On commet beaucoup d'erreurs, pour ne pas dire énormément. Certaines pour nous protéger. D'autres par habitude, comme un réflexe qu'on arrive tout bonnement ne pas à changer. Le summum, les sentiments nous poussent à se comporter comme des hommes, raisonnables, honnêtes. La preuve je me suis réduit à assumer les conséquences d'une rumeur. Oui, elle n'est pas fondé, et probablement a causé beaucoup de mal. Le retour en sera que plus destructeur quand on apprendra mon licenciement. Je ne sais pas comment je vais annoncer mon départ à Eliakim, ou même mon chômage. Là pour moment, il m'a seulement exclus pendant une semaine. Un peu comme un adolescent qui commet une erreur impardonnable, et qu'on lui donne une incorrigible leçon.
Une semaine. Le temps de mon exclusion. Sept jours à m’emmerder dans mon appartement. Trois jours à me préoccuper uniquement de mon garçonnet, de mon bonheur. Le seul côté positif de mon interminable vie d'enseignant et d'ancien militaire. Disney Land. Un énorme cadeau pour retrouver mon garçon comme auparavant. Il me l'a imploré récemment pour son anniversaire. Je prend mon porte monnaie, en observant une ancienne photographie, de mon ancienne femme, et de mon bonhomme. Je la déchire d'un coup comme pour me prouver que j'ai recommencé. Que mes sentiments m'ont emporté auprès d'une femme remarquable, aimante, avec beaucoup de tempérament. Ça malgré beau nombres de mes bavures, de mon mauvais comportement à son égard, principalement pour me protéger. Il est maintenant beaucoup trop tard. Je pioche mes clés de la poche de mon pantalon, pour commencer à entreprendre le chemin pour mon automobile, avant de m'apercevoir que Lucia avait quand même été tenu au courant par quelqu'un.
« Je n'ai pas le temps. » prévenais-je que mon temps était vraiment limité, que je devais récupérer mon garçonnet.
Je ne croise pas son regard. Cela ne ferait que provoquer inévitable, et me fera perdre beaucoup de temps. Lucia. Suis-je le même homme ? Oui en quelque sorte. Je ressens mon organe, cogner durement contre ma cage thoracique, menaçant d'exploser à tout moment. Ce qui me procure ce sentiment. Ça depuis que nos cœurs sont scellés ensemble, qu'elle a déniché la clé pour la préserver précieusement. Lui avouerais-je mes sentiments ? Je suis pas un homme qui se confie. Je suis forgé pour contenir énormément d'informations, et les conserver prudemment. Les sentiments m'ont beaucoup changé, m'ont métamorphosé, en cet homme méprisant, repoussant, qui provoque énormément de problèmes. Là on peut même dire que je lui ressemble énormément. Le digne portrait de mon paternel. Le même homme que je méprise, qui m'insupporte, et qui me hante comme un mauvais cauchemar. L'image revient comme un rappel, comme dit un proverbe « tel père, tel fils ». Il est préférable que mon garçon reste uniquement avec ses grand-parents pour se protéger.
La brune compte vraiment me soutirer des informations. Elle me suit depuis un moment. Qu'est-ce qu'elle ne comprend pas ? Ce n'est pas le moment de se provoquer. Mon regard océan plonge dans celui chocolat de la magnifique femme, pour écouter son commentaire, comme elle semble tellement à se préoccuper de mon comportement. Je suis vêtu d'une chemise à carreaux, recouverte par une veste en cuir, et un pantalon de couleur noir, qui me donnait un air de mauvais garçon, plaisant énormément aux femmes. La seule personne que je vais retrouver en ce moment c'est mon garçon. Il n'y a aucune femme qui me plaisait, ou seulement la magnifique enseignante. Je soupire en décidant de me stopper, pour pouvoir me retourner. La discutions va probablement durer un moment, donc autant commencer maintenant.
« Qu'est-ce que j'ai fais ? » demandais-je en soupirant, « Allez balance ! Tu en meurs d'envie ! » soufflait-je, en roulant des yeux en me préparant à me faire engueuler par la femme que mon cœur éprouvait des sentiments.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Dim 19 Juil - 0:12
Lucia n'avait pas compris, ce n'était pas normal. Que s'était-il passé ? Un jour, elle était menacée d'expulsion même si elle avait eu honnêtement sa nationalité anglaise et d'un autre jour, tout était réglé. Elle n'avait pas compris mais avait finalement continuer sa vie normalement en se rongeant les ongles pour comprendre ce qui se passait. Les journées étaient longues, qui avait pu porter le chapeau à cette rumeur raciste et horriblement injuste envers elle ? Lucia était une bonne enseignante qui était accro au sexe mais avec des personnes adultes et consentantes, non des élèves. Accro au sexe, oui elle était, c'était comme une maladie. Elle en avait déjà voulu s'en guérir de cette maladie, il y a 4 ans de cela mais il avait fallu qu'elle rencontre Eliakim, qu'elle le trouve mignon pour finir faire une soirée normale entre copain. Elle s'était pensée assez forte dans sa lente guérison pour faire un repas entre amis, simple amis. Mais non, sa maladie l'avait rattrapé et elle avait fini dans son lit. Lucia n'en voulait pas à son ami, il n'y était pour rien, il ne savait pas et il avait un peu près la même maladie en quelque sorte. Elle s'en était voulue mais elle aimait ça, elle aimait que les hommes la touchent. Lucia ne savait pas pourquoi elle adorait cela, comment cela avait commencé ? Elle pensait que cela remonte à ses 15 ans, quand elle avait perdu sa virginité d'une bien triste manière et que cela l'avait laissé frustré pour le restant de sa vie. Avec ses ex, cela avait empiré les choses ! Un, dealeur de drogue et qui détournait des fonds, un autre qui la violentait, en lui foutant des baffes pour un regard , pour un oui ou un non. Et il y avait des hommes qui la trompaient. Beaucoup de fois, Lucia avait perdu confiance aux hommes mais cette addiction la poussait à continuer de les côtoyer. Encore et encore, sans jamais s'arrêter, cette maladie la rongeait.
