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 (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher


☆ date d'arrivée : 08/12/2014
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MessageSujet: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptySam 31 Jan - 19:28

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

La petite boule de poil, sur le torse nu de son maître lui mordille le nez. Alors que le seul humain de  la pièce grogne et pousse légèrement le petit chien, ce dernier poursuit son jeu mais cette fois sur les oreilles d'Eliakim. Le petite chien n'est autre que Summer, Jack Russel de 6 mois et véritable petite teigne surtout lorsqu'il meurt de faim. Eliakim se réveille alors que l'animal le regarde, des étoiles dans les yeux et remuant la queue. « Ça va, je viens te nourrir. » Comprenant ce qui l'attend Summer saute du lit et suit son maître alors que celui-ci marche jusqu'à la cuisine pour lui servir une belle gamelle de croquettes. Alors que le chiot dévore son repas tranquillement, Eli' file sous la douche car ce matin ce n'est pas le moment d'être en retard. Une conférence sur son avancée dans la recherche concernant les cellules atteintes d’Alzheimer. Il a déjà présenté ce sujet à New-York devant des grands scientifiques, et en présence d'Alice mais cette fois-ci il devra le faire dans la salle de conférence d'Oxford. Le directeur le lui à demandé et il ne peut refuser, car ce sujet intéresse plusieurs élèves, professeurs et journalistes.

Enfin Eli' regarde l'heure, seulement 7H du matin il est en avance. Alors allumant sa chaîne HIFI il met Highway to Hell du mythique groupe AC/DC. Les premières notes déferlent dans son appartement, son esprit également, lui donnant l'envie de bouger et sauter partout. Pourtant, restant calme il part se préparer son petit déjeuner. Un pan cakes au Nutella fera l'affaire étant donné qu'il n'a pas faim. Il déguste la petite crêpe en bougeant la tête en rythme avec la musique, il va faire hurler ses voisins d'ici quelques minutes. Pourtant après avoir augmenté le volume il part prendre une douche, puis enfiler un beau costume sans cravate. Ce dernier objet de torture comme il l'appelle, lui donne l'impression de s'étouffer surtout quand il stresse. Et il sait d'avance qu'il va angoisser, surtout à l'idée de présenter les récentes recherches. Enfin celles du club de science, car il n'est pas seul. En revanche il est la figure du projet, la publicité en quelque sorte.

Une fois prêt il dépose une caresse sur la petite tête de son chiot qui, heureux, part dans le salon jouer et sans doute dormir. Il enfile sa veste en cuir,  attrape ses clés, son portable et son sac à dos et enfin quitte son appartement. Il prendra sa moto aujourd'hui même si les températures basses auraient du lui donner envie d'aller au travail en voiture. Pourtant il chevauche sa moto avec une forme d'excitation, rare sont les occasions qu'il a de la sortir surtout l'hiver. Il roule jusqu'à Oxford, il est déjà 8H du matin et il a un cour avant d'aller en salle de conférence. Il garde sa moto, monte jusqu'à sa salle en saluant quelques collègues et élèves.

Il croise Alice, un regard appuyé et un fin sourire traverse ses lèvres avant qu'il ne rejoigne ses 4eme années. L'unique heure de cour passe et déjà il sent le stress monter alors qu'il marche jusqu'à la salle de conférence qui est, d'après ce qu'il vient de voir, bien pleine. Il se rend en coulisse, attrape une bouteille d'eau posée sur une table, à disposition de ceux qui viennent pour présenter un sujet. Il l'ouvre, boit quelques gorgées mais rien à faire. Il est nerveux de nature et son angoisse est bien là, bien présente. Son portable vibre dans sa poche. Rae son amie de toujours, sa sœur lui envoie son amour et ses encouragements. Il lui répond quelques mots gentil et met le cellulaire en silencieux avant de le ranger. Tout le monde est installé dans la salle il va pouvoir se présenter à tout le monde. Avant de passer le rideau, il vérifie que ses notes sont bien dans sa poche. Il souffle un bon coup et se jette sous la lumière aveuglante de la petite scène.

Quelques visages qu'il connaît, des collègues, des amis même. Des élèves de son cour et d'autres curieux. Quelques journalistes peut-être, il ne sait pas vraiment reconnaître les grattes-papiers. « Bonjour mes amis, collègues où simple inconnus. Je viens afin de vous présenter une récente découverte dans le milieu médical. » Il croise un instant les yeux d'un beau brun. Aaron Evans élève de son ami Clyde. Il laisse ses yeux bloqués dans ceux du beau brun mais ça ne dure pas. Il poursuit son explication, stoïque comme si rien n'était. Ce n'est pas le moment de faire un lapsus où quoi que ce soit. Au mieux il pourra lui parler après en prenant un verre. Ils jouent au chat et à la souris, c'est dangereux mais si excitant que Eliakim n'arrêterait cela pour rien au monde !

© Chieuze



Dernière édition par Eliakim A. Crowlley le Lun 16 Fév - 2:31, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 1 Fév - 1:09

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

eliakim & aaron.

Nous avons tous un coeur qui bat, mais parfois il bat plus vite pour de multiples raisons, que ce soit par amour, par peur, par excitation, mais aussi par le jeu. L’opposé du jeu n’est pas le sérieux, mais la réalité et c’est une logique qui me définit plutôt bien.

Aujourd’hui je me levais d’une humeur plutôt plus positive que celle de la veille. Certes le souvenir de découvrir que Andrea serait mon tuteur de thèse durant toute cette année et notre ébat qui s’en était suivit me hanté tous les jours depuis, mais je commençais à vouloir me faire à l’idée que je ne pourrais pas l’éviter toute ma vie, je devais l’affronter pour pouvoir peut-être mieux l’oublier. Ce matin était donc un jour nouveau, j’allais pour la première fois depuis un peu plus d’une semaine me lever de mon lit, prendre une douche, me raser un peu histoire de ne pas ressembler à un terroriste et le plus dur quitter ma chambre pour reprendre mes cours. J’avais depuis cinq ans été toujours le major de ma promo, je ne pouvais pas venir tout gâcher maintenant pour la simple et bonne raison que Andrea réapparaissent dans ma vie. Je sautais alors rapidement de mon lit, allumer la radio histoire d’écouter les dernières actualités, je devais me mettre à jour et être au top si je voulais rester en haut du podium. Je laissais alors glisser le seul vêtement que je portais sur moi, à savoir mon boxer et je filais sous ma douche où je restais de longues minutes profitant de cette agréable sensation que nous procure l’eau chaude qui ruisselle tout le long de notre corps, vous voyez certainement de quoi je vous parle. En sortant finalement une vingtaine de minutes plus tard, je continuais en me rasant ma barbe, laissant seulement visible une légère barbe de trois jours qui me donnait ce côté charmant et attractif, puis je filais m’habiller, d’un jean serré, d’une chemise de couleur uni noire, le tout surmonté d’une veste en cuir. Je quittais finalement ma chambre pour la première fois depuis plusieurs jours, bien décidé à faire de cette journée, le début d’un nouveau départ. Fini le Aaron déprimé et complètement renfermé dans sa chambre, on allait là retrouvé l’exubérant et intrépide jeune étudiant que tout le monde connaissait à Oxford.

Dès les premières heures de cours, je retrouvais cette soif d’apprendre et de me mettre en avant, ce qui n’échappa à mes professeurs qui semblaient ravis de me revoir parmi eux. Du côté de mes camarades l’ambiance était tout autre, j’attirais de nouveau toute l’attention et la gloire sur moi, ils n’en étaient ainsi que moins ravis. Peu m’importait de leur avis, dans le monde du droit il est bien connu que nous sommes de véritables requins donc si ils n’avait pas le cran pour écraser leurs semblants ce n’était plus là mon soucis, bien au contraire, cela arrangé plutôt bien mes affaires. En effet, il me serait ainsi plus simple de réussir face à une concurrence moindre. Enfin bref, je sortais de mon premier cours quand j’eus vent d’une certaine conférence ayant lieu à l’université, rassemblant apparemment pas mal de monde que ce soit des professeurs, des étudiants, mais aussi des journalistes. Plutôt curieux et avide de toujours apprendre davantage je me laissais alors tenter à y assister, après tout je n’avais plus cours de la matinée, j’allais pouvoir ainsi profiter de ce temps libre pour m’instruire encore, j’avais une semaine de retard sur les autres, je devais donc doubler mes efforts. Et même si le sujet de la conférence n’était pas forcément de mon domaine, je n’en ressortirai que plus intelligent à la sortie, j’en étais sûr.

J’entrais alors dans l’immense amphithéâtre réservé pour l’occasion et je me faufilais à travers la foule, trouvant finalement une place plutôt bonne dans les premiers rangs. Le sujet de la conférence était celui de la recherche sur les cellules atteintes d’Alzheimer, un sujet sur lequel je n’avais alors aucune véritable connaissance, pour ne pas dire aucune. Cherchant quelques mots clés en tapant sur mon téléphone, je fus rapidement ramené à la réalité quand la voix d’un homme se fit entendre. En effet, je quittais aussitôt mon écran et je découvrais, un sourire narquois à mes lèvres le visage de ce très séduisant professeur de biochimie que je connaissais assez bien. Il s’agissait de Eliakim A. Crowlley, un ami de Clyde le professeur d’économie avec qui je trainais assez souvent ces temps-ci dans le but de finir dans son lit et par qui je l’avais donc rencontré, étant tous deux de très bons amis d’après ce que j’avais pu comprendre. Dès les premiers regards échangés entre nous, j’avais pu sentir cette tension sexuelle, cette attractivité qui rendait cette rencontre fougueuse et pleine de surprises. Depuis, nous sommes un peu comme le chat et la souris, on se court l’un après l’autre, on essaie de toujours aller plus loin dans l’excès, de faire craquer l’autre, sans jamais n’avoir encore franchis de barrières. Après tout l’homme est fait pour jouer, c’est le péché originel qui l’a condamné au travail. C’est ainsi que son regard croisa le mien lorsqu’il démarra son discours, c’est comme si de toute la salle son regard avait été absorbé par le mien. Il y avait quelque chose d’inexplicable dans notre situation, il y avait à la fois de l’attirance, de la passion, du jeu, mais aussi beaucoup de danger. Le danger c’est d’ailleurs ce qui me fait tant aimer notre « relation ». Du fait de son statut de professeur, il essaie de se vouloir discret dans ses escapades et notamment quand il s’agit d’étudiants. J’écoutais alors le discours de cet homme mature et sexy qui en plus de ça savait manier les mots à merveille, tout en ayant en tête une idée qui risquerait de le surprendre. Après de longues minutes à nous faire part de ses recherches, le temps était maintenant venu de répondre aux questions de l’audimat présent dans la salle. J’avais bien évidemment prévu le coup, c’est ainsi que durant son discours, j’avais cherché sur mon téléphone à nouveau (mon plus grand ami dans des moments comme celui-ci) de quoi pouvoir formulé une question plus ou moins efficace, du moins assez bien foutue pour ne pas passer pour un con, mais me permettant ainsi de m’adresser à lui directement. Le directeur de l’université lança ainsi les hostilités en appelant aux gens voulant poser des questions de se manifester. Quand plusieurs personnes levèrent la main, de mon côté je ne tardais pas à reprendre mon rôle du parfait audacieux et me levait alors directement ce qui attira toute l’attention sur moi, j’adorais ça, c’était le but. « Bonjour monsieur Crowlley, je tiens d’abord à saluer votre discours, vos apports sur cette maladie sont dès plus admirables, j’aurais cependant une question …On sait tous que la maladie d’Alzheimer est la cause la plus commune de démence, la recherche sur les cellules souches selon vous peut-elle nous aider à relever le défi du traitement de cette maladie ? » Tout fier de ma question, je restais le regard plongé dans le sien, ne le quittant pas une seule seconde. Je sentais pourtant tous les regards portés sur moi et sur lui, mais je ne voulais pas le lâcher. J’en profitais même pour me mordre la lèvre tout en passant ma langue délicatement dessus, avant de lui mimer du bout des lèvres un « Toi et moi sur le bureau, maintenant ». Je faisais référence à l’idée de s’adonner à une activité physique avec lui sur le bureau qui était non loin de son pupitre, histoire de voir sa réaction, allait-il être déstabiliser ou pas ? Allait-il entrer dans mon jeu ? ou bien le danger bien trop présent ici par la présence de tous allait-il le faire rester tout aussi calme qu’il ne l’avait été jusqu’à présent, j’étais impatient de le découvrir. J’attendais sa réponse toujours debout, lui faisant face mon regard plongé dans le sien.

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyMar 3 Fév - 23:14

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Lentement il attrape un verre d'eau posé sur le pupitre, le porte à ses lèvres et prend une gorgée fraîche. Aussitôt sa gorge ne le brûle plus, sa langue est plus fluide. Les mots coulent sur ses lèvres comme si il récitait un texte bien écrit. Un fin sourire sur la bouche il parle de son sujet qu'il connaît si bien, marche en travers de la scène. Il attire l'attention en quelques gestes, une image s'affiche derrière lui. Il la présente, parle et fait surtout attention à ne pas regarder Aaron qui dans un coin, semble afficher un sourire tout sauf innocent. Ha Aaron... Doux prénom, frère d'après les écrits de Moïse et Myriam. Premier grand prêtre d'Israel et homme de foi, pur et sans péché sauf celui d'avoir douté de son frère pendant un certain temps. Mais ce Aaron là, devant Eliakim n'a rien de saint. Il est joueur, dangereux et horriblement attirant. C'est le dernier mot qui passe dans l’esprit du professeur alors que l'image derrière lui s’efface. Il parle encore, présente les recherches et les arguments. « Bien-sur ces recherches concernent les cas d’Alzheimer précoce, qui, soigné à temps, pourrait être dans quelques années, guéri. » Il s'humecte les lèvres, sa bouche reste légèrement ouverte alors qu'il croise les yeux du beau brun.

Afin vient le moment des questions. Quelques mains se lèvent, des élèves et professeurs. Mais aussi des journalistes qui feront des articles élogieux sur la grande université d'Oxford. Et de ses brillants étudiants en sciences surtout. Eliakim est fier ce participer à cela, car Oxford à une réputation qu'on ne peut plus discuter à présent. Mais surtout Aaron se lève sans même avoir attendu son tour, une provocation incroyable au fond des yeux. Eli' sourit en le voyant faire et se prépare à sa question. « Bonjour monsieur Crowlley, je tiens d’abord à saluer votre discours, vos apports sur cette maladie sont dès plus admirables, j’aurais cependant une question …On sait tous que la maladie d’Alzheimer est la cause la plus commune de démence, la recherche sur les cellules souches selon vous peut-elle nous aider à relever le défi du traitement de cette maladie ? » Tous les regards sur les deux hommes, les gens autours attendaient avec impatience la réponse du professeur qui ne devait pas tarder à arriver. Seulement Aaron murmura quelque chose que Eliakim comprit rapidement, sachant lire sur les lèvres. Il avait appris cette particularité à Oxford justement, afin de communiquer avec des élèves ne pouvant entendre ce que le professeur racontait. Malheureusement aujourd'hui la phrase qu'il comprit le déstabilisa une seconde, des images peu catholiques affluèrent dans son esprit. Asséchant sa bouche et tendant ses muscles dans un frisson violent et destructeur. Aaron fier de son effet semblait jubiler intérieurement.

« Comme expliqué, ce traitement concernera l'Alzheimer touchant des sujets jeunes et de ce fait, précoce. Nous pouvons être sur que d'ici 2020 il existera un remède afin d'aider et soigner les patients. » Quelques applaudissements se firent entendre, que Eliakim fit taire avec un signe de main et un sourire charmé. « Je tiens à remercier tout particulièrement le club de science de la grande université d'Oxford. C'est à eux que reviennent ces applaudissements car c'est eux qui travaillent dans l'ombre, afin d'apporter des améliorations aux maladies qui ravagent notre monde. » Il se voulait honnête et même si il accompagnait souvent les membres de ce club, et les aidait. Il n'était pas le seul à travailler d'arrache-pied. Afin un dernier sourire et un geste de remerciement il quitta la scène sous les applaudissements. Rejoignant les coulisses il prit une bouteille d'eau qu'une jeune femme lui tendait. Il l'ouvrit, prit quelques gorgées avant de se rendre à la réception et brunch donné pour l'occasion. Le directeur de l'université vint vers lui afin de lui serrer la main et féliciter le club de science. Les plus grands génies étaient passés par ce club et Eliakim côtoyaient les futurs grands de ce monde. Et les avait comme élève même. Il fit tout les efforts du monde pour oublier Aaron et son charme dévastateur un instant. Il ne devait pas penser au jeune homme, car ce n'était pas bon pour sa concentration.

Mais peine perdue, il savait que le beau brun allait venir à la réception. Leur jeu dangereux allait commencer et ça devant tout le monde, la partie allait être excellente et amusant. Pourtant une petite voix dans la tête d'Eliakim lui rappela que ceci était trop dangereux pour son emploi. Il la fit taire en se rendant à la réception. Un serveur passa, il prit une coupe de champagne. Sa conscience lui hurlait de filer afin de ne pas croiser Aaron, mais il fit taire cette petite voix d'une gorgée d'alcool frais. Enfin il le vit de loin, beau comme un dieu sans son costume mettant son teint et son charme en évidence. Elakim cachant son sourire en prenant une autre gorgée. S'amusant d'avance, il l'invita à l'approcher d'un regard.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 9 Fév - 16:41

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Je venais donc de lancer mon boulet de canon lorsque j’étais venu à mimer du bout de mes lèvres, une phrase à connotation sexuelle en ta direction. Le but était de te déstabiliser, même si je savais quand grand homme que tu étais, tu saurais bien entendu garder ton calme face à une telle audience. Je t’imaginais mal, venir me rejoindre, m’embrasser aux yeux de tous avant de commencer à me déshabiller sauvagement dans le but que l’on s’exécute à un ébat des plus bestiale là aux yeux de tous. Cette idée là ne m’aurait pas  pourtant dérangée pour un sous, au contraire, mais je me doutais très bien que cela resterait qu’un fantasme inaccessible, tu devais en effet te la jouer patte blanche face à l’assemblée si tu ne voulais pas risquer ta carrière et ta réputation de professeur et chercheur de renommée. Je restais donc là mon regard plongé dans le tien, n’écoutant ta réponse qu’à moitié. À ce moment là je ne vois personne, personne à part toi. J’ai envie de faire en sorte que notre jeu semble magique, j’en ai tellement marre de la routine, des habitudes. Alors j’aime notre façon de jouer ainsi, c’est si inattendue et à la fois excitant, parce que je déteste lorsque tout est bien planifié, j’aime tout ce qui relève du trépident, tout ce qui sort de l’ordinaire. Amusons-nous alors, jouons à un jeu, veux-tu l’amour ou le sexe ? Es-tu vraiment dans le jeu ? J’ai une mission et cela implique un lourd attouchement, ouais, tu as indiqué à plusieurs reprises tes intérêts à jouer, je m’y connais en sexe, toi aussi et maintenant je veux que cela devienne malsain, j’aime les jeux, j’aime notre jeu. Tu sais ce que je ressens en ta présence, tu sais que tu ne me laisses pas indifférent, oh non loin de là. Terminant ta réponse à ma question, je prenais mon temps pour me rassoir tout en ne te quittant pas du regard pour finalement briser ce lien qui nous unissait pendant ces longues secondes.

