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 HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.

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Eliakim A. Crowlley




Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher


☆ date d'arrivée : 08/12/2014
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MessageSujet: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyMar 1 Mar - 20:26

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Alice coucherait-elle avec Eden ? L'idée semble impossible et pourtant, c'est l'une de ses pries angoisses. Il est bien placé pour savoir que lorsqu’on goûte au sexe opposé et qu'on aime ça, c'est difficile de ne pas vouloir recommencer tout de suite après. Eliakim est ouvertement bisexuel, il a envie des hommes et il sait que si sa femme est bisexuelle aussi, l'envie des femmes reviendra plus vite encore qu'il ne peut le penser. Eden a été sa première femme et longtemps il a eu peur qu'elles recouchent ensemble régulièrement, mais forcé de constater que ce n'était pas le cas, il a calmé cette peur. Pourtant ce soir elle revient plus vite, plus fort encore en lui. L'Oxymoron, même si c'est un magasine de pourriture, se trompe rarement. Ils n'avaient pas tord pour Alice et ses cachets, pour les tromperies d'Eliakim et tout le reste, ils se trompent très, très rarement. Alors ce soir, penser encore et encore à la lettre d'Eden qui accuse Alice de le tromper avec la belle, cela lui met un doute immense. Qui plus est la lettre n'a pas été effacée du site de l'Oxymoron, à son goût cela veut tout dire. Le professeur tourne encore et encore ses doutes dans son esprit, se jurant que c'est faux et la seconde d'après, se mettant le doute en se posant des questions plus fourbes encore. Il va devenir fou avec tout ça. Pour l'heure il se prépare à une soirée des Riot, le club a bien besoin de se retrouver en ces temps troubles, en ces temps de bataille et de trahison en tout genre. Il n'a pas pu refuser lorsqu'il a reçu un sms du club lui annonçant qu'ils se retrouvaient tous le soir même au Kaleidoscope, pour fêter l'anniversaire d'un membre mais aussi pour se retourner la tête et se faire plaisir. Eliakim est bien évidemment compté dans la soirée, il a bien besoin de prendre l'air. L'ambiance avec Alice qui prépare sa vengeance devient terrible, la lettre d'Eden a balancée une bombe dans le couple qui se retrouve au centre de toutes les rumeurs. Il a de plus en plus de mal à se retenir de rejoindre Eden dans son cours et de lui en coller une devant tout le monde. Mais il ne doit pas, cela en va de son poste de professeur. Alors pour l'heure, il termine d'enfiler un pull de la marque Burberry, noir avec le col aux couleurs de la marque, un jean et des chaussures noires Italienne. Le voilà prêt à honorer le club toute la soirée. Il prend son porte-monnaies, un peu d'espèces, son portable et voilà qu'il sort de leur maison. Alice n'est pas là ce soir, elle est apparemment avec Abi pour terminer de préparer le mariage. Il rejoint sa voiture et trace rapidement jusqu'au lieu de rendez-vous, en arrivant il est accueilli par les membres du Riot Club qui le saluent, il adresse un vague signe de tête à quelques clients du Kaleidoscope qui attendent pour rentrer. Eux, évidemment, étant donné que le Kaleidoscope leur appartient, ils rentrent directement sans attendre comme tout le monde.

Au bout d'une bonne heure, il a déjà avalé quelques verres de vodka et même un cocktail à base de rhum alors qu'il n'aime pas ça. Il danse, discute avec les autres membres, il s'amuse et ne pense plus vraiment à la lettre d'Eden, il danse avec Noah et discute dans un coin avec Aedan. Puis, alors qu'il rit un peu avec son frère, quelqu'un passe derrière lui. Entre l'alcool et la musique trop forte, il n'entend que vaguement la conversation. « Alice était avec Eden dans une balade équestre l'autre jour... » Il se retourne aussitôt mais déjà, il semble que les deux personnes qui parlaient de sa femme soient loin. Alice et Eden ensemble ? Tiens il n'était pas au courant de ça. Un instant il croise le regard de son frère qui, sans doute, comprend qu'il va faire une connerie. Eliakim lui adresse un signe de la main et repart au bar se servir un autre verre. « Salut. » La voix chaude et sensuelle le fait sursauter alors qu'il tourne la tête pour regarder le jeune homme juste à côté de lui, semblant attendre également pour commander quelque chose. « Tu danses ? » Lui demande le même jeune homme. Eliakim n'hésite pas, en temps normal il aurait refusé mais ce soir, il se laisse aller. Puis il n'a pas senti le corps chaud et puissant d'un homme contre lui depuis des mois, cela lui manque même si il n'ose pas se l'avouer. Rapidement il attrape la main du jeune homme et le guide jusque dans la foule, là, ils se collent l'un à l'autre et commencent à danser. La musique devient plus douce, plus sensuelle, un mélange de zouk et reggeaton explose dans ses oreilles alors qu'il pose ses mains sur les hanches du bel inconnu. Ce dernier passe ses bras autour du cou d'Eliakim tout en s'approchant de lui, il l'embrasse au coin des lèvres, ce qui fait sourire le professeur qui, en réponse, pose glisse ses mains sur le fessier ferme du beau danseur. Un air sauvage, les yeux bleu et la tignasse noire comme la nuit, tout ce qui peut plaire au professeur. Assez en tout cas pour qu'il se sente sourire alors que l'autre homme lui propose de s'éloigner. Le mélange d'alcool, de vapeur, de musique et de transpiration lui ferait faire le pire.


Dernière édition par Eliakim A. Crowlley le Ven 11 Mar - 0:41, édité 2 fois
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Alice Kensington-Crowlley




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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyJeu 3 Mar - 20:29

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Le mail d’Eden était encore une fois affichée sur l’écran de son ordinateur. Alice fumait une cigarette, assise sur le canapé du salon immense, caressant la tête de son berger allemand d’une manière distraite. Elle était rentrée chez elle depuis une dizaine de minutes. Eliakim n’était pas là. Elle soupira, agacée, avant de se lever, de fermer l’écran d’un air rageux et d’aller se chercher un verre de vin blanc. Abigail devait travailler ce soir. Daisy était avec son père – repas de famille. Et Ekaterina était bien occupée à chercher comment intégrer le Posh Club. Alice n’avait pas vraiment le droit de l’approcher pendant sa période d’essaie, de test, de toute façon elle l’avait bien assez entraînée, et guidée depuis les six dernière année. Elle avait une confiance totale en elle, elle allait s’en sortir et être remarquable pour le club. Elle prit son verre, allume la télévision qui affiche une série incompréhensible avec des morts vivants, et des gens qui tentent de leur échapper. Quelque chose de ce genre-là. Alice la regarde distraitement. Elle a faim. Il est presque onze heures du soir, et elle n’a pas pensé à manger. Trois jours. Cela faisait trois jours que le mail d’Eden était sortie, et Alice n’avait pas encore donné sa réaction officielle. Dans l’ombre, la jeune femme commençait déjà à récupérer toutes les photos et vidéos qui avaient été prises de la jeune femme depuis un mois. Depuis sa rémission par l’amour. Connerie absolue. L’amour ne l’avait pas changé. Sauf si on considérait qu’elle avait changé de camp. Elle frappait sur ceux qu’elle avait aimé, adulé, et baisé comme une folle durant des années. Alice n’arrivait pas à comprendre son article, calomnieux et stupide. Un ramassis de stupidités que beaucoup semblaient prêts à croire. Même l’Oxymoron ne remettait pas tout cela en question, ce qui agaçait la Lady Kensington.
Finalement alors qu’elle buvait distraitement son verre, son portable se mit à vibrer. Elle se tourna, le prit, et afficha un mms d’une fille qu’elle ne connaissait que trop bien pour être une curieuse née. Et une colporteuse de ragot : Tu seras ravie de voir cela, Alice. Je préfère te prévenir avant de contacter l’Oxymoron. Trop aimable. Salope. Elle charge la photographie. Et fulmine déjà. Sans plus attendre, elle se lève, heureuse de ne pas s’être changée, pour prendre ses clés de voiture, et sortir de la pièce en laissant tout en plan. Elle regarde à nouveau la photographie en entrant dans sa mini-cooper et grimace. Ce mec est un crétin. Ce mec est son mec, mais c’est un putain de crétin. Il n’apprendra jamais, apparemment.

Le Kaléidiscope. Elle reconnaîtrait ces cages au plafond, et cette lumière aveuglante entre toutes. Elle a assez squatté la discothèque du Riot Club pour s’y sentir chez elle. Et même l’image de son homme dansant dans les bras d’un beau blond ne pourrait pas la déconcentrer assez pour l’empêcher de reconnaître le lieu de la tromperie. Il recommence ? Vraiment. Et pourquoi quelles raisons cette fois-ci ? Elle fulmine, en colère mais assez fière pour ne rien montrer. Son visage est dur, fermé, alors qu’elle enfonce l’accélérateur pour se rendre sur les lieux. Elle sorti, donne les clés au voiturier, et fond dans la foule. Elle passe devant tout le monde. C’est une Posh, elle fait ce qu’elle veut.
Une robe noir, décolleté avec des manches longues. La jupe tombant sur ses hanches pour couvrir ses fesses jusqu’à ses genoux. Elle fait claquer ses talons, ses cheveux blonds attachés dans une queue de cheval améliorée. Son maquillage est simple mais son regard est allongé, et assombri. Elle rentre dans la salle et cherche son fiancé du regard sans le trouver. Elle arrive finalement au bar pour croiser le barmaid qu’elle connaît bien. Evidemment. « Alice futur Crowlley, c’est une surprise de te voir ce soir. Ca fait si longtemps. » Elle lui sourit, alors qu’il se penche pour venir embrasser sa joue. Elle se laisse faire joueuse, et heureuse de retrouver cet étudiant. Il l’a toujours remerciée pour ce job. Il n’est pas riche, pas vraiment, mais il a une admiration sans faille pour les Riot. Alors pouvoir être à leur contact était une aubaine pour le jeune homme. Gay. Affreusement gay. « Dis moi où est mon homme, Clay. J’ai appris qu’il était ici. » Il rougit, grimace, et évite son regard un instant. Oui, Eliakim est ici, et ses frasques ont déjà été remarquées. Alice pince les lèvres, mais ne dit rien. Elle s’étonne de son propre calme. Finalement, il lui montre un lieu un peu en retrait, et elle y va sans même réfléchir. C’est là qu’elle le trouve. Sur la piste de danse, le beau blond toujours dans ses bras, penché sur sa bouche.

