**Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~
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Sujet: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Mer 10 Juin - 22:53
Comment se calmer ? Comment le comprendre ? Avoir de la compassion pour un tel connard envers elle ? Ils avaient couché ensemble, elle s'était laissée emporter par ses sentiments, ses émotions, son désir et son plaisir. Lucia avait pensé qu'après leur dernier baiser doux, presque amoureux après cet ébat puissant et intense, allait le calmer, qu'il allait changer ou limite arrêter les rumeurs qui circulent sur rien. Mais rien ne fut fait, même il avait empiré la situation. Pourquoi ? Lucia était tombée sur des sacrés cons avec qui elle avait couché mais toi tu en étais le roi de celui-ci. Pourtant, cela avait été tellement intense , bon entre eux, Lucia le savait que tu avais aimé alors pourquoi n'avais-tu pas bougé ? Pourquoi avait-tu continué à la haïr ? A faire circuler cette rumeur qui était remontée au directeur ? Lucia ne cherchait plus à comprendre, t'avais eu une vie compliquée, un divorce compliqué et alors ? Ce n'était pas parce que ta vie était compliquée en ce moment mais tu n'étais pas obligé d'empiéter sur la sienne, et la gâcher ! Lucia venait sortir du directorat, furieux, furax, complètement. La colère la submergeait littéralement ! Il fallait qu'elle paye l'humiliation qu'elle venait d'avoir. Lucia ne ressemblait plus à la jolie latina qu'elle fut ce matin, mais une véritable lionne affamée par la colère. Plusieurs élèves s'écartaient sur son passage, elle faisait vraiment peur à voir, vêtue d'un haut jaune fluo et une jupe jaune en fleur qui mettait en valeurs ses belles jambes galbées et sa taille de guêpe. Elle allait l'étriper, le tuer comme jamais.
Il allait comprendre ce qu'était la véritable douleur, la vraie souffrance dans la vie. De son pas déterminé et furieux, elle arrivait au complexe sportif, avide de pouvoir le remettre à sa place. Elle te vit avec tes élèves et elle eut un sourire mauvais, tu aimais l'humilier, elle allait faire la même chose pour toi. Elle s'approchait de toi, dépassant les élèves, la colère brûlait dans sa poitrine, on aurait dit un véritable dragon qui crachait du feu, ainsi. D'un pas rapide, elle venait te flanquer une gifle mémorable qui retentit dans tout le complexe sportif. Elle eut mal à la main mais elle le cachait, elle avait du te faire vachement mal, car elle avait eu mal. Son regard était noir et furieux contre toi.
-Toi, je dois te parler ! Sale Bastardo ! Hurla-t-elle très furieuse.
Elle fit craquer ses doigts en essayant de ne pas entendre les murmures des élèves. Elle voulait te tuer ! T'arracher le coeur, te rendre complètement fou ! Comment avais-tu pu faire cela après ce qu'ils avaient fait sur leurs bureaux, Lucia avait même des frissons de plaisir et une petite flamme qui s'allumait dans son ventre rien qu'en te voyant ou en repensant à leurs ébats charnels. Lucia voulait te tuer en ce moment à cause de toi, elle risquait de partir pour Cuba, dans la pauvreté même. Oui, elle aimait son pays natale, mais ce travail était toute sa vie, elle avait voulu être professeur pour honorer son père. Et toi, tu risquais de tout gâcher. Lucia était vraiment en mode folle furieuse.
-Tu vas payer ce que tu m'as fait ! Tu vas le regretter ! Hurla-t-elle, vraiment furieuse.
Lucia n'avait qu'une envie te frapper et t'embrasser, t'embrasser pour se sentir encore une fois désirée, aimée par toi et te frapper parce que tu osais faire par pure esprit de tristesse et de souffrance à cause de ton divorce, ce n'était pas consciencieux de ta part, tu avais du savoir qu'elle allait pas se laisser faire aussi facilement. Cela ne se faisait pas de gâcher plusieurs vies à cause d'une femme , d'une salope qui ne méritait pas cela, que tu fasses cela ! Lucia était une victime qui se défendait. Elle eut à nouveau un accès de rage et sa main repartit pour ta joue mais elle se contrôlait et la laissait tomber avec difficulté. Oui, elle voulait te tuer et t'aimer en même temps. La tension commençait à chauffer son bas-ventre mais elle devait se contenir, de ne pas exploser complètement face à cette tension sexuelle. Tu allais le payer !
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Mar 7 Juil - 13:47, édité 3 fois
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Jeu 11 Juin - 1:02
Les sentiments inavoués, trompeurs, qui me rongent comme de l'acide, voulant me vouer à une femme, me condamner à une douleur en répétition, me rappelant mon divorce. Le fait de n'avoir pas stopper les rumeurs, en me dénonçant comme responsable, me font beaucoup culpabiliser alors qu'en général, cela m'est complétement indifférent. Il y a quelque chose qui a commencé à changer, comme si mon organe reprenait soudainement vie, en éprouvant des sentiments pour quelqu'un. Je ne peux pas recommencer avec une femme, mon passé me reviendra à chaque moment, me rappelant que la prochaine pourra reprendre ce que mon ex-femme a commencé. Il n'est même pas question que de moi, y a également mon garçon. Je n'ai pas le droit de trahir, d'abandonner mon garçon, en lui donnant de l'espoir avec une femme, qui lui rappellera malheureusement sa maman qu'il aime beaucoup. Là est même la raison qui m'a poussé à reprendre comme auparavant, en ne la protégeant pas d'une correction, de manquer d'être renvoyer de Oxford, en me dénonçant. J'ai même eu impression de tromper mon ex-femme, comme si mes sentiments m'empêchaient de recommencer. J'ai donc préféré oublié, nié, cet ébat charnel pour pouvoir reprendre mon chemin, en obstruant mon début de sentiment pour Lucia. La meilleure chose qui me semblait à faire pour pouvoir éviter de tomber amoureux.
Je porte qu'un simple t-shirt de couleur blanc, avec un short de mon ancienne compagnie. Le corps ruisselant de sueur, me donnant beaucoup pour mes étudiants, en me montrant par moment injuste, ou trop sévère pour leur donner le meilleur en enseignement. La serviette autour de mon cou, en observant leurs comportements, en essayant de desceller une marque d’épuisement. Il ne doit y avoir aucun manque d'écart ! Lorsque mon regard se reporte sur Lucia, qui apparemment a compris que je ne comptais pas la protéger. La fureur, l'énervement, se lie merveilleusement sur son visage. Elle me frappe d'une force incroyable, qu'une douleur me prend soudainement, en même temps qu'un grognement de mécontentement, pour m'avoir humilier pendant mon enseignement. Lucia me donne une raison de pas tomber amoureux. Les femmes violentes, impulsives, me répugnent, me donne envie de vomir. Elles montrent qu'elles peuvent se comporter comme un homme qui bat sa femme, et chercheront à se donner raison pour leur agissement, mais elles se mentent. La preuve devant mes yeux, une femme violente, méprisante, qui frappe un homme uniquement par énervement. Et on veut que je retombe amoureux d'une femme ?
« Tu te prends pour qui, *soith salach !? » gueulais-je de mépris, d'énervement, avant de commencer à m'avancer pour qu'elle recule sur le champ « Dégage !! Casse-toi ! » ordonnais-je en lui montrant simplement le chemin.
