AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Partagez
 

 (inachevé) Gold, bali - 2011

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyMer 21 Oct - 20:40


Villa Saint-Clair - Bali - 2011
Si les riches ne sont pas heureux, c'est que le bonheur n'existe pas.


T’es penché sur le lavabo de ta salle de bain, tu t’en mets encore plein les narines. A l’aide ton petit doigt tu remets la poudre blanche en place, petites montagnes enneigée que tu prends le soin de faire disparaitre en quelques secondes. Tu secoues la tête lorsque tu te redresses, reniflant comme un gosse, dans le miroir t’es content de ce que tu vois. Ta chemise noire te va à la perfection, col légèrement ouvert, manches remontée. A ton poignet brille une montre indécente. Tu grimaces, te frottes le nez inlassablement. D’un geste de la main tu te recoiffes quelque peu, derrière la porte de ta chambre la musique bat son plein. Ta nouvelle acquisition est pleine. Pleine de pourritures dans ton genre, de filles aussi connes que bonnes, des mecs que tu connais à peine mais qui sont prêts à payer un billet d’avion au prix fort pour venir à une soirée. Des gens que tu n’as même pas envie voir, mais dans ton milieu où il n’est bon qu’exposer sa fortune tu es l’un des meilleurs. A vingt et un ans, déjà propriétaire, une villa pour quinze juste pour toi. Vendue avec femmes de ménages, homme à tout faire et jet ski.
Tu viens de t’enfariner la gueule et tu te sens l’homme le plus puissant du monde. Adrénaline au-dessus de la limite autorisée. Tu pousses la porte de ta chambre, et attrapes une coupe de champagne sur le plateau d’un serveur –engagé pour l’occasion. Tu bois la flute cul sec, avant de la poser à côté d’un vase. Tu descends les escaliers maladroitement, le sourire aux lèvres. Tes joues sont rouges, t’as le cœur qui bat à vive allure. Mervi n’est pas loin, tu l’aperçois, il te voit, mais tourne la tête. Encore. Dans ta poitrine ça se serre, et dans ton cerveau c’est la misère. Incompréhension. Trahison. Celui que tu considères plus que ton frère ne te regarde même plus. Il fuit, c’est un lâche alors ? Un connard. connard. d’ailleurs tu le murmures pour toi-même. Le dj s’éclate et la musique tambourine dans tes oreilles. Les gens s’amusent, les gens dansent, boivent, sniffent … C’est le paradis de la délinquance en col blanc. Nouvelle coupe de champagne, celle que vient de tendre … Son nom t’échappe, mais c’est une rousse. Elle te parle, tu essayes tant bien que mal d’écouter mais ton attention est rivée sur ton cousin qui ricane avec d’autres que tu ne connais pas. Tu grimaces. D’un trait toujours, tu termines le champagne. Les bulles te montent à la tête. Tu ne comprends pas, à vrai dire tu ne cherches pas. Les choses ont tendance à t’échapper, bien qu’elles apparaissent clairement pour les autres, avec toi elles volètent au-dessus de ta tête sans que tu ne puisses les attraper. La main de la femme se pose sur ta joue comme pour capturer ton regard, un sourcil arqué tu te laisses faire. oui ? t’exprimes-tu, prêt à lui accorder l’attention qu’elle réclame. Mais le rire enfantin de Lila arrive à te perturber. A l’image d’un loup tu penches la tête en direction du bruit. Ta petite sœur, contre un mur enroule ses cheveux autour de son index faisant les yeux doux à une raclure. Sa robe que l’on devrait plutôt qualifier de t-shirt lui arrive ras le cul. Le mec, penché sur elle, sa tête presque entre les seins de ce qui fut à l’époque une gamine en couche culotte. C’est l’apocalypse dans ton crâne, le sang palpite dans tes veines alors que tu serres les mâchoires. Tu souffles par le nez comme un buffle. L’enfant de dix-sept ans, et l’enculé qui ne rêve que de baisser son froc. Ça te rend malade. La drogue et l’alcool n’aidant en rien, tu pousses celle qui se trouve devant toi d’un geste violent. Une partie de toi prie pour qu’un mur invisible se hisse entre toi et la scène répugnante qui se joue sous tes yeux. En vain. Tu traverses la pièce comme un éclair, ta main en avant frappe dans l’épaule du gars qui ose te regarde de haut en bas. T’as les sourcils froncés, le poing serré à présent. mais ça va pas ?! et la gamine qui se met à brailler, la goutte d’eau qui fait déborder l’océan de ta haine. Ton autre mains agrippe le bras de Lila avec fermeté, tu la ramènes contre toi alors qu’elle ne cherche qu’à fuir. mais tu te prends pour qui là ? tu t’es vu, déguisée en salope ?! siffles-tu entre tes dents serrées. t’avais encore seize ans hier, souviens toi. la pré-ado te jette son regard le plus noir, alors qu’elle tente encore une échappatoire. c’est bon, lâche moi jules, putain ! son bras t’échappe, et ce sont ses cheveux que tu empoignes –comme lorsque vous étiez des sales sale gosse. si t’as cru que ma petite sœur pouvait jouer aux putes ! tu la traines sur quelques centimètres alors qu’elle te traite de tous les noms. Son prétendant n’osant s’interposer a droit aux mêmes qualificatifs.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyJeu 22 Oct - 23:24