Alice sourit, un instant, avant de venir veux eux sans même une hésitation. Il y a un an elle a fuit. Elle a fait demi-tour et est allée s’enfoncer dans l’alcool, la drogue et la dépravation. Aujourd’hui elle a grandit. Aujourd’hui elle est Alice Crowlley, et elle est forte. Son homme va l’apprendre à ses dépens. Elle arrive derrière lui, colle sa poitrine à son dos et vient contre son oreille. « Qu’est-ce que tu attends pour aller te faire baiser chéri ? » Demanda-t-elle avec une voix moqueuse et sarcastique. Finalement elle croise le regard du mec en face d’Eliakim qui semble la reconnaître, et recule de deux pas. « Chasse gardé, chéri, va enculer quelqu’un d’autre. » Dit-elle en lui offrant un regard noir, et une voix glaciale et mauvaise. Comme si elle lui disait prie pour que j’oublie ton visage sinon je te retrouve, et je te tue. Finalement elle vient face à Eliakim, et lui sourit, sarcastique. Elle lui prend la main, et le guide à l’extérieur sans même lui dire un mot. Un simple regard pour lui signifiait qu’il ne devrait pas s’amuser à refuser de venir. Ils arrivent dehors, elle donne son ticket pour récupérer sa voiture. « Le contact d’un mâle te manque chéri ? Ca te prend souvent ? » demanda-t-elle, froide, gardant sa colère enfouie.

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Eliakim A. Crowlley




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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyDim 6 Mar - 0:26

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Il danse contre un corps qu'il ne connaît pas, bouge ses mains sur ce torse fort et puissant, se délectant de sentir cette peau chaude sous ses doigts. Lentement ses mains glissent sur les fesses du jeune homme qu'il presse fermement, arrachant un gémissement de désir de l'homme dans ses bras. Il va faire une connerie, il le sait. Eliakim est comme ça, si il sent que tout lui échappe alors il s'enfoncera un peu plus jusqu'à tout faire exploser et tomber comme un château de cartes. C'est purement idiot, il ne réfléchit pas. La logique aurait voulu qu'il aille parler à sa femme et lui demander si ce mail est vrai ou pas mais voilà, Eliakim n'est pas logique. Ce soir il a bu, beaucoup trop pour son propre bien. Il est saoul mais encore conscient de ce qu'il fait, assez pour réfléchir et penser correctement. Il est le premier a reconnaître que les hommes peuvent lui manquer, cela pourrait être possible pour Alice également, que le corps d'une femme lui manque. Et quoi de plus logique que d'aller retrouver le corps de l'unique femme avec qui elle a couchée ? C'est trop pour le professeur, assez en tout cas pour qu'il laisse ses désirs parler et qu'il aille se coller contre un homme pour danser. Enfin, le jeune homme en question vient quémander ses lèvres et pour l'allumer, Eliakim refuse de lui donner ce qu'il veut. Pas encore, pas tout de suite. Derrière lui, dans son dos il sent les regards des membres des Riot, il sent les jugements et les reproches mais aussi les rires, il sait qu'ils sont tous tournés vers lui à le regarder. Mais avant qu'il ne puisse embrasser ce bel inconnu, il entend une voix chaude dans son oreille, une voix qu'il connaît bien et qui le fait sursauter. « Qu’est-ce que tu attends pour aller te faire baiser chéri ? » Il se tourne vers sa femme, car c'est elle, il reconnaît le ton aiguë et profondément sensuel de sa voix. Il la regarde sans comprendre, mais qu'est ce qu'elle fait là ? Devant lui le jeune homme recule de deux pas, comprenant qu'il a voulu toucher l'homme qui justement était intouchable. « Chasse gardé, chéri, va enculer quelqu’un d’autre. » Eliakim soupire en jetant un regard à sa femme alors que le beau jeune homme part dans la foule, refusant de se laisser regarder par Alice. Si cette dernière retient son visage, elle peut le faire tomber en un claquement de doigt. « T'es vulgaire. » Lâche Eliakim alors qu'elle lui prend la main et qu'elle le guide à l'extérieur.

Un geste de la main vers les membres du Riot club pour leur souhaiter bonne soirée, il remarque que l'un d'eux lui fait signe qu'il va se faire égorger, Eliakim éclate de rire et pour toute réponse, lui adresse un magnifique majeur en l'air. Ils arrivent dehors, Alice donne son ticket pour récupérer sa voiture alors qu'Eliakim sort son paquet de cigarettes et en allume une en s'asseyant sur un espèce de mini poteau. L'air du soir lui fait du bien, il se rend compte qu'il avait trop chaud dans cette boite. Il respire à plein poumon les odeurs d'herbes fraiches, d'alcool et de tabac, il fait humide cela se sent. « Le contact d’un mâle te manque chéri ? Ca te prend souvent ? » Lui dit-elle alors qu'il recrache une bouffée de fumée grise. « Je pourrais te demander la même chose concernant le corps d'une femme. » Dit-il en refusant de croiser son regard. Il est vexé, il ne sait plus qui croire. Les pires doutes, la peur qu'il a toujours eu concernant Alice et sa possible envie des femmes lui a été jetée au visage alors qu'il refusait d'y penser encore une fois. Le chauffeur revient vers eux et tend à Alice ses clefs de voiture, Eliakim ne dit rien et monte dans la voiture, côté passager. Il attend qu'elle démarre pour parler une seconde fois, les yeux braqués sur la route devant lui. « J'ai entendu dire que tu avais passée une après midi au centre équestre avec Eden. Je ne le savais pas. Alors entre vous deux, il y a plus où je me fais des idées ? » Demande Eliakim en tirant une autre bouffée de cigarette tout en regardant le paysage par la vitre. « Et non, ça ne me prend pas souvent chérie. » Rajoute Eliakim en ouvrant la vitre et en jetant son mégot dans la rue.
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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyDim 6 Mar - 18:34

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Eliakim est un bisexuel assumé ; Alice le sait, l’a toujours sue, mais au fond d’elle elle espérait vraiment que jamais plus elle ne se retrouverait devant ce genre de situation. Elle ne sait pas ce que c’est, parce que même si elle a connu le plaisir charnel dans les bras d’Eden, cela ne peut pas remplacer la satisfaction de se retrouver dans les bras de son homme. Le plaisir qu’Eliakim lui faisait ressentir n’avait pas d’égal. Elle ne désirait que lui, elle ne voulait que lui, et elle n’appartenait qu’à lui. Elle était sienne, entièrement, et physiquement. Il avait été le seul homme à l’avoir, et elle entendait que cela reste ainsi jusqu’à la fin de leur vie. Preuve qu’il y avait un semblant de romantisme dans le cœur hypocrite et calculateur d’Alice Kensington. Preuve qu’elle était une femme amoureuse, folle, passionnée qui ne pouvait pas résister au corps de son amant.
Mais Eliakim en avait eut d’autres. Elle savait que peut être si elle avait accepté plus vite leur relation la liste des conquêtes de son homme aurait été moins longue. Elle ne pouvait lui tenir rigueur de cela, malgré tout, et elle tâchait de ne pas trop y penser. Aujourd’hui il était avec elle, et elle tenait à ce que tout Oxford soit au courant, pour faire taire petit à petit les rumeurs d’une possible infidélité de son homme, bien trop vite acceptées par le reste de la population. Autant dire que voir Eliakim danser langoureusement dans les bras d’un autre homme au Kaléidoscope ne l’aiderait à faire taire ce genre de ragots. Agacée, frustrée et vexée la jeune femme arrivait cependant à garder son calme. Margaret l’avait bien mise en garde déjà : elle se faisait beaucoup trop remarqué, et elle perdait de sa prestance (donc de sa popularité). Elle prenait sur elle, gardait la tête haute, et observait le monde avec un mépris d’autant plus violent que sa colère restée cachée. « T'es vulgaire. » Elle lance un regard en biais à son fiancé, complètement ivre (et elle espère uniquement ivre) et prends sa main pour le guider à l’extérieur. Ferme la Crowlley, c’est un conseil. Elle est vulgaire, sans doute, mais avec une voix incroyablement douce et contenue. Elle se surpasse c’est un fait.

Arrivés à l’extérieur il se met contre le mur et s’allume une clope. Elle, elle l’ignore, attend que le voiturier lui ramène sa mini afin de les ramener à la villa. Elle est agacée, ne comprend pas le geste de son homme. Pourquoi maintenant, alors qu’ils avaient une vie faite de partie de sexe torrides et de réussite ? Pourquoi alors qu’ils semblaient être aussi heureux et comblés ensemble ? Est-ce qu’elle se trompait ? Est-ce qu’il n’était pas si heureux que cela finalement ? Ou était-ce le contact des hommes qui lui manquait atrocement ? Non. Certainement pas. S’il ne s’agissait que d’un désir sexuel contenu il lui en aurait parlé. Ils se disaient tout à présent. Mais leur caractère vengeur les avaient poussé à plusieurs reprises à faire du mal à l’autre. La question était : de quoi la rendait-il coupable ?
Elle finit par se tourner, lui demandant froidement ce qu’il voulait ce soir. « Je pourrais te demander la même chose concernant le corps d'une femme. » Elle hausse un sourcil, sceptique. Elle ne comprenait pas ce qu’il entendait par là, mais son homme ne semblait pas prêt à lui expliquer. Le voiturier lui ramène sa voiture, elle prend les clés, lui glisse un billet, et laisse son homme prendre place. Elle ne dit rien, plongé dans un mutisme virulent et colérique. Elle pose son pied sur la pédale d’accélération, et elle fonce dans les rues d’Oxford. Au vue de l’heure il y a peu de monde sur la route, et elle mettra une dizaine de minutes tout au plus pour rejoindre leur villa. Elle s’arrête à un feu, refusant de regarder son homme. C’est là qu’il se met à lui parler à nouveau : « J'ai entendu dire que tu avais passée une après midi au centre équestre avec Eden. Je ne le savais pas. Alors entre vous deux, il y a plus où je me fais des idées ? » « Non j’adore me rouler nue dans le fumier avec Eden. » Dit-elle, sarcastique, trouvant sa question non seulement déplacée mais en plus stupide. Elle sent aussi son cœur se serrait au souvenir de cette matinée avec Eden. Il y a cinq jours de cela. Trois jours après elle postait son article. Ordure.
Elle se sentait trahie par Eden, ne comprenant ni son geste, ni ses commentaires, ni la raison de son action. Elle lui avait accordé sa confiance, elle s’était donnée à elle de la manière la plus intime, et elle se faisait poignardé dans le dos à présent. Eden avait eut une place importante dans son estime, malgré les rumeurs et les regards mauvais envers elles. Eden était mal vu dans leur milieu, du fait de son comportement et de son passé. Une salope, pour la majorité des gens, pire encore dans le regard de Daisy Hamilton. Mais Alice n’avait pas tenu compte des rumeurs, et pour une fois elle avait laissé passer son envie et son amitié avant les commérages et les qu’en-dira-t’on. Putain d’erreur. « Et non, ça ne me prend pas souvent chérie. » Finit par dire son fiancé, la faisant sortir de ses pensés. Il avait ouvert la fenêtre et une bourrasque de vent frais la réveilla d’un coup. Elle arrive dans leur quartier. « Seulement quand tu penses que je te trompe avec Eden ? Après ce qu’elle nous a fait, sérieusement ? » Demanda-t-elle en se tournant enfin vers lui, le regard mauvais. Elle n’arrive pas à croire qu’il la connaisse si peu.