Tu avais rapidement enchainé plusieurs questions avant de mettre fin à la conférence et ainsi inviter tes convives à un brunch organisé par l’université dans le but de rassasier les gosiers affamés des différents corbeaux présent dans la salle. Ne voulant pas perdre une opportunité de continuer notre amusement, je prenais ainsi à mon tour la direction du brunch où toute la foule se ruée, comme si c’était la véritable raison de leur présence en ces lieux, à vrai dire pour la grande majorité je pense que c’était bel et bien le cas. Enfin bref, arrivant finalement dans cette grande salle réservée pour l’occasion et décorée, je fus surpris de voir à quel point l’université investissait pour le club scientifique, j’en toucherais deux mots plus tard au directeur afin de revoir à la hausse le budget consacré au Bodley Club dont je suis le président, mais là n’est pas le plus important. Je balayais la salle du regard en ta recherche, quand finalement le destin semblant vouloir jouer en notre faveur, je croisais enfin ton regard si envoûtant et puissant qui ne me laissait pas de marbre. Je compris rapidement rien que par l’expression de tes yeux que tu lancer les hostilités et m’invité à venir te rejoindre, j’aurais bien pu m’aventurer dans cette aventure, mais la facilité de la tâche ne me plaisait que bien trop peu. J’arrivais alors à attraper une coupe de champagne  sur l’un des plateaux des nombreux serveurs présents et j’en avalais une première gorgée, avant de me diriger vers toi. Plus j’avançais à travers la foule, ne te quittant toujours pas du regard, plus je sentais mon coeur s’accélérait, je sentais cette adrénaline m’envahir pour subtilement me rendre complètement dingue et accroc à notre petit manège. Arrivant finalement à ta hauteur, je restais muet avant de finalement venir poser l’une de mes mains sur son torse qui à notre contact paraissait bien ferme et musclé ce qui n’était pas là pour me déplaire. Je penchais alors ma tête vers ton oreille pour venir te susurrer quelques mots aguicheurs « Dieu que vous êtes séduisant monsieur le professeur dans cette tenue et surtout dans ce statut que vous avez aujourd’hui, à vrai dire j’ai toujours aimé les hommes de pouvoirs dans votre genre … alors si l’envie de me faire valoir toutes vos connaissances et votre pouvoir vous prend, n’hésitez pas à venir me rejoindre plus tard … je vous laisserai le soin de me retrouver parmi cette masse … cela ne devrait pas être très difficile, d’après ce que je sais, je ne passe pas inaperçu … » derniers mots que je terminais tout en laissant glisser ma main le long de son ventre pour finalement terminant dans la proche de son pantalon dans laquelle je déposais un préservatif, encore une fois en guise de l’aguicher et de lui donner des idées. Je le fuyais alors rapidement pour venir me fondre dans la foule où je saluais quelques personnes, notamment des hommes plutôt hauts placés afin de me faire connaître et d’agrandir mon carnet de contact, après tout il fallait bien que je profite de ce brunch d’une façon ou d’une autre, même si j’avais une petite idée sur celle que je préférais si vous voyez ce que je veux dire.

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 9 Fév - 23:12

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Il se sentait totalement à part dans cette assemblée de journalistes, élèves et autres professeurs. Il sentait les regards sur lui, les sourires charmés et les félicitations et pourtant il n'aimait pas cela. Il n'aimait pas l'idée de récolter tous les lauriers et encore moins de ce fondre dans cette masse de personnes autour de lui. Il n'avait jamais aimé être mis en avant , êtr eun visage public. Ce n'était pas son but au grand désespoir de son père qui voyait en son fils une occasion de confier Burberry. Car oui, c'était un secret que Eliakim gardait bien secrètement mais son père n'était autre que le patron de la grande marque Anglaise, Burberry. Marque qu'il n'avait plus à présenter tant sa réputation était faite depuis longtemps. Son paternel aurait voulu le voir reprendre l'entreprise mais c'était peine perdue. Eliakim vivait loin de ce monde de paillettes, seulement car il lui avait accordé que de la douleur et de la peine.

Alors autant dire que dans cette foule il se sentait mal à l'aise. Alice aurait adorée être ici, avec des gens connus et renommées. Eli' chercha des yeux un moyen de s'enfuir pourtant une main de posa sur son épaule. Un scientifique lui présenta ses compliments et sa carte. Le professeur de le biochimie la cacha dans la poche de sa veste, avec les autres cartes qu'il avait récupéré depuis que la convention était terminée. Il prit une autre gorgée de champagne une fois seul, soufflant un peu et refusant de croiser le regard des gens autour de lui. Sauf un, sauf Aaron qui ne le lâchait pas des yeux. Il ancra ses yeux dans ceux, magnifiques, du beau brun alors qu'il approchait pour son plus grand plaisir. Il nota dans sa tête de remercier Clyde de lui avoir fait rencontrer, involontairement, ce jeune homme. Il s'amusait avec lui, c'était un jeux qu'il aurait arrêté pour rien au monde. Depuis combien de temps ne c'était-il pas amusé de la sorte ? De la séduction, mieux encore de la drague et un flirt dangereux et étonnamment grisant.

« Dieu que vous êtes séduisant monsieur le professeur dans cette tenue et surtout dans ce statut que vous avez aujourd’hui, à vrai dire j’ai toujours aimé les hommes de pouvoirs dans votre genre … alors si l’envie de me faire valoir toutes vos connaissances et votre pouvoir vous prend, n’hésitez pas à venir me rejoindre plus tard … je vous laisserai le soin de me retrouver parmi cette masse … cela ne devrait pas être très difficile, d’après ce que je sais, je ne passe pas inaperçu … » Il leva un sourcil en entendant sa dernière phrase. C'était vrai, Aaron avait ce genre de don de capter l'attention peu importe où il se rendait. Lorsqu'il entrait dans la pièce, son assurance et sa confiance en lui lui valait tous les regards des hommes et même des femmes. Cela pouvait rendre jaloux, mais Eliakim se perdait avec plaisir dans le regard brûlant du jeune homme et se laissait envoûter sans montrer de résistance. Il prit conscience de la main de l'étudiant sur son torse, alors que celle ci glissa sur son ventre dans un geste sensuel. Comme lorsqu'on caresse un tissu très fin, où la main d'un amant après l'amour. Chaude et câline, elle termina son chemin alors que l'étudiant glissait une petite chose dans la poche du professeur.

Ce dernier laissa un sourire flotter sur ses lèvres sans le lâcher des yeux, alors qu'il s'éloignait pour tenir compagnie aux autres invités. Eliakim vint fouiller sa poche et toucha un petit carré en plastique et, en appuyant dessus, reconnu son contenu entre milles. Un préservatif, signe évident qu'il l'invitait à une partie de débauche pure et simple. Devait-il le rejoindre ? Oui. C'était certain. Pourtant dans son esprit une petite voix lui murmura le prénom d'Alice et surtout, leur dernière dispute. Pour la faire taire il termina sa coupe de champagne cul sec, sans prêter attention aux regards autour de lui. On allait le prendre pour un ivrogne si il tapait dans une seconde coupe de champagne. Alors le blond marcha jusqu'au buffet attrapa un petit canapé garnis avec... Il s'en foutait royalement. Il le prit un entre ses lèvres pour le déguster tout en se dirigeant vers le sujet de son désir encore, heureusement, caché. Une fois vers lui il l'attrapa par le pan de la chemisa et l'attira jusqu'à une pièce isolée de la réception. Résistant à l'envie de le prendre par la ceinture afin d'aller plus vite.

Dans cette pièce, ayant sans doute servie à faire cour il le fit entrer, ferma la porte derrière lui et la verrouilla. Il se moquait totalement qu'on l'ai vu, au pire ils allaient faire jaser dans l'université. Eliakim risquait son emploi, mais c'était le cadet de ses problèmes. Et puis ça ne serait pas facile de virer l'un des professeurs des plus aimés d'Oxford. « Tu joues un jeu dangereux Evans... » Il posa ses deux mains sur les hanches du jeune homme, le plaqua doucement contre la porte close. Avec un sourire, ses lèvres vinrent se poser dans le cou du beau brun pour quelques baisers papillons, effleurant à peine la peau bronzée et à nue. Avec douceur, sa main droite remonta jusqu'au ventre plat de l'étudiant, son torse ensuite avant de se poser proche de son cou et de déboutonner légèrement le premier bouton de sa chemise. « Disons que tu as gagné. » Parfois il faut savoir perdre, pour mieux gagner par la suite.

© Chieuze

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyJeu 12 Fév - 15:34

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Jouer un jeu dangereux c’était peut être ce que j’étais entrain de faire en ce moment précis avec toi, ce sexy professeur en biochimie que tu es, mais peu m’importe, après tout je suis célibataire, majeur, vacciné et clean, alors pourquoi me priver d’une telle situation qui me rend tellement libre. Jusqu’à l’excès c’est un peu le but de ma vie depuis ces six dernières années. Depuis que j’avais construit cette carapace autour de moi, autour de mon petit coeur bien trop fragile, je n’avais plus aucune limite ou bien peut-être, mais elles étaient difficilement palpables. C’est ainsi que j’ai su développer un certain personnage, celui qu’aujourd’hui la majorité des gens connaissent, pour ne pas dire tout le monde. À vrai dire si vous demandiez à n’importe qui dans la ville voir le pays (oui ma réputation me suit dans tous les pays de part la célébrité de mes parents) de me décrire en quelques mots, je pense que les plus récurrents seraient : arrogant, séduisant, charmeur, prétentieux et surtout un véritable bourreaux des coeurs. Cette réputation me suivait partout où j’allais et si pour certain cela aurait pu être une véritable épée de damoclès, de mon côté j’en avais toujours tirée le meilleur. Peu de personnes arrivaient à me résister, à ne pas tomber sous mon charme si imprégnant dès la première rencontre, autant donc en profiter au maximum. C’était donc ce que j’étais entrain de faire avec toi, beau blond à ses heures perdues un peu roux aussi (si si je vous assure). Depuis notre première rencontre j’avais senti en toi, en nous même cette potentialité extrême de pouvoir mener une joute, une bataille si agréable qu’elle m’en serait dès plus exquises. Je savais rien qu’en t’examinant du regard tu avais ce côté sombre, ce côté joueur qui allait tout particulièrement me plaire.

C’est donc ainsi que je me retrouvais aujourd’hui à me jouer de toi une fois de plus et de ton appétit sexuel débordant. Tout comme moi tu as cette amour de la chair qui devient si imposant parfois, que tu en oublies véritablement ta raison et cela pour mon plus grand plaisir. Quel meilleur partenaire de jeu en effet que son semblable ? aucun. J’avais commencé de façon plus ou moins subjective en te mimant ses quelques mots du bout de mes lèvres lorsque tu prononçais ton discours, puis je suis venu à monter d’un niveau en venant t’aborder directement, me laissant même le plaisir de caresser ton corps ou plutôt le bout de tissus le recouvrant. C’est à ce même moment que de toute mon assurance et ma confiance je t’avais fait entendre quelques mots qui avaient pour but de te rendre dans tous tes états, j’espérais bien réveiller en toi la bête sauvage dont je me doutais bien de son existence. Je t’avais ensuite quitté aussi vite qu’il me en avait fallu pour te rejoindre. Je me trouvais donc maintenant en compagnie de plusieurs hommes, des scientifiques, mais aussi des journalistes qui étaient heureux de pouvoir avoir un interview du fils Evans, cela ferait certainement vendre plus de papier que la conférence en elle-même, alors ils allaient sans doute ne pas se priver de ma présence « Mon humble avis sur cette conférence ? … Eh bien je dois avouer que le professeur Crowlley m’a fait une grande impression de par toutes ses recherches, qui je dois l’avouer me laisse admiratif, j’ai d’ailleurs l’intention de me plonger plus profondément dans ses travaux, pourquoi pas en parler à ma famille pour peut être envisager de faire un don pour la recherche … » Voilà comment une fois de plus je jouer le modèle du parfait étudiant tout en venant à envoyer un message à ma famille qui serait par obligation pour leur image de concilier. Je ne leur parlais plus depuis bien fort longtemps maintenant, mais j’aimais ainsi à travers les médias les faire agir à ma guise, ils allaient ainsi devoir débourser de leur fortune une certaine somme pour la recherche pour cette maladie, à moins de se valoir obtenir une mauvaise presse, à ce moment précis je me sentais si puissant que ne remarquais pas à première vue ton arrivée. À peine t’avais-je remarqué que tu m’embarquais déjà avec toi, j’eus à peine le temps de lancer quelques mots aux journalistes « Apparemment mon attrait pour les recherches du professeur Crowlley vont être rapidement comblées ! ».

Tu m’emmenas jusqu’à une pièce isolée de la réception, qui à coup sûr signifié que tu mourrais d’envie que nous nous retrouvions seuls, toi et moi. Je te regardais alors agir avec toute sa fougue et ton entrain. Tu verrouillas la porte derrière nous ce qui me fit légèrement sourire, tu semblais vouloir passer directement à l’acte, je t’avais donc bien excité avec mon agissement antérieur. Je te laissais alors prendre les devants et écoutais chacun de tes mots avec un léger sourire en coin. « Je joue autant que vous monsieur le professeur … et celui qui risque le plus entre nous, c’est bien vous ». Sentant tes mains venir se poser sur mes hanches, un frisson me prit dans tout le corps et quand tu vins à me plaquer contre la porte verrouillée, je dois bien avouer que cet élan d’état animal m’excita au plus haut point, d’autant plus que tu continuas avec des baisers au creux de mon cou, partie très sensible chez moi. Grognant de plaisir à chacun de tes gestes, je te laissais faire, même si au fond de moi je ne voulais pas te laisser avoir accès au fruit défendu aussi rapidement, que serait notre jeu, si tu atteignais aussi rapidement la récompense. Je ne voulais pas m’avouer vaincu et c’est ainsi que je décidais de prendre les choses en main pour rendre la situation beaucoup plus difficile pour lui. Je posais ainsi mes mains sur ton torse et te repoussais contre une table présente dans la salle. Tu te retrouvais donc maintenant en position de soumis, à moitié allongé sur cette table. M’avançant doucement vers toi, le regard lascif et plongé dans le tien, te chevauchant, je vins à me pencher au dessus de toi, avant de venir effleurer tes lèvres du bout de mes doigts « Il semblerait que quelqu’un soit pressé ici …  mais vous savez certainement mieux que moi, que la patience cela paye toujours contrairement à la précipitation ». Décidant tout de même de t’offrir un avant goût de la chose, que posais finalement mes lèvres sur les tiennes et t’offrait ainsi un baiser langoureux. Tu es terriblement sexy, séduisant tout ce qu’on voudra, tu m’attires indéniablement et tu me fais de l’effet j’en suis conscient et habituellement je n’aurais pas réfléchis deux secondes avant de passer à l’acte, mais là je craignais qu’en agissant ainsi, notre petit jeu prenne fin et je l’aime bien trop pour m’en séparer aussi rapidement. Terminant notre baiser qui avait fait monter la température de plusieurs degrés, je le terminais en te mordant la lèvre inférieur, avant d’avoir une petit idée derrière la tête pour faire en sorte de ralentir les choses « Hum vous voulez bien attendre quelques minutes ici … j’ai une petite idée pour pimenter notre jeu, mais pour ça il faut que je sorte d’ici pour aller chercher un petit quelque chose … vous ne le regretterez pas, je vous le promets ». Ne lui laissant pas trop le choix, je me redressais et quitté ainsi ma position de dominant pour rejoindre la porte que je déverrouillais, avant de te lancer un dernier regard « J’espère qu’à mon retour vous serez toujours aussi entreprenant monsieur le professeur … » Je quittais finalement la pièce pour me diriger vers le buffet.

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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 15 Fév - 19:20

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Il sait d'avance que déjà dans la salle de réception ça discute de son départ précipité. Surtout après avoir attrapé Aaron par la main. Sa réputation est sulfureuse et même le directeur d'Oxford sait que Eliakim n'est pas un professeur bien sage. Mais il ne peut pas le virer simplement car Eliakim est un professeur adoré par ses élèves et que c'est bien rare qu'il y ai des absents dans sa classe. Il est proche de ses élèves, professionnellement disons. Il les soutient, les aides car ils ont besoin et surtout il est un enseignant cool et pas prise de tête, par comme certain de ses collègues et au passage, vieux croûtons de l'université. Lui il met tout le monde sur le même pied d'égalité, seulement car il ne veut pas de différence dans ses cours. Pour cela il est un des professeurs les plus aimés dans Oxford et il ne devrait pas se faire virer avant longtemps. Et puis les élèves avec qui il couche sont majeurs et vaccinés, autant dire qu'il ne fait plus dans l'adolescent depuis... Jamais. Il a toujours eu un goût prononcé pour les gens plus âgés que lui, même lorsqu'il avait 15 ans.

Cela le faisait sourire l'idée qu'on parle d'eux dans la salle de réception, nul n'avait râte les deux hommes filant dans une pièce loin de tout et de tout le monde. Sans doute pour parler comme l'avait dit Aaron, où autre chose c'était à voir. Il souriait comme un idiot en imaginant le regard choqué des hommes dans la pièce à côtés, sachant que ces derniers allaient en parler pendant les dix années à venir. Un scoop, et un comportement indigne grand dieu ! Il se moquait tellement des conventions qu'il s'amusait à les bousculer chaque fois qu'il le pouvait. C'était un jeu depuis que son père avait voulu le brider dans un moule qui n'était pas fait pour lui. Voulant rendre son fils bien propre sur tous les niveaux, faire de lui un garçon digne des grandes familles nobles. Il avait hurlé en voyant jour après jour, qu'il avait engendré un anarchiste, c'est ainsi qu'il l’appelait. Il prenait un plaisir masochiste à faire tous les contraires des ordres qu'on lui donnait et il s'affichait ouvertement avec des jeunes femmes, des hommes mais aussi avec les plus grands voyous de la ville. Ce qui lui avait apporté un allé simple pour Oxford, loin de Londres sa ville natale. Mais il adorait faire cela et malgré sa condition, il ne vivait tellement pas comme les gens de son rang.

