(inachevé) Un dérapage émotionnel [PV Luna] [HOT]

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Cela faisait déjà quelque séance que je supportais ma nouvelle psy, en remplaçant de la vieille qui s’occupait de mon cas. Cela me faisait bizarre d’avoir une vraie bombe comme psy, elle était belle et charmante, mais elle avait un si beau cul. Je l’avais déjà croisé sur le campus, mais elle ne devait pas m’apercevoir. La seconde séance, j’étais encore réticent à lui parler de moi, de mon passé, car c’était assez délicat. Avec l’ancienne cela avait fini par mettre 5 séances avant que je ne sois plus coincé avec elle et que je déballe plus sur moi. Avec celle-là, qui avait presque mon âge, pouvoir lui parler de moi était encore plus difficile. Nous avons convenu une séance après mes cours, car cette fois elle n’aurait pas la contrainte du temps pour la séance et savait que je ne pourrais pas prétexter la présence de cours pour me barrer. J’arrive une nouvelle fois au bureau devant la vieille pie et me dit qu’elle m’attend, en même temps je devais être son dernier patient de la journée. Forcément qu’elle devait m’attendre, j’étais venu directement après mes cours afin de ne pas être en retard cette fois ci. Cela devrait lui faire plaisir, j’entre dans la pièce et la voit assis à son bureau : « Bonsoir doc, réglons ça au plus vite, je commence à avoir faim après ces cours. » Je m’allonge sur le divan et en plus j’étais fatigué de ma journée, du coup elle devrait être tranquille, je ne serais pas méchant pour cette séance sauf si elle me provoque. Je la regarde sur son bureau, toujours aussi canon, même le soir elle l’était.

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Luna ∞ Luckas

Un dérapage émotionnel

Les semaines sont passées à toute allure depuis ma première rencontre avec Luckas, désormais il ne comporte plus autant en salaud il lui arrive encore de faire des petits commentaires sur mon âge ou sur ma beauté mais rien de plus, il est acceptable dirons nous pour l'instant je le supporte et me fais une raison ce qui est fort bien encourageant n'est-ce pas ? A cette pensée j'acquiesce simplement alors que je souhaite une bonne soirée et un excellent weekend a mon avant dernier patient de la semaine, il était temps que ça se termine désormais je vais pouvoir soufflé un bon coup et passé aux choses sérieuses. Comme on peut s'en douté, lorsque je dis les choses sérieuses j'entends Luckas, étant donné que je devrais le voir dans quelques minutes je grimace quelque peu espérant qu'aujourd'hui encore il va se comporté bien et ne pas me prendre de haut car je déteste lorsqu'il fait ça. Je grimace à cette pensée alors que j'entends un claquement contre la porte, c'est lui j'en suis sûre. « Entrez. » Ces mots sortent de ma bouche comme si j'étais heureuse alors qu'en fait je ne le suis pas du tout, à vrai dire je suis paniquée et plus que stressé par ce nouveau rendez vous. Disons que Luckas ne m'aide pas vraiment à me sentir à l'aise de ce fait je galère avec lui et les rendez vous sont toujours une épreuve pour moi mais je reste professionnelle et souriante et garde pour moi ce que je pense de lui. Il fini par s'allonger sur le canapé en face de mon bureau et me fixe avec attention me racontant sa petite vie au passage. « Et mis à part votre envie de mangé, Luckas, comment allez vous en ce jour ? » Comme dit je m'efforce de resté professionnelle et souriante de ce fait j'affiche un grand sourire poli et presque charmeur sur mon visage ce qui lui plaira certainement...

