La jalousie est une garce. ALIKIM

La jalousie est une garce
Alice & Eliakim
Cinq jours. Dans cinq jours elle reprendra le chemin des cours, et elle n'en avait pas du tout envie. Elle avait hâte cependant de prendre son rôle de chargée de communication aux côtés de Rae Fitzpatrick. Les maitres de clés des Posh et des Riot avaient distribués leurs clés. Le diner du Doyen allait bientôt avoir lieux. La rentrée se mettait en place petit à petit et la jeune femme respirait enfin. Tout était en place, elle pouvait à présent se concentrer sur elle et sur son couple. Eliakim avait repris les cours déjà, la Fac de sciences reprenait plus tôt que les autres. Elle avait cependant bon espoir de pouvoir profiter d'un après midi aux côtés de l'homme de sa vie. Cela faisait des jours qu'ils se rataient ou passaient peu de temps l'un avec l'autre. La raison en était des préparatifs de la rentrée, mais aussi du désir qu'avait la jeune femme de se changer les idées, bougeant constamment à droite et à gauche pour oublier que son meilleur ami était parti. Aaron avait disparu sans laisser la moindre trace, sans laisser le moindre mot. Elle avait contacté sa famille, elle lui avait envoyé plusieurs mails et sms. Mais rien. Il était parti. Il avait abandonné Andrea, il l'avait abandonnée elle. Tout comme Iseult était parti à l'autre bout du monde et ne donnait plus signes de vie depuis le début de l'été. Tout comme Eliakim avait failli l'abandonné en mettant fin à ses jours. Les gens l'abandonnaient, les gens qui comptaient pour elle. Alors comme pour palier à cette malédiction elle sortait chaque soir, aux côtés d'Eden Winchester. Eden était mal en point, elle avait une nouvelle résolution dans le regard qui inquiétait Alice. Mais elle ne voulait pas en parler. Elle voulait boire et danser. Alors Alice la faisait boire et elle dansait avec elle.
Du reste, cela laissait peu de temps à des moments entre les deux amants. Eliakim lui manquait, et elle lui avait proposé de se retrouver à la brasserie pour boire un verre quand il aurait terminé les cours. Elle y était en avance, bien avant lui, alors qu'elle promenait sa chienne. Oklahoma était habituée à marcher près de sa maitresse, tenant sa laisse dans sa gueule. Alice marchait ainsi dans les rues d'Oxford, fumant une cigarette. Elle avait mit un pantalon en lin blanc, des spartiates, et un chemisier blanc transparent qui laissait transparaitre son soutien-gorge. Loin d'être choquant, la tenue avec une légèreté et une classe étonnante.
Elle arrivait devant la brasserie avec cinq minutes d'avance, et sans demander leurs avis aux serveurs elle choisit une table en terrasse où elle pourrait fumer à sa guise en attendant l'arrivée de son cher et tendre. Elle avait envie de lui parler. Ils n'avaient pas même eu l'occasion de fêter l'entrée - ou la ré-entrée - d'Eliakim au Riot Club. Il avait gagné une des clés tant convoitées, et elle avait même eut le privilège de la lui donner.
Alors qu'elle profitait des dernières chaleurs d'été, un serveur qu'elle connaissait bien - car avouons le elle venait assez souvent boire un verre de Mojito ou de Chardoney dans le coin - vint à sa table. « Ne serait-ce pas la sublime Alice Kensington ? Ca fait un moment qu'on ne t'a pas vu ma belle. Comment vas tu ? » demanda-t-il avec une voix doucereuse et joviale, à la manière d'un ami. Il profitait sans doute du fait que la brasserie eut été encore déserte pour parler avec une de ses clientes. Et Alice n'avait pas le coeur à lui refuser ce privilège, car enfin il était tout de même mignon. « Je ne suis pas venue depuis une éternité oui ! Ca m'a manqué. Je vais bien, j'attends quelqu'un. Mais en attendant je prendrais bien un café... » Il sourit, alors et se penche sur la table pour prendre le cendrier, frôlant un peu trop le décolleté d'Alice en passant. « Je vais te chercher cela ma belle, et c'est la maison qui offre. » Dit-il toujours penché, sans avoir conscience que la personne que la jeune femme attendait arrivé effectivement...

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Alice & Eliakim
Il n'était pas rare qu'Alice se rende à la brasserie pour déjeuner ou pour prendre un verre. Durant des années elle avait vécu avec son demi-frère et tous les deux préférés passer leurs temps dehors à faire la fête plutôt qu'à cuisiner à la maison. Elle n'était pas mauvaise cuisinière, elle savait faire des plats de base, mais elle n'aimait pas cuisiner pour elle-même. Elle préférait manger avec des amis au restaurant, et quand on a un compte en banque énorme ce n'est pas un souci de faire trois repas en extérieur tous les jours de sa vie. En ce qui concernait le Côté Brasserie, les serveurs la connaissait tous. Et elle ne fut pas étonnée d'être ainsi accostée par l'un d'entre eux alors qu'elle prenait place en terrasse. Ils se trouvaient un peu éloigné du reste de la salle. Le serveur la regardait avec un air fasciné.
