[Chez Caitlyn&Thom] Que fais tu mon grand bébé ?

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Cait' ∞ Thom'

Que fais tu mon grand bébé ? ♥

C'est une bien triste journée de fin d'hiver qui se lève en ce jour, je grimace en voyant la pluie coulée contre les fenêtres de mon infirmerie tandis que je traite un élève qui est tombé dans les escaliers et s'est coupé le genoux, je lui souris chaleureusement une fois fait et observe l'heure, dix-huit heures il est grand temps de partir et rentré enfin à la maison où je pourrais retrouvé mon enfant, Thomas un brillant jeune homme de vingt deux ans qui représente mon monde tout entier voir même ma vie toute entière et ce n'est pas peu dire. J'enfile mon manteau et attrape mon sac à main alors que je quitte et verrouille l'infirmerie pour le restant de la journée, fort heureusement c'est le weekend ce soir et je compte bien profité de mon enfant pendant le weekend, en ce moment nous ne discutons que peu chose qui m'inquiète énormément, d'habitude, nous sommes très complices, nous parlons de tous les sujets impossibles et inimaginables et nous plongeons dans le regard de l'un et l'autre heureux comme ça... A cette pensée je souris tandis que j'arrive chez moi et vois un gamin d'une vingtaine d'années sortir de chez moi me fixé droit les yeux, rougir puis s'enfuir dans la direction opposée. Qui est ce gamin, que faisait il chez moi et surtout quel est son foutu problème ? pensais-je, d'ors et déjà énervé. Je rentre alors dans ma maison accueillie immédiatement par mon chien qui aboie gaiement et vient me faire un câlin. « Alors mon toutou, on a passé une bonne journée ? » Bien sûr, je ne m'attends pas à ce qu'il me réponde ce serait certainement trop tordu mais je fais partie de ce genre de personnes qui osent parlé à leurs animaux sans pourtant qu'on me prenne pour une folle furieuse et je pense avoir raison, non ? A cette pensée je me mords la lèvre retire mon manteau que je dépose sur une chaise et monte dans ma chambre où je pose mon sac à main, lorsque je me dirige vers la chambre de Thomas j'ai une pointe au cœur, en ce moment c'est délicat entre nous et je le sens cet intrus qui était chez nous il y a encore quelques minutes étaient précisément avec mon fils, il va devoir me donné des explications maintenant. J'acquiesce simplement en pensant à tout ceci et tape à la porte de sa chambre. « Thomas, tu es là ? » Naturellement, je reste figé devant la porte attendant bien patiemment qu'il ose me répondre et par la même occasion qu'il m'invite à entré...

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Que fait tu mon grand bébé
Cait & Thomas ~

Vous savez ce qui est bien dans le fait de vivre non loin, de l'endroit ou vous faite vos études ? C'est qu'au niveau trajet, c'est rapide. Et ce matin-là, je n'avais pas de temps à perdre. J'étais une fois de plus à la bourre. S'il y a bien un jour ou il faut que je soit ponctuel c'est bien aujourd'hui. Avec un pote, on devait montrer à toute la classe et au professeur de technique cinématographique, un exposé sur les caméras au fil du temps. J'arrive juste à temps pour entrer en classe, je place à côté de mon coéquipier :

« Salut Alex »
« Thomas, bon sang, tu arrives maintenant ? Je croyais que tu allais le lâchais, on devait revoir tout avant la cours »
« Désolé contre temps
« oui, c'est ça ton oreiller ne voulait pas te laisser partir »
« Exactement »

Je lui décochais un sourire alors qu'on prenait place. Alex sûrement l'un des personnes sur qui je peux le plus compter. Sympa et toujours prêt à m'aider, mais entre juste de l'amitié. Il est hétéro et de plus, il n'est pas mon genre. Pour l'exposé ont sorti bien, décrochant une note satisfaisante, ma mère va être contente, je pensais passer à l'infirmerie pour le lui dire, elle est infirmière ici, mais je me ravisais, on en parlerait plus tard là elle doit avoir du boulot.

La matinée fut vite bouclée et moi pouvait rentrer, je n'avais pas court cette après-midi. À peine, la porte passée que le chien de la famille vint vers moi battant de la queue heureuse de me voir :

« Salut mon gars, pas fait de bêtise ? Non pas toi, tu es trop gentil »

Oui comme ma mère, je parle aux animaux, pas sûrs qu'il comprenne, mais voilà défaut de famille. Notre chien qui est celui de la famille, est une brave bête, j'aime à croire que le chien est à moi et que je suis son unique maître, ça gamelle était pleine, mais il trépignait sur place. Je savais ce qu'il voulait, j'attrapais la laisse, je lui mis et on sortit pour une promenade a travers le quartier.

