| Sujet: Ose dire la vérité : rien ne mérite un mensonge. ∂ Andy Lun 8 Déc - 0:51 | |
| Andrea M. Fitzwilliam une citation ici, sans trop exagérer
identification complète Andrea Mason Fitzwilliam. âge 28 ans. lieu/date de naissance 20/08/1986. études suiviesDroit. job Professeur de droit et maître de coférence. orientation sexuelle Homosexuel assumé. statut Célibataire. statut social £££ caractère fidèle. Bosseur. Intègre. Borné. N'aime pas avoir tord. Perfectionniste. Une vraie casserole en chant. groupe hard workers. avatar Jamie Dornan.
Welcome to the jungle Je suis un véritable gourmand, surtout en ce qui concerne le chocolat, mais, par chance, je ne grossis pas. certainement dû à ma pratique intensive du sport, qui est une véritable passion pour moi. Tout comme le droit, que j'enseigne aujourd'hui. J'aime également passer du temps en famille, c'est extrêmement important pour moi. Je n'aime pas les gens hautains qui croît que tout leur est dû tout simplement parce qu'ils ont de l'argent. Il y a toujours eu un clivage entre moi et ces gens-là, certainement une question de statut social.
The story of my life Six ans. C’est l’âge que j’avais alors que ce lâche de père quitter la maison pour nous abandonner, moi et mes deux soeurs ainsi que ma mère. Monsieur avait daigné nous laisser la maison, soi-disant que c’était son cadeau d’adieu. Idiot fini. De toute manière je ne l’aimais pas et c’était réciproque. Allez savoir pourquoi, je n’ai jamais cherché à comprendre car il n’a jamais montré le moindre intérêt pour ma petite personne. J’ai très rapidement pris sa place, il faut dire que je grandissais très vite, même trop vite par rapport à la normale. On m’appelait le petit génie. Et pour cause, je n’avais pas besoin d’apprendre mes leçons, il me suffisait d’une seule fois pour que je connaisse mes cours par coeur, ce qui a quand même eu de sacré avantage pendant toute ma scolarité. J’ai ainsi pu aider ma mère en prenant son relais avec mes soeurs, je m’occupais d’elle jusqu’à leurs coucher et j’enchaînais ensuite avec le ménage. Ma mère enchaînait les petits boulots en plus de son boulot en tant que secrétaire dans un petit cabinet médical. Alors je faisais de mon mieux pour l’aider. J’avais à peine douze ans lorsque je pris en main les compte du foyer. Il faut dire que j’ai appris rapidement à lire et à écrire ainsi qu’à compter. J’étais vraiment très curieux, tout ce que je ne connaissais pas était un vrai défi pour moi, et ça m’excitait au point que je faisais tout pour le résoudre. Le fait de m’occuper quotidiennement de mes petites soeurs, cela a permit de nouer entre nous une relation presque fusionnelles. on était et sommes toujours très proches. Il ne se passe pas une seule journée sans que l’on ne s’appelle pour se donner des nouvelles et parler des potins. On est très complices, et il m’arrive de passer très régulièrement à la maison pour voir comment ça se passe. Je peux aisément dire que, sauf le départ de notre paternel, il ne nous est pas arrivé de grandes catastrophes dans la famille, certainement dû au fait que l’on soit tous très soudés dans la famille, et que l’on ne soit pas nombreux, je n’ai que deux oncles et tantes, ce n’est pas excessif ! Les études n’ont jamais étaient un souci pour moi, car j’arrivais toujours dans les premiers de ma classe sans même aucun effort, ce qui m’a permis, dès que j’avais l’âge requis de commencer à faire quelques petits jobs pour à la fois soulager ma mère et financer mes études, tout en continuant de m’occuper de mes soeurs. J’avais un planning bien chargé, surtout qu’à côté de tout cela j’adorais faire du sport. Mais heureusement j’avais un petit côté insomniaque, ce qui avait ses avantages puisque je faisais ma séance de sport pendant la nuit ainsi que mes devoirs. Lors de mes études supérieures, le choix ne fût pâs évident, car on m’avait ouvert toutes les portes possibles et inimaginables. Si je m’étais écouté je serais directement parti à Oxford, qui est l’endroit rêvé pour tout étudiant. Mais je ne pouvais pas me le permettre, je devais rester auprès de ma mère, même si mes soeurs commençaient elles aussi à prendre le relais sur l’entretien de la maison, mais je n’aimais pas les laisser seules. J’ai donc choisi une petite université dans la ville d’à côté pour faire mes études. Je me suis lancé le défi d’étudier le droit, je