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J’avais une séance avec Luna, cette apprenti psy qui m’emmerder un peu à faire genre qu’elle avait le niveau d’être une vrai psy. M’écouter et essayer de m’aider, cela n’était que des foutaises. Tout ce qu’elle savait faire c’était de griffonner des notes et lire ce qu’il y avait sur mon dossier que l’ancienne avait sur moi par rapport à l’institut. Je savais qu’elle en chiait avec moi et cela me plaisait de la faire galérer. Cela la ferait bien progresser d’avoir un mec aussi chiant que moi parmi ses patients. J’étais entré comme je l’avais fait l’autre fois et m’installa sur le divan disant que j’avais faim. Je croise les jambes et pose mes mains derrière la tête : « La journée a été chiante, les filles soulantes et les profs assez stressant, mis à part ça je suis un peu crevé. » Je la regarde du coin de l’œil, toujours aussi canon « vous êtes toujours aussi belle vous par contre, et dire qu’on je vous ai croisé l’autre jour et vous m’avez même pas vu, quelle dommage on aurait pu boire un café ensemble. Je suis sûr qu’en dehors de ce bureau vous êtes adorable comme femme. » Je soupir et regarde le plafond que j’avais l’habitude de voir. Je m’assois sur le divan lui faisant face « alors vous comptait encore gribouiller sur ce carnets ou vous vous approchait afin que l’on discute mieux ensemble. Je ne vous mangerais pas enfin cela est très tentant en réalité. Sauf qu’il faut rester professionnel. » Je la regarde de façon assez gentille afin de l’embêter, je me mords la lèvre en la regardant. Je me recouche sur le divan et ferme les yeux attendant de ce qu’elle pourra répondre, je sais qu’elle me répondra de façon assez maligne, vu que c’est ce qu’elle était, une femme intelligente.

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Alors que ce jeune homme arrive dans mon bureau il s'installe tout bonnement sur le canapé et me fixe avec un regard plein d'ennui, je m'installe sur un fauteuil juste en face de lui et prends des notes acquiesçant à chacune de ses nombreuses paroles tandis qu'il m'explique combien sa journée fût ennuyeuse, je compatis pour lui mais je n'en dis rien. Après tout, s'il souhaite faire le métier dont il rêve il est bien obligé d'en passé par là, de ce fait je ne le plains absolument pas et me contente d'acquiescer à ses paroles alors qu'il m'annonce qu'il m'a vu il y a de cela des jours en dehors du bahut dans la rue mais que je ne l'ai pas aperçu, je relève la tête et me mords la lèvre, Bon Sang, que cherche-t-il ? Me tenté ? C'est déjà le cas, j'ai honte de l'admettre mais je fantasme sur ce garçon et sur ce qu'il serait capable de me faire, car oui, lors de notre premier rendez vous tout comme les autres il m'a clairement fait comprendre qu'il avait des idées plein la tête, depuis je ne pense qu'à ça. « Et bien, merci pour ces charmants compliments ça me change de ce que vous me dites d'habitude en tout cas. Et, croyez le ou non mais si je vous aurais vu dans la rue ce fameux jour j'aurais peut-être bien accepté d'aller boire un verre, qui sait, peut-être est-ce de ça dont vous avez besoin, parlé en dehors du bahut je veux dire... » Je me surprends moi-même a lui faire du rentre dedans, ce n'est pas bien et je le sais mais pourtant je compte bien continuer il n'y a que comme ça qu'il s'ose à parlé alors... J'acquiesce à cette pensée alors qu'il me demande de me rapproché de lui au lieu de gribouillé dans mon carnet, je relève la tête et rougis en l'entendant me faire des sous entendu encore une fois et je finis par venir m'installer sur le canapé à ses cotés, il a des envies à ce que je vois, mais qu'il ne me cherche pas je ne vais pas le loupé. « Vous êtes satisfait maintenant, Luckas ? Je suis suffisamment proche pour que vous vous osiez à me parlé de tout ce qui vous dérange maintenant ? » Je me mords la lèvre alors que je le fixe droit dans les yeux et baisse la tête aussitôt en voyant son regard se posé sur moi, il a des idées en tête et je le sais bien chose qui me gêne encore plus....

