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 TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher


☆ date d'arrivée : 08/12/2014
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MessageSujet: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyLun 14 Sep - 22:15

Alikim for life !

« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

« ELIAKIM ! » Le hurlement se fait entendre dans l'appartement alors que le principal concerné part en courant dans la pièce à côtés. Il évite de peu une chaussure à talon qui vient s'écraser contre le mur, à ses côtés. Rae arrive en courant, tenant un second talon dans sa main comme une arme. Elle lui hurle de lui rendre son portable, il a tenté vainement de lire les sms que Jane et elle échangent mais son amie vient de le surprendre. La fourbe a les yeux partout c'est dingue ! Il lui offre son plus beau regard mais peine perdue, elle ne se laisse pas berner. En souriant elle lui tend sa main droite en le menaçant avec son talon mais il ne lui rend pas le portable. « Dis moi seulement si vous avez couché ensemble ! » Il ne sait pas si c'est la phrase, les mots choisis où simplement son sourire amusé, mais son amie se jette sur lui avec la ferme intention de lui arracher son portable. Ils tombent lourdement sur le canapé, roulent sur le sol pour prendre le dessus sur l'autre. Mais peine perdue quand Elia est au dessus, Rae lui mord le bras et lorsque elle le domine, il la chatouille. Le combat dure quelques minutes avant qu'il ne lui rende le précieux boîtier en plastique avec un sourire. « Je prends ça pour un oui ? » Elle ne répond pas mais son sourire laisse présager le pire. « Ha non t'es déloyale là ! Ton sourire veut aussi bien dire oui que non ! » En guise de réponse elle lui tire la langue, il soupire et s'assoit au sol comme un gamin, boudant de ne pas avoir ses réponses.

« Prends la réponse qui te conviendra le plus ! » Lui lance sa meilleure amie avant de s'enfuir dans la chambre, terminant d'enfiler un pyjama bien trop grand pour elle, afin d'envisager une soirée télé avec son meilleur ami. Mais ce dernier sent son portable vibrer. Un sms d'Alice on ne peut plus explicite. Il lui répond, pensant qu'elle est avec Eden mais apparemment non. Cette dernière a du s'enfuir dans la boite, laissant Alice seule en proie d'hommes en chaleur. Il soupire, se lève et en râlant, s'approche de Rae qui termine de se coiffer pour la nuit. Il peut lire la fatigue sur son visage. « Bébé je dois te laisser. Alice est sortie avec Eden et apparemment elle l'a lâchée dans la boite. Alice est toute seule, entourée de mecs j'aime pas ça. » Sa meilleure amie lui sourit et hoche la tête. En même temps elle se met sur la pointe des pieds pour offrir un gros câlin à son meilleur ami. « File ! Tu peux reprendre ta pizza si tu veux. De toute façon je suis crevée, je pense m'endormir rapidement. » Il l'embrasse sur le front pour se faire pardonner encore. « Garde là, ce n'est que partie remise. Passe à la maison... » Elle hoche la tête et enfin, après un dernier baiser quitte l’appartement.

En quelques pas il rejoint sa voiture, grimpe dans le véhicule et enfin roule jusqu'à la boite en marquant à Alice qu'il arrive. Il n'aime pas la savoir seule dans une boite. En arrivant, il vérifie que sa tenue est bien. Un jean, des chaussures Italienne et une chemise blanche, assez pour rentrer dans ce style de boite simple et sobre. Il sort de sa voiture, verrouille les portes et se présente à l'entrée. Il est deux heures du matin, les clients sont déjà à l'intérieur, ils dansent. La musique est assourdissante, les éclairages illuminent la rue. Il se présente devant le videur qui après une minute de réflexion, le laisse rentrer. Eliakim entre dans la boite et se mêle rapidement au danseurs. Elle est proche du bar d'après ce qu'elle vient de lui dire, il la voit de dos. Un homme à ses côtés semble lui parle mais elle ne répond pas. Il s'approche et alors qu'il arrive proche d'elle, l'homme pose sa main sur une des fesses d'Alice. Un grognement franchit la barrière de ses lèvres alors qu'il pose sa main sur l'épaule du mec. Ce dernier se retourne, Eliakim l'attrape par le col et l’envoi valser à l'autre bout du bar. Déjà ivre, l'homme s’effondre sans problème. Le barman a bien vu qu'il venait de poser sa main sur les fesses d'Alice, il ne fait donc aucun commentaire sur le geste d'Eliakim, même si ce dernier a été un peu violent. « Tu m'attendais j'espère ? » Murmure le beau blond à l'oreille de sa femme. Il se colle à elle, l'embrasse dans le cou, toujours dos à la belle blonde. Tendrement il pose ses mains sur les hanches d'Alice et pose en rythme avec elle. « Je t'ai manqué ce soir ? Tu n'étais pas censée passer la soirée avec Eden ? » Demande le beau blond en faisant tourner Alice pour se retrouver face à sa femme. Là il lui vole un baiser enflammé, plein de passion et de désir.

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Dernière édition par Eliakim A. Crowlley le Mer 30 Sep - 21:59, édité 1 fois
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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyLun 14 Sep - 23:49

Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant
Alice & Eliakim
Elle ne se souvient pas comment elle en est arrivée là. Elle a but, elle a beaucoup bu. Déjà elle a bu une première bouteille de champagne quand elle a rejoint Eden chez elle. Avant de prendre la route pour aller au CheckPoint dans le centre d'Oxford. Là elles ont pu profiter de la bonne ambiance des joueurs de l'équipe de Soccer pour se faire payer plusieurs tournée avant de rejoindre un pub un peu plus loin pour danser sur de la musique Rock Live. Les deux jeunes femmes ont cependant surtout profité de la présence d'un certain Ethan Mills pour récupérer quelques substances qu'elles ont dégusté sur le trajet pour aller au Kaléidoscope. C'était un lieu branché, un peu secret, très à la mode, qu'un proche d'Alice tenait. Zacharia était un étudiant très sexy, qui avait énormément de succès avec les femmes de l'université. Et surtout c'était un chef d'entreprise hors du commun. Il avait ouvert le Kaléidoscope il y a quelques années, et rien qu'avec les recettes sur un mois il pouvait vivre comme un pacha pendant une année. Alice adorait l'ambiance feutrée et intime du lieux où la musique tambourinait sur les murs et à ses oreilles. Rejoignant le club VIP les deux jeunes femmes s'étaient vues offrir une grande bouteille de Magnum Champagne par quelques étudiants étrangers qui commençaient l'année en beauté. Elles avaient finis par siffler les trois quart de la bouteille dont une partie sur la piste de danse. Deux furies qui se prélassaient l'une contre l'autre la majorité du temps, excitant les quelques mâles qui se trouvaient non loin d'elle.
L'un d'entre eux semblaient plaire à Eden qui disparut quelques instants après, laissant Alice danser seule sur les musique entrainantes. Mais au bout d'un moment cela ne l'amusait plus, et il commençait à lui manquer quelque chose pour pouvoir s'amuser. Entre ses hanches un désir fourbe et sournois commença à s'installer et elle savait qu'il n'y avait qu'une seule et unique personne pour la faire redescendre sur terre. Le désir était bien là, encré, puissant et violent, la poussant à vouloir retrouver le contact physique d'un homme. Mais elle refusait de trouver un avorton dans un coin sombre de la boite. Malgré son état d'ébriété avancé, elle n'était pas de ce genre-là et n'appartenait qu'à un seul homme. Auquel elle envoya un message plutôt explicite.
Il devait voir sa meilleure amie ce soir, pensa-t-elle après avoir envoyé son message. Peut être qu'il ne pourra pas venir. Alors elle devra rentrer à pied, et trouver de quoi se calmer. En passant par chez elle peut être. Ou alors peut être qu'elle avant encore son fidèle jouet dans son sac. Mais depuis Las Vegas elle craignait de ne plus se promener avec ce genre de choses sur elle en tout temps. Du reste, elle n'eut pas à se poser ce genre de question puisque son homme lui répondit assez rapidement. Alors, joueuse, elle le poussa à se dépêcher, prétextant que s'il ne le faisait pas elle se laisserait tenter par les hommes qui danseront avec elle.