Ce n'était pas la première fois qu'il la draguait. Il lui avait déjà offert plusieurs café, des repas entier même, lui avait laissé son numéro plus d'une fois mais la jeune femme ne l'avait jamais relancé. Après tout que pouvait-elle bien attendre de lui alors qu'elle était fiancée à un homme aussi fantastique qu'Eliakim Crowlley. Mais elle aimait jouer ce jeu, surtout quand on lui offrait les meilleurs vins blancs du restaurant. Elle était une jeune femme capricieuse, qui savait profiter de ce que les autres voulaient bien lui donner. Quand bien même c'était justement uniquement du profit. Elle ne donnera jamais rien à ce jeune homme. Jamais. Mais l'espoir fait vivre paraît-il alors qui était-elle pour l'empêcher d'espérer encore ?

Il devenait cependant un peu trop entreprenant, glissant sa main près de sa poitrine, ce qui lui fit lever un sourcil. Perplexe. Est-ce qu'il était enfin décider à se déclarer et à dire les choses ? Elle en doutait. Mais elle n'aurait sans doute pas l'occasion de le voir, alors qu'elle remarquait qu'Eliakim entrait dans l'enceinte du restaurant. Il la chercha du regard un moment, avant de foncer sur elle. Les yeux froncés, les poings fermé, hurlant la colère. Jalousie. Elle sourit, et se pencha sur la table alors que le serveur lui proposer de lui offrir son café. Elle allait répondre quand Eliakim s'imposa entre eux. « La maison n'offre rien du tout merci. » Elle fit une mine boudeuse et se rassit dans sa chaise normalement. Mais apparemment le serveur n'était pas près de lâcher l'affaire, et agacé d'être arrêté de la sorte il se tourna vers Eliakim. « T'es qui toi ? » Lol. Choquée d'un tel ton, la jeune femme n'arriva pas à retenir un rire moqueur. Mais apparemment personne n'avait cure de ce qu'elle pouvait dire ou faire alors elle sortie une nouvelle cigarette et l'alluma, regardant les deux hommes se battre pour ses beaux yeux.
C'était grisant de les voir ainsi. Le serveur juvénile qui voulait enfin inviter la belle à laquelle il faisait des beaux yeux depuis années, et le fiancé jaloux et possessif qui voulait marquer son territoire. Et elle au milieu qui les juger d'un air appréciateur. C'était excitant d'être l'objet d'un tel désir. Elle adorait cela. « Ha direct on passe par la case tutoiement ? Je suis son mec et tu ferais mieux de retourner derrière ton bar si tu veux pas te retrouver sans boulot dans l'heure qui vient ! » Alice aurait pu croire que cela suffirait à calmer le serveur, mais ce dernier ne baissa pas le regard. Il sourit cependant, un sourire hypocrite et dérangé. Il s'inclina un petit peu et présenta la chaise en face d'Alice à Eliakim. « Mais je vous en pries Monsieur, asseyez vous ? Que puis-je vous servir ? »  Demanda-t-il alors qu'il venait se poster à côté de la chaise d'Alice. Cette dernière resta interdite. Amusée par la situation elle ne réagit même pas quand le serveur posa une main sur son épaule. « Je t'apporte ton café ma belle. » Coriace.

Elle ne répondit rien alors que le serveur partie avec leur commande. Elle se tourna alors vers Eliakim et haussa un sourcil appréciateur. « Bonjour mon ange… alors… Jaloux ? » Demanda-t-elle en se penchant au-dessus de la table pour venir lui voler un baiser. Ses lèvres étaient terriblement excitantes et attirantes. Elle était excitée. « C'est la première fois que je te vois te battre pour moi… J'aime assez. Mais je doute qu'il ait vraiment compris la leçon si tu veux mon avis. Il me tourne autour depuis plusieurs années maintenant. » Dit-elle en se rasseyant, un sourir coquin sur les lèvres.

