(inachevé) Quelques points de suture (Emma)

Mon retour à Oxford, c'est à la fois bien passé et à la fois cela a été plein de rebondissement. En effet, j'ai pu faire des rencontres en tout genre et retrouvé ma meilleure amie de toujours, Daisy. Bien sur, j'avais aussi pu revoir la femme que j'ai longuement aimé et la revoir à raviver d'autant plus la flamme amoureuse que je ressens pour elle. Cela allait être compliqué pour la protéger sachant que j'avais déjà échoué la première fois, cela avait été un ravage, mon père avait fini par tuer sa meilleure amie. Aujourd'hui, je refusais que cela se reproduise ou pire qu'il mette fin à la vie de la seule femme que j'aime.
Dans les rencontres, j'avais pu me faire emboutir ma voiture par une très mauvaise conductrice, ou disons que je lui ai rentré dedans en étant franc. Alors j'avais été dans l'obligation de m'en acheter une deuxième avec l'héritage que j'avais pu recevoir de ma mère. J'avais opté pour une bugatti veyron, cela n'allait probablement pas me calmé sur la vitesse sachant que son record de pointe est de 408,84 km/h.
Hélas, aujourd'hui, rien de très intéressant m'a emmené en direction de l'hôpital. J'ai jamais été un très bon cuisinier alors forcément lorsque j'ai voulu me préparer un repas. C'est mon doigt qui c'est retrouvé coupé. Au début, j'ai pensé que ce n'était rien et voyant le sang ne pas s'arrêter. J'attrapa un torchon, fit un rapide pansement compressif et sachant que j'ai horreur d'appeler les urgences, je décide de m'y rendre par moi-même.
Lorsque je me retrouve dans cet hôpital appelait John Radcliffe, je réalise que je serais pas pris dans l'heure à venir. Il y a tellement de personne présente que je peux les compter. Je m'assois sur une chaise et j'attends patiemment que ce soit mon tour. " Mr Greco … Mr Greco … " Ah enfin c'est à mon tour, je réalise que c'est une charmante infirmière, jeune blonde avec une silhouette des plus agréable.
Je me dirige donc vers cette dernière, arrivé à hauteur d'elle, je lui dis : " C'est moi. Je viens pour des points de suture certainement. "

Cela fait désormais plusieurs heures que j'attends mon tour à l'hôpital de John Raddcliffe. Le sang avait eu le temps de cessait de couler, à vrai dire le pansement compressif que j'avais pu faire avec le torchon avait été très utile. Par chance, bien que je ne sois pas bon en médecine, ma mère avait eu l'occasion de m'en faire plusieurs lorsque j'étais petit et que j'étais un casse cou.
Pendant ces heures d'attente, j'avais pu réfléchir à ma venue à Oxford, ce que j'avais pu gagner et ce que j'avais pu perdre. Mon avenir était beaucoup plus intéressant ici plutôt qu'en Italie, bien que je suivais toujours mon cursus en informatique. J'allais pouvoir en faire ce que je voulais sans avoir mon père qui veux s'en servir pour lui, contre le monde.
Soudainement, on me sorti de mes pensées en m’appelant par trois fois par mon nom de famille. Lorsque je leva les yeux, je pu en observer une magnifique femme blonde dans une blouse d’infirmière. Je ne sais pour quelle raison mais je me mis à penser à l'un de mes fantasmes d'homme. Celui de s'envoyait en l'air tout en jouant au malade, peut être que cela pourrait se réalisé aujourd'hui.
Il fallait déjà commençait par me soigner puisque mon doigt lui se trouve toujours avec une belle entaille profonde. Alors que je lui avais dit que je venais ici pour des points de suture, elle acquiesça rapidement tout en me disant de la suivre. Ce que je fis jusqu'à dans une petite pièce pour les soins. Retourner dans un tel lieu me donnais le cafard, et me remémora les instants où ma mère se trouvait malade.
" Dites moi si je suis sage pendant les points de suture, j'aurais le droit à une sucette ? " Dis je tout en plaisantant, j'avais pu voir des enfants sortir des urgences avec une sucette alors forcément cela m'avait donnée envie mais j'y avais aussi mis un sous entendu en espérant que la jeune femme ne le prenne pas mal.