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J’étais sur le canapé et je lui contais a quel point ma journée était des plus ennuyeuse, bon cela devait être ainsi, car les cours ne sont pas fait pour vous donner le sourire. Enfin bref j’avais plus que cette séance et je pourrais aller me poser sur mon canapé et manger un morceau avant de me replonger dans mon texte de Simmel. Ce mec me tuer en fait, c’était tellement chiant, mais enfin j’étais face à une beauté fatale alors autant en profiter. Je lui faisais un peu du rentre dedans lui disant que je l’avais aperçus mais pas elle, elle me remercia de mes compliments et disait qu’elle aurait pu accepter ce verre. Cela était intéressant, elle n’était pas coincé en fait, je la pensé plus réservée que cela, je fis genre que je réfléchir et finit par lui avouer « parler de moi en dehors de ce bureau est assez délicat j’ai envie de dire. Je suis assez mystérieux sur mon passé voyez-vous. En plus je sais que vous êtes ma psy, possible que cela marche encore moins en fait. » Je fais un petit sourire un peu gêné. L’idée de boire un café avec elle m’enchante, mais si c’est pour parler de moi, cela n’était pas drôle. Je lui demande ensuite de venir s’asseoir près de moi au lieu de gribouiller. Etonnamment elle finit par venir s’asseoir a côtés de moi, cela me fis sourire. Elle me demande si je suis satisfait de la voir proche de moi « entièrement satisfait, cela me permet de voir la couleur de vos yeux et puis… » Je finis par me rapprocher d’elle : « vous voir vous mordre la lèvre me fais frissonner alors arrêter sinon je vais devoir paraitre pour un fou… » Je souris et lui caresse la joue, mais je m’éloigne un peu afin de pas trop la perturber « j’aime mieux ce rapprochement que vous de vous voir derrière ce bureau, le contact est meilleur. »

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Un dérapage émotionnel

Cela ne fait pas dix minutes qu'il est dans mon bureau et le voilà qui commence déjà à me faire du rentre dedans a force j'ai finis par m'y habituer ce garçon est un dragueur rien de plus et il n'a aucune limite, que je sois sa psychologue ou une simple étudiante ça ne change rien pour lui, je lui plaît et il a des envies donc il le montre, c'est son truc à ce Luckas. Pas que ça me dérange, non certainement pas à force j'ai fini par accepté qu'il est comme ça et ce n'est pas comme si je recevais beaucoup de compliments alors je les accepte avec un grand sourire, je dirais même qu'a force de l'entendre me parlé je ressens de la sympathie pour ce garçon même si parfois il peut se montré odieux envers moi et je finis en général au bord des larmes, mais ça bien sûr c'est une toute autre histoire.... « Vous savez, je ne parle pas que de boulot lorsque je sors de cette pièce ou tout simplement de cet établissement je montre réellement qui je suis alors ce petit moment dans un bar n'aurait pas été fait uniquement pour parlé de vos soucis croyez moi je sais faire autre chose qu'écouter les gens me raconté leurs problèmes du moment... » J'ignore encore pourquoi j'ai ce besoin de me justifié face à lui mais en tout cas et je le fais et ça ne me déplaît pas, bien au contraire... Je l'entends me dire alors qu'il est satisfait que je me sois installé à ses cotés et tout d'un coup il se rapproche de moi et me dis qu'il vaut mieux que je cesse de me mordre la lèvre parce que cela risque de le rendre dingue, je fais les gros yeux et rougis tout en baissant la tête... « Vous rendre fou ? Vraiment ? Et bien dans quelle genre de circonstances risquez vous de devenir fou rien que parce que je me mords la lèvre Luckas ? » Je m'efforce de ne pas le regardé dans les yeux il me déstabilise et il en est pleinement conscient c'est justement ça le pire dans toute cette histoire. Je décide de me reprendre alors qu'il m'avoue qu'il me préfère là près de lui plutôt que moi derrière mon bureau, je relève légèrement la tête et lui fais face. « Meilleur, ah bon ? Pourquoi au juste ? » Il cherche à me dragué aujourd'hui ou bien ? En tout cas ce n'est certainement pas le lieu ni le moment et comme un imbécile je me laisse faire, je risque d'avoir des emmerdes si ça se sait mais je ne parviens pas à lui résisté c'est bien ça le problème. « Et a part ça, comment s'est passé votre semaine Luckas, racontez moi tout c'est important que je sache comment vous vous sentez ... » J'essaie de changé quelque peu de sujet afin de ne pas pensé à ces moments où il me drague, tant qu'il ne fait pas la moindre approche envers moi tout ira bien, en attendant me voilà près de lui, nos cuisses ne sont qu'a quelques centimètres l'une de l'autre et je suis quelque peu tendue...