Rancunière, elle l’est, sans doute plus que quiconque dans ce bas monde. Il ne devrait pas l’oublier. Il est le seul qu’elle ait pardonné pour l’avoir blessée et trompée, parce qu’elle préférait l’aimer à en mourir, que de souffrir de ne pas être avec lui. Elle arrive devant leur villa, monte la voiture devant les garages, et coupe le moteur. « J’ai vu Eden au centre il y a cinq jours. On a passé la matinée à parler et à monter à cheval. » Dit-elle, froidement, avant de sortir de la voiture sans demander son reste.
Elle rentre dans la villa, encore allumée, où le bruit de la télévision l’accueille. Elle va dans la cuisine, sort un verre d’eau pour son homme. « Vas te doucher et te reposer, tu pues. » Dit-elle en le lui tendant, peu aimable.



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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyLun 7 Mar - 23:29

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Sa femme est en colère, il le sait, le sent, le voit. Alice lui jette des regards noirs, elle semble être capable de le foudroyer sur place si seulement il s'amusait à trop l'ouvrir. Pour sa survie Eliakim n'ajoute rien et la suit, en temps normal peut-être qu'il aurait refusé de la suivre et aurait ordonné d'avoir une explication à ses doutes, maintenant et tout de suite mais il a trop bu, il a faim et qui plus est, sa femme est trop calme. Se méfier de l'eau qui dort, surtout lorsqu'on va se marier avec la Kensington. Sa femme est du genre explosive, si quelque chose ne va pas elle le dit et ne tourne pas autour du pot là, la voir aussi... Sure d'elle et maître de ses émotions c'est louche, très, trop pour être normal. Finalement elle quémande au chauffeur de lui rendre sa voiture, sans un regard pour son homme qui fume sa cigarette tranquillement, refusant de parler à sa femme avant d'être tranquillement assis dans la voiture. Une fois dans l’habitacle, en sécurité et surtout loin des oreilles indiscrètes, ils finissent par parler et Eliakim ose lui confier ses doutes. Il n'attend aucune compassion d'elle après tout ce soir il a été surpris à danser contre un homme, qu'il ce serait peut-être fait dans un coin de la boite si Alice n'était pas arrivée. « Non j’adore me rouler nue dans le fumier avec Eden. » Il hausse les épaules en levant les yeux au ciel, comprenant que de toute la moindre conversation est impossible. Il termine sa cigarette et jette le mégot mais, inconscient qu'il est, il ajoute une seconde couche en tentant vainement de cuisiner sa femme. « Seulement quand tu penses que je te trompe avec Eden ? Après ce qu’elle nous a fait, sérieusement ? »

« C'était avant son mail évidemment. » Dit-il pour justifier l'interrogatoire dont il soumet sa femme actuellement. Finalement ils arrivent à la maison, elle se gare alors qu'il sort de la voiture et entre chez eux. Summer et Ockla' lui sautent dessus, il s'accroupit devant les chiens et les embrasse sur le front alors que sa femme rentre après lui. Il repense une seconde a ce qu'elle lui a dit avant qu'il ne quitte la voiture, qu'elle avait vue Eden au centre équestre. Aussitôt il se sent idiot, comprenant qu'encore une fois il n'a pas voulu réfléchir avant d'agir comme un con. Mais c'est trop tard pour revenir en arrière, elle l'a surpris, l'affaire est close. Sauf pour Alice qui arrive vers lui l'air en colère, elle marche droite comme la justice. Il la regarde faire et ne tente même pas un geste vers elle, plutôt demain lorsqu'ils seront calmés. Elle lui sert un verre d'eau qu'il prend en la remerciant doucement. Il commence à le boire et repart le poser dans le lave vaisselle alors qu'elle parle d'un ton incisif. « Vas te doucher et te reposer, tu pues. » Il se détourne et monte jusqu’aux chambres. Là en allant dans une salle de bain il se déshabille, jette ses vêtements dans la corbeille à linges et enfin se douche tranquillement. Mais rapidement, la fatigue revient, le faisant bailler et lui donnant une folle envie de se glisser sous la couette. Il sort de la douche, s'enroule dans une serviette et part dans leur chambre. Pendant une seconde il regard Alice qui se trouve aussi dans leur lit, guettant pour savoir si il est bon pour dormir sur le canapé mais apparemment, sa femme accepte qu'il retrouve le lit conjugal. Alors, nu et bouillant, il ôte sa serviette et se glisse sous la couette, auprès de sa femme. Il se tourne vers elle et le regard, elle joue sur son portable et fait surtout bien attention a ne pas regarder son homme. Ce dernier s'approche, dépose un baiser sur son épaule et sans un mot de plus, se détourne pour fermer les yeux et s'endormir, paisiblement.
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Alice Kensington-Crowlley




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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyJeu 10 Mar - 23:32

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
« C'était avant son mail évidemment. » Elle ne se donne pas la peine de répondre, trouvant que la question était profondément stupide. Elle rage intérieurement. D'une parce que son homme semble penser qu'elle peut le tromper avec Eden Winchester.
Certes, elle avait apprécié les instants intimes qu'elles avaient pu partager. Mais c'était un jeu, un instant entre deux amies, rien de plus. Une manière de passer le temps, de s'oublier, d'être quelqu'un d'autre, d'être désiré à nouveau. Rien de plus. Un moment de perdition dans la vie d'Alice Kensington, toujours sous contrôle, toujours sûre de ce qu'elle dit, de ce qu'elle fait, de ce qu'elle pense. Elle posait un regard sur le monde qui était contrôlé, construit de toute pièce depuis qu'elle était enfant. Elle avait lâché prise, une seule fois, la douleur la rongeant alors qu'elle sentait sa vie s'échapper entre ses mains comme de l'eau : Oliver partit, son père absent, sa meilleure amie dans son travail (mais sans doute avait-elle été injuste avec Abigail, assez pour le regretter aujourd'hui), son fiancé infidèle, son bébé mort... Elle avait trouvé dans les étreintes d'Eden quelque chose de libérateur, et de plaisant. Un regard qu'elle n'avait pas ressenti sur elle depuis des semaines. Elle s'était sentie forte à nouveau.
D'autre part, elle en voulait à Eliakim d'avoir préféré se retrouver au Kaléidoscope plutôt que de venir la trouver pour lui faire part de ses angoisses. Soyons honnêtes l'un avec l'autre. N'était-ce pas une promesse qu'ils s'étaient faits ? Et pourtant voila qu'il la bafouait sans même le moindre remord. A moins qu'il ne se lasse de leurs étreintes, désireuse de retrouver l'entrave d'un homme en son intimité. Alice inspira profondément alors qu'elle se décida à accepter cette idée. Après tout Eliakim avait toujours eut ce genre de penchants, ca n'allait sans doute pas s'arrêter avec elle. Le sexe était une part importante dans leur vie. Elle, elle n'était qu'à lui, mais de ce fait elle n'hésitait pas à expérimenter, lui demander d'aller toujours plus loin dans les jeux de domination ou dans la dépravation. Quant à lui, il avait utilisé le sexe comme une arme pour oublier comment aimer, pour se faire aimer, pour se sentir homme, pour s'amuser, pour être lui. Le sexe n'était pas uniquement lié à l'amour pour Eliakim, c'est une chose qu'elle avait compris. Mais elle ne désirait pas le partager. Egoïste et jalouse, la jeune femme souhaitait n'avoir son homme qu'à elle, qu'il le veuille ou l'accepte ou non.

Malgré tout elle ne désirait pas le frustrer, et quelque part en elle elle sentait venir les prémices d'un nouveau désir incontrôlable. Alors qu'elle envoyait son homme se doucher sans ménagement, elle en fit de même, et utilisa la salle de bain de la seconde chambre de l'étage pour se rafraichir. Elle mit un ensemble en dentelle assez sexy avant de rejoindre la chambre. Eliakim était encore dans la salle de bain, et sans un mot elle alla dans les draps. Elle réfléchissait, prit son portable et commença à jouer à Candy Crush, ignorant la présence d'Eliakim qui sembla hésiter un moment avant de finalement se glisser dans les draps. Nu. Il irradiait de chaleur, et Alice eut du mal à réprimer son envie de se coller à lui. Mais elle se sentait encore agacée, et frustrée par sa manière de faire. Il vint vers elle, embrassa son épaule, et fit volte-face pour s'endormir assez rapidement. La jeune femme resta là, regardant l'écran de son i-phone sans le voir. Depuis quelques jours les flash de Vegas lui revenait, et une envie s'insinuait en elle, sans qu'elle puisse la réprimer. Un désir impérieux de dominer son homme. De la manière la plus perverse qu'il soit à ses yeux. Sans qu'il eut le choix.
Finalement, alors qu'une heure s'était écoulé depuis qu'Eliakim s'était endormi, elle n'y tint plus. Le désir était présent, enflammant son entrejambe alors qu'elle repassait les images de leurs nuits à Vegas... Elle inspira, sortie du lit et alla chercher un petit sac en papier qui se trouvait au fond de leur armoire. Elle en sortie quelques jouets, et une paire de menottes. Souriant, elle se tourna vers le corps d'Eliakim, allègrement allongé sur le lit. Nu. Elle sourit, vicieuse et perverse.