Cet homme était à la fois séduisant et un véritable goujat. Emma était une belle femme, ceci était indéniable. Elle était une fille à la fois difficile et à la fois facile. Elle ne disait jamais non à un homme qui savait très bien l'approcher. L'amour était quelque chose, qu'elle n'avait jamais ressenti dans son coeur. Ses parents ne l'avaient pas aimé, ne l'avaient jamais aimé. Son père avait été un gros connard pour elle. Jamais, elle ne devait lever les yeux vers lui sous peine de se prendre une belle grosse claque qui lui faisait regretter toute de suite son acte. Il était bel et bien son père, mais cela n'a jamais été " père " et encore "papa". Monsieur, c'était comme ça, qu'elle devait l'appeler. Il ne lui offrait jamais rien et quand il était là, c'était pour la rabaisser et mal lui parler. Pas d'amour, juste un rejet constant, il était forcé de venir la voir. Son père adoptif avait divorcé avec sa femme et avait voulu revoir ses autres enfants sauf elle, cela faisait depuis ses 13 ans, qu'elle ne l'avait plus vu. Quant à ses mères, la biologique n'en avait rien faire d'elle. Elle préférait passer d'hommes en hommes, à ouvrir ses cuisses quasiment tous les jours, laissant sa fille d'à peine 5 ans, s'occuper d'une maison, n'allant peu à l'école. Ce qui avait alerté les services sociaux. Maintenant, son autre mère n'avait fait que la rabaisser depuis son divorce mais avant, elle avait essayé de lui donner un peu d'attention, ce qui n'avait pas plu aux autres de sa famille et à son mari. Suite à cela, cela n'avait été que froideur et humiliation. Elle était riche mais à la base, elle était pauvre, elle connaissait les deux mondes. La pauvreté était le plus à plaindre.

- Oui, si vous êtes sages, vous aurez une sucette, s'enquit-elle en te faisant un clin d'oeil.

Emma eut un sourire tandis qu'elle commençait soigneusement à faire tes sutures, d'une façon minutieuse et ordonnée. Elle avait mis du désinfectant, laver la blessure, la désinfecter et commencer le travail sinueux. Quelques points de suture seulement. Elle se connaissait quelque peu en médecine. Se mordant la lèvre, en t'écoutant. Elle terminait son travail, remettant un petit coup de désinfectant avant de te regarder, comprenant les doubles sens de tes mots.

-Voilà, vous avez été sage, déclara-t-elle en te lançant un sourire en coin. Vous méritez votre sucette, petit garçon, ajouta-t-elle.

D'un ton sensuel, Emma venait te le murmurer, caressant ton torse avant de venir plonger ses lèvres sur les tiennes dans un baiser sensuel.

Je n'avais plus le temps d'aimer ou alors mon cœur ne voulait pas en aimer une autre que Juliett. Je ne voulais pas non plus prendre à nouveau le risque de tout perdre en amour par la faute de ma famille. De toute façon avant d'en aimer une autre, il me fallait commencer par le début, ne plus ressentir d'amour et de chagrin lorsque j'évoque le souvenir de Juliett. J'avais donc décidé de profiter de ma vie en espérant un jour pouvoir oublier ou qu'elle revienne. Dans l'amusement, il y avait l'alcool mais pas seulement, il y avait aussi le plaisir charnelle.
Cette jeune femme qui se trouve devant moi et qui va soigner ma blessure provoque en moi, un désir charnelle. Pas d'amour que du sexe, du plaisir, et ensuite ce sera probablement au revoir et à jamais comme je faisais pour toutes les femmes. Pas d'attachement, pas de belle promesse jeter en l'air. Lorsque je me trouvais dans la piece pour être recousu, je commença mon charme qui était très explicite. Elle me fit savoir que si en effet, j'étais sage je pourrais avoir une sucette. " Vous savez, c'est un grand effort pour moi, alors une telle récompense serait d'un réconfort extreme. "
Elle commença à me soigner, je n'aimais pas particulièrement regarder cette aiguille traversait ma peau. Alors je décida plutôt de regarder la belle blonde, sur sa blouse d'infirmière je pouvais voir inscrit " Emma Milson ". Je savais donc son prénom, elle pour sa part connaissait déjà mon nom de famille et si elle avait été un peu curieuse mon prénom qui se trouvait inscrit sur mon dossier médical.
Lorsqu'elle en eu fini avec mon doigt, elle me fit savoir que j'avais été sage. Elle s'approcha de moi et d'une voie des plus torride, elle me dit que je méritais ma sucette. Sa main se déposa contre mon torse et vint me prodiguer des caresses. Ses lèvres se jetèrent sur moi pour déposer un baiser sensuel. Je répondis à ce baiser tout en y mettant quelques degrés de plus. Je pris sa main et la déposa en dessous de mon t-shirt. " Vous pensez que l'on ne sera pas déranger ?"