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J’étais chaud on dirait je commence déjà à lui faire du rentre dedans, enfin pourquoi se retenir elle est tellement bonne cette fille. Fallait bien que je m’amuse un peu vu la journée merdique que j’ai eu aujourd’hui. Savoir qu’elle ne parlait pas que psycho était intéressant, c’est vrai que c’est une femme comme les autres oui, mais bon je la voyais un peu plus coincé en fait : « eh bien quand je vous reverrais hors de ce bureau je viendrais vous le proposer ce café, on verra de quoi parle le doc quand elle reste juste une simple étudiante en psychologie. » j’étais content qu’elle se soit assise à côtés de moi, cela faisait un rapprochement en quelque sorte. J’étais satisfait, je me rapproche d’elle lui disant qu’elle devrait stopper, car cela me rendait dingue, comme si elle me cherchait en quelque chose, puis sa question : « je ne répondrais pas à cette question doc. Cela est personnel. » Elle ne me regarde pas, je savais que cela lui faisait de l’effet que je sois comme ça et ça m’amusait beaucoup. Je rigole alors que je lui disais que c’était meilleur de la voir ici « eh bien on peut se parler en face, y a pas de distance ici au moins. C’est comme si on était deux adulte en train de parler dans un salon. » Je voyais que cela la gênait un peu, puis sa manière de détourner les choses avec sa questions : « Elle a été tranquille, remplie de cours, d’ennui et d’occupation. La routine on va dire. » Je me rapproche d’elle, nos cuisse se touche, je la cherchais bien. Je pose mes mains derrière moi « là j’ai plus l’impression qu’on est deux jeunes et non pas que vous soyez ma psy enfin une pseudo psy on va dire. Vous faites ça relativement bien je trouve, on sent que vous aimez ça. » Je la regarde dans les yeux afin de voir ses réactions, on étudie l’homme dans ma matière. Cela est simple de comprendre les réactions des gens à force. Les expressions que j’avais l’habitude de voir était la pitié et la tristesse, mais chez elle cela semblait diffèrent, elle avait semble-t-il un passé douloureux aussi.

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Situation quelque peu embarrassante pour moi mais tout de même très agréable, je mentirais si je disais le contraire, il peut se montré charmant comme désagréable au plus au point et parfois même vexant mais ça reste un jeune homme qui a des problèmes et comme on peut s'en douté je ne lui en tiens pas rigueur sinon j'aurais demandé à l'un de mes collègues de se chargé son cas, chose que je n'ai pas faite, bien au contraire.... J'acquiesce à cette simple pensée alors qu'il continue ses sous entendu et me propose limite d'aller boire un café. « Nous verrons cela si l'occasion se représente, croyez le ou non je n'ai pas pour habitude d'aller boire un verre comme ça avec mes clients mais bon après tout j'ai vingt quatre ans et je fais encore des études alors bon... » Il est mauvais pour moi de me laissé emporté par mes sentiments de la sorte mais pourtant je le fais et ça ne me déplaît pas, à lui non plus d'ailleurs. Il ne cesse de me dragué tant et plus ajoutant au passage qu'il aime ce rapprochement qui s'est fait entre nous, j'acquiesce à ses paroles toujours en baissant la tête, son regard me déstabilise au plus haut point. « Ah oui je vois ce que vous voulez dire par là maintenant. » Je décide alors de tourné vers un autre sujet de discussion afin de me détendre et pensé à autre chose en lui demandant comment s'est passée sa semaine, sa réponse ne se fait pas attendre. « Je vois, et le moral ça va ? Vous vous sentez bien ? » Je lui souris alors qu'il me regarde droit dans les yeux de toute évidence afin de voir comment je réagirais et colle sa cuisse contre la mienne, il me cherche pensais-je, c'est vraiment délirant.. Je me force tout de même à le regardé dans les yeux tandis qu'il recommence à me faire des sous entendu. « Que j'aime ça ? C'est à dire ? Et on est jeune tous les deux, je suis à peine plus âgée que vous et vous ne l'ignorez pas vu que vous me rappelez sans cesse mon inexpérience avec joie... » La question que je me pose en cet instant est s'il est possible qu'il puisse se comporté bien pendant ne serait ce qu'une séance au lieu d'être tout le temps un foutu emmerdeur qui passe son temps à me rappelé que je suis une gamine qui n'a rien à foutre ici sur ce fauteuil auprès de lui ? Oui, je me pose la question car il me déstabilise ...

