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 (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)

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MessageSujet: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyLun 17 Aoû - 16:31



Une semaine d'amusement, de décontraction, en compagnie de mon entourage. Le bonhomme a partagé des moments incroyables avec les nombreux personnages. Il a pu faire énormément d'attractions, avec enthousiasme, et dynamisme. Il ne manquait seulement une personne. Une personne que mon cœur réclamait. Elle a explosé ma carapace, en ranimant mon organe inanimé, et poussiéreux. Le cœur est scellé au sien, qui éprouve des sentiments pour cette femme. Lucia Zembrano. Une femme surprenante, avec beaucoup de tempéraments.  Le fait de prononcer son prénom, m'évoque de merveilleux moments, ou on  provoquait, on couchait ensemble sans aucun scrupule, un mélange de mauvais sentiments. Je suis censé faire le point sur mes sentiments, pour pouvoir recommencer. Il est quasiment impossible de pouvoir réfléchir correctement, quand nous ramène à quelqu'un qu'on éprouve des sentiments, et qu'on aimerait s'approprier. Le terme s'approprier, en sous-entendant pour pouvoir former un couple. Un couple ? Je n'ai qu'une vague image à quoi ressembler un couple durable. Le seul modèle que j'ai en mémoire, celui de ma sœur avec son compagnon. Le mien est un cauchemar ambulant. Qui n'a pris aucune tournure heureuse. Je ne me suis rendu compte de mon « erreur ». Que c'était une femme irresponsable, voulant simplement connaître les sentiments, mais sans aucun engagement.

Les sentiments ont corrompu mon jugement. Ils m'ont empêcher de voir comment était vraiment mon ancienne compagne. Et si le cauchemar recommençait avec Lucia ? Serais-je en mesure de m'en rendre compte ? Il sera meurtri par son comportement. Sa mère a causé suffisamment de dommages, pour qu'une autre recommence. J'espère ne pas me tromper de personne, et entreprendre une relation durable. On a même un premier rencard. Le moment pour apprendre par la même occasion à se connaître davantage, pour commencer une relation en bonne et du forme. Je vais probablement évoquer mon ancienne relation amoureuse avec mon ex-femme. La relation compliqué, et envenimé que j'entretiens depuis longtemps avec mon géniteur. Qui est exactement la même avec mon grand-frère. Cela va être douloureux. Je suis cependant prêt pour se rencard. Les deux femmes m'ont encouragé, conseillé, ou même donner un coup de main pour me préparer mentalement. Cela semble ravir ma mère de pouvoir compter peut-être sur une nouvelle femme, qu'elle commence déjà apprécier sans même apprendre à la connaître. Ce qui n'est pas le cas pour ma grande-sœur, qui compte me surprotéger. Elle paraît menaçante, méfiante, et dangereuse avec chaque femmes, c'est seulement pour me protéger. On a vraiment un lien fusionnel, qu'elle tient énormément à son rôle.

Le bonhomme est en compagnie de son parrain, pendant notre rendez-vous ensemble. Il n'y a aucun malentendu, il sera sous la tutelle d'une personne de confiance. Je prend une grande inspiration, prenant mon courage pour ce premier rencard. Le volant entre mes mains, le déclenchement du moteur, me voilà entreprendre le trajet pour rejoindre Lucia dans son appartement. Sûrement retrouvons-nous une décoration coloré, une ambiance chaleureuse, et communicatrice. Ça même avec un budget restreint, on peut transmettre aux personnes, une ambiance exotique, une décoration au couleur d'un île magnifique, mais vivant sous une pauvreté. Que beaucoup de personnes ont du mal à supporter, malheureusement. Le temps en Irlande, et accommodant, appréciable, on le recommande souvent. J'ai entendu ma mère prononcer quelques mots en rapport d'un voyage. Le temps de pouvoir voyager pendant quelques temps, retourner au commencement. Bref. Je me retrouve donc devant son appartement, les mains un peu tremblante, sous la nervosité de ce premier rencard, avant de frapper pour signaler ma présence. Je suis vêtu d'un costume, classique, mais qui me corresponds. Les cheveux légèrement humidifié avec une laque professionnelle, et un peu de maquillage pour enlever les impuretés. Je me demande à quoi je ressemble. Un homme coquet, que certains donneront une appellation humiliante, comme « tarlouze » surtout que je proviens d'un monde ou aucun homme se maquille. La porte se déverrouille à ce moment, avant qu'elle vienne me saluer cordialement.

« Bonjour. » saluais-je, un peu maladroitement, avant d'entreprendre de sortir un compliment « Tu es.. » me stoppais-je, ne trouvant aucun mots qui pourrait correspondre.

Magnifique ? Ce compliment est déjà vu, même revu depuis longtemps par les hommes. Je me doute qu'elle a du avoir beaucoup d'homme avant de tomber sur moi. Le contraire de moi, qui tombe bêtement amoureux de sa meilleure amie, qui ressemblait beaucoup à un ange. La réalité est que c'est qu'une femme irresponsable. Qui préfère renoncer au bonheur pour replonger dans les bras d'un homme. Bref. Je m'imprègne de chaque décorations, chaque détails, pour en apprendre davantage. La maison renferme beaucoup d'informations sur une personne. La mienne montre importance de ma famille, et de mon monde, de mon pays. Je peux même dire qu'on enlève ma famille, mon entourage, et mon enfant, on me perds complétement. Ils sont ce qui ont le plus de valeurs pour moi. Et ont toujours été présent pour me protéger, me soutenir, et donner de l'amour à mon enfant. Je m'approche d'elle doucement, en venant déposer un baiser comme salutation.  Qui est correspond mieux à un couple, à une retrouvaille amoureuse, qu'une relation simple, et amicale, comme on peut en avoir beaucoup dans le monde.

« Comment vas-tu ? » demandais-je, n'osant pas les surnoms amoureux, au premier rencard.
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Dernière édition par Liam Cromwell le Sam 12 Sep - 18:34, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyMar 18 Aoû - 17:43


A New Romance Is About To Be Born
Just How Your Love Can
Do What No One Else Can


Lucia & Liam
L'anxiété la gagnait peu à peu en voyant les heures défiler sous ses yeux. Depuis les grandes vacances, depuis que tu étais partie. Lucia avait vécu plutôt tranquillement. Elle regardait les jours défiler avec de la lassitude. Oui, elle avait été impatiente de te voir revenir avec ton enfant. Maintenant qu'elle t'avait donné rendez-vous chez elle en te donnant son adresse, elle se sentait anxieuse. Si tu ne voulais plus d'elle après cette soirée car maintenant, Lucia devait t'annoncer qu'elle était en fait malade, d'une maladie incurable mais qui ne tuait personne ou presque. Ce n'était pas la maladie en soit qui tuait les personnes, c'était la jalousie et l'infidélité mais Lucia n'était pas à un tel degré de nymphomanie. Lorsqu'elle était en couple, Lucia restait cependant fidèle, enfin lorsque cet homme le méritait amplement, sa fidélité. Si on la trompait,  Lucia trompait mais lorsqu'on ne la trahissait, on avait le droit à une femme fidèle et plutôt convenable. Mais comment allais-tu réagir ? Allais-tu continuer à l'aimer malgré sa maladie, sa débauche de l'ancien temps qui continuait à empiéter sur sa vie. Une boule au ventre se formait dans son ventre tandis qu'elle a eut une nausée qui montait. Lucia se levait de son lit pour aller aux toilettes et laissa sa nausée partir dedans. En sueur, oui, Lucia était paniquée. Elle n'était plus habituée aux rencards, aux attirances ! Cette nausée avait été la première depuis longtemps. Le stress, c'était le stress de ce rendez-vous. Cela ne pouvait être que cela de toute manière. Lucia se redressait doucement et se rinça en se brossant les dents pour ne plus sentir cette odeur qui la rendait malade dans sa bouche. Ses yeux venaient à se regarder dans le miroir de la salle de bain, elle était en sueur, son cauchemar de cette nuit l'avait rendu fébrile. C'était toi qui la jetait en lui hurlant les pires insultes suite à sa déclaration. Lucia secouait doucement la tête pour faire partir les images fugaces mais vivaces de son esprit. Non, tu n'allais pas réagir ainsi, tu n'allais pas la violenter comme les autres mecs qu'elle a eu avant toi Tu allais l'accepter comme elle était, enfin elle espérait ardemment cela. Lucia se sentait vraiment fiévreuse. Il y avait vraiment du stress, c'était la panique totale pour elle. Finalement était-ce une bonne idée ce rendez-vous ? Lucia ne le pensait pas.

Elle jeta un dernier regard apeuré à son reflet. Ses yeux marron chocolatés avaient un air malade et craintifs , son teint naturellement halé était pâle presque terne et ses lèvres quelque peu mangés par le stress. Lucia se sentait vraiment nauséeuses et les images de son cauchemar revenaient sans cesse en boucle dans son esprit. Une nouvelle nausée monta dans sa gorge et elle a tout juste le temps de se pencher pour vomir encore dans la cuvette. Au bout de quelque minutes, elle se redressait et se rinçait encore une nouvelle fois la bouche. Elle devait cesser de paniquer avant de partir faire le ménage chez elle. Oui, il fallait ranger et nettoyer car c'était vraiment un bordel. Il y avait des vêtements, des assiettes et des verres, des livres en espagnols par terre ou sur la table, empilés comme des vieux journaux. Elle mit les assiettes sales dans son lave vaisselle et rangea les livres dans sa bibliothèque. Les vêtements, elle les mit à laver. Faire le ménage lui empêchait de penser à ce soir. Ainsi, elle fit les poussières et le sol. Tout était propre et net dans son appartement. Il était pas spécialement grand, au contraire, il ressemblait plutôt à un duplex. Les murs étaient peints de couleur blanc. Lucia ne voulait pas rentrer dans le cliché des maisons latinas sous prétexte qu'elle était cubaine. Cependant, il y avait une certaine chaleur dans sa maison. Cela venait peut-être de ses meubles qui donnait de l'apaisement.  Une fois, que tout cela soit propre. Lucia mangeait un petit bout avant de se mettre à cuisiner un poulet à la cubaine. Une recette familiale, c'était le seul plat qu'elle cuisinait à la perfection. Ses mères, enfin les voisines de sa mère lui apprenaient la cuisine parfois. Pour elles, on avait un homme avec notre cuisine mais Lucia les avait toujours eu grâce à son corps.  Mais au moins, elles avaient peut-être raison.  La belle cubaine aurait moins essayé leurs astuces pour une fois.

Lucia restait un moment pour flâner devant la télévision, devant "Le diable s'habille en Prada" avant de mettre le poulet au four et allait se préparer pour son rendez-vous. Elle allait se brosser une énième fois les dents. Suite à cela, elle prit une longue douche chaude pour détendre ses muscles et son stress. L'eau était brûlante, et dégageait une sorte de vapeur qui l'embrumait d'une odeur fruitée. Celle de son gel douche. Lucia se détendit quelque peu en s'efforçant de ne pas penser à ce soir. Comment allait-elle te l'annoncer ?  Comment allait-elle te le dire ? Lucia avait peur de ta réaction mais elle devait te le dire, Eliakim avait raison. Elle ne pouvait te cacher cela ! Tu méritais de le savoir, tu n'étais pas comme ses ex mais cette maladie était très souvent mal vue et remplie de préjugés. Les personnes atteintes ne pensaient pas qu'au sexe, n'avaient pas envie 24h/24. Mais c'était faux. A moins qu'il y avait peut-être ce niveau de nymphomanie, Lucia ne pensait pas tout le temps qu'à coucher ou au sexe, elle pensait à un tas d'autres choses même si ses pensées revenaient toujours sur le même sujet, le sexe.  Lucia se souvenait de leurs ébats charnels dans le vestiaires, remplis de violence, de haine et d'attirances. Elle se souvenait sur son bureau, où c'était doux et passionnels. Cela avait été divin. Rien que d'y penser, une flamme s'alluma dans son bas-ventre, elle se forçait de serrer les cuisses et de ne plus penser à cela. Il fallait qu'elle arrête de se sentir ainsi. Au bout de quelques minutes d'une longue douche qui l'avait détendu  totalement. Lucia enveloppait son joli corps dans une serviette avant de se regarder, elle avait une meilleure mine. Elle se maquillait, du crayon Khol pour mettre en valeurs ses beaux yeux chocolatés, un peu de fond de teint pour cacher ses cernes et du rose à lèvres. Lucia enfilait une robe prune avec un décolleté en " V". Elle lui arrivait au dessus des genoux et épousait parfaite les courbes de son corps. Tout était mis en valeurs, elle mit des talons et lissa ses cheveux bruns aux boucles soyeuses. Lucia était fin prête et se pensait plutôt belle.

Suite à cela, elle allait mettre la table. Non pas de bougie pour la jouer trop cliché. Trop romantique pour elle. Elle sortit le poulet doré au four et semblait satisfaite de cela. Lucia entendit qu'on toque à la porte, elle alla donc ouvrir avant de voir que c'était toi. L'angoisse la prit de court mais elle essayait de ne pas le montrer. Lucia eut un sourire en attendant ton compliment sur sa tenue qui venait jamais. A vrai dire, cela l'avait vexé . Cela faisait longtemps que tu étais parti, tu ne le complimentais même pas et encore moins l'embrasser. Ils avaient déjà passé tout ça ! Elle répondit à ton baiser, elle se sentait un peu anxieuse, du fait que tu ne l'avais pas complimenté sur sa beauté mais ce n'était pas la pire entrées qu'elle avait vu dans les rencards. La dernière fois, ce fut son ex qui revenait à peine d'une garde à vue, il avait un bleu sur l’œil mais la jeune et insouciante Lucia avait eu un rire, si elle avait su ce qu'il allait arriver. Elle serait tenue loin de cet homme et de son comportement violent envers elle. Ce qui la vexait dans cette histoire, c'est que même cet homme violent l'avait complimenté sur sa tenue, sur sa beauté. Lucia ne te comprenait pas mais elle laissait couler. Après tout, tu n'étais pas doué avec les femmes et tu pensais que complimenter, c'était trop revu, il fallait le faire tout de même pour flatter la jeune femme afin qu'elle rentre dans un jeu de séduction.

-Hey ! Je vais bien et toi ? Comment cela s'est passé avec ton fils ? Demanda-t-elle en te laissant passer pour rentrer.

Derrière toi, Lucia venait refermer la porte. Elle espérait que tu apprécierais manger cubain. Bref, elle espérait que cela se passerait bien.

-On mange cubain ! J'espère que tu adores cela ! S'enquit-elle avec un petit rire face à son cliché.

Lucia te regardait et te guidait à table. Oui, elle espérait sincèrement que cela fonctionne avec toi ! Tu étais sa dernière chance !

Fiche de CaptainBen ♥
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyMer 19 Aoû - 2:01



Il est vrai que je n'ai dis aucun compliment. Les mots sont coincé au fond de ma gorge. La nervosité d'un premier rencard, est synonyme souvent d'une incontournable maladresse. Ce qui est en ce moment mon cas, pour me comporter comme un adolescent. Lors de son premier rencard avec une jeune femme mignonne. Je me sens complétement idiot, voir même ridicule dans mon comportement. Qu'est-ce qui m'a pris de couper ? Le premier détail pour une relation. Je suis même pas capable de complimenter quelqu'un pour un premier rencard. Les compliments basique me semblait complétement banale pour mon amour. J'ai sans doute voulu m'y prendre autrement, pour démontrer son charme inestimable. La jouer certainement grand séducteur en la complimenter comme ça « Il n'y a rien qui égale à votre beauté. » Les mots parfait qui exprime mes sentiments. Que je ne suis même pas censé m'exprimer par ma nervosité, et ma maladresse. Cela remonte à environ un ans, ou même plus que je n'ai pas toucher une femme, ou même simplement complimenter, ou draguer pour pouvoir recommencer. Le summum malgré mes conquêtes, c'est uniquement mon deuxième rencard. Le premier étant avec mon ancienne femme, et le deuxième avec mon amoureuse. Le résultat est exactement le même, ayant aucune expérience, ou habitude à ce genre d'événement pour me préparer à une relation amoureuse durable. Les amourettes, on a aucunement besoin d'un rencard uniquement de coucher.

