sans pleurer. J'peux tuer sans remord. Quel genre de monstre fait ca ? »




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptySam 21 Mai - 2:54

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Adanix
Il peut tout entendre, tout supporter pour Phoenix, il est capable de faire face à son passé et à ce qu'il a fait, quoi qu'il arrive et quoi qu'il ai fait d'ailleurs, Adam est quelqu'un de fort et de puissant, Phoenix n'a pas encore conscience de cela, il ne le voit que comme un petit garçon fragile, ce qui a le don d'agacer le jeune homme qui n'aime pas être vu comme un gamin. Il est un homme, il n'a plus 18ans comme lorsque Phoenix l'a rencontré, à cette époque là il n'était encore jamais sorti des jupons de son père, ce dernier dirigeait sa vie et tout ce qu'il devait faire, jamais Adam n’avait osé s'imposer car tout simplement il n'avait pas le choix, pire encore si il avait osé dire quoi que ce soit il ne serait plus de ce monde. Bon peut-être pas mais il aurait pris une belle raclée qui lui aurait laissé un souvenir vif et brûlant. Ainsi maintenant il a 32 ans, il est un homme qui vit loin de son père, qui fait tout pour éloigner ce dernier et qui se moque de savoir comment il réagira, il est dur et fort, il peut tout entendre, vraiment tout. Il se doute que Phoenix a fait des choses horribles qui pourraient choquer plusieurs personnes mais pas lui. Phoenix a tué ? Violé ? Drogué et torturé ? D'accord il peut le savoir, cela ne le choquera pas et il ne bougera pas de ce lit, de toute façon il est trop épuisé pour faire un quelconque mouvement, il est incapable de se lever au risque de tomber tant ses jambes ne sont plus capable de le porter, il est trop cassé justement. « J'aimerai pouvoir y croire, putain. » Lui dit-il alors que Adam essaye de lui faire entendre raison, que le monde n'est pas si horrible et qu'il vaut la peine que l'on s'arrête dessus. Oui le monde est horrible, imparfait et brutal, mais il est ainsi et c'est comme ça que nous devons le voir, il existe aussi des choses magnifiques dans ce monde, des choses superbes qui méritent que l'on s'arrête dessus et qu'on l'observe. Adam est un grand romantique et un amoureux de la vie il le sait, et cette vision qu'il a peut parfois agacer les gens autours de lui. Il est un utopiste qui derrière son sourire de façade, pense que les choses changeront un jour et que tout ne sera pas si gris dans quelques temps.

Mais il se fait des idées, il le sait, en revanche il a besoin d'y croire, de se raccrocher à quelque chose qui vaut vraiment la peine. Ainsi c'est là qu'il dit à Phoenix qu'il doit se battre, qu'ils se battront ensemble quoi qu'il arrive. « J'ai peur de ne pas être assez fort. » Doucement sa main se pose sur la joue de son homme. « Tu n'es pas seul. On se battra ensemble, à deux on est bien plus fort. » Dit-il simplement avec un sourire tendre. Il est sur de ce qu'il dit de toute façon. Enfin Phoenix se lève, nu comme au premier de sa naissance ce qui a pour but d'arracher à Adam, un sourire charmé. Il est beau son homme avec sa belle petite paire de fesses bien fermes, il aimerait bien croquer dedans si seulement la conversation n'était pas si sérieuse. Enfin Phoenix marche vers la fenêtre et regarde dehors, à où le soleil c'est couché et où le ciel noir baigne la ville. « La première fois que j'ai tué quelqu'un c'était durant la guerre en Afghanistan. Le type se tenait devant moi, il hurlait un truc que j'comprenais pas, avec sa putain d'arme braqué sur mon unité. J'lai descendu, sans attendre les ordres. Les ordres c'tait de survivre. » Adam ne dit rien, il écoute simplement, la tête posée sur son bras il fixe le dos de son homme et attend que ce dernier ne poursuive. Il sait que Phoenix a tué, il s'en doute bien surtout en ayant travaillé dans les services secrets. « Après ca les meurtres ce sont enchainés. Y a eut la guerre. Puis les services secrets. Et les planques. Les bastons. La drogue. C'est connerie. Odessa - j'ten parlerai pas. J'peux pas. C'est trop tôt. » D'accord, il respecte son silence et son besoin d'intimité, il ne se vexe pas et ne dit rien, simplement. « J'ai été baisé par une fille qui était une criminelle recherchée. J'ai baisé des filles jusqu'à ce qu'elles pètent les plombs et s'enfoncent dans la drogue, et l'alcool. Et le sexe. Je m'y suis perdu aussi; j'ai dû être désintoxiqué. Pour ne plus y penser. Pour oublier. » Il s'approche du lit et pendant un instant, Adam le regarde et attend de voir si il va s'installer. Puis finalement il s'assoit enfin et l'étudiant se hisse sur ses avant-bras et s'approche de son homme. Toujours dos à lui, refusant sans doute de croiser le regard du jeune Adam qui voudrait pourtant le regarder, puis lui faire comprendre que malgré tout ça il ne fuira pas. « Rien n'est pire que de prendre une vie et de ne pas ressentir la culpabilité. Parce que c'est ce qui doit être fait. J'peux tuer sans pleurer. J'peux tuer sans remord. Quel genre de monstre fait ca ? » Il soupire et tout doucement pour ne pas le brusquer, glisse ses bras contre ses hanches, venant doucement l'enlacer avant de poser son menton sur une de ses épaules.