Rapidement, elle attacha les poignets de son homme aux barreaux du lit. Elle sortie près d'elle du lubrifiant et quelques petites choses qui feraient rougir de gêne n'importe quelle jeune vierge. Elle vint finalement trouver sa place sur les cuisses de son homme, et rapidement trouva son intimité endormie. Ou pas vraiment. Les érections nocturnes l'avaient toujours fasciné, et ce soir plus que de raison. Sans prendre la peine d'exciter autrement son homme, sa bouche vint trouver son intimité, dans une étreinte langoureuse...
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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyVen 11 Mar - 1:07

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Pendant quelques secondes il hésite à se retourner et demander des explications à Alice, un vieux proverbe conseille de ne jamais s'endormir fâché, c'est apparemment ce qu'il y a de pire pour les couples. Pour une fois il devrait écouter mais Eliakim sait, surtout, qu'il est enivré et que l'alcool lui fait dire des bêtises plus grosses que lui, c'est sous l'influence de l'alcool qu'il a fait les pires bêtises de sa vie. Alors il ferme les yeux et lutte contre une légère nausée causée par un mélange vodka/rhum (Alors qu'il n'aime pas ça) et enfin, se laisse emporter doucement. Sa respiration se calme, sa cage thoracique se soulève doucement en rythme avec sa respiration, son souffle s'apaise et il ferme les yeux. Il a chaud, il irradie de chaleur et en temps normal, Alice viendrait se coller à son dos pour chercher un peu de cette chaleur naturelle mais ce soir elle est bien trop en colère, il sait qu'il n'aura pas son câlin de la nuit. Souvent elle vient se coller à lui et il la prend dans ses bras, ils s'endorment comme ça, l'un bercé par la respiration de l'autre, l'autre enivré par le parfum de l'un. C'est romantique, tendre, ils ne peuvent pas rester loin l'un de l'autre, ils n'arrivent pas à s'en vouloir pendant des jours de toute façon. Demain il fera en sorte de se faire pardonner, après tout il n'y a pas eu trahison, pas vraiment, cela devrait passer. L'orage ne durera pas, mais pour combien de temps ? Eliakim sait qu'il ne peut pas lutter indéfiniment contre ses envies des hommes, il a toujours été ainsi depuis l'adolescence. Il a toujours eu des hommes dans sa vie, il a toujours eu besoin de leur contact, de leur corps, des parties de sexe sauvage et bestiale typiquement masculine. Demain il pensera à un moyen de lutter contre ça, il ne peut pas se permettre de tromper Alice, pas encore. Et si pour ça il doit se refouler à vie alors il se forcera, pour Alice il peut. Mais il ne devra plus boire, et plus douter car c'est cela le pire et c'est ça qui lui donne envie de regarder si l'herbe est plus verte ailleurs.

Pour l'heure il s'endort doucement, se laisse emporter dans un monde de rêves qui n'appartient qu'à lui. C'est désordonné dans son esprit, il rêve d'un aigle, d'un chien, d'un canard même qui passe devant ses yeux. Il voit quelqu'un lui parler et de loin semble distinguer une maison. Tout s'embrouille, le mélange de fatigue et d'alcool crée un rêve étrange dans son esprit, heureusement il aura tout oublié demain, comme toujours. Il ne se souvient que des gros rêves, ceux qui marquent et qui hantent son esprit. Il en a quelqu'un dans sa tête, souvent des cauchemars d'ailleurs qui surgissent au milieu de ses nuits et qu'il peine à refouler. Mais ce soir, il se laisse aller à imaginer tout et n'importe quoi, un mélange étonnant et coloré danse devant ses yeux alors qu'il bouge où du moins, qu'on le bouge. Il ne lutte pas, seulement il pousse un grognement en sentant que son corps bouillant est découvert. A tâtons il cherche la couverture qu'il remonte jusqu'à son torse avant que finalement sa main ne soit attrapée et ne puisse plus bouger. Enfin, alors qu'il voit passer devant ses yeux une étendue d'eau, il soit quelque chose de chaud et d'humide couler sur lui, sur son membre à moitié réveille dans une érection nocturne déjà solide. Il se réveille doucement, sort de son monde féerique pour baisser la tête et tomber nez à nez avec Alice qui l’englobe dans sa bouche. Il pousse un râle alors que sa tête retombe entre les coussins. C'est... Incroyablement sensuel et sexy, il avait oublié qu'il adorait être réveillé comme ça, c'est un privilège que sa femme lui réserve pour des occasions spéciales. La dernière fois c'était à Las Vegas et ils étaient encore une fois, imbibés d'alcool jusqu'à en être malade. Eliakim ferme les yeux et se laisse emporter par la délicieuse sensation que cette caresse buccale lui apporte, décidément sa femme est bien trop douée et sexy pour son propre bien. Il ne sait pas combien de temps il a dormi, tout ce qu'il sait c'est que l'alcool est déjà moins présent dans son sang, où peut-être est-ce grâce à ce que sa femme lui fait. Possible, après tout rien ne l'étonne, dés qu'il s'agit de sexe son corps réagit au quart de tour. Plus encore lorsque c'est avec Alice, c'est dingue le pouvoir que cette femme exerce sur lui, elle peut le rendre fou et tremblant en un regard, comme si il était uniquement soumis aux désirs de sa future épouse. Pour l'heure justement il est soumis à des caresses digne des dieux, il savoure, les yeux fermés tout en poussant des râles à peine étouffé. L'avantage de l'alcool c'est que cela le désinhibe totalement. Un bon point pour sa douce et tendre à la bouche divine.

Pourtant d'un geste il voudrait poser sa main dans les cheveux de sa femme mais là, alors qu'il va pour bouger, quelque chose l'arrête aussitôt. Il sursaute et se tourne, remarque qu'il est attaché et tourne un visage interrogatif vers sa femme. Cette dernière lui répond pas un regard vicieux. « Bordel t'es tellement sexy... » Dit-il en oubliant une seconde les liens, captivé par l'image de sa femme qui prend un plaisir dingue à satisfaire son époux. Finalement il tente de se libérer des liens en tirant dessus mais peine perdue, il est bien trop attaché. « Alice c'est quoi ça... ? » Murmure Eliakim en faisant référence aux cordes qui l'attachent au montant du lit. « Détache moi, je veux te toucher bébé... » Dit-il en gémissant de plus belle alors qu'elle le mordille pour toute réponse.
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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptySam 12 Mar - 22:27

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Alice n’est pas une femme gentille et attentive. Elle n’est pas une maîtresse douce et chaleureuse. Au départ elle l’avait sans doute été, aimant prendre son temps pour découvrir tous les détails de l’anatomie d’Eliakim. Elle avait sans doute été une de ces vierges qui rougissent quand elle découvre sa nudité à un homme pour la première fois. Elle devait avoir été de ces jeunes filles inexpérimentées qui ne savaient pas vraiment quoi faire, préférant être en dessous pour ne pas avoir à se poser la question de ce qu’elle devait faire ou non. Est-ce qu’elle devait le toucher, est-ce qu’il attendait qu’elle le prenne en bouche, ou qu’elle l’embrasse sauvagement ? Est-ce qu’elle devait se laisser faire, est-ce qu’elle devait se laisser aller à gémir, ou est-ce que sa voix roc serait ridicule ? Est-ce qu’elle devait bouger des hanches ? Et si jamais elle ne faisait pas les choses comme il convenait, et si jamais il ne prenait pas de plaisir ou si jamais il n’en prenait pas assez ? Et si elle était moins bien que les autres ? Ce genre de question qui rend les filles inexpérimentées presque folles, les empêchant de savourer simplement l’instant, Alice ne se souvenait pas vraiment se les être posés. Sans doute parce que même avant sa rencontre avec Eliakim elle avait déjà une connaissance approfondie de son corps, et un désir sexuel assumé. Ce qui expliquait sans doute qu’elle n’avait pas attendu de le connaître avant de s’abandonner dans ses bras. Avant de perdre pied, et d’être entièrement à lui. Parce que le désir d’être sienne était déjà présent. Parce qu’elle était prête, comme aimait le dire les vierges à l’aube de leur première fois. Elle était prête à se mettre à nue, à laisser un homme venir cueillir sa petite fleure – quelle poétisme !
A mesure du temps, Alice était devenue une maîtresse exigeantes, et surtout égoïsme, prenant ce qu’elle désirait sans demander l’autorisation. Si elle voulait s’agenouiller devant son homme, elle le faisait. Si elle voulait qu’il vienne la prendre, elle l’attirait à elle. Si elle voulait l’embrasser à pleine bouche, elle ne se dérangeait pas, qu’importe le lieu ou l’instant. Alice ressentait le désir déferlait dans toutes les parcelles de son corps chaque fois qu’Eliakim posait son regard sur elle. Elle voulait que ce regard fiévreux et sombre n’appartienne qu’à elle. Mais ce soir elle avait compris qu’elle n’était pas la seule à exister dans le regard de son homme. Contrairement à elle, Eliakim avait un regard curieux et appréciateur, qu’il posait sur toutes les personnes à portée qui soit à son gout. Regarder n’est pas trompé, c’était certains. Mais une danse langoureuse amène bien souvent à plus que cela encore, surtout lors des soirées du kaléidoscope. Surtout Eliakim. Surtout avec tous ces putains de mecs qui se fichaient de la valeur d’un mariage ou même d’une simple petite amie. Un mec qui a envie de sexe, aussi sexy qu’Eliakim ca ne se repousse pas, tout simplement.