Je reprend entrainement, en ignorant complétement, pour me préoccuper de mes élèves. Un qui a d'ailleurs un avertissement pour se moquer de son supérieur, de son enseignement. Le summum c'est qu'apparemment Lucia compter camper sur sa position apparemment, en continuant de m'agacer avec son problème avec le directeur. Je ne supporte pas qu'on se plaint, comme une chochotte de ma compagnie. Le temps ou on me respectait, ou on me craignait, me manque beaucoup. Je prend une grande inspiration, avant de me retourner et de pouvoir passer ma main sur sa bouche pour interrompre, dans son énervement, son agacement. Elle compte se venger de ne m'avoir pas dénoncer, et apparemment elle connait uniquement la « violence » pour régler son problème, comme c'est puéril comme comportement. Les mots sont pourtant beaucoup plus blessants, par moment, non ?
« Oh je croyais que cela vous ferai plaisir ! Quoi vous vous dégonflez ? La pauvreté vous fait donc peur ? » me moquais-je avec beaucoup d'ironie. « Pleurer ailleurs ! Je n'aime pas les mauviettes ! » ordonnais-je, sèchement, durement à ressortant le côté sergent.
Le côté sergent méprisent les pleurnichards, les personnes qui se lamentent sur leurs sorts, ou même ceux qui se dégonflent. Ils ne sont pas des hommes, que des mauviettes. Il en est de même pour Lucia, qui commence à me gonfler, m'épuiser de se lamenter comme d'habitude, uniquement parce qu'elle a peur qu'une simple rumeur. Que cela puisse la permettre de retourner dans la pauvreté d'un pays en manque de développement. Je compte régler le problème, mais elle repousse ma tentative, en se comportement comme un homme méprisant, violent, irréfléchi, comme mon père. Lucia n'est pas comme lui, néanmoins cela me rappelle le raisonnement de mon père, comme un soldat, comme un homme robot, qui s'amusait à me corrompre mentalement. Elle s'amuse à me corrompre, de me changer.
*soith salach : sale conne (en irlandais)
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Sam 13 Juin - 16:04
Ce n'était pas possible d'être aussi idiot, d'être aussi con envers les femmes. Lucia te plaisait et bien, pourquoi faisais-tu cela ? Tu étais mauvais, vraiment, elle l'était. La jeune trentenaire avait eu des problèmes avec les hommes, pendant toute sa vie. A Cuba, les hommes étaient fières et parfois un peu violents avec les femmes, ou alcoolique. Bien sûr, il y avait des cubains sympas à converser, ou même être amis avec eux. Les moeurs ancrés dans leurs gênes, les empêchaient d'être pleinement eux-mêmes avec les femmes. Bien sûr, les cubaines pouvaient être mauvaises, elles faisaient tout dans la maison, elle travaillait, faisait à manger, le ménage, maternait les enfants avec amour. Dans son quartier à La Havane, les femmes du quartier faisaient à tour de rôle, la voisine l'avait déjà materné plusieurs fois lorsque sa mère fut une énième fois absente pour subvenir à leurs besoins. Les femmes pouvaient parfois jouer d'homme à la maison, mais il n'était pas rare qu'il y avait de la violence conjugale dans le couple. Elle avait été avec un homme violent, et pourtant, elle ne frappait pas tout le monde sous prétexte qu'elle a souffert de cette relation. Elle ne gâchait pas la vie de ses amants , tout simplement, sous prétexte, qu'elle a pas eu une belle vie. C'était une question de moralité. Lucia savait être revancharde mais elle préférait être franche envers les personnes. Mais pour qui se prenait-il ? Pour un soldat avec des valeurs morales, s'il voulait qu'elle l'oublie et bien qu'il cesse de faire cela ! De lui donner que des problèmes qui allaient gâcher sa vie.
Lucia était une femme fière et même s'il y a quelque années, elle n'aurait pas fait cela, elle ne t'aurait pas gifler, des hommes lui avaient appris à se défendre, même si elle était une femme, elle n'était pas faible. La vie pouvait nous rendre fort, comme la douleur. Un coeur brisé pouvait nous rendre fou, ou nous faire des choses innommables aux autres. Etait-ce pour cela que tu l'insultais ? Que tu la rendais ainsi ? Pour mieux te protéger ! C'était inhumain pour elle. Elle était belle et quelque peu plus grandes avec ses sandales à talons jaunes qui allaient parfaitement avec sa belle tenue. Le médaillon d'or ne quittait jamais son cou, c'était comme un symbole. Sa main venait caresser celui-ci. Elle était belle, rayonnante dans sa tenue. Elle ne transpirait pas, trop bien , habituée à la chaleur des pays latins pour cela. Elle te regardait, ta tenue te mettait en valeurs, tes muscles saillants, dont elle avait eu le plaisir de toucher, de caresser. Lucia se souvenait de de leurs mouvements, du désir qui les avait consumer complètement , et du plaisir qui les avait gémir, submergé complètement que leurs haines avaient été oubliés pour un court instant.
Ses mains se serrèrent , ne formant que des poings qui allaient frapper avec force ton visage, mais elle se retenait beaucoup de t'en remettre une. Comme osais-tu lui parler ainsi ? Après ce qu'ils avaient fait ? Il reniait qu'il avait aimé coucher avec elle, qu'il avait pu gémir et grogner, jouir dans leurs ébats intensément. Lucia ne comprenait pas, était-ce le même homme qui l'avait embrassé avec amour et passion lors de l'ébat ? Était-ce le même homme qui la regardait méchamment et l'insultait en ce moment ? Le même homme qui l'avait caressé avec tellement de passion, qui l'avait fait jouir comme jamais ? Lucia en fut dégoûtée, elle savait qu'après ce passage, cela ne serait pas le grand amour mais elle avait espéré que tu te sois calmés avec elle et les rumeurs qui circulent. Des rumeurs qui avaient fini par arriver aux oreilles du directorat. Tout était faux, complètement faux ! Il fallait que cela cesse.
-Oh non ! Vous allez m'entendre ! Je ne sais pas ce qui vous est arrivé et je m'en fiche, chacun ses fardeaux, mais ne gâchez pas ma vie ! Hurla-t-elle en te tirant vers les vestiaires et te pousser contre les casiers.
Lucia refermait la porte des vestiaires à clé pour qu'ils parlent en privé de cette affaire. La jeune trentenaire te regardait vexée, elle s'approchait de toi en te regardant droit dans les yeux, elle était furieuse.
-Pourquoi as-tu continué à balancer des saloperies sur moi ? Je croyais qu'après ce qui s'est passé, tu m'auras ignoré et tout aurait été réglé et là, une enquête va peut-être s'ouvrir sur moi ! Hurla Lucia à quelques millimètres de ton visage.
Elle faisait taire ses émotions, son désir qui naissait dans son estomac , enflammant son bas-ventre. Lucia te regardait, attendant ta réponse.
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Sam 18 Juil - 21:32, édité 2 fois
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Sam 13 Juin - 20:10
Qu'est-ce qu'elle ne semble pas comprendre ? Quand je demande de dégager de mon champ de vision. J'ai compris que pour mon mental, comme ma guérison, ma protection. Lucia doit déguerpir, s'éloigner de ma personne, comme arrêter de vouloir me toucher, ou me frapper. C'est même devenu maladif. Elle a besoin constamment de me frapper. Elle a beau être combattante, énergétique, courageuse. La raison perd souvent contre mon cœur en ce moment. La cause c'est d'avoir coucher avec cette femme, cette croqueuse d'homme. C'est inévitable ! Il n'y a aucun retour envisageable. Le cœur renait, comme il réclame, demande de l'amour à quelqu'un, en pardonnant le châtiment qu'une femme nous a donné, infligé en nous abandonnant. Il n'a aucun droit, aucun pouvoir. Je ne veux pas recommencer à aimer. La douleur qu'on ressent, qu'on a, quand une personne vous abandonne, rompt, pour retourner avec un autre homme. Elle est vraiment insurmontable, douloureuse. Le problème, c'est qu'elle me provoque, me chercher, et cherche même le rapprochement. Il n'y a que comme ça qu'elle comprenne, comme ça elle retournera à Cuba. Je n'aurai aucun problème, que quelques remords, même si ça me fera beaucoup de mal. Elle empêche de recommencer, de pouvoir reprendre avec mon garçon. Lucia est immonde, elle ne se rend même pas compte du mal qu'elle me donne, qu'elle m'inflige. La même chose que mon ex-femme, a vouloir aimer quelqu'un.