Une heure après on était de retour, le pauvre partit directement dans son panier pousser un somme. De mon côté, je partis en quête d'un truc à grignoter quand on sonna à la porte, je partis ouvris et avant même voir qui est là:

« Non Alex, je n'ai pas ton livre de... géo"
"Euh non moi c'est Mattéo"
« Oui, je sais, je ne t'attendais pas si tôt »
« Tu m'as dit passer après les cours, j'ai fini y environs 10 mn »

Matteo l'un des garçons du bahut qui est comme moi, on aime les garçons, l'avantage de ce garçon, c'est qu'il est mignon et ne se cache pas. C'est lui qui est venu me parler en premier, au fil des mois, on a sympathisé avant de décider de prendre du bon temps.

« T'as chien ? Cool, alors mon beau, tu es fatigué »

Je lui donnais son verre qu'il but d'un trait, puis se tournant vers moi, il m'embrassait, fort plaisant :

« Je ne suis pas venu ici pour boire un coup et voir ton chien, où est ta chambre »

Il n'en fallut pas plus pour gravir les escaliers et finir en moins de cinq minutes au lit. Nos corps s'accordaient à la perfection, nos ébats nous procurer autant de plaisirs qu'escomptait. Il se leva et dans la lumière baissant du jour, il ressemblait à un dieu grec descendu de l'olympe, il me tournait le dos, il regardait par la fenêtre. Je me délecter du spectacle, puis m'étirait, il fit volte face un sourire aux lèvres et là, j'étais aux anges le spectacle qu'il m'offrait me plaisait encore plus, j'attrapais mon portable par réflexe et voyant, je lui dis

« Mince remet tes fringues, ma mère va débarquait d'une minute çà l'autre si elle te chope ici, on est mal »

C'est la première fois que je vois une personne se rhabiller si vite. Plus vite qu'une fois, il sortit en trombe de la chambre dévalait les escaliers et disparut derrière la porte d'entrée. J'étais en train de me vêtir quand on frappait à ma porte ma mère :

« Oui euh deux minutes »

*On referme le lit, mon pantalon voilà, c'est bon. Un dernier regard, c'est bon.*

J'allais ouvrir, un sourire forcé aux lèvres :

« Maman, déjà rentrée, il est déjà si tard... Tu as passé une bonne journée, si on allait en bas ? »

Je sortis de ma chambre refermant la porte derrière et prit les escaliers vers le salon essayant d'éviter un maximum son regard.

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Cait' ∞ Thom'

Que fais tu mon grand bébé ? ♥

En arrivant chez moi j'ai eu la surprise de voir un jeune homme d'une vingtaine d'années partir en courant de mon lieu de vie c'est le genre de choses que je ne supporte pas, savoir que mon fils fait des grosses conneries et fait venir à la maison des personnes que je ne connais sans même me demandé mon avis, oui, ce genre de choses me désespère et dans ces moments-là je m'efforce de ne pas hurlé sur lui car oui dans l'idée c'est la seule chose que je souhaite faire, pour l'heure je décide de me taire et rentre pénardement à la maison après la dure journée de travail que j'ai eu, c'est vraiment délicat, je ne sais pas encore comment abordé ce sujet et donc en discuté avec mon fils afin qu'il me donne des explications, je ne souhaite pas me prendre la tête ça ne rime à rien et mon fils a toujours pensé la même chose que moi. A cette pensée je soupire et reste dans le salon quelques instants tandis que je réfléchis à ce que je peux faire et dire à mon fils, bon, j'espère juste qu'il n'a séché les cours pour passé du bon temps avec ce garçon sinon, effectivement, je vais devoir hurlé car ce genre de choses je ne l'accepte pas et ça ne va pas changé. Soupirant une fois encore je retire mon manteau et le dépose sur une chaise tandis que je monte jusqu'à l'étage et dépose mon sac à main dans ma chambre, assise sur mon lit je réfléchis une fois encore à la meilleure manière d'abordé les choses, car oui, dans l'idée tout ceci me bouffe, voir mon enfant merdé à ce point dans sa vie me désespère et je m'ose à espéré qu'il va changé un jour ou l'autre avant qu'il ne soit trop tard. A cette pensée j'acquiesce simplement et parviens à sourire ce qui est limite un gros effort de ma part, je tape à la porte de la chambre de mon fils attendant bien patiemment qu'il me propose d'entré, une fois fait je l'embrasse sur la joue tandis qu'il me propose de descendre en bas. « Excellente mon fils, vraiment excellente bien que très épuisante mais descendons en bas pour en discuté plus simplement ce sera forcément mieux ! » Je m'efforce d'adopté un ton simple et calme afin de ne pas trahir ma colère, autant repoussé à plus tard cette conversation qui ne va pas tardé, à cette pensée je me félicite intérieurement et descends les escaliers en même temps que mon fils, une fois en bas je me serre un verre de vin et me tourne vers mon fils. « Tu veux boire ou mangé quelque chose ? » A ses mots j'attends sa réponse bien patiemment dans la cuisine et commence à boire mon verre de vin qui est tout bonnement délicieux. C'est mon rituel d'après le travail, je rentre à la maison je retire ma veste, va dans ma chambre déposé mon sac à main, passe par la chambre de mon fils et l'embrasse sur la joue et descends boire mon verre de vin.

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