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 we are the warriors that built this town △ clyde

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MessageSujet: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 22:42

Clyde T. Wellington
No matter what we breed, we still are made of greed


identification complète Il s'appelle Clyde, un nom de produit purement britannique. C'est court, précis, net comme il l'aime. Son deuxième prénom Tobias lui vient de son grand-père. Il signifie la bonté de Dieu, pas vraiment ce qu'on pourrait penser de lui. Enfin c'est un Wellington, mais ça tout le monde le sait ou devrait le savoir. âge Il a fêté ses trente années toute rondes il y a peu. lieu/date de naissance Il est né le 1er octobre à Oxford évidemment dans l'hôpital le plus réputé de la ville. études suivies Jadis étudiant, Clyde a suivi le parcours d'économie. job Pour nourrir son ambition, il est professeur d'économie dans la célèbre université qui a accueilli toute sa famille sur des générations. Pour nourrir son porte-monnaie, il est également consultant en finances pour certains avocats. orientation sexuelle Il a toujours aimé les femmes jusqu'ici. statut S'il porte une horrible alliance au doigt vous voulez dire ? statut social ££££  caractère intransigeant, implacable, froid, observateur, peu loquace mais très éloquent, incisif, impulsif, colérique, sur-protecteur, terre-à-terre, orgueilleux, loyal, il aime se mettre en avant mais terriblement secret au fond. groupe Hard Workers. avatar Henry Cavill.

Welcome to the jungle
▲ Clyde est un véritable fan du hockey sur glace. Il n'est pas rare de le voir sur la glace lors de son temps libre. En revanche, son style de jeu est à son image: brutal, compétiteur et épuisant. ▲ A l'époque, Clyde faisait partie du RIOT Club. Il en a récolté une poignée d'amis fidèles, un réseau intéressant, un sentiment d'euphorie et de lourdes séquelles tues. Il garde une relation étroite avec cette élite. ▲ Il est très protecteur envers son petit frère Alistair et sa petite sœur Beth. Il est prêt à tout pour eux et le clame ouvertement. ▲ Il aime le mystère et l’ambiguïté du latin. ▲ L'obscurité, le noir, l'envahit de terreur. Il craint son imagination qui alors lui rappelle des souvenirs effroyables. ▲ Il aime les chiffres, les faits réalistes et le thé à pas d'heure. ▲ Les rares fois où Clyde s'efforce de mettre une cravate, celle-ci est toujours de travers. ▲ C'est un pianiste émérite mais les personnes qui ont pu le voir jouer se comptent sur les doigts d'une seule main. ▲ Clyde insupporte, s'insupporte lui-même intérieurement. Il prend régulièrement des somnifères pour s'endormir et endormir les démons. Le scotch l'aide à maitriser ses envies violentes qui le prend à la gorge. En solitaire, Clyde souffre. ▲ Il porte parfois des lunettes. ▲ Il a toujours le nez dans un livre ou derrière un écran. ▲ Il aime abuser de son autorité. Il donne rarement de bonnes notes mais n'hésite pas à surnoter les potentiels qu'il décerne parfois. ▲ Ses auteurs préférés sont Oscar Wilde et Lewis Carroll qui ont d'ailleurs foulé les enceintes d'Oxford. Il comprend la déchéance de Dorian, cette course effrénée à la perfection qui se mue en une fuite irrépressible de la mort. Il envie la jolie Alice qui s'est bercée d'un monde qu'elle a elle-même façonnée. Il envie la jolie Alice d'avoir su affronter ses prédateurs malgré sa candeur. Quand il n'y a plus de candeur où se dissimule le courage ? ▲ Outre les finances, Clyde a failli choisir le cursus d'histoire. Il se passionne pour l'ère victorienne ainsi que la franc-maçonnerie.

Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? La grandeur, l'honneur, l'ambition, toute sa vie en fait. Clyde ne se verrait aucunement dans un autre établissement, une autre ville. Pour lui, Oxford représente non seulement sa ville natale, l'éducation académique qui l'a formé mais aussi un patronyme important à la société britannique. Les seules fois où il quitte Oxford c'est pour les affaires et autant dire que ses séjours sont vites écourtés.
Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Cinq ans plus tôt, il aurait répondu la tequila sans hésitation. Maintenant qu'il représente le corps professoral, il aime bien s'armer de clichés sur le pouvoir telle que l'image de l'homme puissant assis sur son fauteuil un verre de scotch à la main, la page des bourses dans l'autre. Rien que pour le plaisir d'impressionner.
Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? C'est quoi cette question stupide ? On est dans le monde des adultes ou réfugié dans un presbytère ? Clyde est comme tous les hommes, il adore les plaisirs charnels. Il aime surtout la séduction, tantôt subtile, tantôt primitive. Quand il était élève, son nom lui valait pas mal de battements de cils mais Clyde a toujours été très exigeant, cherchant la perfection qui saurait satisfaire sa soif d'avaler le monde. En vain. Le sexe n'est pas avec modération mais plutôt avec appétit éphémère.
As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fier ? Durant sa scolarité, si en apparence, Clyde faisait honneur à son patronyme, au fond, il n'a jamais été l'ainé modèle. Bien entendu qu'il a fait des choses dont il n'est pas fier, des choses répréhensibles, des crimes et des hontes. Mais il n'a jamais éprouvé le moindre regret. Quand on a toujours suivi les règles et les limites, on finit par se les créer soi-même.
Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Peut-être à l'époque en avait-il fait les frais mais il s'en est toujours moqué. Maintenant qu'il pense que le statut de professeur le rend intouchable, il se délecte de ce torchon comme d'un pêché mignon.
Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle ? Ce haussement de sourcil dubitatif et dédaigneux qu'il fait supporter à à peu près tous ses interlocuteurs ? Il regarde aussi toujours sa montre, toutes les cinq secondes, qu'importe la situation.

pseudo/prénom Dandan/Sonia. âge 22 ans wesh. lieu d'habitation les vache et la pluie... où as-tu connu le forum J'ai stalké Bazzart durant tout le projet.  :siffle:  t'en penses quoi? C'est parfait maintenant que j'ai vu que y'a mon smiley préféré:  :12: . un dernier mot? WELLINGTONS RULES.

Code:
[b]Henry Cavill[/b] ✗ Clyde T. Wellington


Dernière édition par Clyde T. Wellington le Sam 6 Déc - 12:13, édité 11 fois
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 22:42


gloire innée,
Clyde Tobias Wellington. Ainé des jumeaux Alistair Nathaniel et Madeleine Elisabeth Wellington. Katherine Wellington l’avait mis au monde. Eminente psychiatre reconnue pour être recommandé par les personnalités les plus importantes du pays. Son propre cabinet était installé dans une annexe de leur grande demeure victorienne pour permettre d’être aussi bon médecin que mère. C’était un rôle qui lui tenait à cœur, peut-être trop, et qui faisait d’elle une figure envahissante et exigeante. Clyde était le fils d’Edward Wellington, secrétaire d’Etat à la justice du Royaume-Uni. Le nom du père était reconnu dans les hautes sphères de l’Angleterre et celui de son père auparavant. Père peu présent physiquement mais toujours à la suprématie de sa famille de par son aura presque royal. Il les avait éduqué à l’anglaise, selon les principes de leurs ancêtres. Si le sang noble ne coulait pas dans leur veine, on s’était toujours efforcé de représenter d’autres valeurs tout aussi primordiales : la réussite, la richesse, le respect et surtout l’excellence. L’excellence n’était achevée qu’à travers une scolarité à Oxford qui abritait les meilleurs destins. Clyde avait choisi l’économie. En amour avec les chiffres, les résultats nets et précis, il était convaincu que les finances étaient l’avenir d’un pays. Il voulait s’investir dans l’économie de ce monde impitoyable. Il savait qu’il avait déjà sa place de moulée dans cette voie. Pour lui l’échec n’était pas une option mais bel et bien un mot rayée de son vocabulaire. Rigoureux, vigoureux dans ses études comme dans ses fréquentations. Il avait déjà cet œil féroce et sceptique sur les autres, surveillant les moindres fréquentations de son frère et sa sœur. Il surprotégeait ses intérêts, son sang, son rang. Il n’était qu’affectueux avec ceux-ci du moins dans sa façon froide de le faire. Les Wellington étaient nés pour briller et s’élever aussi droit qu’une montagne sur laquelle glissait tous les obstacles de la vie.