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Cela m’amusait un peu notre petite séance, qui ne se déroulait pas comme il devait se dérouler. J’étais un peu plus chiant que d’habitude, normal vu la journée que j’ai eu. Je la provoquais un peu et cela semblait bien marcher vu qu’elle me répondait. Je sentais qu’on allait pouvoir bien s’amuser pendant cette séance, je lui dis que ce café devrait être mis en avant, je savais que cela ne devait pas être dans ses habitudes. Je suis un peu dans son travail, mais bon comme elle dit nous sommes tous les deux jeunes : « Nous ne sommes pas amis alors cela peut-être considérer comme un petit extra de ce qu’on a pas pu faire durant la séance, un oubli de ma part ou alors une excuse pour vous parler… » J’avais toujours des excuses pour obtenir ce que je voulais. La voir si près de moi était agréable, j’avais pour habitude de voir une psy assez éloigné de moi comme si j’étais contaminer, mais là non elle était proche. Elle me demande ma semaine, je lui fais un petit résumé et me demande ensuite si mon moral allait : « mon moral ? Je ne vais pas bien seulement quand la date des anniversaire de mes parents approche ou le jour de notre accident… Autrement mon moral va bien, je suis comme les autres étudiants. » Je me rapproche encore plus d’elle afin de voir sa réaction. Je continue bien sûr à la chercher un peu : « Je n’ai pas encore le truc sur vous, j’ai rarement parlé de moi a des personne de mon âge, j’ai toujours eu affaire à des personnes qui avait l’âge de mes parents… » Mais aujourd’hui elle semblait se rebeller et ça me plaisait : « ta l’heure vous me demandiez dans quelles circonstance je pouvais devenir fous, en fait… » Je me lève un peu et me met à califourchon sur elle et attrape son visage pour l’embrasser tendrement. Attrape ses mains pour les entrelacer avec les miens et la pousse sur le divan tout en continuant de l’embrasser. Je me colle bien contre elle gardant ses mains dans les mienne les mettant au-dessus de sa tête. J’arrête deux seconde le baiser et le reprend aussitôt caressant sa langue avec la mienne.

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Il semblerait qu'il prenne du plaisir à me mettre à l'aise en tout cas il réussi avec brio et peut en être fier si c'est effectivement ça qu'il veut, je me mords une nouvelle fois la lèvre à cette pensée alors qu'il recommence à me parlé de ce fameux café qu'on pourrait aller boire ensemble s'il me recroise dans la rue, j'acquiesce à ses paroles. « En effet cela peut être une idée, on verra bien si l'on se recroise dans la rue ou pas en tout cas on verra... » Il me déstabilise tellement que je n'arrive plus à formulé une seule phrase normale dans ma bouche, je bégaye, génial... Afin de me remettre les idées en place je lui demande alors comment il se sent, il me répond qu'il va bien et qu'il ne se sent mal que lorsqu'on arrive aux anniversaires de la mort de ses parents, je grimace à ses paroles quelque peu mal à l'aise d'avoir posé la question. « Je suis désolée, je n'aurais certainement pas du posé la question mais j'avais besoin de m'assurer que tout allait bien pour vous.. » Je le fixe intensément et rougit quelque peu ce qui ne le laissera certainement pas indifférent mais pour l'heure je m'en fou, si je suis gêné c'est en grande partie à cause de lui qui fait exprès de s'approcher de plus en plus de moi caressant ma jambe avec la sienne délicatement... « Oui, cela implique un certain changement pour vous de devoir parlé à une jeune femme d'à peine plus âgée que vous mais je pense que cela peut vous aidez aussi de me parlé, après tout à force de nous voir vous finissez toujours par parlé toujours un peu plus, c'est une belle avancée Luckas croyez moi... » A ces paroles j'affiche un grand sourire sincère tandis qu'il se rapproche de moi me faisant face par la même occasion et me murmure des paroles avant de venir vers moi et m'embrasser, je suis quelque peu surprise et pousse un petit cri de surprise et fini par me laissé faire.. Je sais que c'est mal, que je ne devrais pas me laissé faire de la sorte par un étudiant mais pourtant je suis envouté par ce garçon et le sentir là comme ça se collé contre moi tandis qu'il m'allonge sur le canapé et s'allonge à son tour contre moi tandis que nos mains sont entrelacées derrière ma tête... C'est mal c'est vraiment mal mais pourtant ça m'excite encore plus, à cette pensée je prolonge le baiser et laisse ma langue taquiné la sienne avec une extrême tendresse, le sentiment de se faire prendre n'en est que plus excitant et ça me plaît assez..

