(inachevé) (jaimie) You're like a drug that's killing me
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Sujet: (inachevé) (jaimie) You're like a drug that's killing me Jeu 18 Déc - 18:38
So what you trying to do to me It's like we can't stop we're enemies [...] You're like a drug that's killing me
Réunion du secteur de psychologie. Je dois être honnête, je n'étais pas du tout enchanté de cette réunion en ce Mercredi soir. J'avais autre chose à faire, du genre, remplacer ma soeur au près de Benjamin et.... Remplacer ma soeur auprès de mon fils. Je dois le dire, c'est la seule chose que j'ai à faire en ce moment. Dans ma vie, j'avais mon boulot, ma soeur et mon fils. Et peut-être des femmes par-ci par-là, mais il n'y en avait qu'une qui me faisait envie ce soir et elle se trouvait là, assise en face de moi. Le chef du département se trouvait au bout de la table et rabâchait son discours habituel tout comme à chaque réunion et pourtant, mon regard était rivé sur elle, qu'elle. J'avais une main sur le bras de ma chaise et l'autre sur la plié sur la table. Ma main était contre mon menton et mes doigts sur mes lèvres. Donc finalement, il n'y avait que mon coude sur la table. Je la regardais encore, elle et sa magnifique chevelure brune qui scintillait à chaque fois qu'elle tournait la tête. Je n'ai aucune idée de ce qu'elle fait sur moi, l'effet qu'elle me fait plutôt, mais elle me fait quelque chose et je n'arrive pas à dire ce que sait. Je dois dire qu'elle saurait bien me rendre fou jour après jour. Je dois faire attention à chaque fois que j'ouvre la bouche avec elle et aussi à chaque fois que je fais un geste, puisque elle aussi a fait la psychologie, donc elle saurait très bien me lire. Je suis perdu dans ma tête et je suis sur qu'elle le sait très bien. Je ne suis pas très discret non plus, ce n,est pas dans ma nature. « Stark. Stark! » Je sors soudainement de ma bulle et me redresse me tournant vers le chef de secteur. Il me grondait du regard, on aurait dit mon père. Un rire s'entend de l,autre côté de la table et je baisse la tête avec un large sourire. « vos cours vont bien? » Je secoue légèrement la tête avant de le regarder fixement droit dans les yeux jusqu'à ce qu'il regarde quelqu'un d'autre et se remette à parler. Ouf, j'ai eut chaud. Je me repositionne à nouveau de biais à cet homme que je n'appréciait pas vraiment et mes yeux se lèvent tranquillement pour aller croiser son regard. Je restai silencieux tout le reste de la réunion. Je les regarde un à un récupéré leurs papiers, leurs documents et quitté la pièce sans se retourner. Tous devaient surement rentrer chez eux puisqu'il était tout de même très tard. Je me lève et repousse ma chaise derrière moi. Je n'étais pas seul, mais c'était tout comme. Je marchais du talons, ou ce n'était qu'une impression puisque mes pas s'entendait dans cette dans toute la pièce. Je contourne la table, mes doigts la frôlant. Je regarde le sol, mais je ne le regarde pas, j'étais plutôt dans le vide. Je m'arrête, une main tout près d'une autre. Je la regarde et du bout des doigts la frôle jusqu'à ce que je pose ma main contre cette dernière. Je lève les yeux jusqu'à ce que je croise le regard de la brunette. Je tourne la chaise sur laquelle elle est assise pour qu'elle fasse face. Je glisse ma main sous son menton pour croiser son regard. « Bonsoir madame Lyndsor. » Je me recule un peu et m'appuie fesses contre la table et les bras croiser contre mon torse. Mais juste avant, je replace mon veston et je passe ma main dans mes cheveux. Je garde mon regard vers elle avec un large sourire. Il y avait un bon moment que je ne l'avais pas vu et je dois me l'avouer, elle me manquait. Un peu. Ou s'était peut-être son corps qui me manquait. Non, je crois pas. Bon, j'en sais rien, peut-être. Faut dire qu'elle à tout pour elle, le sourire tombeur, le regard persan, ses lèvres charnues, ses courbes pratiquement sculpté à la perfection, ses cheveux, ouf, tout est parfait chez elle, même ce qu'elle est en tant que personne. Elle ne devait sûrement pas connaître cette admiration que je pouvais avoir pour elle. Même moi je l'ignore. Je devrais rentrer chez moi, mais je dois le dire que une soirée ne ferait pas de mal. Ce n'est pas comme si je n'étais pas avec mon fils jour après jour. Je le vois tous les jours, peut-être pas tous les soirs, mais oui, tout les jours. Je m'étais toujours posé la question, pourquoi la psychologue de l'école était présente aux réunions du cursus psychologie? Aucune idée et je ne poserai pas la question, elle est là c'est tout. « Quelque chose de prévu ce soir? » Je m'arme de mon sourire le plus ravageur et arque un sourcil avec amusement. Non, je ne faisait aucune allusion à double sens, ou de mauvaises pensés. Elle fait rêvé les hommes, c'est sûr et certain.