installée au bar, elle demanda à boire un jus de pêche et un verre d'eau. Ce que le barmaid lui offrit avec un sourire immense sur le visage. A côté d'elle un homme vint lui chantait la sérénade mais elle ne comprenait rien à ce qu'il disait. Qu'est-ce qu'il veut ce poireau ? Se demanda-t-elle alors qu'elle tournait vers lui un regard interrogateur. Ce qu'il prit pour une invitation. Il lui demanda comme elle s'appelait et si elle venait souvent dans le coin. Il commença à lui dire qu'il venait ici pour la première fois, et qu'au vue de ce qu'il trouvait dans le coin ce ne serait pas la dernière. Du reste, tout se déroula très vite. Elle sentait une main se poser sur ses fesses et serrer sa chaire mais avant qu'elle n'ait eut le temps de se tourner, l'homme avait volé à travers la pièce pour s'effondrer sur deux tabourets plus loin sous les hurlements de surprises de quelques demoiselles en furie.
Le parfum de son homme l'envahie et elle sourit, ne bougeant pas comme il lui avait demandé. Elle était une fille obéissante. « Tu m'attendais j'espère ? » Elle sourit, alors qu'elle sentait son homme se coller un peu plus contre son dos. Un frisson traversa son corps et vint se loger au creux de ses reins. « Je n'ai pas bougé, comme tu m'as demandé. Tu vas me récompenser... ? » demanda-t-elle en minaudant, se tournant un peu verre lui et parlant assez fort pour qu'il l'entende. Il en profite pour poser ses mains sur ses hanches, se collant contre elle tandis ce que la jeune femme bougeait ses hanches au rythme langoureux de la musique qui perçait le silence au moment où ils se retrouvaient. Ses fesses collées au pantalon de son homme qui durcit à ce contact séducteur. Elle avait envie de sexe. « Je t'ai manqué ce soir ? Tu n'étais pas censée passer la soirée avec Eden ? » Il la tourna avant même qu'elle puisse répondre et l'embrassa violemment. Elle n'en demandait pas moins, et ses mains se perdirent dans la chevelure d'Eliakim pour le tirer un peu plus vers elle. Elle se coller contre lui, ivre de désir et d'alcool. Complètement sous l'emprise de ses envies primaires sans réussir à les retenir. Mais elle oubliait de respirer et s'arracha à cette étreinte pour reprendre son souffle. « Eden est partie avec un beau brun tout à l'heure. » Dit-elle en montrant un endroit dans la foule. Quelque part. Elle ne sait plus où.
Elle s'en fout. Elle n'a qu'une seule idée en tête, et rien ni personne ne pourrait la faire changer d'avis ou d'envie à ce moment là. Sa main qui montrait le chemin vers Eden tomba sur le pantalon d'Eliakim, à l'endroit de son entrejambe pour trouver le contact de son sexe au-dessus du tissu. Elle sourit, et se pencha vers son homme. « J'ai envie de baiser. Avec toi. Là. Maintenant. »  dit-elle, détachant bien les mots comme si elle craignait qu'il ne comprenne pas ce qu'elle voulait. Ses gestes sont brusques et peu maitrisés mais elle arrive à atteindre sa bouche pour l'embrasser encore plus passionnément, ses mains se baladant sur sa chemise pour en arracher les boutons d'un seul coup ne réalisant pas qu'ils sont encore au milieu de la foule.
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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyMar 15 Sep - 1:36

Alikim for life !

« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

La musique est assourdissante, elle tape dans son esprit tellement fort que cela lui arrache quelques grimaces. Il a mal à la tête maintenant, une migraine montre le bout de son nez alors qu'il entre dans la boite. La fumée, les vapeurs d'alcool et l'odeur de transpiration lui rappelle sa dernière sortie en boite où il a partagé sa nuit avec un homme, un certain Yani. D'ailleurs c'était sur ce même canapé, celui où l'homme s'écrase après avoir touché sa femme. Il ne le regarde même pas, trop absorbé par la présence de la femme de sa vie si proche de lui. Malgré toutes les odeurs Eliakim sent bien le parfum d'Alice l'enivrer alors qu'il se colle à elle et qu'elle se tourne pour venir l'embrasser. Il la sent plein de désir, d'une envie folle de lui faire l'amour. Il sourit, sans doute un mélange d'alcool et d'autres choses... Elle n'est pas dans son état normal. Il en est sur. « Qu'est ce que tu as pris Alice ? Tu sais que je refuse les drogues... » Murmure Eliakim faussement agacé, ils en parleront demain. Quand elle sera sobre et dans un état plus ou moins normal. La belle lui parle d'Eden en lui montrant un coin de la boite, vaguement. Il comprend qu'il ne verra pas Eden de la soirée, elle doit être occupée avec un bel homme. Grand bien lui fasse !

La main droite de la belle blonde se pose sur le pantalon du bel homme, ce dernier sursaute en sentant les doigts de sa femme sur son membre qui se réveille. « J'ai envie de baiser. Avec toi. Là. Maintenant. » Il fronce les sourcils en la voyant faire mais il n'a pas le temps de parler, elle l'embrasse à pleine bouche. Sans réaliser qu'ils sont au milieu de la foule, elle déboutonne doucement sa chemise. « Arrête. » Lâche Eliakim en se reculant d'elle. Il l'attrape par la main, jette sur le bar quelques billets pour payer les consommations et sans lâcher Alice, quitte la boite. Sa chemise est entre-ouverte, il s'attire quelques regards mais ces derniers se détournent vite quand ils croisent les yeux d'Alice. Un peu agacé le professeur quitte la boite, la fumée, la musique assourdissante. Il l’emmène jusqu'à sa voiture, la fait entrer côtés passager et enfin grimpe derrière le volant.

« Je ne te baise pas Alice. Je te fais l'amour. » Souffle le professeur en faisant vibrer le moteur de sa voiture. Heureusement leur appartement n'est pas loin, ils arrivent rapidement et tant mieux car il a de plus en plus de mal à contenir les envies folles de sa femme. « Il n'y a que moi n'est-ce pas bébé ? Tu... Ne m'as pas trompé hein ? » Demande Eliakim, honteux d'entendre ces questions franchir ses lèvres. Doucement il tend sa main gauche vers elle, il l'invite à venir s'asseoir sur lui. Pour lui laisser plus d'espace il recule au maximum le fauteuil conducteur afin qu'elle puisse prendre place sur les genoux de son homme. A cette place, l'un sur l'autre, ils sont tellement proches qu'il peut sentir le l'haleine fruitée et alcoolisée de la belle sur lui. « Ma femme a abusée de la vodka... » Murmure le professeur en souriant largement avant de voler un baiser à sa femme. Ses mains se posent sur les hanches d'Alice. Il caresse distraitement sa peau, glisse jusqu'à ses cuisses avant de remonter sur son ventre. « Tu voulais faire l'amour... Nous n'avons jamais rien fait dans une voiture... » Propose Eliakim en se mordillant les lèvres. Là ses deux mains se posent sur la poitrine de la belle et, sans lui laisser le temps de réagir, il remplace ses doigts par sa langue qui vient dévorer le haut de sa poitrine. D'une main aventureuse il fait glisser la fermeture éclair dans son dos, ouvrant sa robe qui retombe sans un bruit sur les cuisses de la belle. Offrant sa poitrine de rêve au regard gourmand du beau professeur, ce dernier vient cajoler ses seins du bout de sa langue. Il laisse un gémissement lui échapper alors qu'il attrape un de ses tétons durs entre ses lèvres, le moment est si parfait, sensuel et sexy, qu'il sent l'envie monter dans ses hanches, dévastant sa raison et ses idées. « Je te veux... » Murmure Eliakim en l'embrassant tendrement.