Elle vient le trouver, jouant avec son intimité alors qu’il sort doucement de son sommeil, avec un grognement appréciateur. Elle sourit, alors que ses lèvres s’accrochent avec plus de ferveur encore à la peau fine de son amant. Elle le prend plus profondément encore, l’enveloppant du mieux qu’elle pouvait. Il est entièrement à sa merci, et il ne pouvait même pas venir fourrer sa main dans sa chevelure blonde comme il aimait tant le faire pour la guider. Elle savait se guider seule ce soir. Ce soir, elle avait envie de faire des choses osées, et refusait qu’il vienne se refuser à elle. Ce soir, elle voulait lui rappeler qu’il était entièrement à elle. « Bordel t'es tellement sexy... » Elle sourit, et ouvre les yeux pour les lever vers Eliakim, quittant son sexe pour venir uniquement y passer des petits coups de langue. Souriante, victorieuse, voyant qu’il tente de se libérer en tirant sur ses liens. Elle voit l’incompréhension – et de la panique – dans son regard alors qu’il tourne les yeux vers les cordes qui tiennent fermement ses poignées. Et oui, tu es à moi Crowlley. pense-t-elle en souriant, alors qu’elle ne lâchait pas son intimité. « Alice c'est quoi ça... ? » Murmure-t-il d’une voix hésitante mais presque colérique, frustré sans doute de ne pas être entièrement libre de ses mouvements. Mais elle ne le laisserait pas la convaincre. Pas ce soir. Ce soir, elle veut être la seule à maîtriser la situation. « Détache moi, je veux te toucher bébé... » Elle lâche un rire cristallin, un peu moqueur, alors qu’il tente de la séduire par un sourire charmeur. Tout Eliakim. Elle vient mordiller son sexe tendu pour toute réponse, comme une manière de lui dire Même pas en rêve. Elle revient vers son intimité qu’elle enveloppe à nouveau. Mais plus doucement, plus sensuellement. Humide, trempée par les baisers de la jeune femme, elle voit le sexe luire sous la lumière de la lune. Doucement, agenouillée entre les jambes de son amant, dans un geste doux et calculé, elle vient sucer un de ces doigts pour le glisser entre les deux globes de chair de son homme, sans jamais arrêter de caresser son intimité. Elle vient titiller son antre intime, un sourire pervers aux lèvres, étrangement excitée à l’idée de ce qu’elle viendra lui faire tantôt. « Non. Tu as joué au con. Tu ne mérites pas… » Dit-elle dans un rire amusé, s’amusant avec son doigt là où il ne l’aurait sans doute jamais laissé jouer s’il n’avait pas été attaché. Elle s’en fout, elle continue, allant de plus en plus loin dans l’exploration de son homme. Ca l’amuse, sa l’excite.

Elle a arrêté de jouer avec son sexe, et le regarde dans les yeux à présent avant de finalement arrêter tout mouvement et de se lever. Elle se met nue à son tour, son sexe brillant d’excitation, prouvant de l’effet que tout cela avait sur elle. Elle prend finalement le jouet qu’elle a laissé de côté, et le lubrifiant, un sourire carnassier au visage. « Tu sais… J’ai certains souvenirs de Vegas qui me sont revenus… » Dit-elle finalement en laissant glisser le liquide sur le jouet, le caressant d’une manière sensuelle, venant s’asseoir sur le ventre de son homme, sans toucher son sexe tendu et dur. Elle le regarde droit dans les yeux. « Qu’est-ce que tu voulais ce soir Elia… Qu’est-ce que tu voulais qu’ il te fasse ? » Demanda-t-elle en laissant le jouet de côté, descendant sur le torse de son homme pour embrasser sa peau et remonter dans son cou, qu’elle grappillait.


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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyLun 14 Mar - 23:02

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Eliakim pensait connaître toutes les facettes de sa femme, il pensait qu'Alice n'aurait plus aucuns secret pour lui. Allant du pire au meilleur, des moments de joie intense et de tristesse terrible tout en passant par la colère et la haine, il connaît tout d'elle. Ils ce sont poussés dans les pires retranchements, jusqu'à ne plus pouvoir se parler et se croiser sans se jeter des horreurs au visage. Ils ont été jusqu'à pousser le vice devant l'Oxymoron, se disputant sur le site de l'université devant tout le monde, crachant au visage des élèves leur haine envers l'un et l'autre. Il regrette profondément toute cette période mais ils devaient passer par là pour s'aimer aujourd’hui, ils sont ensemble et heureux c'est tout ce qui compte non ? Mais il ne connaît pas cette facette de sa femme, pas celle où elle est capable de l'attacher alors qu'il dormait. Il panique un instant et tire sur les liens, oubliant le plaisir qu'elle lui procure, l'envie qu'il a depuis ce matin de la faire sienne et tout le reste. Il a peur, pour la première fois il a peur des réactions d'Alice et de ce qu’elle pourrait faire, c'est une véritable folle quand elle s'y met. Il sait qu'elle a toutes les raisons du monde de se venger mais ce n'est pas cela qui pourra Eliakim a s'excuser, au contraire. Il a le droit de doute,r d'avoir peur qu'elle retombe dans des bras autres que les siens. C'est sans doute sa plus grande phobie et celle qui restera le plus longtemps dans son esprit. Surtout si l'accusation vient d'Eden, la principale concernée. Pour l'heure il tire en vain sur les menottes alors que sa femme relève la tête vers lui avec un sourire sadique, pervers et joueur à la fois, ce qui au final est assez effrayant. Il lui demande de le détacher sans croire vraiment au fait qu'elle puisse le faire. Il a raison, elle éclate de rire et semble prendre un plaisir dingue à voir son homme.

Pour réponse elle mordille son érection, ce qui l'excite et lui arrache un gémissement de douleur à la fois, il ne la lâche pourtant pas du regard. « Mon amour, tu me fais peur... » Dit-il avec un sourire et un regard larmoyant, ce qui a pour effet de... Rien du tout. Sa femme ne semble pas décidée à le lâcher. Finalement elle reprend son activité, il ferme les yeux et savoure doucement. Mais alors qu'il se mord la lèvre pour ne pas lâcher un râle plus puissant que les autres, il sent quelque chose se glisser plus bas dans son intimité. D'abord il sursaute et tente, sans succès, de se débattre mais peine perdue, elle vient le câliner dans une zone érogène, ce qui a pour but d'exciter Eliakim plus encore. Sans pouvoir se retenir il tire sur les liens en serrant les dents, refusant de montrer à sa femme qu'il aime ce qu'elle lui fait. Aucun son ne sort de sa bouche alors que la belle blonde recommence à parler. « Non. Tu as joué au con. Tu ne mérites pas… » « Arrête Alice. S'il te plaît. » Murmure Eliakim alors qu'une rougeur incroyable s'empare de son visage, il trouve ça... Déplacé et presque humiliant. Il serait avec un autre homme cela ne le dérangerait pas, là c'est sa femme. Et se faire dominer par sa femme... C'est une chose qu'il a encore du mal à assimiler. Oui les hommes lui manquent, ce n'est pas un secret surtout pour lui qui a toujours eu la chance de pouvoir coucher avec les gens qui lui plaisaient.

Il ne s'arrêtait pas au sexe de la personne, il pouvait autant coucher avec un homme qu'une femme. Mais là, même si il promet fidélité à sa femme, ce désir sauvage pour les hommes restera en lui. Alors accepter qu'Alice lui fasse ça, c'est encore... Non. Il la sent se lever et se mettre nue, pendant une seconde il la regarde faire, la trouvant magnifique tout en remarquant qu'elle est trempe. Il sourit à cette vision alors qu'elle prend un objet, juste à côté d'eux. Il sursaute, comme si tout reste d'alcool avait quitté son corps instantanément. Il se sent aussitôt totalement sobre et maître de lui même, ce qui sera pire car de ce fait il se souviendra de tout. « Tu sais… J’ai certains souvenirs de Vegas qui me sont revenus… » Il tourne la tête vers elle et la regarde. « Mais ? » Dit-il alors qu'elle s'approche et le chevauche, s'installant sur son ventre tout en venant grappiller son torse et son cou. Il ferme les yeux et cherche à l'embrasser, mais la fourbe refuse et tourne la tête à chaque fois. « Qu’est-ce que tu voulais ce soir Elia… Qu’est-ce que tu voulais qu’ il te fasse ? » Il soupire et détourne la tête alors que ses joues se colorent, pour la seconde fois de la soirée, d'une jolie couleur entre le rose et le rouge clair. « Ne joue pas à ça s'il te plaît. » Murmure Eliakim en tirant encore un peu sur les liens, mais il semble que malgré tout, il soit bien attaché. Et fait comme un rat, également. Il refuse obstinément de regarder le jouet lubrifié posé à côté de lui, refusant également d’imaginer que sa femme puisse tenter de lui faire ça. « Je n'assume pas cette partie de ma personnalité. Donc... Arrête. Je te le demande, s'il te plaît. Et détache moi. » Râle Eliakim en venant embrasser l'épaule de sa femme, à portée de bouche.
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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyVen 18 Mar - 19:50

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Lorsqu’elle était adolescente, Alice avait imaginé tomber amoureuse d’un homme beau, grand, intelligent. Le sexe dans son esprit était une preuve d’amour, les yeux dans les yeux, les bouches serrées dans des baisers enflammés, toujours dans la même position, toujours avec la même alchimie. Quand elle était adolescente elle avait un esprit très classique, un peu naïf en ce qui concernait le plaisir charnel. Elle voyait les choses avec un air d’adolescente romantique et sage. Elle était une adolescente romantique et sage, à l’époque. Mais entrée dans la dépravation, dans les bras d’un homme aussi séduisant et … Expert qu’Eliakim avait ouvert la boite de pandore. A présent elle se sentait femme, forte, folle, et envieuse. Elle regardant le corps de son amant avec un désir qui n’avait de limite que son imagination. Il désirait tout lui faire, tout expérimenter, tout essayer. Elle avait découvert qu’elle n’avait que très peu de limite en ce qui concernait le sexe. Que ca soit dans l’exploration de son corps, de celui d’Eliakim, ou dans les rapports de dominations, ou de soumissions. La douleur, le plaisir, les jeux de rôle, elle avait un appétit sexuel évident, et elle se laissait rarement aller à un simple missionnaire les yeux dans les yeux. Elle voulait le soumettre, le posséder, l’avoir en son pouvoir, excitée par ses yeux révulsés quand elle le chevauche et qu’il ne peut rien y faire. Quand il découvre sa beauté, sa force, son désire aussi violent. Alice est folle. Alice est ivre. Amoureuse, fiévreuse, désireuse. Rien ne peut l’arrêter, absolument rien.

Son amant attaché, elle est en pleine possession de son corps, et peut bien en faire ce qu’elle veut. De toute ce qu’ils peuvent faire ensemble, c’est sans doute cette perspective qu’elle trouve le plus excitant. C’est sans doute cela qui la rend trempe et la ferai gémir sans même qu’elle ne soit touchée. Elle pourrait en devenir folle de le voir ainsi, allongé, le sexe tendu vers elle. Fiévreux, angoissé, se demandant sans doute ce qu’elle était prête à lui faire. « Mon amour, tu me fais peur... » Elle sourit, un sourire de côté, coquin et aquicheur. « Tu peux. » Répondit-elle simplement. Elle est entre la rage et la sérénité. Elle est en colère contre lui, encore, mais le désir est plus puissant. Elle a envie non point de le punir mais de lui rappeler qu’il est à elle. A elle seule, et qu’importe ce qu’il désire. Qu’importe ce qu’il veut vraiment.
Elle arrive vers son antre interdit, et le cherche, joue avec elle, regardant ses réactions d’un coin de l’œil. Il sert les lèvres, comme pour contenir un gémissement, et elle sourit, allant plus loin dans son exploration. Il la supplie, tentant d’arracher ses liens, et elle le regarde, refusant de le libérer. « Arrête Alice. S'il te plaît. » Elle s’arrête alors un temps. Elle le regarde, lui sourit. Il rougit, gêné sans doute, mais étrangement cette fois Alice n’en a cure. Elle le fixe les yeux assombrie par un désir qui la dévore. Elle sait qu’il lui suffira d’un geste pour aller dans l’exploration de son être, et ne plus en revenir avant de l’avoir fait jouir.