Je serre mes poings, de colère, de mépris, parce qu'elle se permet d'interrompre mon enseignement. Et de m'isoler pour qu'on communique de son problème, comme elle semble pourtant avoir compris. Cela ne me concerne pas. Elle a qu'à se démerder. Les veines sont devenu visible, sur mon bras tellement mon agacement est important. Je prend une grande inspiration, avant de frapper durement, sauvagement contre le mur. Là elle comprendra peut-être que je n'ai clairement pas envie de parler d'un problème. Qui ne me regarde pas. Pourquoi ne va-t-elle pas me dénoncer ? Elle attend quoi au juste ? Que je me porte volontaire pour accompagner comme un bambin.
« Je vous entend déjà ! Et cela me suffit comme ça ! Je vais rester correct, en vous demandant de vous tirer ! Je ne me répéterai pas deux fois ! » prévenais-je poliment, avant de monter le ton « Démerdez vous ! C'est votre problème ! Je m'en moque royalement ! Compris ? » gueulais-je pour me faire comprendre, et qu'elle retourne vaquer à son occupation.
Et non apparemment, elle a décidé de vraiment m'agacer, en clôturant, fermant la porte. Le tout pour qu'on ne soit pas dérangé par quelqu'un. On avait vraiment de se retrouver seul. Je sens qu'on va recommencer, qu'on va reprendre ce qu'on a commencé. Le fait même de la provoquer, de l'engueuler, me donne beaucoup d'envie. Il est hors de question que mon attirance nous rapproche, qu'on couche ensemble. J'ai accepté de mon plein gré de renoncer aux femmes, à tout ce qui s'y approche. Il n'y a que la nounou, ma meilleure amie, que je peux encore tolérer comme femme. Cela me suffit amplement. Je ne veux pas d'une compagne, elles sont comme mon ex-femme. Je ne veux pas imposé une femme, ou une remplaçante de maman. Qui va nous donner du bonheur, temporairement, pour nous abandonner. Je ne vis pas dans mon passé, c'est mon passé qui me suit constamment. Il me rappelle comment sont les femmes, comment elles nous manipulent pour mieux nous anéantir, nous détruire, comme si on avait aucune importance. On est comme leur jouet, qu'elle prenne soin en premier temps, et quand elles veulent changer. Elle nous abandonne, en rompant, pour retrouver un autre homme. La vie est beaucoup trop injuste pour accepter de recommencer avec une femme.
Elle disjoncte maintenant, en m'accusant de continuer les rumeurs, comme profaner du mal à son insu. La proximité entre nous me déplait fortement. Je la repousse, la bouscule, impulsivement, pour qu'elle comprenne de ne pas s'approcher de moi comme ça. On est uniquement collègue, non des amants d'un amour frénétique, et dangereux. Ce qui s'est produit, ne se reproduira jamais, du moins je m'efforcerai de ne pas replonger. Ce qui va être dur dans une pièce d'eau, enfermer avec une femme séduisante. Je prend de grandes inspirations, pour essayer de contrôler mon énervement, mon agacement, qui monte doucement, et qui risque de me faire commettre impardonnable. Le rire spontané me vient quand elle commence à me blâmer. Là c'est même devenu nerveux. Elle n'a pas compris qu'en ignorant son problème, son emmerde, en ne me dénonçant pas, et reprenant mon chemin normalement. C'est de la pure ignorance !
« Non mais vous disjonctez ! C'est que c'est contagieux ! » grognais-je de mépris, quand on s'en prend à moi sur un simple coup de tête. « Justement, il s'est rien passé ! Oh mais c'est ce que je fais, figurez-vous ! Je vous laisse dans votre merde ! Dégagez !! Ou je vous fais manger la porte ! » menaçais-je bruyamment.
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Lun 15 Juin - 11:31
Il était impossible ! Comment pouvait-on être aussi borné, et arriver à tenir sa tête bien droite et la regarder sans aucune honte, ni regret ! Elle méritait pas que sa vie soit gâchée par un con pareil ! Elle voulait rester à Oxford, enseigner sa magnifique culture aux élèves intéressés par celle-ci ! La latina allait péter un câble. Elle ne se comprenait même pas elle-même, pourquoi elle était là avec toi dans ce vestiaire humide. Lucia ne comprenait pas son attitude. Normalement, elle t'aurait mis une bonne gifle et elle serait partie ainsi. Peut-être parce que ce n'était pas un clash ainsi, tu menaçais de la faire expulser d'Oxford et même de la Grande-Bretagne. Peut-être parce qu'une partie d'elle voulait encore et toujours de ton corps se mouvant contre le siens. Rien de que de repenser à ce moment chaud et érotique, la rendait folle de désir mais elle se contrôlait. Elle ne montrait pas qu'elle te désirait comme jamais en ce moment-même. La lumière du vestiaire te rendait beaucoup plus désirable que dans son bureau. Non, elle devait se reprendre même si elle aimerait ressentir encore une fois ta barbe rugueuse picoter dans son cou, sur son corps qui s'excitait face à tes baisers, et tes caresses sur son corps. Rarement un homme l'avait touché ainsi, caressé ainsi. Beaucoup l'avaient convoité, mais peu d'hommes l'avaient fait jouir comme toi. Pourquoi nais-tu l'évidence de leurs actes ? Tu avais aimé autant qu'elle cet ébat, ce moment intense où ils s'étaient aimés plutôt que de se haïr mutuellement.
La haine était là, battant fortement dans leurs poitrines, dans leurs coeurs. L'amour intense qu'ils avaient éprouvé ne fut qu'éphémère. Ils n'étaient plus amoureux l'un de l'autre, ils se haïssaient. Une partie de jambes en l'air, un havre de paix dans une guerre entre eux deux ? Comme deux guerriers qui s'entre-tuaient et qui s'étaient aimés comme jamais lors d'un moment de faiblesse. Etait-cela pour toi ? Un moment de faiblesse avec elle ? Lucia ne te comprenait pas et ne voulait plus te comprendre. Elle était encore en train de réaliser, qu'elle te ne connaissait pas du tout. Tu avais été un amant parfait, doux et à la fois brutal, intense, et là, il y avait cet homme qui lui hurlait des choses horribles à la figure. Qui étais-tu ? Lucia avait du mal à croire que tu étais le même homme. Physiquement le même mais dans ton coeur, non tu ne l'étais plus. Elle préférait voir l'autre, celui qui l'avait fait jouir comme personne auparavant. Même dans cette haine, tu la rendais folle désir, folle complètement. Que lui faisais-tu ? Lucia haïssait ou aimait une personne, elle ne pouvait pas faire les deux à la fois et pourtant, c'était ce qui était en train de passer. Un amour si intense qu'il franchissait la limite et ils se haïssaient avec une telle intensité que c'était électrisant, euphorique. Qu'importe qu'ils s'aimaient ou se haïssaient, c'était toujours intense, quoiqu'il arrive.