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Alice Kensington-Crowlley




Alice Kensington-Crowlley
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyMer 16 Sep - 0:20

Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant
Alice & Eliakim
Elle l'imagine arriver, brisant la foule en deux parties, marchant droit sur elle, avec toute la conviction et la témérité dont il fait preuve parfois. Brisant les espoirs des quelques mâles qui espéraient pouvoir approcher Alice Kensington ce soir, la voyant déjà ivre, sous l'emprise de quelques joints qu'elle avait partagé avec Eden. Elle ne résiste pas beaucoup à la drogue, quant bien même il ne s'agissait que de quelques joints. Elle plane, elle se détend, et avec l'alcool elle est prête à être joviale toute la nuit s'il le faut. Très proche des autres, très gentille, adorable, drôle. Tactile, surtout quand Eliakim est dans le coin. Alors qu'il la touche elle ressent les élans de désirs l'envahir presque instantanément. Depuis combien de temps n'avaient-ils pas fait l'amour ? Trop longtemps pour la jeune femme dont le corps se consumait à cause du manque de lui. Manque de le sentir contre elle, en elle. Elle se rend compte de cela quand il vient contre elle pour s'ennivrait de sa présence. Il l'oblige à se retourner et fronce les yeux en plongeant son regard dans celui d'Alice. Il n'est pas content et elle baisse le regard comme une enfant prit en faute. « Qu'est ce que tu as pris Alice ? Tu sais que je refuse les drogues... » Elle commence à ronger l'un de ses ongles, honteuse. Elle doit lui dire, sinon il va se renfrogner. Elle a fait une bêtise. Elle sait que les drogues sont prohibés, elle est la première à se battre contre cela. Alors qu'est-ce qu'il lui arrive ? Comment était-elle tombée là-dedans ? Quelques folies d'une adolescence tardive, ce n'était pas grave. Elle n'était pas en manque, elle ne risquait pas l'overdose ou le sevrage forcé et terrifiant. « Un ou deux joins, rien de plus… Mais j'ai beaucoup bu. De la Vodka. Du Rhum… Des Edens. » dit-elle en ce mettant à rire. Son amie lui avait fait gouter au cocktail explosif qui rendait Alice complètement ivre au bout de deux verres. Ou moins. En même temps le mélange était assez réfléchit pour : Vodka, Rhum, Tequilla… ou autre. Elle ne sait plus. Elle s'en fout.
Son homme est là, beau comme un Dieu. Et elle est très excitée. Rapidement elle oublie le risque de se faire disputer pour venir lui quémander un baiser, ses mains parcourant son corps pour dégraffer sa chemise. Mais il la stoppe, mécontent encore. « Arrête. »  exige-t-il d'une voix autoritaire qui fait frémir Alice de toute façon. Une vague d'exciation la terrasse. « Pourquoi… tu n'en a pas envie… ? » demande-t-elle avant que son homme ne la prenne pas la main, réfrénant ses ardeurs, pour lui faire traverser la salle. Il s'arrête une seconde au vestiaire récupérer les affaires d'Alice avant de la guider au dehors. D'un geste de la main, la jeune femme salut toutes les personnes qu'ils croisent en leur assurant qu'elle allait passer une bonne nuit.
Ils arrivèrent cependant dans la voiture où Alice fut projetée sans plus de cérémonie, sur le siège passager. Son homme vient s'asseoir à côté d'elle et quitte sa place de parking, faisant résonner le moteur. Elle le regarde faire, tentant à plusieurs moments de glisser sa main sur le plie du jean d'Eliakim qui l'arrête en route. Mais elle est tenace, et ne s'en vexe pas. Bien au contraire, plus il la repousse et plus elle a envie de le saisir en main. Il se gare dans le parking de l'immeuble, et elle attend. Il se tourne vers elle, son regard lançant des éclairs. Elle a terriblement envie de l'embrasser là tout de suite. « Je ne te baise pas Alice. Je te fais l'amour. »  Elle hausse un sourcil et sourit, carnassière, joueuse. Elle joue avec ses épaules et inspire profondément, minaudant comme une adolescente qui a envie d'une sucette. « Oui mais… ca me rend trempe quand tu me dis que tu vas me baiser. » Dit-elle franchement, regardant sa réaction, excitée par la perspective de le voir mal lui parler. Les insultes ont un effet étrange sur elle, surtout quand elles sortent de la bouche d'Eliakim. Comme si la violence du mot faisaient effet directement sur son excitation pour la rendre toute chose. Une vilaine fille, elle avait envie d'être une vilaine fille.
Mais tout à coup elle perçoit de l'angoisse dans le regard de son homme et perd son sourire. Il pose sur elle un regard si perdu qu'elle a l'impression de dessaouler d'un coup.  « Il n'y a que moi n'est-ce pas bébé ? Tu... Ne m'as pas trompé hein ? » Un instant elle reste sceptique face à sa question. Puis explose de rire, et vient lui quémander un baiser, léchant ses lèvres, quant bien même elle savait qu'il n'aimait pas cela. « Chéri, je ne t'aurai jamais envoyé ces sms si j'étais en train de me faire prendre pas un autre. De toute façon aucun de ces bouffons ne seraient capable de me satisfaire comme toi tu le fais. » Dit-elle sans savoir si cela allait le rassurer ou pas. Un instant de lucidité. Vraiment très court, avant qu'elle ne remarque la bosse sur le pantalon de son homme. Finalement ca semble l'exciter de voir sa femme dans un tel état. Il la fait venir sur lui, baissant le siège pour la recevoir sur ses genoux. Dans cette position ses fesses sont contre le pénis d'Eliakim et elle bouge légèrement des hanches pour tenter de l'exciter plus encore. « Ma femme a abusée de la vodka... » Elle hausse un sourcil. « A défaut de pouvoir abuser de son homme. » Répondit-elle au tac au tac. L'alcool la rendait taquine, et parfois mauvaise. Mais toujours excitée, et prête à tout. Elle change de position, venant à califourchon sur lui. Ainsi elle peut mieux l'embrasser et à même accès à la fermeture éclair de son jean. Elle ne se rend pas vraiment compte du lieux où ils se trouvent : une voiture. La voiture d'Eliakim. Est-ce qu'il avait baisé des garçons et des filles dans sa voiture ? Se demanda-t-elle soudainement ? Elle ne lui avait jamais posé la question, et malheureusement avec l'alcool elle l'aura oublié le lendemain. Sauf si soudainement cela devait lui revenir. Elle oublia de réfléchir quand il l'embrassa.
« Tu voulais faire l'amour... Nous n'avons jamais rien fait dans une voiture... »  Elle voudrait répondre, mais sa poitrine se retrouve libérée et subit les attaques de la langue d'Eliakim sur les tétons durcis et pointés. Elle laissa sa tête partir en arrière alors que son amant la dévore. Elle n'est plus que boule de désir, gémissant sous les assauts de son homme sur sa poitrine. Sentant sa culotte en dentelle devenir si trempe qu'elle a l'impression de ne rien porter. Elle pourrait le prendre en elle maintenant, sans plus de cérémonie, et dieu qu'elle en a l'envie. « Je te veux... » Elle aussi. Alors qu'il est toujours en train de lui dévorer les seins, elle laissa sa main glisser entre eux, et se lève un tout petit peu pour prendre le temps de libérer le pénis tendu d'Eliakim de son Jean. Elle baisse un peu le pantalon, quand son amant à trouvé une posture idéale, et elle s'assied sur le membre dur pour le prendre en elle. Son intimité s'écarte face à l'invasion et elle hurle son plaisir. Ravie de le sentir en elle. Nu, peau contre peau. Cela fait des semaines qu'elle exige des préservatifs. Mais elle n'a pas le temps. Elle n'a pas envie de chercher. Elle le sent en elle, totalement. Elle reste un instant à savourer avant de bouger un peu ses hanches. Mais ce n'est pas assez. L'espace est restreint. Alors elle se lève et passe entre les deux sièges sans rien dire de plus à son amant.
« Viens derrière bébé. Viens me baiser comme j'aime… »  demanda-t-elle en lui tendant la main. A moitié nue, les jambes écartés sur un sexe humide et prêt pour lui.
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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyJeu 17 Sep - 0:43

Alikim for life !

« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

Il décide de ne plus lui parler des drogues qu'elle a sans doute pris ce soir en compagnie d'Eden. Elle n'est pas dans son état normal, elle ne l'entendrait pas pire encore ils risqueraient de se disputer et c'est tout ce qu'il refuse. Il voudrait terminer la soirée avec elle, tranquille, sans se prendre la tête et sans risquer de dormir sur le canapé. Alice a un drôle de caractère lorsqu'elle est ivre, entre l'euphorie et la colère, elle peut s’emballer tellement vile qu'il n'ose pas rester sur le sujet au risque de l'agacer, qui plus est elle semble trop excitée pour porter son attention sur autre chose que le sexe ce soir. Le chemin jusqu'à l'appartement n'est pas facile, il tente en vain, d'enlever les mains baladeuses de sa femme, qui ont la fâcheuse tendance à se poser sur sa braguette. Plusieurs fois il la met en garde car il conduit, et que ce n'est pas le moment de finir dans un mur, le sexe à l'air. Pourtant en arrivant, peu rassuré, il lui demande si il est bien le seul. La réponse de sa femme lui arrache un sourire, il est rassuré. Maintenant il peut l'embrasser, voire plus si elle veut toujours. « A défaut de pouvoir abuser de son homme. » Il lève un sourcil dans sa direction. « Je suis tout à toi maintenant... »

Et tout s’enchaîne. Ils s'embrassent, se touchent, se cherchent dans des caresses qui n'appartiennent qu'au couple qu'ils forment. Eliakim la connaît par cœur, pour avoir parcouru son corps plusieurs fois et pour avoir été son premier amant, Alice n'a plus aucun secret pour ses mains agiles. Elle, elle sait comment le rendre fou, d'un regard, d'un soupir, d'une caresse. Elle ravage l'esprit de son homme qui a bien du mal à réfléchir correctement alors qu'elle bouge au dessus de lui. Il la voit magnifique, sexy, tellement femme qu'il en perd les mots. La main de sa femme vient se débattre avec sa braguette pour sortir son membre, il cajole ses seins. Alors qu'elle bouge au dessus de lui, il cherche sa bouche pour l'embrasser. Embrasse moi, donne moi ton oxygène... Avec une douceur toute calculée, elle se relève et enfin, gracieuse et légère comme une plume, vient s'empaler sur le membre dur d'Eliakim qui se mord violemment la lèvre. Elle n'a pas mis de protection, chose qu'elle le force à enfiler depuis plusieurs semaines maintenant. Ils ont pourtant fait les tests mais elle ne veut rien savoir, elle se refuse à lui tant qu'il ne met pas de préservatif. Pour la première fois depuis son retour il la sent autour de lui, totalement, entièrement. Chaude et bouillante, tellement excitante qu'il lui faut quelques secondes pour reprendre ses esprits. Il voudrait lui demander d'attendre mais elle semble comprendre sans qu'il ne parle. Elle ne bouge pas, pas tout de suite. Enfin alors qu'il ouvre les yeux, il voit Alice bouger doucement. Mais ce n'est pas assez, la position n'est pas confortable. Alors elle se glisse entre les deux sièges pour venir s'allonger sur les fauteuils arrière. « Viens derrière bébé. Viens me baiser comme j'aime… »

Lui dit-elle, sexy à souhait en écartant les jambes et lui offrant son sexe. Il sourit, enlève sa chemise et enfin, la rejoint derrière. Sans lui laisser le temps de bouger, il se positionne entre ses jambes et avec une douceur extrême, entre en elle. « Te baiser... Qu'est ce que je t'ai dis déjà ? » Demande Eliakim en s'arrêtant. Pendant plusieurs secondes il ne bouge pas, il se retire d'elle. Et quand elle le veut, quand elle en a bien trop besoin, il la prend si fort que la voiture semble imprimer un micro mouvement en même temps. « Je ne te baise pas je te fais l'amour Alice... » Murmure Eliakim dans son cou, avant de bouger en elle si profondément, qu'il a peur de lui faire mal une seconde. Doucement il pose une main sur la vitre et une sur la hanche d'Alice pour la maintenir en place. « Quoi que ce soir j'ai l'impression que tu veux te faire baiser comme une salope... » Ajoute le professeur avec un soupir d'envie, en bougeant de plus en plus fort. Elle n'imagine pas comme la situation est sensuelle et dévastatrice pour lui.

© Chieuze

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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptySam 19 Sep - 22:05

Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant
Alice & Eliakim
Faire l'amour dans une voiture. L'idée lui semble si délirante et pourtant si classique qu'elle s'excite seule. Droguée, ivre, elle garde cependant la majorité de ses facultés. Elle n'a pas prit grand chose. Avec Eden elle avait tendance à se lâcher depuis quelques temps. Son amie avait besoin de sortir, profitant de la vie avec plus de soif qu'avant. Eden la guidait dans toutes les fêtes que l'on pouvait trouver sur le campus, et Alice était bien trop heureuse de la suivre, trouvant chez elle une source de liberté infinie. Elles s'entendaient extrêmement bien toutes les deux, mais Eden avait tendance à faire ressortir le pire chez Alice. Une sorte de jeune adolescente qui faisait n'importe quoi juste pour se sentir vivante. Elles buvaient souvent plus que de raison, et toucher à quelques drogues pour décupler les sensations comme disait Eden. Elle avait prit un rail ce soir, seulement cela, là où Eden s'était envoyé le reste de son stock. C'était suffisant pour que les sens d'Alice soit exacerbés. Elle avait autant pris que le soir où elle avait couché avec Eden. Elle s'en souvenait encore, preuve qu'elle n'était pas si amochée que cela. C'était assez pour que toutes ses envies, et toutes ses sensations soient décuplés. L'envie qu'elle avait d'Eliakim était tel qu'elle n'arrivait pas à se maitriser.
Sauvage, ivre de sa peau, elle tentait par tous les moyens de le toucher alors qu'il tentait de les conduir à travers la ville. Il la repoussait, mais sans jamais se vexer la jeune femme revenait à l'assaut. Elle avait envie de sentir son sexe brûlant en elle. Quand ils furent arrêté elle lui sauta littéralement dessus, folle, excitée. Le prenant entre ses cuisses, délirante, elle refuse de continuer à faire l'amour dans cette position peu confortable, se rendant à l'arrière de la voiture pour l'inviter à la rejoindre. Ils auront plus de place ainsi. Plus libres de leurs mouvements ils pourront se donner à coeur joie. Sans plus attendre, heureux sans doute de voir sa femme si séductirce, le bellâtre vient la rejoindre, l'entourant de ses bras puissants pour venir se loger entre ses cuisses, qu'elle écarte un peu plus encore. Il entre en elle avait une douceur et une lenteur qu'elle qu'il lui arrache un râle de frustration. Elle serait prête à le mordre pour qu'il la prenne plus violemment que cela, lui faisait ressentir toute la passion qu'il a pour elle. « Te baiser... Qu'est ce que je t'ai dis déjà ? » Elle sourit, et enroule ses jambes autour des hanches de son homme pour tenter de le pousser plus profondément en elle. Peine perdu, il était bien trop fort pour cela. Alors, prenant une mine de petite fille pris en faute, elle se décide à lui répondre. « Que tu ne me baises pas, tu me fais l'amour. Mais moi je te baise ce soir. » dit-elle en terminant par un sourire séducteur, coquin, et terriblement pervers. Elle n'a pas envie de douceur, elle n'a pas envie d'être sage.

