nuit de noces - nosferatu - tu feras quoi ? (alikim - HOT )

nuit de noces - nosferatu - tu feras quoi ?
Alice & Eliakim
Alice Kensington-Crowlley; ou madame Eliakim Crowlley, et à présent c'était une chose officielle dans tous les états de ce fichu monde. Elle pourrait montrer la bague à son doigt et proclamé être la femme la plus heureuse et la plus chanceuse du monde dans la caricature assumée d'une amoureuse transie et naïve. Naïve parce que même si son mariage est fait d'amour il est aussi un tremplin vers des choses plus manichéenne comme la richesse, le pouvoir, ou la célébrité. Pas qu'elle n'avait pas les trois auparavant, mais cette fois elle assoit cette autorité sur l'échelle sociale avec plus de force; et dans son bonheur parfait il ne manque qu'un enfant, qui viendra prouver qu'ils sont des amants comme les autres, vivant dans leur villa où ils élèvent leur enfant dans le respect et l'amour. Un tableau finement peint, pensé de toutes pièces, que la jeune femme érige avec fierté.
Mais pour l'heure elle ne pense pas vraiment à tout cela. Pour l'heure elle est dans un petit avion qui a quitté un aéroport au sud de la Grèce pour les mener sur une île déserte - ou presque - où ils vivront en autarcie pendant plusieurs jours. Ou semaines; qu'importe. De toute façon les vacances sont bien installées, Alice a validé son diplôme, et Eliakim n'a aucune obligation durant l'été. Il n'y a qu'eux, et eux c'est tout ce qui compte.

Elle se penche vers lui, et lui quémande un baiser, encore, gémissant contre sa bouche parce qu'elle sent en elle poindre un désir enflammé. Elle ne peut pas s'empêcher de le toucher, comme si le fait d'être sa femme avait envelopper son corps de l'envie de le faire sien, physiquement. Elle le veut, entre ses cuisses, elle veut le sentir, lui pour longtemps. Des heures, des jours, qu'importe, plus encore si c'est possible, ignorant la douleur physique pour se perdre dans son étreinte. Elle ne veut que cela, perverse assumée, parce qu'elle caresse son corps de rêve, et qu'elle sait qu'elle l'aime plus que tout. Son putain de corps qui la rend folle. Il peut la faire hurler comme personne - pas qu'elle ait un point de comparaison de toute façon - et elle est assez folle pour ne voir que lui. Ne vouloir que lui. Depuis leur premier baiser, et jusqu'à présent - l'épisode Eden avait été enterré de toute façon.

Ils arrivent sur l'île alors que la lune est déjà haute dans le ciel, et les commis sortent leurs bagages pour les mener dans une villa sur pilotis qui fait face à la mer, et à la nature sauvage des lieux. Alice attend, dans une robe blanche légère, ôtant ses sandales pour mettre ses pieds dans le sable chaud et en savourant la texture. Elle regarde Eliakim, les hommes qui s'occupent de décharger leurs affaires, et elle sourit. Heureuse. Après quelques recommandations, leur assurant qu'ils reviendront avec de quoi manger dans trois jours - ils ont de quoi faire d'ici là - les hommes repartent, laissant les deux amants seuls. Et enivrés.
Alice se jette dans les bras de son homme, l'embrassant fougueusement. « Monsieur Crowlley ? » L'appelle-t-elle d'une voix enrouée de plaisir. « Me porteriez-vous jusqu'à notre chambre pour me faire l'amour follement cette nuit ? » Demande-t-elle, un sourcil levé, ingénue et passionnée, ne prenant pas même le temps de se préparer d'une quelconque autre manière - elle aura bien le temps pour cela dans les prochains jours - ne demandant qu'à sentir son corps dés à présent. Le plus étroitement possible, et pour l'éternité.