Lucia se fit pousser contre un casier et elle eut mal au dos mais elle se reprit bien vite. La fierté mal placée jouait en sa faveur bien que l'adrénaline de cette situation, lui permettait de ne plus trop ressentir la douleur. Il fallait que tu comprennes, que tu payes ce que tu as fais dans dans sa vie. Elle valait mieux que toi car elle ne s'était pas attaquée à ses origines, ni à ta situation avec ton ex-femme. La jeune trentenaire avait plus de valeurs qu'on le croyait. Aux premiers abords, elle pouvait paraître une fille frivole , limite superficielle mais quand on la connaissait, mieux valait ne pas la contrarier, elle est une belle personne avec la joie de vivre, de l'intelligence et de la perspicacité à toute épreuve, une amie fidèle et attentive, loyale envers ceux qu'elle aime. Elle était une belle personne et c'était dommage que tu ne la voyais pas ainsi mais comme une sale cubaine, fumeuse de drogue et libertine en plus de ça. Tu ne la connaissais même pas que tu la jugeais sur ses origines et après c'était elle, la sale ? Non mais tu te prenais pour qui ?
Si tu croyais qu'elle allait se démonter, tu te fourrais le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Lucia ne savait pas ce qui lui prenait mais sa dernière grande aventure avec un mec lui avait appris qu'importe les coups et les douleurs, sois fière et redresses toi. Lucia fit cela, elle s'était redressée et t'avait regardé droit dans les yeux avec une lueur de défi dans les yeux. Oui, elle savait que c'était dangereux, que cela allait faire mal mais non, elle n'allait pas se démonter.
-Essayez, allez-y ! Faîtes-moi manger la porte ! On sera deux à être virés de l'unniversité, vous me gâchez la vie, je gâche la votre, c'est comme le respect, du donnant-donnant ! Déclara-t-elle en te regardant droit dans les yeux sans sourciller.
Son regard était noir, véritable noir. Elle inspirait au désir, à la luxure et au défi de lui faire mal. Cela ne serait pas la première porte, qu'elle se prendrait, loin de là, avec son ex-conjoint violent, c'était même un rituel. Elle n'avait pas peur, l'adréanline fusait dans son corps à la vitesse de la lumière. Sa démarche fut menaçante lorsqu'elle se rapprochait encore une fois de toi, encore à quelque milimètres, si on pouvait tuer d'un seul regard, tu seras déjà six pieds sur terre depuis quelques années déjà.
-Est-ce compris ? Je suis gentille mais quand on me pousse à être méchante, je peux devenir très mauvaise alors cessez votre cirque, vous ne m'aimez pas bien, mais ne gâchez pas ma vie avec vos préjugés débiles et raciste, car je ne le ferais pas, mais si vous me poussez à bout , je vous ferais mal très mal, croyez-moi, j'ai de la matière pour vous en faire ! Déclara-t-elle sur un ton rauque, effrayant, vraiment effrayant.
Son ton était froid, calme , effrayant et à la fois érotique comme jamais. La proximité des deux corps la rendaient toutes choses mais elle ne se laissait pas démonter loin de là.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Lun 15 Juin - 13:50
La tension, l'attirance, me pousse en ce moment, à la bousculer contre la porte comme dit précédemment. La proximité qui nous éloigne, me rend complétement fou. Mon cœur battant la chamade, menaçant à tout moment d'exploser. Je me refuse de m'abandonner à ce bonheur, comme prisonnier de mes propres désirs rempli de luxure, et de passion, de mes propres sentiments amoureux. Je transpire sous la chaleur, l'excitation, qui me ronge doucement, lentement. Le cœur qui attend son moment, vient s'emparer de mon corps comme une marionnette. Je viens embrasser passionnément, amoureusement, et doucement. Les sentiments ressortent, me submerge, me permettant de sourire pour un court moment. La première erreur, qui me condamne à prolonger ce qu'on a commencé. Lucia a fait irruption dans ma vie, comme une fleur, menaçant de tout chambouler. Elle a donc gâche mon existence, mon bonheur, depuis qu'elle m'a intercepter. Lorsqu'elle aura compris que le donnant-donnant, a commencé à notre rencontre.
« La ferme ! » ordonnais-je, durement, sèchement, en la menaçant dans un regard mauvais.
Ma main encercle son cou, comme pour menacer de l'étrangler, cependant c'est qu'une provocation. Je ne commettrai pas impardonnable, en voulant étrangler une femme, qui me plait énormément. Elle commence à m'énerver, m'agacer de nouveau. Lucia a beaucoup de chance, d'être une magnifique femme, avec beaucoup de répondant. Un homme serait probablement recouvert de bleues, sanglant. Raciste ? Elle se moque de moi, en m'insultant directement, d'être un homme intolérant envers les hommes, femmes provenant d'un pays étranger que mon pays. Je me suis combattu, entre-aidé, même eu une relation amicale, avec des hommes étrangers. Ils m'ont déjà sauvé, à de nombreuses reprises, voyant même quelques uns décédé sur le champ. Impossible, incapable de pouvoir les sauver de leurs innombrables, leurs immondes plaies, saignant abondamment. On ne pouvait pas empêcher le retardement. Une larme coule de mon visage, en repensant aux nombreuses morts.
« Raciste ? Moi ? » hurlais-je de douleur, concernant mon passé qui me remontait d'un coup. « J'ai vu des hommes mourir au champ, de n'importe quelle origine, qui avait beaucoup plus d'importance, que n'importe quel homme dans mon pays ! Je vous interdis de leur manquer de respect ! Ils se sont battu pour votre putain de monde ! Ils sont mort pour des merdes comme vous ! Merde ! » m'énervais-je en voyant qu'elle ne comprenait pas, qu'on a protégé son monde pour quoi. Qu'on soit traité comme des hommes « racistes » et intolérants, ça me révolte complétement.
La respiration est saccadé, mon poux s'accélère sous la pression, l'énervement, comme le retardement d'une explosion. La douleur m’oppresse, me compresse, mon cœur saigne à repensant à mes compagnons, mon amis, beaucoup trop jeune, décédant pour protéger notre gouvernement. Elle me blâme de son malheur, de lancer beaucoup de rumeurs. La seule fois c'est quand on a commencé à se provoquer. Je ne rêve pas ? Elle sous-entend qu'elle me comprend, qu'elle sait pourquoi je me comporte comme ça. Ou mieux qu'on lui a récemment communiquer des informations. Cela me déplait beaucoup. Il n'y a personne qui peut me comprendre, ou même pouvoir juger mon ancienne relation avec mon ex-femme, et meilleure amie. Qu'elle ose s'en prendre à mon ancienne romance, à mon amour pour ma femme, et principalement de mon enfant. Je sens que femme ou non, elle risque de prendre un coup énorme. Qu'elle va comprendre qu'on n'ouvre aucune plaie, sans connaître un minimum la personne, et de savoir tout ce qu'elle a enduré intérieurement.
« Osez parler de mon ex-femme, et de mon enfant ! Je vous jure sur mon honneur que vous allez comprendre ma douleur ! A tel point que vous ne ressemblerez plus à rien ! Suis-je clair ? » demandais-je d'un ton froid, sombre, en communiquant de mon entourage.
Je serre mon emprise sur sa main, avant de plonger mon regard dur, mauvais dans celui chocolat de ma compagne. Le regard s’adoucit, mon cœur se compresse en se rappelant de ces cauchemars, de ce qui me hantent depuis mon renouveau comme enseignant. La raison se tait, pour se rappeler les moments de bonheur avec une femme. Ou elle m'envoyait des messages, pour m'encourager à combattre, pour me donner beaucoup de force, mais principalement pour qu'un moment ce cauchemar se termine. Il se regorge des moments heureux, du bonheur qu'on ressent quand on aime quelqu'un. Le cœur me donne suffisamment de courage, d'adrénaline, et d'amour. Que je l'embrasse amoureusement, langoureusement, sauvagement, plaquant ma jambe entre son entre-jambe, en sentant progressivement ma raison revenir.