Elle va chercher un jouet, se met nue, revient sur lui, et lui avoue enfin qu’elle se souvient de certaines … choses, de Vegas. Elle aurait pu en être gênée. Après tout ce qu’elle lui avait ce soir-là n’était pas… une pratique courante. Bien au contraire ca ferait plutôt partie des choses que les gens mettent dans la case « taboue » du sexe. Mais Alice se fichait de ce qui pouvait être taboue, tant que ca lui plaisait. Et Ca ca lui plaisir énormément. « Mais ? » Elle hausse un sourcil sceptique, et un sourire vient agrandir son visage. « Et… Ces images n’arrêtent pas de tourner dans ma tête… » Répondit-elle en fermant les yeux. Elle laisse un gémissment sortir entre ses lèvres, et revient sur le corps de son amant pour venir embrasser son torse. Il est beau, putain, ca la rend folle. Elle est sur le fil, elle sait que dans quelques secondes elle ne sera plus capable de penser avec cohérence. Elle prend sur elle. Le temps d’échanger deux mots. Juste deux mots.
Elle lui demande, ce qu’il voulait. Ce qu’il cherchait ce soir. Ce qu’un homme pourrait lui donner à son avis. Et elle, ne le pourrait-elle pas ? « Ne joue pas à ça s'il te plaît. » Elle ne s’arrête pas pour autant, continuant son exploration. Elle descend, sur son ventre, leurs sexes se frottant l’un à l’autre dans une étreinte qui fait pousser un gémissement à la jeune femme. Mais il continue… « Je n'assume pas cette partie de ma personnalité. Donc... Arrête. Je te le demande, s'il te plaît. Et détache moi. » Elle sourit. Il râle, entre la gêne et l’excitation. Alors elle sait. Elle sait qu’elle ne le détachera pas. « Je vais t’aider à … assumer. » Dit-elle d’une voix assurée. Elle lâche un rire, revient sur son sexe, prenant au passage le jouet qui l’attend.

Elle revient prendre son sexe en bouche, alors que doucement elle vient titiller son antre avec le jouet. Elle sait qu’il lutte. Mais elle le prend plus durement en bouche, le serrant entre ses lèvres. Le lâchant alors que doucement elle vient en lui. « Fermes les yeux, bébé… Ca va être bon crois-moi… » Dit-elle avec une voix roc, le désir ayant pris entièrement possession de son être, fiévreuse, envieuse, elle veut voir le pouvoir qu’elle à sur lui. Elle l’étreint, elle le possède d’une main experte venant ouvrir son intimité qui lui était jusqu’alors interdite. Ses lèvres allant et venant sur son sexe, elle le possède. Entièrement.



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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptySam 19 Mar - 2:26

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Cette femme est sans doute autant joueuse et aussi coquine par sa faute, il a été son premier, il lui a tout appris et l'a formé à son image. Sexuellement, si elle n'est choquée par rien c'est aussi par sa faute. Eliakim adorait l'idée d'avoir une femme avec qui il pourrait tout tenter mais le résultat est là, pour la première fois de sa vie c'est lui qui est pris au piège. Il c'est royalement fait avoir et il ne peut plus bouger en conséquence, sa femme le tient fermement avec des liens en tissu qu'il ne peut même pas briser. De moins pas tant qu'il est dans cet état, lorsque l’excitation atteindra un point de non retour il sait, là, qu'il serait capable de briser les liens sous la force de ses gestes. Mais pour l'instant il attend et regarde sa femme, son petit air joueur et amusé le fait sourire alors qu'il tente de se faire prendre en pitié pour qu'elle le détache. Peine perdue, elle est plus coriace qu'il ne le pensait. Rien ne fonctionnera, il est bien placé pour savoir que, lorsque Alice a quelque chose en tête, c'est impossible de lui faire lâcher prise. Elle est têtue, parfois pire que lui et ce soir elle semble bien décidée à aller jusqu'au bout. Pourtant avec quelques paroles il lui avoue que cette partie de sa personnalité le gêne, pire encore il n'arrive pas à accepter l'idée que sa femme puisse agir de la sorte avec lui, c'est un rôle qu'il ne lui a jamais demandée d'assumer. C'est encore difficile pour lui d'accepter l'idée, tout simplement. Lui qui a tendance à jouer à l'homme macho et viril avec sa femme, il a l'impression de se soumettre. Et la fourbe sait qu'il n'aurait jamais acceptée alors elle l'a attachée. Maline. « Je vais t’aider à … assumer. » Lui dit-elle alors que l'ombre d'un sourire passe sur ses lèvres. Il comprend qu'il n'arrivera pas à arrêter son épouse de toute façon, ce n'est pas pour ce soir qu'il aura le dessus. Très bien, il n'y a rien d'autre à faire que se détendre pour le moment. Eliakim pose sa tête sur les coussins et respire, luttant contre la gêne qui menace de rougir son visage et de le forcer à arrêter Alice. Il en meurt d'envie pourtant et la fourbe le sait, elle lit en lui comme dans un livre ouvert. Disons que cela sera leur petit secret.

Elle vient se glisser entre ses cuisses et doucement, prend son sexe en bouche. Il lâche un râle de plaisir et ferme plus fort les yeux, c'est délicieux, beaucoup trop pour qu'il puisse se retenir. Tant pis pour la pudeur. Puis aussitôt après, il sent quelque chose de froid glisser plus bas, assez pour le faire sursauter. « C'est froid... » Murmure Eliakim pour toute réponse alors. « Fermes les yeux, bébé… Ca va être bon crois-moi… » Lui dit-elle alors qu'il avait ouvert les yeux pour la regarder un instant. Il hoche la tête et se détend une fois encore alors qu'elle pousse en lui, il grimace un instant mais la bouche chaude de son amante lui fait perdre la raison. Et lentement, centimètre par centimètre, elle entre en lui. Cette zone qu'il lui refusait, endroit totalement offert à ses amants, chose qu'il gardait secret. « Attend... » Murmure le professeur alors qu'il s'habitue doucement à l'intrusion. Puis, alors que doucement le désir glisse en lui, il écarte les cuisses pour lui faire signe de bouger. La première fois il ne sent pas grand chose, la douleur tire encore en lui, assez pour lui faire serrer les dents. Puis, en une fraction de seconde, elle frappe en lui dans cette zone si douce et violente à la fois. Ce qui a pour but de le faire se tendre, tirant sur les liens sans aucune douceur alors que son torse se soulève en rythme avec sa respiration saccadée. « Recommence... » Murmure le professeur alors qu'elle tape une seconde fois en lui, le forçant à pousser un râle de plaisir mal contenu. « Tu... Ne veux pas venir sur moi ? » Parvient à murmurer le professeur avec un regard gourmand pour le corps bien sculpté de sa femme. « Je sais que tu en meurs d'envie. » Pour preuve, son sexe trempe et luisant qu'elle ose cacher à sa vue.
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Alice Kensington-Crowlley




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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyDim 20 Mar - 19:50

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Le sexe n’est pas une chose sérieuse. Elle ne fait pas l’amour en regardant l’autre dans les yeux, perdant son sourire, et sa curiosité, laissant uniquement des gémissements et le nom de son amant lui échappait de temps en temps. Le sexe n’est pas une chose sérieuse, ce n’est pas seulement un instant pour faire des enfants ou pour perdre toute sensibilité et délire. Elle, elle aime regarder son homme et lui sourire, partager avec lui cet instant d’allégresse en riant parfois de ses réactions, ou de ses caresses qui la chatouillent. Elle aime, essayer, tester, faire de nouvelles choses, et surtout ne pas trop se prendre au sérieux en se demandant ce qu’il pensera d’elle, ou si c’est en adéquation avec celle qu’elle est. Alice elle porte un masque social, constamment. Sauf avec Eliakim. Et quand ils font l’amour elle laisse s’exprimer tout ce qu’elle désire, ce qu’elle souhaite, ce qui la fait fantasmer et rêver. Elle n’a pas de retenu, elle est elle, entièrement. Complètement. Passionnément. Et elle se découvre des fantasmes et des envies presque terrifiants, peu conventionnelle. Qui aurait pu croire que Alice Kensington soit une amante aussi dévergondée ? Là où dans ces milieux sociaux tout le monde semble se satisfaire d’une missionnaire trois fois dans le mois. Ce n’est pas son cas, loin de là. Très très loin de là.

C’est ainsi qu’elle se retrouva entre les cuisses de son homme, cajolant ce que seuls ses amants avaient pu cajoler jusqu’à présent. Mais l’idée de le posséder entièrement, laissant derrière eux le souvenir de ses autres qu’elle exécrait la ravissait. Plus encore, l’excitait… « C'est froid... » elle s’arrête un instant, inquiète de lui faire plaisir tout de même, mais continue alors qu’il ne semble pas se débattre pour se défaire de son emprise. Elle le possède alors, doucement, écartant son intimité, tout en gardant son sexe en bouche. Elle se fait une maîtresse tendre et passionnée, la colère et l’impatience ayant laissé place au plaisir et à la sensualité. « Attend... » Elle arrête tout mouvement, lève la tête vers lui. Elle sent le joue lui monter aux joues un instant se demander si elle est… Convenable. Si elle fait les choses comme il aime. Après tout elle n’en a que des brides de souvenirs. Mais dans ces Flash le plaisir d’Eliakim était plus qu’évident. Foudroyant.
Elle croise son regard, il lui sourit, alors elle sait. Il prend son pied putain, et l’idée déclenche en elle une vague intense de désir. Alors elle vient en lui, plus profondément, doucement d’abord. Puis rapidement, en suivant le rythme de ses supplications, et de ses gémissements. Elle teste, elle cherche à atteindre son point de non-retour. Elle écoute ses réactions, s’exaltant du pouvoir nouveau qu’elle peut avoir sur lui. Puis un sursaut, un gémissement plus violent, et elle sourit. « Recommence... » Elle sourit, recommence. Elle a le souffle court, le cœur qui bat à tout rompre et elle le fixe, incapable de détacher son regard de cet homme si terriblement beau. Elle sourit. Il croise son regard, alors qu’il lâche un râle de plaisir. Putain qu’il est beau… « Tu... Ne veux pas venir sur moi ? » Elle hausse un sourcil, ses yeux tombant sur la virilité exalter de son homme. Dure, frémissante, elle sent une vague de désire la terrasser et sa conscience se vider. « Je sais que tu en meurs d'envie. » Evidence. Elle arrête ses mouvements pendant un moment, sourire pervers sur les lèvres. Elle vient sur lui, lui tournant le dos pour s’emballer sur son sexe sans ménagement. Râle de plaisir.