T'es arrivé par jet privé il y a moins d'une heure. à bord, tu as très bien déjeuné d'un mille-feuille au crabe et d'un moelleux, tu as également bu 17 Cosmo. Juste de quoi préparer le terrain et affronter la soirée qui t'attend. Tu as atterris directement dans le jardin de Jules, le raffut de l'appareil couvert par la musique tonitruante qui s'échappe par toutes les portes de la villa. T'as déployé des trésors de stratégie pour dire bonjour à qui de droit sans croiser Jules, récupérer une bouteille de Chabli sur le plateau d'un serveur pressé, et rejoindre le canapé pour te saouler la gueule tranquille. Mais ça n'est jamais aussi simple. Et tu ne tardes pas à être rejoints. Tu soupire en silence. Regarder toutes ces fausses princesses en Gucci, se dandiner d'un pied sur l'autre sous ton nez, te fais réaliser que t'as aucune envie d'être ici. Habillé d'une chemise et d'un jean siglé Helmut Lang, les cheveux soigneusement gominés en arrière, t'es affalé dans un canapé de cuir bien trop confortable, et tu t'ennuies prodigieusement. Entre tes doigts, se consume un joint dont tu sens à peine la saveur. Une blonde est assise à tes côtés sur le canapé, une main posée sur ta cuisse, sa voix suave résonne à ton oreille. Mais c'est à la Patek Philippe qui brille à ton poignet qu'elle adresse ses sourires enjôleurs. Tu détournes la tête pour échapper aux effluves capiteux de son parfum entêtant. Tu détestes ce genre de fille, tout ce qu'elles aiment à part elles même et leur yorkshire c'est le fric, elles pleurent pour un oui ou un non, on appris à lire dans un magazine people, écoutent de la musique de merde, et n'ont jamais d'idée. Tu ne sens pas vraiment ses mains sur toi, ça ne te fais ni chaud ni froid. Tu porte la bouteille à tes lèvres par automatisme... c'est le mot cocaïne qui tourne en boucle dans ton esprit. Tu tires sur ton joint. Il y'en a partout, de la coke. Sur les tables autour de toi, sur les accoudoirs des fauteuils, sur le menton de la conne, et sur l'épaule de ton costume à 25000. Tu la repousses un peu brutalement et elle a un piaillement d'incompréhension d'être ainsi coupée au milieu de ses ronronnements. « Casse toi. » tu frottes ton épaule. Tu crois l'entendre te traiter de connard, et toi répondre que ce doit être de famille, mais tu ne la regarde pas, tu l'as déjà oubliée et la musique est trop forte. Jules vient d'apparaitre en haut des escaliers, tu le regardes dévaler les marches avec cette énergie propre aux camés. Vos regards se croisent, et tu sondes un instant ses yeux hagards de cocaïne, avant de détourner la tête, portant à nouveau le goulot à tes lèvres pour en avaler les dernières gorgées. Tu regarde ta bouteille vide avec agacement, avant de la laisser tomber brutalement par-terre, elle se brise aux pieds d'une autre conne qui gueule après toi mais tu ne fais pas attention à elle. Tu te lèves en agrippant le dossier du canapé pour te remettre sur tes pieds. Tu te devais de passer ici et c'est chose faite, maintenant t'as plus qu'une envie, c'est de te tirer. Tu tires une dernière latte sur ton joint avant de l'écraser par-terre. T'es plus qu'à vingt mètres de la porte d'entrée, quand Jules te coupes presque la route, tu le suis des yeux , interloqué et curieux. Lila. Évidemment. Jules frappe l'épaule du beauf en nike, et le gamin le toise avec suffisance. Son courage que tu qualifierais de suicidaire te tire un sourire jusqu'aux oreilles, et tu croises les bras sur ton torse, observant la scène avec un intérêt nouveau. Mais Jules se détourne rapidement du jeune-homme pour s'en prendre à ta cousine. Le ton monte mais tu ne peux pas les entendre, personne ne les entend en fait. Tu bouges toujours pas alors qu'il empoigne sa sœur par le bras pour lui hurler dessus, cette dernière réplique et se débat. Et il y a quelque chose dans sa façon don son visage se tord, qui te fais tiquer. Une sensation de déjà-vu, qui se prolonge. Tu te rapproches du duo, dispersant les invités à coups d'épaules. La situation t'amuse de moins et tu sens qu'il perd pied, c'est inexplicable. « Jules ! » ta voix se perd dans les cris de Lila eux même noyés par la musique. Il l'empoigne par les cheveux et t'as comme un sursaut à l'intérieur, un tressautement dans le cœur, qui te fait bondir dans leur direction. Il va lui faire mal, il va vraiment lui faire mal. Ta main droite tombe lourdement sur son épaule, et tes doigts se referment comme des serres sur le tissu froissé de sa chemise. Tandis que ton autre main vient se resserrer autour de son poignet pour le forcer à lâcher prise. « Qu'est-ce que tu fais ! Calme-toi, t'es devenu fou ?! » ta voix à claqué comme un coup de fouet, tu le défis du regard, les mâchoires serrées. « Tu prends trop de cette merde ! »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyDim 25 Oct - 3:02