Cette addiction la rongeait de part en part encore et toujours. Lucia était même tombée enceinte mais elle avait fini par avorter à cause de son ex qui la violentait et qui ne voulait pas d'enfant, en tout cas pas le siens. Elle savait que ce bébé, de garder ce bébé était une cause perdue , qu'elle allait le perdre à cause des coups de son conjoint, ou qu'il allait vivre dans la violence et l'abandon, ce qu'elle en voulait car elle a souffert de cela , étant petite. Elle avait fait cela pour lui et elle est remontée. Elle s'était faite à l'idée d'avoir fait cela, et tentait de se pardonner cela. Elle vivait avec l'idée qu'elle avait tué son enfant, qu'elle a fait ce choix mais elle s'était dite qu'au moins, il n'a pas eu sa vie, cette horrible vie. Une mère soumise à un mari violent avec elle et leur fille. Ce n'était pas un cadre idéal. Ainsi lorsqu'elle a le temps, elle va allumer des cierges pour ses parents et son enfant perdu. A l'Eglise, elle se sentait en paix avec elle-même et ses douleurs. Cette addiction était laissée à la porte en ce lieu sacré. L'esprit Saint lui faisait toujours du bien, la détendait doucement. Lucia adorait les honorer quelque fois, pour se faire pardonner et leur montrer qu'elle les aime malgré qu'elle les aurait pu leur vouloir.
Au bout de 3 jours, Lucia avait fini par l'apprendre de la bouche du directeur lui-même. Elle avait réussi à connaître son adresse grâce à Eliakim. Lucia avait marché jusqu'à l'adresse indiqué. Vêtue d'une belle robe bleu claire, de talons et d'une veste en jean. Elle était coiffée de ce même carré qui mettait en valeurs son magnifique minois latin. Elle était prête à en découdre avec toi, à essayer de mieux comprendre ce qui se passait. Elle te vit, mettre des bagages dans ton coffre et la curiosité la frappait aussitôt. Tu n'étais pas viré, Lucia l'avait rassuré. Elle s'arrêtait ignorant ta réflexion sur le temps. Il fallait qu'elle comprenne ce qui se passe. Un jour, tu lui fais la guerre comme pas possible, la baiser comme elle adore l'être, ardemment et passionnément. La discriminant à cause de ses origines et là, t'as fallu te faire virer pour elle là. Une incompréhension totale. C'était ce qu'elle voulait, te comprendre. Elle ignorait ton ton et ta nonchalance. Elle eut un soupire et s'avança vers toi.
-Je veux comprendre ton comportement vis-à-vis de moi ! Tu me discrimines, tu m'humilies, tu me baises et là tu me défends au risque de te faire renvoyer ! S'enquit-elle en le regardant, croisant les bras sous sa poitrine. Je t'en remercie vraiment mais comprends-moi, ajouta-t-elle en murmurant doucement.
Lucia se rapprochait de toi, te regardant dans les yeux, elle était sincère et elle espérait que ce coup-ci , que tu le sois avec elle. Que tu arrêtes de jouer au con avec elle !
-Sois sincère au moins pour cette fois avec moi !
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Lucia Zembrano le Lun 20 Juil - 13:49, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Lun 20 Juil - 11:10
Comment a-t-elle eu mon numéro ? Quel est idiot qui donne mon adresse à n'importe qui. Eliakim. Pourquoi il se met en tête de vouloir régler mes problèmes sentimentaux ? Je m'en sors parfaitement. Le problème concernant la rumeur est maintenant réglé. Un licenciement pendant une semaine pour avoir commis une faute professionnel. Le tout pour avoir mélangé ma vie professionnel avec ma vie personnel. Les femmes me causent énormément de problèmes. J'en suis pourtant retomber amoureux. Ou est mon problème ? Je commet les mêmes bavures qu'auparavant. Le fait de se provoquer, d'envenimer notre relation, de coucher ensemble, cela a provoqué que l’inévitable, mon cœur renait comme par enchantement. Le manque d'une femme a fait énormément de dégâts, à mon garçonnet. Les soirs, il s'effondre complétement, tombant littéralement en larmes, en hurlant son prénom à plein poumon, espérant qu'elle entende son appel, son manque. Il me questionne concernant le retour tant attendu de sa maman, et pourquoi elle travaille énormément, sans même penser à revenir à la maison avec moi. Elle ne m'aime plus, elle m'a simplement abandonné, pour retourner avec un homme. La même qui prétendait vouloir recommencer, pour pouvoir se décharger des « responsabilités ». Oui, on était comme un fardeau pour mon ancienne compagne.
Je replonge dans la même drogue, qui m'a rongé comme un poison, qui m'a rendu dépend, qui m'a complétement achevé. Qu'est-ce qui me prend ? Oui, qu'est-ce qui me prend de vouloir ressusciter d'anciens démons, en recommençant d'aimer une femme. Le proverbe a bien raison « le cœur a ses raisons, que la raison ignore ». La raison m'a encouragé à m'éloigner des femmes, pour me protéger d'une énième douleur. Je retombe tout droit dans le piège d'une femme, en couchant ensemble, en se provoquant, comme des animaux sauvages. J'aurai du peut-être ne pas commencer. Il est beaucoup trop tard maintenant. Les avouer est une chose impensable. Je ne me sens pas prêt pour replonger dans une romance chaotique, destructrice. Qui ne durera pas longtemps, pour pouvoir donner l'espoir à mon garçonnet. Les personnes ont besoin de changement, parce que les sentiments s'évaporent, les disputes s'enchainent, les promesses s'envolent, les personnes se blasent, pour terminer par une rupture explosive, qui marquera beaucoup leur entourage. Qui me dira que cela sera différent ? Qu'elle ne va pas vouloir recommencer. Qu'elle va pouvoir se contenter uniquement d'un seul et même homme. Qu'elle ne va pas me tromper, ou même m'abandonner comme mon ex-femme. Tellement de questions me hantent, me tiraille même l'esprit à coup de tronçonneuse. Comment y répondre ? Les femmes répondront ce qu'on aimera entendre. Et non ce qui va prochainement se produire. Le temps seulement nous le dira.
Elle veut de l'honnêteté. De la sincérité. Lucia va donc avoir ce qu'elle souhaite vraiment. Qu'elle ne compte pas sur moi pour davantage me dévoiler. Il en est hors de question. Je ne déclarerai pas mes sentiments ouvertement. Il ne manquerai plus que ça. Je me recevrai un énorme vent, ou même se moquera de moi. Cela me révolterai. Je ne désire pas m'expliquer mon comportement, ou comment tout à commencer. Lui dire qu'elle me plait beaucoup comme mon ancienne épouse. C'est impensable. Je ne demande pas à comprendre. La seule personne qui compte c'est mon garçonnet. Qui doit beaucoup s'impatienter à ce moment pour retourner à la maison. Ensuite on ira quelques temps en voyage pour pouvoir rencontrer les personnages de Disney. Le rêve de tout enfant de son âge en même temps. Cela me fait énormément plaisir.