Elle commence à bouger sur son sexe dur, reprenant le jouet pour continuer à le prendre aussi. Dans un même mouvement. L’image l’exalte et elle se sent folle. Elle gémit, allant et venant sur son sexe, rapidement, serrant les cuisses pour le sentir plus profondément encore. Ses mouvements saccadés la rendent folle et elle sent que la jouissance arrive rapidement, alors qu’elle tape encore en son homme pour le faire jouir. Pour le faire venir et le posséder. L’avoir à elle entièrement. « Viens bébé… » Murmure-t-elle alors qu’elle accélère la cadence, le souffle de plus en plus court, retenant ses murmures et ses supplications pour le prendre comme elle le désire. Elle soupire, suffoque, sent son corps se tendre alors que la jouissance arrive. Instant exquis juste avant de succomber. « Eliakim… » Le nom se perd avant que son corps ne tremble sous une jouissance dévastatrice. Hurlement salvateur alors qu’elle sent qu’il vient en elle également. Elle sourit, tremble s’arrête et s’effondre, en avant.

Elle prend un moment, respire doucement, avant d’ôter le jouet de son homme et de quitter son sexe tremblant. Elle s’assoit à côté de lui, et s’allonge sur son torse. « Avoue… Tu as aimé. » Dit-elle en haussant un sourcil joueur. Elle vient au-dessus de lui, assise sur ses abdos et vient – enfin – attraper ses lèvres dans un baiser fougueux. « Moi en tout cas j’ai aimé. » Dit-elle en allant un peu plus au-dessus de lui, pour aller chercher les liens qui le maintiennent et les lui ôter, doucement. « J’pense garder tous ces jouets dans un coin, qu’en penses-tu ? Au cas où il te reprendrait l’envie de vouloir plus qu’une simple femme… » Dit-elle, plus moqueuse à présent d’excédait, alors qu’elle le libère de ses secondes chaines.


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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyMar 22 Mar - 23:33

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Sa femme, si belle et si bien faite, elle ne réalise pas son pouvoir sur Eliakim. Elle ne le réalisera jamais doute et lui même ne sait pas jusqu’où pourrait aller son amour et son désir pour cette femme. Il se découvre encore et encore, son cœur et son corps réagit en conséquence dés qu'elle entre dans une pièce et s’impose dans son esprit sans aucune douceur. Il la regarde, lui sourit et n'a qu'une envie c'est goûter ses lèvres encore et encore. Il ne pensait pas un jour atteindre un tel stade de bien être avec quelqu'un. Il se rend compte qu'avec Maxime ils s'aimaient oui, mais peut-être trop. Ils en étaient jusqu'à s’empêcher de vivre mutuellement et souvent, ils ne pouvaient plus quitter la bulle qu'ils avaient formés autour de leur couple. Refusant le monde, les amis, les autres personnes qui pouvaient se mettre entre eux. Vivant tel deux reclus, ils n'auraient jamais pu rester ensemble, rien ne pourrait sortir de bon de cette relation. Ils n'étaient pas assez mature, ils étaient encore des adolescents dans leur tête et surtout, ils aimaient en tant que tel. C'était fougueux, violent, passionné mais pas comme aujourd’hui avec Alice, il n'y avait aucune confiance entre eux. C'est aussi cela qui a détruis leur couple déjà fragile. Aujourd'hui avec Alice, il prend un second souffle. Il se sent confiant, ses peurs le quittent à mesure que les semaines passent avec sa femme. Lui qui depuis Maxime avait une peur folle de l'abandon, il se sent tellement plus confiant. C'est bon, apaisant même de se sentir en confiance. Et surtout cela lui prouve qu'Alice est définitivement la femme de sa vie.

L'un comme l'autre, ils se lâchent lorsqu'ils font l'amour, ils font tomber les barrières et se découvre tel des amants passionnés et affamés l'un de l'autre. Ils pourraient passer des heures à faire l'amour, sans jamais se lasser. De toute façon cela leur arrive souvent, surtout depuis qu'ils sont dans cette belle maison et qu'ils ont enfin leur petit nid. Depuis qu'ils sont loin de son appartement où ils ont vécus tellement de choses difficiles et douloureuses. Ils s'enferment parfois toute la journée et s'aiment sans jamais s'ennuyer, ils s'aventurent dans des recoins de plaisir jamais exploré encore et ils s'endorment, après plusieurs heures d'amour intense, complètement épuisé. Souvent dans la position qu'ils avaient ce qui veut dire, en travers du lit et une simple couverture très fine pour cacher leur nudité. Ils en profitent tant qu'ils n'ont pas d'enfants, lorsqu'un bébé leur quémandera toute l'attention, ils auront moins de temps l'un pour l'autre c'est logique. Alors, pour l'instant, ils savourent leur quelques mois de bonheur, pré-mariage. Et surtout sa femme en profite pour faire des expériences que son homme aurait refusé par principe en d'autres temps. Et surtout si il avait été sobre car même si l'alcool le quitte doucement, il est encore dans un état second à cause des verres de vodka qu'il a avalé toute la soirée. Heureusement il n'a aucun début de gueule de bois, c'est une bonne chose au final. Pendant plusieurs minutes il se laisse le temps de s’habituer à l'intrusion, après tout voilà des mois qu'il n'a rien fait avec un homme et il lui faut un peu de temps. Sa femme semble le comprendre, elle l'attend alors qu'il lui demande de patienter un peu. Puis, d'un regard, il lui signale qu'elle peut se lâcher il est prêt. Alors elle commence à bouger en lui, tapant dans un endroit qui le fait presque hurler de plaisir alors qu'il parvient à se retenir. Elle recommence, encore et encore jusqu'à ce qu'il lui demande de venir sur lui, s'empaler sur son membre pour qu'elle prenne son pied elle aussi. Elle sourit et le regarde un instant, sans doute pour peser le pour et le contre. Enfin elle vient au dessus de lui et lui tourne le dos pour venir bouger sur son membre, il pousse un râle en la sentant glisser sur lui puis, alors qu'elle bouge et qu'elle s'active en lui en même temps, il ferme les yeux et savoure. Enfin dés qu'il trouve une cadence parfaite, il marque quelques coups de hanches en elle, du mieux qu'il peut car il est attaché et ne peut pas vraiment bouger. « Viens bébé… » Lui dit-elle alors qu'il tire sur les liens avec plus de force, sentant qu'il va venir dans quelques secondes si elle continue à lui procurer autant de sensations.

Puis, en un instant, elle hurle son prénom alors que sa tête par en arrière et que son bassin vient violemment frapper en elle. La jouissance, l'orgasme même, l'emporte avec une telle violence qu'il retombe, inerte, sans force. Elle reprend son souffle et finit par venir contre lui. « Avoue… Tu as aimé. » Lui dit-elle en s'asseyant sur ses abdos. « C'était... Divin... » Murmure Eliakim alors qu'elle vient l'embrasser, dévorer ses lèvres même. « Moi en tout cas j’ai aimé. » Finalement elle le détache et il vient masser ses poignets, doucement. C'est sa faute, il n'aurait pas du tirer comme un dingue, il en aurait presque brisé la tête de lit. « J'ai vu ça oui... » Ajoute le professeur alors que ses yeux glissent sur l'intimité trempe de sa femme. « J’pense garder tous ces jouets dans un coin, qu’en penses-tu ? Au cas où il te reprendrait l’envie de vouloir plus qu’une simple femme… » Il laisse un sourire lui échapper alors que sa main droite se pose sur la cuisse de sa future épouse et qu'il laisse ses doigts courir sur sa peau. « Tu peux oui... On recommencera... Surtout si tu aimes également. » Murmure le professeur en venant l'embrasser doucement. « Ma femme serait-elle rassasiée... » Dit-il alors que d'une main, il vient englober son sein. Aussitôt il sent contre la paume de sa main, le téton de son amante durcir. Il sourit, amusé par les réaction de son corps. « Je t'aime Alice... Tellement... » Dit-il alors qu'il vient poser sa tête dans son cou pour sentir son parfum.
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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptyMer 23 Mar - 23:46

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Audacieuse la jeune femme aime jouer les dominatrices avec son homme. Ils se complètent parfaitement, autant physiquement qu’intellectuellement. Ils sont les parfaits opposés, et pourtant ils sont incroyablement semblables. Le jour et la nuit, le soleil et la lune. Incapable de vivre l’un sans l’autre, et incapable de se satisfaire l’un de l’autre. Ils se poussent constamment à bout, dans leurs derniers retranchements. Ils se transforment, s’améliorent, changeant pour l’autre, avec lui. Ils sont inconstants, lunatiques, et joueurs. Ils ne savent qui ils sont, pas vraiment, ils existent à travers le regard de l’autre. Ils se construisent à deux, ils ne peuvent exister qu’ainsi. De ce fait Alice n’est elle-même que depuis qu’Eliakim est dans sa vie. Elle ne peut être qu’elle que parce qu’il est là pour l’aimer, pour la désirer, pour la pousser à être meilleure encore. Elle se fond en lui, elle se fond dans son sourire, dans ses soupirs, dans ses baisers. Leurs corps se retrouvent, se joignent, s’appartiennent. Ils n’ont pas de limite. Leur amour n’a pas de limite. Ils s’aiment chaque jour un peu plus. Ils se découvrent chaque jour un peu plus. Ils s’apprennent. Elle l’adore, l’adule, le vénère, avec des étreintes charnelles toujours plus démoniaques ; toujours plus sensuelle.
Elle n’est pas raisonnable, pas avec lui. Avec lui elle ne l’a jamais été ; Elle ne l’a pas été quand elle s’est donnée à lui dés le premier soir, celui de leur rencontre. Elle n’a pas été raisonnable quand elle a continué de coucher avec lui, alors qu’elle était étudiante, et lui professeur. Elle n’a pas été raisonnable quand elle l’a fait surveiller, se vengeant sur les autres femmes qui partageaient sa couche – en secret évidemment. Elle n’a pas été raisonnable quand elle a essayé de le manipuler pour le fiancer. Elle n’a pas été raisonnable quand elle l’a quittée, laissant derrière elle sa conscience, sa vie, ses amies… tout. Elle n’a pas été raisonnable en revenant, sur un coup de téléphone de Maxime, pour le sauver. Elle n’est pas raisonnable aujourd’hui, alors qu’elle l’aime de la manière la plus scandaleuse. Mais elle s’en fout, parce que dans le regard de son amant elle retrouve la même dévotion passionnelle.