Aaron était comme lui. Il courait les lits qui voulaient bien l'accueillir, sans se prendre la tête mais en donnant toujours une belle image. Ils étaient si semblables sur tant de points que leur rencontre et leur fréquentation était inévitable. Ils étaient fait pour s'entendre, se rencontrer, se parler et se retrouver dans le caractère de l'autre. Et puis surtout c'était impossible qu'ils ne se plaisent pas et qu'ils ne finissent pas par se draguer. Il ne savait pas comment cela avait commencé, Eliakim avait peut-être fait le premier pas où alors c'était Aaron. Ce n'était pas étonnant, ce dernier pouvait se montrer très têtu et persuasif lorsqu'il voulait quelque chose. Il était rare que quelqu'un ose se refuser au bon brun et Eliakim n'allait pas contre-dire cette règle fondamentale. Aaron le voulait, il voulait Aaron alors pour se priver ? Ils se retrouvèrent ainsi dans une pièce éclairée d'une lampe discrète, projetant une lumière chaude qu'on aurait pu qualifier de sensuelle. Cette petite pièce devait être une classe où autre chose il s'en moquait, rien ne lui importait plus que les lèvres chaudes du beau brun sur sa bouche affamée.

« Je joue autant que vous monsieur le professeur … et celui qui risque le plus entre nous, c’est bien vous » Répliqua Aaron avec un sourire, alors que lui même avait lancé ce jeu dangereux. Eliakim haussa les épaules car il se moquait totalement de ce qu'on pouvait penser de lui à cet instant. « Je te rassure, d'ici 15 minutes la pièce à côtés sera déserte tout simplement car la réception ne devrait pas durer. » Surtout si il n'y est pas, les journalistes et autres invités vont décamper en voyant les deux hommes s'enfermer dans une pièce à part. Au mieux ils penseront qu'ils sont venu discuter tranquillement, loin des regards indiscrets et d'ici quelques minutes ils n'auront plus de voisins indésirables. Un avantage si il fait hurler Aaron d'ailleurs. Avant que Eli' ne puisse réagir son futur amant le poussa contre une table. Le professeur se laissa faire, trop heureux de le voir dominant et de ce fait, très sexy. Eliakim s'allongea pratiquement sur la table alors que le beau brun le chevauchait avec un sourire des plus charmeurs. Aaron vint frôler les lèvres d'Eliakim du bout des doigts, ce dernier avec une lueur coquine dans les yeux attrapa l'index de son futur amant entre ses lèvres, pour le suçoter quelques secondes. « Il semblerait que quelqu’un soit pressé ici …  mais vous savez certainement mieux que moi, que la patience cela paye toujours contrairement à la précipitation » En effet il n'était pas du genre patient, ce n'était pas un don que le ciel lui avait accordé. Semblant lire dans son esprit le bel Apollon se pencha pour l'embrasser langoureusement alors que le professeur posait ses mains sur les hanches offertes de l'autre homme.


« Hum vous voulez bien attendre quelques minutes ici … j’ai une petite idée pour pimenter notre jeu, mais pour ça il faut que je sorte d’ici pour aller chercher un petit quelque chose … vous ne le regretterez pas, je vous le promets » Avec un grognement il vit Aaron se lever, quitter son bassin pour se replacer sur ses jambes. Aussitôt toute chaleur le quitta et ses mains ne rencontrèrent que le vide. Il était frustré mais tout de même impatient de voir ce que le bel homme allait lui préparer. Pour une fois il allait attendre, il se redressa sur la table et sortit une cigarette de son paquet. Il l'alluma alors que le beau brun sortait de la pièce avec une dernière phrase. « J’espère qu’à mon retour vous serez toujours aussi entreprenant monsieur le professeur … » Il tira une première latte, la fumée lui brûla la gorge mais il passait son impatience dans le bâtonnet cancérigène. « Compte sur moi beau gosse... » Avec un sourire il sortit également de sa poche le petit carré en plastique contenant un préservatif et donné par Aaron quelques minutes auparavant. Il le posa sur le bureau proche de lui et continua de tirer sur sa cigarette, tendant l'oreille pour entre quelques personnes parler encore dans la pièce à côtés.  

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 15 Fév - 23:26

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

S’il y avait bien une chose que les gens savaient à mon sujet, c’est bien mon goût pour le jeu et surtout le jeu dangereux. En tant que professeur, outre ton statut quasi invisible et inoxydable que tu crois détenir de par ta popularité au sein de cette université et auprès de la presse, tu ne devrais sans doute pas penser que tu en es pour autant un vainqueur. Puisque quand on joue avec moi Aaron Evans, il faut s’attendre à tout et surtout au pire, notamment lorsque l’on s’aventure avec moi dans un jeu de séduction où les limites semblent impalpables, voir inexistantes. N’ayant depuis un peu plus de six ans plus eu l’occasion de goûter aux satisfactions de l’amour, je m’étais tournée vers le sexe et les excès en tout genre pour faire pimenter ma vie. Aujourd’hui il ne se passait pas un jour où je ne consommais pas le plaisir de la chair ou bien le fait que je me mette en danger en usant de l’excès par n’importe quel moyen. Aujourd’hui en jouant ce petit jeu avec toi, voilà que j’alliais les deux aspects qui agrémenter ma petite vie de banal étudiant.

Nous nous étions alors rapidement retrouvés seuls par ton initiative enjouée, dans une pièce dont l’usage devait certainement être celui d’accueillir certains cours de l’université. Le peu de lumière présent dans cette salle rendait l’atmosphère, adéquat et propice à une partie de jambe en l’air passionnée et brutale comme tu pouvais en rêver, j’en étais de plus en plus sûr. Ton excitation, ton palpitant pour ce souhait de me dévorer, de pouvoir goûter au fruit défendu tant désirable que je représentait, ce lisait dans ton regard, dans tes mouvements. Tu étais tel le chasseur avide de capturer sa proie, dans un combat acharné et pleins de rebondissements je te l’assure. J’aimais tellement ce jeu entre nous, que j’y prenais un malin plaisir. Seuls dans cette pièce les choses commençaient alors à dériver vers ce que tu attendais, à savoir un certain rapprochement entre nos deux corps. Je dois avouer que tes initiatives ne me laissait pas indifférent, tu avais ce charme de l’homme mature à son paroxysme, que tu représentais parfaitement. La tentation de me laisser aller entièrement à toi tout de suite se faisait ressentir, je pouvais totalement voir en effet à quel point tu pouvais me faire de l’effet, car le moindre des tes rapprochements, de tes baisers caressants ma peau, avaient le don de me faire frissonner et de rendre ma virilité assez réceptive également. Nous étions deux adultes consentants prêt à consommer l’une des plus merveilleuse chose existant sur cette terre, le sexe. Et je savais d’avance qu’avec toi ce serait bien plus qu’un simple bon coup. Ce serait définitivement une partie de jambe en l’air dont je me souviendrais durant longtemps. Tu avais cet aura qui me faisait croire que sous ces airs de parfait gendre idéal que tu dégageais à première vue, se cachait une véritable bête de sexe, avide de pulsions sauvages, délirantes et que beaucoup de personnes n’oseraient imaginer, par peur de pêcher. De mon côté tu ne me faisais pas peur, bien au contraire, ce côté sombre qui se dégageait de toi, du moins que j’arrivais à percevoir rendait mon désir de consommer le plaisir de la chair avec toi, bien plus présent.

J’avais alors entreprit de te repousser pour mieux te chevaucher, avant même de déposer quelques baisers, te laissant ainsi un léger, très léger avant goût de ce à quoi tu aurais droit en ma compagnie. Bien entendu je ne comptais pas coucher avec toi dessuite, je mérite quand même mieux qu’une simple salle de cours à la lumière si peu évoquante, que mon corps n’en serait pas mis en valeur. Non si tu désirais coucher avec moi, tu devrais mettre plus de moyens en avant pour pouvoir y avoir droit. Avec les autres hommes dont j’avais l’habitude de collectionner chaque jour, il m’était bien peu égal de savoir où et comment allait se dérouler notre ébat, c’était presque devenu une routine sans réel plaisir opportun. Je m’occupais d’eux en leur démontrant à quel point je pouvais être viril et endurant puis les renvoyaient chez eux, ne leur laissant jamais l’occasion de pouvoir dormir à mes côtés, chose que je me refusais de faire depuis ma rupture avec Andrea. Enfin bref, tout ça pour venir au fait que je trouvais un stratagème pour ralentir les choses et trouver ainsi comment mettre en valeur notre escapade. Je quittais alors rapidement les lieux te laissant en plan, avec un certain enthousiasme que j’avais du mal à dissimuler en te voyant ainsi fumer une cigarette, en guise de roue de secours. Je n’avais bien entendu pas l’intention de revenir dans cette pièce, qui ne méritait pas que je m’offre ainsi à toi. Tu voulais qu’on baise ensemble comme on en mourrait d’envie l’un et l’autre, pas de problème, il fallait simplement que le lieu soit assez original et surtout beaucoup plus adéquat pour que tu puisses apprécier la vue de mon corps nu et que réciproquement j’apprécie le tien. Certes je ne voulais pas de romantisme dans tout ça, je voulais du sex pur et dur, mais il y avait certaine conditions, dont la mise en situation, qui se devait à la hauteur de la personne que je suis.

Me retrouvant alors rapidement dans la salle de réception, qui s’était déjà faite bien vide, j’interpellais un serveur. Lui dérobant deux coupes de champagne, je demandais tout en lui glissant un gros billet vert dans la poche de son pantalon « Sois-gentil mon grand, tu vois la porte là-bas, dans cinq minutes tu y entre et tu dis à l’homme qui s’y trouve de me retrouver à la piscine olympique présente dans le gymnase de l’université … Rajoute aussi qu’il devra se montrer beaucoup plus attentionné à mon égard s’il désire obtenir ce qu’il attends » Terminant par un clin d’oeil, je quittais enfin les lieux. Il me fallut ainsi pas plus de dix minutes pour rejoindre le gymnase de l’université. En cette fin de soirée il n’y avait personne et j’en profitais ainsi pour me diriger vers la piscine olympique, j’allumais alors toute les lumières, ici on pourrait parfaitement profiter de toute la vue que nos corps nus allaient nous offrir. Je me dirigeais finalement vers le plongeoir où je viens à m’installer en attendant mon invité. Un bruit de porte se fit rapidement entendre et c’est un sourire aux lèvres que je laissais entendre quelques mots « L’un de mes fantasmes …  c'est de me laisser aller avec un professeur dans la piscine de l’université »

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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 16 Fév - 2:13

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Sa réputation est déjà faite depuis longtemps et pourtant il n'en a pas honte. Tout le monde sait que Eliakim est un gros dragueur et que si vous lui plaisez, vous aurez peut-être la chance de rentrer avec lui. Mais ce n'est pas toujours, pas tout le temps surtout parmi les élèves. Il choisit les étudiants qui ne parleront pas, au risque de faire exploser sa réputation. Même si il pourrait rentrer tous les soirs chez lui avec une personne différente. Mais ce n'est pas son but, il est calmé depuis quelques temps. Alice aura apaisée son côtés don Juan. Mais Aaron ravive cette flamme qu'il pensait endormi, avec son beau sourire et cette lueur provocante dans les yeux qui fait craquer Eliakim. Il doit avouer qu'il n'a pas eu d'amant depuis un moment, tout simplement car il n'en voulait pas et que la dernière personne avec qui il aura passé une nuit est une belle blonde, étudiante également. Il sait que Aaron n'ira pas trop se vanter, faisant prendre des risques au professeur. Ils sont pareil, totalement identique et pourtant il a l’impression de déjà le connaître.

C'est idiot il l'a peu rencontré et tout de suite ils ont commencés à se charmer. Pourtant il semble savoir comme réagir avec lui. Aaron n'est pas un simple beau gosse rencontré dans un bar qui cherche à se faire sauter, vulgairement contre un bureau de faculté. Il vaut mieux que ça alors Eliakim doit avoue qu'il est étonné de voir le beau brun répondre à ses baisers. Le toucher, le caresser comme si il voulait lui faire l'amour dans cette pièce dénué de charme. Ce n'est pas un problème Eli' l'aura déjà fait en salle de classe, mais il aurait pensé que Aaron aurait témoigné plus de résistance. Il se trompe ? Tant pis, il fera avec ! Et puis c'est tout autant excitant ! Même si il sent son envie décupler alors que le beau brun s'éloigne de lui avec un sourire aguicheur. Il a quelque chose d'autre de prévu alors léger comme une plume il quitte la pièce sans un bruit, dans un leger courant d'air. Au passage il laisse son parfum dans la pièce et Eliakim ferme les yeux en sentant cette odeur masculine. Invictus de Paco Rabanne, fort et puissant, doux et sensuel. Le professeur dans un dernier mouvement se passe la langue sur les lèvres sensuellement, récoltant les dernières saveurs de la peau bronzé de son ange éphémère. Sans trop croire à ce qu'il vient de se produire il vient toucher du bout de ses doigts son cou, là où quelques minutes auparavant Aaron l'embrassait.

Il ne sait pas combien de temps passe mais il trouve le moment long. Sa cigarette se consume sur sa main jusqu'à venir lui brûler les doigts. Il la lâche dans un sursaut, tant il était prit dans ses pensées. En grimaçant il regarde sa main, deux belles marques rouges se dessinent sur ses doigts. Ce n'est pas bien grave mais c'est tout de même douloureux. Il sait qu'il va devoir mettre de l'eau sur la brûlure, car un tissu brûlé enflamme les tissus voisins et la blessure poursuit son chemin, pour au final s'agrandir. Alors qu'il écrase le mégot sur le sol quelqu'un ouvre la porte. Le serveur, un jeune homme qui paye sans doute ses études en assurant le service, lui indique que Aaron a filé. Eli' dans un geste qu'il ne contrôle pas fronce les sourcils mécontent. « Mais il a dit de le rejoindre à la piscine olympique... » Le professeur relève la tête et passe prêt du jeune homme en sortant. Au passage il lui glisse quelques billets juste pour le remercier et car il se fait déjà un filme de ce qui va suivre. « Vous avez oublié ça ! » Alors le blond se retourne alors que, rouge comme une pivoine, le serveur lui tend le petit préservatif. Avec un sourire Eli' le prend et le cache dans sa poche. « J'en aurais besoin... Merci ! »

Mais avant de rejoindre la piscine il fait un détour par le buffet offert, pas encore débarrassé. Le professeur avec un soupir de bien-être plonge sa main dans un saladier de glaçons fondue où plutôt dans de l'eau glacée. Cela arrête la brûlure sur ses doigts et pendant quelques secondes il reste ici, la main dans un plat plein d'eau tel un idiot. Pourtant il prend cela avec le sourire et il attrape même une coupe de champagne pleine. Il l'avale cul sec, elle est encore fraîche et cela lui fait du bien surtout avec la températures qui est montée dans la pièce où il était avec Aaron. Quand il sent que sa main va mieux il attrape une serviette et tapote ses doigts sur le tissu afin de faire disparaître les dernières traces d'eau. Mais avant d'aller vers la piscine il se sait d'une bouteille de champagne à peine entamée et de quelques glaçons qu'il fait tomber dans une poche en plastique échouée sur la table. Il attrape le tout et se dirige jusqu'au gymnase et plus particulièrement vers la piscine, lieu de rendez vous de ce cher Aaron. Il ne croise personne et c'est une chanson, on pourrait le prendre pour un voleur avec sa bouteille de champagne. Il trace d'un pas rapide, le froid lui mord les joues pourtant il ne le sent pas, seul la lumière de la piscine le fait avancer.

Rapidement il arrive, pousse la grand emporte et une fois entré, il ferme à clé l'unique entrée encore ouverte. Ainsi ils seront tranquille et le risqueront pas d'être importuné par des voyeurs. « L’un de mes fantasmes …  c'est de me laisser aller avec un professeur dans la piscine de l’université » Une voix chaude perce le silence de la pièce. Avec un sourire Eliakim lui répond en s'approchant doucement. « J'espère que ce professeur ce sera moi... » Dans un coin trône une petite chaîne HI-FI dernier modèle, sans doute pour divertir les nageurs lorsqu'ils viennent. Le professeur part allumer l'appareil, branche dessus son Iphone et sélectionne une compilation de quelques chansons. Le volume est bas même si ils peuvent l'entendre tout de même, en fond sonore. La première chanson n'est autre que SexyBack de Justin Timberlake qu'il trouve très sensuelle lorsqu'elle est dans le bon contexte. D'un pas léger et prudent il s'approche de sa future victime, assisse sur le plongeoir et l'attendant sagement. Enfin il s'agenouille devant lui pour se retrouver à sa hauteur. Il tente d'approcher son visage pour lui voler un baiser mais s'arrête à quelques centimètres. « Maintenant je vais te faire découvrir les cieux de feu et de glace... » Avec un rictus amusé il le pousse à s'allonger sur le plongeoir. Heureusement ce dernier est assez large pour accueillir les deux hommes sinon ils seraient déjà dans la piscine.

« Ferme les yeux et laisse moi faire... » Avec précision il défait les boutons de la chemise d'Aaron et l'ouvre, dévoilant un torse imberbe et bronzé, tout ce qu'il aime ! Eliakim plonge sa main dans la poche de glaçons et sort un petit carré gelé. Il le pose dans le cou du beau brun, lentement jusqu'à le faire glisser sur son cœur. Il frôle à peine sa peau et pourtant elle fait déjà fondre le glaçon. Alors que ce dernier arrive proche du nombril du beau brun Eliakim se penche et prend le morceau de glace dans sa bouche. Il refait le même chemin jusqu'au cou de son futur mais en alternant langue chaude, bouillante même et glaçon gelée. Au passage il s'arrête sur un des tétons du beau brun avec qui il joue quelques secondes, s'amusant à passer le carré glacé dessus pour le faire durcir, avant de le réchauffer de sa langue. Il fait de même avec l'autre petit bout de chair rose avant de remonter sur le cou mal rasé de l'étudiant. Le glaçon n'est plus, il aura fondu sur le torse d'Aaron, laissant quelques gouttes d'eau sur sa peau. Avec un sourire il chante l'un des derniers couplets de la musique. « Dirty babe, You see these shackles, Baby I'm your slave, I'll let you whip me if ,I misbehave, It's just that no one makes me feel this way » Coquin, Tu vois ces menottes bébé, je suis ton esclave, Je te laisserai me fouetter si je me comporte mal, C'est juste que personne d'autre ne me fait cet effet

Il attrape la bouteille et fait couler quelques gouttes de champagne dans la bouche d'Aaron, un sourire coquin sur les lèvres. Sans attendre il s'approche de lui et vient suçoter sa lèvre inférieure, appréciant le goût alcoolisée de sa bouche. « Alors, je poursuis ? Ce n'est que le commencement... » Derrière eux la chanson se termine pour une autre mélodie, Crystallize de Lindsey Stirling. Les premières notes de violon englobent la pièce, Eliakim attend sa réponse.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 16 Fév - 19:53

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Contrairement à ce que l’on peut croire je ne suis pas un être sans coeur avide de chair fraiche et uniquement de chair fraiche. Certes j’ai couché dans ma vie avec une multitude d’hommes, tellement qu’aujourd’hui je ne pourrais vous donner un nombre, certes je profite de cet apport régulier de nouveaux étudiants bien sous tout rapport à l’université, mais il en reste que malgré mon addiction pour le sexe, j’aime que cela soit fait de manière à ce que l’on me respecte un minimum. Je ne dis pas que je suis contre des pratiques bestiales, voir même quelques peu sadomasochistes (à un certain degré tout de même) pendant l’acte, mais ce que je veux dire c’est que je ne suis pas un simple vulgaire homo qui ne se respecte tellement pas, qui se laisserait ainsi aborder et attraper aussi facilement dans un lieu quelconque. J’aime que l’on me mette sur un piédestal, que l’on prenne en considération le fait que je sois différent de tous les autres. Je suis peut être narcissique, prétentieux voir même égocentrique, mais je sais surtout ce que je vaux. Mon physique m’avantage certes énormément dans de nombreuses situations, pourtant je ne suis pas non plus le plus bel homme de cette terre, je me qualifierai même de plutôt banal, mon truc en plus c’est tout ce qui se dégage de moi, ma personnalité, mon charme débordant et surtout mon intelligence qui me permet de cerner rapidement la personne se trouvant en face de moi et ainsi de savoir comment interagir au mieux pour obtenir ce que je veux. C’est ainsi que dans mon jeu avec toi mon cher professeur, j’avais de suite cerner ton attrait pour la séduction, le jeu, mais pas seulement, j’avais aussi remarqué que tu pouvais être un parfait gentleman sous tes apparences d’homme inaccessible et imposant. C’est donc dans cette optique là que j’avais décidé de jouer ce soir. J’avais donc intelligemment lancé la première offensive, à savoir mon intervention lors de ta conférence, suivi de mon clin d’oeil murmuré, j’avais par la suite continué dans cette démarche et je t’avais abordé durant le brunch de réception en te glissant un préservatif dans la poche de ton pantalon. Sans tarder alors tu avais à ton tour engagé la joute dans laquelle nous nous retrouvions et tu m’avais alors rapidement embarqué dans cette pièce isolée à la lumière évasive. C’est à ce moment précis que mon cerveau se mit à m’envoyer quelques signaux d’alarmes, en me rappelant que je valais bien plus qu’une simple baise dans un endroit aussi peu harmonieux.

