Eh beauté ! 8x9 ? 69 ! Allez, ramène-toi !

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Elizabeth of Lizhensk
« Tes yeux sont bleus comme le bleu. »

identification complète Elizabeth, Omemoth Dov of Lizhensk âge 27 ans lieu et date de naissance né à Cambridge, aux Etats-Unis, un 8 novembre études suivies première année de deuxième cycle, en physique job astronaute orientation sexuelle hétérosexuel statut célibataire statut social £££ caractère sagace, ambitieux, téméraire, secret, prévenant, intraitable, cocasse, baroudeur, curieux, professionnel, stakhanoviste, décontracté // inadapté, aguicheur, dissimulateur, débordé, obscur, zoïle, dévergondé, mélancolique, provocateur, accapareur, menteur, moqueur groupe Oxford's students avatar Bastiaan Van Gaalen

Welcome to the jungle
Il possède deux chats robots, qu’il a fabriqué lui-même. Ils répondent à des commandes vocales simples comme « chatchat – viens ici » ou « chatchat – miaule ». Il aime les améliorer au fil du temps et apprécie plus leur compagnie que celle de véritables animaux : ils ne salissent rien et ne risquent pas de mourir ! ◊◊◊ Il ne serait pour lui pas plus belle chose que d’aller explorer l’univers, même si cela veut dire quitter à jamais la Terre. Els est entièrement dévoué à son travail, mais réparer des satellites n’est pas sa finalité. Le châtain rêve de voir l’humanité coloniser d’autres planètes, ou établir un contact pacifique avec des extraterrestres. ◊◊◊ Au moins une fois tous les trois mois, il se fait avaler sa carte bleue dans un distributeur. Malgré ses capacités cognitives hors normes, le châtain n’arrive pas à retenir quatre chiffres à la suite ; et il n’est pas non plus suffisamment bête pour écrire son code secret sur un bout de papier. ◊◊◊ La natation est son sport favori, car se retrouver dans l’eau lui rappelle comment cela est que de flotter dans l’espace. Il est devenu, au fil du temps, un excellent nageur, surtout en crawl. C’est sinon un piètre plongeur, mieux vaut ne pas lui demander de faire la moindre acrobatie sur le plongeoir. ◊◊◊ Niveau nourriture et boissons, Els aime tout ce qui n’est pas bon pour lui. En avant les bonbons, les pizzas… Reculez, poireaux et courgettes ! Il est sinon un excellent cuisinier, quand il s’agit de faire des gâteaux, ou des plats très gras. Le jeune homme fait aussi lui-même son alcool, à base de fruits. ◊◊◊ Quand il a mal, il rit ! Un réflexe que certaines personnes ont et qui finalement aide à détendre les moments tendus… mais cela peut s’avérer assez déstabilisant, que de voir Els couvert de sang, riant à gorge déployée. ◊◊◊ Le châtain, qui a été seul la plus grande partie de sa vie et du fait de son travail, a du mal à savoir comment il doit gérer son besoin de contacts émotionnels et physiques. Il a tendance à ouvrir un peu trop vite la braguette de son pantalon, mais pas assez vite son cœur – ce qui lui donne beaucoup de mauvaises pensées, quand il se retrouve seul. ◊◊◊ Pour cacher ses malaises, Els sort un humour sans délicatesse, bien graveleux. Il rit surtout de ce qui le fait profondément souffrir, comme pour mieux encore camoufler ses problèmes. Difficile d’avoir une conversation sérieuse avec Els, s’il se sent mal à l’aise. ◊◊◊ La chose amusante à faire avec Els, c’est de lui donner du LSD. Cette drogue le désinhibe complètement, à tel point que monter sur une table pour se déshabiller lui semble être une chose acceptable. C’est aussi sous stupéfiants que le châtain est le plus étonnant : ses dissertations les plus excellentes ont toutes été faites sous drogues, ainsi qu’un opéra entier sur le sujet de femmes guerrières parcourant l’espace-temps. ◊◊◊ Els espère, à la fin de son congé, d’être pris dans l’équipe d’astronautes qui sera formée pour les longs voyages dans l’espace – en effet, un programme ayant pour but d’envoyer des êtres humains sur Mars commence à se mettre en place. ◊◊◊ Il aime peindre, surtout des choses abstraites. Cela le défoule et plus cela tâche, mieux c’est ! Mais, bien évidemment, ce n’est pas lui qui nettoie après… Els est plutôt du genre désordonné mais pour palier à ce défaut, met un point d’honneur à avoir peu de possessions matérielles. C’est pourtant quelqu’un d’assez dépensier. ◊◊◊ Dès que quelqu’un est là pour s’occuper de lui, le jeune homme se laisse vivre ! S’il peut convaincre quelqu’un de faire sa lessive à sa place, Els le fait : un mélange de paresse et d’envie qu’on s’occupe de lui. ◊◊◊ Il lui est déjà arrivé de passer des jours entiers sans dormir, complètement penché sur un sujet le passionnant. Parfois, Els a vraiment du mal à faire la part des choses, entre se laisser aller à ses envies et s’en tenir à ce que la société attend de lui.