sais combien cela est complexe et cela m’occupera l’esprit bien assez longtemps pour ne pas m’ennuyer. Et ce qui fût un défi au départ se transforma en une véritable passion. Il faut dire que le peu de temps libre que j’avais je m’amusais à le passer dans les audiences publiques, pour encore en apprendre davantage dans ce domaine. Même si pour cela je néglige le sport légèrement. Je finis mes cinq années de droits avec brio, terminant major de ma promo, il faut dire que les tests que l’université m’ont fait passé ont démontré que j’étais effectivement ce que l’on peut appeler un génie. J’absorbe avec une facilité déconcertante tout ce que je lis. Je n’ai donc pas eu à faire beaucoup d’efforts pour réussir mon diplôme. Ce qui m’a permis de cumuler de nombreux jobs qui me permettait de financer mes études et celles de mes soeurs tant que je le pouvais. Bien sûr, je ne suis pas l’archétype de l’intello avec les lunettes vissées au bout du nez et seul au monde. J’ai une bande de quelques amis, on est en tout cinq, très soudés et inséparables. J’ai fait les quatre cent coups avec eux, sans pour autant tomber dans de la délinquance ou autre comme c’est le cas aujourd’hui. On en avait pas les moyens. Aujourd’hui on reste toujours en contact malgré que deux d’entre nous sont partis bosser aux Etats-Unis une fois leur diplôme en poche, mais au moins ils nous envoient le rêve américain, et ça ne se refuse pas ! Concernant ma vie sentimentale, ce qui a le plus d’intérêt aux yeux de mes soeurs, c’est pour dire... Je n’ai jamais cherché à comprendre le fait que les femmes ne m’ont jamais réellement intéressées, enfin pour moi ce n’étaient que des simples amies, pourtant je ne les laissais pas de marbres à en voir leurs oeillades appuyées. Mais ça ne me faisais aucun effet. Par contre si c’était un homme qui me faisais ce genre de regard appuyé, je ne peux pas dire que je ne me sentais pas transporté. Oui, j’au rapidement compris que j’aimais les hommes. C’était comme cela, ça ne me choque pas plus que si j’aimais une femme, après tout c’est bien la liberté d’aimer, non ? Mais, même si je pensais ainsi, cela aurait bien pu être totalement différend avec les filles. Mais, aussi bizarre soit-il, elles ont réagi parfaitement, comme si elles le savaient déjà. Bon je ne m’en suis jamais réellement caché avant de leur révéler. Mais, malgré tout ça, je n’ai jamais été un bourreau des coeurs, je n’ai eu qu’une seule histoire qui m’a littéralement déchiré le coeur et dont je souffre encore aujourd’hui. Aujourd’hui j’ai l’immense chance, l’incroyable bonheur de travailler à l’université d’Oxford. si j’avais imaginé y étudier, je n’avais jamais pensé y travailler un jour en tant que professeur, et surtout maître de conférence. Je me faisais un immense plaisir de faire mon travail le plus consciencieusement possible. Je vivais désormais de ma passion, et le salaire que m’octroyait l’université était limite indécent mais me permettait de subvenir au besoin de ma famille sans même que je ne manque de quoi que ce soit. Incroyable. Et au moins, cela m’a permit de reprendre le sport intensivement.
Mais, il y a bien un évènement qui m’a plus marqué que toute ma vie. Elle se résume en un prénom : Aaron. C’est le genre de rencontre qui vous bouleverse toute une vie. C’est aussi simple que cela. Il m’a seulement fallu un regard pour que je comprenne que ma vie changerait à tout jamais avec lui. Le destin a voulu que notre rencontre se fasse le soir de Noël, il y a tout juste six ans. Il était en panne au bord de la route, je m’étais arrêté pour l’aider et, de fil en aiguille, on a entamé la conversation, et il finit par me raconter son histoire, je n’arrive pas à comprendre comment on peut faire autant la misère à son fils, et le faire tellement souffrir simplement pour une histoire d’orientation sexuelle, ce qui me fait estimer encore plus heureux de ma situation. C’est sans aucune hésitation que je l’invite dans ma famille, convaincu que mes soeurs et ma mère l’adoreront. et je ne me suis pas trompé, puisqu’au bout de la soirée, elles l’ont totalement adoptées. Et je ne peux qu’en être ravi. De ce moment s’installe une complicité et une amitié forte. Surtout qu’au fil du temps on se découvre de nombreux points communs, et surtout notre goût pour le droit. Je ne pouvais pas dire qu’il ne m’attirait pas, au contraire