Voilà pourquoi je me retrouvais maintenant à t’attendre dans le gymnase de l’université et plus précisément dans l’espace de la piscine universitaire. J’avais toujours été passionné par la natation, depuis mon plus jeune âge j’avais eu cet attrait pour ce sport, allez savoir pourquoi … peut être parce que je pouvais inconsciemment mater les sexes parfaitement moulés de mes camarades dans leur petit maillot de bain ou bien simplement parce qu’une fois dans l’eau, j’arrivais à ne plus penser à rien. Je me rappelle que durant mes périodes difficiles d’acceptation de mon homosexualité pour ma famille, après chaque serment, chaque dispute à ce sujet, j’avais cette habitude d’aller me réfugier dans la piscine familiale où je plongeais pour me retrouver sous l’eau où je venais à crier de toutes mes forces pour évacuer toute ma tristesse et ma rage, la piscine avait toujours eu cet effet relayant et apaisant sur moi. Aujourd’hui je ne cherchais pas cet aspect là, non aujourd’hui j’avais choisi ce lieu parce que je le trouvais grandiose. D’abord de part sa taille immense, la piscine de l’université étant réglementée piscine olympique, mais aussi de par le fait que faire l’amour dans l’eau m’avait toujours attiré. J’étais donc arrivé le premier sur les lieux et j’espérais bien que tu ne tardes pas trop à venir me rejoindre. Installé sur le plongeoir j’avalais une première coupe de champagne que j’avais dérobé au serveur plus tôt quand j’entendis alors des bruits de portes se fermaient. Ne craignant même pas que cela soit quelqu’un d’autre que toi, je laissais alors entendre mon enthousiasme à coucher avec un professeur en ces lieux et c’est bien rapidement que ta voix vint à me procurer tout un tas de frissons, lorsqu’elle se fit entendre. Te voyant entrain dans les lieux, je ne peux m’empêcher de sourire, je suis content que tu sois venu. Tu as tellement d’allure, de prestance, que rien que de t’imaginer pour moi le temps de quelques instants, j’en suis tout excité. Je te regarde curieusement, me demandant ce que tu prépares lorsque tu t’en vas dans un coin de la salle et c’est en lâchant un rire amusée que je comprends aux premières notes de la musique, ton petit manège. Je dois avouer que c’est plutôt une bonne idée d’installer une telle ambiance, c’est propice à ce qu’il va se passer plus tard, j’apprécie cette attention. Tu ne tardes pas à venir me rejoindre sur ce plongeoir et je remarque rapidement que tu n’es pas venu ici pour discuter, ton entrain se marque rapidement par une mise en situation, je me retrouve ainsi bien vite allongée sur ce plongeoir, suite à ton action. Ne te quittant pas du regard, tu peux certainement remarqué cette lueur qui brille en moi, je suis curieux et excité de découvrir ce que tu me réserves, chose que je te fais vite remarquer « Je ne demande que ça monsieur le professeur, faites moi découvrir toute votre science … »

Te laissant alors entreprendre les choses, je me retrouve les yeux fermés, allongé sur ce plongeoir à la matière rugueuse. Lorsque tu commences à déboutonner ma chemise, je laisse échapper un léger gémissement rauque en guise d’appréciation. Tu sembles savoir ce que tu fais, alors je n’interviens pas, je profite simplement de ton expérience. Je fus alors bien vite surpris et stimulé par le contact du glaçon que tu poses sur ma peau, mon corps tout entier en frissonne, je me sens parcouru par une vague d’excitation intense. Continuant ton petit jeu avec le glaçon, mais en y ajoutant ta langue, je ne peux bien longtemps nier le fait que tu es doué. J’aime cette façon de commencer les choses, cela installe une ambiance, un certain suspens et plaisir que j’apprécie tout particulièrement. Je sens mes tétons durcir sous cette pression du froid et de ta langue, tu t’amuses avec moi, je le vois, je le ressens et c’est tellement bon. Continuant ton petit rituel, je souris en t’entendant chantonner l’un des couplets de la musique accompagnant parfaitement notre petit jeu. Ouvrant finalement les yeux à nouveau je te regarde alors le souffle saccadé par cette agréable sensation que tu viens de me procurer « Hum … je sens bien ici la patte d’un expert … ne t’inquiètes pas, moi aussi je saurais te satisfaire … » À peine avais-je eu le temps de terminais que je me retrouvais avec du champagne dans la bouche, liquide que tu venais de me faire couler et que tu vins à venir suçoter sur ma lèvre inférieur. Prolongeant ton baiser, je laisse ma langue venir titiller quelques instants la tienne avant de venir écourter tes derniers mots « Tu auras toute la soirée pour continuer à me montrer tes talents, laisse moi prendre les choses en main maintenant, veux-tu ? » Ne te laissant même pas le temps de me répondre, je me laisse alors entrainer par le rythme des violons qui prennent leurs envols dans toute la pièce, dans un écho parfait qui rend cette atmosphère parfaitement adapté à notre situation. J’attrape ainsi la bouteille de champagne dont je me verse quelques gouttes de façon sexy dans ma bouche pour finalement prendre en bouche le col et la bague de la bouteille laissant imaginer une certaine approche de mes talents, si vous voyez ce que je veux dire. La reposant finalement, je m’approche un peu plus de toi, je laisse mon souffle chaud venir caressait ta nuque, avant de te voler un nouveau baiser se voulant plus torride. Prenant mon temps et m’appliquant à cette tâche, je termine enfin et je laisse alors nos deux visages collés l’un à l’autre, mon nez contre ton nez, nos regards plongés l’un dans l’autre et nos souffles se mêlant. Je reste comme ça quelques instants, profitant de cet instant si agréable, pour finalement revenir à notre petit jeu. Aguichant un nouveau sourire, je me redresse doucement, me retrouvant debout sur ce plongeoir et d’un regard aguicheur je te lance « J’ai envie de jouer … ne fais pas cette tête, tu vas apprécier je pense … » J’enlève alors mes chaussures, pour finalement reprendre « On va se poser des questions du genre As tu déjà …. et si jamais tu as déjà fait ce que je dis, tu enlèves un de tes vêtements … » Je te fais signe de te redresser pour me faire face. Me rapprochant alors de toi à nouveau, j’admire à quel point tu peux être séduisant et attrayant, si je m’écoutais je me laisserai aller avec toi de ce pas, mais je m’étais promis de résister et surtout de jouer pour que le plaisir soit encore plus intense. Passant une main dans tes cheveux, puis la laissant glisser sur ta nuque j’exerce une pression pour te rapprocher de moi, que j’aime te sentir aussi près de moi c’est exaltant « On va commencer par des questions toutes innocentes … As-tu déjà couché avec un de tes élèves monsieur le professeur ? » Ne pouvant m’empêcher de rire nerveusement, je n’attendais pas ta réponse pour commencer à déboutonner ta chemise « Je pense qu’on peut directement sauter la réponse et dessuite passer aux actes, qu’en dis-tu ? … C’est donc à ton tour, j’attends ta question ? » continuais-je tout en arrachant finalement d’un coup sec ta chemise, faisant ainsi sauté quelques boutons. Me pinçant la lèvre à la vue de ton torse viril je laissais échapper toute ma satisfaction face à cette vue forte agréable « Hum … j’aime déjà ce que je vois là … »

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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyMar 17 Fév - 23:43

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

La drague était son sport favoris qu'il pratiquait avec ferveur depuis ses 15 ans. L'âge où il avait commencé à prendre conscience de son charme. En effet sa taille imposante, un mètre quatre vingt quinze et sa musculature fin, taillée par des heures de course, de natation et de musculation l'avait grandement aidé à prendre confiance en lui. Alors depuis le début de son adolescent il s'amusait avec les personnes qu'il trouvait à son goût. Sauf lorsqu'il se posait vraiment, chose rare car seul son ex petit ami avait pu se vanter d'avoir calmé le charmeur d'Oxford. Clyde et lui, les deux jumeaux diaboliques avaient cette réputation. Celle de draguer toutes les filles, et hommes pour Eliakim également, mais parfois sans aller plus loin. Cela restait soft, un simple jeux, une distraction comme une autre. C'était une façon de se rassurer mais ça Eliakim ne l'aurait jamais avoué. Il recherchait des bras accueillant car il nourrissait une peur incroyable, celle de rester seul pour toujours. Il avait tant été seul dans son enfance, sans jamais vraiment de repère que cela l'avait traumatisé. Il courait les lits, les bras souvent inconnu afin de se sentir désiré, ne serais-ce que quelques instants. C'était ridicule, il aurait mieux fait de se poser avec une femme, se marier et avoir des enfants. Mais Eliakim avait également peur de la routine.

Il ne supportait pas l'idée d'être installé dans un couple sans passion, sans envie et surtout sans amour. Ses parents du plus loin qu'il remontait n'avait jamais été proche l'un de l'autre. Ils ne se touchaient pas, le s'embrassaient surtout pas et au grand jamais ils ne se sont dis des mots tendres. C'était tabou et Eliakim encore, ne sait même pas si ses parents ce sont aimés. Ils avaient été mariés par obligation, afin d'avoir un enfant qui reprendrait le nom des Crowlley et de ce fait, leur mariage était sans amour. Eliakim comme un grand enfant, paniquait à l'idée de se ranger et de vivre ce genre de relation. Il ne pouvait pas, il ne l’acceptait pas. L'idée seule pouvait le rendre malade. Alors pour cela il ne se prenait pas la tête et acceptait tout ce que les gens autours pouvaient lui offrir. Il allait s'offrir a Aaron par car il ressentait le besoin d'être protégé, câliné pendant quelques minutes. Non ce sentiment il l'avait parfois mais pas aujourd'hui, il avait envie de lui. Il le trouvait charmant, intéressant, joueur et tout cela se composait en un mélange grisant qui rendait le professeur plein de désir.

« Je ne demande que ça monsieur le professeur, faites moi découvrir toute votre science … » La science, son grand amour, la seule amante dont il ne se lasserait jamais et avec qui il finirait sa vie. La biologie lui avait permis de découvrir toutes les facettes du corps humain, chaque partie intéressante, chaque zone érogène pour faire hurler ses amants et maîtresses. Grâce à cela il jouissait d'une réputation d'amant formidable, dont il ne se vantait pas car il adorait prouver ses valeurs plutôt que les affirmer sans preuve à l’appuie. Alors plutôt que parler, il avait prouvé son amour pour le corps humain dans quelques gestes précis et un jeu avec un glaçon. Aaron semblait aimer cela surtout si il en jugeait par ses gémissements. Aaron lui signala qu'il saurait également le satisfaire, avec un sourire il murmura à l'encontre de son futur amant. « Je n'en doute pas... » Il lui demanda aussi de le laisser prendre les reines, Eliakim sagement le laissa faire et attendit qu'il prenne les commandes. Il le trouvait si beau, sous cette lumière claire. Les reflets de l'eau en arrière plan, un sourire charmeur sur les lèvres et les joues légèrement rosées sous l'excitation. Il adorait ce petit air sauvage et si adorable, il aurait voulu le prendre contre lui mais le beau brun se leva d'abord. Ainsi Eliakim laissa ses yeux glisser sur le torse nu et offert à ses yeux.

Légèrement musclé, un bronzage impeccable et un torse à se damner, Eliakim ferma la bouche précipitamment car il bavait littéralement devant cet Apollon des temps modernes. Ce dernier lui signala qu'il voulait jouer et Eliakim du faire une tête pas possible car au même moment, le beau brun avec un rire communicatif lui demanda de ne pas afficher cette moue... Déçu ? Peut-être. Il lui exposa les règles du jeu et en entendant cela Elia marqua un sourire franc. Le professeur se lève sous la demande de son élève et ce dernier, dans un geste tendre vient passer sa main dans les cheveux blonds du plus vieux en se collant à lui. Ce dernier lui offrit ses bras avec un soupir de bien être. Il ne voulait pas lui donner l'impression qu'il désirait seulement une partie de sexe. Il voulait surtout de la tendresse, de l'attention et marquer son amant, lui laisser un goût délicieux sur la langue. Il lui demande si il a déjà couché avec un élève. Eliakim en souriant regarde son beau brun, sans répondre. La réponse est évidente alors sans l'attendre il reprend en déboutonnant la chemise de son professeur. « Je pense qu’on peut directement sauter la réponse et dessuite passer aux actes, qu’en dis-tu ? … C’est donc à ton tour, j’attends ta question ? » Le professeur réfléchit une seconde, se laissant enlever sa chemise blanche qui rejoint le bord de la piscine sans attendre. Il est maintenant torse nu, sa peau claire affiche quelques cicatrices du à des bagarres et notamment une, rose sur son bras gauche. Lorsqu'il avait 16 ans il a été pris dans une bagarre et surtout pour ne pas prendre un cou de couteau il c'est protégé de son bras. L'arme c'est plantée dans son avant bras,s lui laissant une balafre rosée mais peu douloureuse à présent. « Hum … j’aime déjà ce que je vois là … » Le trentenaire avec un petit rire se retourne et lui dévoila son tatouage, un ange au milieu des enfers. « Et ça, tu aimes ? J'en ai un autre mais tu le verras si tu m'enlèves mon jean...» Il le cherche et c'est avec un sourire coquin qu'il termine sa phrase. « Et toi, as-tu déjà couché avec un professeur ? »

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 1 Mar - 19:52

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Je suis en feu, j’ai un vilain désir. Dis-moi maintenant mon beau si tu t’es déjà retrouvé dans un seuil d’excitation aussi extrême que celui qui est entrain de monter en moi en cet instant présent. Penses-tu qu’on ai pu déjà te faire les choses que je vais te faire, je peux t’emmener bien plus haut, je suis tellement en feu que mon désir brûle pour toi. Tu sembles être la réponse parfaite, le seul à pouvoir apaiser le désir qui s’est emparé de moi, depuis que nous nous sommes embarquer dans ce jeu tous les deux. Ah dieu seul sait à quel point tu pouvoir me rendre fou. C’est fou et inquiétant comme tu peux avoir de l’effet sur moi. Il n’y là aucun sentiments qui entrent en jeu, oh non là de là, tout ça n’est qu’alchimie et attirance physique indéniable. Tu dois certainement être plus à même que moi de pouvoir expliquer ce phénomène qui se produit entre nous, puisque tu es semble t-il un génie dans le domaine da la science, de la biochimie … alors dis-moi tout, dis moi pourquoi à ce moment précis je n’ai qu’une seule envie c’est m’abandonner dans tes bras, parcourir chaque parcelle de ton corps, t’embrasser, te toucher et terminer par ce qui m’excite le plus goûter au fruit défendu. Comment l’attraction physique/sexuelle fonctionne t-elle ? Est-ce seulement une attirance physique, une attirance du beau autant conventionnel qu’il puisse l’être ? Ou bien est-ce quelque chose de beaucoup plus chimique ? Je me pose de plus en plus cette question qui attire toute ma curiosité et c’est ainsi que je la garde dans un petit recoin de ma mémoire, pour pouvoir te la poser dans un moment plus opportun.

