| Sujet: LEIGH « Et ta débauche ne leurre qu'un instant ton désespoir caché » Lun 29 Déc - 21:04 | |
| Eleanor Leigh Stanford bring your love baby i could bring my shame. bring the drugs baby i could bring my pain. i got my heart right here. i got my scars right here.
identification complète Eleanor Leigh Stanford âge vingt et un ans. lieu/date de naissance cinq novembre mille neuf cent quatre vingt treize études suivies et année Troisième année en communication mais première année à Oxford job Secrétaire dans l'entreprise de son oncle maternel orientation sexuelle Bisexuelle statut Célibataire statut social £££caractère Généreuse, altruiste, fêtarde, sincère, fière, nerveuse, espiègle, aventureuse, joviale, susceptible, lunatique, pugnace, indépendante, loyale, curieuse, excessive, sociable, séductrice, rancunière, têtue, franche, borderline, courageuse, drôle, méfiante, impulsive, provocatrice, matérialiste, blessée. groupe Oxford's Student. avatar Caitlin Stasey
Welcome to the jungle Leigh c'est cette jeune fille que l'on retrouve à toutes les fêtes, celle qui a toujours le sourire aux lèvres et qui se soucie des autres. C'est cette fille qui malgré sa richesse reste simple et altruiste. Cette fille qui vous charme sans même s'en rendre compte. Très sociable elle a un bon nombre d'amis et rares sont ceux qui ne l'apprécient pas. Elle aime la vie mondaine dans laquelle elle évolue, elle aime son statut, s'amuser et séduire. Cependant elle reste très sécrète et ne se dévoile pas facilement. Au fond, elle s'en veut énormément d'avoir abandonné son meilleur ami, c'est sans aucun doute son plus grand regret et sa plus grande peine. Depuis elle a quelques problèmes d'addiction que son père tente de cacher par touts les moyens possibles. Au fond elle veut simplement être heureuse et ne plus avoir mal. Elle voudrait se regarder dans un miroir et être fière de la personne qu'elle est devenue, mais ce n'est pas encore le cas. Alors en attendant, elle suit avec intérêt ses cours en communication et rêverait de travailler dans l'entreprise de luxe de son oncle.
The story of my life
#Partie 1 Nos illusions perdues
« On sera toujours ensemble, toi et moi tu me le promets ? » Des promesses d’enfants formulées entre deux éclats de rires, des promesses balayées par les années et l’incompréhension. Toi et moi on devait avoir six et trois ans la première fois que je t’ai vu. Mes yeux se sont de suite posés sur cette petite fille aux opales noisette et à la moue rieuse. Tu étais tellement jolie dans tes belles robes et tellement gracieuse dans tes mouvements d’enfant. Tu t’es délicatement approchée de moi et parée de ton sourire le plus chaleureux, tu m’as pris la main. Ton contact fut si tendre mais à la fois si ferme que je sus immédiatement que je veillerai patiemment sur toi. Ma jolie petite Leigh à ce moment-là tu es devenue ma famille, ma sœur, mon amie et celle qui causera ma perte. Tu avais tout pour être heureuse, un destin majestueux t’était déjà offert. Ta famille était une noble famille anglaise dont les richesses étaient établies depuis des temps anciens. Tes parents se sont connus lors d’un de ces galas que donnaient tes grands- parents paternels. D’après leurs dires ce fut le coup de foudre immédiat, un de ces amours que l’on se plaît à imaginer en rêve. Ils se marièrent très vite, leur union étant une source de bonheur intarissable pour leurs proches. Puis tu es arrivée un soir de novembre avec tes cheveux bruns et tes yeux malicieux. Le bonheur fut parfait durant deux ans, deux petites années où tout avait un sens, où tout était à sa place. Cependant chaque bonheur rencontre son lot de malheur. Ta mère mourut dans un accident de voiture. Trop petite pour réaliser, trop petite pour comprendre tu sentis tout de même le vide immense que laissa cette disparition. Un vide que tu t’évertuas à combler tout le reste de ta vie. Un vide qui laissa des traces indélébiles dans ton cœur. Une partie de ton père mourut également ce jour-là, il ne fut plus jamais le même. Il y avait tellement de tristesse, tellement de peine qu’il se réfugia dans le travail pour oublier. Tellement de colère et de ressentiment qu’il creusait doucement mais surement un fossé entre toi et lui. Il fut toujours là pour toi dans le futur, t’inscrivant dans les meilleures écoles, aux meilleurs clubs sportifs et surtout te combla de présents. Cependant tu aurais milles fois échangé tes cadeaux contre une affection d’un autre type, contre des gestes tendres et des paroles réconfortantes. Ce manque de complicité te chagrinait même si tu ne le montrais pas, même