Nuit de noce. Nosferatu. Tu feras quoi ?
Alikim
Ils sont mariés, officiellement et loin du mariage ignoble qu'ils ont fait à Las Vegas, bien trop imbibé pour s'en souvenir et contrôler leurs gestes. Là ils ce sont dit oui devant leur famille, leurs amis et toutes les personnes qui ont fait le déplacement pour ce jour magnifique. Et depuis, Eliakim vit sur une sorte de petit nuage personnel où il y a seulement la place pour les fesses roses de son épouse. Son épouse, sa femme, ainsi il peut l'appeler comme cela maintenant sans qu'elle ne le reprenne en lui disant qu'ils ne sont pas encore mariés. Elle ne peut plus le reprendre, elle ne peut plus râler maintenant. Ils ont eu un beau mariage, très beau même. Simple et raffiné comme le voulait sa femme, ils ont passés une super soirée et en gardent un souvenir mémorable. Surtout qu'ils n'ont pas pu se reposer juste après la soirée car ils ce sont envolés vers leur lieu de noce, spécialement loué pour l'occasion. Eliakim a fait des folies mais ce n'est pas comme si il était raisonnable lorsque cela concerne Alice. Il ne sait pas se maîtriser, c'est désespérant au final. Ainsi il a loué une île privée pour deux semaines, non loin des côtes Brésilienne qu'ils pourront rejoindre en une demi-heure de bateau si l'envie leur prend. Un coin paradisiaque avec seulement la plage et une magnifique maison sur l'eau. Et eux, juste eux sans personne autour, pouvant céder à toutes leur envie. Se baigner nu peut-être, Eliakim a très envie d'essayer. C'est après quelques heures d'avion qu'ils sont arrivés dans un petit aéroport où une voiture les attendait, pour les emmener au port où il leur restait seulement à prendre une navette spéciale. Après quelques vivres laissées dans la maison et leurs bagages déposés dans le salon, Alice et Eliakim ce sont retrouvés seul sur cette île, l'un avec l'autre et l’immensité de l'océan pour fêter leur mariage comme il se doit.

Entre temps la nuit est tombée, ils auront tout le loisir d'admirer le lever du soleil demain matin mais pour l'heure, Eliakim veut juste retrouver sa femme et se coller à elle pour profiter de cet instant. Le reflet de la lune brille dans l'eau, donnant un côté très romantique à l'endroit. Il s'enchante déjà des deux semaines à passer ici. Ainsi il sort de la maison après s’être assuré que rien ne manque et rejoint sa femme pour l'embrasser avec passion. Il l'aime, ça ne fait aucun doute lorsqu’il pose ses yeux sur elle. Elle est son monde, son tout, son univers et la moindre parcelle qui reste en elle. Elle est son bonheur et ce qui lui donne envie de se lever le matin, son sourire est ce qu'il y a de plus merveilleux pour lui. Elle est enfin mariée à lui, convenablement, après toutes les épreuves qu'ils ont traversés et le risque de ne jamais plus se retrouver dans la même pièce au risque de se détester. « Monsieur Crowlley ? » « Madame Crowlley ? » Dit-il sur la même voix amusée qu'elle. Il se grise de pouvoir l’appeler ainsi. Dans un soupçon d'amusement il se souvient des mots du Lord le jour même de son mariage. Tu vas épouser ma fille, la prunelle de mes yeux. Si elle souffre par ta faute, je te ferais passer l'envie de te jouer d'elle. Des mots qui ont fait naître en lui une sorte de frayeur, tant le Lord en effrayant lorsqu'il est sérieux. Mais il l'aime et loin de lui l'idée ni même l'envie de la faire souffrir. « Me porteriez-vous jusqu'à notre chambre pour me faire l'amour follement cette nuit ? » « Mmmmmh... » Murmure Eliakim en venant l'embrasser dans le cou, glissant jusqu'à son oreille pour en mordiller le lobe. « Non ! » Il relève la tête et se détache d'elle avant de venir ôter son tee-shirt et de le jeter sur le sable. « En revanche si tu me suis dans l'eau... On peut toujours s'arranger ! » Il commence à ouvrir son bermuda et le fait également tomber dans l'eau avant d'en faire de même avec son caleçon et de partir en courant vers l'eau, qui semble n'attendre que lui.