« Tu veux que je sois honnête ! » soufflais-je à devoir encore m'expliquer comme un enfant. « J'ai changé. Il n'y a rien d'autre à savoir. » avouais-je sans déballer mes sentiments clairement.
Loin du cœur. Loin des yeux. Cela sera beaucoup mieux pour nous deux. J'ai besoin de recommencer. Un nouveau départ. Le séjour en famille avec mon garçonnet, sera probablement le « déclencheur ». Il n'y a pas mieux que l'entourage pour recommencer. Le sourire de mon garçon me guérira d'un grand nombre de souffrances. Je range convenablement pour économiser un maximum d'emplacement. L'ancien doudou de mon bambin comme porte clé, pour me donner un minimum de courage. Il est comme symbolique pour moi. C'est comme un remontant. On le comprend quand on vit en compagnie d'un enfant, quand on le voit évoluer, devenir un bonhomme qui pose beaucoup de questions, qui réclame énormément d'amour. Il n'y a pas de plus merveilleux cadeaux au monde qu'un enfant. Je l'ai découvert quand elle m'a donné comme enfant, mon merveilleux garçon. Il est plus important que n'importe quelle femme, ou n'importe quelle personne.
« Autre chose ? » questionnais-je en posant chaque main sur mes hanches, attendant de terminer rapidement.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Lun 20 Juil - 15:08
Lucia ne te comprenait mais en même temps, elle était tellement têtue que ta réponse ne la satisfaisait pas mais devait-elle s'habituer à ce que les hommes la repoussent , s'étonner de cela ? Pourquoi devrait-elle ? Après tout ses ex-petits-amis avaient raison sur elle. Elle était une femme masochiste qui aimait souffrir dans des relations instables. Qu'elle aimait chercher des problèmes. Ta vie n'a pas été comme tu l'as souhaité, la sienne aussi mais elle n'était pas en train de jouer à la conne comparé à toi. Bien qu'elle était quelque peu dans la situation. Oui, elle avait été éprise de remords après qu'elle te quittait, après que la dispute, qu'elle te baisait ardemment , avec cette même haine, cette même colère qu'elle avait sur ses ex. Tu la haïssais mais tu couchais avec elle comme jamais personne ne le faisait, tu la touchais comme aucun mec n'avait su le faire. Elle était peut-être malade, masochiste mais c'était dans tes bras qu'elle voulait jouir, dans tes bras qu'elle se sentait satisfaite ! Dans tes bras, qu'elle voulait guérir de cette addiction, de cette maladie qui la rongeait depuis ses 15 ans. Après tout, les gens aimaient le cliché de la femme latine super chaude dans leur lit mais pas dans leur vie. Sa vie n'a pas été de tout repos, une enfance où elle était seule et pauvre, ayant été à l'école à partir de ses 7 ans, des moqueries, des rumeurs mais la tienne l'avait blessé car ce qui s'était passé à l'école primaire, ce n'était que des enfants, ils étaient des adultes qui adoraient seulement se tabasser et se baiser violemment en même temps. Mais au fond, s'aimaient-ils ou se haïssaient-ils ?
L'amour pour Lucia n'était qu'un sentiment éphémère. L'amour était comme un oiseau d'été, toujours vite envolé. La belle latine ne l'avait jamais connu avec des hommes, ni même avec des femmes. Cela a toujours été qu'une question de sexe plus ou moins. Oui tout comme les jolies petites filles, Lucia avait cru au grand amour au point de s'en mordre les doigts. Lorsqu'on était adulte, l'amour était quelque chose rempli de confusion. Des troubles. Il n'était pas facile comme dans les contes de fées. Il n'y avait pas eu de princes charmants dans sa vie seulement des fous fourbes. Ils étaient beaux et jouaient de leurs atouts. Ils avaient du charmes mais au fond ce n'était que des crapauds déguisés en prince charmants, des dealeurs, des hommes violents, des hommes qui détournaient des fonds et qui se servaient de sa couverture sociale pour cacher leurs méfaits. Elle n'avait été qu'un jouet, la bomba latina à leurs côtés, Lucia était belle et intelligente, mais les clichés dont les gens faisaient preuve envers elle, ternissait sa beauté éclatante. Après tout, elle avait été une jeune femme triste et endeuillée par la mort de son père, ils l'avaient utilisé mais tout s'était réglé d'une façon dure. Elle n'était pas pressée qu'ils sortent de prison. Mais ils étaient à l'ombre pour longtemps encore. Elle aurait le temps de faire sa vie et se faire oublier par eux. Ces hommes l'avaient fait perdre espoir et même en l'amour mais tu étais là et malgré que tu étais con, tu n'arrivais pas à leurs chevilles. Au moins, toi tu avais connu l'amour et ses blessures, c'était ce qu'elle avait connu au moins 4 fois !
4 fois , de plus en plus douloureux pour elle. La dernière fois, qu'elle fut en couple fut la pire. Il avait réussi à lui faire tout perdre. Sa vie, sa dignité , ses valeurs et même son bébé. Il la frappait et il avait réussi à lui faire perdre confiance en elle. Lucia avait perdu son bébé pour lui. Toi, au moins, tu avais gardé ton enfant, tu avais gardé la seule personne importante qui doit l'être dans ta vie. De ne pas être aussi stupide qu'elle. Elle avait perdu l'espoir en l'amour mais avec toi, tout semblait différent. Elle ne savait pas si c'était positif ou négatif mais elle faisait confiance à son instinct, de ne pas jouer à l'imbécile comme d'habitude. Une dernière chance qu'elle pourrait donner à l'amour. Elle venait mettre les mains sur les hanches en levant un sourcil interrogateur, son regard de biche était curieux et te regardait fixement sans sourciller une seule seconde. Pourquoi changer ? Cette réponse ne lui convenait pas du tout. Vraiment pas du tout, tu pouvais changer en bien ou en mal, cela ne disait rien sur ce que tu as fais. Autre chose ? Lucia eut un sourire en regardant ta voiture et toi, vêtu ainsi tu l'excitais et sa maladie reprenait presque le dessus sur sa raison et sa venue ici mais elle secouait la tête. Non, plus coucher avec toi, ni baiser , ni autre pas tant que cette relation, n'aurait pas été mis au clair par eux. Ils étaient des adultes et ils devaient se parler franchement et sincèrement pour avoir une solution réfléchie entre eux. Un marché même ! Il fallait savoir ce qui se passait entre eux, ce que c'était ses sentiments pour mieux se comprendre, pour mieux réfléchir, pour savoir s'ils pourraient former un " nous " ou pas ? Ou que cela n'était que de la haine. Mais au vu de ce que tu venais de faire, Lucia ne comprenait vraiment plus où ils étaient réellement ! Ils se haïssaient ou s'aimaient ? Mais pour l'heure , il fallait qu'elle sache la vérité, ce que tu ne semblais pas vouloir dire. Cela l'énervait profondément même l'agaçait complètement.