Elle l'aimait, cela n'avait rien à voir avec cela. Elle l'aimait, amoureuse sans limite. Mais quand ils font l'amour elle aime être crue, et de plus en plus elle découvre cette facette d'elle même qu'elle ne se connaissait pas. Elle en a envie en te ce moment, de telle sorte que souvent il la reprenait sur ce qu'elle pouvait dire durant leurs moments d'intimité. Elle l'aimait, mais au lit elle aimait les insultes et la violence. Comme si elle avait le besoin de le choquer, décuplant ainsi son excitation. Elle ne pouvait pas le comprendre, c'était ainsi. Les fantasmes et les envies sont sans logiques, ils sont c'est tout. Faire l'amour dans une voiture, comme deux adolescents sur-excités la mettait dans un état pas possible. Son sexe trempé en était la preuve directe. Il en joue, sachant pertinemment dans quel état se trouvait sa femme, et elle grogne face à sa malice. Alors qu'il sort de son intimité, elle rejette la tête en arrière, lâchant un râle mécontant. « Je ne te baise pas je te fais l'amour Alice... » Dit-il d'une voix roc. Elle sourit, et le prend contre elle, imprimant ses longs va et vient. Elle sent l'excitation monter de plus en plus, le poussant à aller plus vite, plus fort. Tapant en elle, jusqu'à lui faire mal. Mais la douleur - tout comme les insultes - donne une nouvelle dimension à son excitation. Elle devient folle, et elle adore cela. Eliakim change leur position, prenant appuie sur la vitre, allant plus profondément en elle encore. Les yeux d'Alice se ferment sous la sensation, l'excitation qui monte en elle. Délirant. « Quoi que ce soir j'ai l'impression que tu veux te faire baiser comme une salope... » La jouissance la prend alors que la voix d'Eliakim murmure ces mots à son oreille. L'insulte la fait délirer et elle hurle son plaisir, le gardant contre elle alors qu'elle subit la première vague de plaisir. « Continue, bordel ! Ne t'arrêtes pas ... » Le supplie-t-elle, exigeant qu'il bouge encore dans son intimité, sans se soucier du fait qu'elle redescende ou pas. Elle ne redescend pas d'ailleurs, et très vite une seconde vague d'excitation la prend, la dévastant littéralement. Elle prend le visage d'Eliakim entre ses mains et le pousse à venir sur elle l'embrassant violemment, passionnément. Elle sourit contre sa bouche, et le repousse doucement avec ses jambes. Elle sourit, carnassière, coquine, joueuse.
Se tournant dans l'habitacle, elle se présente de dos à son homme. Une posture où il a plus d'emprise encore sur son corps, où il peut faire d'elle ce que bon lui semble. « Encore.... » demande-t-elle en tournant le regard vers lui. Son désir sexuel décuplé, ayant envie qu'il se fonde en elle, qu'il lui fasse l'amour comme un fou, délirant sur son corps fiévreux.
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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyLun 21 Sep - 22:35

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« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

Une vague de désir, un brasier s'enflamme dans ses hanches alors qu'il entre en elle si fort qu'il est obligé de se tenir aux sièges de la voiture. Elle gémit,s e cambre, le cherche plus encore si cela est possible. Sa bouche s'assèche en la voyant faire, il la trouve parfaite, magnifique et tellement sexy que son désir explose dans un râle d'excitation rauque. Il ne sait pas si c'est le fait de l'avoir vue se faire tripoter par un autre, d'être intervenu ou de savoir qu'elle est trempe pour lui, mais en tout cas il ne c'est jamais senti aussi excité en 6 années passées contre elle. Il a connu plusieurs femmes et hommes, mais aucun n'a fait naître en lui autant de désir, de passion, cette addiction violente qui le prend. Il a déjà été accroc aux drogues et pourtant ce n'était rien à côtés de l'addiction que la belle Alice a fait naître en lui depuis qu'elle est revenue à ses côtés. Obéissant a chacun de ses désirs et Dieu sait qu'ils sont nombreux, il murmure quelques mots salaces à son oreille qui la font exploser dans une jouissance violente. Il sourit alors qu'elle lui murmure de continuer. « Je ne compte pas arrêter... » Ajoute le professeur en la laissant venir une seconde fois sois ses coups de hanches violents. Mais alors qu'il n'a pas le temps de se laisser aller également, elle le repousse et se retourne pour lui offrir sa croupe parfaite. Il grogne en voyant cette vision hautement érotique et alors qu'elle lui en demande encore, se met dans une position plus confortable et vient en elle, bouger doucement.

Mais l'envie, le besoin de la sentir devient tellement violent qu'il n'arrive pas à se maîtriser. Il l'attrape fermement par les hanches et entreprend la sensuelle tache de la pilonner violemment, gémissant sous la sensation et le plaisir qui monte. En un râle de plaisir foudroyant, Eliakim laisse tomber sa tête en arrière en venant en elle, profondément, un puissant orgasme dévastateur qui le coupe de tout le reste une seconde. Il reprend ses esprits, tout doucement. « Encore. Mais pas ici... » Murmure Eliakim en venant embrasser sa femme. Doucement il s'assoit dans la voiture, enfile sa chemise et attache son jean avant de sortir du véhicule, invitant Alice à en faire de même. Il verrouille son véhicule et vérifie une dernière fois que rien ne laisse penser à ce qu'ils viennent de faire. Et doucement,d ans la fraîcheur du soir, il l'attrape par la main avant d'entrer dans son immeuble pour rejoindre leur appartement. Il entre dans le hall, appui sur le bouton d'appel d'ascenseur et attend en venant embrasser tendrement Alice. L'ascenseur arrive avec une douce musique qui réveille les deux tourtereaux, ce n'est pas une mauvaise chose car Eliakim serait prêt à faire l'amour à sa femme ici et maintenant si seulement il n'avait pas été arrêté.

Ils entrent dans la petite cabine en fer, il sélectionne son étage et finalement une siée lui vient. Un sourire coquin joueur se dessine sur son visage alors qu'il presse le bouton d'arrêt d'urgence. Immobilisé tant qu'il le voudra, Eliakim se tourne vers Alice et la pousse doucement contre le mur. « C'est la soirée des premières fois apparemment... » Murmure le beau professeur avant de venir l'embrasser passionnément en posant ses deux mains sur les hanches de la belle. « J'espère que tu as eu la merveille idée de ne pas remettre ton string... » Demande Eliakim en soulevant sa femme afin qu'elle vienne enrouler ses jambes fines autour des hanches de son homme. Là, doucement, en la tenant contre le mur d'une main, il vient détacher son jean et libérer son membre encore bien vivant. « Tu me fais un effet incroyable... » Avec un soupir d'envie il laisse Alice glisser sur son membre, sans même lui enlever sa robe. Il sourit, s'arrête, l'embrasse et enfin avec une douceur toute calculée, lui fait l'amour dans ce lieu si spécial.