Il n'y a personne qui peut me comprendre. Les femmes sont devenues une coucherie. Lors de mon adolescence, principalement, on changeait souvent de compagnes. L'école militaire, il n'y a uniquement des hommes, il n'y a aucune femmes. Cela remonte au temps ou certaines femmes les corrompt pour coucher ensemble. Entre temps, mon cœur a complétement chaviré pour ma meilleure amie, Victoria. Le premier rencard, qui prend la même allure que le deuxième avec mon comportement. Le premier amour. Il a duré uniquement quatre ans, malgré qu'on est été ensemble depuis longtemps. Elle a divorcé en m'obligeant à signer ce contrat, sinon je perdais mon unique enfant. Qui est ma seule raison de vivre dans ce monde. Le deuxième, se présente maintenant, en sa compagnie, qui me comble de bonheur. Il en va de mon bonheur, comme celui de mon enfant. A présent, le sien, également. Je veux une seconde chance pour pouvoir recommencer en sa compagnie. Le premier pas consiste donc à m'excuser de mon comportement, comme un homme :

« Je suis navré. » dis-je doucement, en me sentant un peu nerveux. « Je suis un peu nerveux et maladroit. J'en perds même mes mots sous mon inexpérience. » s'enquillais-je, avec quelque peu de timidité à avouer mon inexpérience pour ce genre d'événement.

Je suis honnête et me contente simplement d'évoquer mon inexpérience sentimentale. Le séjour s'est déroulé parfaitement, mon garçon s'est beaucoup amusé. Il en a même attrapé de l’insomnie, pour continuer inlassablement de s'amuser. Il est appelé communément, le virus de Disney. Les enfants ne peuvent pas s'en défaire rapidement. C'est comme une maladie, cependant cela les rend enthousiasme. Le simple bonheur de le voir autant heureux, enthousiasme, et dynamique. Me suffit pour me rendre heureux à mon tour, même sans la présence de mon amoureuse. On a eu quelques coups de soleil, embêtant, nous empêchant de dormir. Les douleurs, et rougeurs sont encore présentes pour ma part. Je ne sais pas comment m'en débarrasser. Le tout est que maintenant on a pu reprendre notre sommeil, et également manger sainement, vu qu'auparavant y a eu beaucoup de sucre.

« Mieux, depuis que tu es là. » avouais-je concernant le manque qu'elle a crée depuis une semaine. « Bien. Il a vécu un conte de fée, même mieux à mon avis. On a eu quelques dommages. Rien de grave, seulement des coups de soleil. » expliquais-je, en résumant notre séjour pour anniversaire de mon garçonnet. « Ta semaine a été ? » demandais-je par politesse, comme elle a demandé récemment pour moi.

Je rentre dans la demeure, observant chaque décoration, chaque objet, qui me rapprocherait de son monde, de son univers, qu'importe avec les moyens qu'elle avait. Le mien résume uniquement à mon pays et mon entourage donc ce n'est pas beaucoup. Le doux son mélodieux de son ricanement, me rend quelque peu euphorique. Il est bien de découvrir davantage sur son pays, autrement que par internet. Je n'ai aucun doute que Lucia est un cordon bleu, régalant n'importe quel papille. L'odeur vient éveiller mon odorat, qui n'attend maintenant que de déguster le poulet. J'admets que je n'ai pas manger à midi pour pouvoir bien manger pendant le dîner préparer soigneusement par ma compagne. L'idée est peut-être stupide mais c'est comme ça qu'on mange convenablement. Les femmes sont de bonnes cuisinières. Et aimant les plats étrangers pour leur goût particulier en mélangeant les épices, comme les ingrédients, ce qui donne un plat original, et savoureux, que tout le monde aimerait en manger. Il n'y a pas à se poser la question. Je vais probablement adoré. Je vais donc rejoindre la table soigneusement décoré, pour le moment.

« J'en suis sûr que tu es un cordon bleu. J'ai donc aucun doute que je vais adoré le dîner. » complimentais-je, en me veillant rassurant. « Je ferai en sorte de t'inviter pour la prochaine fois. » dis-je, doucement.

Il est temps de couper le poulet, pour que chacun puisse se servir, et manger convenablement. La main se retrouve timidement, et maladroitement sur la sienne, mes joues quelque peu empourpré de rougeur. La conversation va probablement débuter. Il en va de moi de commencer à engager la conversation. Je ne sais pas quoi demander. Le tout en n'étant pas trop indiscret, en voulant en apprendre davantage. Et pour un homme inexpérimenté, pour les premiers renards, me voilà embarrasser pour demander une simple question. Je me mords la lèvre doucement, avant de questionner, mon amour, en essayant de ne pas m'aventurer beaucoup trop loin. Je ne voudrais pas remonter d'anciens souvenirs, qui ferait resurgir des douleurs.

« Parle moi de toi, mon amour. » dis-je, en plongeant mon regard dans le sien, dégustant doucement la viande.
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyMer 19 Aoû - 15:07


Un rencard ! Lucia avait un rencard, cela faisait longtemps qu'elle n'en avait pas eu ! Le dernier avait été catastrophique, totalement. Lucia avait terminer en garde à vue à cause du mec. Au final, elle avait terminé par sortir aussi blanche comme neige, car cela fut une erreur de justice. Son rencard l'avait laissé dans la merde mais malgré ça, elle avait gardé espoir. Oui, l'espoir c'était ce qui la maintenait en vie, qui l'avait gardé en vie lorsqu'elle avait du faire quelque chose contre sa valeur, avorter de son bébé. Elle avait été contre l'avortement mais dans ce genre de situation, elle avait remercié Dieu que cela puisse exister. Bien sûr, cela lui avait brisé le coeur d'avoir fait cela. Mais Lucia ne l'avait pas fait pour elle mais pour son bébé. Lucia aurait préféré mourir plutôt qu'il vit dans ce monde de brute, pauvre et battu par son père. Il aurait eu une triste et horrible vie et ceci, Lucia ne le saurait jamais pardonner. Elle se souvenait du rencard qu'elle avait eu avec cet homme qui l'avait battu, elle aussi. Il n'avait pas été horrible loin de là. Il avait bon et charmant envers elle, rempli de qualité, et charmant. Plus que charmant. Mais charmant ne voulait pas dire sincère avec elle. Elle aurait du s'en douter et elle avait appris la leçon d'une manière douloureuse. Derrière un prince charmant, il y avait toujours un crapaud et ce crapaud avait été robuste pour elle.

Lucia avait beau être une femme de caractère mais elle savait pardonner quelqu'un. C'était son père qui lui avait enseigné, de toujours pardonner. Lucia croyait au changement chez les personnes. Que tout le monde souffrait d'une manière ou d'une autre. Il faut toujours donner son pardon. Alors Lucia l'avait pardonné à chaque fois qu'il la frappait. Elle essayait de comprendre mais au final, elle lui pardonnait par crainte. Il avait réussi à lui faire croire qu'il était invincible. Que rien ni personne ne pourrait l'arrêter pour lui faire mal. Chaque soir, il la frappait, chaque matin, il s'excusait. Il redevenait l'homme charmant à ses yeux, celui qu'elle avait vu au rencard, alors elle le croyait qu'il pouvait changer mais c'était par peur, non par conviction, par amour pour lui. Elle avait sacrifié ses valeurs pour cet enfant, pour ne pas qu'il vive dans ce schéma familiale, tragique et désastreux.  Elle ne voulait pas qu'il fasse comme son père, qu'il la voit se faire frapper pour un oui ou pour un non, qu'il finisse par devenir comme son père. Oui, il aurait eu une vie tragique et horrible, pauvre et battu. Non, ce n'était pas ce qu'elle avait vu pour lui.  

La douleur de la perte était ancré dans son coeur. Pauvre petit ! Mais Lucia avait sacrifié ses valeurs pour le sauver d'une vie horrible. C'était de l'amour malgré ce qu'on pouvait en penser. Cela lui avait arraché le coeur et même les infirmières avaient pleuré avec elle lorsqu'elles sortirent l'embryon de son ventre.  Lucia lui avait dit la véritable raison de celui-ci et les femmes l'avaient soutenu dans cette douleur. Peu à peu, Lucia s'était faite à cette idée. Même si la culpabilité et le regret était dans son coeur. Elle n'avait même pas vu les photos que les infirmières avaient prises de son embryon avant de le brûler. La belle cubaine les avait rangé dans un endroit intime et secret, qu'elle seule connaissait. La nervosité était encore présente à chaque fois qu'elle avait un rencard mais encore plus avec toi. Tu lui plaisais vraiment beaucoup. Voir, Lucia pensait que c'était de l'amour. Qu'elle étrange sentiment qu'était l'amour ! Ce qu'elle ressentait ardemment  au fond d'elle, l'embrasait totalement. Son coeur battait la chamade en te regardant. Tu étais beau, très beau mais ce n'était pas à elle de te faire un compliment. Elle t'offrit un sourire éblouissant, visiblement comblée de te voir.

-Ce n'est pas grave ! Je suis un peu nerveuse aussi ! S'enquit-elle doucement en te regardant.

Lucia servit deux verre rouge et t'en tendit un. Elle n'était pas très vin, plutôt téquila ou vodka-pomme. Ses talons claquaient sur son parquet brun et s'asseyait en mettant le poulet sur la table. Elle mit une jambe sur l'autre, un tic qu'elle prenait lorsqu'elle était assise et lui donnait le plus des airs aguicheurs sans le vouloir vraiment. Lucia eut un sourire lorsque tu lui racontais à quel point, Disney, c'était bien. Sincèrement, elle avait regardé son tout premier Disney à ses 12 ans. Elle n'avait pas vraiment profité de la magie de ces dessins animés lorsqu'elle était enfant. Lucia aurait aimé aller à Disney au moins une fois pour sa vie mais Cuba lui semblait plus importante. Là bas, sa mère reposait et semblait l'attendre. Elle réalisa son rêve d'enfant plus tard. Ce n'était pas une priorité. Lucia eut un petit rire mélodieux, c'était vrai que tu avais un peu bronzé. Lucia bronzait mais ne prenait jamais coup de soleil, un héritage cubain, qu'elle chérissait particulièrement. La belle cubaine servit le poulet et commençait à manger doucement.

-Je vois, j'adorais Disney à mes 12 ans. Je n'ai jamais pu en regarder un lorsque j'étais enfant. C'est vrai que tu as un peu bronzé, le climat en France doit être plus favorable au coup de soleil qu'ici. Les jours s'écoulent lentement ici. Je n'ai trop rien fais, à part discuter d'Eliakim, déclara-t-elle doucement. Il voulait s'assurer que je sois gentille et assez bonne pour sortir avec toi, c'était mignon, vexant et à la fois embarrassant, Ajouta Lucia d'une façon moqueuse avec un petit rire.

Elle mangeait une bouchée de son poulet à la cubaine. Un vrai cordon bleu, pas vraiment. Elle savait cuisiner mais cela n'avait rien à avoir avec les grands cuisiniers, ou dès que tu mettais un truc dans ta bouche, une explosion de saveur se faisait. Que cela soit divin, mais son poulet à la cubaine l'était totalement. C'était le seul plat qu'elle savait vraiment cuisiner comme un grand chef. Lucia  eut un rire.

-Tu n'es pas obligé tu sais, j'ai fais cela pour conclure ce qu'on s'est dit devant la voiture,  et puis je voulais te revoir, tu m'as manqué depuis ton départ, voila les raisons de ce rendez-vous, expliqua-t-elle enjouée.  Et je ne suis pas un cordon bleu, loin de là, si tu veux vraiment savoir, demande à mon assureur, plaisanta-t-elle en faisant un clin d'oeil.

Cependant, elle stressait et commençait à paniquer mais restait stoïque face à toi. Que voulais-tu vraiment savoir sur elle ?

-Que veux-tu savoir sur moi ? Demanda-t-elle en te regardant, un peu perplexe.

Elle espérait que ce rendez-vous se passe bien et qu'ils forment un couple, oui Lucia était amoureuse de toi, maintenant, elle en était sûre ! Sinon pourquoi cette nervosité qu'elle n'avait jamais eu lors de ces rencards ?  
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Sam 22 Aoû - 14:52, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyJeu 20 Aoû - 11:38



Il est de même pour moi. Le peu que j'ai pu obtenir c'est quand mon départ décamper. Il interdit quiconque de me remettre un présent, ou même de m'apporter de l'affection. Je me suis mainte fois demander la raison de son comportement violent. Les aboiements, les coups, que mon corps frêle, et chétif a subi inlassablement. Le même rituel, qu'il m'a accordé comme correction de mon comportement. Cela a duré de quelques années, malgré que ma sœur me surprotégeait. Elle s'est même pris de coups pour me protéger de cet homme méprisant, méconnaissable, et machiavélique. Qui prétend se nommer homme de famille. Il est de mon devoir de donner à mon enfant, tout ce qu'on ne m'a pas donner. Qu'il est une enfance meilleure que la mienne, pour devenir quelqu'un de bien. Il les a eu comme cadeau y a longtemps, comme ça il peut apprendre la lecture, en les revisionnant en même temps pour garder en image comment ce déroule le Disney.

Le climat est ensoleillé, au point qu'on peut risquer à tout moment d'attraper une insolation, ou même un coup de soleil. Il m'a même empêcher de dormir pendant quelques temps. Là pour le moment c'est moins douloureux, que les jours précédents. Eliakim ? Je reconnais bien mon meilleur ami. Il a eu la bonne attention, de s'assurer que ma compagne, ne cause pas les mêmes dommages que mon ancienne femme. Qu'est-ce qu'il a fait ? Il a dû mal s'y prendre pour que cela soit vexant. Cela ne m'étonne même pas. Je viendrai en communiquer pour en savoir davantage. On a des moyens quelque peu brusque, maladroit, ou impulsif de s'occuper d'un « problème ». Cela m'a quand même permis d'apprendre que une femme convenable, sérieuse, pour entreprendre une relation durable, et amoureuse, non ?

« Il en est de même pour moi. C'est ce qui me pousse à offrir à mon garçon. Ce que je n'ai pu obtenir. » s'enquillais-je, doucement. « Effectivement. Je n'ai malheureusement pas eu de chance. » dis-je, en écoutant attentivement les propos concernant mon meilleur ami. « C'est tout, lui. Il connait ma vie mieux que quiconque. Il a simplement voulu me protéger. J'irai lui en dire deux mots quand même. » assurais-je pour régler ça, ensemble, comme quand on a un problème.

Je bois le vin qu'elle m'offre comme boisson, avant de prendre une bouchée de poulet. La viande était cuite à bonne température, et les épices cubaines donnait un arrière goût pimenter. Cela est agréable dans la bouche. Elle se sous-estime beaucoup. Je donnerai ma main à couper qu'elle sait quand même cuisiner le minimum. Le mieux est de suivre minutieusement les conseils qu'ils indiquaient pendant la préparation. Les recettes sont par moment agréable pour cocoter un menu complet, et « comestible ». Ça c'est déjà produit de préparer un plat immangeable.

Le moyen de conclure ce qu'on a commencé, c'est de proposer un premier rencard, ensemble. Je ne me sens pas obligé. Le bonhomme pourra emmener dans sa chambre. Il sera probablement un peu curieux, en posant quelques questions maladroitement. Il apprendra à la connaître comme ça, même s'il a peur qu'elle remplace mon ancienne femme, qui est sa maman qui a quand même abandonné pour un mec. Il est vrai qu'elle m'a beaucoup manqué, également, ce qui m'a empêcher de me raisonner correctement, concernant ma mise au point sur mes sentiments. Il est invraisemblablement impossible de pouvoir me concentrer quand mes songes se tournent constamment auprès de la personne dont j'éprouve des sentiments. J'ai quand même peu réfléchir, en me donnant une seconde chance en amour, en recommençant en sa compagnie, espérant ne pas me tromper de personne.