The story of my life
Elizabeth. Ou, comme l’appellent ses parents, Els. Le fils unique d’un excellent pilote de chasse russe et d’une célèbre physicienne anglaise, professeure à Harvard et membre du programme SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence). Voilà de bonnes bases pour devenir astronaute – car là est le métier d’Elizabeth. Non, il n’est pas un simple étudiant en physique. Avec ses vieilles baskets blanches et ses t-shirts promotionnels. « Apollo 40th Anniversary », « Chasing a comet – the Rosetta mission »… Un étudiant de seconde zone, qui mange des croutes de pizza avec du café froid ses lendemains de fête, et continue d’acheter des briquettes de lait à la fraise. Un étudiant qui semble n’avoir devant lui qu’un avenir médiocre. Peut-être un boursier que l’Etat a envoyé là, pour les quotas. Un quidam que personne ne connaît ; mais que pourtant tous remarquent.

Els est né aux Etats-Unis, à Cambridge et y grandit jusqu’à ses huit ans. Il fut ensuite envoyé chez ses grands-parents, à Canterbury, alors que ses géniteurs entraient dans un divorce houleux, qui dura sept ans – et quatre ans plus tard, ils se remarièrent… La relation compliquée qu’ils entretenaient les empêcha de porter toute l’attention qu’il aurait fallu à Els, pour qu’il puisse véritablement les voir comme ses parents. Ceux l’ayant aimé, et élevé. Et non pas seulement ces personnes qui lui envoyaient de longues lettres sur eux, avec des livres les intéressant, eux. Ni son père, ni sa mère ne connaissaient vraiment Els, et il en est toujours ainsi.

Pourtant, ils eurent une forte empreinte sur leur enfant, qui prit leur chemin. Certainement parce que, quoiqu’il dise ou qu’il fasse, Els leur ressemble beaucoup. Son grand-père lui dit souvent qu’il a la désinvolture de son père et la vivacité de sa mère. Sa grand-mère, elle, répète qu’il a le corps sec de son père et les yeux de sa mère… Els, pour sa famille, n’est jamais lui-même mais, toujours, le reflet de ces deux êtres qui un jour se sont unis pour lui donner vie.

Difficile de s’imposer, d’exister dans de telles conditions ! Le châtain, dans le cadre familial, semblait toujours s’effacer, acceptant de n’être que le reflet d’un père, ou l’image d’une mère, qu’il ne connaissait qu’à peine. On le prenait pour un étranger, voilà ce que pensait Els. Il était quelque chose d’étranger à lui-même. Il était comme ces étoiles, si lointaines. Ces trous noirs mystérieux et ses potentiels extraterrestres, qu’il imaginait tous étranges. Petit, Els imaginait des bonshommes verts. Un peu plus grand, comme des bêtes prédatrices. Adolescent, il imaginait des choses vivant en cinq dimensions. Adulte, il pariait plus sur des formes de vies sous-évoluées, survivant dans l’ammoniaque.

