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 (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)

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MessageSujet: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyMar 20 Oct - 4:40


FT JULES SAINT-CLAIR & CHARLOTTE LEVINSON ; 09:10pm
La moquerie est la fumée des cœurs petits.

Le Duke. Jusqu'ici, tu as réussis à éviter le repère des Posh, mais, ce soir, Mervi n'entend pas te laisser fuir. Tu avais tenté d'ignorer ses messages, puis ses appels, mais, quand il s'était pointé devant ta porte, tu t'étais trouvée bête. Alors, t'avais finis par accepter, tout en sachant que tu serais son cobaye cette nuit encore. Sans doute s'amuserait-il à tester les frêles limites de ton self-control, face à une bande de pimbêches trop sophistiquées pour toi. Il avait tout prévu, même une tenue assez élégante pour ne pas te voir refuser l'entrée. Puis, il avait disparu comme il était arrivé, sans prévenir.
Ainsi, comme convenu, tu te trouves devant le bar à vingt-et-une heures tapantes. Sauf que tu ne vois aucun signe de lui. Plantée devant ta voiture, comprimée dans une petite robe et un trench qui ne te ressemblent pas, tu bouillonnes. Ton esprit s'éparpille, et tu lui laisses un deuxième message vocal. Tous les noms d'oiseaux à ta disposition y passent. Puis tu décides d'entrer, nourrissant le faible espoir de le trouver à l'intérieur. Où qu'il soit, tu espères que les oreilles de Mervi sifflent à lui en crever les tympans. Solennellement, tu le maudis. Le videur te détaille à l'instant où tu entres dans la file d'attente, et, une fois à son niveau, il fait durer le suspens. Il a pas l'air certain de vouloir te laisser entrer, mais, il finit par accepter, pressé par le groupe d'habituées qui râle. Si ça ne tenait qu'à toi, tu les aurais tous envoyer chier. Bande de cons. Putain, tu serres les dents très fort, et les poings aussi. Directement, en posant ton premier pieds au Duke, tu balayes la salle d'un œil inquisiteur. Ton attention ne trouve pas ce qu'elle cherchait, mais elle s'accroche tout de même à une silhouette familière. Jules. T'en es certaine, quoi qu'un peu surprise. Il a cette façon bien particulière de se percher au dessus de ses interlocuteurs. De la même manière qu'un prédateur, c'est comme s'il risquait de croquer sa brunette de conquête à tout moment. Tu la jauges quelques instants. Elle envoie tous les signaux d'une femme prête à craquer, il n'a plus qu'à la cueillir. Un fin sourire se dessine aux coins de tes lèvres, alors qu'une furieuse envie de saboter son entreprise te submerge. Simplement parce que tu en as envie, par plaisir. Parce qu'il est Jules, et, que c'est insupportable de le voir parvenir à ses fins si facilement. A mesure que tu avances vers le couple de fortune, ta colère se tasse et ton plan s’échafaude. Tu t'assures de ne pas t'être faite remarquer, puis tu te hisses entre les deux, la mine désabusée et furibonde. " Vraiment ?! " Ton regard se pose sur le français avec insistance. Le vert de tes yeux se fait noir de reproches imaginaires alors que tu ne lui laisses pas le temps de répondre. " C'est comme ça que tu t'occupes, pendant que moi j'amène les gosses chez ta mère (...) " Siffles-tu sans finir ta phrase. Ton regard se pose brièvement sur l'étudiante à ta droite. Tu gigotes pour te faire un peu plus de place et devines son malaise avec satisfaction. " (...) Et que je vais chercher ta crème pour les mycoses! " Termines-tu en feignant l'indignation. Il n'en faut pas plus à la brunette pour s'offusquer et tourner les talons. Toi, tu jubiles, et, sa tignasse se fond rapidement dans la masse. Aussi sec, le masque tombe et tu te fais violence pour ne pas rire. " Oh, comme c'est con. Une grande perte, j'suis sûre. " Railles-tu en lui adressant un sourire moqueur. N'empêche que, ce que tu attends, c'est sa réaction, ses yeux furieux. De tout ce que tu pourrais faire en attendant, ici, ce soir, l'emmerder est la seule chose qui te semble alléchante.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyMar 20 Oct - 21:02

Quand tu pousses la porte du Duke, il est vingt-heure pile à ta montre Cartier. Ta tenue a été choisie avec soin, rien ne laisse à désirer. Que ce soit tes chaussures ou la couleur de ton caleçon. Ce soir tu es venu pour chasser, dans le meilleur endroit d’Oxford. Ce lieu où les femmes n’attendent que ça. Se faire offrir des verres jusqu’à en tomber raides. Et les mecs qui fréquentent ce lieu saint, ne sont ici que pour faire chauffer leur carte de crédit. Exposer leurs paires de couilles sur la table comme de vulgaires chiens. Toujours en faire plus. Essayer d’appâter la plus belle gazelle. Toi, tu n’en fais jamais trop, tu restes naturel. Mais le naturel des Saint-Clair est trop imposant pour paraitre véridique. Dans le bar t’es comme un poisson dans l’eau, tu regardes à gauche à droite, observant de loin tes adversaires, un fin sourire sur les lèvres. Tu t’approches rapidement du comptoir, et le barman sait déjà ce que tu désires. Et en un rien de temps te voilà déjà avec ton old fashioned entre les mains, tu sirotes le mélange, tes yeux balayant la pièce. Dans ta tête c’est un véritable radar, bip. Bip. Bip. Bip. Bip bip bip bip bip. Une brune attire particulièrement ton attention, perchée sur ses louboutins. Robe noire bien trop moulante, mettant en valeur sa poitrine parfaite où s’aventurent ses longs cheveux. Vue ça façon de se tenir la demoiselle a déjà un coup dans le nez, et son rire cristallin fait tout de suite écho à tes oreilles. Tu t’approches à pas de loup. Quand tu arrives celles qui semblent être ses amies te regardent comme si tu venais pour elles. En bon gentleman tu te présentes au groupe avant d’offrir une bouteille du meilleur Chardonnay à leur table. Maintenant accepté par la horde de lionnes, tu t’assois avec elle. Ton attention totalement porté sur la brune qui vient de te dire son prénom, mais que tu n’as même pas eu envie de retenir. Tu ris à leurs blagues sans en comprendre le sens, et continue à boire ton cocktail alors que ces dames se gavent de vin comme si leurs vies en dépendaient. Vingt heures et quarante-cinq minutes. Te voilà à côté de machintruc et ses gros … enfin. Tu parles, tu parles, elle rit en jouant avec ses mèches. Sa main se pose sur ta cuisse dans un geste furtif et tu souris en coin. Ses lèvres bougent mais tu n’entends pas un traitre mot, trop occupé à vous imaginer dans ta chambre à jouer au docteur. La proie baisse sa garde, tu n’as qu’à te pencher pour mordre sa jugulaire. Tu attends encore, alors que tu regardes l’heure. Plus vite tu passeras à table, plus élevées seront tes chances de conclure deux fois dans la même soirée. [color:9166=6633cc]vraiment ?! Comme apparue de nulle part, voilà Charlotte. Entre la gazelle et toi, alors que tu étais prêt à foutre les dents dedans. Tu arques un sourcil, sans comprendre. [color:9166=6633cc]C'est comme ça que tu t'occupes, pendant que moi j'amène les gosses chez ta mère Et que je vais chercher ta crème pour les mycoses! Un rire nerveux t’échappe alors que tu comprends enfin son petit jeu. Comment foutre en l’air tout ton plan en moins de deux secondes. Quand la fille facile s’échappe outrée dans ta tête ça oscille, entre l’envie de la frapper et de celle de lui envoyer ton verre en pleine gueule. Démentir ses propos ne t’intéresse pas le moins du monde, Jules Saint-Clair ne se justifie jamais. [color:9166=6633cc]Oh, comme c'est con. Une grande perte, j'suis sûre. A sa phrase tu hausses les épaules, alors que tu penches la tête pour examiner le cul de celle qui ne sera pas ton dîner ce soir. La troisième bouteille de chardonnay n’étant pas vide, tu t’en sers un verre que tu bois d’une traite. Les fausses amies de l’inconnue sont encore là, et tu les observes avec dégout. vous comptez rester là longtemps ? ma femme et moi avant besoin d’intimité. lances-tu le plus sérieux du monde. Ta main se pose sur la cuisse nue de Charlotte que tu serres entre tes doigts indélicat. allez, dégagez. choses faite, tu te décales. D’un geste de la main tu sommes un serveur de t’emmener un nouveau cocktail. t’es fière de toi Levinson ? lui lances-tu. Un sourire se dessine sur tes lèvres alors que tu l’observes de haut en bas, tu pouffes de rire. c’est quoi se déguisement. tu es … ra-viss-… c’est quoi le mot déjà ? Tu tournes la tête quelques secondes à la recherche d’une nouvelle proie. je suis obligé de passer la soirée avec toi maintenant. tu vas être ravie. balances-tu accompagné de ton plus beau sourire. Puis tu grimaces. Ton verre pour seul alliée dans cette soirée qui semble virer au cauchemar.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyMer 21 Oct - 21:23