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Alice & Eliakim
Elle s'amusait énormément. Être au coeur de toutes les convoitises c'était typiquement quelque chose qu'elle adorait. Elle aimait être au centre de l'attention, au centre de l'action. Elle aimait voir le monde tourner autour d'elle. Enfant gâtée, petite fille capricieuse, Alice avait un égo surdimensionné en plus d'un égocentrisme exacerbé. La seule personne pour qui elle était capable d'oublier ses intérêts c'était Eliakim. Elle était prête à tous les sacrifices pour lui, quitte à ce qu'elle mette une croix sur ses ambitions. Pour ne pas le perdre, pour ne pas risquer de le voir s'éloigner une fois encore. Mais pour le reste du temps elle était une véritable diva. Elle n'aimait pas qu'on lui refuse quoi que ce soit. Elle ne supportait pas qu'on ne la regarde pas, qu'on ne murmure pas son nom, ou qu'on ne la connaisse pas. L'indifférence était sans doute la chose qui la terrifiait le plus. Alors se retrouvait au milieu d'un combat de coq, elle ne pouvait que savourer. Elle ne faisait rien en outre pour prendre la défense de son couple, s'extasiant devant la violence et la colère qui irradiait d'Eliakim. Ah si un regard pouvait tuer...
Le serveur partie enfin avec leur commande, et les lassa seuls un instant. « Il a vraiment besoin de te coller ? J'vais l'encastrer dans le bar ce minet ! » Est-ce que ce pauvre serveur avait besoin de coller Alice ? Sans doute pas non, mais il ne pouvait s'en empêcher à cause du béguin qu'il avait pour elle depuis longtemps déjà.
Alice avait eut des prétendants, elle en avait eut un sacré nombre. Elle était sortie avec des mecs très convoités, et s'était faite draguée par tout ce que l'on faisait de mieux à Oxford. Mais elle ne s'était donnée qu'à un seul homme. Un seul et unique. Et a une femme mais c'est une autre histoire. Du reste, elle n'était tombée amoureuse que d'Eliakim. Savoir cela remplissait son fiancé d'une fierté sans nom elle le savait, mais elle avait remarqué aussi qu'il ne supportait pas qu'on l'approche. Comme s'il avait peur qu'un jour elle lui échappe. Elle en jouait, ravie de le voir s'inquiéter de la voir partir. Elle aimait ce sentiment d'être importante à ses yeux. Comme s'il tentait toujours de la mériter. « Arrête Alice... » Supplia-t-il alors qu'elle le cherchait encore un peu, attisant sa colère et ses émotions. « Pourquoi ... ? » demanda-t-elle dans un souffle, sachant pertinemment pourquoi elle ne devait pas continuer. « Tu sais comme je suis colérique et parfois violent. Tu joues. Ca va mal finir surtout pour lui... » Elle lui arracha un baiser passionné avant de se rasseoir. Mal finir pour le pauvre serveur ... Elle n'allait pas s'en plaindre pour sa part. Au pire elle ira boire un verre ailleurs la prochaine fois. Ce n'était pas une lourde perte. Ou alors s'il n'était pas trop stupide, le patron du lieu renverrait son employer si jamais une bagarre - ou autre - devait éclater aujourd'hui. Elle ne culpabiliserait pas. Ce n'était pas son genre de s'inquiéter de l'avenir d'un pauvre serveur.
En parlant de ce dernier il revint avec les deux cafés qu'il déposa sur la table en offrant à Alice un sourire Magnifique. Elle lui répondit avec un air plus joueur, presque machiavélique. Pendant ce temps Eliakim vint pour échanger son café avec celui pour sa femme. Alice le regarde faire sans comprendre un moment. Tout cela est si puérile et si facile... trop facile, elle était passée à plusieurs niveaux au-dessus à présent. « Je m'en doutais. Tu as mis quoi dans mon café ? » Alors la jeune femme se tourne vers le serveur qui devient livide. Pauvret... La colère du professeur pouvait impressionné et Eliakim était en train de sacrément perdre patience. Ce qui n'était pas pour déplaire à la jeune femme. Elle se laissait aller au fond de son siège et regarder le spectacle, regrettant simplement de ne pas pouvoir profiter de son café en même temps. Il faut dire qu'elle ne savait plus lequelle elle pouvait boire sans risquer d'échanger de la salive avec le serveur. « Qu'elle petite vengeance mesquine... C'est digne d'un mauvais roman où d'un esprit faible tu ne penses pas ? » Là l'expression du jeune homme change pour virer au rouge colère. Apparemment le pré-pubère ne sait pas non plus contenir son émotion et il toise Eliakim d'un regard qui se voudrait terrifiant. « J'imagine que tu as craché dedans non ? Tout simplement car je me suis opposé à ce que tu dragues une femme comme elle. Tu es pathétique. » Pathétique. Le mot est lancé et durant un instant il ne se passe rien.
Puis le jeune serveur se penche vers Eliakim et le regarde d'un air mauvais. « Pas plus pathétique que de vous pavaner à son bras comme si elle pouvait être avec vous pour autre chose que votre argent. A l'âge que vous avez, la satisfaire ca doit être problématique. Les pillules bleues ca marchent bien Papy ? » Arrogance Puérile. Tout cela n'était plus si drôle. Puis le serveur prit son café piégé et le jeta sur Eliakim dans un geste si rapide qu'Alice en resta bouche-bée. Improbable. « Tenez votre café. Enfoiré. »  Cracha le serveur avec une fierté telle qu'il ne semblait pas prendre conscience que tout cela allait prendre une mauvaise tournure. Très très mauvaise.
Que le spectacle commence...

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Alice & Eliakim
« Tu as une bien piètre opinion de la femme que tu draguais pour penser qu'elle est avec moi que pour mon argent. Et concernant mes capacités... Demande à ta mère je suis sur qu'elle est satisfaite. »  Certes oui, mais Alice n'en avait cure en réalité. Si le jeune serveur la voyait uniquement comme une arriviste qui profitait de l'argent d'Eliakim qui était-elle pour lui faire démentir. Après tout elle était sure d'avoir plus de zéro sur son compte en banque que son homme, alors elle était bien loin de s'en sentir vexer. Malgré tout c'était la première fois qu'on traitait Eliakim de vieux crouton incapable de la satisfaire et cela la fit rire. Elle avait des courbatures depuis ce matin et ce n'était pas à cause des cours d'Equitation donné à quelques jeunes enfants la veille. Elle avait passé la nuit à faire l'amour avec Eliakim. Pas seulement sur leur lit, mais dans la cuisine d'abord, où la jeune femme était venue le rejoindre alors qu'il lui faisait à manger. Puis dans la douche quand elle avait eut le malheur de lui dire qu'il était bien meilleur cuisinier qu'amant. Enfin ils s'étaient retrouvés dans le couleur entre la salle de bain et la chambre. Dans la chambre. Et dans le salon quelques heures après quand elle s'était réveillée seule, et qu'il l'avait laissé pour regarder un documentaire sur les oiseaux migrateurs. Ou sur autre chose. Passons. L'idée même qu'il ait besoin de cachets pour lui faire l'amour la fit rire. Peut être que dans quelques années son pénis ne tiendra plus la cadence cela dit. Alors elle n'aura que deux solutions : le shooter ou prendre un amant. Elle avait encore quelques années pour réfléchir à cela.
Alors qu'elle était en train de divaguer, allant de réflexion stupide à remarque encore plus stupide, le serveur lança sur Eliakim le café brûlant. Le regard que son amant lui lança n'avait rien de bien rassurant. Eliakim avait fait parti des Hooligans, Alice le savait. Il était violent quand il était enc colère. Elle en avait fait les frais également – bien qu'il ne l'ait jamais frappée à proprement parler. Elle sentit une pointe d'inquiétude soudainement. « Tu ne sais pas qui je suis... » Ca c'est clair.
Tout alla très vite par la suite. Le serveur qui se jette sur Eliakim, Eliakim qui répond en lui éclatant la gueule. Quelques coups bien portés. Surprise par le choc du premier coup Alice se leva de sa chaise pour observer la bagarre devant elle. Tout cela pour elle ? C'était terrifiant. Et putain d'excitant. Mais finalement – et sans grande surprise – Eliakim finit par lancer le jeune serveur de l'ature côté de la salle, sur une table où deux personnes les regardaient avec un air effaré. « Prépare tes affaires. Dans l'heure qui vient, tu n'as plus de boulot. Je connais très bien ton patron, nous étions au lycée ensemble. » Rassurée, Alice se dit qu'elle aurait peut être le droit de revenir boire ses cafés ici finalement. Elle aimait bien cet endroit, et en plus maintenant elle ne sera plus embêtée par le serveur. C'était une bonne chose finalement d'avoir un petit ami aussi… convaincant.  « Il se défend bien le papy hein ? Pauvre con... Quand tu auras sauvé autant de vies que moi, tu pourras me parler. » Alice le regarde faire, piaillant comme un coq devant la victoire. Beau comme un Dieu. Son héros, son homme. Toujours prêt à préserver la réputation de sa femme.
Cependant encore sous l'emprise de la colère il vient vers elle et lui prend le poigné sans grande délicatesse. « On part. » dit-il en jetant quelques billets sur le bar à la manière d'un frustré sur une piste de strip-tease. Elle le suit, docile, mais alors qu'ils tournent au coin de la rue elle l'arrête. Reprenant son poigné elle se stoppe et mes les deux poings sur les hanches. « Eliakim Crowlley, est-ce que tu penses que je suis le genre de femme à aimer les hommes violents et bagarreurs ? »  demanda-t-elle, en colère, choquée. Faussement choquée. Très rapidement son regard colérique se change en oeillade caline et sensuelle. Elle se rapproche de lui et l'embrasse passionnément. « Ca m'a carrément excitée. » Avoua-t-elle d'une voix sensuelle et rocque. Son appartement n'est pas loin et son désir violent la terrasse. Alors elle prend la main de son homme, le seul et l'unique et le guide jusque chez elle pour lui montrer à quel point elle apprécie ses excès de colères.