si sourire aux lèvres tu feignais que tout allait pour le mieux. C’est pour t’apporter de la compagnie et une attention particulière que ton père engagea ma mère, une nourrice qui s’installa chez vous pour aider dans l’éducation. Et avec ma mère il y eut moi. «On sera toujours ensemble, toi et moi tu me le promets ? » Tu avais le don de poser de ces questions existentielles, puis tu t’en allais dans un éclat de rire sans attendre la réponse, j’ai toujours su qu’en vérité tu avais peur de l’entendre. On passait tout notre temps ensemble, la plupart du temps à se battre, se crier dessus mais l’on revenait inlassablement l’un vers l’autre. C’était une époque joyeuse, la vie y était tellement simple rythmée par nos jeux, les cours, nos rires et pleurs. Ton père était content de cette amitié, il te voyait sourire, rigoler, te battre comme une enfant de ton âge. Il savait que j’y étais pour beaucoup dans ton bonheur et au fond ça lui faisait peur. Il avait peur que sans moi tu ne puisses avancer, il avait peur qu’avec moi tu ne souhaites plus avancer. Cependant ses craintes, il les gardait pour ne pas te perdre. Puis on a vite grandit, toi en une jeune adolescente accomplie qui faisait le bonheur de sa famille ; studieuse, sérieuse, enthousiaste et ambitieuse. Quant à moi je ne m’en sortais pas trop mal non plus, j’avais été dans un très bon collège grâce à ton père et j’avais soif de connaissances et d’ambition. Je te voyais grandir, tes traits poupons s’affiner, ton corps se féminiser. Plus que nos corps qui changeaient, ce sont nos sentiments qui n’ont cessé de nous tourmenter. Ce sont nos sentiments qui nous ont porté et mené vers la déchéance.
# Partie II. A nos émois passés.
« Il est temps de faire face Leigh » Tu te retournes, osant enfin détacher ton regard sombre du soleil couchant. Tu as froid alors que c’est une belle nuit d’été, les étoiles sont de sorties illuminant les campagnes suisses. Ton regard croise le mien « Tu sais que tu peux me faire confiance. Mon but n’est pas de rendre un compte rendu à ton père, celle que je veux aider c’est toi, simplement toi. » Tu aimerais tellement me croire, tellement croire que je t’aiderai à aller mieux, mais au fond tu sais que tu n’en as pas envie. Ta peine, ta hargne et ta tristesse sont les seules choses qui te restent, ce sont les seuls éléments qui te rattachent à lui, qui te rattachent à Lex. Tu n’as que seize ans, mais tu sembles empreint d’une maturité presque dangereuse pour ton âge. Tous pourraient croire que ta tristesse est futile, que rien ne vaut une telle attitude alors que tu as tout. Cependant je sais que chaque peine si futile aux yeux des autres soit-elle peut laisser de véritables traces. Et des traces tu en as, elles meurtrissent ton âme et ton cœur abîmé, elles t’inondent de regrets amers. « Oses enfin poser des mots sur ce que tu ressens. » Depuis ces quelques semaines où je te suis en consultation, je me sens un devoir envers toi, celui de te rendre le sourire. Je sais que tu es tellement plus qu’une fille de bonne famille, tellement plus qu’une poupée trop vite brisée. Tu as l’avenir devant toi et celui-ci t’ouvre ses bras, ne t’y refuses pas. Tu t’assois et me fixe de tes yeux noisette me souriant légèrement alors que ceux-ci sont emplis de désarroi. « Lex a toujours fait partie de ma vie aussi loin que je ne m’en souvienne. Son sourire et ses yeux malicieux sont gravés à jamais dans ma mémoire. Je sais que c’est très mélancolique voire exagéré, mais il était mon point de repère, le roc sur lequel m’appuyer aux milieux des aléas de la vie.Avec lui j’étais moi, entièrement moi, je pouvais tout lui dire bien que l’on passait la moitié de notre temps à se disputer. Notre relation était simple et sincère, c’était le meilleur ami que l’on puisse avoir, plus il faisait entièrement parti de la famille, de ma famille. C’était sans doute égoïste, mais dans mon imaginaire de petite fille, il m’était impossible de me dissocier de Lex, je pensais sottement qu’il serait toujours là à mes côtés sans penser qu’un jour il disparaîtrait, qu’un jour je le perdrais. » J’ai eu connaissance de l'existence de Lex par l’intermédiaire de ton père, il m’avait parlé de ce jeune homme qui était pour lui la cause de tous tes maux. Bien entendu il était tellement plus facile pour lui de rejeter la faute sur autrui sans remettre en cause sa propre attitude. Il ne s’est jamais demandé pourquoi tu réagissais tellement mal au départ de Lex, il pensait sottement que le faire disparaître arrangerait tout mais au contraire, il a créé entre vous un fossé auquel il faudra énormément