« Cela ne m'engage à rien. Ca me fait plaisir. Il y en a un qui sera content de te revoir. » dis-je, en me doutant qu'il voudra quand même apprendre qui est ma compagne. « Tu m'as manqué aussi, ma chérie. » avouais-je, en venant lui dérober un baiser. « Tu es vraiment incroyable comme femme. » répondis-je en prenant dans le bon sens, en espérant qu'elle le comprenne comme un compliment.

La bonne question. Il est de ne pas paraître maladroit, ou indiscret en demandant quelque chose. Il est dur d'aborder une conversation, engendrant beaucoup de souvenirs. Et en même temps, il y en a tellement de question pour découvrir quelqu'un. Cela me semble comme un chemin sinueux, dangereux, et risquant de s'y perdre définitivement. Comment dois-je m'y prendre ? Qu'est-ce que je dois répondre ? Il en est à elle de voir ce qui est indispensable de m'apprendre la concernant. Le regard divague sur ma main, qui serre doucement la sienne pour montrer mon amour. Qui entreprennent ensemble, un parcours semer d'embuches, pour trouver le chemin de l'amour.

« Tout ce que tu jugeras bon de m'apprendre. » s'enquillais-je, suite à ce qu'elle me demande.

HS : Je me rattraperai au prochain  :48:
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptySam 22 Aoû - 17:05


Lucia s'était longtemps demandée pourquoi sa mère la laissait seule la plupart du temps. Il fallait dire que lorsqu'on était petit, on cherchait à comprendre la vision des adultes, car celle d'un enfant restait simple aux yeux du monde. Pourquoi les autres mères restaient avec leurs enfants toute la journée, les regardaient jouer pendant que la sienne partait tout le temps. La laissant souvent en compagnie d'autres mères. Sa mère l'adorait mais Lucia avait eu le droit à des promesses brisées, non tenues. Son enfance restait plutôt paisible si on enlevait la partie scolarité, père absent et mère absente.  Elle vivait parmi les autres enfants de son quartier pauvre sous le soleil aride de Cuba. Elle avait très peu photo d'elle quand elle était petite. Mais elle se souvenait malgré qu'elle ne mangeait très rarement, elle était plutôt bouboule, toute en rondeur et toute halée. Oui cela semblait surprenant de voir une petite fille qui mangeait plutôt à sa faim, être bouboule. Heureusement, Lucia avait maigri en grandissant et elle n'était pas vraiment ronde. Sinon, cela aurait été la galère mais c'était lorsque son père l'avait pris sous son aile pour l'emmener loin de Cuba pour la Colombie dans une belle maison, elle avait fini par maigrir peu à peu mais son visage n'avait cessé d'être rond.

Elle n'avait jamais pris de coup de soleil, son climat natale a du joué sur sa peau. Cuba , la Colombie, Venezuela avaient marché sur sa peau et il semblerait que la France a parfois un climat très ensoleillé à ce qu'elle voyait. Lucia n'était jamais allée en France et ce n'était pas vraiment un des pays qu'elle aimerait visiter bien que certaines choses, elle voulait le voir comme la tour Eiffel, Versailles et le musée du Louvres. Oui , mis à part ça, la France ne l'intéressait pas vraiment. Après aller dans le parc d'attraction, elle voudrait bien aller. Elle se souvenait de l'étonnement qu'elle avait eu en voyant pour la première fois un dessin animé Disney à sa treizième année. C'était une de ses camarades de classe qui lui en avait parlé mais bien sûr, Lucia s'était fait passer pour une inculte en lui disant ne pas connaître mais sa camarade avait été gentille et comprenait qu'avec sa vie passée dans la pauvreté avant d'arriver en Angleterre. Elle eut un petit rire en le regardant , bien qu'elle fronçait un peu les sourcils.

-Ah bon ? Tu n'as jamais regardé un Disney lorsque tu étais enfant ? Bizarre, je pensais que tu étais quelque peu riche. Enfin, je te voyais plus dans une maison avec un grand jardin , une balançoire, enfin c'est comme ça que je voyais ton enfance, tu vois le truc cliché , ne le prends pas mal ! S'enquit-elle en te regardant en riant face à ce que Eliakim a fait. Ca je sais , je comprends ce qu'il a fait et j'aurais fait pareil pour une amie, c'est plus dans sa manière de le faire qui a été hilarante , ajouta Lucia en riant.

Elle but une gorgée de son vin. Lucia et le vin, ce n'était pas une histoire d'amour mais son père adorait ce genre de boisson. Bien sûr, il l'adorait et il était riche dans les pays d'Amérique latine mais il avait un salaire moyen en Angleterre et ils avaient vécu dans une bonne maison mais ce n'était pas la grande villa qu'ils avaient eu. Oui, elle avait eu aussi la pauvreté comme la richesse mais lorsqu'on était riche, la vie était beaucoup plus facile que lorsqu'on était pauvre. Oui, l'argent ne faisait pas le bonheur , mais Lucia avait pris la pauvreté comme une faiblesse. Elle se souvenait des riches qui passaient devant eux les pauvres, leurs airs hautains, la tête haut, vêtus des hautes marques et se fichant d'eux complètement, à manger des choses dont ils rêvaient la nuit. Maintenant, quand Lucia allait à Cuba , elle donnait de l'argent, le peu qu'elle avait aux petits et à leurs familles, car c'était en quelque sorte la sienne. Des anciennes se souvenant d'elle l'invitaient chez elles pour un bon petit repas. Oh, elle adorait vraiment Cuba lorsqu'elle allait maintenant qu'elle pouvait aider sa " famille".

Il était rare qu'elle aille faire la fête. Mais c'étaient souvent avec des amis de son enfance à Cuba qu'elle allait la faire. Quoiqu'il en soit, elle n'était pas partie cette année mais elle était avec toi et c'était tout ce qui comptait pour l'instant. L'année prochaine, elle irait et si tout allait bien, elle te présenterait aux anciennes. C'était peut-être l'été à Cuba mais elle avait trouvé l'amour et c'était tout ce qui comptait. Lucia se sentait bien là, grisée par une soirée qu'on pourrait dire romantique, yeux dans les yeux, mains dans la mains. Des picotements agréables dans son bas-ventre. Cette sensation unique qui lui donnait du baume au coeur. Une magnifique soirée se présentait à eux et elle n'allait pas la gâcher, il y a qu'une chose qui pourrait la gâcher, ta réaction face à sa maladie. Sa nymphomanie pourrait gâcher ce moment parfait, rempli de tendresses, d'amour et de tension sexuelle.

Lucia eut un sourire en t'écoutant, c'était vrai que ce petit garçon et elle, cela fut un énorme coup de foudre entre eux. La belle cubaine fond toujours face à la belle petite bouille d'ange. Quel puta de mère pourrait abandonner un tel petit garçon, Lucia eut un goût amer dans la bouche et une furieuse envie de taper cette femme qui ne mérite pas cette belle vie qu'elle a.

-Oh oui, il me manque ce petit bout de chou, cela fut un coup de foudre entre nous, s'enquit-elle doucement. J'ai toujours adoré les enfants, peut-être parce que j'ai vécu avec les enfants des autres la plupart du temps, ajouta Lucia doucement.

La belle cubaine eut un sourire en te regardant. Que pouvait-elle te dire et t'apprendre ? Elle allait commencer par son enfance. Sa nymphomanie était pour plus tard.

-Je suis née à La Havane, dans les quartiers pauvres. Mon père a été absent et ma mère était absente la plupart du temps. Elle travaillait tout le temps pour subvenir à nos besoins, donc je vivais au gré du quartier et des voisines. Un jour, j'allais chez l'une, un jour, chez l'autre. Je n'allais pas à l'école . Je me sentais en quelque sorte abandonner car ma mère n'était jamais là et quand elle était là, elle était tellement fatiguée qu'elle me demandait de partir. J'en voulais à ma mère et un soir lors de mes 6 ans. J'avais rencontré pour la première fois mon père, tout de suite, ça a été le coup de foudre, on a parlé, il m'a chanté une chanson et puis c'était un homme d'affaire. Le lendemain, j'ai du dire adieu à ma mère et ce fut la dernière fois que je l'ai vu vivante, s'enquit-elle, sa voix se coinçant sur le passage des adieux. On est partit en Colombie et ce fut lorsque j'avais 8 ans que je suis allée la première fois à l'école. J'étais une excellente élève. A dix ans, je suis retournée à Cuba, pour l'enterrement de ma mère, un cancer au poumon à cause du fait qu'elle a trop fumé de cigarettes. A Cuba, on manque de tout, même de l'essentiel, ajouta-t-elle en faisant référence à tes insultes que t'a jeté sur les cubains.

Elle avait commencé à parler de son histoire et Lucia te regardait.

-Quoiqu'il en soit, j'ai fini par concevoir à l'idée même que la pauvreté était une faiblesse, toi tu as vu la misère du côté de la guerre, moi je l'ai vu avec les civiles, j'ai vécu dans la misère, dans la vrai misère,  déclara Lucia avec une moue nostalgique.

C'était vrai, Lucia le savait très clairement que tu ne pouvais pas savoir de l'autre côté de la barrière.





 
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Jeu 27 Aoû - 2:46, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyMer 26 Aoû - 11:29



On est une famille cliché. J'ai vécu dans une immense demeure, entourer d'un magnifique jardin, recouvert de majestueux arbustes, avec une piscine au contour de bois, une cheminée familiale, ou ma mère adorait nous compter des centaines d'histoires. On est ça quand nous sortons, pour les provisions, pour de nombreuses sorties, ou même école, le tout est de masqué la vérité à la plupart des personnes qui nous entourent. Et à quoi bon mon père viendrait probablement compromettre nos alertes, pour me protéger de cet homme, et de mon grand-frère, en nous faisant passer pour des menteurs. Ou des personnes paranoïaques, en jouant le rôle du bon géniteur, qui apprécie son entourage, comme sa famille, alors que c'est un monstre. La vie à l'intérieur est autrement, peu de présents, sauf quand il part en mission pendant de nombreux mois, sans donner aucun signe de nouvelles. Ma mère et ma sœur compensent ce que mon père me prive pendant ce temps, de l'attention, de l'amour, des présents comme un enfant normal. Même si en permanence, elle essaye de combattre cet homme, en s'opposant, en l'engueulant, cela n'a aucun effet, et ainé de ma famille prend partie évidemment de mon paternel, comme on peut s'en douter. J'ai reçu des coups, des reproches, des engueulades de mon père, aucun amour, aucune attention, ce que mon frère a eu en contre partie évidemment. A cet âge, on se dit qu'on a fait une connerie, qu'on doit la mérité cette correction, qu'il nous engueule à tout bout de champ, ou même qu'il nous frappe sans connaître vraiment sa force, sur un enfant frêle, chétif, et qui a peur de son géniteur. Elles ont essayés longtemps de me faire comprendre que le problème vient de mon père, et non d'un enfant innocent, qui cherche seulement à être comme les autres. C'est seulement plus tard, que j'ai compris qu'ils m'ont pas désiré mon père, et mon ainé, ils faisaient en sorte de me le faire comprendre pendant tout ce temps. Je n'aurai pas un père comme tout le monde, aimant, apprenant à chasser, à te raser, ou même à devenir un homme, que cela ça sera moi-même à me l'apprendre ou même les parents de mes amis. Le plus dur c'est quand tu apprends à quelqu'un que ton cauchemar c'est ton enfance, on te dit tout le temps « arrête de dramatiser ! » alors que c'est que la vérité que beaucoup de gens ont du mal à accepter.

Le regard un peu perdu, dans les méandres de mon passé douloureux, en observant le vide, avant de répondre à ce qu'elle m'a demandé récemment concernant ma vie « cliché » comme beaucoup semble le penser. « Il est vrai que nous sommes une famille clichée. Oui, mais uniquement d'apparence. » commençais-je à entreprendre de raconter mon enfance rempli de cauchemars, à l'espoir que mon géniteur, s'éloigne de la maison pour que tout reprenne comme chaque famille normal. « Mon père me privait de tout ce qu'un enfant normal peut avoir. Je n'ai eu droit qu'à des coups, des reproches. Mon ainé me rabaissait, m’humiliait, et se moquait de moi. Lui et mon père ne m'ont pas vraiment désiré. Je n'ai été qu'un souffre douleur. On peut dire que mon enfance a été un cauchemar malgré les départs de mon père pour retourner combattre pour son pays. Il n'y a eu que ma sœur et ma mère qui ont vraiment compté pour moi. Et qui ont essayé de combler ce manque. » expliquais-je, en effaçant ces moments douloureux, pour m'efforçant un quelconque sourire, pour ne pas compromette notre rencard ensemble, en évoquant des problèmes familiaux que tout le monde peut rencontrer. Il n'y a donc aucun problème, car en même temps sans ce problème, nous formons une famille clichée, car nous avons de quoi subvenir au besoin sans même travailler, cependant comme ma mère, et ma sœur, nous voulons quand même se donner à la tache pour ressembler aux personnes aux financement normaux. Je bois une gorgée de vin, en apprenant que mon meilleur ami s'est mal pris pour remarquer si Lucia était une femme bien, sérieuse, et fidèle, ou une femme comme mon ex-femme, qui a envie de changement, et de conquêtes, sans prendre de responsabilités. Et comme je m'y attendais de la part de Eliakim, il a été comme moi, quand j'ai voulu régler le compte personnellement à Alice concernant son départ. On a été maladroit, et quelque peu brute dans la façon de prévenir quelqu'un. Je suis de même sachant, que récemment, mon père a frappé mon enfant. J'ai provoqué une engueulade, et une bagarre, que tout le monde se rappellera. A ce moment, ma mère et ma sœur ont encore plus mépriser mon père pour son comportement. Là pour le coup mon frère a rien dit, parce qu'il y avait beaucoup de monde.

En communiquant sur les enfants, mon bonhomme commence à apprécier ma compagne. Il a même demandé pourquoi elle n'est pas venu avec nous, si vraiment c'est mon amoureuse. Le mots coup de foudre m'amuse cependant, mon enfant a souvent répété « beurk ! » quand il m'a vu embrassé sa maman, quand nous étions ensemble, comme une famille, qui me semble maintenant bien lointaine au vu de son compagnon. Le fait qu'il pense beaucoup moins à sa maman me rassure quelque peu. Ils auront occasion de se revoir, dans ma demeure, ou même quand nous serons ensemble. Si elle adore les enfants, peut-être que je devrais moins m'inquiéter concernant son départ, comme mon ex-femme, et qu'elle restera un minimum pour mon fils. J'espère ne pas me tromper comme pour mon ancienne femme. Cela évitera pour moi et mon garçonnet de recommencer à vivre ce cauchemar. Je n'ai pour le moment aucun doute qu'elle fera une bonne mère pour Ethan, même si celui-ci a peur qu'elle remplace sa maman, et qu'il en oublie en même temps Victoria. J'essaye au mieux de lui faire comprendre que personne ne la remplacera, et que ce n'est même pas mon intention, de me trouver quelqu'un pour la remplacer. J'ai seulement appris à recommencer, à m'ouvrir auprès de quelqu'un, pour pouvoir me donner une « seconde chance » en amour comme en amitié également. « On peut dire ça. Vous allez bientôt vous revoir. Il est en compagnie de son parrain en ce moment. Qui a du surement le gâté pour son anniversaire. » enquis-je poliment, concernant mon enfant, avant de m'exprimer plus à ce sujet en même temps. « Cela m'a surpris de voir comment il t'a sur le champ adopté. Mais il a tout de même peur que tu veuilles remplacer sa maman. J'ai été incapable de lui avouer que Victoria nous a abandonné pour n'avoir aucune responsabilité, et retomber dans les bras d'un autre homme. Je lui ai seulement dis que sa maman était en voyage pour le travail. Et qu'elle ne pouvait pas encore revenir. » soupirais-je en m'en voulant de mentir à mon enfant, pour le protéger d'une vérité qui n'est surement pas près à encaisser maintenant, néanmoins c'est mieux comme ça pour le moment, même s'il a tendance à espérer qu'elle reviendrait à un moment. Ce que moi je n'espère pas, parce que cela signifie qu'elle voudra récupérer mon enfant.