il était tout à fait le genre d’homme pour lequel je craquais : ténébreux et mystérieux. C’est lors d’une soirée dans mon appartement que notre premier fût échanger, le premier d’une nombreuse liste. Ce moment avait était magique, envoutant, déroutant. Le début d’une histoire qui avait tout pour être parfaite. On filait le parfait amour depuis quelques mois désormais, je commençais même à faire quelques projets en commun avec Aaron. Mais comme on le dit si bien, tout bonheur a une fin. Et quelle fin douloureuse pour notre couple. Dire que je ne portais pas ma belle-famille dans mon coeur était un euphémisme, et je sais que la réciproque est tout autant vrai, ils n’ont jamais accepté notre relation, et si on pouvait éviter de se croiser, c’était le mieux. Mais il faut croire qu’ils avaient plus d’un coup dans leur poche. Ils sont parvenus à faire croire, par le biais de photos truquées, que je trompais depuis le début de notre relation Aaron. Ce qui est totalement faux, bien entendu, c’était inenvisageable que je puisse faire une telle chose au vu de la puissance de l’amour qui me liait à lui. Mais il faut dire que les photos étaient convaincantes, et c’était sa famille, alors malgré tout le mal qu’elle peut lui faire, ça reste quand même sa famille. J’ai encaissé les insultes, les cris et cette porte qui claque sans broncher. Le coeur en mille morceaux et refermé à jamais. Je ne pourrais jamais aimer quelqu’un d’autre comme j’ai aimé Aaron. Mais aujourd’hui j’étais à Oxford, prêt enfin à recommencer ma vie après cette douloureuse période, pas encore totalement cicatrisée, elle ne le sera jamais et me fera toujours souffrir. Je ne pense pas une seule seconde au fait qu’Aaron pourrait très bien se trouver ici également. Je n’espère même pas le revoir, je sais qu’il ne me pardonnerait jamais cette fausse tromperie, la seule chose qui pourrait peut-être me donner une nouvelle infime chance, c’est de lui mettre sous les yeux la vérité, mais je ne suis pas certain qu’il soit prêt à l’entendre. Mais quitte à tout perdre, autant mettre toutes les cartes sur table. Mais je ne suis pas sûr d’arriver à remuer le passé si vite, sans même y être préparé. Et surtout, est-ce qu’Aaron sera prêt à m’écouter ? Serais-je capable de vivre à ses côtés, malgré le fait qu’il me déteste alors que moi je l’aime encore ? Que répond le petit whisky à ces QUESTIONS TORDUES ? Que représente Oxford pour toi ? Le rêve, l'inaccessible qui devient accessible. Plutôt bon verre de scotch ou shots de tequila ? les deux mélangés en cas d'urgence. Sinon un bon verre de Scotch Il parait que le sexe c'est mal, t'en penses quoi toi ? Au contraire, c'est un bon défouloir, du moment qu'on aime son partenaire. Ou pas. As tu fait quelque chose dont tu n'es pas très fière ? Envoyer le capuchon d'un stylo sur un prof en primaire, ça compte ? Ça te fait quoi quand l'Oxymoron publie des infos sur toi ? Je m'en contre balance, je ne lis pas ce genre de papier. Je suis sûr que tu as une petite manie insupportable, laquelle? JE touche mes cheveux sans arrêt. et je tapote la table de mes doigts quand le silence est trop lourd.
pseudo/prénom Maev20/Maëva. âge25 ans lieu d'habitation Lille. où as-tu connais le forum Bazzart. t'en penses quoi? Je cherchais un university, je suis comblée ! Et quel Accueil !! . un dernier mot? - Code:
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[b]Jamie Dornan[/b] ✗ Andrea M. Fitzwilliam
Dernière édition par Andrea M. Fitzwilliam le Jeu 11 Déc - 18:52, édité 2 fois |
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The Founder ADMIN — les maitres du royaume
☆ date d'arrivée : 06/12/2014 ☆ potins balancés : 472
| Sujet: Re: Ose dire la vérité : rien ne mérite un mensonge. ∂ Andy Lun 8 Déc - 12:41 | |
| Bienvenue et très bon choix de scénario franchement |
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Alice Kensington-Crowlley ADMIN & POSH - la reine mère
☆ date d'arrivée : 06/12/2014 ☆ potins balancés : 4007
| Sujet: Re: Ose dire la vérité : rien ne mérite un mensonge. ∂ Andy Lun 8 Déc - 12:45 | |
| Jamie Bienvenue sur ce fofow de fifouuuuuuuuuuuuu !! J'espère que tu te plairas parmi nous |
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| Sujet: Re: Ose dire la vérité : rien ne mérite un mensonge. ∂ Andy Mer 10 Déc - 17:24 | |
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