« Tu as trop vu, trop vécu en une vie si courte Phoenix. » Dit-il en faisant référence à son enfance que Adam connaît, à sa vie baladée dans des familles quelconques. « Tu as trop vu et cela t'a marqué donc pour te protéger, tu as crée un masque terriblement froid qui t'empêche en apparence, de ressentir des émotions lorsque tu tue. » Dit-il simplement. « Pourtant tu as des remords et des regrets aujourd'hui, preuve que tu n'es pas un monstre Phoenix... » Il embrasse son épaule et colle sa tête dans le cou de son homme. « Tu as obéis aux ordres et aux indications, tu as fais ça pour te protéger, je ne te jugerais pas pour ça surtout si ça t'a permis de survivre. » Égoïstement, il pense qu'au moins Phoenix est avec lui. « Tu n'es pas prés de te débarrasser de moi. » Ca c'est sur.
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Phoenix C. Feuerbach




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptySam 21 Mai - 15:53

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Phoenix & Adam
Ce n’était que pure folie, de se retrouver là, nu devant Adam, se dévoilant comme il ne l’avait jamais auparavant, pas même devant les « spécialistes » qui sont tenus de suivre tous les agents afin de s’assurer de leur santé mentale. Il était facile pour Phoenix de répondre à leur attente, il a toujours été capable de comprendre plus rapidement que les autres ce que l’on voulait de lui, ce qu’il devait faire pour garder sa place. Les règles du jeu lui apparaissant avec une lucidité folle. C’est ainsi qu’il a survécu dans chaque maison où il était envoyé par le gouvernement. Parce que rapidement il ajustait son comportement en fonction des autres enfants, des adultes, de ce qu’il convenait de faire ou pas. Il comprenait qui tenait les rennes, qui était faibles, qui était impressionnable. Et il avait à cœur de contrer ses règles – enfant – pour sortir de l’enfer des familles d’accueil. Jusqu’à ce qu’il tombe sur ses anges, à l’âge de quartoze ans. Parfois il se disait qu’il n’avait pas eut tant de chance que cela dans son malheur. Il était déjà trop âgé, trop habitué à sa vie, trop encré dans son désir de survivre pour pouvoir jouir d’une parfaite adolescence. Il avait fumé, bu, baisé bien trop tôt, forgeant son être dans la débauche et la perdition. Et aujourd’hui il se sentait encore une fois démuni face à ce qu’il était, face à tous les choix les plus judicieux, les plus stupides qu’il avait pu faire. Etrangement, aimer Adam Harper étai sans doute la chose la plus intelligente qu’il ait jamais eut la folie de faire. Tomber amoureux d’Adam, à mesure des moments passés à ces côtés, et l’exhorter à lui renvoyer ses sentiments. Parfois sans une once de subtilité. Comment Adam avait-il pu l’aimer ? Comment pouvait-il l’aimer encore ? Qu’avait-il d’aimable ? Rien. A ses yeux, strictement rien. Il était encore ce gamin qui bousculait les règles pour essayer d’atteindre une liberté utopique et idiote. Il était toujours idiot.