« J'en suis sûr que tu seras sans aucun doute, une excellente mère. Je ne connais pas autant de monde qui aime autant les enfants. » dis-je, en serrant sa main doucement, qui est actuellement posé sur la sienne, qui empourpre légèrement mes joues, de couleur rouge, mais qui n'est pas énormément visible, encore heureusement. Le sujet se tourne à présent, sur ma compagne, ou j'ai demandé quelques informations, pour apprendre un minimum sur celle qui m'accompagnera pendant longtemps. Ou du moins j'espère, que cela ne se terminera pas comme mon ex-femme. Cela ne doit pas être forcément évident de vivre dans la pauvreté d'un pays en sous développement. Le fait d'apprendre qu'elle n'a pas vécu auprès de ses parents, me peine énormément, puis cela démontre qu'on n'a pas de raison de se plaindre vraiment, même si on a toujours vécu dans la violence d'un homme violent, méprisant, et autoritaire, comme géniteur. Ce qui est quand même remarquable, de voir une femme qui se démène pour pouvoir subvenir à n'importe quel besoin. Le tout pour donner une vie potable à un enfant, ou même à son entourage. Ce qui explique comment elle a vécu entourer d'enfants de son voisinage. Ca se comprend, même pour moi cela m'est impossible de connaître davantage. Je n'ai pas vécu dans le même pays, dans les mêmes situations, ou dans le même monde. Cela était-il vraiment une bonne idée de présenter tout le monde, ou même de l'inviter dans ma maison. Elle ne doit même pas pouvoir se payer ça. Je dois tout de même en parler avec elle, pour moi la famille c'est important. Je n'imagine pas ma vie sans mon entourage, c'est comme si mon monde s'écroulait.

C'est vraiment triste. Cela arrive souvent dans les pays pauvres, par manque de moyen. Elle aurait peut etre eu une chance, si elle aurait vécu dans de meilleurs conditions, et dans un pays qui pourrait prendre en charge son opération et sa chimiothérapie. Oui, bien entendu, cela est couteux, et qu'elle n'aurait peut-être pas les moyens. Les hôpitaux prennent des aides pour des personnes en manque d'argent. Je me sens un peu coupable surtout par rapport à ce que j'ai pu dire auparavant. En même temps, j'ai vécu une ancienne expérience, ou on était ensemble, avec Victoria, proche de Cuba, sans même aller à ce pays pour pouvoir profiter d'un minimum de confort. Et deux cubaines, venait m'aguicher en me provoquant. Oui, cubaines, car à leur prénom et nom, ou même quand on les appelait, c'était deux femmes provenant de Cuba, comme a signaler quelqu'un après. Elles ne sont pas tous comme ça, heureusement, mais celle-ci était en manque. « Je suis vraiment désolé. Ce que je vais dire à surement aucun sens, mais j'aurai apprécié pouvoir y changer quelque chose. Je comprends mieux pourquoi tu ne sembles pas vouloir y retourner. » dis-je en parlant au moment ou j'ai manqué de la renvoyer complétement, uniquement à cause de beaucoup de mensonges sous énervements, qu'elle continuait à me tourner autour comme un animal, ou un insecte. « Je suis encore navré de ce que j'ai pu dire sur les Cubains. » m'excusais-je encore de mon comportement. Il est vrai qu'après je ne connais pas la misère en dehors du champ. Je l'ai uniquement entrevue pendant qu'on a combattu, s'efforçant de protéger quelques civils, et de les sauver des missiles. Je ne l'ai certainement pas vécu, et vue comme Lucia, cependant les deux sont dramatiques, et cause beaucoup de dommages. Le summum dans tout cas, c'est que ca cause énormément de morts, de maladies, de destruction de villages, ou même met en danger des innocents. On envoie même des enfants soldats pour combattre. Ce que je trouve lamentable, et inadmissible, comment pouvait-il ordonner à des enfants de se comporter comme des sauvages, des hommes sanguinaires. Cela a même manqué de me faire tuer à maintes reprises, me rappelant même des appels de mes camarades, qui essayaient de m'éloigner du champ. J'ai manqué à maintes reprises de me condamner, en voulant sauver des personnes, des soldats, ou même en essayant de donner des soins à quelqu'un en danger.

Je continue de manger, en prenant un bout de viande, qui est excellente, tendre, avec des épices, cela rappelle bien le goût de Cuba, une nourriture probablement épicé, provenant d'un pays chaud, mais qui vit constamment sous la pauvreté, et que personne ne leur vienne en aide. On aide les africains, sans se douter qu'en Cuba, ils en aurait éventuellement besoin, vu les problèmes qu'ils rencontrent également. « Il est certain que je n'ai pas vu la misère des villages là ou on nous ordonnait de combattre. On a fait seulement qu'entrevoir. » soulignais-je en approuvant ses dires concernant les hommes soldats, qui voient une misère, mais certainement pas la même que ceux des villages, qu'on risquait de condamné en même temps que combattre. « Il est désolant à penser que le seul moyen d'un pays pour se protéger c'est employer des moyens rustiques, et irrévocables en demandant à des hommes de combattre. Cela touche les civils, comme les soldats, si nous nous ne combattons pas. Les ennemis nous tuent sans aucun scrupule. Je ne sais pas combien d'amis sont mort sur le champ. Ils devraient penser à trouver un autre moyen et à trouver des solutions pour enlever la misère dans certains pays plutôt que d'envoyer des personnes combattre. » dis-je en exprimant mon point de vue, et mon énervement, même si j'ai été un ancien soldat. Bien obligé par mon paternel, mais quand on m'a demandé d'y rester par principe qu'on avait besoin de moi, que des hommes avaient besoin d'encouragement. Que leurs familles attendaient beaucoup d'eux, tu ne peux pas refuser de combattre, ou même d'entrainer des hommes à devenir des armes à tuer des soldats. On a fait en sorte d'épargner le maximum de civils entre les champs, même si cela a lamentablement échoué.

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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyJeu 27 Aoû - 2:51


Lucia était assise sur sa chaise et lançait un regard sur son appartement propre, ce qui était très rare. Elle était une femme quelque peu bordélique parfois. Enfin, elle reportait toujours le ménage,le lendemain ce qui créait de la poussière. Elle se souvenait de son enfance, elle était aussi dans la poussière. Sa maison petite , précaire, un véritable taudis, une favela comme on disait dans le jargon des géographes. Un véritable taudis sans télé, juste une cuisine instable au four et plaque datant des années 50, un salon et une chambre toute petite. La plupart du temps, Lucia s'installait le matin sur les marches et regardait les maisons, les favelas qui bordaient la sienne, attendant quelqu'un daigne à venir la chercher. Il pouvait se passer des heures , voir quelque minute.  Mais la plupart du temps, elle devait attendre midi pour qu'on vient la chercher et elle attendait encore et encore. Lucia n'avait pas de télé pour se divertir et elle ne savait presque pas lire, et puis, les seuls livres qu'avaient dans la maison parlaient de cuisine. Elle n'avait pas vraiment de jouets non plus, voir rien qu'une peluche offerte par quelqu'un le jour de sa naissance. Assise sur les marches du petit escalier, Lucia avait attendu qu'on la prenne. Cela avait été son quotidien. Elle n'avait jamais vu sa mère à son réveil, elle se réveillait seule , s'habillait et sortait pour attendre que sa mère rentre ou qu'une voisine la prenne en pitié pour la prendre et la faire manger un poulet cubain. Souvent après cela, elle sortait avec les enfants de la dite voisine pour s'amuser avec des cailloux ou ce qu'ils trouvaient quelque part. Ils allaient parfois à la plage avec la voisine mais comme à cet âge , personne ne lui apprenait à nager, elle ne pouvait pas aller se baigner comme les autres enfants alors Lucia restait souvent sur le sable et faire trempette ou des châteaux sables sans de seaux ni de pelles. Bref, avec rien.

Lucia se rappelait à quel point, elle était anxieuse. Sa mère et elle n'échangeaient que très peu de mots, très peu de gestes. Elles ne se voyaient voir presque pas du tout. Elle était seule, toujours seule et devait apprendre à vivre sans sa mère à ses côtés. Une de ses voisines lui avait raconté ses premiers pas, et sa mère avait manqué cet événement lui avait dit la voisine, comme elle avait manqué pour sa dent de lait, comme ses premières règles, sa première fois. Bref, sa mère avait tout manqué. Et même si maintenant, elle lui en voulait toujours de ne pas avoir été présente pour elle, Lucia connaissait les sacrifices de celle-ci et elle l'en remerciait. Mais ses sacrifices étaient vains, très vains quand on sait ce qu'elle avait manqué par rapport à sa petite fille. Après tout Lucia avait été seule pendant toute son enfance à ses côtés, elle n'avait rien appris de sa mère, si ce n'est qu'une absence pouvait peser lourd dans le cœur d'une enfant. Après tout, c'était ce qu'elle faisait de toutes ces journées. Lucia ne faisait qu'attendre le retour de sa mère . Mais soit elle s'endormait avant qu'elle put la voir, soit sa mère trop fatiguée, préférait se coucher plutôt que de passer un petit moment avec sa fille qui n'avait fait que de l'attendre toute sa journée. Oui, elle avait été déçue un nombre incalculable par sa mère. Son absence, ses promesses qu'elle ne tenait pas, le fait qu'elle avait manqué toutes les choses que sa fille avait pu faire comme exploit. Oui, Lucia s'était sentie qu'elle n'était pas aimée par sa mère et cela se comprenait.

De ses yeux d'enfants, Lucia ne voyait qu'une femme qui la fuyait sans cesse et qui lui disait des promesses pour la tenir tranquille et docile. Pour qu'elle continue à attendre désespérément son retour et qu'enfin, elles puissent passer un moment simple mère et fille. Mais il n'avait jamais eu ce genre de moments. Bien sûr, qu'elle ne voyait pas  le travail harassant de sa mère , sa maladie qui la rongeait. Au final, Lucia n'avait été qu'une petite fille perdue. Il n'y avait pas eu de câlins entre elles, pas de tendresses qu'une mère normale aurait pu avoir pour son enfant. Une tendresse, un lien que Lucia n'avait jamais eu. Le peu de paroles qu'elles s'étaient échangées, restait «  je suis fatiguée, je vais me coucher » ou des reproches. Lucia avait le droit de reprocher à sa mère , son absence. Après tout, elle n'avait été qu'une petite fille qui voulait sa maman. Comment pouvait-elle pas ressentir de la jalousie en voyant les filles de sa voisine si proches de leurs mères. Tandis qu'elle ne revenait jamais. Lucia était tout le temps seule et souriait beaucoup malgré sa solitude pesante et sa tristesse apparente. Oui, une voisine lui avait dit qu'il fallait parfois sourire face à la vie, plutôt que de la pleurer. Un joli proverbe qu'elle avait beaucoup utilisé étant petite. C'était une des rares fois, où on l'avait consolé. Sa voisine avait été plus une mère pour elle que sa génitrice. Sa mère n'avait été qu'une déceptions, un fantôme, une parfaite étrangère à sa vie. Il fallait dire, que sa mère lui avait privé de l'amour, et d'une mère. Oui, maintenant, elle savait qu'elle travaillait beaucoup. Après tout travailler, c'était bien ! Bien mieux qu'être mal accompagnée, d'après sa mère.

Oui, c'était une des phrases qu'elle lui avait sorti et qui avait raisonné à ses oreilles. Même aujourd'hui, cela sonnait encore comme un coup de poignard. Lucia ne saurait si elle avait parlé d'elle ou de son père. Mais cela l'avait blessé car dans leur relation, il n'y avait pas plus explicite face à autant d'absence.  Un coup de poignard dans le cœur qui les avait fait éloigner encore plus l'une de l'autre. La seule soirée où elle fut présente pour sa petite fille,c 'était quand celle-ci avait rencontré son père. Mais leur relation ne leur permettait une discussion simple, c'était donc envers son père qu'elle s'était tournée. Après tout, cela avait été le coup de foudre, il lui avait donné de l'amour, de l'attention, l'avait parlé, lui demander comment cela allait , ce qu'elle faisait de ces journées. Lucia se souvenait d'avoir dit une chose «  attendre maman » comme réponse et ceci avait peiné son père, beaucoup d'ailleurs. Par  ces deux mots,  la petite Lucia lui avait fait comprendre sa peine, et la situation remplie d'amertume et de solitude. Le lendemain, elle était partie, adressant un dernier regard à sa mère, un dernier sourire à travers les larmes qui coulaient le long de ses joues rondes. Ce fut la dernière chose qu'elle avait fait à sa mère, un sourire, un regard, pas de «  je t'aime ». Oui, Lucia aimait sa mère mais elle lui en voulait tellement, car elle n'avait rien fait pour elle que de travailler. Lucia ne la connaissait pas, pas comme on connaissait une maman. Elle ne connaissait rien d'elle, et elle n'avait même su, si sa mère l'avait aimé. Après tout, ce n'était peut-être pas pour elle qu'elle travaillait autant mais pour s'en sortir avec sa maladie. Pour le peu que Lucia avait eu d'elle et de cet argent. Le fait que tu lui dises que tu avais été battu par ton père, lui avait fait ramener d'autres souvenirs liés à son ex violent, celui qui lui avait fait cette cicatrice sur la lèvre. D'ailleurs, elle venait à la caresser tout doucement, très pensivement.

Le plus tragique dans cette histoire, c'était qu'au final, elle avait été seule presque toute sa vie. Son père n'avait pas été là pour elle dans cette histoire. Lorsqu'il l'avait pris pour l'éloigner de sa mère. Sa vie avait pris un autre tournant. Elle avait eu une plutôt belle maison, elle allait à l'école malgré son retard. Bien sûr, la grande maison n'avait pas encore de télé. Mais elle était plus grande et moins taudis que celle qu'elle avait avant et beaucoup plus moderne et riche. Lucia ne savait pas ce qu'était une télé à 8 ans. Son père était beaucoup plus présent pour elle , chaque soirs surtout. Cela lui suffisait. Elle pouvait tout faire pour son père. Puis, elle avait l'école, Lucia s'était fait des amis. Elle se sentait bien en Colombie , où elle avait appris des cours de boxes et d'autodéfenses. Bref, elle se sentait bien mieux qu'à La Havane même si cela lui arrivait de pleurer l'absence de sa mère. Une mère, c'était tout dans la culture latine, c'était elle qui faisait tout, qui aimait. Mais là, ce fut son père. Quel choc , qu'elle avait eu lorsqu'ils sont allés en Angleterre. On lui avait tout arraché. Peu à peu, elle se remettait de la mort de sa mère. Au vu de leur relation, elle ne l'avait pas vraiment pleuré, bien qu'elle avait lâché souvent des larmes de regrets envers elle. Car c'était ce qu'elle ressentait du regret, de l'amertume et un amour infini gâché et pas réciproque. L’enterrement plus son arrivée dans un pays où elle ne connaissait rien. C'était même la première fois qu'elle entendait parler de Londres.  Elle ne savait pas parler anglais, et elle était bien typée pour certaines filles de sa classe et son père avait du travailler encore plus pour subvenir à leurs besoins.