Emma était issue d'une prostituée. Elle n'avait pas appris la décence, et le fait de faire du sexe à foison était mal. Sa mère adoptive se fichait bien des occupations de sa fille adoptive ou même d'elle, tout court. Emma n'avait rien appris de ce qui était bien et mal avec le sexe. Elle savait ce que cela faisait du bien, beaucoup de bien. Et surtout du plaisir. Sous le corps des hommes, elle se sentait aimée et admirée, ce n'était qu'une impression. Mais cela la suffisait à se conforter dans cette illusion pathétique de l'amour. On ne l'avait pas assez aimé pour montrer que ce n'était pas de l'amour mais justement du sexe, du plaisir entre deux personnes. Emma t'embrassait, caressait ton torse musclé, aidé par toi, sous ton t-shirt. Bien vite, elle enlevait tout doucement, dévoilant cette chair si convoité par elle. Avant qu'elle se rejette sur tes lèvres, tu posais une question pertinente. Elle se relevait, refermant derrière elle, la porte à clé. Emma se retournait tout doucement vers toi, un sourire plus que coquin sur ses lèvres. Elle devait la meilleure infirmière au monde. Emma n'était pas une fille de joie, ni une prostituée. Elle était cependant quelqu'un qui n'avait rien compris au sexe. Bien sûr, elle savait coucher avec un homme, elle savait lui donner du plaisir comme jamais. Mais elle ne savait pas mélanger l'amour au sexe. Elle croyait que le sexe n'était juste que du plaisir et qui avait toujours rien avoir avec l'amour. Elle disait qu'on baisait avec les gens et non qu'on leur faisait l'amour, qu'on soit en couple ou non. Son enfance avec sa mère biologique avait laissé bien plus de marque qu'on y croyait. Emma eut un autre sourire, tandis que sa main venait à caresser sa poitrine tandis qu'elle se mouvait sensuellement contre la porte, d'une main experte et sensuelle, elle enlevait le premier bouton.

-Voilà, on nous dérangera pas ! Déclara-t-elle émoustillée par l'ambiance électrique de la pièce.

Emma éteignait son biper avant de s'avancer vers toi, à chaque pas, elle enlevait un bouton à sa blouse blanche et bleue, dévoilant un soutien gorge noir en dentelle qui enrobait sa poitrine généreuse. La belle blonde continuait avant de t'allonger sur le lit de consultation, embrassant ton torse nu, tout doucement. Elle eut un sourire, caressant tes cuisses tout en montant de plus en plus vers ton nombril. Elle venait telle une guépard avant de t'embrasser plus sensuellement sur la bouche, ses lèvres se mouvant contre les tiennes, roulant des hanches contre les tiennes. Oh oui, que c'était bon de faire cela ! Cela lui avait manqué !

C'était simple j'avais décidé en cette fin de journée de m'amusait. Je venais de passer un très mauvais moment avec l'ouverture de mon doigt et cette infirmière était la plus belle que j'avais vue aujourd'hui. D'ailleurs elle me donnais des envies coquines, alors avant qu'elle me recouse je lui avais fait comprendre par une manière subtile que j'ai des projets avec son corps. Bien sur, elle serait probablement qu'un coup, un parmi toutes les autres. Je refusais de donner plus à une femme, je refusais de faire croire que je le pouvais alors que mon cœur appartiens déjà à une seule. Cela ne m'empêcherait pas de prendre soin d'Emma lors de notre rapport, je tenais toujours à être un très bon amant. La belle blonde m'embrassait, me caressait avant de me retrouver torse nue. Je lui demanda alors avant toute chose, si nous ne serions pas déranger. L'idée de me faire voir en pleine action avec une femme ne me dérangeait pas mais pas ici, pas en ces lieux. Ce lieu où Juliet travail, si je ne donne pas d'espoir aux autres femmes, je ne veux pas non plus donner de mauvaise raison à celle que j'aime de ne pas en avoir. Elle venait de se lever pour fermer cette porte qui ne serait bientôt plus un obstacle pour notre moment de plaisir charnelle. La désireuse se tenais devant la porte avec une main caressant sa propre poitrine, le désir monta en moi d'un cran, j'hésitais entre cette envie d'un coup rapide ou bien plutôt prendre mon temps. Elle me dévoila une partie de cette poitrine lorsqu'elle enleva le premier bouton, j'espérais que dans les secondes à venir cette blouse ne soit qu'un lointain souvenir et qu'elle me dévoilera ces deux bouts de chair. Elle me fit savoir que cette fois-ci, on ne nous dérangera pas, que l'on se trouvais libre, elle éteignis même son biper. Je ne savais pas si cela se trouvais être une bonne idée pour son métier mais je ne pouvais m'en plaindre.
- Libre de vous faire toutes les choses dont votre corps m'inspire.
Je n'avais pas bouger de ce lit de consultation, j'attendais avec patience qu'elle revienne vers moi. Ce qu'il fit, et à chaque pas elle enlevais un bouton de ce vulgaire tissu blanc laissant dévoiler de la dentelle noir, son soutien gorge. Une fois à ma hauteur, elle me fit m'allonger complètement sur ce lit qui était pour moi mauvais souvenir mais qui ne le serait pas en ce moment même. Elle se transformait peu à peu en une tigresse, chaque geste de sa part me faisait bouillir. Je décida de prendre le dessus, de l'allonger là où je me trouvais après avoir laisser tomber sa blousse. J'embrassais son cou puis je descendais peu à peu tout en déposant sur chaque parcelle de son corps des baisers, lorsque j'arriva à la dentelle, je la souleva avec une main et pris l'autre pour enlever ce tissu. Je la fis se rallonger et procura un massage à sa poitrine, un massage fiévreux.
- Cette poitrine ne devrais pas être cacher par du tissu blanc, ni noir mais plutôt par mes mains.