à jamais,
L’inaccessible, la tentation sous sa forme la plus interdite. Le privé qui venait narguer le professionnel de toute sa cambrure affolante. Ainsi ce qu’avait vécu Clyde durant tout l’été. Une épée de Damoclès menaçait tout un empire, un empire florissant qui s’étendait au-là des frontières britanniques. La chaine de chalets de luxe Rawlinson trainé dans la fange d’une suspicion de détournements de fonds. La presse ne s’était encore emparé de l’affaire, n’attendait qu’un soupçon de preuve pour se disputer les gros titres de l’humiliation du grand patron. Les chaines rivales se frottaient déjà les mains tandis que la justice avait fait appel à Clyde Wellington pour faire la lumière sur des comptes plus que énigmatiques. D’abord méfiant, le patron Rawlinson avait fini par accepter la présence de l’homme au sein de son foyer. Clyde ne s’abreuvait que de la vérité et surtout du salaire qu’il toucherait à la fin du contrat. Il n’était pas là pour ternir des réputations, pour se délecter de réduire à néant un empire construit d’un dur labeur sur plusieurs générations. Il étudiait chaque jour les comptes interminables qu’on lui soumettait. Il furetait chacune des factures qui ne semblaient pas apparaitre dans le livre des finances, appelait chacun des clients ou des prestataires pour recueillir leurs témoignages de bonne foi. Finalement l’homme n’avait décelé aucune anomalie, aucune fraude du moins aussi criminelle qu’on avait pu le faire croire. L’unique secret que la père Rawlinson gardait bien précieusement n’était autre que sa propre progéniture. Sa fille unique Jade qu’il avait aperçue ça et là lors des ses longues journées plongé dans les chiffres. Sa discrétion lui faisait tourner la tête, la blondeur de ses cheveux laissait imaginer mille paysages brûlants et arides. Ses grands yeux clairs laissaient entrevoir tout l’effarouchement d’une Anglaise de bonne famille. Il lui avait à peine adressé la parole pour se contenter des formules de politesse. Son regard inquisiteur ne s’était pas volontairement attardé sur elle jusqu’à ce soir-là. Lors d’un diné arrosé et précautionneusement préparé par l’épouse, Clyde s’offrait chaque occasion pour la détailler du regard, laisser ses yeux glacés attaquer l’enveloppe sensuelle de la jeune femme. Il riait aux plaisanteries formelles du patron, complimentait les talents d’hôte de la patronne tout en dévorant Jade. Il répondait aux questions de son air fier et placide, fidèle au flegme anglais. « C’est exact. Je faisais partie de l’équipe d’Oxford et même si hélas le temps me manque désormais, j’essaie de continuer à jouer. » Puis le repas prit fin et la saveur irrésistible du thé approcha enfin. Jade le conduisit sagement jusqu’au salon mais l’assurance de Clyde s’empara des rênes de son être enflammé. Il laissa sa carrure piéger la silhouette de la jeune femme près du mur tandis qu’il lui murmurait combien il avait voulu d’elle dès le début. Ses lèvres appelaient les siennes, ses iris ne demandaient même pas l’autorisation, simplement la réciprocité. Mais alors qu’il s’apprêtait à réclamer son dû après tant d’attente, la fille Rawlinson détourna le visage, giflant au passage l’égo du mâle. Clyde aimait les réticences, les combats, les défis mais elle venait simplement de lui donner un refus catégorique. Ce soir-là fut le seul soir où Clyde ne but pas de thé. Il prétexta un rendez-vous inopportun pour quitter la demeure de l’ingrate, lui qui venait de sauver l’honneur de la famille. Attirante tentation, étranglant rejet. A jamais, elle demeurerait l’unique et la dernière à lui dire non.
2014.

