(terminé) [Hot +18] Le fruit interdit du désir.

Il arrive dans de rare moment que je n’aie rien, mais vraiment rien à faire. J’ai réussis à tout terminer en un temps record. J’ai étudié, pour me mettre en avance, je me suis entrainer et surpasser pour rester le numéro un, j’ai même fais une belle connaissance que j’ai pu explorer dans tous les sens du terme. Alors pour tuer se temps que je perdais inutilement à ne rien faire, je pris la grande décision de sortir me dégourdir les jambes, me relaxer et boire. Où, je ne sais pas, tant qu’il y a de quoi boire et m’amuser dans un lit en fin de soirée ça me convient amplement.

Après avoir finis de m’apprêter, de me faire beau et désirable pour aujourd’hui je pris les clefs de ma Camaro pour prendre la route et filler en boite. Je n’avais pas pris beaucoup de temps pour arriver ma résidence secondaire n’étant pas loin.  Me voilà maintenant devant l’entrée principale, avec un beau panneau présentant la boite, j’y entrais sans trop de difficulté, désormais à l’intérieur je me mis au bar pour demander 3 shoots de Tequila de quoi me mettre dans le bain et me chauffer un peu. Accumulant les verres d’alcool je commençais à ressentir ses diverses effets tant qu’en bien que en mal, le monde tourne, tourne si vite. La musique me parait aller de plus en plus fort, mes envies s’accroit, m’amuser et me mettre la tête à l’envers et mon seul besoins à ce moment même. Je scrute tout le monde de haut en bas rapidement pour voir ce que me sert la boite ce soir, plusieurs personnes présentes m’intéressent, trop même.

Je continue mes demandes en alcool tout en m’imaginant tellement de scène torride avec chaque magnifique femme, blonde, brune, rousse, toutes sont à m’en rendre fou. Je vérifie dans ma poche de jeans ; 3 préservatifs, parfait.
Au bout d’un temps j’ai comme une impression d’être observé, sensation étrange mais agréable, je cherche l’individu du regard jusqu’à finir par laisser mon regard plongé dans le sien, c’est un homme, la vingtaine je dirais, je ne sais pas je lui donnerais maximum vingt-sept ans. On reste longtemps à ce regardé sans aucun mot, juste nos regards, qui veulent tant dire. Je reste là fixe pour voir s’il se passe quelque chose. Eh bien, cette discothèque va peut-être m’apporter du plaisir cette nuit. Je finis par me mordre les lèvres devant lui à force de m’imaginer tout ce que je pourrais lui faire.

Le désir m’envahis de plus en plus comme le venin mortel du cobra, mon corps devenait de plus en plus chaud, mes veines me brulais. L’envie de lui sauter dessus me rongeait de l’intérieur. Beau, grand, séduisant, des yeux magnifiques, de quoi me faire rêver encore un moment. Je sentais les muscles de mon corps se contracter, et merde, certaine partie réagisse plus que d’autre on dirait. Comment cela peut encore m’arriver, si facilement de veux dire. Me plairait-il à ce point ?

Je remarquais après un moment qu’il me regardait aussi et que par la même occasion je mordais mes lèvres, je détournais vite les yeux des siens pour siroter ma boisson alcoolisée de quoi me changer les idées de toutes ses tentations érotiques. Après un court moment je haussais ma tête pour le regardais, il s’est mis debout, et oh il s’approche de moi. Que faire ? Comment réagir ? Je reste là, sans bouger sur le cul complétement sous le charme du désir enivrant du l’homme qui s’avance vers moi, il s’accoude un moment face à moi. On reste tous à ce fixer sans un mot, mais pitié qu’il fasse quelque chose, n’importe quoi mais qu’il ne reste pas comme ça c’est une vrai torture de l’avoir face à moi et de sentir son parfum aphrodisiaque. Le temps passé très lentement, comme dans les filles bidons, les secondes devenait des minutes et les minutes semblait devenir une éternité.

Il levait son verre comme pour me dire quelque chose sans parler, voudrait-il me dire quelque chose ? Je haussais un sourcil me demandant ce qu’il voulait, je pris mon courage à deux mains pour enfin lui parler et lui demander quoi, mais je n’eu absolument pas le temps et mon ventre se crispa, il me déposa un chaste baiser sur le coin de ma lèvre, ma peau entra en contact avec la sienne, j’en eu la chair de poule. Après m’avoir fait ça il prit la direction de la sortie, me regardant une dernière fois.