Il se retrouve là, nu devant Adam, se révélant à lui en choisissant les mots les moins forts, tout en espérant lui faire saisir la folie qui le dérange. Meurtrier. Drogué. Sans doute le viole était-il la seule des folies qu’il ne s’est jamais autorisé. Bien qu’il ait été assez proche de contraindre ses partenaires quand il les drogué et les faisait boire jusqu’à ce qu’elles se laissent aller. Grimaçant il sentit une vague de dégout pour lui-même déferler dans son corps. Il parle. Premier meurtre. Les autres. Odessa – bien que l’image du corps de sa collègue allongé sur le sol lui comprime la poitrine l’empêchant encore d’en parler. La guérison sera longue il le sait. Il le sent bien. Impossible, le mot tourne en boucle dans son esprit. Il ne pourra jamais en guérir. Alors que sa voix s’éteint, la fatigue prenant le dessus, il sent les bras d’Adam venir s’enrouler autour de sa taille et se tend. Comment peut être il encore venir chercher sa chaleur et son contact ? Comment peut être encore aussi tendre avec lui ? Il sent les bras d’Adam passer sur la cicatrice qu’il porte sur le flan droit, et il lâche l’air qu’il contenait dans ses poumons. « Tu as trop vu, trop vécu en une vie si courte Phoenix » Il sait qu’il ne parle pas que de la guerre, mais aussi du reste. De sa mère mourrant sous ses yeux. De son père qui n’est jamais revenu. Des familles d’accueil. Des coups, des humiliations, des combats pour sa survie. « Elle me manque. » Lâche-t-il alors que l’image souriant de sa mère lui revient. La première à l’avoir abandonnée. Sa mère qu’il pensait si aimante, et qui lui avait demandé de ne pas appeler les secours alors qu’elle s’arracher les veines pour rejoindre la mort. Connasse.

« Tu as trop vu et cela t’a marqdué donc pour te protéger tu as créé un masque terriblement froid qui t’empêche en apparence, de ressentir les émotions lorsque tu tue. » La voix d’Adam est assurée. Il est persuadé de ce qu’il raconte, mais Phoenix est bien moins assuré. A ses yeux cela tient de l’habitude. La première fois qu’il a tué il en vomi ses tripes. Devant la mort il a retrouvé les sensations qu’il avait enfant devant sa mère. Les fois suivantes il avait eut l’impression d’en être accutumé. L’impression était moins forte jusqu’à disparaître. Tirer sur la gachette n’était pas si dur. Et la sensation de pouvoir restait grisante. « Pourtant tu as des remords et des regrets aujourd’hui, preuve que tu n’es pas un monstre Phoenix. » La bouche d’Adam trace un chemin humide sur son épaule, et Phoenix tourne le regard vers lui. « Je ne regrette pas d’avoir tué. Je regrette… Je regrette de t’avoir fait m’aimer. Je regrette de t’avoir exhorter à me suivre dans cette débauche. Je regrette d’avoir détruit Eden Winchester. Je regrette de ne pas avoir appelé les secours pour ma mère. Je regrette d’avoir atterri chez Lucy et Mary à l’âge de quartoze ans. Mais la drogue, la violence, les meurtres, j’arrive pas à les regretter. » Après tout c’était une question de survie. Il n’avait pas eut le choix de tuer, il devait le faire. Tout le reste c’était des choix qu’il aurait pu éviter. Des choses qui n’engageaient que lui. Quand il prenait ses propres décisions il faisait toujours les mauvaises. C’est cela qu’il regrettait.