étouffée,
« Clyde, je te l’offre. C’est gratuit frère. » L’étudiant jeta un coup d’œil de travers à la substance poudrée qui régnait au creux de la main de son dit-frère. Son cœur tambourinait contre sa poitrine au rythme de la musique typiquement londonienne des années 60 qui se faisait entendre entre les quatre hauts murs de leur QG. Tout autour de lui, le tourbillon de la vie, la tornade de la jeunesse dorée. Les RIOT s’enivraient, sautaient à pied joints dans le vide pour s’envoler dans les cieux blanchis par la drogue. Les rires se provoquaient à l’éclat, les secrets inavouables passaient dans toutes les bouches, à travers toutes les oreilles. On se faisait confiance. La force de chacun nourrissait l’insouciance commune. Les cravates minutieusement nouées offraient le parfait contraste à la désinvolture survoltée de leurs porteurs. La sienne, bleu navy, pendait négligemment sur le côté à demi défaite. Clyde acheva son whisky d’une traite avant de se lever de son fauteuil de cuir, un sourire narquois sur le coin des lèvres. Sa voix éraillée par l’alcool fort s’éleva dans la pièce plus puissante que jamais. « Je suis déjà très haut dans le ciel, John. » Il lui tapota sur l’épaule, plus enorgueilli que jamais de refuser une proposition aussi généreuse que motivée par l’addiction de son auteur. Lui n’avait pas besoin de ça. Rien que par sa stature, sa réussite, il avait déjà surpassé l’horizon de l’humanité. Il les surpassait tous. Faire partie de cette communauté élitiste, sélective, intransigeante était l’étape ultime, la reconnaissance de la richesse au-delà des riches, du pouvoir au-delà des puissants. Au milieu de la nuit, ignorant les âmes fraternelles qui s’unissaient dans la liesse ivre, Clyde décida de ramener John à son dortoir. Les yeux de ce dernier s’étaient assombris, son teint terni et ses gestes tremblants laissaient deviner qu’une fois de plus la drogue rongeait à feu doux l’esprit fragile de son consommateur. Elle grignotait sa raison, dévorait ses émotions pour ne laisser qu’un vide oppressant. Il s’était mis à marmonner, à psalmodier des tragédies, des critiques acerbes qui n’existaient que dans son imaginaire. Il était au bord des larmes, sur le récif de la fureur tout ça contre le monde et surtout contre lui-même. Clyde était le seul assez brave pour affronter cette misère, le mener jusqu’à son lit où il finirait dans une nuit sans rêve jusqu’à un lendemain difficile. Son bras par-dessus son épaule, il arpentait les couloirs abandonnés de l’université, contrant parfois les assauts effrénés d’un John venimeux. « T’es pas clair, mec. » « Et toi t’es faux, tu respires le moule préconçu. Tu fais l’élève parfait mais t’es pas plus fort qu’un gosse. T’es une fraude, Wellington. » Rassemblant le peu de force qu’il lui restait, John repoussa violemment son chaperon contre la rambarde de l’étage qui donnait droit sur la fresque marbrée du sol du hall d’entrée. Clyde s’agrippa au bois vernis, les yeux rivés en contrebas. La rage au bord des lèvres, il ravala sa fierté avant de se retourner. « Tu dis de la merde... » Il s’apprêtait à le réempoigner pour le guider de nouveau mais il dut essuyer une nouvelle raclée. « T’es malade ou quoi ? » Bisqua-t-il. Puis tout s’accéléra. Son cerveau ne put réassembler les éléments, sa vue ne put s’habituer au spectacle qui se joua devant lui. John qui s’élançait pour aller frapper, John qui n’atteignit même pas sa cible. John qui passa par-dessus la balustrade, le corps de John s’écrasant sur le sol marbré de la plus prestigieuse université d’Angleterre. Clyde dévala les escaliers pour aller rejoindre le corps inanimé de son ami. Une mare de sang inondait le sol, entourait John d’un halo macabre. Ses yeux n’exprimaient plus la tristesse, la souffrance qui le caractérisait autrefois. Ils n’exprimaient plus rien, s’étaient voilé du nuage blanc qu’il avait recherché tout au long de son existence ici. Clyde se sentit étranglé d’horreur, paralysé seulement avant qu’une main forte ne lui saisisse le bras. « Va-t-en. » Des yeux perdus cherchèrent avant de trouver là l’homme à tout faire d’Oxford - Miro, Leo ? « Allez dégage. » On le poussa vers le long couloir qui menait jusqu’au dortoir, cet interminable tunnel noir auquel il ne pourrait plus jamais s’échapper.
2011.