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Elle me demande finalement comment allait mon moral, il était toujours normal en fait sauf à certaine période de l’année, je lui en fais part et la vois s’excusé, cela n’était rien. Bien des gens me demandent des choses sur mes parents et quand ils apprennent qu’ils sont morts tous les deux chacun s’excuse. Oui j’ai personne chez qui rentrer durant les vac sauf ma grand-mère : « cela n’est rien, d’autres font bien pire… » Je me mis à lui caresser la jambe avec la mienne et cela semblait la faire rougir un peu. L’effet qu’elle me fait est assez dérangeant. On parle ensuite du fait de son jeune âge, mais comme elle dit cela m’habituera avec le temps : « avec le temps je m’y ferais, ne vous en inquiétait pas, j’en suis sûr et certains. » Je finis par totalement craquer en fait. Je finis par lui faire face et vint l’embrasser tendrement, je l’entends faire un petit cri de surprise et cela était excitant ce petit cri. Elle se laisse faire, cela était sans doute mal, mais elle avait des lèvres exquise. Je l’allonge sur le divan tout en maintenant ses mains en haut de sa tête. Cela était excitant la position dans laquelle elle est, puis sa robe est des plus sexy. Je continue de l’embrasser doucement et lui lâche les mains pour venir lui serrer les cheveux entre mes doigts. J’attrape les bretelles de sa robe pour les faire tomber sur ses épaules. Ma bouche descend sur son cou pour aller sur ses épaules. Je ressors un peu sa poitrine afin de venir y parsemer mes lèvres dessus attrapant sa chair avec mes lèvres. Je reviens l’embrassant fougueusement alors qu’une main remonte doucement le bas de sa robe. La voir comme ça m’excitait beaucoup. J’arrive a la remonter jusqu’à sa cuisse tout en caressant sa peau. Ma main s’y glisse en dessous afin de lui caresser l’intimité à travers le tissu de son string, je pouvais sentir mon érection dans mon jeans. J’arrête de l’embrasser et la regarde gémir sous mes attouchements « vous êtes belles comme ça. »

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Alors que l'atmosphère se réchauffe dans cette pièce je ne cesse de me mordre la lèvre pas pour le tenté mais parce que je suis gêné qu'il se rapproche autant de moi, il me déstabilise beaucoup à vrai dire et c'est vraiment gênant pour moi de me sentir autant attiré par un étudiant surtout lui alors qu'il peut se montré odieux à mon égard, vraiment méchant parfois et même vexant. C'est simple, la toute première fois que je l'ai vu j'ai eu les larmes aux yeux tant j'ai eu mal face à ses paroles et maintenant le voilà qui me fait du rentre dedans comme si j'étais une étudiante parmi tant d'autres, c'est quoi son problème au juste ? La vérité c'est que je ressens de la sympathie pour lui parfois et qu'à d'autres moments je le déteste tout simplement et c'est vraiment frustrant pour moi, il n'y a pas de juste milieu, non il n'y en a pas un seul.... Je me mords la lèvre une fois encore tandis que Luckas semble parfaitement détendu lui de son coté et me fais savoir qu'un jour ou l'autre il se sentira bien mieux avec moi ce qui me fais plaisir, j'esquisse un grand sourire et n'ajoute rien. Il fini par venir se collé contre moi collant ses lèvres contre les miennes, je ressens comme un choc électrique lorsqu'il m'embrasse c'est bien la première fois que ça m'arrive.... Il fini par faire tombé les bretelles de ma robe remontant ma poitrine qu'il embrasse avec douceur, je gémis sous ce contact vraiment très intense et le laisse faire tandis qu'il relâche mes mains que je place automatiquement dans son dos ainsi que dans ses cheveux prenant au passage appuie sur lui. Je pourrais le viré tout de suite, lui dire d'aller se faire foutre et de ne surtout plus osé me toucher mais je n'en ai pas envie, j'ai surtout envie qu'il continue de me touché et qu'il ne s'arrête sous aucun prétexte.... Je sens l'une de ses mains venir caressé mon string, sachant que je porte un porte-jarretelles en cet instant je me mords la lèvre caressant ses cheveux avec plus de puissance tandis qu'il cesse d'embrassé mes seins afin de revenir jusqu'à mes lèvres qu'il embrasse rapidement... Je le fixe intensément tandis qu'il s'arrête et me dis combien je suis jolie, je souris une fois encore et gémis en sentant l'un de ses doigts me pénétré. « Tu ne crois pas que c'est le moment de cessé le vouvoiement vu ce que tu me fais Luckas ? » Petite note d'humour mais tout de même, j'ai raison non ? Après tout il n'a plus aucune raison de me vouvoyer pour une raison toute simple nous sommes intimes maintenant....