Sa pensée évolua avec son érudition, fulgurante : poussé à s’instruire par ses grands-parents, tous deux anciens professeurs, Els se fit rapidement reconnaître par ses professeurs comme un esprit fort intelligent, bien que ses notes ne suivaient pas. Des 8, des 6… sur 20. On ne le faisait pas redoubler, car on comprenait bien que cela serait une perte de temps. On disait qu’il manquait juste de rigueur, ou qu’il était trop têtu. Els voulait toujours faire à sa façon et non pas comme ses professeurs lui disaient de faire ; et si le résultat était bon le cheminement ne l’était pas. Où s’était brillant, mais trop compliqué. Mais, c’était normal pour lui de vouloir agir ainsi, non ? Fils de deux esprits brillants, il se pensait comme eux, forcément. Mieux que les autres. Els était vu comme arrogant, surtout quand adolescent. Plus encore quand ils apprirent qu’il possédait un QI de 170. Comment pouvait-il avoir des notes aussi basses, en étant aussi intelligent ?

A 16 ans, Els fut finalement retiré du système scolaire et ses grands-parents, enfin à la retraite, décidèrent de s’occuper de lui. Ce fut une excellente décision : mieux encadré, moins jugé, Els eut le droit de s’exprimer, sans que de limites ne lui soient imposées. Mais ses deux tuteurs furent rapidement dépassés par les connaissances du jeune garçon, et il devenait de plus en plus difficile de répondre à ses questions. Cédant aux demandes de ses parents, sa mère décida de le reprendre auprès d’elle, aux Etats-Unis. Il fit d’ailleurs ses années universitaires là-bas, à Harvard : du fait de ses mauvaises notes, malgré son savoir, Els n’avait aucunement la possibilité d’accéder à une université convenable en Angleterre. Sa mère n’eut pas du mal à le faire entrer dans les rangs des étudiants d’Harvard, y étant professeure. Et, comme elle s’y attendait, son fils marcha dans ses pas et se lança dans des études de physique.

Protégé et guidé par sa mère, Els ne tarda pas à se détacher du reste des élèves, sur tous les points : esprit vaillant dans un corps bien taillé, Els était promis à un bel avenir par tous ses professeurs. Et, dès la fin de son premier cycle, il fut accepté dans le programme de formation d’astronautes, de la NASA. Avec un dossier comme le sien, on ne pouvait le refuser ! Depuis son enfance, il vivait dans un monde bercé par les histoires de l’Univers, des sciences et mathématiques et de la culture physique (son père étant, du fait de son métier, un grand sportif). Son seul défaut était une faiblesse psychologique, qu’il était toutefois difficile d’identifier. Els n’arrivait pas à se confier, même à un psychologue.

A 24 ans, le voilà astronaute, pour de bon, après quelques années d’apprentissage. Pas besoin d’aller plus loin que le premier cycle, vu son niveau déjà avancé, et le désir de le voir aller loin qu’avaient ceux le poussant : des scientifiques, des chercheurs. Des gens connaissant ses parents et imaginant que leur fils ne pouvait être que le meilleur de ce qu’ils étaient. Il accomplit même, malgré son fort jeune âge, des missions en orbite autour de la Terre. Du favoritisme, disait-on dans les couloirs… était-ce digne de la NASA ? Se sentant de nouveau maltraité moralement, comme lors de son adolescence, Els ne fit que se remettre en question. Etait-il vraiment à la hauteur de la tâche qu’on lui avait donnée ? Ah, il pouvait supporter la solitude, la perte… mais avait encore du mal à rester de marbre face aux critiques et piques qu’on pouvait lui envoyer. Surtout quand ces dernières impliquaient, de près ou de loin, son père et sa mère.

A présent adulte, Els désirait enfin être vu uniquement pour ce qu’il était : un individu peut-être pas très charmant, mais brillant et compétent. A 27 ans, Els décida de reprendre ses études : avoir un master en physique l’aiderait peut-être à prouver qu’il valait vraiment tout autant que ses collègues ! Oui, ce simple morceau de papier, qui lui semblait si ridicule… Et plus encore, car il désirait obtenir son diplôme, dans une université prestigieuse. Mais pas à Harvard, pour qu’on ne puisse pas dire que sa mère l’avait aidé.

Oxford. En Angleterre. Voilà où l’astronaute désirait reprendre ses études. Y arriver serait une victoire sur son passé, aussi : être accepté là où on l’avait refusé pour ses mauvaises notes serait une preuve, à lui-même, de sa grandeur. Et, avec joie, il apprit être accepté en première année de master de physique. A Oxford.