« Tu as obéis aux ordres et aux indications, tu as fait ça pour te protéger, je ne te jugerais pas pour ça surtout si ça t’a permis de survivre. » Il grimace, n’arrivant à croire que de tels mots sortent de la bouche d’Adam. « Tu n’es pas prêt de te débarrasser de moi. » Il se tourne vers lui, et le regarde sans sourire, sentant les remords remonter dans sa gorge. Il vient caresser la joue d’Adam, et l’embrasser comme un désespéré, s’accrochant à ses épaules, vacillant dans cette posture qui n’était pas des plus agréables, mais qu’importe. Il se détache finalement et inspire profondément. « Je ne suis pas quelqu’un de bien, Adam. Ne deviens pas comme moi. Je ne me laisse pas d’obscurcir… » Lui demande-t-il à la manière d’une supplique. Voir Adam accepter ses crimes sans broncher l’inquiète et lui tord le ventre. Il aurait préféré qu’il le haïsse pour cela, allant de paire avec l’idée qu’il gardait d’Adam. L’idée qu’il se faisait toujours de lui. « Je pourrais tuer pour toi. Je pourrais détruire psychologiquement et physiquement ceux qui te feraient du mal. Les torturer jusqu’à les briser. Et je le ferai sans une once de remords, sans regarder en arrière. Je pourrais les droguer, les faire boire jusqu’à ce que le coma les emporte. Je jouis de ce pouvoir de destruction depuis trop longtemps, il m’est devenu naturel. » Dit-il sans jamais le quitter son regard, bien plus dur, testant une fois encore ses limites, le mettant devant le fait d’une relation toxique. Car il était toxique pour Adam, il le savait. Il n’aurait rien de bon, de bien ou de joyeux à lui offrir. Sauf la passion obsessionnel, et l’amour sans faille qu’il lui portait. « Je t’aime, à en crever. Mais ca pourrait te détruire. »

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Adam E. Harper




Adam E. Harper
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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyMar 24 Mai - 18:25

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Adanix
Enfin il lui parle, ce qu'il a espéré depuis des mois, des années même, une explication claire et précise des raisons de son départ il y a dix années de ça. Phoenix se confie à lui, ses peurs, ses doutes et ses craintes les plus douloureuses et Adam doit reconnaître que cela lui fait du bien de rentrer dans l'intimité de son homme, de savoir ce qui l'empêche de dormir et d'enfin se rendre compte qu'il est un homme comme les autres. Avec ses failles et ses peurs, avec ses doutes et toutes ces choses qui à l'époque, le poussaient à s'emmurer dans un silence sans fin. Adam ne savait pas quoi faire dans ces moments là et lorsque Phoenix était pris d'un doute étrange, il le repoussait bien souvent, ce que Adam ne comprenait pas. Puis souvent ils allaient danser où ils faisaient l'amour et cela passait, le sexe a toujours été une façon de faire parler Phoenix, où alors cela lui changeait les idées. Et Adam s'en contentait, tant qu'il pouvait faire plaisir à son homme et lui faire du bien, il ne cherchait pas plus loin de toute façon. Parfois Phoenix lui parlait, c'est comme ça qu'il a appris pour sa mère et pour son enfance dans toutes les familles d'accueil qui acceptait de recevoir un enfant difficile comme lui. C'est ainsi qu'Adam a pu apprendre quelques morceaux de sa vie, rien n'était très clair pour le jeune étudiant à l'époque mais il assemblait les morceaux dans son esprit et cela lui suffisait pour comprendre que son homme avait beaucoup souffert, assez pour en garder des traces dans l'âme qui ne partiraient jamais au final. « Elle me manque. » Lâche le professeur en parlant sans doute de sa mère, ce qui pousse Adam à se coller plus fort contre lui.

Ca il connaît, le manque d'une mère, d'image féminine pour qui se confier et chez qui se réfugier. Il a perdu s amère très jeune, lorsqu'elle a accouchée de sa sœur ils n'ont pas pu sauver sa mère. De ce fait Adam a un souvenir très flou et vague de cette femme qui lui a donnée la vie, il s'en souvient parfois, son visage revient dans ses rêves et il sait au fond de lui que c'est elle, sa maman. Mais sinon il ne peut pas la dessiner, il a une vision flou de son visage. Il se souvient seulement du son de sa voix, une voix claire et douce, légèrement chaude et apaisante, un son très doux qui calmait le petit Adam dés qu'il faisait un cauchemars. « Je ne regrette pas d’avoir tué. Je regrette… Je regrette de t’avoir fait m’aimer. Je regrette de t’avoir exhorter à me suivre dans cette débauche. Je regrette d’avoir détruit Eden Winchester. Je regrette de ne pas avoir appelé les secours pour ma mère. Je regrette d’avoir atterri chez Lucy et Mary à l’âge de quatorze ans. Mais la drogue, la violence, les meurtres, j’arrive pas à les regretter. » Il pose doucement sa tête contre l'épaule de Phoenix et pendant une seconde se laisse bercer par la respiration calme de son homme. Il veut l'apaiser, il voudrait effacer tout ses doutes et toutes ses peurs mais il sait qu'il ne peut pas, il ne pourra pas dans tous les cas, Phoenix a trop vu et trop souffert. Il se tourne vers Adam et l'embrasse, comme un possédé, le baiser est long et violent, presque douloureux tel deux personnes qui ont peur de s'effacer et de se perdre pour toujours. « Je ne suis pas quelqu’un de bien, Adam. Ne deviens pas comme moi. Je ne me laisse pas d’obscurcir… » Il hausse les épaules. « Je me fou de tout ça, tu devrais le savoir. » Dit-il dans un murmure en calant sa tête dans le cou de son homme.