T’as complétement pété les plombs.
Dans ta tête ça part complétement en vrille, voir ta sœur dans cette tenue, c’est inconcevable ? Ou alors est-ce cette façon de se comporter, comme toutes ces filles que tu as pu mettre dans ton lit. Lila est une Saint-Clair, Lila est une femme que l’on doit respecter plus que n’importe quelles autres. Ton comportement est excessif, presque irrationnel. Mais il est déjà trop tard, tu tiens ta petite sœur par les cheveux. Comme une vulgaire poupée de chiffon. Tu pourrais en faire ce que tu veux, lui faire traverser la baie vitrée par exemple. C’est l’envie qui perce ton esprit, d’ailleurs t’as déjà commencé à prendre ton élan. Cela ressemble à une de vos prises de becs lorsque vous étiez môme, mais aujourd’hui les choses sont toutes autres. Tu n’as plus la force d’un gamin de dix ans, mais Lila, elle, est restée aussi légère qu’une enfant. Lila hurle, ses mouvements pour échapper à ton étreinte ne servent à rien. T’as les mâchoires serrées, les doigts implantés à la racine de ses cheveux. C’est une main épaisse qui s’abat sur ton épaule et qui te stoppe dans ta course incontrôlée. Une autre main s’empare de ton poignet , et la voix de Mervi trouve enfin le chemin de tes oreilles.  Qu'est-ce que tu fais ! Calme-toi, t'es devenu fou ?! Qu’est ce qu’il te veut celui là ?  C’est ce qui lui dit ton regard lorsque tu prends enfin le temps de tourner la tête vers lui. Sourcils froncés. Tu prends trop de cette merde ! T’as toujours pas lâcher prise et ses doigts s’enfoncent un peu plus dans ta peau, le contact féroce te brulerait presque. Tu le toises, l’envie de lui cracher à la gueule se fait de plus en plus forte. Mais tu te contentes de ricaner, un rire mauvais, remplis de condescendance. ah maintenant tu t’intéresses à ce que je fais ?! lances-tu avant de reporter ton regard sur Lila qui t’insulte encore de tous les noms. La scène exposée aux yeux de tous, tu ne t’en rends même pas compte. Les gens t’importent peu. Tout ce qui a de l’importance c’est la haine qui prend peu à peu possession de ton corps. Tes yeux oscillent entre ton cousin et Lila. Auquel vas-tu t’en prendre en premier. Tu es incapable de te rendre compte que le problème est bien plus profond que ça, que tes agissements ne concernent pas seulement le comportement outrageux de ta jeune sœur, c’est une accumulation. Une putain de montagne d’incompréhension, mélangée à la drogue et à l’alcool trop rapidement ingurgité. Et lui, qui te prend pour un con. Qui veut te donner des leçons. va te faire foutre. craches-tu dans sa langue maternelle, histoire qu’il comprenne bien que tu n’as pas envie de régler tes comptes avec lui. Mais Mervi a peur pour sa cousine, tu le sens dans cette façon qu’il a de te défier du regard. Ces yeux azurs qui te disent « touche là, et tu vas le regretter Jules. » La tension est palpable, elle prend possession de la baraque entière. Certaines personnes vous regardent ébahies, alors que d’autres n’ont encore rien remarqué. D’un geste assuré tu dégages le bras sur ton épaule, avant de frapper violement dans celui qui détient ton poignet. En moins d’une seconde t’as lâché ta soeur et tu t’es emparé de la chemise haute couture de ton cousin. Un bruit sourd, c’est son dos qui heurte le mur derrière vous alors que tes doigts se resserrent sur le col, t’as ton front collé au sien. Son haleine alcoolisée vient caresser tes narines. tu m’évites depuis des semaines, et là, tu te pointes ici(…) tu ris jaunes. et t’oses t’interposer entre cette salope et moi ! t’as la rage, un animal incontrôlable. Le lion ne contrôle plus ses fait et gestes, parce que, oui, tu prends trop de cette merde.  essaye pas de m’apprendre la vie Mervi ! Tu l’as repoussé contre le mur. Toutes ces paroles prononcés en finlandais. T’es en train de l’énerver, tu le sens ou alors est-ce toi qui t’enfonce dans la violence. Tu sais pourtant de quoi ton cousin est capable, tu l’as vu à l’œuvre, mais Jules Saint-Clair n’apprends jamais de ses leçons. Derrière vous, y’a Lila qui panique, tu sens ses bras frêles s’accrocher autour de toi et sa voix mielleuse qui te demande d’arrêter dans un finlandais parfait. D’un coup de coude tu la rejettes. Ton regard est provocateur, t’attends qu’une chose, qu’il réagisse, qu’il dévoile son vrai visage. Ou alors qu’il t’explique son comportement. Ce qui se transformerait en véritable dispute de couple.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyLun 26 Oct - 18:11