Nous nous retrouvons donc tous les deux maintenant en plein jeu, torse nu l’un et l’autre. Je dois avouer que te voir ainsi dévêtue m’excite encore davantage, d’ailleurs je commence même à ressentir qu’au niveau de mon entre-jambe une pression s’exerce de plus en plus ce qui veut bien dire ce que cela veut dire. J’observe alors tout en détail chaque parcelle de ton corps, je remarque la cicatrice sur ton bras, que je ne peux m’empêcher de venir caresser du bout des doigts. Ton corps est diablement sexy, tu as vraiment le corps d’un homme. Parfaitement bien sculpté et appétissant. Quand tu te retournes pour me présenter ton tatouage, je dois avouer que je reste sans voix, il est à la fois impressionnant et envoûtant. Il semble avoir une telle signification que retenir de te demander me semble impossible. « Wow je dois avouer que je reste assez bouche-bée devant cet véritable oeuvre d’art … J’aime beaucoup, mais il va peut être falloir m’expliquer ce que cela représente réellement, à moins que cela ne soit l’un de tes plus profonds secrets … » souriant en t’entendant continuer de jouer notre jeu, je ne pus m’empêcher de faire glisser ma main le long de ton dos, pour venir m’arrêter dans le creux de tes reins où je laissais ainsi ma main se faufiler à l’intérieur de ton jean, pouvant ainsi apprécier la fermeté d’un postérieur musclé « Je pense me laisser tenter pour découvrir cet autre tatouage, après une si belle découverte, je doute de n’être déçu par ce prochain, surtout à un endroit si … attrayant » terminais-je tout  enlevant finalement ma main pour venir à te ramener face à moi, en faisant pression sur ton épaule. Me mordant la lèvre inférieur de manière sexy, mon désir pour toi se voulait être une fois de plus beaucoup trop élevé. C’est ainsi que je profitais de ta prochaine question pour accélérer les choses « Je vais peut être te décevoir, mais je n’ai encore jamais couché avec un professeur … de l’université, peut-être que parce que dans mon domaine ils ne sont pas dès plus attractifs … par contre au lycée je pense avoir couché avec la grande majorité de tous mes professeurs masculins … et en particulier mon professeur de sport, il était si hummm … » Attrapant alors tes deux mains, je les amenaient rapidement au niveau de mon jean que je t’invitais à dégrafer « Je pense donc que tu dois me dévêtir de ce pantalon … où je me trouve être de plus en plus serré … » Souriant nerveusement je te laissais ainsi entreprendre les hostilités tout en venant à t’embrasser plus fougueusement que jamais, laissant par la même occasion mes mains venir s’agripper dans tes cheveux. Sentant mon jean descendre en bas de mes chevilles, je m’en débarrassais aussi vite en le faisant rejoindre le tas de vêtements déjà présent près de la piscine. Prolongeant mon baiser, venant même à venir titiller ta langue de la mienne à plusieurs reprises, je te laissais à nouveau prendre ton souffle tout en essayant d’être direct « Tu sais quoi, je crois bien qu’on va arrêter ces stupides questions, après tout on sait tous les deux ce que l’on veut réellement … » Oh oui croyez-moi qu’en je dis ça. Ma seule obsession était de m’abandonner à lui et de partager un plaisir si charnel, que je m’en souviendrai toute ma vie. Ne te laissant à nouveau pas le temps de réellement répliquer, je dégrafer à mon tour ton jean de manière efficace avant de lui faire rejoindre le reste de nos affaires. Voilà que nous étions maintenant chacun face à l’autre vêtue seulement de nos sous-vêtements et à en croire les bosses qui venaient se dessiner, il semblerait que nous soyons plutôt du même avis. Cependant mon esprit de joueur invétéré ne tarda pas à reprendre le dessus et c’est ainsi que tout en reprenant nos baiser fougueux, j’en profitais pour te faire de plus en plus reculer sur le plongeoir, jusqu’au moment où tu ne puisses plus avoir de matière palpable sous ton pied. Arriva ce qui devait arriver tu tombas donc à l’eau, mais en m’y attirant également puisque dans un réflexe bien maîtrisé tu m’entrainas avec toi dans ta chute. Me retrouvant alors bien vite sous l’eau, je nageais rapidement en direction de la surface et venait te rejoindre près du bord où tu te trouvais. T’emprisonnant alors de mes deux bras que je venais à placer de chaque côté de toi, je laissais se dessiner un léger rictus au creux de mes lèvres tout en secouant la tête « Il n’y a pas à dire, vous êtes bien le plus sexy de tous les professeurs de cette université monsieur Crowlley … je me trouve alors bien chanceux de pouvoir me retrouver à moitié nu dans cette piscine avec vous … » Oh oui que tu étais sexy dans cette eau à la température parfaite, ni trop chaude, ni trop froide juste ce qu’il fallait pour s’y sentir parfaitement à l’aise. Ton visage mouillé, tout comme tes cheveux, laissaient ainsi entrevoir toute ta beauté. Ton torse huilant, ruisselant, me procurait tout un tas de sensations qui se répercutaient bien plus bas au niveau de mon anatomie. Me rapprochant alors à nouveau de toi, je venais à t’embrasser le cou, puis le lobe de l’oreille, avant de venir réprimander à nouveau tes lèvres que je venais à mordre sauvagement, les faisants ainsi rougir de douleur. Notre jeu semblait bel et bien engager maintenant et rien ne pourrait venir y mettre fin, du moins je l’espérais.

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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyMar 3 Mar - 23:01

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Son corps se consume sans qu'il ne puisse éteindre ce feu violent, cette braise enflamme son esprit, sa peau, ses reins en une seconde. Il ne se contrôle plus, cette sensation le rendra fou et aussitôt sa tête tourne. Ils ne sont que gémissements, baisers, caresses un peu gauche étant trop pris dans ce tourbillon de désir. Eliakim sent sa gorge devenir plus sèche, sa voix devenir rauque. Pourquoi l'homme est prisonnier de son désir ? Pourquoi nous pouvons devenir esclave de ce que nous appelons l’alchimie ? Justement car il existe entre deux personnes parfois, autre chose que de l'amour. Seulement de l'attirance, un besoin de sentir l'autre. C'est purement physique et mental, l'amour n'entre pas en compte dans ces moments. L'autre personne, que vous l'ayez croisé dans la rue, au travail où en discothèque peut vous rendre fou d'un regard. Elle rassemble tout ce que vous recherchez, votre idéel sexuel comme certain peuvent l’appeler. Eliakim ne ressent pas d'amour pour Aaron ce n'est que de l'attirance, ce beau brun lui semble parfait sous toutes les coutures, sous toutes ses formes il représente le désir en une seule personne. Il aime Alice, elle est son idéal sexuel et sentimental, mais au niveau masculin, Aaron dépasse tout ce que Eliakim aura pu rencontrer. Et puis justement cela fait des semaines qu'ils se cherchent, s'approchent sans se toucher, s'appellent sans se parler, se regarde sans se voir. Tout ce jeu du chat et de la souris ne fait qu’attiser ce feu déjà ardent, brûlant les deux hommes dans une vague de flammes qu'ils ne peuvent contenir.

Pourtant ils ne sont pas des bêtes et dans un effort considérable ils s'arrêtent. Torse nu, l'un contre l'autre ils s'admirent, se sourient, ils sont beaux. Eliakim se retourne afin de lui présenter son tatouage, fait sur mesure. « Wow je dois avouer que je reste assez bouche-bée devant cet véritable œuvre d’art … J’aime beaucoup, mais il va peut être falloir m’expliquer ce que cela représente réellement, à moins que cela ne soit l’un de tes plus profonds secrets … » Ce n'est pas le cas alors le professeur lui répond, se raclant la gorge pour que sa voix devienne plus claire. « Disons que parfois je peux être un ange perdu au milieu des enfers comme je peux être un véritable démon afin d'attirer les pauvres âmes dans mes filets... » Il dit cela en serrant Aaron plus fort contre lui, dévorant son cou à présent. « Je pense me laisser tenter pour découvrir cet autre tatouage, après une si belle découverte, je doute de n’être déçu par ce prochain, surtout à un endroit si … attrayant » La main du beau brun posée sur sa fesse gauche l'électrise. Il sourit sans stopper ses baisers dans son cou, profitant de son parfum qui l’enivre. Pourtant son futur amant décida de répondre à sa question, décrochant un grognement à Eliakim en entendant la fin de sa phrase. « Je vais peut être te décevoir, mais je n’ai encore jamais couché avec un professeur … de l’université, peut-être que parce que dans mon domaine ils ne sont pas dès plus attractifs … par contre au lycée je pense avoir couché avec la grande majorité de tous mes professeurs masculins … et en particulier mon professeur de sport, il était si hummm … » Attrapant les deux mains de son professeur, Aaron les posa sur son jean. Il supplia presque Eliakim ne lui enlevait son jean. Ce dernier avec une lenteur folle dégrafa le bouton de son pantalon et fit glisser la fermeture, libérant de quelques centimètres son membre gonflé. Avec un sourire coquin le blond fit glisser sa main droite dans son jean pour venir frôler son sexe, caressant le témoin de son désir sur toute sa longueur.

Ils s'embrassèrent encore alors que le jean de Aaron rejoignit le bord de la piscine. Enfin le beau brun lui proposa d'arrêter leur jeu et Eliakim hocha vivement la tête, signe qu'il trouvait cette idée plus que géniale. Sans attendre le pantalon d'Eli se retrouva au sol également sans que le professeur n'osent émettre une seule protestation, trop grisé par son envie violente. Ce dernier vint encore quémander les lèvres d'Aaron alors que son futur amant le fit reculer, encore un peu, de quelques pas. Mais avant que le blond ne s'en rende compte il bascula en arrière, en plein dans la piscine et surtout en attrapant Aaron au passage. Réflexe idiot mais pourtant bien humain. L'eau de la piscine fut parfaite pour leur corps en ébullition. Ni trop chaude, ni trop froide. Ils nagèrent jusqu'au bord et le beau brun vint devant son professeur, posant ses mains de chaque côtés de la tête d'Eliakim. Ce dernier avec un sourire posa ses mains dans le dos d'Aaron et fit descendre ses doigts sur ses fesses, sous son caleçon. Sans attendre il fit glisser le sous vêtement sur les jambes fermes du beau brun, et le caleçon coula au fond de la piscine sans qu'il ne lui soit accordé la moindre attention. « Il n’y a pas à dire, vous êtes bien le plus sexy de tous les professeurs de cette université monsieur Crowlley … je me trouve alors bien chanceux de pouvoir me retrouver à moitié nu dans cette piscine avec vous … »

Il remercia son compliment d'un baiser tendre puis plus fougueux. « Je te retourne le compliment... » Aaron vint l'embrasser dans le cou, jouant avec le lobe de son oreille avant de le mordre violemment. Cette zone érogène réveilla le professeur qui lui parla d'une voix suave. « Tu m'excuseras beau brun mais... Je ne peux plus attendre... » Il le poussa légèrement, le fit se s'adosser contre le bord de la piscine. Par chance Eliakim avait pied et c'est avec force qu'il souleva Aaron pour le poser sur le bord, assis et les jambes dans l'eau tiède. Ce dernier se trouvait pile à la bonne hauteur, les hanches au niveau du visage d'Eliakim. Ce dernier se rapprocha pour déposer des baisers sur ses cuisses, jouant avec cette peau fine et tendre, là où ça chatouille tout en excitant. En une seconde il pose ses yeux sur le visage d'Aaron, il le trouve magnifique, incroyablement sexy. Quelques mèches brunes tombent sur le visage de ce bel élève et sa barbe naissante lui donne un air sauvage. Cette idée fait naître une vague d'envie dans les hanches du professeur alors qu'il s'approche de l'entre-jambe de son amant. Il n'est plus que à quelques centimètres et pourtant il joue encore, dépose quelques baisers ici et là, fait monter l'envie et la pression alors que son sexe tendu n'attend que sa bouche. Enfin et dans un mouvement très lent il lui donne ce qu'il attend. Ses lèvres se posent sur son érection, l'englobent dans sa bouche chaude. Son membre palpite sur la langue joueuse du professeur alors que ce dernier pose ses mains sur les hanches fermes d'Aaron pour les pousser contre lui, plus prés, plus proche, il veut le sentir totalement. Un premier va et vient, ensuite un autre pour l’emmener proche du plaisir et le voir se tordre sous les sensations.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 8 Mar - 0:20

Défis  : à l'attention d'Aaron
jusqu'à l'excès

Bonjour Aaron,
Voici le défis que l'on te lance : J'AIMERAIS QU'IL PLACE DANS SON PROCHAIN RP LE MOT "SERPILLIÈRE"  :12:

Bonne chance !
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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyVen 13 Mar - 19:29

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Notre jeu avait maintenant bien trop duré. Il était donc temps de passer aux choses sérieuses et crois moi que mon envie de me livrer à toi, de ne faire plus qu’un avec toi, était bien plus forte que tu ne pourrais le croire. En effet, notre petite joute de séduction qui se déroulait maintenant depuis plusieurs semaines arrivait à sa date de péremption. Il fallait consommer le fruit tant désiré de notre attirance si charnel avant qu’il ne soit plus comestible et surtout plus aussi appétissant. C’est ainsi que ce soir nous avions tous les deux entrepris de faire avancer les choses et donc de passer à la vitesse supérieure. Terminé les regards aguicheurs, les petits mots déplacés ou les gestes se perdant ici et là, ce soir c’était le moment où jamais de prendre en main toute notre envie l’un pour l’autre et de la mettre à l’oeuvre. L’attraction qui nous liée tous les deux était indéniablement plus forte que notre raison, peu importe tout ce qui pouvait bien se passer autour de nous, peu importe les personnes qui étaient présentes, il fallait que l’on consume cette fièvre qui brûlait littéralement nos deux corps, ne répondant plus que par le désir ardent de s’abandonner l’un à l’autre. Ne pouvant plus résister à cet appel machiavélique de ton corps si parfait, si sexy et si appétissant qu’il était, j’avais alors entrepris d’arrêter le jeu que j’avais mis en place et je t’avais alors laissé entendre mon envie de passer à l’étape suivante. Bien entendu dans mon élan, j’avais alors trouvé opportun de profiter de notre présence au sein de la piscine de l’université, pour mettre en place l’un de mes fantasmes pas encore aboutit, à savoir celui de faire l’amour dans une piscine. Tu allais donc devenir l’objet de mon fantasme pour le temps de notre escapade charnelle et j’en étais plutôt fier.


Je me retrouvais alors maintenant dans cette eau à la température parfaitement adéquate à notre ébat qui allait très certainement la faire monter de plusieurs degrés. Face à toi, t’entourant de mes deux bras pour t’empêcher de me quitter dans un instant si crucial qui s’apprêtait de prendre vie, je ne pus m’empêcher de contempler ta beauté si exquise, si parfaite à mes yeux. Tu étais l’archétype même de la virilité et du sex-appeal à mes yeux. Toutes les courbes de ton corps étaient parfaitement accordées. Quand à ton visage, quel visage mama, des yeux si puissants et pénétrants, une bouche à faire succomber les plus réticents et une sculpture de visage si bien dessinée, que je n’y voyais rien à y changer. Tu avais un tel pouvoir d’attraction sur moi que cela en devenait presque apeurant. Comment pouvais-je me trouver aussi faible et aussi attiré par toi. Tu n’es pas le premier homme avec qui je vais coucher, oh dieu que non, mais pourtant à cet instant là, c’est comme si j’allais revivre ma toute première fois. J’avais ce noeud dans mon ventre, mélange d’excitation et de stress qui venait me prendre au plus profond de moi et qui me rendait si fragile et innocent face à toi. Pourtant j’essayais de cacher cette faiblesse en restant persuadé que moi aussi je te faisais de l’effet et que j’avais ainsi un pouvoir à ton égard. D’ailleurs tu ne tardas pas longtemps à me faire comprendre que je n’avais pas si tord que ça, puisque à peine m’étais-je retrouvé face à toi, t’emprisonnant de mes bras, que tu étais déjà venu à te débarrasser de mon caleçon qui se trouvait maintenant bien plus bas, dans les profondeurs de cette piscine. Tu ne t’arrêtas même pas là, puisque sans même que je puisse m’en rendre compte, voilà que je me retrouvais soulever par tes bras forts et musclés, qui étaient venus me poser sur le rebord de la piscine, te laissant ainsi toute l’opportunité de commencer les hostilités en te retrouvant face à mon membre bien masculin, très en forme à ce moment là, dresser au garde à vous. Esquissant un sourire narquois au creux de mes lèvres en te voyant agir de la sorte, je me laissais faire et apprécier tout simplement ce moment de pure délice. Sentant tes baisers d’abord parcourir mes cuisses, puis se rapprocher de plus en plus de mon sexe, je ne peux m’empêcher de remuer de plaisir à chacune de ces sensations. Finalement le moment que j’attendais tant arriva et ça dans un râle de plaisir que je profitais de ta langue et de ta bouche experte, qui venaient s’amuser maintenant avec mon sexe tendu plus que jamais par l’effet que tu lui faisais. Laissant ma tête tomber en arrière, mon souffle vint devenir de plus en plus saccadé et puissant. Je laissais même plusieurs fois entendre des gémissements, étant le signe du bonheur que tu étais entrain de m’offrir.

Le début notre aventure sexuelle débutait à peine, que déjà je ne regrettais pas mon choix d’avoir succomber à la tentation que tu représentais. Je me trouvais là, dans la piscine de l’université entrain de me faire offrir l’une des meilleures fellation que je n’avais encore jamais eu, par le professeur le plus sexy que je connaissais. Rien ne pouvait venir entraver ce moment de bonheur … du moins c’est ce que je pensais jusqu’au moment où j’entendis un bruit de clés venir tourner dans la serrure des portes d’entrée. Mon corps se raidissant aussitôt, j’eus à peine le temps de regarder autour de moi pour trouver une solution que voilà déjà que la porte s’entrouvrait. À mon plus grand malheur alors, je fus contraint de mettre fin à l’excellente gâterie que tu étais entrain de me pratiquer et c’est ainsi que je te repoussais machinalement tout en te criant « Il y a quelqu’un ! Plonge sous l’eau ! Vite maintenant ! » Voyant dans ton regard un brin de déception et d’étonnement, je repris aussitôt « Ce n’est que partie remise ! Fais-moi confiance et plonge sous l’eau, maintenant ! ». Ne prenant pas le temps de voir si tu réagissais positivement à mes mots, je me relevais à vive allure, enfilait mon jean et mon T-shirt qui jonchaient le sol et j’attraper alors la serpillère qui se trouvait près du plongeoir pour je ne sais quelle raison, mais peu importe c’était la seule solution que j’avais trouvé, pour me sortir de cette situation. La porte s’ouvrant finalement de toute son envergure, j’aperçus alors un vieil homme, vers lequel je me tournais un sourire aux lèvres, tout en faisant mine de nettoyer le sol à l’aide de cette fameuse serpillère « Bonsoir monsieur …puis-je vous aider ? » Mon coeur battait la chamade, j’avais peur, très peur même, si jamais on remarqué la présence d’Eliakim avec moi et que l’on faisait le rapport, je risquerai l’exclusion ou pire encore l’interdiction de passer mes examens. Finalement le vieil homme me rétorqua « Je fais juste le tour des lieux, vous devez être le nouvel étudiant chargé de nettoyer la piscine …. » N’en croyant pas mes yeux, j’étais pourtant si soulagé, que mon large sourire laissait transparaître ma satisfaction, je lui répondais alors aussitôt enjoué « Oui oui monsieur c’est bien ça, j’ai bientôt terminé monsieur ! » terminais tout en frottant le sol encore plus fort « Très bien, je repasserai dans une trentaine de minutes, tâche d’avoir terminé, il faut que je ferme les lieux rapidement … à toute à l’heure » Acquiesçant à ses mots par un geste de la tête. Je laissais échapper un soupir de soulagement lorsque la porte finit par se refermer. Laissant alors tomber le manche sur le sol, je me hâtais de rejoindre le bord pour aller checker Eliakim. Arrivant à sa hauteur je le vis remonté aussitôt et je ne pus m’empêcher de pouffer de rire « Hmmmm hmmm le moins que l’on puisse dire c’est qu’on a eu chaud professeur … » Gardant toujours mon sourire amusé, je repris « Heureusement que vous êtes un bon nageur … je préfère même pas imaginer ce qui se serait passé s’il nous avait découvert cinq minutes plus tôt … le pauvre il aurait eu un arrêt cardiaque … » Alors même que j’allais venir me baisser vers toi pour te donner un baiser d’apaisement, je sentis dans la poche du jean que je portais quelque chose vibrer, ce n’était pas mon pantalon, c’était donc le tiens. Sans même réfléchir j’en sortais alors le coupable de la poche et tout en regardant le nom s’affichant sur l’écran du smartphone je te laissais entendre « Il semblerait qu’une certaine Alice cherche à te joindre, déjà trois appels manqués … c’est qu’elle en veut la petite » terminais-je, le regard inquisiteur en ta direction.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptySam 14 Mar - 0:53

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Il ne prêtait même plus attention à la musique tournant dans ses oreilles, il se souvint alors qu'il avait totalement oublié d'éteindre son Ipod et ce dernier diffusait actuellement une musique douce. Il ne voyait rien d'autre que ce beau brun, il lui semblait tout avoir oublié comme si son passé et son futur n'existait pas où comme si sa vie ne pouvait reprendre son rythme normal tant qu'il n'aurait pas ce jeune homme. C'était ridicule mais le désir pour Aaron rythmait ses gestes, ses besoins et ses mouvements. Il se calquait sur l'homme, totalement, épousant ses courbes avec son propre corps. Touchant, palpant, observant cette beauté brute taillée dans le marbre. Eliakim se perdit dans le regard de braise du beau brun face à lui, s'humectant les lèvres car sa bouche était devenue sèche. Les pensées qui déraillent et l'image de sa silhouette qui le suit où qu'il aille, comment oublier cette fusion, ce lien qui unit ces deux hommes qui n'auraient jamais du se rencontrer. Il ne peut expliquer ce qu'il ressent, c'est comme un jeu, nouveau et grisant, il est comme dans un rêve dont il ne veut surtout pas se réveiller. D'ailleurs pour être sur que tout cela est réel il mordille la peau offerte, blanche comme du lait de son futur amant.