Tu pensais qu'il n'y avait qu'elle. La brunette plantureuse. Mais, c'était sans compter sur la meute de bécasses qui l'entoure. Tu ne te dégonfles pas, à vrai dire, tu es plus ou moins satisfaite d'avoir une audience. Rapidement, tu les jauges, et, discrètement, tu ris jaune. De toute évidence, l'alchimie entre elles n'est pas véritable. Pourtant, entre superficialité et intérêt, elles semblent à leur place, toutes ensembles. Définitivement, tu ne comprends pas son enthousiasme à chasser un tel gibier. Au fond, tu attends que l'une d'elles bronche, pour le simple plaisir de lui voler dans les plumes, mais toutes gardent le silence. La première se défile, et, tu suis le mouvement de Jules pour juger ses formes. Certes, tu comprends un peu mieux son intérêt, mais quand même. Tes yeux ravis se perdent un instant, puis la voix grave de l'étudiant t'interpelle. " Vous comptez rester là longtemps ?  Ma femme et moi avant besoin d’intimité. " Quoi ? Tu gardes la face, mais t'es surprise. Ses doigts trouvent ta cuisse, et, aussi sec, t'es plus raide qu'un piquet. L'arroseur arrosé. Le sang court jusqu'à tes tempes, les martèle, et, ta robe Valentino te semble plus étroite que jamais. Mais, au début, t'oses pas bouger, comprimée dans le tissu hors de prix. Jamais tu n'aurais idée de porter un truc pareil. Ton corps ne vit pas là dedans, c'est trop cintré, trop serré, trop délicat. N'empêche que tu as assez de marge pour lui faire parvenir le fond de ta pensée. Alors, ton attention se pose sur les quelques idiotes encore immobiles, mais, ta main trouve également la cuisse de Jules. Elle épouse la forme du muscle intérieur, près du genou. Si on pourrait penser le geste anodin ou aguicheur, tu ne cherches qu'à le pincer. Ta main se ferme autour de son pantalon puis du muscle, et, tu ne t’arrêtes qu'une fois certaine de lui avoir fait mal. Tes billes vertes roulent à nouveau jusqu'à lui, et, tu lui réserves le plus hypocrite des sourires. " Allez, dégagez. " Tu illustres les paroles du français en secouant ta main libre, leur signifiant de s'activer. Puis, si tôt seuls, il s'écarte et récupère sa cuisse. Toi aussi, mais tu restes méfiante. Le serveur passe, Jules se fait comprendre sans ouvrir la bouche, mais toi, tu lui demandes une bière. Il s'attendait pas à ça, et le regard qu'il te jette te fait serrer les dents. " T’es fière de toi Levinson ? " Tu hoches directement la tête, faisant fi de l'employé. T'avais pas prévu d'y laisser une ou deux plumes, mais la finalité est celle que tu attendais. Ton sourire se mue pour devenir plus franc, amusé. " C’est quoi se déguisement. tu es … ra-viss-… c’est quoi le mot déjà ? " Et voila, tu tires à nouveau la tronche. " La ferme ? " Proposes-tu en soupirant. Tu grimaces en jetant un coup d’œil à ta robe. Tu sais bien que ça rend de façon étrange, mais t'as pas besoin qu'il le remarque à voix haute. Alors, tu envoies ton poing s'écraser contre son épaule. Connard. " Je suis obligé de passer la soirée avec toi maintenant. Tu vas être ravie. " Siffle-t-il, tout sourire. Un putain de sourire commercial. Puis, la seconde suivante, il fait la gueule. Des fois, t'as l'impression de te voir. " Bien sur. Quelle fille ne serait pas ravie de passer sa soirée avec le grand Jules Saint-Clair ! " Railles-tu en exagérant. " T'es un vrai rayon de soleil, dans ton genre. " Tu hausses les sourcils alors qu'un sourire moqueur se dessine sur tes lèvres. T'as le parfum amer de l'ironie qui te colle à la peau, mais, y a pas à chier, ça t'amuse. Tu furètes, à la recherche du serveur. Le malheureux est au bar, en train de réceptionner vos boissons. Au prix que coûtent les verres, ils font bien d'être rapides. Finalement, ton attention retrouve Jules. " Sérieusement, tu te renseignais sur la transmission des MST, ou c'est comment ? " Demandes-tu, dans la continuité de ton petit jeu. Parce qu'il faut avouer que c'est de la greluche de compétition, on peut jamais savoir où elles ont traîné.   
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyMer 21 Oct - 23:27

En te décalant tu récupères un semblant de sensation dans le muscle de ta cuisse. Charlotte s’étant occupée d’exprimer son mécontentement en t’arrachant une parcelle de peau. Tu te masses nerveusement la partie attaquée, avant de reporter ton attention sur elle. Lui faisant part de toute ton excitation quant à sa présence. Entre vous ça n’a toujours été que vacheries en tout genre, une sorte de guerre froide, les deux parties sont au courant qu’elles ne s’apprécient pas et préfère agir en douce. Trois ans que tu la côtoies, et tu dois avouer t’être habitué à sa présence au fil du temps. Une femme à laquelle tu n’aurais jamais adressé la parole si ton cousin ne te l’avait pas foutu sous le nez, tirant sur le collier pour t’obliger à te montrer courtois. Te tapant sur le museau pour te faire comprendre qu’on ne doit pas y toucher non plus. Un rire sincère s’échappe de ta bouche lorsque son poing s’en prend à ton épaule, elle ne rate pas son coup et te laisse une douleur palpitante don tu ne tiens pas compte. Vous deux, seuls, à une table. Ou comment gâcher la soirée, de l’un comme de l’autre. bien sur. quelle fille ne serait pas ravie de passer sa soirée avec le grand Jules Saint-Clair ! t'es un vrai rayon de soleil, dans ton genre. tu ricanes. Ses attaques sonnes toujours comme les plus douces à tes oreilles. arrête, tu vas me faire réussir à me faire rougir Levinson. craches-tu comme le serpent que tu es. Nouvelle grimace, accompagné d’un mouvement de tête en direction du serveur qui décide enfin à ramener son cul, avec vos commandes. Une bière pour madame. Une bière, rien que l’idée d’en boire une gorgée te donne des hauts le cœur. Et un autre cocktail pour toi. L’homme pose tout devant vous, et aussitôt tu lui demandes une bouteille de leur meilleur scotch. Autant ne pas être sobre si c’est pour passer la soirée à côté d’une femme que tu ne peux même pas espérer ramener dans ton pieu. Sérieusement, tu te renseignais sur la transmission des MST, ou c'est comment ? du tac au tac tu lui réponds. tu me prends pour qui ? sans même lui adresser un regard, trop occupé à mater le cul d’une blonde quelques mètres plus loin. Quand elle se retourne et que tu te rends compte qu’elle a déjà passé une, ou même deux nuits avec toi c’est un nouveau haut le cœur. De plus tu ne veux pas qu’elle te voit, alors tes yeux accaparent le regard émeraude de Charlotte. Tes lèvres s’étirent en un demi sourire. plus sérieusement… c’est vrai que tout le monde leur passe dessus, mais… tu regardes la jeune femme de haut en bas, t’attardant plus particulièrement sur ses jambes à moitié dénudées et son décolleté pour une fois dévoilé. ce soir tu leurs ressembles, et laisse moi douter de ta vertu. un sourcil arqué, la méchanceté te pique les lèvres alors tu bois une gorgée de ton doux mélange.  Tu risques de te prendre une claque plus rapidement que prévue, et tu l’auras bien cherché. Tu ne comptes même plus le nombre de coups que Levinson t’a filé, tu n’es pas des plus tendre mais madame à la peau dure. Madame se défend comme une reine. jules ! tu n’oses même pas tourner la tête, certains qu’il s’agit de la blonde au cul d’enfer mais cent fois visité. Tu grimaces, tu baisses la tête un instant. Tu te rapproches de Charlotte, toujours la tête baissée avant d’éclater d’un rire peu élégant. putain, me dit pas qu’elle arrive. tu redresses la tête une grimace d’enfant sur le visage. je te donne ma voiture si tu la mets k.o. proposes-tu. La voix se rapproche, te forçant à tourner la tête. non ? repond-tu à la blonde qui reste plantée devant toi comme une brochette de viande.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyJeu 22 Oct - 1:56