AVENGEDINCHAINS
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Jeu 18 Juin - 9:59
C'était malsain, véritablement malsain. Il l'embrassait avec passion et d'une seconde tu la repoussais en l'insultant de droguée et de dealeuse de crack. Ta main rugueuse sur son cou, elle te regardait droit dans les yeux malgré qu'une petite peur venait pointer le bout de son nez, elle ne le montrerait pas. Une fierté mal placée l'empêchait de se montrer aussi peureuse. Elle était cubaine, le courage coulait dans son sang. Se foutait-il d'elle quand il disait ne pas être raciste, que ses propos ne l'étaient pas ? C'était un euphémisme. C'était elle qui commençait à devenir folle. Tu avais osé l'insulté de dealeuse de crack et de fumeuse parce qu'elle était cubaine et c'était elle la raciste ? Non mais il déconnait complètement. Il osait lui mentir en la regardant dans les yeux. Soldat et alors ? Ce n'était pas parce que tu avais fais la guerre, que tu savais tout dans le monde. Lucia ne t'avait pas traité de raciste, car tu ne l'étais pas mais que tes préjugés l'étaient. C'était différent, complètement ! Mais bon, comme tu étais trop dans ton délire " je porte la souffrance du monde parce que j'ai fais la guerre et que ma femme m'a quitté". Elle, a du quitté sa mère qu'elle avait rarement vu et l'avait aimé quelque peu, elle avait vu son père mourir en agonisant sous ses yeux. Elle avait vu la véritable misère des gens.
Lucia allait lui faire la misère et si il croyait que c'est en la faisant virer de l'université, qu'il n'aurait plus de problème, il se fourrait tout le corps dans l'oeil, car c'était justement le problème. Là, t'aurais laissé couler cette aventure, elle t'aurait snobé complètement. Mais tu n'avais pas l'air de comprendre la logique mais la violence. Elle était énervée, vraiment même en pleine crise de folie furieuse.
-Non c'est vous ! Si vous aurez cessé la rumeur, je ne serais pas là, et on se serait snober! Je n'ai jamais dis que vous l'étiez mais que vos préjugés sur mon pays l'étaient. Tous les Cubains ne sont pas des fumeurs comme tous les irlandais ne sont pas tous des alcooliques ! Je m'en fiche de votre vie, tant que vous empiétez pas sur la mienne en la gâchant. Vous voulez plus me voir alors cessez de faire le con et d'être franche envers une femme, à moins que vous êtes trop lâches pour le faire ! En tout cas, je ne suis pas une pourriture comme vous ! S'enquit-elle en te regardant, une flamme dangereuse brûlant dans son regard chocolaté.
Lucia eut un sourire et ricana doucement en t'écoutant parler. La belle brune secoua la tête, en repoussant ta main sur son cou qui commençait à le serrer dangereusement.
-Bah oui, monsieur aime balancer des saloperies sur la vie des autres mais faut surtout pas toucher à la sienne, parce que pauvre petit, il a divorcé comme la plupart des couples d'aujourd'hui ! Je vais être franche avec vous, vous détruisez ma vie, je détruis la votre, c'est une pure logique qui a l'air de ne pas franchir la barrière dans votre cerveau. Je vais pas me laisser faire parce que monsieur souffre à cause de sa puta de femme ! Dit-elle en hurlant sur lui.
Lucia était une femme frêle mais elle savait montrer la puissance et savait faire preuve de force. Elle pouvait être gentille, douce et tendre comme un chat mais quand on l'énervait, on devait faire face à l'impétueuse lionne. Celle-ci mieux valait ne pas se frotter contre elle. Lucia avait l'impression de parler à un mur, car monsieur croit avoir raison sur la situation. Lucia se demandait si ce n'était pas lui, qui devait boire de l'alcool à l'école. Elle commençait à se poser la question. Accuser, faire une rumeur sur une autre personne pour qu'on ouvre une enquête et qu'on ne le suspecte pas, c'était ce qu'elle ferait si elle aurait une garce manipulatrice. Il était assez vicieux et tordu pour ne pas avouer des faits évidents, il aurait bien était capable de cela ! Soudain, elle sentit le casier contre son dos, ce qui lui tira une grimace et des lèvres douces et humides à l'haleine mentholée sur les siennes, l'embrassant avec un amour passionnel qui l'avait fait frissonner de la tête aux pieds en passant par les orteils. Lucia savait qu'elle ne devait pas répondre, sa tête lui hurlait même de le repousser et c'était ce qu'elle fit en le poussant et te giflant mais son coeur et son désir en ébullition lui firent t'embrasser à nouveau en te plaquant contre le banc des vestiaires, te chevauchant. Son regard brûlait de désir et de colère.
Son bas-ventre qui s'enflammait comme un brasier infernal, sa main venait te plaquer par le cou, faisant ton haut. Son corps se mouvant contre le tiens, sensuellement, ce frottement lui arrachait un gémissement. C'était malsain mais elle ne pouvait rien, malgré sa tête, son désir brûlant pour toi l'emportait toujours sur sa raison.
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Jeu 18 Juin - 13:14
Cela ne me concerne plus. Qu'elle se démerde maintenant. Elle n'a pas cinq ans quand même. Et pourquoi a-t-elle autant peur ? Quand on a rien à cacher, on n'aborde pas un tel comportement. Je me croyais être le seul homme, la seule personne, a avoir un mauvais dossier, en raison de problèmes familiaux, ou quand on m'a engagé comme soldat. Il y a beaucoup d'erreurs qui me reviennent en mémoire. Le fait également par exemple d'avoir menti à mon garçon concernant sa maman. Je ne pouvais pas avouer comme ca, que sa mère ne reviendra probablement pas. On a beau espérer les premiers temps, même prier qu'elle revienne. Que ce n'était qu'une erreur, qu'elle va se rendre compte de sa connerie, mais apparemment non. L'armée te permet de te protéger, de devenir un homme, d'accepter les hommes de couleurs, de durcir le cœur pour être plus vigilent prochainement. Le dire de cette manière, c'est comme avouer ouvertement qu'elle me croit « raciste ». il s'applique que pour elle, uniquement. Elle compte me gâcher ma vie. Et ça dés le moment ou elle m'a rencontré, en me souriant d'un magnifique sourire, comme pour me demander d'être ami. Sait-elle vraiment ce que ca veut dire ? On ne peut pas être éternellement amie avec une femme qui vous plait énormément. La preuve en est même là, avec mon ancienne femme, on était simplement des amis, meilleures amis, on passait beaucoup de temps ensemble, pour qu'au bout on se rend compte qu'on s'aimait éperdument. Ça personne ne peut le comprendre. Je m'en fiche de sa vie également, c'est pour ça que je me moque qu'elle est souffert, que mes propos la touchent, ou même qu'elle est beaucoup de problèmes. Être franche ? Quoi avouer que je ne peux pas oublier mon ancienne femme. Que j'en souffre énormément, et que je refuse d'aimer quelqu'un sous prétexte de mes sentiments, ou même d'avoir peur de replonger dans le cauchemar. Hors de question ! Là n'est pas question de lâcheté, je ne parle rarement de moi, et encore moins à une étrangère.