Plus, il en veut plus avant de mourir de désir. Alors c'est sans surprise qu'il ôte le dernier vêtement du bel étudiant, qu'il le soulève pour le poser au bord de la piscine. Enfin il le goutte du bout de la langue, comme un met exquis dont on veut préserver la saveur délicate. Aaron est délicieux et, c'est sans surprise qu'il font en lui de ses lèvres chaudes, l'accueillant dans sa bouche joueuse. Cela dure plusieurs minutes qui semblent passer pour des secondes en Eliakim, tant cela lui semble court. Bientôt son nouveau jouet lui est retiré et c'est avec une moue râleuse qu'il regarde Aaron, cherchant des explications qui ne viennent pas. A la place le professeur devra se contenter d'une petite phrase murmuré à la va-vite. « Il y a quelqu’un ! Plonge sous l’eau ! Vite maintenant ! » C'est enfin qu'il comprend, quelqu'un arrive et tout ceci explique la panique de Aaron. Mais et leur partie de sexe endiablé ? « Ce n’est que partie remise ! Fais-moi confiance et plonge sous l’eau, maintenant ! » Il doit sans doute avoir pensé la même chose et avoir vu la déception dans le regard du professeur car il le rassure rapidement. Eliakim n'attend plus et alors que Aaron est déjà hors de la piscine, il prend une bonne bouffée d'air et plonge sous l'eau. Le liquide tiède le recouvre entièrement, il ouvre les yeux, il voit à peine.

Le chlore lui pique les yeux, il craint de manquer de souffle et pourtant il se sent bien. Heureusement il est un bon nageur et il devrait tenir si ça ne dure pas trop longtemps. Pendant quelques secondes il fait des mouvements de bras discret, cet élément l'apaise, il n'entend plus rien sauf les battements de son propre cœur qui raisonnent dans l'eau. Il lâche un peu d'air, croise les doigts pour que personne ne s'en rende compte. J'espère qu'il ne sera pas trop long... sont les pensées de Eliakim alors qu'il entend une porte claquée, peut-être que le visiteur est parti ? C'est sur lorsque Aaron se tourne vers la piscine. Enfin le professeur sort la tête de l'eau et prend plusieurs bouffée d'air frais. « J'ai cru qu'il partirait jamais ! » Il lâche ça avec un sourire, soulagé tout de même car ils ne ce sont pas fait prendre, Aaron risquait sa place à Oxford et Eliakim sans doute sa place. Coucher avec un élève est une chose, être prit en flagrant délit et qui plus est dans les locaux de l'université est autre chose. « Hmmmm hmmm le moins que l’on puisse dire c’est qu’on a eu chaud professeur … » Et comment ! C'est peu dire même si cette situation fait rire le beau brun qui ne lâche pas son sourire amusé. Eliakim fait quelques brasses en direction du bord afin de sortir de la piscine. « Heureusement que vous êtes un bon nageur … je préfère même pas imaginer ce qui se serait passé s’il nous avait découvert cinq minutes plus tôt … le pauvre il aurait eu un arrêt cardiaque … » Son rire est communicateur et c'est avec un sourire tout aussi enchanté que Eliakim sort de la piscine par l'échelle après avoir récupéré évidemment, au fond de la piscine le caleçon de Aaron.

Alors qu'il pose à peine un pied sur le béton le beau brun lui tend son smartphone. Eliakim fronce les sourcils en prenant le petit appareil. Enfin comme il peut étant donné qu'il est trempe et qu'il ne veut pas mouiller son portable. C'est peine perdue se dit-il alors que quelques gouttes d'eau tombent de ses cheveux sur l'écran du cellulaire. « Il semblerait qu’une certaine Alice cherche à te joindre, déjà trois appels manqués … c’est qu’elle en veut la petite » Il déverrouille son téléphone et jette un coup d’œil à ses messages et à ses appels, effectivement trois de manqués ainsi que plusieurs messages vocaux. « Une seconde... » Tout de même il tend la main vers Aaron et enfin qu'il scelle ses doigts à ceux longs et fins du beau jeune homme, il le prend contre lui. Il dépose aussi un baiser sur sa joue, tendre avec un sourire. Après cela il compose le numéro de sa messagerie vocale et cale son cellulaire contre son oreille. Une voix lointaine fait écho dans son téléphone, pâteuse... Saoule ? Alice ?! De toute façon tu me sers à rien, franchement je te regrette pas et... Merde... Le message prend fin, il l’efface et écoute le second qui est plus récent. Tu me manques même pas tu vois, je suis tombé sur ton numéro et je tenais à te dire que... Au final... T'es carrément un mauvais coup ! Il semble qu'elle ne soit pas seule car il entend des voix derrière elle, sans doute Iseult et Oliver... Il semble qu'elle s'amuse bien mais qu'elle pense à lui tout de même.

Aussitôt il sent un violent sentiment naître en lui, les remords et les regrets, les pires de tous. Alors il compose son numéro et tente de l’appeler une fois, deux fois, cinq fois mais rien, elle ne répond pas et ne semble pas avoir envie de lui répondre étant donné que les deux dernières fois elle a décrochée pour lui raccrocher au nez. Il soupire et range son téléphone, ne sachant que faire. « Alors ce n'est que partie remise c'est ça ? Je pense que je vais te laisser... » Avec un sourire d'excuse il lui demande son jean, l'enfile et remet sa chemise également. Il est trempe mais tant pis, ça sera pour la prochaine fois. Ne lui laissant pas le temps de dire quoi que ce soit Eliakim lui dépose un smack léger sur les lèvres, se détourne et commence à marcher vers la sortie. Mais ses pensées sont bien présente dans cette piscine contrairement à ce qu'il veut faire croire, même si Alice l'aura laissé perplexe, il ne comprend pas ses appels et si il doit donner son avis il est sur qu'il manque à la belle blonde. Elle aussi, plus qu'il ne veut l'admettre même si il se fait violence pour l'oublier. Alors qu'il est à deux pas de sortir il s'arrête, respire un bon coup et se retourne légèrement, doucement afin de regarder Aaron. Que faire ? Le rejoindre et lui faire l'amour comme ils en ont envie tous les deux où alors partir, être sage pour une fois. Il ne peut pas, il le sait. Dieu sait que Eliakim ne peut pas être un ange !

« Et merde ! » Une injure murmurée alors qu'il tape sur la porte de la piscine, qu'il la verrouille et qu'il marche vite vers Aaron, il court presque, il ne voit que ses lèvres, son air amusé, ce sourire charmeur et incroyablement beau. Cette beauté, ce charme, cette aura magnétique qui s'échappe du jeune homme. Enfin vers lui il fond sur ses lèvres dans un baiser tendre, inquisiteur, ne lui laissant même pas le choix de refuser ses lèvres. Calquant son corps contre celui chaud de Aaron, il le serre dans une étreinte virile et ferme, posant ses mains à plat dans le dos musclé du jeune homme pour mieux le garder contre lui. Enfin il se détache, le regarde et lui demande son avis tout de même. « Ne dis rien, ne pose pas de questions, s'il te plait. » Il affiche un sourire et sans ajouter une chose, il tend ses lèvres vers le visage de son amant pour l'embrasser, doucement.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 22 Mar - 15:55

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Je n’avais jamais connu un moment d’excitation aussi intense et puissant, que lorsque le sexy professeur de chimie était venu se poser entre mes cuisses afin de venir déposer ses lèvres expertes entre mes cuisses, afin de m’offrir une gâterie digne de sa réputation. Oh mon dieu que c’était bon, sentir toute la puissance de sa langue venir entouré mon érection bien trop endurcie sous l’effet de mon excitation, un pur moment d’extase. Mais ce plaisir intense fut malheureusement bien trop court, puisqu’il fut interrompu par l’arrivée inattendue du concierge qui venait vérifier que tout était en ordre dans les différents recoins de l’université. Par chance et surtout par mon incroyable capacité à résoudre en très peu de temps une équation compliquée, voilà que je m’étais alors retrouvé à moitié débrayé par l’enfilage de ma tenue à une vitesse ahurissante, le tout en faisant mine d’être le garçon chargé de l’entretien en passant la serpillère comme un débutant. Par chance le vieil homme qui avait fait éruption durant notre partie de jambe en l’air semblait avoir cru à mon histoire et c’est ainsi qu’il était reparti tout en me faisant comprendre que je devais avoir terminer d’ici une trentaine de minutes. Mon coeur commençant finalement à reprendre un rythme normal lorsque ce dernier fut enfin loin de nous, je ne pus alors m’empêcher de sourire en voyant le beau Eliakim remonter à la surface après tout ce temps passer sous l’eau. Il semblait lui aussi être amusé par la situation que l’on venait de vivre puisqu’il avait également un large sourire dessiné sur ses lèvres, ce qui vint à me rassurer.

Le voyant finalement se rapprocher du bord et ensuite sortir de l’eau je ne pus m’empêcher de laisser mon regard plongé sur la partie de son anatomie qui m’attirait le plus … son sexe. Et quel sexe, il avait une réputation qui le poursuivait dans toute l’université (allez savoir pourquoi ^^) et je dois avouer que si auparavant j’avais été trop omnibulé par nos baisers, par ses caresses et sa langue exquise, maintenant que je voyais l’objet de tous les désirs à nu devant moi, c’était ma seule obsession. Obsession qui fut à nouveau interrompu non pas cette fois-ci par l’intervention d’un nouveau concierge, mais plutôt par le vibreur du téléphone de Eliakim qui ne cessait de venir chatouiller mon entre-jambe au travers de sa poche de pantalon. Ne me souciant point de ce qu’il pourrait en penser, je l’attrapais instinctivement et me permettait même de jeter un coup d’oeil sur l’écran illuminé par la présence de plusieurs messages et appels d’une certaine Alice. Surpris par la persévérance de cette fille, je ne tardais alors pas à faire entendre ma surprise de vive voix. D’ailleurs je remarquais immédiatement sur le visage de mon beau partenaire que cela n’était peut être pas synonyme de bonnes nouvelles. Lui rendant son cellulaire, je me laissais attirer dans ses bras et profiter de son étreinte pour venir lui dévorer le cou de plusieurs baisers qui en disaient long sur mon envie de reprendre les choses là où l’on s’était arrêté avant l’intervention du gardien. Continuant mon petit jeu laissant même ma main de temps à autre parcourir ses cheveux mouillés, je fus rapidement contraint de m’arrêter. En effet, le beau professeur semblait soudain beaucoup plus distant et surtout plus renfermé, que se passait-il ? Etait-ce à cause de cette fille, j’avais réellement du mal à comprendre pourquoi il avait un changement de comportement aussi brusque. Après tout même si le vieil homme nous avait interrompu, nous étions maintenant à nouveau seul et ma seule envie était de reprendre où nous nous étions arrêté, oh que oui.

Ma crainte se précisa puisque tu fis rapidement entendre que notre petite escapade allait devoir être reportée à une prochaine fois. Grimaçant à tes mots, je m’exécutais pourtant tel un dominé lorsque tu me demandas ton pantalon et ta chemise. Sans même que je puisse réellement réagir, tu m’embrassais une dernière fois et me quitter, me laissant là complètement dépourvu de tout sens « Au-revoir monsieur le professeur … » murmurais-je sur un ton de déception à peine audible cependant, ne voulant pas rendre la situation plus désinvolte qu’elle ne l’était déjà. Ne prenant pas la peine de te regarder tant aller, car c’était tout de même difficile à accepter de te voir tout abandonner comme ça. Je préférais alors me contraindre à ramasser mes affaires à mon tour, pour me préparer à quitter aussi les lieux, car après tout je n’avais plus rien à faire ici, quoi que je devais laver le sol avant que le vieil homme ne débarque à nouveau … mais non quel idiot c’était l’excuse bidon que j’avais trouvé pour échapper à sa méfiance, en réalité, je n’avais plus rien à faire ici. C’est donc en ayant à peine ramassé mes affaires qui jonchaient le sol ici et là, que soudain mon attention fut à nouveau dirigée vers toi. Tu venais de donner un coup sur la porte et de la verrouiller à nouveau, sauf que tu te trouvais toujours à l’intérieur de la piscine. Que faisais-tu ? Sans avoir le temps de comprendre ce qu’il se passait, voilà que je me retrouvais à nouveau coller à tes lèvres, que je ne pus m’empêcher de mordre, de lécher et d’embrasser avec une passion toute particulière. Voilà que l’amant de mes rêves se trouvait à nouveau face à moi, bien décidé à assouvir ses moindres désirs. Gardant le contact de ma peau nu contre tes vêtements encore mouillés, j’appréciais ta façon d’être venu aussi virilement et bestialement à mon encontre. Ton côté sauvage à cet instant précis raviva en moi ce désir profond qui m’animer en ta présence. « Je ne dirai plus rien … c’est promis » te rétorquais-je alors que nos lèvres se perdirent à nouveau dans un élan de fougue. Reprenant tant bien que mal ma respiration, j’arrachais te chemise dans un élan de passion acharnée et te débarrassais aussi vite de ton jean. Apparu alors à nouveau l’objet de tous mes désirs et cette fois-ci encore plus imposant que jamais. Dans toute sa grandeur, il était si aguicheur et séduisant que je ne tardais pas à empoigner ton sexe d’une de mes mains, commençant même par effectuer des vas et viens sur ce parfait outil de travail. À ce moment précis, je n’avais jamais ressenti autant d’excitation durant toute ma vie. Mon corps tout entier criait famine à ton égard. Continuant mon petit jeu durant quelques minutes je t’entrainais par la suite vers le bureau du maître nageur.

Nous retrouvant ainsi dans ce petit recoin à l’abri des regards je t’embrassais à nouveau avec ma fougue d’antan et tout en plongeant mon regard dans le tiens, dans un souffle saccadé et rythmé par notre ébat je te laissais entendre quelques mots « Je veux que tu me baises sur ce bureau avec toute la puissance et la virilité que tu peux avoir … laisse toute la rancoeur et la colère que j’ai pu voir dans tes yeux toute à l’heure, se transformer en folie sexuelle, maintenant ... en moi ». Si j’aurais voulu être plus précis sur mon envie ardente qu’il me montre ses talents , je n’aurais pas pu. Mon corps tremblait et frémissait à chacun de nos rapprochement, cela devenait une torture douloureuse que de devoir attendre d’obtenir ce que je désirais. Faisant ainsi voler à travers la petite pièce à l’odeur de chlore tous les objets présents sur ce bureau, je vins finalement y approcher mon corps nu et excité par l’étalon se trouvant en face de moi. Frémissant au contact de mon corps chaud contre le bureau froid, je ne le lâchais plus du regard, attendant qu’une seule chose, qu’il vienne me procurer le plus de plaisir possible « Allez fini les infanteries, montre moi ce dont tu es réellement capable … monsieur le professeur » terminais tout en écartant mes cuisses sur ce bureau.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 23 Mar - 1:54

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Eliakim est un homme instinctif qui marche aux sentiments et seulement ça, chose qui fait hurler son père car cet homme est réfléchit, droit et calculateur. Son fils est comme sa mère il fonce souvent sans penser à ce qui peut advenir du lendemain, sans se rendre compte des mots qui sortent de sa bouche. Aaron est le plus pur exemple de ce que Eliakim peut accomplir. Il désire quelqu'un il l'aura ça ne va pas plus loin que ça. Il ne cherchera pas à se justifier, réfléchir, penser à Alice... Il l'aime c'est certain et elle le fait vibrer comme personne, mais Eliakim est un enfant au fond de lui, il ne réfléchit pas et seul ses désirs guident cet homme qui a trente ans devrait pourtant penser comme un adulte et non plus un adolescent. Mais il ne peut pas changer, c'est ce qui fait que à ce moment même il frappe sur la porte de la piscine avant de se retourner pour courir vers Aaron. Il l'embrasse, le colle contre son propre corps et savoure ce contact si délicieux. Une alchimie existe entre les deux hommes et pourtant Eli' est persuadé qu'ils ne s'entendraient pas en couple, ça serait trop fusionnel et passionnel. Ils peuvent avoir des points communs oui c'est certain mais lorsque la passion guide vos pas ainsi, elle n'est pas bonne à vivre tous les jours. La passion est destructrice, elle rend jaloux et violent, possessif à tel point que vous enfermez l'autre dans un cocon sans voir que le monde autour poursuit sa vie. C'est si mauvais que lorsque c'est éphémère comme à cet instant c'est précieux.