" Arrête, tu vas réussir à me faire rougir Levinson. " Tu ris, comme s'il venait de dire la connerie du siècle. Biologiquement, c'est impossible, t'en es certaine. Ce genre de bête là, ça ne s'émeut jamais de rien. T'es interrompue par le serveur qui vient déposer vos boissons. Du moins, tu t'interromps brusquement. Et, tu oublies volontairement de le remercier. Tout ce que tu lui adresses, c'est un regard noir. Connard condescendant. Tu grimaces lorsque Jules commandes une bouteille de Whisky. C'est imbuvable ce truc là. Tu comprends pas l'intérêt de boire quelque chose de si fort, simplement pour avoir l'air viril. Du moins, c'est la seule explication possible, à ton sens. Mais, tu ne rebondis pas là-dessus. Tu ré-attaques sur le légume qu'il convoitait. C'est plus amusant, et, surtout, il réagit aussi sec. " Tu me prends pour qui ? " Pourtant, pas le centre de l'attention. Il a les yeux voyageurs. A sa manière, il te fait clairement comprendre que tu lui passes au dessus. Tu n'sais pas ce qu'il regarde, mais à la lueur carnassière de ses yeux, tu devines qu'il envisage de trouver une remplaçante à celle qui venait de fuir. Et, de toute évidence, c'est plus intéressant que ce que tu peux raconter. Une nouvelle fois, tu ris jaune. T'as pas besoin de répondre, il le fait tout seul. Tu le prends pour le genre de mec qui déconnecte dès qu'une cruche potentiellement baisable passe dans son champ de vision. Alors, tu lèves les yeux au ciel, mais il fait brusquement volte face. Tu bois ta première gorgée lorsqu'il reprend la parole. " Plus sérieusement… c’est vrai que tout le monde leur passe dessus, mais… " Mais ? Tu le sens pas, pas du tout. Et, la façon dont il te détaille ne te fait pas mentir. Tes doigts se serrent autour du verre jusqu'à blanchir. Ses yeux azurs, tu les sentirais presque glisser physiquement sur toi. Instinctivement, ta moue se renfrogne, et tu donnes deux coups sous son menton pour qu'il relève plus vite les yeux. Tu sais bien qu'il fait exprès. C'est tellement simple de jouer avec tes nerfs, pour peu qu'on en connaisse les accords. T'as beau le savoir, t'as le cœur qui manque un battement avant de s'emballer furieusement. " Ce soir tu leurs ressembles, et laisse moi douter de ta vertu. " Oh le con, oh le sale con. Ta bouche s'ouvre, mais les mots tardent à sortir. Tu lèves la main, prête à l'attaquer, puis tu te ravises. Tu tout le monde. Lui, d'être si con, Mervi, parce qu'il a vraiment des idées de merde, et toi, parce que tu n'aurais jamais du aller vers Jules. Mais, maintenant que tu y es, tu peux pas lui laisser le dernier mot. Ton poing se serre devant lui et tu étouffes un son étrange, à mi-chemin entre le soupire et le grognement, dans l'espoir de ne pas imploser. Finalement, tu pointes un index menaçant vers lui. " La prochaine fois que tu me reluques comme ça, je t'arrache les yeux. " T'es sérieuse, beaucoup plus qu'on ne peut l'être en faisant une menace pareille. " Et, parle pas de vertu, tu vas (...) " Tu t'arrêtes. T'es coupée par une voix étrangère. " Jules ! " De mieux en mieux. Au son de sa voix, tu devines qu'elle est déjà bien imbibée. Rapidement, tu interroges le français du regard. Il a la mine déconfite et tu peux pas t'empêcher d'être amusée, malgré l'agacement.  " Putain, me dit pas qu’elle arrive. " Tu croirais voir un môme qui n'veut pas se faire attraper. Il s'approche. Tu grimaces, tu recules autant qu'il avance. " Je te donne ma voiture si tu la mets k.o " Tu arques un sourcil, la proposition est tentante, même sans contre-partie. En revanche, c'est plus alléchant encore de le voir se dépatouiller seul. Alors, tu lui souris vicieusement. T'as pas l'intention de bouger pour l'instant. " Jules? Tu te souviens ?! " Reprend-elle, juste à côté de vous. Il reste stoïque, ne fait même pas semblant de chercher. L'intruse s'impatiente. " Mais si, Britany. Y a deux semaines environ ... Tu te souviens forcément. " Insiste-t-elle en se dandinant. Le ton de sa voix se fait enjôleur, et tu te vexes d'avoir si peu de considération. T'es pas sa nana, pas son plan cul, mais t'es là quand même. Tout compte fait, tu envisages à nouveau la proposition du cousin maléfique. " Je m'en souviens pas. Et, crois moi, c'est mieux pour toi. " Les mots de Jules claquent avec arrogance, et, tu comprends immédiatement que le blonde bascule. Elle se transforme littéralement en harpie, commence à hausser le ton pour défendre un honneur déjà envolé. Après quelques instants, tu vrilles aussi, sa voix de crécelle te tape sur le système. Il choisit vraiment les pires. Et toi, ce soir, tu fais preuve d'un sérieux manque de discernement. Brusquement, tu te dresses sur tes jambes, te trouves face à la blonde en furie. Elle est plus grande que toi, mais, sur l'estrade des tables, tu la domines de tout ton aplomb. Tu poses une main sur elle, faisant pression pour la faire reculer alors qu'elle continue de piailler. " Oh ? " Elle ne te calcule pas. " Oh ! " Tu hausses le ton mais elle n'a d'yeux que pour Jules, le saint connard. Cette fois, tu la bouscules avec plus de ferveur. Elle fait quelques pas en arrière et manque de trébucher. Tu as toute son attention, alors tu la suis de près. T'as envie de lui casser le cou, ça clignote sur ton front. " Tu la fermes et tu te casses, si tu veux pas récupérer tes dents dans un tupperware. " Tu la fixes, déterminée, mais elle ne t'offre pas l'exutoire que tu attendais. Heureusement, au milieu de la masse alcoolisée, l'agitation n'est pas assez importante pour vous faire véritablement remarquer. Alors, elle te traite bêtement de barbare, puis tourne les talons. Sans doute est-elle pressée de raconter cette aventure à ses loyaux sujets. Toi, t'as du mal à redescendre. Tu restes debout, implantée là, quelques instants. T'as pas envie d'affronter Jules de suite. Tu souffles, fort, mais ton cœur n'en démord pas, il n'a pas l'intention de freiner sa course folle. Quand tu fais demi-tour pour rejoindre la table, tes yeux s'ancrent à ceux de Jules comme pour l'avertir. Au final, c'est certainement lui qui jubile et ça te rend verte de rage. Faut que tu ajoutes quelque chose, que tu détournes le sujet. Sinon, c'est tout gagné pour lui. " Putain de merde. " Rages-tu à demi-mots, pour toi plus que pour lui. Puis, tu soupires, tu cherches à reprendre le dessus. C'était que des conneries. Zen. " Pas de K-O. Mais, pour le dérangement, ça mérite bien ... " Tu réfléchis quelques secondes, tes yeux se plissent alors qu'ils le scrutent. Ce que tu voudrais vraiment, c'est le voir perdre son flegme waterproof. Mais, tu prendrais n'importe quoi pour penser à autre chose. Sinon, à ce rythme, tu aurais tué quelqu'un d'ici demain matin. " ... Hm, que tu te déguises en soubrette? " Tentes-tu, l'air de rien. Tes mains retrouvent nerveusement la bière. T'en bois une gorgée mais tu restes sur ta faim. Là, ce que tu veux, c'est un bon gros spliff. Un putain d'énorme pétard.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyJeu 22 Oct - 20:01