Voilà donc comment Els est arrivé là, et il fut surpris de n’être connu de personne. Là, pas de trace de ses parents. Pas de trace de son passé. On le pense juste être un individu extrêmement intéressé par l’espace et Els est bienheureux avec cela… c’est comme si on rendait au châtain une partie de son adolescence, qu’il n’avait pas pu vivre. Celle où on se fait des amis, où on oublie de laver ses vêtements, où on galère un peu… Où on rencontre des inconnus, toujours des inconnus. Et même, pour renforcer l’image de simple étudiant qu’il possède, Els ment de temps sur son âge. 24 ans, dit-il avoir. Il vient de Canterbury, et ses droits d’entrée à Oxford ont été en partie payés par une bourse au mérite. Il a une intelligence normale, et n’a fait jusque-là que de petits boulots, à droite et à gauche. Comme un étudiant normal.

A croire que Els, toute sa vie, ne pourra jamais être lui-même. De réflexion de ses parents, il est devenu un masque d’élève. Mais tout se passera bien, si personne ne se mêle de ses affaires.

Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ?
Que représente Oxford pour toi ? Une parenthèse, un moment où enfin, je peux être ce que je veux, à défaut d’être véritablement qui je suis. Personne ne sait d’où je viens, ce que je fais… C’est agréable, quand on a toujours vécu entouré de gens, désirant qu’on soit comme ceci ou comme cela. Oxford, c’est aussi l’occasion d’enfin prouver ma juste valeur. J’ai tendance à me faire mal voir de mes collègues, parce que je n’ai pas autant de diplômes prestigieux, de médailles brillantes qu’eux. Beaucoup trop pensent que je suis cosmonaute grâce à ma mère… qui n’est, finalement, qu’une simple chercheuse. Elle aussi, il serait bien qu’on arrête de la prendre pour ce qu’elle n’est pas.

Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? Ni l’un, ni l’autre. Je suis plus cocktails colorés, bien sucrés… c’est certainement pour cela que je me fais souvent draguer par des homosexuels. Toujours avec mon verre, sa brochette de bonbons ou fruits et sa petite ombrelle en papier, là. Je ne respire pas la virilité, dans ces moments-là. En même temps, je n’ai jamais été habitué à boire des alcools forts, ou secs. C’est une boisson méprisée dans ma famille, et je comprends cela. Elle n’apporte rien de bon.

Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Mal ? En tant que scientifique, je ne peux que réfuter cela. Tant que le sexe est un acte consenti entre deux adultes, et qu’il n’est pas fait dans un but pervers de manipulation ou de contamination… le sexe n’a rien de mal. Il a tout de bon ! Cette activité stimule l’organisme tout entier, réduit les risques de problèmes cardiaques, d’insomnies, apaise… je pourrai vous en dire encore et encore mais peut-être que vous préféreriez que je vous démontre les bienfaits du sexe… cela vous dit ? J’ai déjà de la compagnie prévue pour ce soir, mais plus on est de fous, plus on rit… allez viens, on va bien s’amuser.

As-tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fier ? Plein ! Je m’en veux un peu de cacher ma véritable identité à mes camarades… surtout ceux qui se pensent proche de moi. En m’inscrivant à Oxford, j’ai pris un nom d’usage. Selon mes papiers officiels, je m’appelle Omemoth, Elizabeth Dov Cadwallader… je porte le nom de famille de ma mère depuis ma naissance. Elle avait peur qu’en portant celui de mon père, z Lizhensk, je sois confronté au racisme. Bref, ce n’est pas très beau tout ça… Tout comme le fait de faire la fête en pleine semaine. Je me laisse un peu trop aller. L’alcool, la cigarette. Un régime strict, équilibré, fait partie du métier de cosmonaute… et je le suis encore. Je ne suis qu’en congé. Sans parler de mon comportement ! J’enchaîne un peu trop les parties de jambes en l’air et les blagues stupides. J’espère qu’aucune photo compromettante n’arrivera sur le bureau de mon supérieur. Ou sur celui de ma mère.

Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Cela n’est encore jamais arrivé. Enfin, je crois. Je ne suis pas, au sein de l’université, une personnalité très intéressante, ou bien en vue. Peut-être qu’il y a eu une remarque sur le fait que le porte un prénom féminin… je ne sais pas trop, je ne lis pas vraiment ce journal et personne encore ne m’a rapporté que j’y suis apparu. Et tant mieux, parce que mon but est de m’amuser, tout en ne me faisant pas trop remarquer !

Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle ? Je mange avec mes doigts dès que je le peux, et je m’essuie sur mon pantalon. Une mauvaise manie, que j’ai depuis si longtemps que je ne sais pas d’où elle vient. Cela exaspère mes proches car cela donne l’impression que je ne sais pas me tenir, que je suis mal élevé. Et si au sein de l’université on ne me fait pas trop de reproches, je sais que dans des milieux moins relaxé, comme un lieu de travail ou un restaurant gastronomique, cela passe nettement moins bien. Enfin, tout ce que j’ai à faire, c’est éviter de manger en public.

pseudo endives.braisées âge 22 ans lieu d'habitation nord de la France où as-tu connu le forum Bazzart t'en penses quoi? il est chouette un dernier mot? :coeur:

Code:: [b]Bastiaan Van Gaalen[/b] ✗ Elizabeth of Lizhensk

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Bienvenue sur le forum! :coucou:

:52:

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Bienvenu sur le forum :love:

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Ton titre m'a tué :44:
Bienvenue et je veux un lien :33:

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Bienvenue parmi nous :23:
Good luck pour ta fiche :24:

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Bienvenue sur le forum :24:

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pareil, le titre me fait vraiment marrer. :mdr:

bienvenue. :24:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 472

Bienvenue sur le forum :24:

Invité Invité

Bienvenue parmi nous :love:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 4007

69

bienvenue

Invité Invité

Ton titre

Bienvenue

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Claire

:hiii:
Bienvenue :48:

et courage pour ta fiche :love:

Invité Invité

Mazette, tous ces mots de bienvenue. :44: Je vois que mon titre en a marqué certains, se laisser écrire la première bêtise venue n'est pas si mauvais, tiens. :47:

Newt (ah ah triton /pan/), on verra quand j'aurais fini ma fiche si tu veux toujours un lien, Elizabeth sera un peu spécial. :40:

Merci à vous tous pour votre accueil ! :52:

Invité Invité

Bienvenue, bon courage pour la suite :23:

Invité Invité

Bienvenue parmi nous Babeth chérie :coeur:

Invité Invité

bienvenue ici :amoureux:

Invité Invité

Merci à vous trois pour vos messages de bienvenue ! :coucou:

Surtout à toi, Winter. :angel:

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Merci !

Invité Invité

Bienvenue parmi nous :hiii:

Invité Invité

Merci Aaron. :48:

☆ date d'arrivée · **☆ date d'arrivée** : 06/12/2014 **☆ potins balancés** : 472

Félicitations, tu es validé !
jusqu'à l'excès

Le titre est très drôle :mdr:

Un prénoms de fille ? :16: mais j'aime le surnom ! :angel:

Chats robots :24:

c'est ce que j'ai vu de plus original dans les fiches. C'est un peu un Sheldon c'est ça ?

L'anecdote de la carte bleu m'a fait beaucoup rire, il est capable de créer un robot mais les 4 chiffres de la carte bleu non ah ah :mdr:

J'aime bien son projet professionnel. :31:

Le pourquoi du comment il est à Oxford, j'adore ! :ange:

Ton avatar est dans le bottin et tu intègres, à partir de maintenant, les Oxford's students. Tu peux à présent te balader et poster dans tout le forum comme bon te semble. Si tu as des questions n'hésite pas

Invité Invité

Merci pour ton passage rapide sur ma fiche et je suis heureux que la lecture t'ait diverti ! :29:

Oui, c'est un peu un Sheldon mais je ne m'avancerai pas trop, je n'ai jamais regardé The Big Bang Theory. :arrow:

Et sa mère est très attachée à ses racines anglaises, c'est pourquoi elle s'est obstinée à ce qu'il porte le prénom Elizabeth. :64:

Et il le porte toujours, l'empoté. :47:

/s'en va embêter d'autres joueurs/ :dr:

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Bienvenue !

Ton titre a attiré pas mal de monde je crois :perv:

Invité Invité

Un titre, ça fait tout. Surtout quand c'est débile et graveleux. :dr:

Ah mais tu es la psychologue, toi ! Il va falloir que j'aille te demander un lien. :47:

Et merci pour ton mot de bienvenue !

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