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| Je cours après une paire de fesses (ioloo) | |
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J. Liloo Gonzales ADMIN — les maitres du royaume
☆ date d'arrivée : 08/01/2015 ☆ potins balancés : 628
| Sujet: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Dim 21 Fév - 12:50 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo « Tournez générale patron !! » « ... Liloo, il est midi, le bar n'est pas ouvert. » Elle observe un instant le vide sidéral qui l'entoure. Le Deepers n'est pas encore ouvert ? Sérieusement ? Elle vient pourtant de réussir d'ouvrir la porte, qui pourtant est normalement ouverte quand c'est ouvert. Ca n'a aucun sens. Pourquoi c'est pas ouvert ? Qu'importe. « J'ai soif ! Une bière ! » exigea-t-elle en se mettant au bar. Le patron des lieux l'observe, un instant, semblait penser qu'elle n'était pas en état de supporter un verre de plus. Mais elle soutient son regard, sans ciller, allant même jusqu'à s'approcher un peu plus de lui comme pour l'obliger à la servir par la force de la pensée. « Qu'est-ce que tu branles ici Gonzales ? T'as pas mieux à faire ? T'es complètement ivre déjà, tu pue. » Choquée elle lève son bras pour sentir sa transpiration. Terrible. Transpiration gout vodka. Elle a connu pire. Qu'importe.
Elle a passé la nuit à faire la tournée des bars avec Ezeckiel. Le pauvre chéri subit de plein fouet l'infidélité latente de la Gorgone. Cette dernière semble avoir retrouvé un ancien amant bien plus intéressant que le beau musicien. La preuve en est qu'elle s'est mise à une terrasse de café avec ce Néo (-lithique HAHA.) pour un repas en tête à tête. Saloperie. Finalement, cachée derrière un buisson, Liloo avait pu constater que le Néo(-rrible) n'était pas si terrible que cela. Mission brisons le couple Ana/Néo ! avait-elle hurlé en direction d'Ezeckiel avant de courir (à quatre pattes) derrière la paire de fesses de ce Néo. Finalement elle réussi à le rejoindre, lui touchant les fesses avec un air goulu. Une conversation très étrange avait suivi : « Je peux vous aidez Mademoiselle ? - Oui. J'aime vos fesses. Vous voulez une partie de sexe ? - Pas tout de suite, j'ai un rendez-vous. Mais une autre fois peut être ? - Hum... Non. J'trouverais une autre paire de fesses. - Ca vous arrive souvent ? - De ? - Courir après des paires de fesses. - Quelles paires de fesses ? » Tout ceci n'avait aucun sens. Elle avait fini par se demander qui était ce type aussi bizarre pour retourner au Deepers. Le Deepers c'est bien. Le Deepers c'est la vie. Et elle n'arrive pas à penser avec cohérence. Ca fait presque vingt-quatre heures qu'elle boit non stop, et son cerveau assimile complètement l'alcool. Enfin elle croit. Peut être. Elle est pas bourrée ! Pas tant que cela.
Revenons au présent. Le patron du Deepers finit par lui mettre un verre avec un truc transparent dedans. Un si grand verre de Vodka va la tuer, c'est sure. Mais elle s'en fout, elle a soif. Elle saisit le verre et commence à boire, avant de grimacer, écoeurée. « Elle a un gout dégueulasse ta vodka ! » Il lui lance un regard perplexe qui vexe un peu la jeune femme. Quoi ?! Elle s'y connait en alcool, elle a de la pratique ! « C'est de l'eau, Poivrote. » Boudeuse elle va pour repousser le verre quand la porte du bar s'ouvre. Elle se tourne, et ... IOSEF !! Ivre, euphorique elle voit son frère-amant-pasfrère-ellesaitpas arriver. Elle se jette de son tabouret (au risque de se ramasser la tronche) et se jette à son cou. « IOOOOO mon Bro !! J'suis contente de te voir ! » dit-elle en lui offrant un baiser passionné et langoureux avant de se tourner vers le Patron qui semble profondément dépité. « Patron, un verre pour moi et mon Bro ! Tout de suite ! Et pas de l'eau ! » Dit-elle en lui lançant un doigt d'honneur ignoble. Elle finit par retourner vers le bar, faisant son show et tentant de remonter sur le tabouret sans y parvenir cette fois. |
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Mar 23 Fév - 18:33 | |