Tu t’amuses à mettre mal à l’aise la jeune femme, comme si sa tenue n’était pas suffisante il faut que tu t’y colles aussi. Tu sais qu’elle n’est pas à l’aise dans ce genre de robe, ce n’est pas dans ses habitudes. Etre étriquée de la sorte. T’es piquant, limite vexant. Et quand ses yeux se font noirs c’est encore plus plaisant. Elle ouvre la bouche, prête à attaquer une nouvelle fois. Mais la blondasse écervelée l’en empêche. Te voilà presque caché, réclamant de l’aide comme un enfant. Mais le sourire vicieux qu’elle t’adresse te laisse croire qu’elle préfère te voir dans la mouise. Bien. Après tout, c’est ton problème. La prochaine fois, tu en choisiras une un peu plus saoule, que tu abandonneras au petit matin. Les talons claquent sur le sol, et la voilà déjà à votre niveau. tu te souviens ?! t’arcques un sourcil, observateur. Alors que tu la détailles quelques secondes, tu ne réponds rien. mais si, britanny, il y a deux semaines à peu près… tu te souviens, forcément ?! tu soupires exaspéré. non, je ne me souviens pas, et crois-moi c’est mieux pour toi. lances-tu d’un ton froid, alors que tu te penches pour récupérer ton verre. Le visage de la blonde se déshumanise presque, la honte ou la colère –tu ne sais pas vraiment – lui monte aux joues. Ses lèvres se meuvent et un son suraigüe s’échappe de sa bouche, tu grimaces et te frotte l’oreille en la regardant se transformer en monstre. Les femmes sont-elles toutes folles ? Apparemment tu lui as causé du tort, apparemment t’es un véritable salop. Ouais, totalement, et ce n’est pas une nouveauté. Elles le savent pertinemment, Jules Saint-Clair est un connard, tu monterais même sur la table pour le clamer haut et fort si ça pouvait lui fermer la gueule. Se rend-elle au moins compte que tu n’écoutes rien de ce qu’elle est en train de hurler. Fatiguant.
A ta grande surprise, c’est Charlotte qui se lève à présent. Les deux se ressembleraient presque, la différence notable reste la prestance qu’impose la boxeuse. Celle-ci cherche l’attention de la harpie, qui ne semble même pas l’avoir vue. Son doigt se pointe sur toi, et Charlotte la bouscule. Toi tu restes scotché à ton siège, sourire aux lèvres. Elle se fait secouer plus violement et semble enfin réagir. nianianianiania. un rire t’échappe. T’as presque envie d’applaudir. L’idiote s’éloigne après avoir gratifié ton acolyte de douces paroles. Dans ta tête tu sautilles de joie, comme un enfant à qui on vient d’offrir un bonbon. T’as le sourire jusqu’aux oreilles alors que tu entames une nouvelle gorgée, l’alcool te brule la gorge. Quand elle fait demi-tour, ses yeux s’emparent des tiens, madame n’est pas contente. Madame hurle à l’intérieur, et le con que tu es jubile comme un âne. putain de merde. lâche-t-elle. Tu applaudis, comme pour le remercier du spectacle qu’elle vient de t’offrir. Tu lui imposes toujours ton sourire Colgate, histoire de lui mettre les nerfs un peu plus en boule. il nous faut du champagne ! affirmes-tu. Elle change de sujet, le plus vite possible, que tu oublis certainement. Tu n’oublieras jamais, l’instant reste gravé dans ta mémoire comme du marbre. pas de k.o. mais pour le dérangement, çà mérite bien … elle réfléchit, t’as presque peur. hm, que tu te déguises en soubrette ? alors que tu bois ta gorgée, t’as un raté. Sauver par le serveur, il se ramène enfin avec ta bouteille de scotch trente ans d’âge. Allez, un petit verre pour la route histoire de faire passer la pilule. Tu grimaces légèrement à la première gorgée. t’es sérieuse en plus ? un rire t’échappe. me voir en petite tenue ce n’est pas dans tes moyens ma chère, allonge les billets. lances-tu accompagné d’un clin d’œil.
Tu t’enfonces un peu plus dans ton siège alors que l’alcool te monte à la tête. La drogue que tu as pris avant de venir ne suffit plus à apaiser ton cerveau. Tu soupires. Las. Tes iris bleus se reposent sur la demoiselle, ce soir t’as de l’humour à revendre. Et elle est la seule à en profiter, quel dommage. va pour le déguisement. mais j’veux un truc en échange. aboies-tu presque. Jules est comme un enfant et veut un truc en échange, et tu veux quoi en fait Jules. trouve moi une autre fille, où je vais m’ennuyer ce soir. t’es de nouveau tout sourire, un gosse. Un putain de gosse.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyJeu 22 Oct - 23:33

Ses yeux dansent, ça te donne envie de vomir tant il a l'air satisfait. Tu viens de lui donner exactement ce qu'il voulait, bien malgré toi. De tous les sourires qu'il a pu t'adresser, c'est le plus franc. Habituellement, c'est celui qu'il ne réserve qu'à Mervi, quand les cousins discutent de choses qui t'échappent. Pourtant, t'es pas flattée, pas du tout. Ça te fait hérisser le poil, tu grincerais presque des dents. Lui, il a déployé toutes les siennes pour l'occasion. Mais, ce qui ressort vraiment, ce sont ses deux canines, plus saillantes que des crocs à l’affût. Tu bouillonnes, t'accumules et t'arrives pas à extérioriser. Tu ne vois que ces deux phares bleus, aussi moqueurs que suffisants. Dans les tiens, y a plus un pet de vert. Ton regard se fait sombre, tu le fusilles littéralement, et, tu exploses toutes tes cartouches. Si ça avait été n'importe qui d'autre, t'aurais rué dans les brancards. T'as la foudroyante envie de lui en coller une, juste pour décrocher ce putain de sourire. T'es sûre que ce serait salvateur. Ça te démange, ça te ronge la peau. Mais, la seule chose qui te retienne, c'est Mervi. Tu supporterais pas qu'il t'assomme avec cette histoire pendant des heures. Ça te coûte plus que t'aurais pu imaginer. Comme si ton cœur voulait exploser, avec ou sans ton consentement. Particulièrement lorsqu'il applaudit. Là, t'es obligée de faire appel à des réserves de self-control insoupçonnées. " Il nous faut du champagne ! " Déclare-t-il tout naturellement. Tu fais comme si tu n'avais rien entendu. Faut passer à autre chose. Faut que tu passes à autres chose avant que la machine ne déraille. Alors tu noies le poisson, avec la première chose susceptible de le faire réagir. Il serait parfait, en tenue de domestique. Sale con. Et de toute évidence, les sales cons, ça s'attire. Le serveur rapplique, déposant une nouvelle bouteille. Tu l'ignores, t'es pas dans la possibilité de gérer un deuxième crétin. Tu préfères rester concentrée sur Jules. Tu mènes toujours une intense bataille, mais les chiens se calment doucement. En revanche, ça t'empêche pas de tirer une tronche de trois mètres. C'est physiquement impossible d'être moins souriante que toi à ce moment. Tu sirotes une nouvelle gorgée, mais tes yeux attendent toujours une réponse. " T’es sérieuse en plus ? " Bien sur. Tu hoches la tête. " Me voir en petite tenue ce n’est pas dans tes moyens ma chère, allonge les billets. " Il ricane, et, tu lèves les yeux au ciel. " Les seuls billets que j'allongerais, c'est pour te faire liquider. " Après tout, t'as pas promis à Mervi de ne pas faire tuer Jules, juste de ne pas essayer de le faire toi-même. Les soupirs du français t'exaspèrent. T'es persuadée que le pire fardeaux, c'est toi qui le porte. C'est une putain de plaie ce mec. T'as le visage pincé, tu ne penses qu'à fumer. T'imagines un cône entre tes doigts, et tu supposes que c'est ce qu'il te reste de mieux à faire. Y a rien à tirer de ce mec, pourquoi est-ce que tu l'oublies à chaque fois? " Va pour le déguisement. Mais j’veux un truc en échange. " L'espace d'une seconde, tu es surprise. Puis, le ton souverain de sa voix te refroidit instantanément. Tu grimaces, t'as envie de dire non avant même de savoir ce qu'il veut. " Trouve moi une autre fille, où je vais m’ennuyer ce soir. " Tu t'attendais pas à ça. T'es obligée de lui reconnaître un certain culot. Alors tu ris, mais l'expression de ton visage n'a rien de joyeux, ni amusé. C'est le genre d'éclat de voix purement mauvais. Tu lui ris au nez, et les simples sursauts de ta voix le traitent d’imbécile. " Ah! Et, tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre? " Finis-tu par lâcher, amère. " Laisse tomber, j'ai tendance a oublier que t'es qu'un con intéressé. " Siffles-tu en forcant un sourire hypocrite. T'as pas envie de céder à une quelconque forme de chantage. Surtout pas si ça vient de Saint-Clair. Tu bois une nouvelle fois, mais ça ne fait qu'accentuer ton envie de thc. Tu finis par fouiller dans la poche de ton trench. T'y as un paquet de clopes, et un spliff. Tu fais jouer l’étui cartonné dans ta main, tu hésites. Sortir fumer, continuer de t'enfoncer? Mauvais choix. " Je vais plutôt m'assurer que tu t'ennuies à mourir ce soir, avec un peu de chance, tu seras plus là demain. " Railles-tu en gigotant, pour trouver un peu d'air dans ta robe-camisole.   
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyDim 25 Oct - 3:38