Je rigole sous le coup, croyant vraiment que je vais me confesser à une étrange, une enseignante. Elle n'est rien pour moi, même pas une amie, ou une connaissance, seulement une collègue. Lucia ne représente rien pour moi, même si mon cœur éprouve beaucoup de sentiments. Il ne faut pas qu'elle gagne, sinon on se condamne de recommencer. La même souffrance. Le même cauchemar. Cela serait maso de ma part. Je ne veux pas souffrir longtemps, pour une femme qui prétend être charmer.
« Les seules personnes qui ont le mérite ! Ce sont les personnages de mon entourage ! » soulignais-je pour lui montrer qu'elle ne fait aucunement partie de mon monde. « Vous vous prenez pour qui ? Une amie ? Une petite-amie ? Une confidente ? Vous n'êtes rien pour moi ! Rien, c'est compris ? » rappliquais-je en montant le ton pour me faire comprendre.
Elle retire mon emprise sur elle, en enlevant ma main à son cou, avant de m'agacer en ricanant comme pour me montrer qu'elle était capable de parler d'un sujet qui a beaucoup de conséquences. Il faut qu'elle sache que contrairement à elle, la seule personne qui compte pour moi, c'est mon enfant. Bien entendu y a ma mère et ma sœur. Là on parle de mon fils, de mon bébé, c'est une erreur a ne pas commettre, personne ne parle de mon enfant, de sa mère, ou mime de ma relation. Oui bon c'est vrai que c'est une salope. Je ne peux pas dire qu'elle a tord, qu'elle ne commence pas. Mes poings se serrent quand elle se moque, me critique, en m’appelant « pauvre petit » en croyant que c'est seulement qu'une question de divorce. Elle m'a obligé à divorcé, sinon je perdais tout ce qui comptait pour moi, mon enfant, mon argent, mon métier, et me retrouve complétement seul, abandonné, détruit. Elle a détruit ma vie depuis qu'elle a voulu jouer les « jolies coeurs » bordel c'est elle qui a commencé. Qu'elle ne vienne pas me chercher. Elle semble stupide pour ne pas le comprendre. Alors qu'elle semble connaître mon vécu avec mon ex-femme.
« Je vous l'interdis ! » hurlais-je de fureur, en pleurant de colère, et de malheur, pas une rivère mais quelques larmes. « Redite ça et je vous DEMONTE ! Ce n'est pas qu'une question de DIVORCE ! PUTAIN ! Eliakim ne vous a pas tout dit ! » expliquais-je avec les yeux rempli de douleur et d'une colère incontrôlable. « Ce que vous ne semblez pas comprendre ! Tout ca c'est de votre faute ! ENTIEREMENT de votre faute ! A vouloir jouer les jolies cœurs avec un beau sourire ! Vous me GACHER ma vie ! MERDE ! » dis-je complétement remonté en la dénonçant de mon malheur.
Elle ne rompt le baiser pour me frapper, au contraire de m'agacer, cela a comme effet de m'exciter, de me donner encore plus envie. C'est une drogue qui me ronge, m'empêchant d'avancer. Et réclamant toujours encore de ce bonheur, même temporaire. Lucia me bloque contre le banc, en me chevauchant, pendant que je prolonge le baiser amoureusement, langoureusement, sauvagement. Le moment ou le cœur remonte pour prendre le contrôle, et donner le semblant d'amour pour la personne. Cela m'énerve mais je ne pourrai pas nier mes sentiments éternellement, déjà que le contact, mon agacement, me donne furieusement envie de pouvoir embrasser. Elle me plaque par le cou, me provoquant un gémissement, prolongeant le gémissement, avant que mes mains viennent enlever son haut de couleur jaune, pour la griffer sauvagement, sensuellement. Les lèvres descendirent à son cou pour le mordre, en l'embrassant, le léchant, pendant que mon corps donne des coups au sien. Elle me rend complétement dingue. Et me donne tellement envie, c'est un vrai cauchemar. Je ne sais pas comment m'en sortir, ce cauchemar va se répéter continuellement. Le summum c'est que je suis incapable de rompre le contact, ou même d'avouer que si on s'ignorait, ça me rendrait vraiment mal. Cela serait renoncé à Lucia, et avouait mes sentiments ouvertement. Je suis trop dépendant d'elle, malgré que cela me répugne.
« J'ai tellement envie de toi. » avouais-je ouvertement, grâce à l'intermédiaire de mon cœur, de mes sentiments.
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Dim 21 Juin - 18:13
Lucia ne le comprenait sincèrement pas du tout, il était prêt à lui sauter à la gorge et la décapiter pour ensuite l'embrasser comme jamais un homme ne l'avait fait et puis ensuite, il retournait à cette agressivité apparente. Il disait qu'elle était irrespectueuse , mais s'est-il regardé dans le miroir ces derniers temps pour voir que dans l'histoire, elle ne faisait que répondre une injustice par une autre injustice. Non, cela ne semblait pas le percuter, il semblait trop dans borné dans sa souffrance pour remarquer à quel point, qu'une simple phrase les aurait épargné tout cela. Au lieu de cette agressivité, ses insultes et ses rumeurs injustifiés par lui, il aurait pu tout simplement lui sortir qu'il ne veut pas être son ami. Lucia accordait beaucoup d'importance à l’honnêteté, c'était ce qui gardait une relation sincère et franche envers une personne, amoureuse comme rivale.
-Vous aurez été honnête avec moi dès, le départ, rien tout cela serait arrivé. Une phrase comme " on ne peut pas être ami " vous aurait tué ? Moi cela m'aurait suffit pour vous ignorer et continuer ma vie ! Hurla-t-elle.
Suite à cette phrase, Lucia l'avait giflé et l'avait embrassé. Elle ne se comprenait pas elle-même, mais elle laissait son corps parler à sa place, toute cette tension sexuelle l'avait poussé à le faire d'une façon violente, ardente. C'était la première fois, qu'elle voulait tuer un mec autant que le baiser avec ardeur et passion. Elle t'avait plaqué et elle s'était mise sur toi, mouvant son corps contre le tiens, se frotter contre des muscles, lui procurait du plaisir comme jamais auparavant. Sentir ton corps se mouvoir en harmonie avec le siens, c'était jouissant, et affolant à la fois ! Que faisait-elle ? La pièce se chargeait de cette chaleur érotique et charnelle ! Une tension électrique et enivrante l'assaillaient et la rendait comme un brasier infernal, qui s'échauffait au moindre mouvement contre ta peau. Ses lèvres venaient embrasser les tiennes dans un baiser violent, ardent.
Elle venait enlever ton haut, le déchirant vers le bas sans s'apercevoir que face au désir impatiente. Ils étaient encore habillés mais Lucia voulait te sentir en elle, sentir ton bassin se mouver allant plus profondément en elle comme elle aurait jouir de ressentir cela à nouveau. Cela faisait tellement longtemps qu'elle n'avait pas couché avec un homme, cela lui manquait terriblement, ses mains venaient griffer ton torse comme un chat le ferait face à sa proie, ses lèvres mordillant ton cou. Oui, elle te voulait terriblement. Elle voulait que tu la baises autant qu'elle voulait te tuer, c'est à dire, jusqu'à la folie !
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Mer 24 Juin - 20:03
Si j'accepte de prononcer cette phrase, ces quelques mots. Cela signifie que je renonce à une femme qui me plait, quelque part mon cœur m'ordonne de ne pas commettre cette erreur. Il faut donc trouver une solution, pour lui faire comprendre que je ne veux pas retomber amoureux d'une personne, d'une femme, aussi magnifique. La douleur est beaucoup trop oppressante, et présente pour pouvoir y faire abstraction, même pendant quelques temps. J'ai impression que le cauchemar recommencera avec une prochaine femme, qui me fera croire qu'elle m'aimera, pour m'abandonner en retour. Et comment suis-je censé répondre à ce qu'elle me demande indirectement ? Honnêtement, je ne suis pas encore incapable d'avouer mes sentiments, ou même qu'une femme me plait. Cela donnera l'occasion de mieux me manipuler, me contrôler, et me briser comme mon ancienne femme. Il en est hors de question. Il doit bien avoir un moyen pour pouvoir répondre à sa question, non ? Je grimace légèrement, même si mon cœur me hurle, m’aboie d'avouer la vérité, comme pour accepter de tourner la page sur mon ancienne romance. Comme une envie de libérer mon cœur d'une vérité beaucoup trop douloureux, beaucoup trop lourde.
« L'honnêteté ? Vous savez ou m'a mené l'honnêteté ? Au divorce ! Alors je n'en veux pas de votre honnêteté ! » hurlais-je de mécontentement. « Ou peut-être qu'après tout vous êtes comme elle ! » me méfiais-je de cette femme qui semblait me montrer que non.
Je grimace de mépris quand elle me frappe, avant que je prolonge le baiser qu'elle me donne, langoureusement, sauvagement, et amoureusement. Un ébat culminant, enflammé, dangereux, elle me plaqua, en se mettant sur moi pour mieux mouvoir son corps magnifique contre le mien. Qui frisonne d'autant de plaisir, de désir contre cette femme envoutante, qui comblait mon cœur qui semblait en redemander toujours. Mes lèvres prolongent son prochain baiser, aussi violemment, qu'elle me le donne, en y mettant de la fougue, et de la sauvagerie pour animer cet ébat dangereux. Elle me déchira mon haut, d'un coup, en oubliant qu'on porte encore nos vêtements. Que je me fais un plaisir de balancer son haut, en m'attaquant au soutien gorge. Je gémis de douleur et de plaisir quand elle me griffe mon torse, pendant que mes mains massent activement, fermement sa poitrine, qui me donnait énormément envie. Là à ce moment mes pensées sont confuses, ma raison tombe en morceau, mais m'ordonne de me venger, pendant que mon cœur me contrôle presque complétement.
La jambe remonte pour frotter son entre-jambe, par de coup sec et violent, venant remonter une de mes mains pour pouvoir empoigner ses cheveux d'un coup, tandis que ma bouche s'occupe de mordre sauvagement, sensuellement son cou qui m'attendait. Je gémis à chaque coup que je donne, et à chaque préliminaire que nous échangeons. Cela en est même de vrai la torture, tellement mon envie de faire qu'un devient même irrésistible, irrévocable, même après m'avoir promis de plus recommencer. Le plaisir m'envahit de plus en plus, rapprochant mes gémissements, me donnant envie de monter au septième ciel. J'ai tellement envie de la prendre, de la sentir en moi, que ca devient même une obsession.
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Mar 7 Juil - 14:39
L’honnêteté est une signification de l'amour. Il fallait être honnête envers l'un et l'autre, ou même avec nous même, pour former un respect dans une amitié ou même dans un couple amoureux. Sans l’honnêteté, on était seul pour toujours. Le couple était voué à l'échec avant d'avoir commencé. C'était ce qu'elle disait. Ta femme n'avait pas été honnête avec toi, et c'était entièrement sa faute. Pourquoi devait-elle payer les erreurs de cette femme qui n'avait aucun mérite et qui était une sale garce ? Pourquoi devait-elle être haïe par un homme à cause d'une femme qu'elle n'avait jamais vu. Elle ne connaissait pas cette femme mais si elle la croisait. Elle lui dirait deux mots ou même trois avec son poing. Il fallait pas croire mais Lucia était une femme qui savait se battre. A Cuba, fille ou garçon, c'était même une obligation d'avoir l'esprit combatif, de savoir se battre pour mieux survivre dans les bas quartiers de La Havane. Ah La Havane ! Petite capitale qui s'était figée dans les années 50, où les années ne se semblent pas s'écouler. Les maisons colorés, la douceur de vivre la journée, les personnes chaleureuses. Mais comme toutes grandes villes, derrière la beauté et la douceur de celle-ci se cachait son aspect le plus sombre , son aura la plus obscure. La nuit, c'était la décadence et la débauche qui prenait place dans les rues surtout en été à cause des touristes qui se fichaient bien de respecter la culture cubaine, bien que les cubains n'étaient pas tout blancs dans cette histoire.
-Je me fiche de ce que votre femme vous a fait. C'est un signe de respect envers les autres. Etre honnête vous aurait empêché d'être là avec moi en vous engueuler. Je ne suis pas elle ! Je suis Lucia ! Hurla-t-elle en le regardant.
Suite à ces paroles qui avait conclu la conversation. Les baisers devenaient ardents et sauvages. Comparé à l'autre ébats, il n'y avait pas de l'amour ou de la douceur. Non dans celui-ci c'était la passion et la sauvagerie à l'état pur. Oui, des griffures. Lucia gémissait en sentant tes mains sur sa poitrine mise à nue. Elle venait libérer ton érection en enlevant ton pantalon. Elle eut un gémissement de douleur en sentant tes mains se crisper dans ses cheveux noirs et ton coup sec dans l'entrejambe. la pièce se remplit de cette ambiance électrique, de cette chaleur intense qui rendait son désir encore plus ardent. Son bas-ventre s'enflammait avec ses mouvements de bassin sur toi. La jeune trentenaire n'écoutait que son corps, son coeur qui lui criait avec désespoir " Fais-le". Elle le fit. Lucia enleva ton boxer et embrassa ton torse. Tu enlevas sa culotte, la belle cubaine se retrouvait ainsi nue et venait même s'empaler sur toi dans un soupire de soulagement. Durant cette longue torture, elle n'attendait que cela, elle s'était vide. Maintenant que tu étais en elle, elle se sentait comblée absolument comblée. Lucia te dominait complètement et son regard noir rempli de désir et de domination, tu devais la laisser faire.
Lucia se mit à onduler du bassin, ses mains sur tes épaules dans une cadence lente et régulière. Sa respiration était irrégulière et saccadée, rauque par le désir. Le plaisir montait en elle comme une lave de volcan qui montait en fusion. La belle cubaine se sentait excitée comme jamais, désirée et dominatrice. Elle aimait dominer les hommes ainsi. Ses mouvements se mirent à accélérer sur toi, entrechoquant ton corps contre le tiens. Lucia continuait à te dominer encore et encore, elle aimait cela. Elle jouissait de sa position dominatrice sur toi. La belle cubaine montait en jouissance encore et encore.
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Dernière édition par Lucia Zembrano le Mer 15 Juil - 17:02, édité 1 fois
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Mer 15 Juil - 16:41
Le problème est qu'elle me plait, tout comme mon ancienne épouse m'attirait énormément. Les femmes sont les mêmes, montrant leur meilleur aspect, prouvant qu'elle ne ressemble à aucune femme, uniquement à elle-même. Ce n'est qu'une façade. Derrière chaque facette, on retrouve une personne différente, qui pose d’innombrable problèmes. Les problèmes, les menaces, les hurlements, pour terminer par nous manipuler. On se réduit à l'état d'une marionnette, obéissant sagement, s'inclinant docilement, pour protéger notre couple de sombrait comme beaucoup. Le cœur en morceau, écrasé par une femme qui s'est moqué de mes sentiments. Le choc on ne peut pas vraiment le surmonter, on doit s'adapter, recommencer, se reconstruire pour une « seconde chance ». La seconde chance, espoir de trouver un âme-sœur, de retomber amoureux comme pour notre premier amour. Le bonheur de partager des moments magiques, enchanteresse, comme celle d'un conte de fée. Je n'y crois pas vraiment, mon premier amour, m'a abandonné avec mon enfant, comment pourrais-je croire qu'une seconde chance existe vraiment ? Elle n'existe pas pour moi, en abandonnant l'amour, je renonce à retomber amoureux, et pouvoir donner une maman adoption à mon enfant, pour nous protéger. C'est ce que fait un homme quand son enfant pleure chaque soir, espérant que sa maman revient, ou quand il harcèle de questions à savoir le retour tant attendu de mon ex-femme. Qui ne reviendra pas, car justement elle n'a aucun amour pour son entourage. Victoria aime que la liberté, les hommes, et pouvoir être indépendante. Alors pourquoi m'avoir mener aux mensonges ? Pourquoi m'avoir donner l'espoir qu'on m'aimait ?
Je ne prend même pas la peine de répondre. Lucia ne comprend pas, ce qu'on ressent quand on est abandonné par quelqu'un. La douleur est comme un ouragan, emportant tout sur son passage, mon cœur ne peut supporter un poids supplémentaire. Le désir charnel, sauvage, s'empare de mon corps, sous cette haine dévorante, ardente qui me ronge de l'intérieur, voulant bondir comme un animal sauvage. On est complétement nu, elle, me chevauchant pour pouvoir prendre le contrôle, comme une dominatrice, quelque chose que je n'aime pas particulière, adorant dominer les femmes, comme n'importe quelle situation, pour avoir à mon contrôle. Lucia s’empale donc sur mon membre, me provoquant un énième gémissement. Ses mains sur mes épaules, m'indiquant une cadence lente et régulière, me cambrant par un immense plaisir, basculant ma tête brusquement en arrière. La cubaine accélère la cadence, ce qui rapproche mes gémissements, et me fait monter au septième ciel, doucement. Le désir, le plaisir s’accaparait de mon corps. Mes mains griffent le long de la colonne vertébrale, mes gémissement deviennent plus fréquents, plus rauques, sous cette excitation qui me propulsait en direction d'un nouveau ciel. Elle me rend complétement folle, en réclamant davantage, ne voulant aucunement que ce plaisir se stoppe à tout moment, qu'importe que mon corps se trouve dépourvu d'énergie. Je commence à devenir accro de Lucia, comme une drogue qui me rend dépendant, même voulant plus qu'une simple relation basé uniquement sur le sexe, comme maintenant ou précédemment.
Je ne peux pas avouer comme ça. Et ma raison refuse que mes sentiments prennent le devant. Ethan quémande sa maman, comme chaque fois quand elle lui manque énormément. Le manque le rend malheureux, en contre partie, ça me rend impuissant comme je ne peux pas ramener mon ancienne femme, étant donner qu'elle a décidé de recommencer. La vie est beaucoup trop injuste par moment, même si mon cœur demande, de recommencer, de donner une chance à cette femme. Qui est sur le point de me donner l'orgasme que tout le monde va entendre prochainement. Je me met à jouir sous le plaisir immense, qui me prend, quand je monte au septième ciel. Mon corps retombe lourdement sur le banc, en essayant de reprendre une respiration régulière, pour pouvoir t'embrasser amoureusement, selon la demande de mon cœur.
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Sujet: Re: **Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~ Mer 15 Juil - 17:34
Elle accélerait ses mouvements toujours, elle continuait à se faire plaisir , à dominer les hommes. Elle était une cubaine, une femme fière et forte. Elle s'était fait abandonner par sa mère. Elle avait souffert de l'absence trop répété de sa mère. Mais si elle avait été absente autant, c'était pour elle, pour qu'elle ne manque pas trop de rien. A Cuba, on manquait de tout même de l'essentiel. Même d'une mère présente et attentive pour son enfant. Lucia avait été élevée par les autres mères de son quartier, de maisons en maisons jusqu'à ce que sa mère la donne à son père pour l'emmener loin d'elle. Elle ne l'avait jamais revu vivante après ce jour. La petite fille n'avait pas pu dire au revoir à sa mère. Il ne fallait pas croire mais cela jouait sur un enfant, cela le faisait douter d'eux, ou même cela les hantait. Lucia se souvenait de son enfance dans les favelas de La Havane. Elle n'était même pas allée à l'école tellement qu'elle était pauvre, c'étaient les mères qui lui avaient appris à lire, ou même à compter. Mais ce fut à l'âge où son père l'avait pris , qu'elle était allée à l'école. A 8 ans. Elle se souvenait de la solitude , des jeux avec les autres enfants, que les mères la gardaient longtemps , voir tardivement la nuit. Sa mère n'avait pas été là pour la voir grandir, l'éduquer. Ce n'était pas vraiment un abandon ! Mais on pouvait le sentir ainsi. Sa mère parfait trop souvent , car l'argent était la faim et que sa fille était gourmande. Elle lui en avait voulu longtemps à sa mère malgré l'amour qu'elle portait à son père, elle en avait voulu que sa mère la fait partir avec lui sans la retenir mais en grandissant , elle avait finalement compris que sa mère avait fait la meilleure chose pour elle, la chose la moins égoïste et c'était même elle , qui lui avait servi d'exemple. Sa mère avait été une bonne mère malgré les absences, qu'on avait l'impression qu'elle n'avait été qu'un fantôme dans son enfance. Mais elle avait tout fait pour que sa fille soit heureuse quitte à se tuer à la tâche, qu'elle la haït ! Sa mère avait la meilleure mère qu'on puisse avoir au monde et elle priait que celle-ci soit fière d'elle maintenant.
Lucia continuait son rythme montant au septième ciel à chaque coup de reins. La belle cubaine gémissait, lorsque leurs corps s'entrechoquaient dans un bruit évident, les mouvements de ses hanches s'entrechoquaient avec les tiennes. Elle adorait cette position de dominatrice, de dominante. Oui , elle était une cubaine et même si sous ses airs de dominatrice et de femme confiante, se cachaient une femme fragile qui avait beaucoup souffert par la vie qu'elle avait eu. La misère, l'abandon, la solitude, le mal du pays qu'elle avait eu et qu'elle avait encore quelque peu. La mort de ses parents, le fait de voir son père bien-aimé mourir dans une agonie totale sous ses yeux. Mais même lorsqu'il est mort, il chantait sa chanson, la chanson de Lucia. Il avait voulu la rassurer en chantant sa chanson avec un sourire afin de la rassurer mais il fut mort à la fin de la chanson. Elle se souvenait de son dernier souffle avant de mourir. Elle avait été le dernier mot qu'il avait prononcé. Trop occupée à se rassurer, à ce qu'il la rassure, elle n'avait pas pu lui dire "adieu" et ce qu'elle ressentait pour lui comme pour sa mère, cela jouait beaucoup sur elle. Elle était même en dépression face à la grande tristesse. Elle était devenue une orpheline qui avait beaucoup eu de regrets. Elle jouit d'un orgasme puissant, sortant un râle rauque dans ton cou. Haletante, elle se retira et reprenait son souffle avant d'enfiler ses vêtements. Pourquoi avait-elle fait cela ? Il allait gâcher sa vie avec ses rumeurs ! Pourquoi avait-elle couché avec lui ? Encore une fois ? Lucia te lançait un regard suite à ce baiser, un regard noir.
-Je dois partir ! S'enquit-elle en se rhabillant et se recoiffant avant de sortir sans un regard pour lui.
Qu'est-ce qu'il avait d'elle ? Pour qui se prenait-il ? Tout ce qu'elle savait , c'était qu'elle s'était fait avoir et elle s'en mordait les doigts !
AVENGEDINCHAINS
FIN Du RP
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**Hot** Who He Think He Is ? Look At What You've Done To Me ~ Liam & Lucia~
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