Aaron avec un sourit promit de ne plus rien dire à son professeur alors que le dernier ne put s’empêcher de rire contre les lèvres rosées de son futur amant. Il avait été aussi impérieux ? Possible, lorsqu'il voulait il ne prenait pas de gant c'était un défaut en quelque sorte ! Aaron lui arracha sa chemise, faisant sauter quelques boutons qui vinrent se perdre dans l'eau de la piscine avec un bruit significatif. Tant pis il rentrerait à moitié torse nu, les autres personnes se poseraient ds questions enfin fallait-il qu'il croise quelqu'un à cette heure-ci car si on en juge par l'envie de son futur amant, ils vont rester un moment dans cette piscine ! D'ailleurs où pourraient-ils aller, ils ne peuvent pas rester le concierge va revenir ! Pourtant le beau brun avait encore de quoi réfléchir si on en juge par l'idée brillante certes, mais aussi utile d'emmener les deux hommes dans le bureau du maître nageur. Tiens ce dernier est un collègue d'Eliakim et il repenserait à cette sulfureuse partie de jambes en l'air à chaque fois qu'il viendrait le voir dans son bureau ! Avant d'être débarrassé de son jean Eliakim attrapa le préservatif dansa poche mais aussi un autre petit carré en plastique, bien utile prochainement ! Mais avant de faire un seul mouvement il perdit conscience de la réalité alors que Aaron tout en l'embrassant, commença à venir le caresser. Quelques mouvements sur le sexe bien gonflé de Eliakim eurent raison de tous les bons sentiments encore présent dans l'esprit du professeur. Mais voulant rester un minimum maître de la situation il du réunir tout son courage pour détacher cette main qui lui procurait tant de plaisir et d'envie.

« Je veux que tu me baises sur ce bureau avec toute la puissance et la virilité que tu peux avoir … laisse toute la rancœur et la colère que j’ai pu voir dans tes yeux toute à l’heure, se transformer en folie sexuelle, maintenant ... en moi »
Quelques mots qui ont le don d'enflammer le corps déjà bien brûlant du professeur alors qu'il se mord la lèvre violemment, regardant Aaron s'asseoir sur le bureau avec un déhanché digne des plus grands danseurs de ce monde. Il le désire si fort que ça en devient douloureux et lorsque son beau brun envoi les objets présents sur le bureau au sol, il n'entend même pas les bruits de casse, la seule chose qu'il voit c'est ce corps magnifique, cette sensualité évidente qui fait s'embrasser cette piscine. La tension est palpable dans la pièce, ils se défient du regard alors qui cédera le premier, qui sera assez accroc pour faire le premier pas. Pour la première fois de sa vie Eliakim cède et se rapproche, posant à côtés de la cuisse musclé du beau brun le préservatif et le sachet de lubrifiant qu'il garde toujours sur lui ou dans son sac.

Mais au lieu de sauter sur Aaron il se rapproche doucement pose ses mains sur ses hanches et vient l'embrasser dans le cou, glissant sur son torse, léchant, suçant, embrassant, jouant avec ses tétons quelques secondes juste pour entendre sa respiration devenir plus rapide. Ce beau brun le veut et il l'aura, il n'a pas l'intention de fuir où de le laisser dans cet état mais avant il veut le goûter encore, juste assez pour garder sa saveur sur les lèvres pendant encore un moment. Alors avec un sourire il retombe sur sa virilité bien dessinée qui n'attend que lui où plutôt sa bouche. « Avant j'aimerais poursuivre ce que j'avais commencé... » Et à la fin de la phrase il prend son membre en bouche, savourant sa chaleur et sa douceur en fermant les yeux, retenant un gémissement de pure luxure.

Aaron tremble, gémit, se tord dans tous les sens, il est bouillant et plein de frissons, un vrai plaisir pour le regard plein de désir du professeur alors que ce dernier sans arrêter ses mouvements, attrape le sachet de lubrifiant pour l'ouvrir et faire couler un peu de liquide sur ses doigts. Alors tout doucement il prit le temps de préparer son futur amant pendant plusieurs minutes, savourant chacune des sensations qu'il pouvait faire naître en Aaron. Il ne voulait pas le blesser alors quitte à trop en faire il le fit patienter encore un peu jusqu'à ce que Aaron le supplie de venir en lui, trop impatient ? Non car Eliakim devait avouer que lui même maintenant se sentait bien pressé.

Alors délaissant le symbole plus qu'évident de son désir il revint embrasser son amant sur les lèvres en enfilant le préservatif et en faisant couler le rester lubrifiant sur la protection. « Allez fini les infanteries, montre moi ce dont tu es réellement capable … monsieur le professeur » Ce dernier hausse un sourcil alors qu'il attrape les cuisses du beau brun pour les caler contre ses hanches, le tenant bien fermement dans une étreinte des plus puissantes. « Tu ne vas pas en revenir bel Apollon... » Et avec douceur mais fermeté il entre en lui, prenant possession de son corps centimètre par centimètre. Une fois fait il attend, le regarde et l'embrasse pour lui laisser le temps de s'habituer à cette présence étrangère. Et lorsque c'est trop fort entre eux, lorsqu’ils ne peuvent plus attendre Eliakim entame des mouvements amples mais puissants à la fois, faisant claquer le bureau contre le mur, plaquant Aaron contre son propre corps en dévorant ses lèvres. « Tu es magnifique... » Quelques mots murmurés par le professeur alors qu'il se perd dans le regard voilé de Aaron, il trouve cet instant parfait et donnerait cher pour qu'il ne s'arrête pas, où alors pas tout de suite.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyVen 3 Avr - 18:35

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Quand il s’agit de sex, je suis dira t-on quelqu’un de très portée sur la chose. Il est vrai que durant ces six dernière années, je ne me suis pas gêné pour découvrir les joies du sex en tout genre. Mon addiction était apparue comme nécéssaire, pour me libérer du poids de la rupture que j’avais vécu avec Andrea. J’enchaînais ainsi les conquêtes chaque soir en prenant bien soin de ne jamais laisser aucun sentiment entré en jeu. Ce n’était que du pur sex et rien d’autre. Un moment de pur plaisir où je me laissais abandonner à penser qu’à mon propre plaisir, sans réellement penser à ce que cela pouvait engendrer dans la tête de certaines personnes. De toute façon je ne leur laissais même pas le temps de pouvoir s’attacher à mon être, une fois que j’avais obtenu ce que je désirais, à savoir une bonne partie de jambe en l’air, je m’en allais tel un voleur, sans un mot, sans un regard, les laissants là sur leur fin. Autre point que je m’étais toujours obliger à respecter, celui de n’être désormais plus qu’un actif (oui chez nous les gays, il y a forcément cette question qui rentre en jeu à un moment ou un autre, à moins que l’on tombe sur le partenaire idéal avec qui on peut être versatile et ainsi prendre un double plaisir). Personne depuis Andrea n’avait donc eu la joue de pouvoir goûter à mes jolies petites fesses musclées. Autre détail, je ne parlais pas en faisant l’amour, j’agissais telle une bête sauvage, agissant pour mon propre intérêt.

C’était donc d’ailleurs pourquoi je me surprenais moi-même en ce moment. Quand je me trouvais en présence de Eliakim, toutes mes barrières, toutes mes limites, semblaient en effet disparaître aussitôt. Certes, la plus coriace, la barrière de mon coeur restée quand à elle blindée, mais toutes les autres s’envolaient tel un tas de plumes face au vent. Il avait une telle prestance, un tel charisme, un tel pouvoir de séduction, qu’il arrivait à avoir le dessus sur moi, si bien que quand il était revenu à la charge après avoir hésité à s’en aller, je n’avais alors pas résister une seule seconde. J’avais aussitôt épouser ses lèvres, déshabiller son corps, pour que l’on se retrouve finalement dans le bureau du maître nageur où l’on pourrait donner vie à toute la passion qui nous animait à cet instant-là. Je n’avais alors pas perdu une seule seconde pour venir prendre en main le sexe bien gonflé de mon partenaire. Il était doté d’un sacré engin qui me rendait complètement fou, tellement qu’il venait à me désinhiber de toute ma raison. Si bien que je me retrouvais à lui faire part d’un désir enfoui depuis bien trop longtemps. Celui de retrouver la sensation d’être complètement pénétrer par une personne, au sens propre, comme au figuré. J’avais donc laissé entendre qu’il allait pouvoir me pénétrer, être en moi durant notre ébat. J’en avais tellement envie, son corps était si puissant, si masculin que résister à l’appel de cette pulsion bien trop refoulée aurait été encore plus douloureux que la douleur que je ressentais au niveau de mon sexe, qui tellement excité par la situation se gorgeait de tout son sang pour être aussi dur que du béton. Je ne pouvais plus reculer maintenant que j’avais fait le premier pas et d’ailleurs je n’avais plus qu’une seule envie, celle de redécouvrir la sensation d’être le dominé. Aussitôt je lui avais fait part de mon désir qu’il me baise, car on ne parlait plus de que de véritable sex et non pas de sentiments, j’avais alors entrevu au travers de son regard toute cette réjouissance à l’idée de se retrouver en moi. C’est comme si mes mots avaient eu le don de l’enflammer davantage qu’il ne l’était. Chance pour nous, on se trouvait près d’une source d’eau, au cas où l’on finisse par avoir une surchauffe. Ne pouvant plus attendre bien longtemps, j’avais immédiatement entrepris les choses et le bureau complètement débarrassé, je m’étais alors positionné de telle façon à ce qu’il puisse avoir la meilleure vue. Je me trouvais ainsi face à lui, assis sur le bureau les cuisses écartées, légèrement penché en arrière, me tenant avec force grâce à mes bras, lui laissant ainsi une vue parfaite sur mon sexe au garde à vous, mais également une vue naissante sur mon entrée si longtemps fermée.

Là je me doutais que l’attente ne serait plus très longue. Le voyant se rapprocher alors de moi, je mordais mes lèvres d’excitation, avant de gémir à ses gestes se voulant tendres et parfaitement bien ciblés. Je ne le laisserai pas partir, il sait que tout le monde le désir, comme on me désir aussi et maintenant que l’on a tous les deux ce que l’on a désirait depuis bien trop longtemps, on ne va plus reculer. La façon qu’il a de me toucher me fait frissonner, me donne l’impression d’être unique à ses yeux et c’est bien ce dont j’ai besoin à cet instant précis. Il descend alors à nouveau sur mon sexe comme pour me faire patienter encore et encore, mais je dois avouer que même si mon désir qu’il me prenne devenait de plus en plus oppressant, une fois que ses lèvres furent poser sur moi, je le laissais savourer amplement le fruit de son désir. Je ne contrôle alors plus rien, mon corps tout entier se met à trembler de tout son être, je me tords de plaisir sur ce bureau qui même en étant pas très confortable ne parvient pas à atténuer l’intensité du plaisir que je ressens. Finalement, tu décides d’accélérer les choses et au même même où je te vois attraper le sachet de lubrifiant pour venir amener ton doigt vers moi, mes yeux brillent alors d’un vif éclat. Ce que j’attendais arrive enfin et tu prends les choses en main comme un Dieu. Tu y vas de manière douce et appliquée, tellement que je ne peux retenir mes cris de plaisir, car ce ne sont plus des gémissements, mais bien des cris que je lance au moment où ton doigt me pénètre et s’amuse avec mon orifice. Tu continues quelques minutes, prenant ainsi soin de bien me préparer pour la suite et quelle suite. Il fallait que je sois bien prêt pour accueillir un tel spécimen. Il faut dire que tu es très bien membré et qu’un tel outil peut effrayer certaine personne, mais pas moi. Mon seul désir et que tu sois en moi, là maintenant !

Le moment tant attendu arrive enfin, tu attrapes mes cuisses poilues avec force ce qui vient à te rendre encore plus sexy, mon regard ne te quitte plus, je suis tout à toi. Mon souffle se veut fort et puissant, je ne contrôle plus rien, je suis ton esclave. « Vas-y, je suis prêt … je n'attends que ça» avais-je lancé juste avant que tu commences ta pénétration. Dès les premiers instants, je ne peux contenir cette sensation que je ressens. Je te sens ainsi prendre possession de mon corps, centimètre par centimètre, c’est si bon, si exaltant que je ne cesse de lancer des cris, entre un mélange de douleur naissante et d’excitation menant à mon extase. Tu es si attentionné que tu prends soin de prendre ton temps, mais à un moment donné, une fois bien installé en moi, je te fais un signe de la tête traduisant que tu peux maintenant y aller à ton aise. Il ne t’en fallait pas plus pour te lancer, puisque aussitôt dit, aussitôt fait, voilà que tu entames une vague de mouvements beaucoup plus profonds, intenses et forts qui viennent littéralement à m’amener dans un autre monde. Je ne réponds plus de rien, je suis tout à toi encore une fois, j’encaisse chacun de tes coups qui se veulent si bons que j’en regretterai presque de ne pas y avoir goûté plus tôt. Enchainant ainsi pendant plusieurs minute cette position dans laquelle  je prenais plus que mon pied, je décidais pourtant de prendre à nouveau les choses en main. « Hmmm ….attends ralentis mon beau, je veux prendre le dessus moi aussi … » Me retirant aussitôt de son sexe dans un râle de plaisir, ne lui laissant même pas le temps de réagir, je descends alors du bureau et tout en attrapant la chaise que je lui lance alors « Assieds toi là dessus et ne dis rien … laisse toi faire » À mon tour je me montrais directif, bien que j’endossais toujours la position du passif. Une fois mon amant assis sur la chaise, j’attrapais une ficelle que j’avais aperçu sur le sol et je vins alors à lui attacher les deux mains. Une fois fait, je m’avance dangereusement de lui, amenant mon sexe venir trouver place dans sa bouche, dans laquelle je me laisse à établir quelques vas et viens afin de me procurer un plaisir personnel. Puis alors qu’il est toujours assis et attaché, je me place au dessus de lui à califourchon et je le laisse à nouveau me pénétrer dans un nouveau cri de plaisir « C’est moi qui vais contrôler le rythme maintenant … » je commençais alors mes mouvements de bassin, lui permettant ainsi de bien trouver sa place en moi, pour me combler entièrement. Accélérant mes mouvements en prenant appuie sur ses épaules larges et musclées, je fais en sorte que mes mouvements soient plus amples et intense afin de nous procurer à tous les deux un plaisir inavouable. « Hmmm … vous êtes vraiment un sacré coup monsieur le professeur » laissais-je échapper entre deux gémissements de plaisir. Je continuais donc ainsi à califourchon sur lui, j’étais moi le maître de notre ébat, il ne pouvait plus me toucher, plus se servir de ses mains, la seule sensation qu’il ressentait provenait de mes mouvements sur son sexe que je sentais gonfler encore et encore en moi, ce qui me valait à plusieurs reprises de laisser échapper des cris si forts que si quelqu’un se trouvait dans le gymnase, il saurait bien vite ce qui est entrain de se passer dans ce bureau. Profitant de ma liberté, je m’amusais tout en continuant mes mouvements de bassin, à venir l’embrasser, mordre ses lèvres, lécher ses tétons durcit par l’excitation de notre ébat. Le voyant prendre de plus en plus son pied, je sentais son excitation et son plaisir monter réciproquement « Vous semblez être à la frontière de la jouissance mon ami …. » Allait-il se montrer encore endurant ou allait-il laisser éclater toute cette excitant dans un élan de plaisir très proche.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyLun 6 Avr - 19:54

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Il ne sentait même plus l'odeur de chlore flottant dans la pièce, piquant ses yeux jusqu'à les faire devenir rouge. Non il ne sentait que le parfum délicieux et délicat de Aaron, l'entourant dans une bulle virile et masculine. Après tout n'importe qui pouvait rentrer et le concierge pourrait rentrer dans la piscine à tout moment. Surprendre les deux hommes sans les voir car d'ici personne ne pouvait voir les deux amants en pleine action. Mais les bruits, gémissements et hurlements seraient assez significatif. Pour cela Eliakim avait eut la bonne idée, merveilleuse même de fermer la porte à clé. Même si il se doutait que le concierge aurait les clefs, évidemment. En tout cas il espérait que ce soir il n'y aurait pas de cour de piscine où autre car à cet instant il n'avait aucune envie, pas même minime de bouger. Aaron contre lui, se tortillant pour sentir son contact plus poussait lui donnait l'envie incroyable d'aller plus loin.

Rien n'existait dans l'esprit du professeur à cet instant à part son futur amant, beau comme un dieu ainsi nu. Il se doutait que Aaron avait sans doute été fait par les dieux eux même et que dans une autre époque, il serait le modèle des plus grands artistes pour représenter des éphèbe. Eliakim prit son temps pour le caresser, le câliner, passer ses mains sur ses muscles afin de redessiner chaque contour de son corps. Il bavait littéralement devant cette perfection masculine, laissant ses yeux dériver sur la peau blanche de son amant d'une nuit. Ne faisant même pas attention aux soupirs d'impatience de Aaron, il poursuivit sa découverte, s'attardant sur les hanches là où la peau est fine et douce. Pourtant le désir évident du beau brun, trônant fièrement entre les deux corps rappelant Eliakim à la raison qui s'attarda sur cette partie sensible de son corps tout en le préparant.

Car c'était bien la dernière chose qu'il voulait faire, lui faire mal. Il voulait qu'il ne ressente que le plaisir évident de la pénétration et certainement pas la douleur vive qui accompagne cette pratique. Alors Eliakim prit plusieurs minutes pour préparer son corps à cette future intrusion, jouant en même temps sur sa peau. Embrassant, mordillant, chatouillant par endroit, savourant également les cris que poussaient Aaron à chaque fois qu'il frôlait sa prostate. Eliakim en bon professeur de biologie connaissait parfaitement le corps humain et il avait l'habitude d'en faire profiter ses amants et amantes. Il n'avait pas la prétention de s'auto proclamer bon coup simplement il avait la chance de savoir où toucher pour faire hurler. Et la première à en avoir fait les frais n'était autre que Alice. Lorsqu'il avait réveillé son point G elle était restée sur son lit une bonne demi-heure, complètement morte et incapable de bouger un orteil. Cette expérience avait beaucoup fait rire son amant.

Et il voulait que Aaron se souvienne de cette soirée à chaque fois qu'il le croiserait dans le couloir, qu'il se souvienne des sensations et qu'il s’imprègne en lui comme un tatouage caché, un secret inavouable. Alors il l'emmena jusqu'au maximum du désir, le poussant dans ses derniers retranchements et comme Eliakim le voulait, Aaron le supplia enfin de venir en lui. Le professeur tout de même prudent attrapa un préservatif, ouvrit l'emballage et enfila la protection. Pas qu'il n'avait pas confiance mais il se devait de montrer l'exemple. A qui ? Nul ne sait ! « Vas-y, je suis prêt … je n'attends que ça » Qu'elle douce musique à ses oreilles ! Ce ton, ce regard plein de désir, cette bouche pulpeuse et rouge à force de l'avoir mordillé. Enfin Eliakim accède aux désirs de son bon brun en entrant doucement en lui, le tenant par les cuisses. Avec une lenteur toute calculée il pénétra cette antre chaude, savourant ce plaisir pur qui envahissait chaque partie de son corps. Et puis il s'arrêta pour laisser le temps à Aaron de s'habituer à l'intrusion.

Enfin son amant lui fit signe qu'il pouvait se laisser aller. Alors doucement mais sûrement, Eliakim commença ses mouvements. Plus vite, plus fort, ils ferment le yeux et se laissent aller à la volupté de l'instant. Eli' vient quémander les lèvres de Aaron, dévorant sa bouche dans un baiser plus que fougueux. « Hmmm …attends ralentis mon beau, je veux prendre le dessus moi aussi … » Lui demande son bel amant alors doucement le professeur se retire, quittant son corps chaud. Aaron attrape une chaise et lui demande de s'asseoir sans poser de question, ce que fait Eliakim sagement mais son tremblement trahit son impatience. Pourtant Aaron attrapa une ficelle et vint attacher les mains de son amant dans son dos. Eliakim se laissa faire en souriant, amusé d'être pour une fois le soumis. Il ne jouait au soumis que dans de rares occasions, avec Alice principalement. Mais avant de venir s'empaler sur son sexe, Aaron lui présenta son propre membre que Eli' prit dans sa bouche avec plaisir, lui accordant plusieurs minutes de plaisir personnel juste pour satisfaire son amant. Il n'est pas du genre égoïste et c'est avec plaisir qu'il lui accorde cette faveur. Bien trop vite on enlève la friandise au professeur qui marque un grognement de frustration. « C’est moi qui vais contrôler le rythme maintenant … » Murmure Aaron en s'empalant sur Eliakim, criant son plaisir en même temps. « Tu es tellement sexy... » Rajoute le professeur en quémandant ses lèvres, voulant être embrassé encore et encore. Cela fait tellement longtemps qu'il n'a pas goutté aux joies de l'amour avec un homme. « Hmmm … vous êtes vraiment un sacré coup monsieur le professeur » Ce dernier sourit et laisse tomber sa tête en arrière, les yeux clos, la respiration rapide il ne peut que gémir alors que le plaisir monte. « Je vous retourne le compliment Monsieur Evans » Les hurlements de son amant sont une mélodie dont Eliakim ne pourra pas se lasser.

« Vous semblez être à la frontière de la jouissance mon ami …. » Il le sentait le fourbe et pire que ça encore, il avait totalement raison. « Tu n'as encore rien vu beau gosse ! » Et sans attendre le blond, bien ancré sur ses jambes, enchaînant des mouvements profonds et puissant. Il se tenait à la chaise en pilonnant littéralement le corps d'Aaron, cherchant à le faire hurler plus fort encore. Si il se sentait proche de la jouissance, il voulait que son beau brun vienne en même temps que lui. « Je pense que tu n'es plus loin... » Son corps se tend, ses cheveux sont collés sur son front à cause de la transpiration et il jubile de sentir les muscles internes d'Aaron se contracter autour de son membre. Lui aussi est proche, si proche que lorsqu'il frappe plus fort en lui, il s'attend à le voir venir.

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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 12 Avr - 0:35

"A guy like you, should wear a warnin', you're dangerous, I'm lovin' it."

Rien ne m’excitait plus que de voir dans le regard de mes conquêtes toute l’excitation et tout le plaisir que je pouvais leur procurer. Et là avec Eliakim j’étais servi. Il ne cessait de me faire comprendre, entendre et sentir à quel point notre ébat pouvait le rendre hors de contrôle, hors de lui. Tous ces gestes, toutes ces attentions, le moindre de ses mouvements traduisaient ce plaisir intense qui nous embrasait tous les deux. Nous ne faisions plus qu’un, nous n’étions plus que désir et passion. La chaleur qui envahissait mon corps tout entier était indescriptible tellement elle venait s’emparer de moi, tel une matière inflammable. J’étais littéralement en transe, en extase alors que je me trouvais dans une position qui me permettait d’avoir le dessus sur le rythme que je voulais donner à notre ébat. Je ne cessais de gémir encore et encore, à chacun de mes mouvements de bassin bien millimétrés, je le sentais de plus en plus me pénétrais, son sexe étant si dur et si grand. Il avait le don de me rendre complètement dévoué à lui.

À ce moment là, plus rien ne pouvait venir gâcher cet instant si particulier, si jouissif que nous partagions tous les deux. Bien loin était alors tous mes soucis, que ce soit ceux concernant les examens qui n’allaient pas tarder à arriver, mais aussi les mots de ma famille m’insultant chaque jour un peu plus sur mon attitude irrespectueuse et dégradante pour l’image que je renvoyais ou tout autre malheur qui pouvait bien me tourner autour. Là, j’étais dans une rêverie, proche du délire, prolongeant mon extase à son paroxysme. Nous étions donc tous les deux maintenant là où nous avions rêvé d’être depuis de nombreuses semaines maintenant. Nous nous étions tournés autour, nous avions joué ce jeu de séduction et aujourd’hui on goûté au plaisir de la chair. Ce jeu que nous avions appris à apprivoiser, à mener tel deux maîtres, me faisait que davantage apprécier l’instant présent. La pression, l’attraction qui nous avait tant attiré l’un vers l’autre avait réussi à créer cette perfection dans laquelle nous nous retrouvions enfin.

Je me trouvais donc maintenant empaler sur son membre généreux. Lui était assis sur la chaise, les mains ligotées dans le dos et pourtant il arrivait toujours à garder un contrôle assez impressionnant sur ses coups de reins qui se voulaient précis et puissants, il était vraiment un véritable expert en la matière. Je ne regrettai en aucun cas d’avoir céder à la tentation qu’il représentait. Au contraire, plus j’enchainais les mouvements, plus j’encaissais ses coups, plus mon plaisir venait se décupler. On pouvait m’entendre gémir, voir même crier à travers toute la pièce. Mes cris se voulaient de plus en plus audibles et rauques, traduisant tout ce que je pouvais ressentir à ce moment là. Je ne saurais décrire cette sensation, c’est bien trop grand, bien trop impalpable pour vous la décrire, mais tout ce que je peux vous dire c’est que c’était bien trop bon pour que je puisse l’oublier un jour. Je ne sentais ainsi plus mon corps, mes mouvements s’enchainaient sans bien même que je puisse concrètement les contrôler. La chaleur ambiante, se traduisait sur mon corps luisant de plus en plus. Je cherchais ces lèvres comme pour récupérer un peu d’oxygène que je pensais pouvoir y trouver. Il était tellement beau, tellement masculin, que mon plaisir monté à toute allure, sans vraiment que je ne puisse le contrôler davantage. Lui aussi semblait proche de la délivrance fatale, puisque je sentais son gland se contracter, se gonfler crescendo en moi, ce qui me valait à plusieurs reprises de pousser des cris plus ou moins prononcés. Lui faisant part de ce petit détail, j’aurais dû imaginer que son égo en serait touché et que son désir de me montrer ce dont il était encore capable allait prendre le dessus. Je me retrouvais donc maintenant à encaisser tel une star du porno, des coups tellement profonds que j’en venais à planter mes ongles dans la nuque de mon amant, seule partie de son corps sur laquelle j’avais trouvé appui au moment de son enthousiasme à me montrer ses talents. « Hmm, vas y baise moi comme si rien d’autre ne comptait plus à ta vie » Mes mots se voulaient crus et directs, mais là je ne pouvais plus y aller par quatre chemins. Sentant mon plaisir grimper lui aussi à toute vitesse, j’essaie de me mordre les lèvres pour le contrôler, mais cela devient de plus en plus difficile et il ne manqua pas de me le faire remarquer à son tour. « On dit que l’orgasme est un mouvement collectif, à deux … je crois bien que c’est la parfaite définition » M’enfonçant encore plus sur son membre pour le sentir au plus profond de moi, je sentais mon éjaculation arriver de plus en plus « Je ne vais plus tenir bien longtemps se rythme, je risque de bientôt ne plus pouvoir me contrôler professeur ». Me jetant une dernière fois sur ses lèvres, je laissais alors le plaisir m’envahir, mon coeur s’emballe, mon souffle se coupe et là c’est l’éruption assurée. Si bien même que nos deux corps sembles parfaitement se synchroniser, puisqu’au moment même où je ne peux plus contenir mon excitation, je sens que lui aussi se laisser aller en moi, pour mon plus grand bonheur « Hmmm Eliakim c’est trop bon ! » N’arrêtant pas nos mouvements et au contraire les accélérants même, mon éjaculation se retrouve alors à se déverser sur son torse luisant, je ne m’arrête plus, c’est trop bon, beaucoup trop, tellement que j’éjacule une nouvelle fois dans une quantité tout aussi débordante.  Reprenant finalement un rythme moins sportif, je m’effondre contre lui, ma tête trouvant sa place dans le creux de son cou, que je viens embrasser, lécher. On reste comme ça, enlacés l’un à l’autre pendant quelques minutes, puis je me décide à me redresser un peu pour lui faire face et pour le contempler. Mon regard dans le sien, nos corps encore liés l’un par l’autre, je me décide alors à parler « L’attente en valait le coût … vraiment » Oh que oui et comment, lui volant un nouveau baiser, celui-ci se voulant plus tendre et apaisé je continuais « Je dois avouer que je n’avais pas ressenti autant de plaisir depuis bien fort longtemps … » Esquissant un sourire, je passais ma main dans ses cheveux, tout en venant lui chuchoter quelques mots timides « Merci … merci pour ce moment de liberté totale monsieur le professeur, je m’en souviendrai toute ma vie ». C’était certain que notre aventure n’allait pas disparaître de si tôt, cela me faisait d’ailleurs un peu peur, comment allais-je pouvoir ressentir à nouveau autant de plaisir avec mes prochaines conquêtes, jamais depuis Andrea je n’avais ressenti un tel plaisir, peut être parce que l’amour avec ce dernier rendait la chose incroyable et indétrônable, mais avec Eliakim ce qui avait rendu cet instant si spécial, c’était autre chose, c’était toute la tension sexuelle qui agissait comme un aimant entre nous. Pensant qu’il était temps de nous séparer, je me redressais et me retirer finalement de son emprise, en libérant son membre encore en moi. Je laissais échapper un cri à la sortie de son sexe, avant de me retourner vers lui, l’air amusé « Va falloir nettoyer tout ça … » Je faisais référence à son corps transpirant, au mien aussi, mais surtout à mon éjaculation encore présente sur lui. Me mordant alors à nouveau la lèvre, je m’avançais à nouveau vers lui et le libérer de ses liens, avant de lui faire entendre le fond de ma pensée qui se traduisait déjà par la montée en érection de mon sexe « Un petit détour par les douches semble nécessaire … peut être qu’un round 2 pourrait être envisageable, on pourrait même inverser les rôles …. à moins que votre libido et votre endurance ne sois pas à la hauteur de l’être insatiable que je suis … » Et oui mon désir pour lui était encore et toujours présent, j’en redemander, j’en voulais encore plus. Maintenant que j’y avais goûté, je voulais en avoir jusqu’à ma dernière bouchée. Cette fois-ci pourtant mon désir était d’être celui qui pénétrerait son corps, j’avais à plusieurs reprises durant notre ébat pu admirer ses fesses de rêves et là rien que d’y penser, mon entre jambe en faisait des galipettes. Prenant les devants, je m’avançais vers la porte bien décider à rejoindre les douches dans ma tenue d’Adam, avant de me retourner vers lui d’un air prétentieux, mais surtout arrogant « Alors vas-tu venir continuer ce que l’on a commencé ou préfères-tu battre en retraite ? » J’étais un joueur invétéré, un de ceux qui aime se risquer à se brûler les ailes, comme j’étais entrain de le faire ce soir.
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MessageSujet: Re: (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?   (HOT) Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ? EmptyDim 12 Avr - 23:09

Aaron & Eliakim

« Le chat est un lion pour la souris. Mais de nous deux, qui est la souris ?  »

Il le trouvait magnifique, beau comme un dieu. Tout dans ses gestes, ses mouvements, ses expressions poussaient à la luxure la plus parfaite. Il ne se lassait pas de le regarder et en même temps il se félicitait d'avoir attendu. Avoir cédé à leurs pulsions aurait rendu l'instant moins beau et bon. Non ils avaient attendus, avaient patientés et ça ne pouvait qu'en être meilleur. C'était la première et seule pensée qui traversa son cerveau alors qu'il volait un baiser à Aaron, encore un. Ne pouvant bouger d'avantage il pouvait simplement l'embrasser, lécher son torse et déposer des baisers sur le moindre carré de peau proche de ses lèvres. Mais il adorait lui être soumis comme cela même si c'était bien rare qu'il accepte d'être dans cette position. Eliakim ferme les yeux et se mord la lèvre. Il veut tenir, il doit se retenir car rien au monde ne sera meilleur qu'à cet instant Ce moment de plénitude parfaite et totale, de fusion de deux corps fait l'un pour l'autre dans une danse endiablée. Non il se concentre sur autre chose, ce n'est pas facile car il sent que son amant est proche, il est prêt à venir dans un souffle.

Mais alors qu'il ouvre ses yeux bleu sur le visage ravagé par le plaisir d'Aaron, ce dernier parle. Quelques mots s'échappent de ses lèvres roses à force de trop l'avoir embrassé. « Hmm, vas y baise moi comme si rien d’autre ne comptait plus à ta vie » Ses désirs sont des ordres, c'est ainsi qu'il prend les quelques mots prononcés dans entre deux hurlements. Alors obéissant il frappe plus fort en Aaron, si c'est possible encore. Ils ne sont que hurlements, gémissements et claquement de chair contre chair. Il voudrait éviter de jouir trop vite mais il ne peut pas, c'est si bon qu'il se rend compte qu'il ne peut plus se passer de ce plaisir qui l'envahit, déferle en lui par vague à mesure qu'il s'enfonce dans ce corps chaud et accueillant. Lui même il rejette sa tête en arrière et laisse des cries franchir ses lèvres sans qu'il ne puisse se contrôler. A mesure que Aaron bouge plus vite il se tend, il tire sur les liens qui emprisonnent ses mains. Il sent la corde autour de ses poignets tailler sa peau, lacérer son épiderme jusqu'à le faire saigner mais c'est tellement insignifiant à cet instant. Non a contraire ça augmente son plaisir encore.

Aaron lui signale qu'il ne va pas tenir bien longtemps, cette phrase le pousse dans ses derniers retranchements, ça le pousse loin dans ses limites qui sont déjà bien entamée. Il tire plus fort sur les liens qui retiennent ses poignets. Il sent la corde glisser sur sa main droite, tant mieux Aaron ne l'a pas bien attaché. Alors en tirant encore un peu il libère ses bras et sans attendre vient poser ses mains sur les hanches de son amant pour l'accompagner dans ses mouvements. C'est à cet instant qu'une chose se brise. « Hmmm Eliakim c’est trop bon ! » Une vague plus puissante que les autres ravage les deux amants. Il se déverse en son amant qui lui, jouit sur le torse luisant de transpiration d'Eliakim. Quelque chose explose en plusieurs morceaux, ils ne sont qu'une seule et unique personne jouissant dans un hurlement rauque. C'est si bon qu'il voudrait que ça dure longtemps, que ça ne s'arrête jamais et qu'il soit toujours accompagné de cette délicieuse sensation de plénitude qui accompagne généralement un orgasme aussi pur.

Et c'est le silence qui suit alors que le beau brun vient se coller au professeur qui l'accueille dans ses bras. Ils ne bougent plus, ils attendent même que les tremblements cessent. Tendrement Eli dépose un baiser sur le front mouillé de son amant, il le laisse respirer, reprendre ses esprits. Leur respiration se font écho alors qu'ils laissent l'apaisement post orgasme prendre place dans leur corps. Eliakim soupire et ferme les yeux, un sourire naît sur ses lèvres tout simplement car il se sent incroyablement bien. Mais Aaron se relève bien trop vite au goût du professeur qui est forcé de quitter ce corps chaud. « Oui en effet ça valait largement le coup d'attendre... » Signale le professeur en répondant à la phrase précédente de son amant. « Je dois avouer que je n’avais pas ressenti autant de plaisir depuis bien fort longtemps … » Lui murmure Aaron en passant sa main dans les cheveux courts du professeur. Il le remercie également et Eliakim partage son sourire. « Tu n'as pas à me remercier c'était... Tu étais parfait. Vraiment... Et il en est de même pour moi cela fait longtemps qu'un homme ne m'a pas fait ressentir autant de choses ! »

Le grand blond se lève et fait craquer quelques muscles de son corps rudement mis à l'épreuve. Il regarde également ses poignets qui sont légèrement taillés comme il devait s'en douter. Ce n'est pas bien grave alors après avoir massé la peau fine abîmée, il ôte la protection et part la jeter dans la première poubelle qu'il trouve. Il ne peut décrire le bien être dans lequel il se trouve. Et pourtant il ne veut pas quitter Aaron, pas tout de suite. Alors quand ce dernier lui propose de faire un détour par les douches il ne peut qu'accepter, bien trop heureux à l'idée de passer du temps encore avec ce jeune homme qui fait tant tourner la tête au professeur. Il lui signale également qu'un 2eme round peut-être possible, c'est ce que Eliakim remarque alors qu'une partie bien visible de l'anatomie d'Aaron se réveille déjà. Il lui propose même d'échanger les rôles, ce que Eliakim répond d'un haussement de sourcil intéressé.

Le seul homme qui a eu le privilège de dominer Eliakim est Leigh, cela fait tellement longtemps qu'il n'a pas été soumis qu'il ne sait plus exactement ce que ça fait. Mais il veut bien essayer, pourquoi se priver et puis Aaron lui donne bien envie d'être passif. « Arriveras-tu à me faire encore hurler mon cher Aaron ? » Murmure Eli en l'embrassant doucement, le prenant par les mains pour le tirer jusqu'au douche qui ne sont pas loin. Une fois dans la pièce il rentre dans la première cabine accompagné de son amant qu'il ne tarde pas à pousser contre le mur d'ailleurs. Il se colle à lui pour l'embrasser encore, le serrer contre lui en laissant ses mains se faufiler sur sa peau. Il le veut encore, il est affamé de lui et il ne sait pas pourquoi. Il est incapable d'expliquer l'envie qui tiraille son corps quand il regarde Aaron. Comme si parce qu'il avait été inaccessible l'avait rendu plus sexy encore. Mais sans lui laisser le temps de réagir le professeur s'agenouille de toute sa souplesse devant son amant et prend dans sa bouche son membre déjà bien éveillé.

Il ne tarde pas à lui offrir une fellation qu'il essaye de rendre parfaite de seconde en seconde. Amusé de voir le plaisir passer sur le visage de son Apollon, il laisse sa langue glisser doucement sur le gland rose et gonflé d'Aaron, récoltant dans sa bouche les quelques gouttes qui s'échappent de son membre dur. Son but n'est pas de le faire venir de suite alors il se relève avant qu'il n'atteigne le point de non retour et s'éloigne un peu de lui. Il vient s'adosser contre le mur face à son bel éphèbe et le regarde, une lueur de défis dans le regard. « Et maintenant tu attends quoi ? » Lui lance Eliakim d'un ton joueur en se retournant. Sensuellement il pose ses deux bras contre le mur et lui offre son corps, exposant son tatouage par la même occasion, tremblant à l'idée de sentir Aaron contre lui. Il ne veut pas de tendresse ce soir, seulement de la passion. Assouvir ce besoin dévorant qu'il ressent pour son Apollon.

© Chieuze

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