T’exagère. En permanence.
Lui demander d’aller te trouver une autre fille, pour la simple et bonne raison que tu ne veux pas rentrer sans avoir manger ce soir. Ou alors pour voir son visage se décomposer après ta demande. Surement un peu des deux. Parce qu’il est trop facile de la pousser à bout, et qu’ente vous deux les choses ne sont jamais plus poussées. Vous ne vous supporter pas bien longtemps, pour ne pas dire pas du tout. Comme chien et chat, ou plutôt comme chat et chat. Deux sur le même territoire, cherchant à repousser l’autre dans ses retranchement, jusqu’à sa fuite. Aucun de vous n’est capable d’accepter la défaite, alors vous laisser les choses s’envenimer, sans solution de retour possible. Et tu sais que cela va surement se terminer de la sorte ce soir. Le son qui s’échappe de sa bouche n’a rien d’agréable, et c’est pour ça que tu fronces les sourcils plus qu’à l’ordinaire. Ton verre de scotch à la main tu l’observes. ah! et, tu crois vraiment que j'en ai quelque chose à foutre? laisse tomber, j'ai tendance à oublier que t'es qu'un con intéressé. tu souris, comme un enfant idiot mais heureux qu’elle remarque enfin ce que tu es réellement. Tu soupires, t’enfonçant un peu plus dans ton siège, zieutant à gauche à droite à la recherche d’un échappatoire. je vais plutôt m'assurer que tu t'ennuies à mourir ce soir, avec un peu de chance, tu seras plus là demain. persifle-t-elle. Tu soupires. Qu’elle se casse. T’as presque envie de l’y inviter, mais ce serait trop facile, tu préfèrerais qu’elle prenne la fuite d’elle-même. Tu te racles la gorge, dans ta poche tu sors ton paquet de cigarette. Et comme le connard dédaigneux que tu es, tu ne perds pas une seconde pour t’en allumer une. Tirant dessus comme à bout de souffle. Ton attention se reporte sur Charlotte coincée dans sa robe. t’etouffe non ? encore une idée de Mervi ça. t’as un sourire en coin qui en dit long, tu ricanes en fumant ta clope. Laissant la fumée s’échapper doucement de tes narines.
écoute Levinson, je suis de la même race que blondie. tu grimaces. joue pas l’étonnée avec moi. tu poses ton verre sur la table dans un claquement sonore. Tu croises les jambes, la regardant du haut de ton trône. Si tu t’écoutais t’appellerait quelqu’un de la sécurité pour la faire sortir, et en vitesse. Mais tu te rends compte qu’elle n’est pas venue ici, dans cette tenue, pour toi. Quel dommage, ce que tu lui fais comprendre en un regard des plus appuyé sur sa morphologie, encore une façon de la faire vriller. De lui faire serrer ses petits poings, t’attends que ça. Qu’elle t'en foute une. tu savais très bien à quoi t’attendre en venant à cette table. t’es venu réveiller le monstre. T’as une envie carabinée de cocaïne à tel point que t’en as mal au crâne, tu te masses la tempe nerveusement avant de laisser tomber le mégot sur le sol, l’écrasant de la pointe de tes louboutin. Mâchoire serrée, tu te penches sur la table pour te resservir un verre. alors arrête s’il te plait. craches-tu mauvais, en secouant ta main dans sa direction comme si cela pouvait la faire cesser ses conneries. va jouer au toutou bien sage avec Mervi, et me casse plus les couilles. ajoutes-tu le plus serein du monde en lui adressant ton sourire le plus hypocrite. Tu piques. Tu cherches le point sensible. Tu hausses les épaules en la regardant, avant de changer à nouveau de ligne d’horizon.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyLun 26 Oct - 4:10

Tu ne trouves pas d'air, y en a plus. Comme si l'oxygène avait été aspiré par la pression, c'est le néant entre vous. Il n'y a plus qu'une masse noire qui t'absorbe. C'est facile de sombrer face à lui et ses réflexions bien pensées. Il sait exactement où enfoncer ses griffes. Alors tu tentes de prendre du recul, physiquement. Tu glisses sur la banquette circulaire pour t'éloigner, jusqu'à lui faire face. C'est stupide, mais, de là, tu te sens moins vulnérable. Ce serait plus simple de partir, c'est ce que ta raison te hurle. Ce combat, tu l'as mené cent fois, sans qu'il ne soit constructif. Il n'est jamais question que des mêmes attaques, des mêmes réponses, et, sans l'ombre d'un vainqueur. C'est une guerre froide, une bataille factice. Tu ferais mieux de laisser tomber, de tourner les talons. Y a rien à gagner dans le fond. Mais, c'est plus fort que toi. Tu peux pas te défiler, parce que, ça, ce serait lui offrir la victoire. " T’étouffes non ? encore une idée de Mervi ça. " Il a le sourire qui se moque, celui qui laisse un goût capiteux sur ta langue. Ses yeux sont pleins de sous-entendus, et, tu préfères encore quand il parle clairement. Il est beaucoup trop fier, beaucoup trop con, beaucoup trop serein. L'odeur de cigarette t’écœure, alors qu'il joue avec la fumée pour te narguer. Doucement, il te passe sous la peau, ça commence à te ronger. " Ecoute Levinson, je suis de la même race que blondie (...) joue pas l’étonnée avec moi. " Tu fronces les sourcils, ça te plait pas du tout. Il se donne l'allure d'un prince, et, c'est dérangeant tant c'est naturel. Ce qui te révolte, c'est son regard, plus que ses propos. Tu lui as fais la remarque, alors il fait exprès. C'est évident, mais t'es pas foutue de passer au dessus. T'as le cœur qui se serre, t'as envie de le vomir sur la table, de l'étriper. Si tu supportes difficilement les regards lubriques, les siens sont particulièrement enrageants. T'as le sang qui ne fait qu'un tour, ça te glace les veines. Tu te cramponnes au cuir, t'oses pas bouger. T'es sur le fil du rasoir, et, t'es susceptible d'exploser au moindre mouvement. " Tu savais très bien à quoi t’attendre en venant à cette table. t’es venu réveiller le monstre. " Il écrase son mégot, la fumée te pique le nez. T'as les mâchoires tellement serrées qu'elles en deviennent douloureuses. Tu boues. " Alors arrête s’il te plait. " Il est acerbe, véritablement amer. Lorsqu'il agite sa main devant ton visage, tu avances brusquement pour la repousser. Tu frappes violemment son bras, l'envoies balader. Il se prend pour qui, putain. " T'as un problème ?! " Grognes-tu. T'es plus vraiment là. C'est trop tard. T'as le crane qui cogne, la poitrine qui se soulève. La colère tend chacun de tes muscles, et t'arrives pas à imaginer autre chose que ton poing dans sa belle gueule. " Va jouer au toutou bien sage avec Mervi, et me casse plus les couilles. " Oh, merde. Tu peux pas le laisser dire ça. Il a pas le droit de piétiner ton ego de cette façon. Ça fait mal à ta fierté, t'as le cœur furieux. Dans ton cerveau, les connexions sont instinctives. T'as un verre dans la main, et, il serait mieux au milieu de sa tronche. Alors, sans crier garde, tu l'envoies valser en direction de son visage. Malheureusement, il se baisse de justesse. Le récipient continue sa course jusqu'au mur derrière lui et se brise en mille morceaux. Le fracas se fait presque envelopper par le brouhaha ambiant. En revanche, ta colère ne se tasse pas. Et, l'avoir raté te rend plus folle encore. T'es pas capable de tenir en place, alors tu te dresses aussi sec sur tes jambes. Avec toi, tu embarques la table pour lui renverser le bois dessus. Tu fais valdinguer toutes les bouteilles, mais, ce que tu espères vraiment, c'est lui faire mal. T'as accompagné le mouvement, t'as donné de l'élan pour qu'il réceptionne plus de poids. Il le mérite, tu le sais au fond de tes tripes. C'est ce que tu es supposée faire, c'est certain. Alors, la suite logique, c'est te jeter sur lui. Il n'y a que tes poings qui peuvent lui rendre justice. Le reste du monde, le bar qui retient son souffle, tu t'en tapes. T'y penses même plus, t'as complètement vrillé. Ta première main s'empare du col de sa chemise, alors que ton deuxième poing est armé, prêt à s'écraser sur son nez. T'es à deux doigts de toucher au but, mais tu n'as plus pieds. Littéralement. Tu sens à peine des bras t'encercler qu'ils t'aspirent en arrière. Tu comprends rien.  
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyLun 26 Oct - 14:24