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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyMer 23 Sep - 22:53

Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant
Alice & Eliakim
Jouissance. Elle n'était plus qu'une boule de désir, ses nerfs à vif. Elle n'arrivait plus à réfléchir, elle ne pensais plus, elle n'était plus elle-même. Elle sentait le sexe d'Eliakim la remplir, s'intégrant parfaitement à son corps. Une autre partie d'elle-même, qui comblé le vide de son âme et de son être. Il était tout ce qu'elle espérait, tout ce dont elle avait besoin. Il était son double, son alter ego, son âme sœur. Il était tout pour elle, il était parfait. Son corps s'emboitait parfaitement dans le sien, elle avait envie de le sentir partout. Son corps brûlait de le sentir. Elle le regardait, haletait, entourant son corps avec ses jambes, se tournant pour lui présenter son sexe à nouveau. Délirante, séductrice, complètement délurée. L'envie la rendait folle, elle aurait été capable de le frapper, de l'insulter pour qu'il la baise plus durement encore. Elle était totalement hors de contrôle. Elle n'arrivait pas à retenir ses grognements de plaisir, jouissance à chaque coup de hanche d'Eliakim contre ses fesses. Elle n'arrivait pas à dire un mot logique, elle n'arrivait pas à parler, elle ne parlait plus. Elle était une tigresse, un animal plein de délire, de désir, de plaisir. Putain. Elle n'était plus elle-même. Appartenant à Eliakim, entièrement, elle se fondait en lui. Partie terrible de son âme, elle allait vers lui, approfondissant leurs étreintes. Jusqu'à sentir le frémissement d'Eliakim avant qu'il ne jouisse en elle. Un râle de plaisir, et les deux corps s'effondrent. Peu de temps. Alice en veut encore. Elle en veut toujours plus. « Je ne compte pas arrêter... » Elle sourit, alors qu'il la regarde dans les yeux. Elle a du mal à reprendre ses esprits. Elle n'a pas envie de reprendre ses esprits. Il revient contre elle, encore. La baisant avec force, en quelques coups profonds de hanche, tapant dans son sexe. La douleur vrille le bas-ventre d'Alice, une douleur plaisante qui la fait vaciller. L'orgasme approche encore, alors qu'une jouissance la fait hurler de plaisir. « Encore. Mais pas ici... »  Elle hausse un sourcil.
Plus rapidement qu'elle il remet ses vêtements. Elle met un moment à comprendre ce qu'il voulait dire par pas ici . Ils étaient en face de l'immeuble de leur appartement. Elle comprit alors qu'il comptait lui faire l'amour encore, mais dans l'appartement si possible. Elle n'avait rien contre l'idée, tant qu'il la prenait violemment. Plus violemment encore que ce qu'il avait déjà fait. Elle sentait son sexe trempait, la cyprine glissant entre ses cuisses. Elle s'assit, essaya de redonner une forme potable à ses cheveux, et remis les bretelles de sa robe, couvrant sa poitrine pointée. Ses tétons sont si durs qu'il la font souffrir. Elle est sur les nerfs, elle est tendue, envieuse, séductrice. Sauvage. Elle fait descendre sa robe sous ses fesses, s'arrêtant au-dessus de ses genoux. Elle ne cherchait même pas son string, incapable de dire où il se trouvait. De toute façon elle n'en aura pas besoin ce soir. Elle en était sure. Alors qu'Eliakim s'extirpait de la voiture, elle en fit de même. Une simple robe blanche recouvrait son corps. Sans soutien-gorge, sans string. Elle avait du mal à tenir debout sur ses chaussures, et elle sentait son excitation couler le long de ses jambes tant elle était pleine de désire. Elle se collait à Eliakim, incapable de le lâcher. Ses mains parcouraient son dos, son cou, son torse.

Alors qu'il ouvrait la porte de l'immeuble, elle était déjà sur lui, embrassant son cou, suçant sa peau délicate pour la marquer. Le faire sien, montrer qu'il lui appartenait. Elle était intenable, le prenant contre elle, se frottant, les seins complètement tendus. Douloureux. Ils entrèrent dans l’ascenseur, et Alice se jeta littéralement sur Eliakim. L'embrassant à pleine bouche, grognant contre sa bouche alors qu'elle cherchait un chemin vers son sexe tendu. Elle sentait qu'il était encore tendu, dur, dans son pantalon décidément trop étroit. Alors qu'elle tentait de le violer sur place, son homme fit un mouvement rapide vers la boite des étages. Elle sentit l'appareil s'arrêter. Elle remarqua alors qu'il avait arrêté l’ascenseur. Elle sourit. Un sourire sauvage et carnassier. « C'est la soirée des premières fois apparemment... » Elle haussa un sourcil. « Tu n'as jamais fait ca dans un ascenseur ? » demanda-t-elle, très excitée à l'idée qu'il tente une expérience avec elle pour la première fois. Parfois elle pensait au fait qu'il était son seul amant. Qu'elle n'avait eut que lui, alors qu'il avait eut des dizaines d'autres femmes. Voir plus que cela encore. Il pouvait avoir tout fait avec elles, alors qu'elle découvrait tout avec lui. Elle avait mis une croix sur l'idée de faire une première fois pour eux deux depuis longtemps. Elle découvrait les choses, Eliakim comme maitre pour la guider dans ses pas. Mais cette fois il semblerait que même lui n'avait jamais tenté l'expérience. Et cela décuplait son excitation.
Il vient la prendre contre la paroi de l’ascenseur. « J'espère que tu as eu la merveille idée de ne pas remettre ton string... » Elle entoura ses jambes autour de son homme et l'embrassa à en perdre haleine. « Il est quelque part dans ta voiture. Je sais pas où. Mon sexe est tout à toi. » Dit-elle alors qu'il était en train de libérer son membre dur. Elle le sentit contre son sexe, et retint sa respiration. Elle le sentir venir dans son sexe, écartant les parois de son vagin avec délice. Elle le sentait l'envahir. La posséder. Elle était complètement sienne à présent. Dans cette position elle ne pouvait que s'accrocher à lui et le laisser mener la danse. Une posture de dominée qui l'excitait terriblement. « Tu me fais un effet incroyable... »  Elle serra ses jambes alors qu'il la prenait doucement, calculant les effets qu'il avait sur sa femme. Alice en devenait folle mais savourait la présence du pénis en elle. Elle laissa sa tête allait dans le cou de son homme, mordant la peau, la suçant la léchant alors qu'il allait et venait en elle. Elle grognait encore et encore. Sentant les vagues de plaisir l'envahir, alors qu'un orgasme énorme se préparait.
Ils s'appartenaient l'un l'autre dans une fusion parfaite. Elle se perdait dans son regard, et alors que le plaisir l'envahissait ses émotions se réveillèrent. Immenses, en vague dévastatrice, elle serra les bras autour du cou de son homme, le prenant en elle, serrant les cuisses. Délirant, elle était essoufflée. Elle le sentait aller et venir plus vite encore. L'amour, la passion, le désir. Tous ces sentiments la saisirent d'un coup. Elle était perdue. Elle était comblée. Elle était heureuse. Elle vient dans un hurlement de plaisir, criant le prénom de son amour. Son unique amour. Ejaculation féminine immense, preuve d'un plaisir sans égale. Elle sentit les larmes couler sur ses joues alors qu'elle reprenait son souffle. Les émotions qui l'envahissaient étaient bien trop intenses, trop présents, trop instables. Elle ne voulait plus bouger. Elle voulait mourir dans les bras d'Eliakim. Heureuse, comblée. « J'ai t'aime… c'est… trop bon… putain que je t'aime. » Dit-elle en relevant le regard, alors qu'il la laissait retourner sur le sol. Elle sourit, et vint l'embrasser avec tendresse.
Elle remit sa robe en place, l'invitant à en faire de même alors qu'elle relançait l’ascenseur. Elle prit sa main, et sans un bruit elle le guida jusqu'à leur appartement. Elle se sentait bien, comme si elle volait sur un nuage. Elle planait littéralement. Elle laissa Eliakim ouvrir la porte et entra dans l'appartement. Alors qu'elle marchait vers la chambre elle ôta une bretelle de sa robe, puis l'autre, la laissant glisser à ses pieds. Elle ôta ses chaussures à talons et totalement nue elle se tourna vers Eliakim. « Viens me montrer combien tu m'aimes encore... » demanda-t-elle à la manière d'une invitation tendre et douce.
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptySam 26 Sep - 22:21

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« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