nuit de noces - nosferatu - tu feras quoi ?
Alice & Eliakim
Seuls, sur une île au beau milieu de nul part, avec pour seuls témoins de ce qu'ils feront le ciel parsemé de nuage et le roulement régulier des vagues sur la plage devant la villa. Seuls, parfaitement, loin de l'agitation d'Oxford durant l'été, et des commérages de leurs connaissances. Loin des obligations sociales qui allaient à présent les attendre parce qu'ils sont un couple mondain dont le nom fait frémir bien des investisseurs. Ils ne pourront pas y échapper, surtout alors qu'ils vont devenir la tête pensante d'une entreprise de mode multinationale. Qu'importe, Alice était faite pour ce genre de vie, y étant préparer depuis l'enfance elle ne pouvait pas s'imaginer ailleurs. Encore moins dans les bras de cet homme-là, qui la couvait avec un regard si brillant d'amour et de malice qu'elle se sentait frissonner. Jamais elle ne pourrait se lasser d'être regarder par Eliakim Crowlley. Il lui semblait que malgré leur huit ans de relation il avait toujours cette brillance foudroyante qui la liquéfier sur place. Il la désirait ardemment, et elle le voyait. Elle le savait. Elle pouvait le sentir alors que le regard brûlant traversait ses vêtements pour voir ce qu'elle portait. Un ensemble féminin, en dentelle, assez affriolant - qui devrait lui plaire à son mari.

« Madame Crowlley ? » ils arrivent sur place, découvrant les lieux d'un regard lancé à la dérobé avant de se recentrer l'un sur l'autre. Parce que leur monde se réduisait à cela pour les semaines à venir : l'un et l'autre. L'un sur l'autre, sous l'autre, dans l'autre, en l'autre, qu'importe tant qu'ils étaient ensemble, et elle comptait bien en profiter. Profiter de ce corps de rêve, de pouvoir lui dire « mon mari » officiellement, et de tout ce qu'un jeune couple marié doit faire - la même chose que les couples en début de relation mais avec la conviction qu'ils pourront recommencer jusqu'à ce que la mort les sépare . Très romantique, et érotique, comme perspective.

Elle propose alors - évidemment - une partie de jambes en l'air dés à présent, se sentant fiévreuse à l'idée de sentir son homme. Elle ne l'avait pas eut en elle depuis le mariage - ils s'étaient éclipsés quelques minutes pour se trouver un coin tranquille derrière les escaliers. Un petit coup rapide qui avait fait rire Eliakim, et donnait un sourire éclatant à Alice. Juste comme cela, parce qu'ils étaient amoureux, joyeux, et ivres. Sans doute ivre, plus que le reste - haha. Mais à Présent il n'y avait plus d'ivresse, sauf sensuelle. Le besoin de l'avoir en elle la terrassait. « Mmmmmh... » Elle s'accrochait à ses lèvres, son murmure, sachant qu'il ne pourrait pas le lui refu- « Non ! » Elle reste là, à le fixer, sans comprendre ce qu'il venait de dire. Ou refusant de comprendre plutôt parce que c'était improbable : Eliakim refusait du sexe ?
Mais bientôt les mains de son homme entreprennent de lui ôter son t-shirt, et de le jeter sur la plage, dévoilant son torse bien dessiné. Elle en gémit, alors qu'il se détourne et fait de même avec son bermuda, et son caleçon, révélant ses fesses admirablement bien galbées - des fesses de gays assurément - et elle le regarde partir vers les vagues. « En revanche si tu me suis dans l'eau... On peut toujours s'arranger ! » Lâchant un rire joyeux, la jeune femme entreprend alors de se défaire de ses vêtements à une vitesse lente - espérant que son homme appréciera le spectacle.
Une fois nue - totalement - elle s'avance dans l'eau crystalline et chaude pour s'approcher d'Eliakim et venir mettre ses mains autour de ses épaules pour se maintenir dans l'eau : « Je suis là. Que comptes-tu faire de moi à présent ? On ne l'a encore jamais fait dans la mer; il était temps... » Dit-elle avec un sourire carnassier.