T'aimerais le raisonner. Mais c'est plus ton cousin qui se tient devant toi. C'est un fauve, et ils n'écoutent jamais, ils rugissent et ils mordent, ils sont fait pour tuer. Ta cousine à exactement l'air de ce qu'elle est, une gamine déguisée en pute. Tu fais plus attention à ça, tant qu'elle s'amuse, tant mieux pour elle. Toi ton job c'est d'empêcher qu'elle morde la poussière. On ne fait pas mordre la poussière aux princesses de ta famille, c'est une règle d'or. Peut être l'une des seules qu'on t'ai véritablement inculqué, et tu ne le dois qu'à Jules. Jules qui instaure et modifie toutes les règles à son bon vouloir, pour qu'elles cadrent avec ce qu'il désire. Mais tu le sais, tu le connais, tu le prévois même. Tu le connais trop pour te laisser prendre au piège, alors tu fais ce que tu sais faire de mieux : tu t'adaptes. Et personne ne touche Lila, même pas lui. C'est ce que tu lui disent tes yeux. Tu n'as pas peur, même après t'être jeté dans la tourmente, tu sais bien que ça va dégénérer, tu lis dans ses yeux à quel point il est alcoolisé, et touché par la coke. Et t'aurais envie de le secouer, plus que de le tenir, histoire qu'il réalise. Mais t'en fais rien, tu resserres juste l'étaut de tes doigts tandis qu'il te toise. Tes yeux se plissent légèrement, alors qu'il détourne son regard de Lila pour te faire face. « Ah maintenant tu t’intéresses à ce que je fais ?! » t'as un demi sourire moqueur, et un éclat de rire méprisant devant la rage que tu sens bouillir en lui. Il se débarrasse de ta main,  avant de frapper dans ton poigné. T'as un grognement douloureux alors que tu lâches prises et qu'il t'atrappe par le col. Tu sens le sol défiler sous tes pieds, et c'est presque comme si tu patinais dessus, finalement ton cher cousin t'écrase contre le mur, ça te fais comme un éclair de douleur qui te traverserait des pieds à la tête. Tu sens ton cœur tambouriner dans ta poitrine, le souffle un peu trop rapide alors qu'il te poignarde de son regard bleu et qu'il use de ta langue maternelle. « Tu m’évites depuis des semaines, et là, tu te pointes ici, et t’oses t’interposer entre cette salope et moi ! » ses éclats de rire sont comme des vagues sur les rochers, et dans le brouhaha de la foule ou du vent, tu l'entends hurler encore. « essaye pas de m’apprendre la vie Mervi ! » encore, il te bouscule, et la douleur file dans tes os, mais tu la sens à peine, t'es comme anesthésié, toute ton attention concentré sur le français en face de toi. Et ton sourire est proprement prédateur. Ton sourire est proprementn prédateur, tes mâchoires se serrent et tu rumines ton animosité latente. Tu pourrais bouffer ce rictus de suffisance qu'il a sur la gueule. Tu la déchirerais avec de grands discours incisifs sur sa consommation, sur sa tronche de déphasé, mais au lieu de ça, fulminant. Tes lèvres demeurent closes et un légers sourire vient les étirer, tes yeux brillent d'une lueur nouvelle à mesure que tu prends le contrôle de ta rage, les deux azurs se plissent et se font moqueuses, hautaines. Tu vires brutalement ses mains agressives, et tes lèvres se retroussent en une sorte de grimace malveillante. Tu te redresses, tu te dégages de ce putain de mur, il va finir par te faire des échymoses ce con. « Pour commencer, t'es gentil tu te détends ! » répliques-tu en joignant les mains, ton sourire est immuable et tu t'avances encore vers lui, tu ricanes « Tu croyais vraiment que j'allais te laisser lui cogner dessus ? Tu peux pas continuer à te comporter comme si t'avais 8 ans. Parce que c'est pathétique. » tu t'immobilises, et ton sourire se crispe. « Poses-toi les bonnes questions avant d'agresser tout le monde, Jules. » grognes-tu en te renfrognant. « C'est pas toi que j'évite, c'est ta putain de cocaine qui te rends con ! Et si Lila se comporte comme une nympho, c'est que c'est peut être de famille. » t'ajoutes sans le lâcher des yeux.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyMar 27 Oct - 1:08

T’as plus les idées claires.
Le cerveau complétement bouffé par la cocaïne. Tu la sens qui grignote petit à petit tes neurones, coupant les connexions de façon définitive. L’alcool par-dessus t’empêche de faire la part des choses. Attraper ta sœur de la sorte, était-ce réellement nécessaire ? Tu as perdu pied, bêtement. Parce que tu ne supportes pas lorsque tu n’as pas le contrôle sur tout ce qui se passe autour de toi. L’ignorance flagrante de Mervi t’a ms dans un état que tu n’aurais pu imaginer. Le comportement de Lila n’était qu’un prétexte pour imploser. Pour attirer l’attention de l’homme qui te la refuse. Maintenant que tu le tiens entre tes doigts nerveux, tu ne sais plus vraiment quoi en faire. Lui frapper la tête contre ce putain de mur, jusqu’à ce qu’elle explose. Jusqu’à lui faire réaliser, qu’il est, lui aussi, fautif de ta réaction. Mervi ne parle pas, Mervi ne parle jamais. Il préfère éviter les sujets qui lui déplaisent. C’est comme ça depuis quelques années. Tu ne le reconnais plus. Mais lorsque ce sourire carnassier apparait sur sa gueule d’ange, il n’y a pas de doute, c’est bel et bien lui. Le finlandais te regarde de haut, comme si il était en mesure de se le permettre. Comme si monsieur était différent de toi. Tu ne fais que serrer un peu plus ton emprise sur le tissu qui se froisse. D’un geste violent il se dégage de ton emprise, et se décolle du foutu mur. Tu ne perds pas le nord, ton regard insolent toujours planté dans le sien. Il ricane, l’enfoiré. Il ricane et ça te rend malade. pour commencer, t'es gentil tu te détends ! commence-t-il alors qu’il s’avance vers toi. T’hallucines presque. Tes dents se serrent, t’as l’impression que tes molaires ne vont pas tarder à exploser à l’intérieur de ta bouche. Tu lui recracherais probablement à la gueule. tu croyais vraiment que j'allais te laisser lui cogner dessus ? tu peux pas continuer à te comporter comme si t'avais 8 ans. parce que c'est pathétique. tu vois rouges, ton visage est déformé par la haine que tu lui voues à l’heure actuelle. La tension entre vous est épaisse, palpable. T’aimerais lui dire de fermer sa grande gueule, mais il ne t’en laisse pas le temps. poses-toi les bonnes questions avant d'agresser tout le monde, Jules. c'est pas toi que j'évite, c'est ta putain de cocaïne qui te rends con ! et si Lila se comporte comme une nympho, c'est que c'est peut être de famille. ton cousin qui ose te donner des leçons on aura tout vu. Tu ne peux pas t’empecher de sourire, un sourire forcé, quelque chose de désagréable. Même pour toi. Tu te masses la nuque alors que tu baisses la tête, la secouant de gauche à droite comme pour te réveiller d’un mauvais rêve. Quand tu relèves enfin la tête vers lui, t’es en train de te mordre la lèvre avant d’exploser d’un rire à en faire pâlir plus d’un. T’as les cheveux complétement désordonné, et y’a encore et toujours ta sœur derrière vous qui piaille. Qui te demande gentiment de te calmer, parce qu’elle te connait. Ses paroles vont aussi à Mervi, mais vous n’êtes plus que deux loups sur le même territoire. Se tournant autour, prêt à se bouffer la gorge à tout moment. Ton index est pointé vers lui, comme une putain de menace. Tu n’as pas envie de le frapper, pourtant tout ton corps semble dire le contraire. Muscles tendus, posture agressive. mais qu’est ce que t’en as à foutre ! qu’est ce que t’en as à foutre ! Lila a connu pire que ça, et t’en as déjà était l’auteur, souviens toi. T’as le poing serré à présent, alors que tu rêves de lui décocher ta plus belle droite. Histoire de lui remettre les idées en place une par une si il le faut. je suis pas le seul connard ici. j’suis pas le seul impulsif. ça aussi c’est de famille enfoiré. un nouveau rire s’échappe de ta gorge, plus grave cette fois-ci. j’ai au moins la décence de ne pas passer mon temps à fuir. lances-tu à l’égard du blond, alors tu as fait un pas vers lui. Ta main se plaque contre son torse alors que tu le bouscule encore, pour que son dos percute le mur une nouvelle fois. Du haut de votre mètre quatre-vingt-sept, personne n’ose s’interposer. arrête de faire croire que Jokinen a changé. tu peux être clean, tu restes le même. cette haine, elle est en toi Mervi. craches-tu. Ton sourire a complétement disparu alors que tu te remémores les histoires passées, tout ce que vous avez vécu ensemble, comme s’il te rejetait la faute en plein visage.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyJeu 29 Oct - 16:29