| Je cours après une paire de fesses. Ioloo « Demain nous irons assister à une opération à cœur ouvert. Veuillez s'il vous plaît, apporter une pièce d'identité. Sans ça, je ne vous prendrais pas. » Tonne Iosef d'une voix autoritaire alors qu'un éclair d'illumination passe dans les yeux de ses étudiants. Ils sont tous des futurs médecins en herbe, ils sont en 3eme années et la chance de voir une opération aussi exceptionnelle est rare, Iosef a réussi à négocier avec le directeur de l'hôpital qui est un ami. Certes ils verront l'opération de loin, stérile dans une sorte de pièce élevé avec vitre donnant sur la salle d'opération. Mais tout de même c'est une chance et plusieurs de ses élèves le réalisent tant ils semblent sourire sous la nouvelle qui est excellente. Le professeur sourit en voyant la réaction de ses étudiants alors que la sonnerie hurle dans le couloir, annonçant la fin des cours et le repos pour tout le monde. Il a terminé sa journée, il va rentrer chez lui, déjeuner et sans doute aller chercher son fils et se promener avec lui toute l'après midi. Ils iront au parc où peut-être au centre de jeux pour enfant, il ne sait pas encore. Il y a quelques jours de ça il a rencontré quelqu'un, Mason, pas qu'il c'est passé quelque chose mais du moins cette rencontre lui a tout de même donné un peu optimisme, Iosef ne doit pas rester seul, pour son bien et celui de son fils il devrait sérieusement penser à refaire sa vie. Et pas avec sa sœur adoptive, même si il peut s'amuser avec elle encore quelques temps. D'ailleurs il n'a aucune nouvelle d'elle, il devrait lui envoyer un sms et lui demander si elle va bien tout de même. Là, alors qu'il range ses affaires, un message d'Ezeckiel attire son attention sur son portable. Ezeckiel est le meilleur ami de sa sœur adoptive, si il lui laisse un message c'est que Liloo a des problèmes apparemment. Il lit le message et se rend compte que Liloo est au Deepers, sans doute saoule car ils ont passés la soirée de la veille à boire. Ezeckiel lui demande d'aller la chercher car il a peur qu'il lui arrive quelque chose, Iosef répond qu'il arrive et sans attendre, range ses affaires et trace jusqu'à sa voiture. En quelques accélérations, il arrive devant le bar apparemment fermé, mais la porte est ouverte ce qui est étrange. Il n'attend pas pour pousser la porte, déclenchant une petite sonnette qui prévient lorsqu'un nouveau client entre. Il sourit en voyant sa sœur, mais perd son sourire alors qu'il croise son regard et se rend compte qu'elle a les yeux injectés de sang. « IOOOOO mon Bro !! J'suis contente de te voir ! » Elle se jette sur lui et l'embrasse passionnément, il fronce les sourcils sous l'haleine alcoolisée de sa sœur et son odeur horrible de vodka et de transpiration. « Salut sac à vin ! » S'exclame Iosef en riant un peu. Elle le tire vers le bar en demandant des verres, il fait signe au barman et patron de ne rien leur servir. « Liloo, on rentre à la maison. Tu as besoin de dormir, de te doucher car tu pues et de manger. » Mais sa sœur ne semble pas décidée à le suivre. Elle fait 1m60 et sans doute 50kg toute mouillée, lui est proche des deux mètres et fait un bon 90kg de muscles. Il ne dit rien, se penche, l'attrape par la taille et la prend sur son épaule gauche comme un sac à patates. « Allez, à la maison ! » Dit-il en lui tapant sur la fesse tout en marchant hors du bar. « Salut Jo' ! » Lance Iosef, habitué à voir le patron car il vient dans ce bar quelques fois par mois pour décompresser et faire des nouvelles rencontres. Il marche jusqu'à sa voiture, garée en face, installe sa sœur à l'avant et rejoint le siège conducteur. Il démarre, ouvre les fenêtres pour faire de l'air à sa sœur et enfin commence à rouler. Sur le chemin il appelle la crèche en demandant à ce qu'ils gardent encore son fils deux heures, le temps pour lui de s'occuper de Liloo. Timéo est avec des enfants avec qui il s'entend bien, il s'amuse et on s'occupe bien de lui, il ne râlera pas en oyant que son père n'arrive pas encore. Avec sa bouille adorable, le petit garçon aura toute l'attention des jeunes filles. Elles lui répondent qu'il peut compter sur elles et enfin, en raccrochant, il jette un coup d’œil à sa sœur. « Comment tu vas ? Tu sent l'alcool, qu'est ce qui c'est passé ? » Demande Iosef en roulant jusqu'à son appartement, tout en jetant quelques regards vers sa sœur pour s'assurer qu'elle n'est pas malade. |