J’en peu plus, de faire le doux, le gentil, timide et frêle, je le veux dans un lit. Il me fait trop d’effet, mes habitudes revienne, je vais faire une rencontre pas comme les autres et l’oublier le lendemain en aillant pris mon pieds comme jamais. Je pris la sortie le voyant marcher au loin, j’accélérais le pas pour le plaquer contre un mur laissant parler mes envies. Je me mis à l’embrasser sans trop de retenue, pour ensuite embrasser son cou et revenir dévorer ses lèvres. Plaçant ma jambe entre les siennes, poussant ma bouche contre la siennes. J’arrêtais de l’embrasser le regardant dans les yeux comme envouter.

« Tu sais où aller je suppose… »

Nous nous échangions de longs baiser langoureux, remplit d’envie et de tension sexuelle. Avec ses longs baisers ont ressentaient tous les deux les intentions que nous avions envie d’appliquer. Les quelque verres d’alcool que j’avais bu un peu avant m’avais bien chauffé le corps pour une partie de jambes en l’air avec le bel homme devant moi que j’étais en train de dévorer, à la limite de lui couper le souffle. Après un moment qui me semblait éternelle je finis par lâcher ses lèvres pour lui demander ce que nous attendions tous les deux impatiemment. Sans réponse à ma question il me prit par la main me tirant à lui pour le suivre dans sa course, me faisant tirer de plus en plus vite, cela m’existais d’avantage.

Il n’habitait pas si loin que j’aurais pu le penser, nous étions déjà arrivés aux portes du paradis et il en était la clef. Une fois arrivé, même pas le temps de placer une phrase que je sentis une force viril me pousser dans la pièce plongé dans l’obscurité de la nuit. En extase je laissai le cours des choses ce faire, il alluma la lumière pour ensuite me faire assoir sur son canapé. Ensuite il resta planté devant moi, je ne faisais que l’admirer comme en transe. Il finit par attraper sa chemise pour ensuite déboutonner chacun de ses boutons, je le tenais par les hanches pour monter à sa ceinture et lui détacher son jeans. Il me murmura :

- Je t'offre un verre où on passe directement aux choses sérieuses...
- La question ne se pose pas à ce stade…

Sans crier garde, comme un prédateur voulant me dévorer, ou bien me déguster, il me chevaucha de ses jambes à mes hanches pour m’embrasser avec braise et passion. Je bougeais avec hargne mon bassin pour me frotter à lui et laisser mes doigts se balader sur son torse nu. Je vin à laisser s’échapper de tendre baiser sur son cou, descendre sur son épaule pour finir par mordiller son bouton de chaire, le sentant durcir ; ma bouche se baladant sur tout son torse léchant chaque parcelles de ses abdos tracer. Ma minute de folie fût stoppée pour le laisser enlever mon t-shirt et le laisser jouer avec mon corps avant qu’il réattaque mes lèvres en feu. Je le veux tellement que je n’ai pas attendus plus longtemps d’une main je pris appuis sur le canapé et d’une autre je plaquai son dos contre le canapé. Mon regard se plonge dans le sien mes dents mord avec délicatesse mais passion ses lèvres. Pour ensuite descendre doucement avec ma langue parcourant tout son être. Mes lèvres sont en contact avec sa partie intime qui ne demande qu’une chose, plaçant doucement un baiser dessus, remontant mon regard vers le siens avec intensité.  

Je jouais avec mon nouvel amant pendant un long moment remplit de plaisir faisant travailler nos hormones masculines à 100% usant de mes mains baladeuses un peu partout sur le corps divin à moitié nu prêt de mon corps, nos vêtements de peau qui s’entrechoquais, tout mon être s’hérisse rien quand sa présence, à regarder l’état de mon érection tout est dit sur l’effet que le bel homme me fait. Sentir sa langue jouée avec mon objet de désir et ses lèvres me caresser mes rends fou de lui, cette nuit est une nuit torride et je compte bien en profiter de chaque fraction de seconde, le moindre petit instant passé à jouer avec lui est un instant a profité avec le plus grand des désirs, réveillant en moi une bête sauvage assoiffé de sex. Rien qu’entendre les gémissements de ce dernier prêt de mon oreille était une preuve de mes nombreux talents. Je passais des multiples baisers sur son corps presque dénudé, montrant en entièreté son torse. Je sentais contre moi son érection, m’obligeant presque à descendre plus bas tellement j’en avais envie, comme si la gravité me poussait vers un point culminant.