Toute ton attitude posée et méprisante est une insulte à votre passé commun. Jules c'est le détail qui fout tout par-terre dans ton plan génial. Parceque ton cousin, il voit à travers le mur épais et froid que t'as érigé tout autour de toi. Il voit les vapeurs de ta rage qui s'amoncèle derrière tes yeux, parce que vous êtes fait du même matériel hautement explosif. Tu peux pas le tromper, pourtant, tu comptes lutter le plus possible.

Tes paroles n'ont pas du tout l'effet escompté. Quoi que le calmer n'ait pas exactement était l'objectif principale de tes dernières paroles. Le sourire qu'il te retourne ferait reculer n'importe qui, parce que c'est de la folie qui danse dans ses yeux quand il te regarde. Toi tu bouges pas ou le moins possible avec tout ce que t'as bu, difficile de rester parfaitement immobile. Tu le regardes se masser la nuque et secouer la tête comme un taureau qui ne sait pas à quel moment il chargera. Imperceptiblement t'écarte les mains, prêt à le recevoir encore. Lorsqu'il relève les yeux sur toi, tu fronces les sourcils, son faciès transpire de méchanceté, d'une violence à peine contenue, qui boue un moment avant de s'échapper en se mêlant à ses éclats de rire. Et avec Lila en fond sonore qui continue de piailler c'est pire, t'as l'impression que ça coupe. T'as la tête qui va exploser. Et il te menace du doigt, ça te plaît pas. ça te plaît pas du tout. Au moins il a cessé de rire. Alors pourquoi c'est pire ? « Mais qu’est ce que t’en as à foutre ! Qu’est ce que t’en as à foutre ! Lila a connu pire que ça, et t’en as déjà était l’auteur, souviens toi.  » il t'accuse et tu lèves exagérement les yeux au ciel avant de soupirer, sourcils froncés tu repars de plus belle. « Mais il est là ton putain de problème, tu mélanges tout : c'était avant ! C'est du passé ! On a grandit ! Mais t'es toujours aussi incapable de te comporter comme un adulte ! » craches-tu, accusateur, en rapprochant ton visage de son poing rageur. « [color=rosybrownJe suis pas le seul connard ici. j’suis pas le seul impulsif. ça aussi c’est de famille enfoiré.[/color] » t'as un soupire qui tire sur le grognement d'exaspération. T'as l'impression qu'il comprend pas quand tu lui parles, et tu sais que c'est la drogue, et tu détestes ça, tu dois te retenir pour pas le secouer quand il se fout à rire par dessus le marché ! « j’ai au moins la décence de ne pas passer mon temps à fuir.  » tu souffles par le nez, t'as le cœur qui bat plus vite, plus fort, dans ta cage thoracique. Tu peux pas l'empêcher, tu peux pas te retenir, et lorsqu'il fait un pas dans ta direction, t'es comme attiré par un aimant. Mais il te repousse et ton dos heurte une nouvelle fois le mur, tu ne bouges pas. Tes muscles se tendent, et dans ton regard, l'azur commence à se couvrir de gros nuages noirs. Si les regards pouvaient tuer ton cousin gierait mort sur le sol. « Arrête de faire croire que Jokinen a changé. tu peux être clean, tu restes le même. cette haine, elle est en toi Mervi.  » Tes lèvres se retroussent sur tes dents un instant, avant que ton expression ne se renferme complètement, ne laissant plus percer aucune émotion. Tu te rapproches de lui, t'es plus qu'à quelques centimètres de son visage. « Oui mais c'est moi qui commande. » souffles-tu en plissant les yeux avant de les écarquiller, ton sourire d'enragé reprend place lentement sur tes lèvres et tu recules la tête. « Je décide si je t'éclate la tête dans le mur.. ou pas. » tu ris, d'un rire nerveux, complètement fou. Tu te rapproches encore de Jules pour lui désigner la foule autour de vous. « ça marche pareil avec tout le monde, c'est pas la coke, c'est pas eux, c'est comme tu l'as dis. » tu plisses les yeux, en te remettant face à lui, tu siffles comme un serpent. « Peu importe le reste, j'en ai jamais rien eu à foutre, tout ce qui importe, c'est que maintenant je me contrôle. » ton ton est redevenu froid, presque inexpressif. « Tournes la page Jules. »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyLun 2 Nov - 0:45