T'es de bonne humeur dans ta voiture, le pied au plancher, et un sourire proprement triomphant sur la gueule. Tu grilles plus ou moins un feu dans une accélération tonitruante qui fait sursauter et hurler les passants. Mais leurs cris se perdent dans le vent que soulève ton bolide surpuissant. Tu files bien trop vite, les veines et le cœur déjà trop plein d'alcool ; c'est un peu acide dans ton estomac, mais ça fais bien longtemps que tu le sens plus. Comme si toi t'allais faire un ulcère, c'est pas un truc d'angoissé ça ? ça te fais doucement rire. T'as donné rendez-vous à Charlotte au Duke. T'as choisi sa robe et ses talons toi même, et c'est franchement cruel comme jeu, tu sais parfaitement qu'elle ne sera pas à l'aise la dedans. Mais c'est justement tout l'intérêt de la chose, oh et bonus, le décolleté qu'elle exhiberait malgré elle toute la soirée. Tu quittes la route des yeux un instant pour regarder l'indécente montre qui brille à ton poignet. Oh, mais tu es très en retard. Tu hausses les épaules, tu peux pas aller plus vite là. Tu freines un peu fort pour tourner et te garer devant  le Posh. Trop conscient que ton chéquier réglera tous les problèmes, tu te fous pas mal de savoir si tu gênes. Tu sors de là fier comme un prince dans ton costume trois pièces, tu pénètres dans le bar les mains dans les poches, un sourire insolent sur les lèvres. Tu commandes un Cosmo en passant devant le bar, parce que tu te demandes où est Charlotte. Que tes yeux la repère rapidement d'ordinaire, c'est la seule qui ne danse pas et qui a l'air d'un chien abandonné. Réellement. Tu t'empares de ton verre sans même te tourner vers le barman. tu le portes à tes lèvres, avant d'en avaler distraitement une gorgée. Impossible qu'elle ne soit pas déjà arrivée. Ou alors elle n'est pas venu. L'un de tes sourcils se haussent à cette pensée. Bah. ça ne ferait rien, tu serais allé la chercher chez elle, c'est tout. Comme si Mervi Jokinen allaient se formaliser à ce genre de détails. Ton regard azur tombe soudain sur une grande blonde, engoncée dans une robe Valentino, qui se tient debout devant une table. Au début c'est la courbe de son corps qui retient ton attention, c'est alors que tu t'aperçois qu'il s'agit de Charlotte, et qu'elle est en train de précipiter la table qui la sépare de ton cousin.. droit sur lui. Les choses se passent trop vites, tu t'étouffe avec ton Cosmo, et il s'échappe de tes doigts pour venir se briser à tes pieds, tâchant le cuir de tes chaussures siglées. Tu t'en es pas rendu compte, t'es déjà en train de foncer sur elle, les bouteilles ont valsées, la table avec mais ça ne lui suffit pas. Tu peux pas t'empêcher de lancer un regard plein de reproches à ton cousin, qui ne le voit pas. Jules est tout sauf un imbécile, il savait ce qu'il faisait. Et il a rejoué le concerto de sa colère à la perfection, plantant ses accords comme des poignards dans l'égo de Charlotte. T'en es certain. Pas besoin d'être la pour savoir ce qui c'est passé. Et elle ne vaut pas mieux que lui ce soir. Toujours à bondir. Tu n'avais pas pensé tomber sur Jules en convient Charlotte au Duke. Voilà ce qui se passe quand on enferme deux fauves dans une même cage. Ils ne t'ont pas vu, et lionne se baisse pour attaquer à nouveau. Tu sais son poing serré et prêt à frapper. Tu te précipites sur elle, la ceinturant avant qu'elle ne porte ce coup stupide qui signerait un fâcheux tournant du combat. Il ne faut pas frapper Jules. C'est pourtant simple comme règle. Y'en a qu'une. Tu la soulèves de terre sans prononcer un mot, l'écartant de la table fracassée et des éclats de verres. Charlotte se débat dans tes bras et t'as toutes les peines du monde à l'écarter de ton presque-frère, tu la reposes par-terre. « Espèce d'hystérique. » lui souffles-tu à l'oreille, y'a un sourire moqueur dans ta voix, et tes doigts qui lui broient l'épaule . « Il me semblait beaucoup t'avoir dis de ne pas frapper les membres de ma famille. » susurres-tu, et tes lèvres l'effleure, tu ricanes avant de soupirer. « Il va être complètement fou furieux à cause de toi. » Ton cousin se relève et c'est seulement lorsqu'il vous fait face, que tu consens à relâcher la tornade en Valentino. Tu passes devant elle, barrière humaine très palpable entre elle et le fauve qui s'éveille. Ton sourire s'élargit, en même temps que t'écartes les bras en signe d'apaisement. S'il ne se calme pas très vite, il va vraiment y'avoir des dégts au Duke ce soir. Et ce serait tout à fait, regrettable. C'est ce que ton regard lui dit. « Je croyais que t'avais déjà sauté toutes les connes qui traînent au Duke ? » tu t'approches de lui, tu joues avec son attention, quitte à retourner son animosité contre toi. « Désolé pour le dérangement, je vais m'occuper de ..ça » tu as un geste qui englobe autant la table, que Charlotte, et qui signifie « les emmerdes », et t'espère t'en tirer comme ça, mais tu sais très bien au fond de toi, que ça ne va pas suffire. Alors, malgré toute la sérénité qui se dégage de toi par vague, t'es prêt à bondir pour t'interposer entre eux une seconde fois ; ton sourire tranquille n'est qu'un masque. Tes dents blanches sont les crocs que tu n'hésiteras pas à sortir s'il dérape. Elle n'a pas idée de ce à quoi elle s'expose.