Bref, la petite Lucia avait encore plongé dans une solitude et un mal être, qu'on nommait le mal de pays. Elle avait eu droit à des moqueries à cause de son accent, elle avait eu le droit à se bagarrer. Au bout d'un moment, vers l'adolescence, cela s'est calmée. Mais son père fut tragiquement mort à ses côtés et ses années de solitude dans lequel l'avait poussé, lui avait arraché des larmes de regrets, de tristesse et même de remords. Pas même un «  je t'aime » pour lui. Elle n'avait pas pu lui dire. Et Lucia vivait cela sur la conscience depuis de nombreuses années. Encore plus pour son père qui avait été l'être le plus cher qu'elle avait connu sur Terre , son sauveur. Lucia te regardait et se sentit désolée pour toi, c'était triste de voir un père battre son enfant, mais à Cuba, c'était une monnaie courante de voir cela. Elle n'allait pas exprimer son point de vue à la cubaine pour cela. Juste, elle venait à serrer ta main.

-Je suis navrée, au moins t'as eu une mère et une sœur qui t'aiment et c'est ce que tu devrais t'accrocher, c'est ce que je ferais si j'aurais eu la chance, d'avoir une sœur ainsi et une mère ainsi, déclara-t-elle.

Elle eut un sourire lorsque tu lui parlais de cette petite bouille irrésistible, cela avait un véritable coup de foudre. Par contre, elle fronçait les sourcils face à ce que tu venais de dire, tu avais menti ouvertement à ton fils. C'était triste de voir cela. Qu'une femme puisse abandonner un enfant sans avoir de réel raisons de le faire, c'était même alarmant , un tel degré d'égocentrisme. Ce n'était pas la chose à faire pour un enfant et non, elle n'allait pas prendre sa place à moins qu'il lui demande de le faire. Cet enfant méritait une maman mais avec ce qu'elle avait vécu, cela allait être difficile d'en être une et encore plus une belle-mère , non elle n'allait pas l'abandonner. Elle n'allait pas fuir face à la responsabilité mais elle ne serait pas sa mère, juste une bonne copine pour lui, l'amoureuse de son papa avec qui il s'entend très bien.

-Non, je ne veux pas la remplacer, je veux juste être la bonne copine à ton fils, pas sa mère. Ce n'est pas mon but, je ne l'abandonnerais mais tu vois, je ne sais pas ce qu'est vraiment être une mère, car j'en ai jamais eu, ma mère a tout manqué avec moi, mon premier pas, mes premiers mots, ma première dent de lait, toutes mes premières fois, elle les avait manqué parce qu'elle était absente. Ne fais pas ce qu'elle a fait, elle me mentait, elle me promettait des choses et elle ne tenait pas. Tu devrais dire la vérité à son fils, qu'il sache quelle mère, il a, et qu'il ne l'idéalise pas ou autre, et qu'une fois adulte, c'est lui qu'il se sent rempli de regret, dit Lucia en te regardant, pour te faire comprendre la bonne solution à prendre.


Lucia venait à te regarder, elle, une bonne mère. Oh non, pas une bonne mère ! Elle avait quand même avorté, contre nature pour elle, contre nature pour sa culture et contre nature. Un énorme regret qu'était cette petite bouille, qu'elle n'avait pas voulu voir. On lui avait donné des photos de son embryon mais Lucia n'avait pas encore trouvé la force de les regarder, cela faisait 5 ans mais c'était trop tôt pour elle. Ces photos étaient dans un livre qu'elle n'ouvrirait que quand elle aurait trouvé la force de regarder son regret en face. Le souvenir amère et remplie de souffrance, celui d'une mère qui n'avait pas eu le choix d'abandonner son enfant en le tuant, car c'était bel et bien un meurtre. Un traumatisme. Elle avait fait pire que sa mère, elle se mordit la lèvre tandis que ses yeux s'embuèrent d'eaux et d'un voile brisé face à ce souvenir à la clinique où elle avait été seule pour supporter cette horrible situation. Seule pour supporter la douleur, la culpabilité mais sa raison lui avait donné la force de le faire. Pour lui, mais malgré cela, elle ne s'en était jamais remise et Lucia n'oublierait pas cet enfant de si tôt . Il était enterré à côté de ses parents dans son jardin de regret. Il était là et Lucia ne l'oublierait pas.

-Non, je n'en suis pas une bonne mère, crois-moi sur parole à propos de ça. J'ai perdu un bébé, il y a quelques années, déclara-t-elle en levant les yeux vers toi. J'ai tout fait pour le perdre, parce qu'il le fallait et crois-moi, j'en porte des regrets de celui-ci, évitons d'en parler, c'est un sujet encore sensible, s'enquit-elle.

Ah la pauvreté ! Une faiblesse à elle. A cause de sa mère, à cause de son père, elle ne la voyait que comme cela. Mais elle secouait la tête en te regardant. Il ne fallait pas que tu sois désolée pour sa mère et elle. De pouvoir changer cela, mais au final, peut-être qu'elle en était contente de ne plus la voir. Après tout, cela n'avait été qu'une étrangère pour elle.

-Ne sois pas navrée et vouloir changer quelque chose, pour ma mère, parfois, j'en suis bien contente, qu'elle ne soit pas là. Tu ne sais pas ce qu'elle m'a bien pu faire. Le pire dans tout ça , c'est que j'ai fini par y croire que c'était moi qui avait un problème pour être aussi seule. Je pense que si tu aurais changé cela pour ma mère cela aurait changé mon destin. Ce n'est pas grave, tu ne le savais pas mais il ne faut pas croire aux préjugés sur les cubains, on est juste perdu et en colère, car on pense beaucoup à l'Afrique, mais il y a d'autres pays qui ont besoin d'eux, comme les cubains. La guerre pour moi, est un autre facteur qui cause la misère,. Les soldats la voient mais ils sont trop occupés à s’entre-tuer pour voir ce qu'ils font. Au final, les soldats ne sont pas les véritables victimes mais ce sont ceux qui vous regardent , les civils,  déclara Lucia avant de regarder.

Elle se mordit la lèvre avant de passer à autres choses, elle devait tout faire passer et peut-être avec un peu de chance , faire passer le message sur sa maladie. Elle espérait que tu ne fuis pas suite à cela, car après tout, cela arrivait à toutes les femmes de perdre un bébé mais ce n'était pas tout le monde qui était nymphomane qui était parfois mis en amalgame avec «  infidèle et instable ».

-Tu veux que je continue mon histoire ? Demanda-t-elle d'une façon rhétorique car elle savait que tu allais accepter ce qui ne tarda pas à arriver. Bref, je suis arrivée en Angleterre suite à cela, je ne connaissais pas un mot anglais et savait que lire à voix haute. De plus, la culture britannique a été un choc pour une pure latine comme moi. Je ne savais même pas ce qu'était une télé lorsque je suis rentrée dans ma nouvelle maison et quand j'ai su, j'avais cru que c'était un truc de malade, que c'était une avancée spectaculaire mais au fait, c'était une chose très banale par là. Imagine les moqueries que j'ai pu prendre à l'école. Je ne connaissais personne, parlais très peu puisque la langue me restait un peu difficile à prononcer mais j'ai fini par comprendre. Mon père se tuait trop au travail. J'étais encore une fois seule et j'avais le mal du pays. J'ai eu quelques amis et à mes 15 ans, j'ai eu mon premier flirt qui s'était révélé comme un mauvais amant. Cela avait été tellement rapide, il m'avait presque pas touché mais je pense que c'était dû au taux d'alcool dans son sang qui l'avait rendu mauvais . Je pense que c'est en partie pour ça que je suis nymphomane maintenant. Bref, quoi qu'il en soit, à mes 17 ans, j'ai perdu mon père et ce deuil m'avait fait plongé dans le travail pour finir par obtenir un diplôme et un master en espagnol, j'avais été plus triste et traumatisé par sa perte que celle de ma mère. En partie parce que j'étais présente lors de sa mort, un accident de voiture, il m'a tenu la main tout en me chantant la chanson qui lui avait donné envie de m'appeler Lucia. Il me manque tellement mais je l'aime. J'ai eu des amants, des dealeurs de drogue, des fraudeurs et un ex-violent qui me battait, puis tu connais la suite , je suis rentrée à l'université, raconta Lucia avec un brin de nostalgie face au temps qui passe.

Elle te regardait et se mordit la lèvre, quelque peu anxieuse de ta réaction qui n'allait pas tarder à arriver, elle espérait que tu ne prennes pas la fuite !


 
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Dim 30 Aoû - 23:04, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptySam 29 Aoû - 23:23



Je me raccroche à mon entourage. Il est certain que je ne serais probablement pas de ce monde sans eux. Ils m'ont beaucoup aidé, encouragé, aimé, et m'ont permis de devenir cet homme, qui aime énormément son enfant, et qui le protégerait de n'importe qui. Elle aurait mérité de connaître amour d'un parent, comme son affection. Le travail a beau apporté de l'argent, mais il ne peut pas donner l'amour d'un enfant. La mère a cherché peut-être s'éloigner de son enfant, ou de renfermer dedans comme pour se protéger. Oui, mais un enfant c'est la meilleure chose pour une femme, ou du moins pour un parent digne de ce nom, voulant fonder une grande famille. Ce n'était peut-être pas son cas, apparemment. Isoler son enfant, demandant de s'éloigner, et de partager aucun sentiment, aucun amour, comme s'il y a aucun lien. J'ai un maigre sourire, en caressant sa main doucement pour la soutenir à ce dur moment. Je sais que cela ne peut pas remplacer des parents aimants, et affectueux, cependant mes parents.. ma mère et ma sœur pourront lui apporter une aide, même si ce n'est certainement pas la même chose, mais est quand même bon, non ? Et nous pourrons quand même former notre famille, quand on sera ensemble depuis longtemps, et que le bonhomme la considérera à peut près comme sa deuxième maman.

« J'en ai conscience. » dis-je doucement, « Je ne serais probablement pas là sans eux. » avouais-je, en adressant simplement un sourire.

Je titille légèrement mon assiette en évoquant mon ancienne relation compliquée, douloureuse, avec la prénommée Victoria. Lui mentir n'est pas forcément une bonne chose, ou même la solution à mon problème, concernant comment expliquer son comportement. Il est sur qu'elle ne veut pas la remplacer, moi-même j'ai expliqué à mon garçonnet, pour lui faire comprendre qu'elle n'a aucune intention de remplacer sa maman. La bonne copine, il en est même certain quand le bonhomme va emmener partout. Cela sera même drôle à voir quand même, comme de grands enfants. Le sourire me revient à ce même moment, en imaginant les moments ensemble. Il est plaisant d'entendre qu'elle ne compte pas l'abandonner, comme ça il sera toujours en compagnie d'une femme qui aimera, malgré une possibilité de rupture. Ca fait encore plus mal d'entendre ça, comment peut-on rater chaque moment important d'un enfant. C'est impensable ! Je n'en doute même pas qu'elle sera une bonne maman, concernant mon garçonnet, ou même notre famille que j'aimerai pouvoir former ensemble. Quand nous serons ensemble depuis longtemps, pour pouvoir envisager un enfant. Je sais que mentir est une mauvaise chose, que cela ne résout aucun problème, et ne viendra certainement pas arranger ma situation. Lui apprendre que sa maman nous a abandonné pour tout recommencer, et pour un homme, beaucoup plus jeune. Cela me révulse, mais en même temps elle a probablement raison. Je lui tiens chaque promesse, comme le parc d'attraction, ou même essayer de recommencer, pour pouvoir être heureux ensemble comme avec sa maman. Il va avoir beaucoup de regrets à cause de moi, car sa maman ne m'aimait plus, et qu'elle voulait avoir aucune responsabilité. C'est peut-être le moment d'en communiquer.

« Il en est au courant. Je l'ai rassuré que personne ne remplacerait sa maman. Je ne peux pas comprendre ça. Les seuls moments essentiels pour le développement d'un enfant. Cela me désole beaucoup pour toi.  J'en suis convaincu malgré tout. » expliquais-je en étant désolé pour sa relation compliquée avec sa maman. « Je ne veux pas gâcher son enfance en apprenant son comportement déplorable. Bien, quand le moment sera propice, il apprendra la vérité. » dis-je en prenant une grande inspiration avant même de lui avouer son comportement. « Je ne pensais pas qu'elle serait capable d'une telle cruauté envers son enfant. Lors de notre rupture, pour s'assurer le bon déroulement du divorce, que je m’abstenais à signer pour mes sentiments à son égard. Elle m'a fait du chantage en me disant, soit de signer le contrat, ou bien elle remonte mon passé pour m'enlever la garde de Ethan. Ou de liquider mes comptes pour que je ne puisse subvenir au besoin de mon enfant. Je l'ai donc signé pour éviter que mon garçon soit envoyé dans une famille d'accueil. Je ne pouvais tolérer qu'on m'éloigne de mon sang. » expliquais-je en laissant couler une larme, sous la douleur qui remonte progressivement.

Je comprends, on a manqué de perdre y a longtemps notre garçon pendant la grossesse. Lors de mon temps dans l'armée, ce qui a provoqué de la panique et de l'inquiétude, du coup pour pouvoir m'assurer que ma.. mon ex-femme n'a aucun accident. J'ai changé de profession, en abandonnant mon métier que j'aime énormément. Bien entendu, on a vécu autrement, même si on ne l'a pas causé complétement. Je ne vais pas la contredire cependant, parce que cela remonterait de mauvais souvenirs. Le regard qu'elle a d'en parler, donne une certaine lueur dans son regard. Je tourne légèrement mon visage, comme inquiet, elle ne compte pas pleurer. Cela n'est pas mon intention. La seule chose que je voulais, c'était de passer un agréable moment en sa compagnie, comme pour un premier rencard normalement. Je présume que la pauvreté, peut-être que son compagnon n'était pas un bon homme, ou ne voulait pas de cet enfant. Les conditions peuvent empêcher une personne de le mettre dans le même problème pour éviter que ce cauchemar ne recommence. Je passe ma main sur sa joue doucement, pour montrer ma présence, et pour pouvoir la rassurer un minimum.

« Je te crois, chérie. Ne te fais pas ce mal. » marmonnais-je doucement, en plongeant mon regard dans le sien.

Je ne sais probablement pas ce qu'elle a fait, mais qu'une mère est importante pour un enfant. La preuve en est même mon fils qui la réclame souvent, mais au vue de ce qu'elle me dit, elle n'est pas une bonne mère, comme on pouvait le présumé auparavant. La connerie de l'adulte pour dire autant d’ânerie à une enfant influençable. Elle n'a pas tord cependant, cela aurait eu beaucoup de changement sur les personnes, principalement sur mon amoureuse. Oui, il est vrai qu'il n'y a pas que l'Afrique qui a besoin d'aide, malheureusement il y a que les enfants malades, et maigres qui semblent les préoccuper. On en a bien conscience, cependant on est seulement des pions, des hommes politiques qui demandent la guerre pour gagner un territoire comme des sauvages.

« Il ne faut pas que tu t'en préoccupes. Elle a tord, certains font ça pour se sentir beaucoup mieux. » essayais-je de la raisonner, concernant le comportement des mauvais parents. « J'en ai peur qu'il se préoccupe que des Africains. C'est regrettable ! Nous sommes seulement que des pions du gouvernement malheureusement. » expliquais-je sur mon point de vue concernant de nombreux sujets.