Tout ça va mal finir.
Tu le sais pertinemment. Quand tu es dans cet état là, et que ton cousin vient contre toi, ça ne donne rien de bon. Tu es un véritable incendie à toi tout seul, et Mervi tourne autour de toi jetant de l'essence. Tout s'embrase. Dans tes yeux danse une flamme révélatrice de ta folie passagère. L'ouragan qui s’apprête à souffler sur la villa risque des plus dévastateurs. Derrière il y a encore et toujours Lila qui s'égosille, mais tes oreilles font tampons. Le son n’atteins même pas ton cerveau. mais il est là ton putain de problème, tu mélanges tout : c'était avant ! c'est du passé ! on a grandit ! mais t'es toujours aussi incapable de te comporter comme un adulte ! les mots de ton cousin t'arrivent comme des insultes. Alors tu le pousses encore, avant d'hurler des paroles, que tu espères le feront réagir différement. Tu titilles l'animal sauvage en lui, tu veux qu'il refasse surface. Parce que t'en peux plus de le voir agir comme ça. T'en peux plus. Il se rapproche de toi, son visage à quelques centimètres du tiens. oui mais c'est moi qui commande. t'as envie de rire, mais tu n'en fais rien. Tes mâchoires sont toujours serrées, et tu souffles par le nez comme un buffle. Son sourire ne dit rien qui vaille, et t'as envie de lui coller ton poing dans la gueule pour le lui faire ravaler une bonne fois pour toute. je décide si je t'éclate la tête dans le mur.. ou pas. c'est un rire qui s'échappe de sa bouche à présent, alors qu'il s'est reculé. Tu l'observes, tu n'as même plus conscience des gens qui peuvent se trouver autour de vous. T'as le palpitant au bord du précipice, dans tes veines le sang pulse à la vitesse de la lumière. Tu pourrais presque tourner de l’œil tant la pression est à son apogée. ça marche pareil avec tout le monde, c'est pas la coke, c'est pas eux, c'est comme tu l'as dis. peu importe le reste, j'en ai jamais rien eu à foutre, tout ce qui importe, c'est que maintenant je me contrôle. t'as l'impression qu'il se fou complètement de ta gueule. T'es peut être poudrée jusqu'au oreilles, lui s'enfume plus que n'importe qui présent dans cette pièce. tournes la page Jules. tu ricannes, mauvais. L'homme s'est rapproché de toi, encore. Tu fais craques les doigts de tes mains rapidement. tourner la page. hum. lances-tu entre deux ricannements. Tu lui tournes le dos, quelques secondes, comme pour te calmer intérieurement. Il n'y a pas que la cocaïne qui te met dans un tel état, il y a lui. Il y a vos caractères explosifs qui s'assemblent et se cognent plus souvent qu'il ne faudrait. A l'heure actuelle, tu ne supportes plus rien venant de lui. Même pas un soupir d’exaspération comme il sait si bien le faire. Tu fais volte-face, un sourire malveillant sur la gueule. Tes yeux sont noirs de colère. T'as même pas le temps de t'en empêcher que c'est un coup de boule que tu lui fous en pleine gueule, assez fort pour qu'il perde l'équilibre et se retienne contre le mur. Lila a hurlé de peur. Et tu ne sens même pas la douleur qui s'empare petit à petit de ton front. c'est ma façon de me contrôler. j'extériorise ! craches-tu venimeux. et là j'ai décidé de t'éclater la tête. ajoutes-tu, alors qu'un rire s'empare de toi. Tu lui tournes le dos, passant devant ta soeur comme si elle n'existait plus. Certains te regardent, tu les toises. Filant droit dans la cuisine, à la recherche d'une nouvelle bouteille de champagne hors de prix.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyLun 2 Nov - 11:05