de temps et d’effort pour être comblé. « Enfant c’était merveilleux, on ne se posait pas de questions on vivait au jour le jour se délectant de plaisirs simples. Puis on a grandi. Ce n’était pas quelque chose que nous avions prévu, ça me semblait naturel, l’évolution parfaite de notre amitié. C’était beau, tendre et doux. J’avais le ventre noué à chaque sourire, des palpitations à chaque toucher et des étoiles à chaque baiser. On était jeune sans doute beaucoup trop, je ne savais pas ce que je faisais, je me laissais guider par lui en toute confiance. Il était plus âgé et sans doute beaucoup plus expérimenté que l’adolescente de treize ans que j’étais. mais je m’en foutais. Ce que je voulais c’était lui faire plaisir, c’était vivre cet amour d’une manière que je n’avais jamais imaginé. Tout s’est passé vite, beaucoup trop vite. » Des larmes perlent sur tes joues mais tu continues à me faire part de cette vérité qui te blesse tant. « Avec du recul, je me dis que nous aurions dû attendre, faire croitre cet amour d’une manière plus censé, mais on s’est laissé happé, nous avons oublié tout ce que nous étions, tout ce que l’on aurait pu être pour un moment trop vite consumé. Ce n’était pas magique ni merveilleux. C’était maladroit et douloureux.Je regrette tellement. Si nous n’avions pas couché ensemble tout aurait été différent, tout ce que nous avions vécu n’auraient pas été en vain.» Je te réponds, un sourire encourageant t'étant destiné. « Tu ne peux et ne dois pas te blâmer pour cela, ce sont des choses qui arrivent et elles font dorénavant parties de ton passé. Vous étiez trop jeunes, c’est un fait, mais vous n’êtes pas les premiers ni les derniers à être maladroit en amour. Te faire souffrir et te rattacher à lui comme cela ne t’aidera pas à aller de l’avant. Il ne faut pas t’en vouloir pour une erreur de parcours. Tu as la vie devant toi et des erreurs tu en commettras à l’avenir. Il faut que tu apprennes à avancer sans lui » Le problème, c’est que tu ne voulais pas avancer, tu voulais continuer à te rattacher à lui, à te punir d’une certaine manière de l’avoir abandonné. « J’aurai pu l’oublier, j’aurai pu continuer à avancer mais après les erreurs que nous avions commises ma famille et moi, je ne peux m’y résoudre » Intriguée je te demande de continuer « L’idylle fut courte, morte avant même d’éclore. Nous avons été surpris par la gouvernante, j’aurai tellement voulu que les choses se passent différemment, que mon père accepte ce que nous étions, que des enfants. Il fut vite au courant ainsi que mes grands-parents et évidement la nouvelle fut une véritable catastrophe. J’avais peur, j’étais angoissée et lâche, je n’ai rien fait pour éviter ce qui allait arriver. Lex et sa mère furent convoqués par mon père et ce fut sans aucun doute le moment le plus horrible de ma courte existence » Je t’écoute sans trop savoir quoi penser, je te sens troublée sans pour autant en connaître la cause. Petite fille trop vite grandi, j’ai devant moi une femme en perdition. « Les souvenirs sont sombres, embrumés sans doute pour atténuer la douleur qu’ils m’ont causé. J’entends des cris, je revois des regards emplis de déception et ses opales meurtries. J’ai longtemps mis le blâme sur mon père. Il les a traîné dans la boue sans remords, effaçant les dix années passées ensemble. Et je l’ai regardé sans rien faire. Je l’ai regardé remuer de lourdes peines, je l’ai regardé mettre fin à notre relation. Mais celle à qui j’en veux à présent c’est moi. C’est à cause de moi que Lex dû mettre fin à ses ambitions, à cause de moi qu’ils se retrouvaient à la rue, à cause de moi que l’on traitait de paria et le comparait à son père, un ancien prisonnier. Durant le long je n’ai rien dit, j’ai baissé les yeux alors que les siens étaient posés sur moi. A ce moment je le sais, je l’ai perdu. Ce que sa mère et lui sont devenus par la suite, je ne le sais pas. A vrai dire, je ne me sens pas le droit de savoir. En ne m’interposant pas, j’ai mis fin à tous mes droits de de regards sur Lex. C’est un peu la punition que je m’inflige : ne pas oublier, vivre avec cela sur la conscience. Parce que je sais que mon père n’en est surement pas resté là. Il avait tellement de colère en lui depuis le décès de ma mère, qu’il lui fallait une cible, un moyen d’éradiquer sa frustration. « Tu ne dois pas t’en vouloir, tu n’avais que treize ans et face à ton père ainsi que tes grands parents, il n’est pas aisé de s’interposer. Leur réaction est sans doute exagérée mais ils l’ont fait pour toi, il voulait t’éviter de t’engager dans quelque chose de trop grand pour toi. Lex t’en