Jamais il n'aurait cru pouvoir désirer quelqu'un comme ça mais en même temps cela lui fait peur. Il craint qu'un jour tout s'arrête, que le désir fasse place à la routine, à la monotonie d'un couple qui ne s'aime et ne se désire plus. Il sait qu'il aura toujours besoin du regard d'Alice sur lui, de ses yeux gourmands posés sur le torse de son homme, cela le fait vivre. Eliakim a cruellement manqué d'attention, il a eu peur d'être seul pendant des années avant que son ex ne l'abandonne ainsi il a été balancé sans plus de ménagement devant ses démons, devant tout ce qu'il craignait depuis des années. Il ne compte plus les crises de panique qu'il a passé en compagnie de Rae, alors que Leigh était parti. Sa meilleure amie tentait vainement de le rassurer à grand coup de chocolat chaud au marshmallows mais cela n'était pas assez, pas quand l'être que vous aimez n'est pas là. Un seul être vous manque et tout est dépeuplé comme on dit, c'est si vrai. Alice est partie et pour la deuxième fois de sa vie il a eut l'impression que son monde s'écroulait pour une vie de carnage, désespérément seul. Il a eut plusieurs amants et amantes mais lorsqu'il a été seul, personne n'est venu lui ouvrir les bras sauf Rae et Liam. Ses amis qui il ne serait rien. Alors juste imaginer qu'un jour Alice ne le regarde plus comme avant, le souffle lui manque et des tremblements font vibrer ses mains. Il ne veut pas, ne peut pas supporter cette idée horrible et douloureuse. Pour se rassurer il lui fait l'amour et se montre sous son meilleur jour, l'homme parfait afin qu'elle ne regrette jamais d'être revenue pour lui. On peut tout lui reprocher mais depuis qu'elle est revenue il est d'une fidélité sans faille, il ne regarde même plus les autres femmes dans la rue. Preuve qu'il a changé. Avant Eliakim laissait un regard glisser sur les femmes à son goût, quelques yeux également sur les hommes qui attiraient l'attention du beau blond mais depuis qu'il a sa femme dans ses bras, rien d'autre n'existe. Parfois cela lui fait peur il a l'impression d'avoir totalement changé et puis il se dit que c'est ça l'amour. Que personne d'autre n'existe, que seule la bonne est importante dans son esprit. Et il sourit, l'embrasse, se rassure.

Alice semble également souffrir d'une violente peur de l'abandon, comme preuve les nuits d'amour qu'elle lui réclame souvent, quasiment tous les jours. Au grand plaisir de son homme qui pourtant se sent de plus en plus fatigué, mais il ne dira rien. Sa femme le désire et cette idée lui plaît tellement, qu'il a tendance à l'alimenter juste pour la retrouver prête pour lui lorsqu'il rentre chez eux. Chez eux... Ils vivent ensemble. C'est vers leur appartement qu'ils montent, dans cet ascenseur qu'il vient d'arrêter d'un geste de la main. Il la veut, ici et maintenant. Il n'a jamais rien fait dans un ascenseur et avec un sourire, il pense que ce sera leur première fois à tous les deux. Alors avec tendresse il la soulève et la laisse s'empaler sur son membre après l'avoir libéré de sa prison de tissu. Le plaisir déferle en lui aussitôt qu'il sent son sexe accueillir son membre, tellement chaud et bon qu'il pousse un soupir en la collant plus fort contre lui et la parois de la cabine. Elle cale sa tête dans son cou alors qu'il bouge doucement, dans un geste ample et sensuel. Elle le mord, le lèche, l'embrasse, il se fait violence pour ne pas venir trop vite sous le flot de sensation. « Je t'aime... » Murmure tendrement Eliakim en cherchant ses lèvres pour un baiser enflammé. En une seconde elle explose, il vient en elle alors qu'il sent une délicieuse éjaculation féminine tremper les cuisses de sa femme ainsi que les siennes. Il la repose doucement au sol en la tenant pour qu'elle ne tombe pas tout de même. « J'ai t'aime… c'est… trop bon… putain que je t'aime. » Il sourit et l'embrasse doucement alors qu'elle appui sur les touches pour retourner jusqu'à leur appartement. « Je t'aime aussi... » Ils arrivent, elle l'attrape par la main et l’emmène jusqu'à leur demeure, il la suit sans broncher, bien trop sous l'effet de la jouissance pour protester. Il est complètement à l'ouest, une douce chaleur déferle en lui, il sent les effets post-jouissance l'apaiser, c'est bien trop bon.

Ils rentrent dans l'appartement, il ôte sa veste et la range mais en se retournant vers Alice, il voit qu'elle enlève les bretelles de sa robe pour laisser son vêtement tomber au sol. « Viens me montrer combien tu m'aimes encore... » Lui dit elle en lui tendant une main, totalement nue et offerte, trempe et pleine de désir. Il se mord la lèvre et se sent fondre de l'intérieur, elle est si belle, si parfaite. Il l'aime à en crever. Alors il détache sa chemise, la laisse tomber au sol également et en fait de même de son jean. Il s'approche d'elle et la prend dans une étreinte puissante et protectrice. Ils se serrent l'un contre l'autre, s'embrassent, se touchent. Il veut la sentir avant de lui faire l'amour, s’enivrer de son parfum, son cœur explose sous un trop plein d'amour et de tendresse pour elle. Avec tout autant de douceur il la guide jusqu'à leur chambre et une fois devant leur lit, il la pousse sur ce dernier. Là il vient se placer au dessus en l'embrassant, écartant les cuisses de sa femme pour placer ses hanches contre elle. Tellement beau, magnifique dans leur amour et leur désir. Ils s'aiment tellement, l'instant est si sensuel, parfait. « Laisse moi te faire un enfant... S'il te plaît je veux un enfant avec toi... » Murmure le beau blond en déposant dans le cou de sa femme quelques baisers ainsi que sur sa poitrine. D'une main il vient enlever son caleçon pour se retrouver nu entre ses cuisses, tendu vers elle, plein d'envie. Alors il se redresse à genoux devant elle et l'attrape par les hanches. Dans cette position il peut totalement l'admirer, il voit son corps comme jamais. Il la guide sur son membre et avec douceur avant de s'arrêter pour la regarder. Les hanches contre lui, son corps soumis au regard de son homme, elle ne sera jamais aussi belle qu'à cet instant. « Dis moi que tu m'aimes. Que je suis le seul. Dis moi que tu me désires... » Murmure le beau professeur en bougeant légèrement en elle, assez pour la rendre folle.

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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyLun 28 Sep - 22:11

Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant
Alice & Eliakim
Excitation délirante, elle sent uniquement le sexe d'Eliakim allait et venir en elle. La rendant femme, faisant d'elle un être complet. Durant des années elle avait moqué les amoureux, s'imaginant incapable de ressentir une telle dépendance envers quelqu'un. Persuadée de pouvoir se complaire à elle-même, elle ne pouvait pas croire que quelqu'un la rendrait folle à ce point. Au point de rester béate devant lui, la bouche ouverte comme une carpe japonaise. Au point de parler avec une petite voix aigue de débile, usant de surnoms tous plus ridicules les uns que les autres. Au point d'oublier jusqu'aux bonnes manières, ignorant les autres autour d'eux pour ne voir que lui. S'oublier, elle, ne plus savoir ce qu'elle voulait être, pour être ce qu'il voulait qu'elle soit. Elle était persuadée que jamais elle ne laisserait son ambition de côté pour un homme. Que jamais elle ne laisserait un homme lui dictait sa conduite. Que jamais un homme ne saurait la dominer, quant ce soit au lit ou dans la vie. Et la voilé à présent, suppliant presque Eliakim de lui faire l'amour. Suppliante, délirante, désireuse, elle savait qu'elle ferait tout pour lui plaire et pour lui offrir le plaisir dont il raffolait tant. Elle ferait tout pour être seule qu'il veut pour le restant de sa vie, quitte à changer. Quitte à laisser derrière elle toutes ses ambitions et ses envies. Quitte à ne plus être Queen A. Quitte à ne plus être La Kensington. Elle savait qu'elle pourrait tout accepter, et tout faire pour lui. Quitte à s'en rendre malheureuse.
Mais pour l'heure elle ne pense pas à cela. Elle est sur son sexe, qui entrait en elle, l'écartant, la possédant avec une telle force qu'elle sent la douleur l'envahir à mesure que le plaisir monte en elle. Son sexe est mis à rude épreuve, mais elle en profite. Elle en savoure chaque instant, de cette étreinte démoniaque dans un ascenseur. C'est incroyable, improbable et terriblement plaisant. « Je t'aime aussi... » Elle sourit. Elle aussi elle l'aime, mais pour l'heure elle cherche à retrouver son souffle et le fonctionnement de ses jambes. Une minute. Avant d'en vouloir encore.