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J’avais terminé par totalement craqué de la voir si proche de moi, elle était chiante, mais tout aussi ravissante en réalité. J’avais envie que d’une chose, voir ce qu’il y avait sous sa robe. Cela me faisais chier de venir la voir, mais en même temps j’en étais ravi. Parler de moi m’emmerder, mais je pouvais voir la beauté qu’elle était. Alors la voir se décoincer et venir proche de moi me fit quelque chose. Je ne pus m’empêcher de lui montrer en venant à califourchon sur elle et de l’embrasser doucement et la faire coucher sur le divan. Je fais tomber ses bretelles et remonte sa poitrine que j’embrasse avec envie. Je la relâche afin qu’elle soit libre de ses mouvements et sentir ses mains dans mon dos esquissa un sourire sur mon visage. Sa main dans mes cheveux est agréable alors que les miennes se font baladeuse se diriger vers son string que je m’amuse a caresse. Je l’embrasse rapidement, lui fais un aveu alors que je la pénètre d’un doigt, sa phrase me fit sourire « je trouve ça plus excitant de vouvoyer, pas toi… » Je viens défaire son porte jarretelle rapidement afin d’enlever son string doucement tout en la regardant. J’écarte ses cuisses afin qu’elle pose ses pieds à terre. Elle était complétement ouverte pour moi « maintenant vous allez pouvoir gémir mon prénom et dire à quelle point c’est bon… » Je me baisse vers son intimité et me met à lécher ses lèvres doucement. Remontant lentement vers son clito auquel je donne un rapide coup de langue avant de redescendre bien lentement. Je tiens ses cuisses et enfonce ma langue dans son intimité, aussi loin que je pouvais et fis des cercles en elle. Je la ressort et recommence a lécher de haut en bas, venant ensuite attrape son clito entre mes lèvres pour le suçoter, mais mains viennent ensuite se faufiler sous sa robe pour atteindre sa poitrine que je malaxe sous mes mains. Je la regarde du coin de l’œil afin de voir l’expression de son visage.

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Bravé des interdits auprès de ce mec me fais à la fois du bien mais aussi du mal, ben oui c'est un étudiant et je prétends être psychologue dans cet établissement, de ce fait faire ce que je suis en train de faire aux cotés de Luckas est mal mais pourtant tellement excitant, je n'ai aucunement envie de m'arrêter et pourtant nous sommes soumis aux regards bien trop curieux qui pourraient pénétrés dans cette pièce où nous sommes tous deux que peu vêtus, surtout moi à vrai dire, depuis tout à l'heure il passe son temps à me déshabiller limite curieux de découvrir ce qu'il se trouve sous mes vêtements... J'acquiesce à cette pensée et me mords aussitôt la lèvre tandis que sa main vient caressé mon string avec envie, je lui recommande de me tutoyer vu que nous sommes intimes désormais, mes paroles semblent lui faire sourire et sa réponse ne se fait pas attendre longtemps. « D'accord... Faisons ça alors continues de me vouvoyé si c'est vraiment ce que tu préfères » A ses paroles j'esquisse un grand sourire tandis que Luckas détache mon porte-jarretelles et me retire aussitôt mon string, je me caresse ma poitrine désormais dénudée tandis qu'il m'affirme que je vais hurlé son nom. « J'ai bien hâte de voir ou plus exactement d'entendre ça... » Il fini par venir entre mes jambes et caresse mon intimité du bout de la langue avec une extrême douceur, je pousse des petits cris de plaisir tandis qu'il ne s'arrête plus, la léchant de haut en bas puis de droite à gauche. Je me raccroche à l'un de ses bras et le maintient fermement de sorte a ne pas perdre pied mais ça il s'en doute bien... Mes gémissements, eux, se font de plus en plus bruyants tandis qu'il continue ses mouvements de langue sur mon intimité. Ma main libre caresse avec douceur l'un de mes seins de sorte a ce que les pointes sont bien dressées, je le fixe intensément alors qu'il continue de lécher mon intimité. Il fini par relevé la tête un court instant et admire mon visage tout excité par tout ceci, oui, j'ai envie de cet étudiant et je m'attends bien a ce que la suite de tout ceci soit encore plus excitante .... « Continues, t'arrêtes pas... » A ses mots je pose ma main sur sa tête de sorte a ce qu'il enfouisse sa tête de nouveau sur mon intimité...