Jouissance délirante qui les saisit tous les deux. Elles s’étend sur lui, sourire aux lèvres, heureuse et comblée – pour le moment. « C'était... Divin... » Un rire enfantin s’échappe de la bouche d’Alice alors qu’elle lève son regard vers lui. « tu vois que tu as bien fait de me faire confiance… » Dit-elle avec toute la fierté dont une Kensington est capable. Elle hurlerait de fierté si elle le pouvait. Elle vient l’embrasser le dévorant presque. Dieux qu’elle a aimé le faire jouir comme cela. « J'ai vu ça oui... » elle hausse un sourcil, l’air de dire vraiment ? et qu’est-ce qui pourrait lui avoir montré qu’elle avait aimé cela ? Elle ne pense plus avec cohérence. Tout cela n’a pas de sens. Elle sourit, se laisse aller contre lui, et écoute les battements de son corps en le taquinant un peu, faisant passer par l’humour ce qui l’avait mise dans une rage folle tantôt. « Tu peux oui... On recommencera... Surtout si tu aimes également. » Sa main est posée sur la cuisse d’Alice et ce simple contact semble pouvoir la brûler. Elle est folle, folle de lui c’est une évidence à présent. Elle ne pourra plus se passer de sa présence, et de son étreinte. Elle est entièrement dévouée au plaisir de son futur mari. Futur mari… Rien qu’à cette idée elle laisse échapper un soupire d’aise et de bonheur. « Tu es prêt à assumer cette partie de toi alors ? » demanda-t-elle avec un côté impatient dans la voix : elle aime savoir qu’il est capable de tout avec elle, sans honte.
Finalement il pose sur elle un regard un peu moins … innocent. « Ma femme serait-elle rassasiée... » « Jamais. » Répondit-elle du tac au tac, laissant de côté le fait qu’elle soit exténuée, alors que le désir de lui vient à nouveau l’étreindre. Son sexe la fait un peu souffrir, mais elle s’en tape. Elle veut le sentir encore. Elle voudrait le sentir toujours en elle, bougeant pour la rendre folle. « Je t'aime Alice... Tellement... » Il joue avec son téton dans un geste qui pourrait faire croire que c’est … innocent, naïf, involontaire. Mais elle n’est pas dupe. « Je t’aime plus que tout bébé… » Lui murmure-t-elle avec de venir embrasser son cou, léchant sa peau où la sueur perle doucement. Il sent le sexe. Il sent l’homme, et ca l’excite. Ca l’enivre. Ca la rend folle.
Dans un geste éminemment sensuelle, elle vient saisir la virilité dure de son homme et vient le chevaucher, se laissant glisser sur lui à nouveau. Doucement. Sourire aux lèvres. « Je ne peux pas me rassasier à cela. » Dit-elle dans un souffle alors qu’elle reprend ses gestes, sur son sexe dur. Elle s’accroche à lui, se relevant un peu pour lui laisser une vue imprenable sur son corps, bougeant sur sa virilité. Mais cette fois l’étreinte est plus douce, plus tendre, plus lascive aussi. Elle bouge, doucement, pour le rendre fou, mais le sent terriblement bien, serrant les cuisses pour le rendre fou. Elle se mord la lèvre, allant et venant sur sa verge tendue dans un rythme terriblement lent mais séduisant. Elle laisse échapper des soupirs d’aise, et des râles de plaisir à mesure que le plaisir monte en elle. Sa main droite vient caresser son bouton de plaisir alors qu’elle continue, ne s’arrêtant jamais. Ne pouvait pas s’arrêter pour le sentir en elle.

Son regard se perd dans celui de son homme alors que ses mouvements continuent. Elle s’accélère, sans jamais arrêter de le fixer. Incapable de s’arrêter. Incapable de ne pas l’aimer de toute la force de son être. Elle sourit, gémit, et se mord la lèvre alors qu’elle sent qu’elle va venir encore. Mais cette fois c’est différent. Le plaisir est plus violent, plus prenant, plus délirant encore. Elle souffle, plus fort. Hiératiques. Eperdue. « je t’aime… je t’aime… » Murmure-t-elle alors que la jouissance vient la saisir. Comme une vague chaleureuse qui embaume son être entier. Elle ne hurle pas, se laissant envahir par ce plaisir sans équivalence. Elle sent les larmes monter à ses yeux, alors qu’une foule d’émotions et de sentiments viennent l’étreindre. Elle reste là, essoufflée. Comblée. Heureuse. « Tu es parfait… »

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MessageSujet: Re: HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.   HOT -18 Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines. EmptySam 26 Mar - 15:51

Le désir n'est pas ce que tu vois mais ce que tu imagines.
Alikim
Il profite de cet instant de repos, cette plénitude parfaite juste après l'orgasme. Ce moment de flottement, ce calme qui s'écoule dans ses veines et qui le fait bailler de fatigue. Il faut dire qu'Eliakim est encore sous le coup de l'alcool, la vodka ne fait jamais bon ménage dans son esprit. Et le liquide le rend très vite euphorique, c'est peut-être pour ça qu'il continue d'en boire d'ailleurs. Pour l'heure il est assommé, incapable de bouger alors qu'une sensation coule en lui et lui donne envie de rester inerte pour le reste de la nuit. Pourtant, même si son corps semble trop lourd pour bouger, son désir lui prouve qu'il n'en a pas terminé avec Alice, qu'il a encore des réserves et des envies dans un coin, des envies qu'il doit assouvir au risque de ne pas pouvoir dormir de la nuit. D toute façon Alice est le genre de femme à ne jamais dire non, parfois à son grand désespoir car sa femme est insatiable. Elle a sans doute autant envie que lui, ce qui pousse l'un comme l'autre à faire l'amour jusqu'à épuisement. Ils s'endorment dans les positions où ils se trouvent et ne cherchent même pas à se cacher. Une chance que personne ne les ai jamais surpris. Ils sont des marathoniens du sexe. Sa femme, d'un air fier lui rappelle qu'il aurait du lui faire confiance. Il rit un peu et tourne la tête vers elle pour lui voler un baiser. Il l'aime, ça ne fait aucun doute lorsqu'on les voit. Ils se dévorent des yeux, c'est une évidence pour toutes personnes qui approche le couple. Il suffit de voir Alice regarder Eliakim et vice versa pour comprendre qu'ils sont fait l'un pour l'autre. Et dire qu'ils ont faillis se passer à côté sans s'arrêter, qu'ils sont idiot. C'est si bon un peu de repos après tout ce qu'ils ont vécus, c'est... Le juste retour des choses tout simplement. « Tu es prêt à assumer cette partie de toi alors ? » Il n'irait pas jusque là mais il va tenter du moins. Il grimace et se tourne vers elle. « Je vais travailler à ça. » Dit-il avec un sourire. Il sait que cela a plu à Alice de le dominer, il est prêt à recommencer. Bientôt, dans quelques semaines. L'envie reviendra, il le sait.

Il lui murmure qu'il l'aime, elle lui répond qu'elle aussi, il se sent sourire comme un idiot. Il est habitué aux grandes déclarations, il est habitué au gnan-gnan mais ça lui fait toujours un drôle d'effet lorsqu'elle lui dit qu'elle l'aime également. Il est déjà quasiment sur elle, la cherchant, jouant avec son sein pour lui donner envie si elle peut encore. Mais c'est Alice, elle peut toujours, c'est scientifique. Sa femme est une gourmande, c'est tout. Il se rend compte que lorsqu’elle sera enceinte ce sera pire encore et ainsi, un sourire pervers naît sur ses lèvres alors qu'il croise son regard. Elle va lui voler toutes son énergie, il va finir sur les rotules après les neufs mois. Elle vient le chevaucher, aussitôt ses mains viennent se poser sur ses seins pour les caresser. « Je ne peux pas me rassasier à cela. » Lui dit-elle alors qu'elle bouge au dessus de lui. Il ferme les yeux et soupire, la laissant diriger encore une fois cette étreinte qu'ils vont partager. Enfin, dans un geste éminemment sensuel, elle bouge ses hanches au dessus de lui alors qu'il la regarde, complètement fasciné par les mouvements qu'elle exécute. Elle est belle, magnifique, elle semble être une illusion de son cerveau fatigué tant il la trouve parfaite. Il caresse ses seins, glisse sur ses hanches et l'accompagne dans ses mouvements, il bouge doucement avec elle, dans une danse érotique. Il n'a jamais rien vu de plus sexy que sa femme, les cheveux détachés et tombant en cascade sur ses épaules, l'air épuisé et plein d'envie en même temps, bougeant au dessus de lui. Elle se mord la lèvre et le regarde d'une façon presque perverse, lentement ses yeux glissent sur son corps jusqu'à arriver à son sexe qu'il regarde. Il pousse un râle sous la vision salace qu'elle lui offre. Il pourrait en jouir juste de la voir faire. Elle souffle, respire fort, sa poitrine se soulève et semble l’appeler. Eliakim remonte jusqu'à elle et vient l'embrasser, dévorer ses lèvres alors qu'elle lui murmure qu'il l'aime. « Moi aussi bébé. » Parvient à articuler le bel homme entre deux râles alors qu'elle se laisse emporter et qu'il vient en elle, au plus profond de son corps, se mordant la lèvre au sang pour ne pas hurler. Et elle se calme, comme si le temps était suspendu. Il la tient dans ses bras, caressant sa peau, jouant avec la pointe d'un de ses seins. « Tu es parfait… » Lui dit-elle alors qu'il se laisse tomber en arrière au milieu des coussins. « C'est toi qui frôle la perfection bébé. » Murmure Eliakim alors qu'elle la prend contre lui, l'incitant à venir poser sa tête sur son torse. Là il caresse doucement ses cheveux, joue avec une mèche blonde. « Dors mon Ange... » Murmure le professeur à son oreille avant de l'embrasser doucement.
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