a surement voulu, mais les choses ont évoluées et le temps a guéri certaines blessures. » Pour dire vrai, je ne sais pas ce qu’il en est, si ces dites blessures ont bien eu le temps de cicatriser. Cette histoire peut arriver à n’importe qui, mais les gens aisés ont le don d’exagérer et d’envenimer les choses rendant les situations les plus simples en véritables tourments pour les protagonistes. « Guérie, je ne pense pas l’être. Je ne sais pas si l’on se remet vraiment du manque. J’ai pratiquement passé toute ma vie avec Lex et sans lui le quotidien semble dérisoire, triste et routinier. Je vis voilà ce que je fais parce que malgré tout j’aime la vie, je sais à quel point elle est précieuse. J’ai demandé à changer d’air, je voulais voir le monde, l’atmosphère a la maison était tendue et je ne me voyais pas évoluer dans de telles conditions. La Suisse était réputée pour ses contrées verdoyantes, son air pur et ses prestigieuses écoles, mon choix fut vite fait. Me voilà depuis trois années ici, l’Angleterre me manque parfois mais je me sens bien ici. » « Si bien que je crus comprendre que tu avais également quelques problèmes d’addiction, tu sais que la drogue, l’alcool et les médicaments ne sont pas une solution n’est-ce pas ? » Tu lèves les yeux au ciel et je découvre la Leigh de seize ans, la fille aisée et aventureuse. « Oui mon père voulait que je fréquente les jeunes de mon milieu et c’est ce que j’ai fait, je me plais dans ce style de vie, j’aime m’amuser, danser, boire, c’est ma façon à moi d’oublier, de vivre la vie que j’aurai dû vivre si tout ceci ne s’était pas passée. Je vous ai raconté ce que je n’avais osé dire à personne, j’écoute vos conseils mais les choix sont les miens.»
# Partie III. Nos espoirs retrouvés
« Joyeux anniversaire ! »Tu as vingt-et-un ans aujourd’hui, tu resplendis et c’est avec un regret certain que je n’ai pas vu le temps passé. Tu as grandis si vite, devenant une jeune femme surprenante, audacieuse et souvent difficile. Ta mère aurait été fière de toi, tout comme je le suis même si les mots restent suspendus à mes lèvres. Je m’en suis voulu durant ces années où je n’ai pas été là pour toi, mais je ne savais comment être un bon père. J’ai fait les choses qui me semblaient justes même si elles t’ont causés des peines que j’entraperçois que maintenant. Tu as su effacer Lex, ou du moins c’est l’image que tu laisses transparaître. Tu es redevenue la jeune fille ambitieuse, pleine de vie et souriante que tu étais mais je sais qu’au fond tu portes des cicatrices dont je suis l’auteur. Des cicatrices que tu laisses saigner à coup de cachets. Cependant c’est avec fierté certaine que j’ai appris ton retour en Angleterre après des études en Suisse et une licence à Paris. Te voilà de retour prête à prendre d’assaut Oxford ! « J’ose à présent espérer que nous bâtirons des liens solides en laissant le passé dernière nous » Tu me souris, cela faisait longtemps « Oui, moi aussi papa »
Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Oxford est une merveilleuse université, emplie de charmes et de traditions. C'est avec une certaine fierté que tu arpentes ses couloirs en quête de connaissances mais aussi avec une certaine excitation face à la vie exaltante et débauchée qu'offre l'institution. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Un bon verre de scotch. Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Le sexe c'est humain, animal, une nécessité que tu assouvis avec plaisir quelque soit le sexe de ton partenaire Tu te complais dans ces luxures charnels. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Abandonner ton meilleur ami sans un mot alors qu'il avait horriblement besoin de toi. Ne pas t’être battu pour lui alors qu'il l'aurait fait sans la moindre hésitation. Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ?Cela te donne quelques sueurs froides, tu as tellement de choses à cacher. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle?Tu as quelques problèmes d'addiction, du coup te te mords souvent les lèvres en signe d'impatience et de nervosité.
pseudo/prénom Sly-C ou Cindy. âge 21 ans lieu d'habitation Ile de France où as-tu connais le forum Via PRD, j'ai longuement suivi le projet ! t'en penses quoi? Il déchire ! Scénario ou Inventé? Inventé un dernier mot? J'ai hâte de pouvoir jouer avec vous et je m'excuse pour ces horribles contre-temps!
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[b]Caitlin Stasey[/b] ✗ E. Leigh Stanford
Dernière édition par E. Leigh Stanford le Ven 16 Jan - 22:57, édité 24 fois |
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