Après un long moment d’attende, de provocation, d’un jeu sournois qui nous poussera vers une fin qui va nous enivrer entièrement. Toujours sur son corps à faire parcourir ms lèvres sur lui, je laissais des petit moment vide pour le rendre fou, lui donner l’envie de me sauter dessus, jouer avec ce qui ressent à l’instant même. « Tu me rends fou... » Pour moi cette phrase est comme l’ultime mot qui me permettra tout, je l’ai, il est à moi, je peux en faire ce que je veux maintenant, il ne saurait plus me résister, je l’ai entre mes filets. Je me perds sur chaque parcelle de son corps, descendants en dessous de son nombril, et caressant le haut de mes main brûlante de désir. Je voulais tellement arriver au moment crucial de ce jeu, mais le rendre fou et excité me fait un effet de folie que je ne saurais jamais expliquer. Après un long moment à s’être perdu au paradis avec le professeur, ce dernier m’allonge sur le canapé pour jouer avec mon objet du désir, je me courbe le dos avec extase plaçant mes mains sur ses cheveux poussant un peu sa tête, je ne vois plus que lui et mon envie folle de me perde en lui. Je me languis un long moment, me retenant de relâcher. Mon bel amant me regarde après m’avoir embrassé à nombre reprise, mes lèvres son en feu, je veux encore sentir sa bouche contre la mienne, nos dents s’entrechoqué, nos langues se noué. Il me montre ensuite un emballage en plastique contenant un préservatif. « Sauf si tu es contre... Je veux te sentir... S'il te plait... » Un léger rire s’échappa. Pour ensuite lui volé le préservatif de ses doigts.

- Comme si j’étais contre … Je veux qu’on fasse qu’un …

Je fis volé tous les vêtements qu’il pourrait nous rester, échangeant les places je plaçais mon plaisir d’un soir sur le dos, déchirant avec soin l’emballage avec mes dents, pour ensuite placer le préservatif sur mon membre raide. Ensuite je pris les jambes du blond les entourant sur mes hanches, plaçant mon sex à la limite, me perdant dans son regard je l’embrasse tout en entrant en lui doucement. Faisant des va-et-vient en continu en lui je place une de mes mains sur son sex pour le faire languir de bonheur. Je continuais mon avancée en accélérant doucement. Essoufflé je lui parlais avec une voix prédatrice, sûre d’elle mais aux attention de son amant.

- Cava ? …
 
Je suis finalement perdu dans tous les désirs possibles et inimaginables. Le voir se tordre par ma faute, le voir prendre du plaisir et se mordre les lèvres avec ce que je lui fais me rend fou, ça me rends dingue, je veux tellement y mettre la 4éme commencer à jouer avec lui, me perdre en lui, l’entendre prononcer quelques mots, mes lèvres viennent se poser sur son cou pour lui laisser une petite marque, ensuite je remonte vers son oreille, lui demandant s’il veut passer à la vitesse supérieure. Je lui mordille le lobe pour lui rendre plus difficile le faite de me répondre, m’amusant avec son corps.

Le plaisir qu’on se procure à deux s’intensifie minutes après minutes, je me perds en lui. Mes mouvements de va – et - vient chavire entre le régulier et l’irrégulier, il me fait perdre la tête, je suis là, en lui. Gouter une fois de plus au fruit défendu me rends nostalgique, ses lèvres contre les miennes, ses dents mordant délicatement, mon corps nu sur le sien, une partie de moi enfuis en lui. Sous son autorisation je me permets d’aller de plus en plus vite, avec un peu plus de hargne, tournant de temps en temps le mouvement pour changer le capte, nos souffles se mélange pour ne faire qu’un, la chaleur de tout son être en parfaite harmonie. Mon cœur bat la chamade, le sien aussi. Entendre sa voix essoufflée m’excite au plus haut point, nous sommes presque au summum du septième ciel, je m’apprête à venir en lui mais le beau me regarde droit dans les yeux, me parle de se douce voix.

- En même temps... Je veux que l'on vienne en même temps. Regarde-moi...

- D’accord… Tout… Pour toi… Tout ce qui peux te faire plaisir…

Je le fixais, son regard de braise plonger dans mon regard remplit de désir, j’avançais de plus en plus vite me sentant venir, tout en surveillant son expression pour savoir le moment venu ou je pourrais lâcher prise, me soulager, me détendre en lui. Mon abdomen se contracte, je me sens grossir en lui, je vois dans ses yeux que c’est le moment. Je suis enfin venu, nous nous somme mélanger l’espace de ce moment, ensemble, en même temps. Un moment très érotique. Je venais de passer la meilleure nuit, Un moment douceur et sauvage, des saveurs fusionnelles. Je le regarde une dernière fois, l’embrasse doucement, lui souris, pour me rhabiller et partir comme s’il n’y avait jamais rien nu, sans me retourner, ni dire un seul mot pour ne pas compliquer les choses, il restera graver dans ma mémoire a tout jamais. Peut-être un jours … Qui sait …