Le guidant dans la maison elle enlève sa robe avant de lui faire face. L'invitant à la rejoindre encore.Elle le veut en elle, encore et encore. Elle ne peut pas s'expliquer ce délire sexuelle – cela lui prend quand elle a prit de la drogue cependant. C'est la faute d'Eden, cette érotisation la rend dingue. Elle se perd, dans les délires de la volupté. Tout est décuplé, les sensations, et le désire qu'elle ressent. Sans compter le besoin qu'elle a d'Eliakim. Elle a le besoin de le sentir proche, de l'avoir contre elle, de l'avoir en elle. Constamment, longtemps, pour toujours. Droguée, ivre, elle sent cependant s'estomper tous les effets à mesure que le temps passe. Mais le désir est toujours là, l'envie est toujours présente, brûlant son être au plus profond de son âme. Elle a envie d'Eliakim, le désir la rendant folle. Elle n'est plus vraiment elle-même. Elle est la seconde partie de l'âme d'Eliakim. Il vient la rejoindre, la guidant jusque sur le lit. Elle se laisse tomber sur le matelas, et sourit, écartant les cuisses, geste guidé par l'envie. Il vient sur elle, la dominant. Doucement, elle sent le sexe d'Eliakim la prendre. « Laisse moi te faire un enfant... S'il te plaît je veux un enfant avec toi... »  Son coeur s'arrête. Et fort heureusement Eliakim est dans son cou, embrassant sa peau. Le trouble soudain, et l'angoisse de la jeune femme la fait décuver d'un coup. Elle sent les larmes monter vers ses yeux et tente de reprendre le contrôle. Un enfant… Elle ne voulait pas un enfant pour le moment, mais dieu qu'elle voulait Eliakim. La peur de le décevoir la saisit presque aussitôt, et elle le saisit dans ses bras, l'obligeant à garder la tête dans son cou. Elle ne sut que répondre, alors elle mit ses jambes autour de ses hanches, l'invitant à venir en elle. Elle espérait que cela suffirait pour qu'il ne cherche pas plus loin. Le trouble était passé, alors que son sexe entra en elle une fois encore. Un gémissement.
Soudainement il se relève droit devant elle, pouvant l'admirer. Ses yeux sont humides, mais elle sourit, se mordant les lèvres devant le désire qu'elle ressent.  « Dis moi que tu m'aimes. Que je suis le seul. Dis moi que tu me désires... » Demande-t-il en bougeant doucement en elle. Elle aimerait pouvoir lui répondre, mais elle a du mal. Le désir la rend dingue, elle sent encore le plaisir monter en elle. Elle voudrait répondre, mais ses mouvements la déconcentre, l'empêchant de mettre deux mots cohérent l'un à côté de l'autre. « Je t'aime plus que tout… toi et rien que toi… Toujours. Y a que toi pour me mettre dans un tel état Bordel ! » Répondit-elle en essayant de bouger les hanches de le faire venir plus proche de lui encore. Elle se lève soudainement, et le prend contre elle pour le faire tomber sur sa poitrine. Dans un mouvement rapide, elle les fait se retourner, et le chevauche, bougeant ses hanches sur son pénis tendu. Délirante, elle s'asseoir et bouge, allant et venant sur sa verge tendue, rendu folle par le regard de son homme sur elle. Elle bouge. Elle vient. Elle jouit encore. Orgasmique. Amoureuse. Epuisée.
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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher


☆ date d'arrivée : 08/12/2014
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MessageSujet: Re: TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant.   TERMINE (HOT) Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. EmptyMer 30 Sep - 21:59

Alikim for life !

« Quand tu l'aimes et que cet amour te rend vivant. »

Une explosion d'amour, de sentiments, de tendresse pour la femme qu'il tient dans ses bras. Il la couvre d'un regard amoureux et tellement tendre, qu'il a l'impression que tout ceci est un rêve. Le moment est si parfait, attendu depuis tellement de temps, il n'arrive pas à redescendre. Délicatement il vient caler sa tête dans son cou pour l'embrasser alors qu'il entre en elle. Il ne la sent pas se tendre et se crisper contre lui, il est trop obnubilé par la peau blanche de sa femme offerte à sa bouche gourmande. Il l'embrasse, la mord, grignote son épiderme à l'odeur parfaite. Elle est parfumée, sa peau lui rappelle la douceur d'une pétale de rose que vous attrapez entre vos doigts. Il pourrait lui dire sans cesse qu'il l'aime mais il est a un tel stade d'amour, qu'un je t'aime n'est vraiment plus assez. Il se drogue d'elle, de son parfum et de sa présence. Comme si elle pouvait disparaître, lui annonce que tout est fini et qu'elle va s'enfuir. Lentement il se relève sur les genoux pour venir la contempler de toute sa hauteur et surtout de toute sa beauté. Elle est magnifique. Il remarque ses yeux rouges mais il ne s'arrête pas à ça, mettant cela sur le compte de l'alcool, de la fumée de la boite et d'un petit peu trop de drogues. Il lui sourit pour la rassurer, elle lui rend son sourire éclatant. « Je t'aime plus que tout… toi et rien que toi… Toujours. Y a que toi pour me mettre dans un tel état Bordel ! » Lui répond la belle alors qu'il lui demande en quelques mots, de le rassurer. Il ferme les yeux et savoure le moment. Mais sa femme ne doit pas en avoir assez, il la sent bouger et en ouvrant les yeux, il remarque qu'elle se hisse à lui pour s'accrocher à son cou. Il voudrait lui demander ce qu'elle fait mais sans pouvoir lutter il se retrouve presque jeter en arrière, sur le dos, alors qu'elle ne lâche pas son sexe en elle. Il l'attrape fermement par les hanches et gémit violemment en la sentant bouger vivement sur son membre, cherchant plus de contact, de désir, de sexe tout simplement.

Il l'accompagne en venant frapper en elle à mesure qu'il sent l'orgasme monter pour elle, il la sent se tendre, gémir, crier, hurler de plus en plus fort si c'est encore possible. Il ne pense à rien d'autre que le regard brûlant de sa femme accroché à ses yeux, alors qu'elle se laisse emporter et ravager par le plaisir. Jamais il ne pourra la trouver plus belle qu'à cet instant, complètement dingue par l'envie et le plaisir. Elle vient dans un hurlement, belle, désirable, tellement femme qu'il la suit au bout de quelques secondes sans pouvoir se retenir. Elle se laisse tomber dans ses bras, il la réceptionne tendrement contre son torse ruisselant de transpiration. Elle pose sa tête dans son cou et contre son épaule, il la berce doucement. « Je t'aime. » Murmure Eliakim tendrement en attirant sur eux à l'aide de sa jambe, la couette. Elle s'endort déjà dans cette position, épuisée par la soirée et la séance d'amour qu'ils viennent d'amour. Il ne lui en tiendra pas rigueur, de toute façon il ne comptait pas lui parler tout de suite de ses excès. Il la laisse s'endormir, la berçant doucement, et enfin la rejoint.

© Chieuze

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