Joli menteur, doué, tu joues le concert de tes concepts pacifistes avec un doigté particulier qui trompe tout le monde. Tout le monde sauf lui. Et il te le fait savoir par ses ricanements, il te ramène à tes racines. Le même bois, la même sève, et les mêmes fruits pourris, jusqu'au trognon, c'est de vous qu'il s'agit. Jules se moque de toi, de tes efforts et de tes espoirs. Tu y arriveras pourtant c'est certain. Il ricane et tu grognes à l'intérieur tandis que ses doigts craquent. « Tourner la page. Hm. » il te tourne le dos et t'y plantes tes deux azurs. Il y a dans son comportement, quelque chose qui te fait penser à une vague qui se gonfle, une vague qui avance, droit sur toi. Puis il fait volte-face et son sourire est de mauvais augure. La suite se passe trop rapidement pour que tu assimiles tout, ton cousin plonge en direction de ton visage et t'assène un coup de tête remarquable en plein sur l'os du nez. Tu grognes avant de percuter le mur, le visage marqué par un rictus de douleur. C'est foudroyant, l'instant d'après tu peux sentir le goût métallique du sang dans ta gorge tandis que les cris de Lila te vrille les tympans. « c'est ma façon de me contrôler. j'extériorise ! Et là j'ai décidé de t'éclater la tête.  » Tu rouvres les yeux, les dents serrées par la colère. Il recommence à rire, mais toi, tu n'as plus du tout envie de rire. Du sang coule de ton menton sur le col de ta chemise, imbibant d'écarlate le tissu délicat. Tes poings se serrent rageusement, et tu te fais violence pour ne pas l'agripper quand il s'éloigne de toi, passant devant Lila sans même lui adresser un regard. Ta poitrine se soulève tandis que tu inspires par la bouche. « Putain. » tu souffles, fort. Malgré toi, la vision de ton poing dans la tête de Jules, s'impose à ton esprit. T'attrape le premier bout de tissu qui passe sans te soucier de vérifier sa ressemblance avec un mouchoir et t'essuies la gueule dessus. Un cri de protestation résonne sur ta droite, mais Lila qui t'a rejoint se charge de la faire taire à l'aide de quelques remarques acerbes. Alors qu'elle se tourne vers toi, tu craches du sang par-terre droit sur ses talons à 30 000. Les insultes dont elle te couvre par la suite te glisse dessus comme de l'eau sur de la roche. T'es comme un missile à tête chercheuse, t'avance, déterminé et titubant, vers la cuisine où tu as vu disparaître Jules, écartant les gens de ton passage. Ta cousine qui sait ce que tu t'apprêtes à faire s'est élancé à ta suite et se suspend à ton bras pour te faire ralentir. Vain espoir. Ton visage est déformé par l'animosité, dents découverte, et regard noir à l'appuie, tu la regardes à peine. « Lâche moi Lila ! » tu te dégage de son emprise dans un grognement, qui même elle, la décourage. Tu pénètres dans la cuisine quand il en sort, sa foutue bouteille entre les mains, et elle aussi tu la dégage, d'un coup de poing violent. Elle s'échappe de ses doigts et explose contre le mur. T'as le sang aux tempes, ça t’étourdirait presque, et tu le choppes au col avec brusquerie, lui faisant traverser la cuisine en sens inverse, il se mange l'évier, et ce n'est pas assez, tu le balances contre le mur avec toute la force dont t'es capable. « Allez Saint-Clair ! » tu claques la porte d'un coup de pied avant de te tourner à nouveau vers lui. « Lèves-toi ! » tu l'as déjà rattrapé par sa veste de costume, ton propre sang lui goutte dans les yeux, et t'en as pas finis. Tu le remet sur ses pieds en tirant sur sa chemise et les coutures sous ses bras hurlent à la mort comme si elles allaient céder. Y'a plus rien dans tes yeux, juste ton animosité qui brûle. C'est ce qu'il voulait réveiller, non ? Tu le repousse, la paume de ta main sur sa poitrine. « Je t'ai fais mal peut être ? » tu lui souris, c'est la première fois depuis le début, et tes dents, même tes dents, sont pleine de ce sang.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptyMar 3 Nov - 20:20

Tu repars comme un prince.
Sans te préoccuper des dégâts que tu as pu commettre. Au pire ta tante lui paiera une séance de chirurgie esthétique. T'en as rien à foutre. Tu pousses violemment la porte de la cuisine, faisant sursauter la bonne -que tu avais oublié. Tu ne lui adresses même pas un regard, dans l'immense frigidaire tu fouilles et en sort une bouteille de champagne beaucoup top chère. Quand tu sors, enfin, tu n'as même pas le temps de réagir. La bouteille vole de tes mains en une fraction de seconde, s'éclatant contre le mur en mille morceaux. Des mains, celle de ton cousin, te choppent par le col de ta chemise. T'es traîné à sens inverse, ton flanc se mange le plan de travail. Tu prends un vol, ton dos s'écrase contre le mur non loin de Rosa qui pousse un cri de stupeur. allez Saint-Clair ! lèves-toi ! à terre comme un vulgaire pantin, t'essaye de récupérer tes esprits. Mais Mervi t'as déjà attraper pour te remettre debout, ta chemise craquerait presque tant il y met de la conviction. T'émet un grognement entre la douleur et l'énervement. je t'ai fais mal peut être ? son sourire ensanglanté te fait plaisir, et dans ses yeux tu reconnais enfin celui que tu cherchais tant depuis des semaines. Tu serres les dents. Tu n'es pas du genre à te laisser malmener de la sorte. La rage danse toujours au fond de l'océan de tes yeux. Bien qu'il soit plus epais que toi, votre force reste équivalente. Rosa est coincée entre le réfirgérateur et le mur, se protégeant de vos corps immenses prêt à imploser. Tu le regardes de longues secondes, avant de te dégager de son emprise. Apparement le coup de boule ne lui a pas suffit. De ta main gauche tu saisis son cou, alors que ton bras droit s'arme pour une droite. Tu frappes, une fois, alors que tu le pousses pour que son dos heurte la porte. Tu frappes une deuxième fois. Puis tu le lâches.
Tu souffles par le nez, encore. Tu le regardes, de haut en bas. Tes bras le long du corps. C'est un éclat de rire qui te prend lorsque tu te rends compte de l'état de sa chemise. Quelque chose de chaud coule jusqu'à tes lèvres, tu passes la main sur ton visage, du sang. putain. lâches-tu alors que tes nerfs se calment petit à petit. Tu fais craquer ta nuque, t'enlève ta veste à moitié déchirée, quelques mouvements d'épaule pour te remettre le dos en place. tu m'as pas raté enfoiré. ajoutes-tu alors que tu lui souris, du sang à moitié dans la bouche. tu crois que ça mérite d'aller aux urgences, j'sais pas d'où vient tout ce sang. t'as la tête qui te tourne, alors tu titubes en arrière, t'adossant au plan de travail en marbre. rosa, du champagne, s'il vous plait.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous




Invité
Invité




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 EmptySam 14 Nov - 16:40

Y'a Rosa qui tremble dans le coin de ton champs de vision, et tes muscles qui tressautent dans ta chemise tâchée de sang. Mais ton regard est seulement animé par la rage, t'as plus aucun contrôle et ça a quelque chose de jouissif. ça te fais le même effet qu'une ligne de coke après des mois d'abstinence. Ton cœur bat la chamade, ses battements résonnent directement dans ton crâne. T'as pas envie que ça s'arrête, trop saoul pour réellement comprendre ce qui se passe. Il t'a ôté ta muselière et c'était une mauvaise idée, parce que tu serais capable de faire n'importe quoi dans l'état où t'es, c'est presque de la folie qui brille dans ton regard alcoolisé. Vous vous fixez, le silence avant la détonation. Sa main se refermer brutalement autour de ton cou, t'es loin d'être assez réactif et il t'assène une droite en pleine figure. Tes dents s'entrechoquent, et ta nuque craque sous l'impulsion du coup, mais ton cousin ne perd pas de temps et te pousse brutalement contre la porte. Tu te rattrapes à lui et son poing percute une seconde fois ton visage. Cette fois un filet de salive s'échappe de ta bouche, tu t'es mordu l'intérieur de la joue. T'essaies de comprendre ce qui vient de se passer tandis que la pièce se met à tourner salement autour de toi. Il te lâche et t'as toutes les peines du monde à garder l'équilibre, tu t'accroches à la poignée, avant de cracher par terre, rouge. Et c'est un peu comme si tu venais de cracher ta haine sur le sol de la cuisine. Tu secoues la tête faisant voler des mèches blondes désordonnées. Tu relèves les yeux sur ton cousin, et ta vision se rétablit plus ou moins, un sourire sanglant découvre tes dents quand il se fout à rire. Tu te redresses et ton rire se mêle au sien. « Putain. » il se débarrasse de ce qui reste de sa veste, manœuvrant pour se remettre d'équerre tandis que tu te masses la mâchoires là où il t'a frappé. « Connard. » siffles-tu sans te départir de ton rictus, la Rosa vous fixe avec incrédulité mais vous ne lui prêtez pas la moindre attention. « Tu m'as pas raté enfoiré. Tu crois que que ça mérite d'aller aux urgences, j'sais pas d'où vient tout ce sang. » qu'il te fait en titubant en arrière sans cesser de sourire. Toi t'as lâché la poigné et tu le scrutes maintenant d'un air interrogateur, sourire légèrement crispé tandis qu'il s'adosse au plan de travail. « Rosa, du champagne, s'il vous plaît. » La tu tiques ; J-E ne dit jamais s'il vous plaît et Rosa dans la même phrase. « On se passera du champagne, merci. » lances-tu sèchement à la domestique qui s'emploie déjà à lui remplir une coupe. Tu fronces les sourcils en secouant la tête, lui indiquant la sortie d'un signe du menton. Elle s'éclipse et tu te rapproches de ton cousin, ton éternel sourire sur les lèvres, t'attrapes sa mâchoire pour lui faire tourner la tête et l’ausculter d'un peu plus près. « T'as pas envie de vomir hein ? Je supporte très mal l'odeur du vomis comme chacun sait. » tu le relâches, avant de passer un bras autour de ses épaules, l'entraînant hors de la cuisine avec toi en le soutenant à moitié. S'il perd connaissance maintenant ça sera beaucoup plus compliqué de le faire monter dans la voiture. Et puis ce serait dommage qu'il se recasse le nez. Tu composes déjà le numéro de ton chauffeur sur ton iPhone « Oui, venez me chercher. Et ne traînez pas. » t'es directif, incisif presque, tu raccroches, fixant sur lui un regard inquiet. T'aimes pas l'idée que c'est toi qui l'a mis dans un état pareil, t'es juste beaucoup trop fier pour l'admettre à voix haute. Tu dégages une fille pour le faire asseoir à sa place dans la canapé. « J'essaie d'évaluer à quel point ton état est critique, tu crois que tu serais en état de sauter une infirmière ? » incorrigible.
Revenir en haut Aller en bas




Contenu sponsorisé




(inachevé) Gold, bali - 2011 Empty
MessageSujet: Re: (inachevé) Gold, bali - 2011   (inachevé) Gold, bali - 2011 Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
(inachevé) Gold, bali - 2011
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» (inachevé) Never Let Me Go | Lorenzo
» (inachevé) Let it be - Noah
» (inachevé) Just need some help ~ Will & Ash
» (inachevé) Something old, something new
» (inachevé) Just you and me

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Jusqu'à l'excès  :: Le coin des petits whiskies :: Archives Administratives :: Les RPs égarés-
Sauter vers: