Me perdre sur la route moi je n’attends que ça, J’vais semer le doute, me foutre à poil avec toi, Me perdre sur la route moi je n’attends que ça, J’vais semer le doute, me foutre à poil avec toi
L’ennui mortel d’être seul dans son appartement pourrait en tuer plus d’un. Croyez-moi. Pourtant chaque jour qui débute, je suis désespérément seul. Non j’exagère, je ne suis pas non plus un cas désespéré, demandait à mon kiné. J’étais très bien tout seul. La plupart du temps. Personne pour me dire quoi faire. Personne pour me bousculer et me dire que si je ne marche pas c’est parce que je ne le veux pas. Je sais bien que c’est psychologique, mais qu’est-ce que je peux faire ? Sérieusement ? Ce n’est quand même pas de ma faute si mes jambes ne répondent pas ! Mon kiné était vraiment le pire de tous. Toujours à me faire la morale parce que je ne trouvais aucun intérêt à ses exercices.
En même temps il n’avait peut-être pas totalement tord en disant que je ne faisais aucun effort pour progresser, à quoi bon finalement parce que je ne remarcherais jamais ? Heureusement tout le monde n’était pas du genre à me faire la morale. Bien au contraire même. Certains étaient de vrais amis et surtout, m’aider à me sentir vraiment mieux. Je comptais ces gens sur les doigts d’une main. Et parmi eux se trouvait Noah. On avait une amitié quelque peu particulière. Mais ça nous convenait totalement. Surtout à moi. On ne peut pas dire que mes jambes deux roues m’aident à attirer les hommes dans mon lit, ça les fait même fuir.
Mais Noah n’était pas de ce genre d’hommes. Cela avait commencé par une amitié tout ce qu’il y a de plus convenable. Mais, lors d’une soirée un peu trop arrosée entre nous deux, on avait passé le cap. Il n‘y avait aucun sentiment à part un plaisir charnel. C’était parfait. Je fuyais à grandes enjambées, ou plutôt poussée de fauteuil, les sentiments dégoulinants de bonnes intentions. Et ce soir était une des soirées où il comblerait parfaitement ma solitude journalière. Je lui avais simplement envoyé un SMS, sans chichis. Il savait parfaitement ce que j’attendais de lui. Je n’avais plus qu’à patienter maintenant.
[HOT]On peut flirter tant que tu veux, mais c'est au lit que ça se passe. ✻✻✻ Depuis le temps que je suis à Oxfords, j’avais été à tellement de soirée, surtout des fêtes bien arrosée. Amusement, délire, alcool, sexe jusqu’à l’excès. Je rencontre tellement de personnes plus parfaite les unes des autres. Chacune avec un gout différent, mais délicieux. On m’a souvent invité à diverses soirées vraiment excellentes mais plusieurs sont sortis du lot par rapport aux autres événements. Ses fêtes qui mon marqué sont celles où j’ai pu faire des merveilleuses rencontres avec des gens vraiment incroyable. Ca fait une semaine que je n’ai plus eu de nouvelle d’un mec en particulier. Hélixandre, malgré son handicap, il me fait un certain effet assez chaud, qui me fait bouillir le corps de désirs et d’envies. A plusieurs reprises j’ai l’affreuse envie de céder à mes pêchers et de lui envoyer un sms pour qu’il ramène sa jolie petite bouche contre la mienne. De quoi jouer histoire d’une nuit, une nouvelle fois nous enfuir tous les deux dans un autre monde, faire les hypocrites et laisser tout derrière nous, juste le coup d’un soir. Laisser ma main baladeuse retracer les formes de son corps, l’entendre dire mon prénom avec sa magnifique voix. Pourquoi je n’arrive pas à lui envoyer un sms, c’est pourtant rien. Peur de le déranger, ou bien qu’il ne se rappelle plus de moi ? Ca à l’air à première vue d’un homme occuper qui n’a pas le temps de jouer avec un mec de 19 ans après tout … Au bout d’un petit temps a ne rien faire a part jouer à des petit jeu sur mon téléphone je reçu un sms, d’Hélixandre ! La joie commence à submerger mon corps, son texte était fort bref mais il voulait dire tellement de chose. Sans trop discuter avec pour seul réponse un simple « Okay j’arrive. » je partais à toute vitesse chez lui pour m’envoyer en l’air.
Après 10 courtes minutes de chemin pour arriver chez lui je m’empressais de frapper à sa porte pour qu’il vienne m’ouvrir, et surtout m’inviter à entrer pour lui montrer comment je peux très bien m’occuper de lui. Il vain m’ouvrir l’entrée au bout d’un moment, sur sa chaise roulante. J’entrais et je pris les commande de son véhicule, le conduisant dans sa chambre je l’aidais à se mettre à l’aise et ce coucher sur le lit, me plaçant au-dessus de lui accouder sur la gauche, caressant son visage, je lui dis « Pas de sentiments, pas de chichi » Avant de l’embrasser fougueusement. Déboutonnant d’une main ma chemise pour ensuite prendre sa main et la déposer sur mn torse. « Amuse-toi beau gosse. »
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Ce n’est pas parce que je suis en fauteuil roulant que je ne profite pas de la vie comme mes congénères. Bien au contraire. Si je peux me montrer sarcastique, chiant, râleur avec le personnel médical et paramédical, je suis tout à fait normal avec les autres, et plus particulièrement ceux qui ne me prennent pas en pitié. Sinon ceux-là sont loin d’avoir mon amitié. C’est dit. Des fêtes j’en ai vu pas mal, je suis de nature un gros fêtard. Ce qui ne m’a jamais empêché de conserver une bonne hygiène de vie. Je n’ai jamais bu d’alcool de ma vie. Enfin juste un ou deux verres, avec parcimonie. Même après mon accident j’ai continué à avoir une hygiène de vie irréprochable. Ca aurait dû aider à mon rétablissement, à croire qu’il manque un ingrédient. Mais j’avais arrêter de m’acharner contre mon sort, ça ne ferait pas revenir mes jambes, et ça ne devait absolument pas empêcher de vivre ma vie. Lors de fêtes, j’avais été soit ignoré soit l’attraction de la soirée. Je ne sais pas des deux lequel je hais le plus, mais j’avais aussi rencontré des personnes qui passait au-dessus de mon handicap. C’était le cas de ce fameux noah, avec qui j’avais rapidement sympathisé. Tu étais pourtant plus jeune que moi, mais l’âge n’a jamais eu de vraie importance pour moi. Ce n’est pas ça qui va m’arrêter. Tu avais l’air de profiter de la vie tout autant que moi si ce n’est plus. On avait été tout de suite sur la même longueur d’onde. On ne s’enchainait pas aux contraintes de la vie, quoi que moi je n’ai pas forcément le choix, mais j’essayais de positiver le maximum du temps. Attendant que tu me recontactes, j’avais fini par le faire, je n’étais pas vraiment d’un naturel très patient, à ma décharge. Et bon, si en plus je dois tenir compte de la frustration, tu aurais déjà dû être là.
Je tourne, littéralement, en rond. Mais tu finis par frapper à ma porte, je roule aussi vite que je peux à la porte. Si si. Et j’ouvre la porte, tombant ainsi sur ta silhouette. Tu ne tardes pas à pénétrer chez moi, je te donne directement les indications pour trouver ma chambre. Autant aller droit au but après tout, c’est pour ça que tu es là, on n’a pas besoin de tourner pendant trois mille ans autour du pot. Tu étais aussi pressé que moi. Je te laissais faire, et moi qui râlait quand on me faisait des transfert, je ne disais rien là. Parce que ton toucher m’électrifiait. « Huhu, certainement pas beau gosse. » Je tire sur ta chemise pour t’attirer tout contre moi, sentir ton corps tout contre le mien et que nos chaleurs corporelles se mélangent. Je laisse ce baiser s’enflammer avant de glisser ma main sur chaque parcelle de ton torse, griffant ou pinçant au passage.
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[HOT]On peut flirter tant que tu veux, mais c'est au lit que ça se passe. ✻✻✻ Depuis le temps que je suis à Oxfords, j’avais été à tellement de soirée, surtout des fêtes bien arrosée. Amusement, délire, alcool, sexe jusqu’à l’excès. Je rencontre tellement de personnes plus parfaite les unes des autres. Chacune avec un gout différent, mais délicieux. On m’a souvent invité à diverses soirées vraiment excellentes mais plusieurs sont sortis du lot par rapport aux autres événements. Ses fêtes qui mon marqué sont celles où j’ai pu faire des merveilleuses rencontres avec des gens vraiment incroyable. Ca fait une semaine que je n’ai plus eu de nouvelle d’un mec en particulier. Hélixandre, malgré son handicap, il me fait un certain effet assez chaud, qui me fait bouillir le corps de désirs et d’envies. A plusieurs reprises j’ai l’affreuse envie de céder à mes pêchers et de lui envoyer un sms pour qu’il ramène sa jolie petite bouche contre la mienne. De quoi jouer histoire d’une nuit, une nouvelle fois nous enfuir tous les deux dans un autre monde, faire les hypocrites et laisser tout derrière nous, juste le coup d’un soir. Laisser ma main baladeuse retracer les formes de son corps, l’entendre dire mon prénom avec sa magnifique voix. Pourquoi je n’arrive pas à lui envoyer un sms, c’est pourtant rien. Peur de le déranger, ou bien qu’il ne se rappelle plus de moi ? Ca à l’air à première vue d’un homme occuper qui n’a pas le temps de jouer avec un mec de 19 ans après tout … Au bout d’un petit temps a ne rien faire a part jouer à des petit jeu sur mon téléphone je reçu un sms, d’Hélixandre ! La joie commence à submerger mon corps, son texte était fort bref mais il voulait dire tellement de chose. Sans trop discuter avec pour seul réponse un simple « Okay j’arrive. » je partais à toute vitesse chez lui pour m’envoyer en l’air.