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Bon fallait l’avouer ce qu’on faisait devait être mal, vraiment très mal, mais je m’en contrefichais, j’avais envie de lui faire des choses tellement elle est sexy, puis elle se laisse faire c’est qu’elle en a envie. Elle était là allongé sur divan les jambes de chaque cotés afin que j’ai la place qu’il faut pour jouer avec son intimité. Mes doigts étaient venus lui caresser le tissu de son string et j’aimais découvrir l’intime en elle. je le retire, vu qu’il me gêne ainsi que son porte-jarretelle, puis l’heure de la souffrance avait sonné pour elle. Ma langue experte passait partout sur son intimité. Elle gémissait vraiment fort, c’était bruyant et excitant à la fois. J’aime entendre que je procure du bien être au femme. Je continue de jouer avec elle, finissant par la regarder gémir pour voir l’expression de son visage. Elle finit par me dire de pas me stopper et enfouie ma tête contre son intimité que je me remets aussitôt à lécher de plus belle, donnant de bon coup de langue contre ses lèvres tellement c’était bon. Je pouvais avoir le gout de sa mouille sur le bout de ma langue. Je viens ensuite attraper la peau intérieur de ses cuisses avec ma bouche et enfonce des doigts en elle tout en faisant des va et vient rapide, vraiment excessif au point qu’il cogne contre le fond et mon pouce se heurte a son clito. Je finis par la regarder de nouveau et lui enlève sa main pour venir sucer sa pointe qui était déjà très dur et ferme, ça sentait qu’elle en voulait. Je remonte a ses lèvres et l’embrasse de façon fiévreuse, j’ai tant envie d’elle moi aussi, mais avant cela… Je me rapproche d’elle et met mon entrejambe au niveau de son visage « à vous de jouer maintenant, montrer moi vos capacités. » Oui je voulais qu’elle montre de quoi cette bouche était capable pour moi.

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Luna ∞ Luckas

Un dérapage émotionnel

Me retrouvé dans une telle situation en compagnie d'un élève tel que lui n'est en rien une bonne chose pour ma carrière mais en cet instant je m'en fiche ça n'a pas la moindre importance pour moi, là en ce moment j'ai juste envie de prendre mon pied et de lui donné tout le plaisir qu'il mérite. Il n'y a que ça qui compte pour moi en cet instant, le reste je m'en occuperais plus tard lorsque nous aurons fini et que je me retrouverais seule, les regrets plein la tête et la déception d'avoir couché avec un tel homme au passage... A cette pensée j'acquiesce et pousse un gémissement bien plus puissant que les précédents tandis que Luckas passe sa langue sur mon intimité, je caresse ses cheveux avec douceur pendant qu'il m'embrasse doucement, passant ses doigts au passage sur mon clitoris... C'est bon, vraiment bon et excitant de me retrouvé dans une telle posture avec un élève, surtout après tout ce temps sans rien faire, soit trois ans, trois années ou j'ai été dans le coma à cause de mon ex conjoint. A cette pensée je me mords la lèvre et garde mes doigts dans les cheveux de Luckas tandis que sa langue continue de caressé mon intimité laissant ses doigts, au passage, me pénétré avec puissance. Mes gémissements sont bruyants et j'espère sincèrement que personne ne nous entendra même si à l'évidence penser à de telles choses ferait de moi une personne qui croit aux rêves. Je souris en pensant à ça tandis qu'il s'arrête subitement et me fixe longuement se positionnant au dessus de moi. « Monsieur souhaite une petite pipe a ce que je vois .... Bien après tout pourquoi pas vu ce que tu viens de me faire je peux bien te la sucée un petit moment... » Ses mots sortent de ma bouche avec provocation tandis que je fais descendre son boxer jusqu'à ses chevilles puis le retire définitivement, je caresse son anatomie du bout des doigts et la met à l'intérieur de ma bouche... Ma langue caresse sa queue avec puissance tandis que ma main continue de la caressée du bout des doigts...

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