« Je pourrais tuer pour toi. Je pourrais détruire psychologiquement et physiquement ceux qui te feraient du mal. Les torturer jusqu’à les briser. Et je le ferai sans une once de remords, sans regarder en arrière. Je pourrais les droguer, les faire boire jusqu’à ce que le coma les emporte. Je jouis de ce pouvoir de destruction depuis trop longtemps, il m’est devenu naturel. » Adam relève la tête et regarde son homme, doucement il vient passer une main dans la chevelure de Phoenix, arrangeant une mèche qui tombait devant ses yeux bleu. Son regard est glacial, turquoise comme de l'eau, magnifique, tout simplement beau comme un dieu. « Je ne te demanderais jamais ça Phoenix. C'est ça que tu ne comprends pas, tu as peur de faire des choses pour moi que je ne te demanderais jamais. De mon vivant, tu n'auras pas besoin de faire souffrir quelqu'un pour moi. » Dit-il et avec un sourire triste, il rajoute quelques mots. « Je n'ai rien de plus à t'offrir que mon amour pour toi. Cet amour dingue... Et une relation qui aura du mal à se construire tu le sais. » Dit-il en ayant conscience qu'avec son père et tout, il aura énormément de mal à construire quelque chose avec Phoenix. « Je t’aime, à en crever. Mais ca pourrait te détruire. » « Je m'en fou... » Dit-il en prenant conscience de la force de son amour, de tout ce qu'ils traversent et de cette passion qu'il y a entre eux. « Je suis prêt à tout pour toi. » Ajoute Adam avec une détermination folle dans la voix.
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Phoenix C. Feuerbach




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MessageSujet: Re: animals (adanix) HOT HOT HOT   animals (adanix) HOT HOT HOT EmptyMar 31 Mai - 19:54

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Phoenix & Adam
Tomber amoureux d'Adam cela avait été aussi simple et lent que de s'endormir. Il ne l'avait pas senti arriver, cet apaisement, c'était encrée en lui et rapidement c'était devenu nécessaire. Adam avait été un bon ami, un copain, un mec pour délirer dans les soirées. Il était plus jeune, plus beau, plus mystérieux que les autres. Adam c'était le mec qui l'aurait rendu fou, qui le faisait oublier son passé parfois, parce qu'ils se perdaient dans des conversations sans fin sur le sens de la vie, du monde, des gens. Ils critiquaient parfois, et ils étaient rarement d'accord. Parce que Adam voyait les choses avec une lucidité que Phoenix ne partageait pas. Lui était déjà torturé, souffrant de son passé, souffrant pour ce qu'il avait vécu, souffrant pour tout et rien. Adam non, il avait ses blessures mais il avait apprit à les pansé, à les guérir, à vivre avec. Un truc que Phoenix ne sait pas faire, pas même aujourd'hui, et pourtant il devra apprendre. Adam était devenue nécessaire, il avait besoin de le voir chaque jour, de lui courir après s'il le fallait ne serait-ce que pour l'embrasser, lui demander comment il allait, pour le prendre dans ses bras. Adam était une bouffée d'air frais, l'oxygène qui lui rendait l'existence plus supportable. Mais il avait finit par avoir peur. Peur parce que cela ne durerait pas, parce qu'il finissait immanquablement par perdre tout ceux qu'il aimait. Parce qu'il savait qu'il y prenait gout, qu'il était amoureux, et qu'il n'était pas constant. Alors il était parti.
Mais cette nécessité était toujours présente au fond de lui, et il savait qu'il pourrait à nouveau gouter à cette drogue et devenir fou. Fou d'Adam. Parce qu'il aimait Adam comme un fou. Mais il a peur, il a peur parce qu'il n'est pas pour lui et qu'il le sait parfaitement. Il a peur parce qu'Adam un jour partira. Ou alors parce qu'il le détruira définitivement. Il voudrait le faire fuir - mais cette possibilité étreint son coeur; Il voudrait qu'Adam soit meilleur que lui - et espère qu'il restera à ses côtés. « Je me fou de tout ça, tu devrais le savoir. » Il ferme les yeux, expire l'air de ses poumons, et grimace. Il voudrait qu'Adam lui fasse la morale, qu'il soit choqué par ses mots et par ses actes, qu'il le pousse à être meilleur, à ne plus penser de la sorte, qu'il le pousse à voir vers le haut, plutôt que d'accepter tout ce qu'il a put faire. Accepter qu'il soit un monstre.