Dernière édition par Mervi Jokinen le Ven 30 Oct - 11:01, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyLun 26 Oct - 16:28

Tu pousses le bouchon, toujours plus loin.
Charlotte est comme une bouteille de champagne qu’on secoue, prévisible. Elle va exploser d’un moment à l’autre et t’éclabousser. Tu vas en prendre plein la gueule et c’est tout ce que tu attends pour endormir ton ennuie. C’est la dernière phrase que tu prononces qui va faire péter le bouchon. Dans un premier temps c’est le verre qu’elle tient dans les mains qui part en vrille. Une femme normale te l’aurait tout simplement renversé sur la tête, mais Charlotte non, c’est carrément le récipient et son contenu qui prennent le chemin de ton visage. Tu l’évites de justesse, ton verre de scotch toujours dans les mains. T’arques un sourcil, buvant une gorgée de plus alors que le verre s’éclate en mille morceau contre le mur derrière toi. La jeune femme n’en a pas fini, elle se redresse comme une guerrière embarquant la table avec elle, pour te la retourner simplement dessus. Les bouteilles valdinguent, la table manque de s’écraser sur tes jambes mais tu y fous un coup de pieds violent. Les bouteilles, elles, ainsi que ton verre se renversent sur ta chemise, ton pantalon et tes chaussures hors de prix. putain ! t’exclames-tu, alors que tu n’as toujours pas bouger de place. Pour le moment t’as envie de rire, de lui rire au nez. Parce qu’elle a craqué, tu as appuyé sur les bons boutons et ça a marché. Sa main frêle s’empare du col de ta chemise, là t’as les mâchoires qui se serrent. vas-y, ose. craches-tu venimeux. Son poing est armé, et dans ta tête sa bouillonne. Elle n’a pas le temps d’agir, que des mains s’emparent d’elle. La tirant avec force en arrière. Charlotte se débat sans grande efficacité. Tu reconnais bien vite ton cousin derrière la robe Valentino. Tu souffles bruyamment en te relevant, la colère arrive petit à petit chez toi. Mais une fois qu’elle est montée il est trop tard pour faire demi-tour. En te redressant tu prends le temps d’observer ta tenue, foutue. C’est sans doute ce qui te met le plus en rogne, et aussi l’incapacité qu’a Mervi à contrôler cette folle –bien que tu as cherché tout ce qui t’arrives. je croyais que t'avais déjà sauté toutes les connes qui traînent au Duke ? tu ricannes, alors que tu frottes soigneusement ta montre Cartier. apparemment, non, pas toutes. lances-tu sarcastique alors que t’es yeux se posent sur la blonde hystérique derrière ton cousin. Il a ses bras en avant, comme pour essayer de calmer les tensions. Mais tes sourcils froncés en disent long sur ce que tu ressens. désolé pour le dérangement, je vais m'occuper de ..ça. il va s’occuper de ça, ah oui ? Il aurait peut-être dû s’en occuper avant. Ton frère te souris de toutes ces dents blanches, et tu connais ce sourire. C’est le même que le tiens, et si tu ne te calmes pas les choses risquent de très mal finir ce soir. Rien de bien grave pour la suite de votre relation, mais pour ce soir … tu vas t’occuper de remplacer ma chemise qui est une pièce unique ? ajoutes-tu mauvais.
T’as le cœur qui tambourine dans ta cage thoracique. C’est violent, t’as l’impression que le bar entier pourrait l’entendre, tu passes une main dans ta nuque et te la masse légèrement. Essayant de te calmer, tu fais tout les efforts du monde. Mais ça tape toujours plus fort dans ta poitrine, tes pupilles sont dilatées, t’es shooté à l’adrénaline. Et ce con devant toi, que tu n’as pas envie de frapper pour atteindre ton but. putain tu sais combien m’a couté ce scotch ?! balances-tu comme si tu en avais sérieusement quelques choses à foutre de l’argent. c’est facile de se cacher derrière ton maitre maintenant. craches-tu tout sourire à l’attention de Charlotte. Ta main se pose sur l’épaule de ton cousin qui se raidi, tu sens dans son regard qu’il t’interdit d’approcher ne serait-ce que d’un mètre. Il te connait par cœur, et la barrière qu’il devient est des plus solides. elle joue les connes avec moi, et tu la protèges. laisse moi rire. je vais lui éclater la gueule. c’est ce que tu penses, ta main se serre sur l’épaule de Mervi.


Dernière édition par Jules Saint-Clair le Lun 26 Oct - 23:14, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyLun 26 Oct - 23:03

" Vas-y, ose. " Peu importe si c'est ce qu'il veut, t'as l'intention de lui donner exactement ce qu'il cherche. Ton poing est prêt à partir, il ne demande qu'à rencontrer les os de son visage. Tu les imagines déjà craquer, tu sais à quel point ce serait salvateur. D'ailleurs, tu ne sais plus pourquoi tu as attendu si longtemps, pourquoi tu t'es donné tout ce mal pour ne pas éclater. C'est stupide. Comme les bras qui t'entourent. Tu comprends pas de suite, la totalité de ton attention est concentrée sur le français. Et, lorsque t'es arrachée à Jules, tu luttes avec ferveur. Tu refuses de perdre cette occasion, tu t'accroches. Tes doigts emprisonnent sa chemise, et, tu maintiens le lien un instant. Assez longtemps pour déchirer le tissu de luxe, puis, tu cèdes bien malgré toi. Le parfum de Mervi te percute alors que tu gesticules pour te libérer. Une nouvelle vague de colère te renverse. T'as le cœur en déroute, le souffle court. Il est là, lui. Tu aboies de te lâcher, mais il s'en tamponne. Il te ceinture, c'est comme si tu était attachée à un putain de poteau. " Espèce d'hystérique. " Tu détestes le ton de sa voix, t'as pas besoin de le voir pour deviner le sourire à la con qui fend ses lèvres. " Il me semblait beaucoup t'avoir dis de ne pas frapper les membres de ma famille. " Tu veux pas de cette proximité qu'il instaure. Tu sens son souffle dans ton cou, ça brûle ta peau. Tu t'étires de tout ton long pour t'éloigner, mais tu t'agites vainement. T'as envie de hurler. Tu continues de te débattre. T'es moins vigoureuse, mais tu ne baisses pas les bras. Tu ne peux pas les bouger, à vrai dire. Et, fatalement, il est trop grand pour que tu puisses envoyer l'arrière de ton crane cogner sa mâchoire. Tu tentes de lui faire mal, de le forcer à te lâcher, mais, tu n'as ni prise ni appui. Tu le maudis, tu l'insultes, t'écoutes rien de ce qu'il raconte. De toute façon, ces mots te rendent chaque fois plus dingue. Il n'y a que la prise sur ton épaule qui t'ancre à la réalité. Ses doigts s'enfoncent dans ton articulation, t'as la chair meurtrie mais tu ne réalises pas. La seule douleur qui te parle, c'est celle que tu souhaites infliger à Jules. " Il va être complètement fou furieux à cause de toi. " Ta faute? T'y crois pas. Tu grognes, Jules se redresse. Il n'a que sa tenue à déplorer et ça te rend malade. C'est pas assez. Ton corps tout entier se tord de rage alors que tu retrouves la terre ferme. Tu accumules trop de pression, à tel point que tes mains commencent à trembler. Mervi te passe devant et s'approche de son cousin, tandis que tu retrouves l'usage de tes muscles meurtris.  " Je croyais que t'avais déjà sauté toutes les connes qui traînent au Duke ? " Est-ce-qu'il est vraiment en train d'essayer d'apaiser les esprits? Tu sens les yeux de Jules se poser sur toi avant même qu'il n'ouvre la bouche. Tu frémis à l'avance. " Apparemment, non, pas toutes. " Tu serres les dents, tu souffles pour évacuer, mais tu ne fais pas illusion. T'es en ébullition, tes yeux dansent à la façon de deux flammes destructrices. Machinalement, tu tentes de percer la défense mise en place par Mervi, mais rien n'y fait. Y a pas de mots, t'as juste une furieuse envie de le frapper. Néanmoins, ta fureur trouve un nouveau réceptacle en la personne du finlandais. Tout ça, c'est à cause de Mervi. Lui et ses idées à la con, lui et son putain de manque de savoir vivre. " Désolé pour le dérangement, je vais m'occuper de ..ça. " T'en crois pas tes oreilles. C'est auprès de Jules, qu'il s'excuse? Et, ça, c'est toi? Quel con, jusqu'au bout. Tu le bouscules. " DEGAGE MERVI ! " Tu cries plus que tu ne parles, t'es hors de toi. T'as envie de les bouffer, tous les deux. " … tu vas t’occuper de remplacer ma chemise qui est une pièce unique ? " Tu ris jaunes, ton poing se loge entre tes dents, et, tu mords pour distraire ton esprit. T'espères détourner ton attention, mais t'en es toujours au même stade. " Putain tu sais combien m’a coûté ce scotch ?! " Tu nages en plein délire. T'as envie de dégager le finlandais, tu t'agites. Mais, chaque fois que tu penses passer, il t'attire à nouveau derrière. T'as pas besoin de lui, tu te débrouillais parfaitement, toute seule. " MAIS FERME TA PUTAIN DE GROSSE GUEULE ! " T'es méprisante, tes mains s'agitent alors que tu aboies sur Jules. " C’est facile de se cacher derrière ton maître maintenant. "  Tes traits se déforment en un rictus si mauvais que contrarié. Tu t'es jamais cachée, tu te cacherais jamais devant lui. Alors, c'est ton corps qui répond. Tu veux lui faire face, tu veux régler ça comme tu l'as commencé. Tu cherches à contourner Mervi, mais il fait barrage. Sauf que tu n'en démords pas, il est question de laisser ta fierté se faire malmener par un fils à maman. " T'ouvres beaucoup ta bouche, mais c'est tout ce que tu fais! Sale chien ! " Tes mots claquent avec animosité. Tu le cherches, des yeux, des mains. T'es un aimant qui n'veut plus lutter. Tu espères la collision, l'accident. Y a que Mervi qui vous en empêche. " PUTAAAIN !! LAISSE MOI !! " Craches-tu sur l'arbitre. " Elle joue les connes avec moi, et tu la protèges. laisse moi rire. " Non. Non, non, non. Il n'est pas question que ça devienne à propos d'eux. C'est entre Jules et toi, rien d'autre. Pourtant, t'as l'impression qu'ils sont sur le point de basculer, ils causent comme si tu n'étais plus vraiment là. Tes yeux fusillent Jules, tu le pointes du doigt. " Mais ta gueule, toi, merde! T'es devenu demeuré à force de tringler toutes les arriérées du coin. " Ton regard se tourne vers Mervi, ton index également. Tu donnes un coup dans son épaule pour capter son attention. " Et toi ! " Tu soupires, t'es même pas sûre d'avoir envie de continuer. Ce serait plus simple d'en prendre un pour taper sur l'autre. " Bouge de là! Si t'as quelque chose à dire, fallait arriver plus tôt! Ou mieux, fallait pas me ramener ici tout court! " Tu secoues la tête, tu serres les poings avant de les abattre sur le torse du finlandais. Ça fait un bruit sourd. " T'es complètement con aussi! Et, c'est quoi c'te robe, putain ! Tu réfléchis des fois, ou t'es juste aussi stupide que ton cousin?! " Tu tires sur le tissu Valentino au moment où tu l'évoques, et, tu as aboyé chaque mot. " Vous vous valez bien, finalement. " Tes yeux glissent sur Jules avec une ironie mal dissimulée. " Il est aussi con que toi, et t'es aussi lâche que lui. " Siffles-tu au français.
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MessageSujet: Re: (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules)   (inachevé) La moquerie est la fumée des cœurs petits ◈ (Jules) EmptyVen 30 Oct - 12:40