Nuit de noce. Nosferatu. Tu feras quoi ?
Alikim
Il adore ce sentiment de bien être qui s'insinue en lui tout doucement et qui lui donne envie de venir s’installer ici, sans doute définitivement. Le soir est tombé, le soleil c'est couché et la lune se reflète dans l'océan, donnant un côté tellement romantique à cet endroit. Deux semaines loin de tout, d'Oxford, de leur vie respective, du travail et de leurs amis. Elle et lui, uniquement cela et rien d'autre autour à part la plage, une villa magnifique, une piscine avec jacuzzi et plusieurs autres choses à visiter. Et un bateau prêt pour eux à toute heure du jour où de la nuit, prêt à les emmener sur le côte pour visiter le Brésil qui est si proche de leur petite île paradisiaque. Est-ce que cela pourrait être plus parfait ? Voila des années qu'il attendait ça, de pouvoir appeler Alice comme sa femme, la seule, la vraie et l'unique dans sa vie qui portera son nom. Ils sont mariés et rien ne pourra être mieux qu'à cet instant, sauf peut-être le jour où elle mettra au monde leur enfant mais ce moment n'est pas arrivé. L'instant est à la joie et au profit ainsi, lorsqu'ils se retrouvent seul sur la plage et qu'ils s'embrassent, il sent bien qu'Alice se colle trop à lui pour que cela soit innocent. Après tout ils n'ont pas pu être ensemble depuis le mariage, sauf le petit instant volé entre deux plats où ils ont profité du corps de l'un et de l'autre. Mais c'était tellement rapide et surtout, imbibé d'alcool, qu'ils n'ont même pas pu savourer ce moment. Au moins cela les aura rendu joyeux, dire qu'ils l'étaient déjà énormément. Alors sans attendre il ôte son tee-shirt et le balance sur le sable fin et chaud, faisant de même avec son bermuda, dévoilant son corps nu avant de se jeter dans l'eau sans attendre. L'eau est chaude, du moins assez chaude pour qu'il rentre sans attendre et qu'il invite sa femme à le rejoindre. Ainsi il se délecte de la vision d'Alice qui se déshabille doucement, dévoilant petit à petit son corps parfait et si érotique pour le professeur. Ce dernier se met à sourire et réceptionne sa femme lorsqu'elle le rejoint enfin dans l'eau. Il la serre contre lui et vient l'embrasser doucement, glissant ses mains sur les fesses d'Alice pour la maintenir fermement contre lui. « Je suis là. Que comptes-tu faire de moi à présent ? On ne l'a encore jamais fait dans la mer; il était temps... »

« Après toutes ces années, c'est presque une honte... » Il faut dire que lorsqu'ils étaient simplement amant, ils ne partaient pas en vacance ensemble. De ce fait il y a plusieurs choses qu'ils ce sont mis à faire après avoir enfin assumé leurs sentiments. Doucement il se recule, cherchant à aller vers un petit banc de rochers qui sortent de l'eau et qui vont vers la plage. Ainsi il soulève doucement sa femme et s'approche de cet endroit avant de déposer son épouse sur un des rochers plat, faisant attention tout de même à ne croiser aucun crabe où quelque chose dans le genre. « On en était où mon Ange ? » Murmure Eliakim en venant l'embrasser, collant ses hanches contre elle de sa femme, appréciant de sentir le corps nu de sa femme contre le lien. Lorsqu'il met fin au baiser, c'est pour glisser ses lèvres plus bas, dans le cou et sur le ventre de sa femme, déposer des baisers partout où il peut l'atteindre. Dés que l'eau arrête son chemin, il remonte jusqu'à ses seins et en frôle les bouts, délicatement, souriant dés que son épouse réagit à ses caresses. « Tu es tellement belle... » Dit-il alors que la lumière de la lune semble refléter la couleur claire de sa peau. « Je t'aime. » Elle le sait mais il veut le lui répéter encore et encore, sans jamais se lasser.