Il ne veut plus être un monstre, et pourtant il sait qu'il peut tout faire. Il a gouté au sang, il a gouté au pouvoir du meurtre, à la domination de l'être, au point de lui ôter la vie. Et il n'en ressent plus de remords, ou de regret. Il devait tuer, c'était les ordres. Et aujourd'hui c'est inscrit en lui. S'il doit tuer, il le fera avec la même indifférence, sans même voir combien cela pouvait être mal. Il n'avait plus de moeurs, de valeurs morales. Il n'était plus véritablement humain. Pour Adam, oui, il pourrait tuer. « Je ne te demanderais jamais ça Phoenix. C'est ça que tu ne comprends pas, tu as peur de faire des choses pour moi que je ne te demanderais jamais. De mon vivant, tu n'auras pas besoin de faire souffrir quelqu'un pour moi. » « Je n'attendrais pas ton avis. Si quelqu'un te fait souffrir il est mort. »  Dit-il avec une indifférence cruelle. Morne, comme si cette promesse était déjà faite. Comme si les dés étaient lancés. Même si c'est son putain de paternel, un homme puissant et riche qui devait encore faire pleurer Adam. Phoenix savait qu'il pourrait le faire disparaitre, faire passer cela pour un accident, et en débarrasser la surface de la terre. Et Adam ne devrait pas pouvoir accepter cela. Alors pourquoi ? Pourquoi est-ce qu'il l'accepte ? « Je n'ai rien de plus à t'offrir que mon amour pour toi. Cet amour dingue... Et une relation qui aura du mal à se construire tu le sais. » Il hausse les épaules. Jamais il n'a douté que cette relation ne serait pas simple, mais sans doute pas pour les mêmes raisons qu'Adam. Le fait que son père ne les accepte pas était une barrière avant. Mais aujourd'hui Phoenix se dresserait devant lui et mettrait un flingue sur sa tempe s'il le fallait. « Tu ne devrais pas accepter cela. Tu ne devrais pas accepter que je sois un monstre, Adam. » Lâche-t-il entre ces dents finalement, agacé par la tournure des évènements, non moins touché par la sollicitude et l'amour de son amant. Putain qu'il est dur et bon de l'aimer.

Il l'aime jusqu'à le détruire, comme il a détruit tout ceux qu'il a approché, les forçant à aller à l'encontre de leurs morales, et leurs valeurs. Il les a perverti. « Je m'en fou... » Il secoue la tête, et grogne un peu dans sa barbe, se levant pour s'asseoir sur le bord du lit, toujours nu. « Je suis prêt à tout pour toi. » « Pas à ca. » Lâche-t-il. Soupire, se tourne vers Adam, prend sa bouche contre la sienne, et l'embrasse fougueusement. Il l'allonge à nouveau, ses mains se baladant sur son corps impudiquement. « Ose me dire qu'avant tu aurais accepté l'idée que je puisse tuer. Ose me dire que tu pourrais accepter tous les crimes que je pourrais commettre, sans en ressentir la moindre culpabiltié, remord, ou regret ? Adam tu es quelqu'un de bien. Tu as une morale et des valeurs - je n'en ai aucune. Alors ne me laisse pas te pervertir. Pas toi. » Demande-t-il, suppliant, les sourcils froncés dans une tension palpable. « S'il te plait... S'il te plait... Soit bon. Soit quelqu'un de bien, montre moi comment faire pour... Pour être quelqu'un de bien. » Demande-t-il en se laissant aller sur le corps de son amant, épuisé par ses émotions et ses aveux, la tête sur le torse de son amant. Ecoutant son coeur battre.

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