dans l'abysse.
Aujourd'hui, Oxford se dressait fière et irréprochable. Oxford se relevait toujours. Clyde avait cru pouvoir surmonter l’obstacle, planter son drapeau de la victoire. Embauché comme professeur d’économie, il côtoyait les plus grands. Il avait l’autorité sur les autres, il gardait un œil sur tout. Oxford était la ruche ultime, véritable concentré de personnalités et d’histoires. Des noms importants, des esprits fades, des apparences trompeuses et des ombres derrière toutes les lumières. Attablé à son bureau de bois vernis, écrivant des commentaires implacables sur des copies imbuvables de son stylo hors de prix. Il se sentait dominant, sacro-saint, légitime et lavé de toute suspicion. En dehors de l’établissement, il asseyait toujours cette suprématie dont il avait irrésistiblement besoin. Consultant en finances, il donnait le droit de vie ou de mort sur des entreprises ébranlées, sur des comptes flous et hypocrites. Jouer sur la vie des autres, influencer leur avenir. C’était bien l’unique ambition de sa vie puisque la sienne lui filait entre les doigts. Dévorante, angoissante, létale que la douleur qui consumait à petit feu l’être imparfait qu’était l’ainé des Wellington.


Dernière édition par Clyde T. Wellington le Dim 7 Déc - 0:32, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 22:46

Notre professeur tant attendu :31:

une horrible alliance :mdr: :mdr: :mdr:

On a deux leigh, un homme et une femme, c'est beau :42:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 22:56

So british :40: :24:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 23:10

Alistair N. Wellington a écrit:
So british :40: :24:

C'est ça, trop bon :14:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyVen 5 Déc - 23:44

Oliver W. Seymour a écrit:
Notre professeur tant attendu :31:

une horrible alliance :mdr: :mdr: :mdr:

On a deux leigh, un homme et une femme, c'est beau :42:  

Ouh vraiment ? :29: :29: Tu sais comment me parler toi. :53: Je suis contente d'être enfin là et d'enfin RP avec vous. D'ailleurs il nous faudra un lien jeune homme. :64:
Oui bah quoi ça boudine le doigt et il aime pas l'argent (la matière hein *PAN*)
Finalement j'ai changé de pseudo. :ange: *côté psychorigide* :hero:

Les Wellington c'est comme le Nutella. Quand on a fini une cuillère, on se rend compte que la suivante est encore meilleure. :arrow:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 0:00

Citation :
Les Wellington c'est comme le Nutella. Quand on a fini une cuillère, on se rend compte que la suivante est encore meilleure. :arrow:

J'adore :mdr: :mdr: :mdr: :mdr:

Un lien sera avec plaisir :31:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 0:31

Bienvenue!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! à la moindre question n'hésite pas à me le dire !!!! :08: :17: :27:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 0:43

bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche :23:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 18:10

Bienvenu sur le forum :coeur:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 18:42

Bienvenue ici officiellement :coeur:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 20:29

Bienvenue, super choix d'avatar! :53:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptySam 6 Déc - 21:18

bienvenuuue :24:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyDim 7 Déc - 11:48

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès
J'aime beaucoup ton style d'écriture et ton pavé n'est pas mauvais :dr: Et un prof d'économie :dr: dommage que je sois pas en économie pour te faire vivre la misère :dr: Bref je te valide!.

Ton avatar est dans le bottin et tu intègres, à partir de maintenant, les Hard Worker. Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Si tu as des questions n'hésite pas :coeur:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyDim 7 Déc - 12:03

Merci à tous, ça me fait super plaisir. :12: :12:

Merci Thomas. :23: :23: Tu sais pas besoin d'être en économie pour s'affronter si tu cherches les ennuis. :siffle: :27:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde EmptyDim 7 Déc - 12:05

Me lance pas ce défi :dr:
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MessageSujet: Re: we are the warriors that built this town △ clyde   we are the warriors that built this town △ clyde Empty

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