Je hoche sa tête quand elle me demande de reprendre son histoire, en me préparant mentalement. Elle aurait du être mignonne, même si cela du paraître énorme le milieu modeste, donc quand elle viendra dans mon immense demeure, avec une grande piscine, avec mes parents par la même occasion, pourrait éventuellement faire un énorme choc. Comment suis-je censé faire pour présenter mes parents, et ma maison, sûrement que mon fils voudra lui montrer sa chambre, et notre grande maison. Je me sens mal à l'aise d'un coup, espérant qu'elle ne voudra pas rompre en voyant que je suis un homme riche, et qu'on vit dans un monde qui est à l'opposé du sien. Les hommes sont mauvais, comment peut-on même pas toucher une femme, même pendant mes romances d'une nuit, on a quand même toucher les femmes, en pensant à leur bonheur pour être a deux par la même à prendre complétement leur pied. L'alcool n'explique pas tout, et ce n'est pour ma part une excuse cependant, néanmoins elle m'apprend qu'elle est « nymphomane ». il y a une multitude de questions qui me taraudent l'esprit. Est-ce qu'elle peut me tromper ? Était-elle fidèle ? La maladie peut-elle se soigner ?

C'est vraiment triste ! Je ne sais pas comment on peut supporter ça ? Il est normal d'en ressortir traumatisé, et malheureuse. Cela est quand même un magnifique hommage pour son prénom. Je viens à ce moment vers elle pour la prendre contre moi, quand elle me dit que son père lui manque tellement, et qu'elle aime. Elle a enchainé beaucoup de relations malheureuses, et foireuses comme on dit. Ce n'est pas la meilleure solution pour entretenir une bonne relation avec un homme. Il faut quand même que je sache pour sa maladie, mais commençant par le principal concernant son passé douloureux, ou même dramatique avec son entourage.

« Tu mérites mieux que ça. Je ne peux malheureusement pas comprendre ces hommes. » soupirais-je avant de venir au sujet concernant la nymphomanie. « Il y a pas mal d’apriori concernant cette maladie. Je pense que du moment que tu m'es fidèle y a aucun problème. Si besoin je peux même t'aider en guérir, si tu le souhaites. » dis-je avec honnêteté, en vouant quand même rassurant.

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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyLun 31 Aoû - 0:12


La belle cubaine te regardait titiller dans ton assiette. Cela était horrible de raconter son passé, cela remontait tellement de rancœurs, de nostalgies ou de démons à la surface. Comme par exemple, sa mère. Oui, Lucia adorait sa mère mais lui en voulait, d'être partie sans rien lui dire, sans rien lui confier. D'apprendre de jour au lendemain, qu'elle était morte d'une grave maladie, laissant sa fille dans un grand désarroi. Elle s'était pensée cruelle, dans ses paroles mais au final, sa mère méritait cette rancoeur, avait-elle pensé à sa petite fille lorsqu'elle se levait le matin ? Se dire que pour une fois, elle pourrait lui faire la conversation ? Mais Lucia animait de la rancoeur, elle en pleurait parfois le soir ou même lorsqu'elle était assise devant chez elle, entrain de jouer avec un caillou et un bout de bois. La famille était la chose la plus importante chez un enfant et  la personne la plus importante pour un enfant, c'était sa mère. Ce lien d'amour indéfinissable. Lucia n'avait pas eu une mère convenable. Elle avait manqué à ses jeux, à son enfance, à son éveil. Peut-être que c'était pour cela qu'elle n'arrivait pas être une personne stable aujourd'hui. Etre une femme convenable, être comme toutes les autres femmes. Lucia n'avait pas eu de mère pour elle, pour qu'elle lui montre la voie d'une vraie femme. Oui, elle savait qu'une femme devait être une bonne épouse, une bonne mère, une bonne cuisinière, une bonne travailleuse. La plupart des choses qu'elle savait était qu'une simple théorie sur des faits de société pour elle. Normalement, elle aurait du voir sa mère comme cela, même l'idéaliser mais depuis ses plus vieux souvenirs, elle n'avait jamais idéalisé sa mère. En quoi pourrait-elle l'idéaliser ? L'idéaliser de son absence ou de ce qu'elle aurait bien pu être, si elle avait tenu à sa fille.

Heureusement que tu avais conscience de cela. Il fallait parfois faire preuve de perroquet aux personnes, leur rappeler que c'est grâce à certaines personnes qu'on en était là. Oui, c'était malheureux de se faire tabasser par son père mais au moins, il ne t'ignorait pas. Comme disait le dicton « Ignorer, c'est le meilleur des mépris ». Le mépris et la haine, étaient des jumeaux, presque indissociables et presque impossible à différencier sauf si on les connaît très bien. Elle hochait la tête tandis qu'elle reprit une bouchée avant de te regarder. Son père l'adorait mais il se devait de travailler pour ne pas qu'ils terminent à la rue. Mais il venait toujours la voir ou essayait de la voir dans la journée. Il avait tout fait pour elle, mais sa mère n'avait fait qu'à elle, que pour elle. Que pour se soigner, elle n'avait pas penser que pour une seconde, un moment que sa fille avait voulu partager un petit moment avec elle. Sa mère n'arrivait pas à la mettre dans sa vie, ou elle ne le voulait pas. Lucia n'en savait rien de sa mère juste qu'elle était jolie, qu'elle avait un joli prénom et qu'elle était relativement jeune lorsqu'elle l'avait eu. Ne rien dire à un enfant, serait plus pesant, qu'autre chose. Sa mère était morte avant qu'elle ait eu le temps de s'expliquer avec elle et même peut-être lui pardonner, mais pas oublier les absences interminables. Toutes les voisines avaient fini par la prendre en pitié.

Pour Ethan, c'était pareil. Tu devrais lui dire avant qu'il te prenne en faute mais ce que tu lui racontas, la choquait amèrement, mais comment pouvait-on se permettre d'être ainsi envers son enfant ? Décidément, cette Victoria filait un mauvais coton et elle manquait même de gronder complètement. Lucia n'arrivait pas à comprendre cette femme, encore une pourrie gâtée, une pauvre cruche de riche ! Elle en était sûre, ce genre de femme comprenait la valeur de l'argent et de la jeunesse mais pas de l'amour et du bonheur. C'était malheureux et elle prenait en pitié cette pauvre salope. Comment pouvait-elle faire cela à ce gentil petit garçon ? A cette bouille d'ange alors qu'elle avait le choix entre un homme célibataire et jeune, et une famille qui l'aimait. Cette femme n'était pas amoureuse de toi, elle ne te voulait pas jusqu'à la fin de sa vie mais alors pourquoi un mariage ? Lucia fronçait les sourcils face à la migraine qui se préparait. Ethan était un enfant, il va encaisser mieux le choc qu'un adulte et passer à autre chose plus vite.  Il fallait savoir dire les bons mots pour lui faire comprendre que ce n'était pas sa faute, que c'était les personnes qui étaient comme ça. Qu'il était normal et qu'il pourrait être heureux. Lui dire à l'adolescence, compliquerait tout et pourrait changer son destin.  Lucia avait lu un article, plus ils étaient jeunes, moins ils avaient de cicatrices, certes, il allait pleurer un moment mais c'était normal. Ce que tu faisais, c'était de le faire attendre désespérément sa mère qui n'allait jamais revenir. Ce qui allait se retourner contre toi, à l'adolescence.  Elle levait les yeux au ciel face à ta pitié, beaucoup, l'avait pris en pitié, ce n'était pas la première fois.

-Oui, je sais, beaucoup de gens se désolent pour moi, s'enquit-elle avant de rajouter sur un sujet primordial. Liam, écoute, t'essayes d'aider Ethan ou pas ? Tu vas lui mentir jusqu'à l'adolescence, et quand il va apprendre, il va se retourner contre toi alors que ce n'est pas ta faute. Ne lui mens pas. Les enfants passent vite à autre chose. Ils absorbent mieux le choc que nous, car ils cogitent moins. C'est maintenant, le moment propice. Tu sais ce que tu es en train de faire, c'est comme ma mère, lui donner des désillusions, et des faux-espoirs, tu es en train de lui faire attendre désespérément avec tes mensonges quelque chose qui n'arrivera pas. De plus, comment veux-tu me faire rentrer dans ta famille, si tu ne lui as pas dis la vérité sur sa mère.  Continues à lui mentir, et je ne serais jamais sa belle-mère à ses yeux, enfin si notre relation dure. Tu rends services à toi et ta femme avec ce que tu me dis. Car le petit continue à l'idéaliser, sans qu'il sache ce qu'elle lui a vraiment fait. Tu gâcheras sa vie s'il l'apprends à l'adolescence, c'est ce que tu veux ? Demanda-t-elle en essayant de te faire comprendre qu'au final, tu n'arrangerais pas la situation avec tes mensonges. C'est une puta, certes !J'en ai même la nausée, et j'ai pitié de cette gosse de riche, car je suppose que c'est une riche pourrie gâtée ! Je comprends ce que tu as fais mais je comprends pas cette femme, elle avait tout ce qu'une femme pouvait désirer dans la vie. Ne te rends pas malade pour elle, et dis le à ton fils maintenant, car il mérite de savoir qui est vraiment sa vraie mère. Qu'il arrête de se tourmenter sur des questions, car crois-moi, ça hante un enfant, même moi, je suis hantée par cela, ajouta Lucia pour clore cela.


Suite à cela, elle se laissait aller à raconter la deuxième partie de son histoire et même la perte de son enfant, elle avait pas eu le choix mais cela faisait quand même mal. Elle avait réussir à t'émouvoir et c'était ce qu'il fallait savoir. Que tu devais comprendre ce qu'elle a pu traverser et qu'elle arrivait encore à positiver et sourire à la vie. C'était ce qu'il fallait faire. Lucia but une gorgée de rouge encore tremblante par son histoire, cela la bouleversait encore alors qu'elle avait du la raconter une bonne vingtaine de fois. La nostalgie lui prenait souvent et cet appartement lui semblait bien lugubre et fade comparé aux maisons chaleureuses et colorés de Cuba et de la Colombie. Son histoire n'était pas facile mais elle était quand même là, et Lucia avait décidé de vivre avec. De toute manière, elle ne pouvait plus vivre en arrière bien qu'elle avait certains regrets pour certaines personnes qui lui étaient très chers. Tu étais sans doute en train de la prendre en pitié, rager sur certaines parties de son histoire. Lucia le savait mais tu devais savoir avec quelle femme que tu avais comme petite amie. Certes, elle avait l'air d'être une femme forte, et bien trempée mais à bien des égards, c'était juste une apparence qu'elle se donnait, Lucia était en fait, une femme frêle qui se faisait plus forte qu'elle ne le paraissait. Elle était fragile et très douce. Voir même docile. Mais ce n'était pas cela le plus alarmant, tu voyais une autre facette d'elle.

Elle se laissait aller dans tes bras bien qu'elle tremblait à l'annonce de sa maladie. Tu ne la rejetais pas à cause de sa maladie, ce n'était pas un rêve, tu la voulais avec ou sans cette maladie. Elle caressait ton dos tout en levant les yeux. Il fallait mettre les points sur les « i ».

-Le passé est le passé et même si je hais pour certains, je préfère tourner le dos au passé pour mieux avancer dans le présent même si c'est pas facile avec les regrets que j'ai pour certaines personnes, s'enquit-elle avant de lever les yeux au ciel. Alors de un, on peut-être nymphomane et fidèle. Ce sont des préjugés que les gens ont. Je serais fidèle si tu l'es avec moi. Et je compte m'en guérir mais c'est pas facile, mais petits à petits, ça va mieux. Je vois qu'Eliakim a gardé mon secret, cette fois-ci, je devrais aller m'excuser car je l'ai vexé aussi, ajouta-t-elle avec un sourire doux.

Lucia venait t'embrasser doucement sur les lèvres , sa main venant caresser ta joue tandis qu'elle laissait sa joie déborder dans ce baiser passionné.
 
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyJeu 3 Sep - 14:14



Je ne prend pas « pitié » de quelqu'un. Les humains me dégoutent, m’équerrent, probablement un mauvais retour du champ, beaucoup de morts, beaucoup de maladies, beaucoup d'extermination de villages. On a du protéger des personnes, des enfants, des bombardements, des nombreuses fusillades des ennemis. La monstruosité des hommes ne surprend même plus, et ne me permet pas de pouvoir ressentir de la pitié pour la moindre personne, même pour une proche.
Je cherche seulement le protéger. Comment va-t-il réagir quand il comprendra qu'elle est simplement parti pour recommencer. Car elle éprouve des sentiments pour un homme, parce qu'elle ne m'aime plus comme auparavant, qu'elle nous a abandonné. Ce n'est pas une solution. J'en ai malheureusement conscience cependant.. Je ne supporte pas les pleures de mon enfant, ou même entendre appeler sa maman. Il va surement recommencer en apprenant qu'elle nous a abandonné. Les mains recouvrant mon visage, masquant ma douleur aux souvenirs, quand mon garçon a souffert beaucoup du manque d'une maman, qui ne compte pas revenir pour le moment. J'ai espoir qu'elle reviendra uniquement pour revoir mon bonhomme, comme pour s'expliquer sur son comportement, même si cela sera probablement douloureux. Le risque c'est quand même que mon ex-femme vienne compliqué, en démentant chaque de mes paroles pour pouvoir montrer mon vrai visage. Elle semble penser que je suis un homme comme mon paternel, en évoquant de mauvais souvenirs, et exagérant comme quoi elle est une femme irresponsable, une mère indigne, etc.. Ou comment bien blâmer un homme d'avoir été follement amoureux. Je n'ai dis qu'un mensonge, concernant son départ, son abandon, pour le protéger. Elle ne peut pas me comprendre, comme mon meilleur ami comprend mon comportement. Elle ne connait pas mon ex-femme, ou même ce qu'on a vécu ensemble. Je..

« Bien sur que non. Je le ferai pour son bien. » acceptais-je, en redoutant beaucoup ce moment.

Je ne pense pas que mon bonhomme accepte qu'on critique, ou même insulte sa maman. Le problème c'est qu'une maman c'est important, mon ex-femme a quand même été présente, pour chaque première fois de mon garçon, qui a beaucoup compté. Il en garde de bons moments, des souvenirs d'une famille, on ne peut pas lui enlever ces passages qui sont encore présent pour mon garçonnet, en repensant à mon ancienne compagne. Il est vrai qu'elle ne manque de rien, mais elle a connu des bas comme beaucoup de personnes. Je ne cherche pas à la défendre, c'est impardonnable. Je me reproche quand même d'être peut-être beaucoup trop amoureux. Lui avoir donner un mariage, un enfant, comme elle me l'a demandé y a longtemps. J'ai même abandonné mon métier pour pouvoir avoir un bon accouchement. Assister à chaque moment d'une grossesse, comme n'importe quel homme. Je me demande qui est vraiment sa maman. J'ai connu deux femmes différentes. Une femme irresponsable, immature, et une épouse et femme idéale, qui aimait beaucoup son entourage, comme nous deux, ou nous avons vécu de bons moments.

« Il va croire que sa mère ne l'a jamais vraiment aimé. Alors qu'elle a quand même été présente pendant deux ans. Je ne sais même pas qui elle est vraiment. Tu ne m'empêcheras pas de me reprocher le départ de mon ex-femme. J'en suis responsable.. » dis-je avec beaucoup de douleurs, concernant son départ. « Je lui dirai. Il est en droit de savoir. Je ne supporterai pas son chagrin. » répondis-je en avalant ma salive à ce moment.