Jules ne se laisse pas amadouer, et son sourire ne te dis rien qui vaille. « Tu vas t’occuper de remplacer ma chemise qui est une pièce unique ?  » tu lèves les yeux au ciel. Tu connais l'attachement que peut ressentir pour des fringues de marques, et celui de ton cousin est complètement surfait. Il se fout éperdument de remettre ou non cette chemise. Et toi également, quand on a plus de vêtements que Madonna, ce genre d'accident n'est qu'un détail. En revanche il doit être un peu humide, et cette simple idée te fais ricaner. Mais tu te contiens devant les vagues de colères brutes qui semblent émaner de lui. Tu penches la tête de côté, un sourire en coin sur la gueule. ça va exploser, tic tac, tic tac. « DEGAGE MERVI !  » Tu retiens machinalement Charlotte d'un bras lorsqu'elle essaie de passer devant toi, tu n'as même pas besoin de regarder, tu te contentes de faire barrage. Et l'autre qui s'y remet aussi sec. « Putain tu sais combien m’a couté ce scotch ?! » Tu bats des cils, sourcils froncés pour mimer l'incrédulité que tu ressens, ou plutôt, ne ressens pas. « Arrête, on sait très bien que tu pourrais acheter le Duke si tu le voulais. » répliques-tu tout en continuant de maintenir la blonde derrière toi. « MAIS FERME TA PUTAIN DE GROSSE GUEULE ! » t'as un geste pour te protéger l'oreille, grimaçant. Mais tu te redresse comme ton cousin se rapproche de toi. « C’est facile de se cacher derrière ton maitre maintenant.  » il vient de poser sa main sur ton épaule, et tu sens les muscles tressauter et se tendrent sous ses doigts, tandis que ton regard se durcit. « Tais-toi Jules » t'as grogné. Charlotte ne se planque jamais, même ton cousin doit le savoir. La concernée essaie à nouveau de te passer devant, mais tu ne lui accorde toujours pas l'attention qu'elle réclame à grands cris, la repoussant en arrière d'une main. Alors elle fait ce qu'elle fait de mieux : elle monte le volume. « T'ouvres beaucoup ta bouche, mais c'est tout ce que tu fais! Sale chien ! PUTAAAIN !! LAISSE MOI !! » T'as tressaillis. Alors là, c'est beaucoup trop fort. Tu te retournes d'un bloc pour l'empêcher de passer, oubliant momentanément le brun. Quand tu lui fait face, ton sourire peut physiquement pas être plus à l'envers qu'actuellement. « Charlotte, laisses tomber tu veux ? Tu agraves com-plète-ment la situation quand tu hurles comme une hystérique. » tu lui parles avec autorité, comme à une gamine de 5 ans. Mais Charlotte est sourde, et ton cousin remet ça. « Elle joue les connes avec moi, et tu la protèges. Laisse moi rire. » tu inspires profondément, avant de faire à nouveau volte face. T'aimerais bien qu'il la ferme justement. « Mais ta gueule, toi, merde! T'es devenu demeuré à force de tringler toutes les arriérées du coin.  » pour le coup t'aurais plutôt tendance à être d'accord avec Charlotte, mais le vent tourne rapidement et maintenant c'est après toi qu'elle en a. « Et toi !  » clame-t-elle en t'enfonçant l'index dans l'épaule. Tu la regarde du coin de l'oeil peu disposer à négocier avec elle. Bouge de là ! Si t'as quelque chose à dire, fallait arriver plus tôt ! Ou mieux, fallait pas me ramener ici tout court ! » tu tournes finalement la tête vers elle, la percutant de ton regard méprisant. Tu n'arrives même plus à t'entendre penser avec tous ces cris. « Est-ce que oui ou non tu vas finir par te taire Charlotte ? » vitupères-tu en joignant les deux mains devant tes lèvres. T'es presque exaspéré. Par leur petit numéro de gamins en bas âge dont on ne comprend pas bien les tenants et les aboutissants de leurs répétitives et abrutissantes disputes. Tout ce que tu sais toi, c'est que ça fait beaucoup, beaucoup, beaucoup, trop de bruit, et que tu ne laisseras pas la situation s'envenimer comme ça longtemps. Pourtant ton regard revient automatiquement vers ton cousin. « Et toi, comment tu peux rejetter la faute sur moi ? Moi, ce que je vois, c'est qu'elle a très envie de te refaire le portrait, et je suis persuadé que t'es pas tout blanc dans cette histoire, hein Jules ?[/color] » les derniers mots de la blonde se perdent dans tes propres accusations. Tu te rapproches de ton frère, relâchant Charlotte, tu ne souris pas du tout, les mots sifflent en finlandais. « [/color=teal]T'es sensé faire attention à elle. Alors débrouilles toi pour qu'elle ne casse pas tout au lieu de l'y encourager.[/color] » grinces-tu. Tous tes muscles sont tendus sous le tissu délicat de ta chemise mais tu te forces à sourire. « Est-ce qu'on en a fini ? » ton sourire se fait insolent et tu ricanes, comme si la situation t'amusait. « Ou est-ce que je dois te montrer comment on fait ? » tu hausses un sourcil.
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