-Cela ne réponds pas à ma question ! Et tu le sais ! Dis-moi la vérité ! La vraie vérité ? Pourquoi as-tu fais ça ? Pour toi ? Pour moi ? Je ne cherche pas à te juger mais juste à comprendre, Liam, déclara-t-elle en venant se poster devant toi, ses lèvres à quelques millimètres des tiennes. Dis-moi la vérité, je ne comprends pas, je t'en prie, s'enquit-elle doucement en te regardant.
Luica te suppliait du regard, elle était proche de toi, ses yeux étaient plantés dans les tiens, quémandant la vérité. La vraie vérité !
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Lucia Zembrano le Mer 22 Juil - 17:20, édité 2 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Mer 22 Juil - 12:00
Je n'ai eu qu'un seul et unique amour. Victoria. Il a été comme tous les contes, magnifique, profond, quelque peu féérique. Puis il y a l'envers du décor, la destruction d'un couple, explosion des sentiments, le rendant beaucoup plus chaotique, plus dévastateur, comme une colossale tornade emportant tout sur son passage. Quatre ans. Elle dévoila après ça son véritable visage, une femme irresponsable, voulant changer d'homme comme de chaussettes, se désintéressant à son garçonnet. Qui pourtant, la réclame constamment, souhaitant des renseignements, pleurnichant sous le chagrin immense au départ de sa maman, s'impatientant de la retrouver dans le domaine familial, espérant vraiment qu'elle reviendra. Je suis impuissant, complétement désarmé, contraint de mentir à mon enfant pour le protéger. Si je ne signai pas son morceau de papier, le contrat de divorce, elle me retirera la garde de mon garçonnet, ensuite elle liquidera mes comptes. La brune n'a eu autre recours qu'employant notre enfant comme appât pour m'atteindre personnellement. L'erreur impardonnable qu'une personne irresponsable est capable, pour retomber dans les bras du prochain homme, qu'elle pourra manipuler comme un vulgaire pantin. Je m'en contrefiche, ce qui m'importe c'est le bonheur de mon garçon, qui a beaucoup de mal à se remettre du départ de sa maman.
Il faut conclure cette entrevue, sans néanmoins évoquer mes sentiments. Les sentiments ont semé plus de désagréments, que d’avantages dans ma vie personnelle. Je deviens le même homme que mon paternel, une personne mauvaise, dangereuse, maltraitant les personnes qu'il aime profondément. L'ainé est son portrait craché, même tempérament, même ambition, même représentation d'un homme. Il a été reniè de notre entourage, pour avoir eu un comportement déplorable, et m'envoyer loin du domaine familial, uniquement pour devenir un homme. Le premier fils nous a quitté pour regagner mon paternel, étant un homme comme lui. Ils sont insupportable, monstrueux, qui ne m'est pas envisageable de pouvoir partager un moment ensemble. Je n'ai qu'une envie de me venger du malheur ressenti pendant longtemps. Le mieux est que femme, comme mon gamin s'éloigne de moi, pour leur unique « protection ». Je risque de devenir un imminent danger. Et ça même si mon entourage en doute fortement, au vue de mon comportement.
On est relativement à proximité, que mon rythme cardiaque s'accroit étrangement, mon cœur a un rythme élancé, frénétique, comme s'il menaçait à tout moment d'exploser, mon corps se met légèrement à trembler, si je me retrouvai dépendant de cette femme, qui me rend dans un état complétement impitoyable, et méconnaissable. Je dois me reprendre sur le champ, mes sentiments ne doivent pas me contrôler comme une marionnette, c'est impensable, surtout maintenant que je veux recommencer. Oui, cela sera probablement douloureux de m'éloigner pendant un moment. Et ne plus voir son magnifique visage, ses yeux couleur chocolat, sa silhouette enchanteresse, ses provocations sauvages comme un animal s'apprêtant à.. Je ressens le syndrome de l'amour, ça me change complétement, et affecte mon comportement. Comment puis-je me guérir ? Il y a le risque de sombrer comme mon meilleur ami. Alice a complétement déserté, ne répondant à aucun appel téléphonique, en lui annonçant qu'elle a eu une « fausse couche » récemment. On est vraiment mal foutu. Lui avec sa femme, moi en proie à mes sentiments pour une femme. Lucia. Un magnifique prénom pour une femme qui en vaut les détours quand même.
« Plus de ça.. » ordonnai-je calmement, en posant mon doigt sur sa bouche. « J'essaye de m'en guérir. » soufflai-je doucement, en devant une explication. « J'insinue que la barrière entre mon cœur et les femmes a littéralement exploser. Oui, tu en es la responsable. » expliquai-je clairement, sans dire ouvertement mes sentiments.
Je donne un coup de téléphone, pour quémander à ma mère de pouvoir ramener mon enfant. Car j'aurai un petit entre-temps qui m'empêche de le récupérer maintenant. On compte cependant maintenir notre déplacement pour son anniversaire. Lors de ma réponse, pour montrer vraiment ma sincérité que cela n'est aucunement un mensonge. L'unique raison qui me pousse à l'empêcher de tomber amoureux. Je viens déposer doucement un baiser pour partager mes sentiments, avec douceur, sincérité, et beaucoup de sensualité, avant de pouvoir m'éloigner comme demander. La réponse semble tomber du ciel. Je me suis dénoncé uniquement pour elle. Et pour moi dans le sens ou elle ne pourra pas déménager maintenant. Je suis peut-être licencier mais cela me permet de passer un moment avec mon bonhomme. Il n'y a que du bonheur même si le prochain licenciement sera « définitif » espérons que cela ne recommencera pas.
« Pour toi. » marmonnais-je doucement en répondant à sa question.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Mer 22 Juil - 19:06
L'amour n'est pas féerique ni un conte de fées, il n'en est rien de cela ! L'amour n'est pas éphémère, on aime toujours une personne lorsqu'on l'a aimé une première fois. L'amour n'était qu'une question de sexe et d'attirance physique pour Lucia. Elle n'avait jamais connu l'amour d'un homme a part celui de son père et il en était resté très puritain. Ses aventures n'avaient été qu'une question de sexe , d'argent, de violence et même de drogue. Donc l'amour n'avait qu'un goût de drogue, d'addiction pour elle à tout cela, d'après ses connaissances. L'amour était comme de la bonne herbe qui nous envoyait divaguer dans des songes irréalistes. Cette herbe était tellement bonne qu'on en reprenait encore et encore, à en devenir accro jusqu'à en faire une overdose qui nous ramène à la triste réalité alors non Lucia n'avait jamais été amoureuse à ce point. L'herbe de l'amour nous empêchait de voir clairement mais elle avait tout vu. C'était écrit pour certains mais elle n'avait pas tout lu. Le fallait-il avant de se jeter à corps perdus dans une relation ? Non ! L'espoir venait de ce mystère sur les relations. Il fallait de l'espoir pour continuer à vivre. Elle se souvenait d'un de ses ex qui la rassurait avant de lui casser les côtes, il avait réussi à lui faire peur, à lui faire encaisser sans mot dire. Il avait réussi à lui faire croire des choses affreuses mais il lui avait fallu d'un homme pour l'en sortir ! Cet homme, elle avait cru l'aimer mais ce ne fut qu'un coup d'un soir pour lui, juste une latina belle et chaude pour une soirée. Un trophée dans sa collection. Une coucherie pour sa gratitude mais elle s'était trompée sur toute la ligne.
Oui, elle n'avait pas vécu de divorce, mais question souffrance dans un couple, elle avait été la championne sur ce coup. Maltraitance, Deal, Violence, Drogue, Sexe, Avortement. Elle avait été le cliché même de la cubaine désespérée et en manque d'argent. Il fallait bien admettre qu'elle avait plutôt bien réussi sa vie malgré sa vie sentimentale qui était partie en flambeau. Tu ne savais rien d'elle , de ce qu'elle avait bien vivre auparavant mais tu pensais souffrir, fais-toi maltraiter violemment par quelqu'un de plus fort que toi, fais-toi insulter et humilier, fais-toi avorter parce que tu n'avais que ce choix là pour ton bébé. Fais-toi manipuler comme jamais, utiliser. Tu comprendras ce qu'elle a bien pu vivre et tu verras que ce que tu as eu, n'était rien comparé à elle. Pourtant, Lucia ne jouait pas la conne qui a eu une horrible vie. Sa vie fut difficile, un peu horrible à certaines périodes mais elle se relevait et souriait face à son passé en lui adressant un doigt d'honneur et d'avancer. Même si la douleur était toujours présente, c'était une force de l'avoir. Grâce à elle, Lucia avait vécu pleinement et lui faisait comprendre ses erreurs. Elle n'allait pas rejeter ses sentiments, cela ne servirait strictement à rien de le faire. Tu pouvais jouer au gros dur, tu n'en étais pas un.
Tu venais poser un doigt sur ses lèvres et elle fronçait les sourcils. Elle n'allait pas t'embrasser seulement, elle voulait regarder plus profondément dans tes yeux pour savoir si tu lui mentais. Comme tous les autres hommes de sa vie , tous y compris son père lui avaient menti sans aucun scrupule. Ceci l'énervait et elle décida de jouer pour une fois la touche franche jusqu'au bout.
-Pour moi ? Vraiment ! Alors dis moi pourquoi pour moi ? Ne fais pas le con, Liam, dis la vérité que ça sorte ? Je te plais avoue-le, tu m'aimes et ne le nies pas ! Pourquoi cela te semble si compliquer de le dire ? Même là, tu ne joues pas la carte de la franchise avec toi-même , tu te fourvoies dans le passé, ce qui n'est jamais bon, ni pour toi, ni pour ton fils. Tu te mens à toi même et t'entraînes ton fils dans un mensonge, l'entraînant à espérer quelque chose qui n'arrivera plus jamais ! Alors non, tu ne me dis pas la vérité , tu n'es pas franc et j'en suis vraiment déçue. Si tu tenais à moi, ne serait-ce qu'à minimum, si t'aurais été un vrai homme, tu m'aurais dis la vraie vérité au lieu de me la faire deviner, déclara-t-elle en colère, furax.
Elle se tournait , évitant ton baiser , les bras croisé, sa respiration était frénétique et ses mains moites. Lucia serrait les poings. Tu n'étais pas un homme pour elle, juste un garçon perdu et égoïste. Aussi égocentrique, elle n'avait jamais vu cela de sa vie !
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Lucia Zembrano le Sam 1 Aoû - 16:01, édité 2 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Sam 25 Juil - 1:22
Le passé c'est mon ancien démon. Il me poursuit, me pourchasse comme un fantôme. Les voix me hantent comme pour me rappeler le cauchemar de mon enfance. Les mots sont bloqué dans ma gorge, m'empêchant de m'exprimer ouvertement. Les mêmes événements que mon ancienne femme avant qu'elle ne vienne à me frapper violemment, brutalement. Le déclic qui m'a permis de me débloquer. Je deviens comme cet homme, que je méprise ardemment, un homme colérique, violent, autoritaire, beaucoup trop stricte, et qui a beaucoup de mal à s'exprimer. Le seul et unique responsable. Il y a eu ma mère et ma sœur pour m'encourager. Le reste est qu'un enchainement d’événements dramatiques, et douloureux. Le rabaissement. Les moqueries. Les humiliations. La violence physique. Les engueulades. Le véritable calvaire. Ce qui m'a renfermé sur moi-même. La provenance de mon blocage sentimental. Ce qu'on semble vouloir me reprocher.
« Parce que je t'aime, bordel ! » m'énervais-je en me sentant comme obligé de répondre « C'est pire que ça.. Je croyais me débarrasser de toi en me comportant comme un con. Cela a tout compliqué.. » expliquais-je en serrant les poings fermement. « Car je suis comme mon géniteur.. » soufflais-je en détournant son visage.
Lucia prétend me connaître, cependant elle ne sait absolument rien. L'alcool. La déprime. Le suicide. C'était mon lot quotidien pendant ma rupture avec mon ancienne femme. Il a été confié à mes grands-parents, pendant quelques temps. L'armée m'a énormément manqué. J'ai même pensé à l'époque y retourner pour effacer mes sentiments, ma douleur, mon chagrin d'amour susciter par son départ précipiter pour retourner auprès d'un homme. La raison de mon comportement. Le visage légèrement bas, quelques larmes coulant silencieusement, mon organe compressé m’empêchant de respirer normalement, mes poings serrés fermement. Il a été le seul à me sauver de mon cauchemar, de me ramener à la raison, à m'encourager à combattre la douleur que sa maman m'a donné en s'éloignant. On s'est beaucoup rapproché depuis ce moment, ma vie a recommencé ensemble, avec beaucoup de haut, comme de bas, mais on sait maintenant qu'on sera toujours ensemble. Et qu'aucune femme nous séparera comme sa maman, on restera tout le temps unis, comme des power rangers !
Je ne peux pas oublier quatre ans. Ethan ne peut pas oublier sa maman d'un coup de baguette. Il appelle souvent, en hurlant quand y a un cauchemar, ou quand sa présence lui manque affreusement, déversant les larmes de son corps maigrichon. Comment oublier mon ex-femme ? Quand notre enfant y pense constamment. Le bonhomme a même découvert mes sentiments pour une enseignante. Oui, mon ancienne femme nous manque, est constamment dans nos mémoires. Elle est mon ex-femme, mon ancienne meilleure amie, la mère de mon enfant. Huit ans qu'on se connait. Huit ans qu'on a été ensemble, une amitié, une union quasiment « parfaite ». Ou me suis-je trompé ? Qu'on m'explique mon erreur. J'ai même quitté mon ancienne profession, me préoccupant uniquement de sa grossesse. L'imprévu ? On pimentait notre couple dans les relations sexuelles, ou même quand aux nombreuses sorties, qu'on s’octroyait pour pouvoir s'oxygéner quelques temps. Elle n'a manqué d'absolument de rien. Elle semblait même heureuse avec notre bonhomme. Comment a-t-elle pu provoquer le cataclysme comme ça ?
« J'ai peur.. » avouais-je avec beaucoup de mal « Quand ma femme a rompu.. J'ai me suis noyé dans l'alcool, en me plongeant dans la déprime, c'est mon enfant qui m'a sauvé.. » donnais-je comme explication, en soupirant longuement. « Je ne veux pas revivre ce cauchemar.. Ethan pleure les soirs, en réclamant sa maman, me quémander des nouvelles.. Comment puis-je l'oublier ? » demandais-je sans attendre une quelconque réponse.
La douleur me percute, comme un fouet, avec la même intensité, la même souffrance. Les larmes coulent comme un torrent, mes mains empoignent mes cheveux. La peur me submerge, me replongeant dans les méandres de mon ancienne vie. Impossible. Les souvenirs sont beaucoup trop encrés pour pouvoir recommencer. Lucia. Elle est comme scellée à mon cœur. Elle est constamment dans mes songes. J'ai envie de d'espérer à une « seconde chance » au bonheur, en amour, dans ma vie personnel, comme pour donner à mon enfant une deuxième maman. Il est beaucoup trop tard. Je me suis comporté comme un idiot pour me protéger. Les sentiments m'ont bloqué au point de vouloir éloigner la personne qui me plaisait énormément. J'ai commis des erreurs impardonnables, qui m'empêche d'avoir une rédemption. Je me délivre de mes chaines qui m'oppressent depuis longtemps. Je lui ouvre donc mon cœur pour permettre un échange équitable, honnête, et sincère. Sans nier mes sentiments. A cœur ouvert.
« Je t'aime » avouais-je clairement, sans aucune gêne, avant de conclure « Je sais qu'il est beaucoup trop tard. » terminais-je le débat, en laissant couler quelques larmes de mon visage.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Dim 26 Juil - 1:07
Il n'était jamais trop tard. Lucia n'avait jamais donné une seconde chance à ses ex mais avec toi c'était différent. Elle ne savait pas pourquoi elle faisait cela. Ton histoire la touchait. Cette femme, si elle la trouve, elle allait la tuer. Qui avait le droit de faire cela à un enfant, de le traiter comme une marchandise. Ce petit homme lui faisait penser à elle. Une petite fille qui n'avait rien compris mais qui était partie loin de sa maison natale, de sa ville natale, de ses origines natales. On l'avait arraché brutalement à sa mère et elle l'avait pleuré longtemps sa mère, tous les soirs, elle réclamait sa mère la nuit. Même si celle-ci avait été plus qu'absente lors de son enfance, sa mère venait le soir, lui faire un baiser et caresser sa joue d'une façon affectueuse en lui disant " je t'aime" à l'oreille lorsqu'elle pensait que sa petite fille dormait paisiblement et profondément. C'était cette caresse, ce baiser, ce murmure qui lui manquaient. La dernière fois qu'elle eut vu sa mère, c'était dans son cercueil. Elle avait versé des larmes. Lucia ne savait pas comment être une mère présente, elle adorait les enfants mais elle n'avait jamais pu vivre l'expérience de son adolescence avec sa mère, ni son enfance. Sa mère ne verrait pas tout ce qu'elle avait fait depuis que son père l'avait entraîné dans la voiture tandis que sa mère lui faisait un au revoir pensif, se retenant de pleurer. Elle savait ce que cela faisait de se sentir abandonner par sa mère, la sienne l'avait tout simplement fait.
La sienne n'avait pas pu vivre pour lui expliquer, pour se faire pardonner. Elle avait du partir avec des regrets, tout comme Lucia portait le regret d'avoir abandonner son enfant avant même qu'il soit né. Le regret de n'avoir jamais pu dire qu'elle pardonnait ses parents de leurs erreurs sur elle. Ils l'avaient fait par amour pour leurs filles. Elle se fredonnait la berceuse de son père qui l'avait composé rien que pour elle. Cette musique qui la berçait lorsqu'elle était en colère, qui l'apaisait, lui faisant rappeler des moments magiques entre elle et ses parents. Même si le sentiment d'abandon vivait encore en elle. C'était son père qui l'avait abandonné puis sa mère, puis son père. Elle se souvenait du drame qui avait causé la mort de son père. Il chantait sa berceuse avant de s'éteindre. Les hommes l'avaient pas épargné et son coeur s'était brisé avec ses parents et les hommes qui l'avaient malmené, battus, humilié et lui avait donné une maladie qu'était la nymphomanie. Oui, elle était nymphomane sur les bords et pas qu'un peu, c'était clair. Mais elle essayait de s'en sortir. Même si elle avait replongé, il y a quelques années de cela. Le sexe était essentiel presque vital, comme une drogue. Elle n'avait pas été aimée à sa juste valeur par les hommes alors elle cherchait autre chose chez eux. Le sexe à la folie !
Avec toi, ce n'était pas un plan cul, c'était une histoire beaucoup plus complexe que cela. De la haine, de la colère, de la souffrance et du sexe. Il y avait tellement de cela dans leur relation, dans les vestiaires, sur son bureau. Rien que d'y penser à ces souvenirs , elle se sentait excitée de recommencer à nouveau mais elle devait le cacher. Elle parlerait de ses problèmes une autre fois pour ne pas t'effrayer d'avantage. C'était fou ce qu'elle avait envie, là maintenant, mais il y avait le petit dans la voiture et elle ne voulait pas le traumatiser à vie. Lucia ne pouvait pas s'empêcher d'avoir une pensée de sexe, au moins plusieurs fois par jours. Lorsqu'on avait pas trouvé la perle rare, cela semblait normale de continuer à penser qu'à ça mais Lucia pensait l'avoir trouvé en toi mais elle n'arrivait pas à se contrôler, c'était plus fort qu'elle ! C'était comme un vieux démon qui adorait la torturer et lui donnait du plaisir à foison. Elle avait adoré être nymphomane, Lucia n'en avait pas honte mais si elle voulait avoir de la stabilité dans une relation, ce n'était pas en laissant libre court à cette maladie. Lucia ne devait pas laisser cette maladie prendre le dessus sur elle. Elle devait l'enfermer en elle et la soigner pour être heureuse, pour avoir un bébé, un beau mariage car c'était ce que son père aurait voulu pour elle.
La belle Lucia te regardait et finit par comprendre les démons qui te rongeaient. Elle connaissait mieux que quiconque ces démons qui vous prenaient le coeur, le rongeant. Et vous essayez de les oublier, de les rejeter sur les autres ou même d'en finir avec la vie. Lucia avait pensé à se tuer en voyant que sa vie n'était qu'un enfer et qu'elle avait tué son propre bébé pour ne pas qu'il ait sa vie minable. Oui, elle avait pensé à se tuer mais elle savait que cela n'aurait pas régler ses problèmes, qu'il fallait reprendre sa vie en main. D'envoyer tout le monde bouler, et de partir et de devenir ce qu'elle avait toujours voulu. Professeur d'espagnol dans la plus belle université britannique. Alors oui, elle avait eu du courage. Lucia était une femme courageuse et elle avait décidé de ne pas laisser ses démons avoir le dessus sur elle. Lucia s'approchait de toi, son visage aspirait à une profonde compassion, et tristesse en voyant que ce genre de démons même plus banales que les siens était dans le coeur d'autres personnes. Elle aurait préféré être une femme normale, sans démons, fade comme jamais.
Elle eut un sourire en t'entendant dire que tu l'aimais mais que tu avais peur. Elle venait caresser ta joue, même si elle voulait plus beaucoup plus avec toi. Mais tu allais partir et ton fils n'était pas loin, il fallait qu'elle se le répète pour ne pas craquer. Son pouce caressait ta joue d'un geste affectueux, ses yeux respiraient de la tendresse et de la compassion. Son doigt doux contre ta peau rugueuse et ta barbe naissante. Lucia sentit son coeur battre à la chamade comme jamais dans sa poitrine, la poussant à lui vouloir faire des conneries avec ton corps en ce moment. Mais ce moment n'était pas au sexe mais aux sentiments profonds et intenses qu'elle éprouvait pour toi. Etait-ça de l'amour ? Pouvoir pardonner aussi facilement ? Il semblerait bien que oui et Lucia adorait cela. Elle priait Dieu pour ne pas qu'elle gâche tout, avec ses démons et sa maladie.
-Je comprends, je sais ce qu'à fait, mieux que quiconque, crois-moi sur ça, donnons-nous une chance, une autre chance, Liam, s'enquit-elle avec un sourire et l'embrasser avec amour et passion, prenant ton visage en coupe pour approfondir ce baiser passionnément.
AVENGEDINCHAINS
Dernière édition par Lucia Zembrano le Sam 1 Aoû - 18:09, édité 2 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Mar 28 Juil - 13:10
This is the hardest story that I've ever told. No hope, no love, no glory, Happy endings gone forever more. I feel as if I'm wasted and I'm wastin' every day.
La sensation d'abandon. Le fait d'éprouver le manque d'une personne qu'on aime éperdument. L'impression que notre monde commence à tomber en lambeau, à s'écrouler. Le sentiment que se cauchemar va se répéter inlassablement, comme pour nous rappeler que les « happy ending » n'existe pas. Ce sont uniquement des balivernes, des mensonges pour assommer les adolescents, pour leur donner de l'espoir. Le jour ou elle a commencé à évoquer le changement, recommencer comme auparavant, comme pour ne plus dépendre d'une personne, et avoir aucune responsabilité. Le tout pour retomber dans les bras d'un homme. Le fait qu'elle m'a abandonné, a rompu définitivement, m'a donné quelques séquelles comme quiconque. Le summum, l'impardonnable, de négliger un enfant âgé seulement quatre ans. Qui rêve uniquement de retrouver sa maman, pour apprendre l'ampleur de ses sentiments, et recommencer ensemble comme une grande et magnifique famille. Le mensonge me permet de préserver mon garçonnet, d'une vérité insurmontable. Qu'elle m'a même menacé pour m'obliger, me forcer à signer le contrat. Je n'ai jamais voulu qu'on rompt. Le divorce est même hors de mes principes. Jamais je ne commettrai la même erreur que mon ancienne épouse. Il n'y a rien de plus important qu'un enfant.
Le regard légèrement pensif, divaguant pour observer mon bonhomme, mâchouillant son doudou fermement, pour pouvoir s'endormir pendant mon retour dans l'automobile. Les pensées se soucient principalement de son bien-être, et son bonheur. Le départ si soudain de sa mère l'a complétement bouleversé. Comment une femme pourra réparer les dommages qu'une autre a précédemment causer en l'abandonnant. La seule solution serait de remonter le temps pour recommencer comme auparavant. La supplier de ne pas abandonner notre garçonnet. Je signerai uniquement à cette « condition ». Je te demande pardon. Les yeux mi-clos, perdu, quand soudain, une main me caresse doucement, ressentir ce contact aussi bénin, me ramena de ma torpeur, m'empêchant de replonger dans les entrailles de mon cauchemar. Ils se noyèrent dans son regard chocolat, qui me fond littéralement sur place. Mon cœur battant frénétiquement, au contact de cette femme qui m'a complétement ensorcelée. Je ne veux pas rompre ce sortilège. Il est ma seule rédemption.
« D'accord. » acceptais-je, ne me rendant pas compte qu'une nouvelle romance débutait.
Je cède à la requête de mon cœur, en démarrant une nouvelle romance sentimentale. Je prolonge le baiser avec tout l'amour qui m'est envisageable de transmettre. Mes mains glissent dans son dos, discrètement, pour la rapprocher doucement. Je n'ai aucune envie de me séparer de son emprise, si bienfaisante, mais un message implorant de mon meilleur ami, requière toute mon attention, en me doutant qu'il a soudainement replongé. Demain. On devra s'empresser de regagner Disney. (…) Le bonhomme a moitié endormi, quémande à sa grand-mère de l'accompagner. Il prend sa main doucement, s'échappant de l'automobile, en venant nous interrompre, tirant légèrement sur mon pantalon pour accaparer toute mon attention. Le doudou a la bouche, le regard moitié endormi, en me marmonnant légèrement :
« Papa !! » me demande-t-il, en me regardant doucement, tendant doucement les bras. « On y va ?! » questionne-t-il, en commençant à bailler. « Oui, bonhomme. » rassurais-je doucement, en m'éloignant pour prendre mon garçonnet. « Je dois te présenter d'abord quelqu'un. » avertis-je, en la regardant amoureusement. « Je te présente Lucia Zembrano. Lucia, voici mon fils Ethan. » présentais-je. « Bonjour.. » salue-t-il, timidement, avant de la reconnaître en l'observant un moment. « Vous êtes l'amoureuse de papa ?! » demanda-t-il avec toute innocence du monde.
AVENGEDINCHAINS
Invité
Invité
Sujet: Re: because of you (lucia) Sam 1 Aoû - 18:10
Elle ne savait que dire, tellement qu'elle était heureuse de savoir que tu voulais rester avec elle, lui donner une chance. On n'avait juste cru en elle, on l'avait juste posséder, dominer mais jamais croire en elle, qu'elle pouvait guérir sa maladie datant de son adolescence. Lorsqu'elle avait perdu d'une façon misérable et minable sa vertu à l'arrière d'une voiture. Cela n'avait duré que 3 secondes. 3 secondes, où elle s'était sentie insatisfaite, même dégoûtée ayant mal à cet endroit si intime. On ne pouvait pas dire que c'était un viol, Lucia avait été consentante mais elle s'était sentie comme violer quelque peu. Le gars n'avait pas assuré, il ne l'avait pas touché , caresser, la faire sentir spéciale. Il avait été maladroit et rentrer violemment en elle. Elle avait perdu sa virginité d'une façon horrible. Sa première fois l'avait dégoûté du sexe, il fallait le dire ça comme ça. Lucia se demandait comment pouvait-on aimer ce genre de choses, qui faisait mal et durait pas longtemps. Ce fut sa deuxième fois qui l'avait fait adorer le sexe, qu'elle en était devenue vraiment accro. Lucia l'avait fait avec un autre de ses petits copains et elle avait adoré ça , elle avait adoré se faire toucher , se faire caresser, entrer en elle, que cela ne lui fasse pas mal bien au contraire. Elle avait ressenti du plaisir et son premier l'orgasme l'avait frappé. Sentir ce plaisir la griser, cette attention particulière sur toi. Lucia avait beau avoir été aimée par son père, il avait été trop dans son commerce pour bien faire attention à elle, d'être vraiment présent pour elle. Ils avaient une relation fusionnelle mais son père adorait beaucoup trop son travail, ce qui avait causé un fossé entre eux à l'adolescence. Comme toutes les filles, elle voulait des câlins, des bisous, une attention. Avec la fouguosité de l'adolescence, elle avait pratiqué le sexe très jeune, à ses 15 ans. Jeune pour le faire mais Lucia s'en fichait. Avec le temps, elle avait collectionné des conquêtes à son lycée, mais ce n'était que physique, elle voulait plus , beaucoup plus que cela, de l'amour. Elle s'était forgée une réputation et Lucia avait comprit qu'elle était nymphomane.
Elle eut un sourire, elle allait peut-être goûter à ce sentiment qui lui était encore inconnu avec un homme. Elle vit le petit sortir et elle eut un sourire et son instinct maternel réapparut vivement. Une cubaine avait cet instinct en elle, c'était inné chez elles. Elle venait doucement lui serrer la main en le regardant.
-Enchanté petit homme ! S'exclama-t-elle en te regardant avant d'avoir un petit rire . Oui en quelque sorte, je suis son amoureuse, ajouta-t-elle doucement.
Enfin c'était ce qu'elle pensait, après elle ne voulait pas se présumer quelque chose alors qu'il n'y avait trop rien d'officiel encore avec elle. Au bout de quelques minutes, elle venait embrasser ta joue et la sienne avant de sourire. C'était magique comme moment, elle était heureuse de savoir qu'elle allait avoir ce qu'elle voulait avec toi, plus que tout au monde. Elle voulait ressentir cet amour.
-Je vais vous laisser, vous devez aller quelque part,profitez-en bien. On se revoit bientôt, déclara-t-elle.
Elle venait t'embrasser sur les lèvres chastement avant de s'en aller, le sourire aux lèvres. Finalement, elle va peut-être commencer à croire aux fins heureuses, aux contes de fées.