Le sujet revient, à la deuxième partie de son histoire, qui me donne beaucoup de peine. Il n'y a aucune pitié, ce mots ne fait même plus dans mon vocabulaire, donc impossible. Je viens même à apprendre qu'elle a perdu en même temps son paternel. Je me rend donc compte qu'elle est une orpheline, qu'elle n'a aucun entourage. Le fait qu'elle a eu de mauvais compagnons, comme par exemple sa première fois. Je ne peux pas comprendre le genre de comportement de ses hommes. Ils ne pensent uniquement qu'au sexe, ou simplement en abuser comme trompé. Le contre choc est probablement apprendre qu'elle est nymphomane, mais qu'elle compte quand même se soigner. Elle a raison de tourner le dos, pour recommencer. Je ne peux pas recommencer avec des sentiments pour une personne. J'ai quand même manqué de me tuer, de me droguer, pour me soulager de ma douleur. Je suis responsable de la rupture, comme du départ, et même de l'abandon. Je me suis montré un homme amoureux, un bon parent, et un époux exemplaire. Je ris quand tu me réponds concernant la « nymphomanie » en communiquant de Eliakim. On dirait un chat et un chien, comme un frère et une sœur. C'est amusant ! Je comprends que cela ne soit pas évident, et même compliqué. On le fera cependant ensemble, comme un couple, on affrontera ça ensemble. Je le prolonge amoureusement, doucement, en serrant sa main dans la mienne, tendrement. Je m’imprègne de chaque contact, de chaque moment, qui me rend meilleur, et heureux de pouvoir recommencer en compagnie d'une femme formidable. Je me sens comme renaitre avec mon amoureuse, comme dit mon garçon. Il ne m'a pas vu comme ça depuis longtemps, depuis que sa maman a changé. J'espère pouvoir former une famille, et que notre relation deviendra réciproque.

« Tu as eu raison. Ce n'est jamais facile.. » dis-je doucement, « Je ne vois pas pourquoi je ne le serai pas. On surmontera ça ensemble, comme un couple. » exprimais-je avant de ricaner légèrement. « On dirait un chien et un chat à vous embrouiller comme ça. » répondis-je en souriant.

Je pose ma main sur sa joue, en venant l'embrasser doucement, amoureusement, étant comme dépend de chaque contact. Je me sens comme vide, sans sa présence. Les pulsions me reviennent, comme pour me demander de reprendre le commencement. Il est temps de la complimenter comme pour un rencard, et pour montrer qu'elle me plait énormément. Les mots sont peut-être simple, elle a quand même besoin. Le repas peut bien entendre quand on passe un moment en sa compagnie. La conversation concernant mon ex-femme m'a coupé simplement appétit. Les yeux dans les yeux, nos corps scellaient ensemble, le cœur battant à tout rompre, cognant ardemment contre ma cage thoracique. Je me sers nerveux étrangement. La première fois que mes sentiments sont à jour, qu'on risque de coucher ensemble, sans pour autant ressentir la même animosité que nos engueulades.

« Tu es de toute beauté, ma chérie. » complimentais-je doucement, avec beaucoup d'amour.

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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptySam 5 Sep - 19:28


La pitié était quelque chose dont beaucoup de personnes avaient éprouvé pour elle. Ses maîtresses d'écoles avaient eu pitié d'elle. Quand elle ne savait pas parler anglais, ses maîtresses avaient été très gentilles avec elle. Pauvre petite fille qui avait le mal du pays et qui était isolée car même si elle avait représentée la nouveauté auprès des autres enfants. Les clichés et les préjugés des parents avaient atteris dans les oreilles de leurs progénitures et beaucoup s'étaient moqués d'elle et de ses origines. Surtout de son accent. L'anglais et l'espagnol étaient des langues qui ne se prononcaient vraiment pas pareils. Parler anglais avait été un véritable défi pour une gamine de 10 ans. Elle avait passé ses premières années en Angleterre, toute seule, avec des maîtresses d'écoles. Son intégration, ne s'était pas vraiment bien passé et son père avait été rarement là pour elle. Lucia avait été en manque d'attention, tout ce qu'elle avait voulu, c'était l'amour de sa famille et une attention envers elle. «  Pauvre petite Lucia », des mots qui avaient tant résonné dans sa tête. Les grandes personnes ne savaient pas qu'un enfant pouvait réfléchir à ces paroles et s'imaginer des choses dans sa tête. Lucia avait déjà assez souffert de l'absence totale de sa mère, du mal du pays et du manque d'attention de son père. Elle s'était intégrée à partir de la troisième année en Angleterre et c'était là, où elle s'était faite des amies peu fréquentables qui adoraient coucher avec des garçons, Lucia avait été la seule vierge du groupe. Elle insistait à continuer à l'être jusqu'à ses 15 ans, après tout, pourquoi continuer à l'être ? Son père se fichait bien de ce qu'elle pouvait faire, de qui elle fréquentait. Il n'avait pas opéré le changement chez sa fille. Seulement le problème, il était un homme et lorsqu'elle avait eu ses premières règles à 11 ans, ce fut la honte totale. Il l'avait emmené à l'hôpital et l'infirmière lui avait dû expliquer  ce qu'étaient les règles. L'infirmière avait eu pitié d'elle. Ce fut dans ce genre de moment que sa mère lui avait manqué.

Tu la regardais, pauvre petit garçon ! Pauvre Ethan ! Mais comment allait-elle rentrer dans la famille, comme un membre si ce petit garçon ne la voyait comme une trop bonne coupine, comme une simple petite amie de son  père. Lucia te regardait. Elle savait ce qu'un enfant pouvait ressentir face à une absence inexpliquée et pesante. Mais Ethan avait vu sa mère. Lucia ne put s'empêcher d'être quelque peu jalouse de ce petit garçon. Il avait eu une mère, certes qui l'avait abandonné mais qui avait été là pour lui, pendant ses jeunes années. Elle avait du voir ses premiers pas, ses premiers mots. Elle avait du le voir se réveiller et l'attendre, se tenant au barreau du lit. Lucia n'avait pas eu cette chance car on lui avait déjà raconté que la plupart du temps, elle avait dormi chez les voisins, dans un berceau qui avait servi plusieurs fois. C'était triste à savoir mais sa mère n'avait jamais vraiment voulu d'elle. Ni même s'en occuper. Lucia avait plus de souvenirs des voisins que d'elle. Attendre sa mère, c'était tout ce qu'elle avait fait de sa mère. Lucia avait attendu depuis toute gamine, que sa mère revienne, la prends dans ses bras et joue avec elle en lui parlant de ses expériences passés ou de son père , de comment elle était tombée amoureuse de cet homme. Finalement, ce jour n'était pas arrivé et elle avait du se faire à cette idée que c'était sa faute, qu'elle n'avait pas été la fille qu'elle attendait. Cela devait être ainsi, maintenant elle vivait avec les mêmes questions perpétuelles qui la rongeaient complètement. La rage de ne pas avoir eu de mère, elle avait même accusé son père, elle s'était même accusée elle-même. Lucia se sentait horriblement mal face à cela. Même si cela datait depuis plus de 20 ans. La maternité était quelque chose d'essentielle chez un enfant et faire face à des désillusions et des incompréhensions lorsqu'on ne lui disait rien face à la vérité.

Chez un enfant, cela rongeait de voir une mère partir sans savoir si elle allait revenir. Lucia se souvenait d'avoir été anxieuse lorsqu'elle voyait sa mère partir. Allait-elle partir ? Allait-elle revenir ? Combien de temps, allait-elle laisser toute seule sa fille ? Heureusement, qu'elle avait pu compter sur les voisins et leur pitié pour la prendre la plupart du temps . Mais sans ces voisins généreux qui l'avaient pris comme leurs propres filles, lui inculquant les valeurs cubaines. Il était d'ailleurs rare de voir le père mais parfois, il lui parlait gentiment et lui souriait même si en y repensant à ce moment, cela avait été des regards lubriques et salaces, et derrière ce sourire, elle avait le souvenir de voir un désir vicieux sur elle. Après tout, elle était la parfaite petite fille pour faire ce genre de choses,  fille isolée de père inconnu et pas présent, mère qui préfère l'abandonner et qui n'en faisait pas attention. Elle comprenait presque mieux pourquoi la mère interrompait leurs moments. Mais la petite Lucia avait plus pensé qu'au moins quelqu'un s'intéressait à elle. Il fallait imaginer une petite fille toute ronde, habillée de vêtements sales, jouant uniquement avec un baton et des cailloux dans une ruelle, pensivement. Le regard triste et lointain, dans un monde où elle était là. Heureusement que la voisine lui parlait, lui faisait rire et lui apprenait des choses, peut-être qu'à force, celle-ci l'avait vu comme sa fille. Lucia ne savait pas.

-Tout dépends comment tu lui dis, il faut être délicat et rassurant. J'aurais aimé que ma mère soit ainsi avec moi, s'enquit-elle en venant serrer ta main compatissante. Ce n'est pas ta faute, elle n'a pas vu ce que je vois en toi. Une seconde chance, un homme bon et loyale ! Elle est partie car elle n'a pas vu les mêmes valeurs que je vois dans tes yeux. Tu n'es pas responsable de ces actions, tu ne lui as pas mis un couteau sous la gorge pour qu'elle te quitte, c'est même plus elle, ajouta Lucia avec un sourire, caressant ta main avec son pouce, tendrement.

Lucia eut un sourire et venait t'embrasser, heureuse de voir que tu ne fuyais pas face à sa maladie. Elle venait se serrer contre toi, comme si chaque fibres de son corps te reclamait ardement, comme si elle ne pouvait démeurer sans toi. Comme une accro face à sa drogue. Tu étais sa drogue, elle espérait que ses mots t'avaient rassuré. Lucia avait été sincère et avait laissé son cœur parler à sa place. Cette femme avait été odieuse avec toi, au point même de te faire croire que c'était toi le responsable qu'elle t'ait quitté. Si un jour, elle croisait cette horrible bonne femme pourrie gâtée, Lucia n'allait pas mettre de gants et allait jouer la face de la cubaine furieuse. Personne n'allait regretter de voir cela.

-Comme un couple, promit-elle en te regardant dans les yeux, front contre font. Il connaît mon tempéramment, il savait qu'il allait s'en prendre une, mais j'irais m'excuser et j'espère qu'il comprendra, ajouta-t-elle en te le murmurant.

Elle eut un sourire face à ce que tu disais, décidément, il était enfin là, ce compliment, elle rougit quelque peu.

-Merci, tu n'es pas mal non plus,  déclara-t-elle en souriant.

Lucia avait tort, ce fut son meilleur rencard, qu'elle n'avait jamais eu. Pour la première fois de toute sa vie, Lucia le ressentait au plus profond d'elle. Maintenant elle était sure, si Eliakim lui reposait la question, elle répondrait sans aucune hésitation. Oui, elle était irrévocablement et follement amoureuse de Liam Cromwell.
 
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptySam 12 Sep - 15:55



Lui dire simplement que maman ne reviendra pas, parce qu'elle aime un autre homme. Il n'est pas vraiment en mesure de comprendre et d'en apprendre davantage. Le fait d'annoncer quelque chose comme ça, prendra beaucoup d'ampleur. Le bonhomme aura probablement énormément de mal à s'en remettre complètement. Le choc sera le même, qu'importe la façon dont on s'y prend pour l'annoncer. Le tout d'apprendre que sa maman nous a abandonné par ma responsabilité. Je suis peut-être beaucoup trop sentimental, à me préoccuper au bonheur de mon entourage. De vouloir absolument le bonheur de mon ancienne conjointe. Au point qu'elle me balance, qu'elle commence à étouffer en ma compagnie. Peut-être les a-t-elle vu au départ ? Je n'en ai aucune idée, malheureusement. La seule chose qu'on apprend, c'est que mon ex-femme est irresponsable, qu'elle se préoccupe uniquement de pouvoir recommencer avec un homme. Il m'a pourtant semblé le contraire, pendant le règlement de compte avant son départ. Cela me rassure, me soulage, de l'entendre de la personne qui m'est chère. Je retire doucement, ma main de mon visage, en cessant un moment de culpabiliser, remarquant sa main sur la mienne, sûrement pour me démontrer sa sincérité. A cet instant, je prolonge le baiser qu'elle échange, en mettant ma main sur son visage doucement. Suite à ça, je viens répondre à ce qu'elle me répond, lentement.

« Je ferais en sorte.. » acquiesça-t-il doucement, « Je t'aime. » dis-je clairement, et honnêtement.

On a chacun avoué des informations pour qu'on a aucun mauvais retour, ou même surprise, en apprenant quelque chose d'important que chacun comptait masquer. Je la serre doucement, tendrement, contre mon corps pendant qu'on s'enlace, me sentant légèrement frisonner à son contact, qui semble réanimer mon cœur. Le bonheur me submerge, me remplit de gaieté de pouvoir recommencer avec une femme. J'entrelace nos doigts ensemble, en humant son odeur qui embaume mon cœur. Elle fit même la promesse qu'on s'occupera de sa maladie, la nymphomanie ensemble, et même beaucoup plus qu'une maladie. Je veux qu'on voit ensemble beaucoup de chose, comme un couple normal, éducation, pour les décisions, etc.. Je vais pour le moment profiter de chaque moment en sa compagnie. Cela ne m'étonne même pas ! Il comprendra certainement, en la connaissant, il aurait du probablement se douter de son comportement. J'aurai quand même voir ça. Je ris doucement, en entendant sa réplique, concernant mon meilleur ami, en rajoutant :

« J'en suis sûr qu'il comprendra. » rassurais-je doucement, en venant l'embrasser tendrement.

J'ai quand même dit un compliment. Il est peut-être un peu trop tard, normalement c'était avant le commencement du repart. Elle m'a complètement mis bouche-bée. Il est uniquement à moi de la complimenter, cependant cela me plaît beaucoup. Je me mord sensuellement la lèvre, avant de déposer un nouveau baiser amoureusement, tendrement, passant chacun de mes bras autour de son cou doucement. Il est affreusement mal de craquer à la tentation, devant une femme comme ça. Surtout qu'elle pourrait replonger de nouveau, uniquement à cause de mes pulsions, qui reprennent souvent avantage, pour que je succombe à mes envies. Il faut que je se préoccupe autrement, pour commencer à son rétablissement. Je remonte lentement son visage pour plonger mon regard dans le sien, en affichant un magnifique sourire, avant de lui demander :

« Que souhaites-tu qu'on fasse pour le reste de la soirée ? » demandais-je, en ne quittant pas son regard. « Je suis tout à toi. » dis-je clairement, sans aucun sous-entendu.

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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyLun 14 Sep - 14:51


Ne rien lui dire allait pousser ce petit à se poser des questions bien plus tard. Il se sentirait abandonné, se posant un tas de questions à propos de sa mère biologique. Pourquoi avait-elle fait ça ? Est-ce ma faute ou celle de papa ? Lucia n'avait pas besoin de faire de la psychologie pour savoir que le petit allait continuer à idéaliser sa mère jusqu'à son adolescence ou même adulte. Il allait s'en prendre à toi. Oui, il allait être traumatisé mais il était un enfant . Un enfant n'avait pas la même perspective du monde , pas le même point de vue que celui d'un adulte. Il n'allait pas s'en prendre à toi, si tu faisais le bon choix, prenait les bons mots. Oui, il allait pleurer, crier quelque temps mais cette blessure allait se refermer bien plus vite que tu le penses. Cela tu n'avais pas l'air de comprendre. Jamais donner des faux-espoir à un enfant. Lucia en avait tellement eu que cela ne s'était jamais refermé car elle s'était prise trop tard. Tu avais le choix pour ton petit garçon, de ne pas être égoïste. Elle souriait en te voyant concéder à sa requête, son histoire avait finalement servi d'exemple pour qu'un petit garçon souffre moins dans ce monde. La cubaine ferait en sorte d'être sa bonne copine, elle ne savait pas être une mère, elle n'a jamais su. Elle n'avait jamais eu une mère pour l'aider, pour lui faire comprendre ce que cela était. Le fait que tu voulais lui donner une chance d'entrer ta famille. Une douce chaleur se répandit dans son coeur en t'entendant prononcer ces mots.

Jamais on lui avait dit ces mots mais c'était si beau, si touchant bien que Lucia n'avait jamais été fleur bleue. L'instant était si parfait. Lucia était touchée et entrouvrit la bouche pour te répondre, oui, elle était sûre de t'aimer mais les dire lui donnerait cette impression que tout cela était réelle, vraiment. Lucia avait l'impression de nager en plein rêve. L'instant si intense, yeux dans les yeux, reflétant toutes leurs sincérités, elle pourrait rester ainsi pendant des heures. Une éternité même. La belle cubaine avait un sourire aux lèvres. Arriverait-elle à les sortir aussi facilement ? Nombreuses fois, elle avait été déçue mais son coeur lui criait de les dire, criait de dire ses sentiments enfermés depuis des années dedans. Elle avait besoin de te les dire. Juste pour que tu saches ce qu'elle ressentait, ce que tu lui faisais ressentir. C'était euphorique. La panique et l'angoisse partirent d'un seul coup. Tu l'aimais au point de prévoir un futur avec elle.  Malgré ses nombreuses désillusions, tu la regardais avec autant d'amour qu'elle en frissonnait de la tête aux pieds.

Elle hochait la tête, tout en t'embrassant encore et encore, c'était si intense, si divin. Personne ne lui avait dis tant de mots sincère. Une telle déclaration qu'elle avait fini par perdre les mots, tous les mots du monde. Lucia se sentait horriblement bien, c'était si bien. Ils avaient l'air tellement complices tous les deux, tellement bien. Son coeur tambourinait dans sa poitrine tandis que leurs corps entrelacés, allumait quelque chose dans son bas-ventre. Du désir, cela faisait si longtemps qu'elle ne t'avait pas vu, en plus , de ta déclaration, cela lui donnait tellement de sentiments si intenses que cela la rendait euphorique . Si elle ne pouvait te dire ce qu'elle ressentait, elle pourrait te le montrer en cette belle soirée comme conclusion. Elle sourit à ta phrase tandis qu'elle se détachait de toi, tout en ressentant ce petit sentiment de vide.

-Je dois sortir le dessert après on verra, s'enquit-elle tout en venant te serrer la main et t'emmener dans la petite cuisine.

Elle sortit le plat du four et l'éteignait tout en te regardant. Lucia venait à sourire et se tourner vers toi. Ses lèvres, comme enivrés par les tiennes, venaient s'écraser sur les tiennes avec passion et d'amour. Un amour sincère non physique. Un amour intense qui ébranlait son coeur et lui fit arrêter de douter. Doucement, elle se détachait de toi, afin de te regarder dans les yeux, un sourire aux lèvres.

-Je t'aime aussi, s'enquit-elle sincèrement avant de venir t'embrasser avec passion et amour.




 
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Ven 2 Oct - 14:44, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyMer 16 Sep - 15:13



Une cuisine minimal, fonctionnel, quelque peu étroit, comparé à mon immense demeure. Les doutes m'assaillent, concernant mon invitation dans ma demeure familial. Deux mondes différents, à l'opposé, qui contraste énormément sur notre milieu respectif. Je ne suis pas claustrophobe, néanmoins les espaces clos, étroit, me mettent mal à l'aise. Le fait est que depuis mon enfance, j'ai vécu dans un milieu aisé, avec beaucoup d'espaces, ou nous ne manquons absolument de rien, ou seulement d'un géniteur, plus présent, plus consciencieux, et principalement plus aimant. Le problème d'une famille aisé, les parents sont souvent surbooké par le travail, pensant seulement à gagner de l'argent pour subvenir aux besoins des enfants. Lui s'est plus pour se débarrasser de son entourage, et retrouver sa deuxième famille. Il a passé plus de temps en leur compagnie qu'avec sa propre famille. Cela m'a épargné de nombreux coups, et engueulades, même si aîné en profitait aisément pour reprendre le sale boulot de me malmener continuellement, cela dit, ma sœur a quand même eu le culot, de lui régler son compte personnellement. Du coup, chaque pièce de ma demeure est beaucoup plus espacé que son étroite cuisine, mais qui a une magnifique décoration, même si elle est minime. Je ne suis pas doué pour la décoration, donc la plupart du temps c'est ma mère, ma sœur, ou des amies qui me conseillent, pour la chambre de mon fils, c'est lui-même qui choisit comme un grand, en espérant que cela reste modeste, et minime.

« Je croyais que c'était toi le dessert. » dis-je, avec un sous-entendu que quiconque pourrait reconnaître.

Sa main dans la mienne, serrant légèrement, pour m'y accompagner, avant de rompre le contact. L'odeur alléchante, délicieuse, réveille mon appétit, qui me donnerait bien de croquer dedans. Les lèvres viennent s'écraser sur les miennes, pour un savourer baiser, que je viens approfondir en appuyant légèrement, posant ma main sur sa joue. Le pouce caressant doucement sa joue, avant qu'elle ne vienne rompre, pour nous regarder dans les yeux, sentant mon cœur battre la chamade, avant d'entendre une magnifique déclaration. La même que je n'ai entendu depuis longtemps, probablement deux ans. Cela fait deux ans que je m'efforçai de ne fréquenter aucune femme, pour me protéger de tomber sur une femme, exactement comme mon ex-conjointe, qui doit recommencer avec un homme. Cela me touche beaucoup, et me redonne un nouveau sourire plus pétillant, plus heureux, que celui abordé récemment, probablement rappelant le mauvais temps. Je prolonge son baiser pour répondre à cette déclaration, en venant la soulever pour la déposer doucement sur la table, en ne cessant d'approfondir le baiser. Lorsque je viens rompre le baiser pour découper un morceau de gâteau, que je porte à sa bouche, pendant que mes lèvres ont légèrement descendu pour embrasser au cou. Mon autre main, ayant regagnée la sienne pour la serrer doucement. Le plaisir montait régulièrement, voulant redécouvrir son corps comme la première fois, mais sous un meilleur angle. Les dernières fois, ont été que sauvagerie, sentiments amères, avec beaucoup de séduction, peut-être qu'on se cherchait.

Ma main vient faire glisser lentement la bretelle de sa robe, déposant de légers baisers, avant de remonter pour presser mes lèvres contre les siennes, dans un baiser amoureux, passionnel, rapprochant mon corps pour enlever la proximité qui nous séparé. Je rompt quelques temps après pour manger un morceau de son délicieux gâteau, qui est vraiment succulent, même si elle se sous-estime dans la cuisine. Je connais des personnes qui sont vraiment mauvais, et qui a manqué de nous intoxiqué. On a chacun nos défauts, moi-même c'est la décoration, ma mère c'est probablement autorité, elle n'a jamais pu se donner se rôle avec son homme tortionnaire, un peu comme à son époque, du coup ma mère a du compenser le manque. Ses plats sont mangeables, ont un bon goût, et pour ma part cela comble mon estomac. Je ne demande pas davantage, nous sommes dans un rencard, pas un concours culinaire, ou même dans un restaurant, on cherche seulement à découvrir chacun. Je viens donc embrasser de nouveau, quand j'ai avalé ma bouchée, pour sceller de nouveau nos lèvres ensemble, ce contact m'est devenu indispensable. Il embaume mon cœur, me redonne espoir en l'amour, et me rend euphorique.

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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyVen 2 Oct - 15:12


La richesse. Lucia ignorait ce que cela était. Elle avait toujours vécu dans la pauvreté ou dans la classe moyenne, dans des maisons étroites. Ou même dans une favela. Un véritable taudis où même la lumière du plafond clignotait parfois. Elle avait grandit dans la saleté, dans la pauvreté. Ce sentiment d'être inférieure aux autres. Ce sentiment d'infériorité qui la rongeait, la hantait. La belle cubaine se sentait mieux dans les lieux étroits. C'était l'environnement dans lequel, elle était née, qu'elle avait toujours connu. Bien sûr, Lucia avait toujours rêvé de vivre dans une belle grande maison, avec un grand jardin verdoyant et fleurissant, une belle piscine chauffée. Derrière ce grand domaine, des chevaux galopaient en toute liberté. Mais cela n'était qu'un rêve. Un rêve désillusoire. Elle était née pauvre et mourra pauvre. En tout cas, Lucia vivait très bien sa pauvreté. Cette soirée a été une grande renaissance pour elle. Pour la première fois, Lucia te voyait sous un autre jour. C'était clair, elle était amoureuse de toi. Follement. La belle cubaine découvrait un autre toi. Un toi, beaucoup plus beau, plus humain, beaucoup plus séduisant. L'amour. Pour la première fois de sa vie, elle ressentait ce que cela impliquait, ce que cela voulait dire et c'était tout simplement magnifiquement beau. Son cœur battait à la chamade, ses sens étaient en ébulition. Un désir ardent naissait dans son ventre. Lucia était à toi, tout comme, tu étais à elle. Les étoiles éparses qu'ils étaient, semblaient finalement se tourner autour, être reliées, similaires. Une supernova d'émotion et de sentiments entre eux. C'était beau et intense. Tellement intense ! Lucia t'aimait d'une façon nouvelle, étrangère mais elle ne doutait de rien. Aucune souffrance, aucun doute, aucune hantise. Juste de l'amour entre eux. Lucia se sentait émerveillée par les nouveaux sentiments qu'elle ressentait dans son esprit.

-Peut-être, que tu es mon dessert, murmura-t-elle sensuellement.

Elle venait à t'embrasser passionnément, ardemment. Te faisant ressentir tout l'amour qu'elle éprouvait pour toi, de la douceur semblait être née dans leurs gestes. Une douceur qui était inexistante durant leur dernier ébat charnel. Cette soirée allait être magique. Il y avait de l'amour dans l'air. L'air semblait se réchauffer au fil de leurs baisers ardents. L'ardeur et la douceur se mélangeaient, ne formant qu'un halo d'amour et de passion. Des caresses, des sensations étrangères qui lui étaient très agréables, même plus qu'agréable. Des frissons lui parcoururent tout son corps lorsque tu venais à embrasser son cou. Un frisson d'électricité et d'amour. Les sentiments étaient aussi intenses. La beauté de leurs gestes, de leurs caresses. Sa main venait à ébouriffer ta chevelure soyeuse et douce, ta barbe rugueuse qui lui picotait agréablement la main. Lucia se sentait euphorique, grisée par la douceur de tes baisers et la rugosité de ta barbe naissante. Lucia venait à avaler ce que tu lui donnais, son dessert plutôt délicieux. Te voir , le déguster, l'émoustillait encore plus. Son cœur semblait vouloir partir hors de sa poitrine, son corps voulait épouser le tiens, plus musclé, plus viril. Lucia ne voulait faire qu'un avec toi, t'appartenir à jamais dans l'écho de leurs gémissements, leurs corps entrelacés dans une passion débordante , dans un amour intense qui entravait son cœur, à le faire espérer, se faisant de rêves illusoires, des magnifiques promesses se profilaient à l'horizon.

Tandis que leurs lèvres se joints dans un autre baiser intense, ses doigts venaient à déboutonner ta chemise, tout en caressant ton torse. Dieu que c'était bon ! Elle te laissait faire. Lucia venait à se rapprocher de toi tandis qu'elle commençait à déboucler ta ceinture de ton bas, caressant ton entrejambe, se trouvant juste en dessous. La belle cubaine venait à caresser ton torse par-dessus ta chemise , l'enlevant, tandis que sa langue venait à caresser la tienne dans une danse endiablée, leurs lèvres se mouvant avec harmonie et passion. Elle ne voulait pas se détacher, malgré l'air qui commençait à manquer. Elle finit par se détacher, amenant sa tête en arrière tandis que sa respiration se faisait de plus en plus saccadée. Son dos se cambrant sous tes assauts remplis de passion. Elle se mordit la lèvre étouffer un gémissement, qui finit par sortir sous le plaisir que tu lui procurais, elle sentait son bas-ventre s'enflammer, s’humidifier tandis que le désir enflammait ses veines. Elle n'allait pas tenir longtemps sous cette douceur, sous ce plaisir intense qui embrumait son esprit, l'empêchant de réfléchir.

-Prends-moi, s'enquit-elle d'une façon sensuelle, sa voix rauque, embrumée par le plaisir que tu lui procurais.



 
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MessageSujet: Re: (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia)   (terminé) HOT a new romance is about to be born (lucia) EmptyLun 5 Oct - 16:56



Je me délecte de chaque seconde, en sa compagnie, malgré mes quelques bavures. Il est vrai que celui-ci est mon second rencard, donc aucune réelle expérience. J'ai eu quelques précieux conseils de ma sœur, qui semble avoir conquit son mari avec cette méthode, ainsi que le soutien permanent de ma mère biologique. Eliakim m'a simplement dit « Reste toi-même. Et tout va bien se passer. » J'ai été nerveux, maladroit, quelque peu timide, au vue de mon second rencard. Le conseil n'a pas été évident à appliquer, surtout au commencement, à présent cela m'est beaucoup plus simple, de me dévoiler au grand jour, un homme meilleur, amoureux, mais par expérience un peu trop protecteur, dû à ma récente relation. Je ne me base pas essentiellement sur une relation, enfin c'est la seule qui de mon point de vue, qui a duré plus de temps que mes anciens conquêtes de ma jeunesse.

Le murmure sensuelle me prodige d'incroyable frisson, le long de ma colonne vertébrale. Le désir m'assaille, me rendant encore plus désireux de découvrir son corps. Je m'attaque donc au préliminaire, prenant d'assaut son cou que je parsème de baisers aussi doux, que passionnel, d'un geste de main, la bretelle de sa magnifique robe glisse le long de ses épaules. Mes lèvres s'emparent de chaque parcelle de peau imberbe de la belle cubaine, avant que celle-ci ne soit capturer dans de nombreux baisers endiablés, enflammés. Sa main m'offre de douces caresses à mon entrejambe, me faisant tressaillir, d'un immense plaisir me rendant fébrile, elle déboutonne un à un chaque boutons de ma chemise. Sa peau contre celle de mon torse, me donna d’innombrable frissons, en échappant un soupire de bien-être. La chemise, à même le pantalon, se retrouvent au quatre bout de la pièce, pour que nos corps soient à nu, pouvant se mouvoir à la perfection, pendant que ma main vient à enlever ses derniers sous-vêtements, me permettant d'admirer le corps magnifique, d'une femme latine, aux nombreux atouts, physique, comme sentimentale. J'ai beau avoir déjà admiré son corps à de nombreuses reprises, néanmoins je ne me lasserai jamais de le contempler pendant de longues heures interminables. Il n'y a rien de plus beau qu'un corps d'une femme, la silhouette élancée, le tracé de ses courbes enchanteresses, et comment celui-ci se mouve parfaitement avec le corps d'un homme, qu'importe le physique, important cet l'échange.

Elle vient à prononcer ces quelques mots magiques, me dévoilant son impatience, et comme quoi celle-ci est prête pour entamer l'acte, et stopper les préliminaires. Je viens donc sceller mes lèvres aux siennes, en appuyant sur les siennes, pour un baiser à la fois doux, et passionnel, venant ne former qu'une seule et même personne. Je fais des mouvements doux, frénétiques, suivant une cadence régulière, sortant des gémissements, puissants, stopper par l'échange amoureux, lorsque nos lèvres se croisent de nouveau, pour un baiser endiablé, fougueux, mais d'une douceur inégalable. Ceci dura pendant de longues heures, qui ne cesse de me combler d'un désir ardent, venant même à le recommencer de nombreuses fois, avant que nos corps ne puissent plus le supporter, et être complètement lessivé par cet ébat romantique. Je reprend à cet instant mon souffle, observant ma conjointe sur mon torse, déposant un baiser sur son front, avec une infinie tendresse, tout en caressant doucement ces cheveux. Mon autre main entrelace la sienne, la serrant doucement, en espérant que le temps se freine pour perdurer ce moment magique, et féerique. Sachant que demain nous devrons reprendre notre vie quotidienne, en venant s'occuper de nombreux élèves, néanmoins je viendrai lui rendre de nombreuses visites, pour partager des moments ensemble à présent que nous formons un couple, qui je l'espère, viendra a bout d'incroyable épreuves qui nous empêchera d'être ensemble. (...)
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