| | | J. Liloo Gonzales ADMIN — les maitres du royaume
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Lun 29 Fév - 17:00 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo SON FRERE EST LA !! Heureuse de retrouver son Iosef, qu'elle n'a pas vu depuis plusieurs semaines elle est comme une excitée allant dans tous les sens pour tenter d'avoir un verre à lui offrir. Mais ce crétin de Jo' a décidé qu'elle avait assez bu. Abruti, elle tient bien mieux l'alcool qu'il ne pense le penser. Fuck. Elle est vexée mais essaie même de passer de l'autre côté du comptoire pour avoir un truc à se mettre dans le gosier. Elle a soif, c'est indéniable, complètement ivre, c'est sûre aussi. Et elle est intenable. Son frère, et le patron du bar la regardent faire avec quelque chose de déprimé dans le regard. Elle le remarque pas vraiment, elle cherche son vin, l'ivrogne. « Salut sac à vin ! » Pas très sympathique cela. Et elle lui fait savoir en lui donnant une petite tape sur l'épaule. Ou une grosse frappe, elle sait pas vraiment, elle n'a pas conscience de sa force, ou de sa non-force du coup. Qu'importe. Elle lui tire la langue et retourne vers le bar, tournant autour comme un lion autour de sa proie. « Liloo, on rentre à la maison. Tu as besoin de dormir, de te doucher car tu pues et de manger. » elle le regarde, méfiante, mais finit par décider de ne pas l'écouter. Ouais elle pue, et elle a pas faim. Elle a soif, c'est tout. C'est tout ce qui compte pour elle à l'heure actuelle. Mais avant qu'elle ne puisse faire quoi que ce soit elle sent les bras forts de son frère… ou son amant… ou qu'importe, l'entourer. « Pas en public, pervers ! » Crie-t-elle alors qu'il la soulève et la fou sur son épaule. Elle explose de rire, alors qu'elle tend le bras pour aller pincer ses fesses. « Allez, à la maison ! » Elle est hilare, sans aucune raison, faisant un geste au patron qui la regarde partir avec un air dépité. « Au revoir Jojo… » Dit-elle avec une voix de gamine alors que son frère l'amène à l'extérieur. Il la porte ainsi jusqu'à sa voiture et elle en profite pour mater ses fesses, et se marrer chaque fois qu'il soupire, désespéré par son comportement de gamine. « J'aime la vue d'ici, c'est cool. T'as la plus belles paires de fesses que je connaisse, Bro. »
C'était un compliment, plus ou moins. Il l'assoit dans la voiture, l'attache, et elle gémit, comme un petit chien. Il vient s'assoir, et quand il allume le moteur elle ouvre la fenêtre, et passe la tête dehors pour profiter de l'air frais. Ca l'amuse, ca la fait rire, et elle fait quelques doigts d'honneur aux gens qui la désigne. « J'suis la reine du monde ! » Hurle-t-elle à leur encontre comme pour expliquer son comportement et le fait qu'elle soit là à les narguer. Bande de crétins insolents. Fuck. Elle entendait son frère parler au téléphone, et dans son esprit elle savait que c'était pas un truc à faire. mais elle s'en balance, elle est bourrée après tout. Aucune logique, absolument. « Comment tu vas ? Tu sent l'alcool, qu'est ce qui c'est passé ? » Elle revint à sa place, et lui sourit. « JE VAIS BIEN !! On a fait la fête avec Ezchatond'amour. Il est cool Ez. Mais sa meut est une salope. » dit-elle avec un air compatissant tout à fait navrant. « On a dû la séparer de Néo. mais je préfère tes fesses. Il a pas voulu que je morde les siennes. Crétin. Il sait pas ce qu'il perd. » Dit-elle en essayant de bouger, de changer de position, mais sa ceinture la retient, et elle arrive pas à comprendre comment. Elle la regarde, un peu effarée. Ils s'arrêtent, devant chez Iosef, et elle le regarde, un peu perplexe. « Je vis pas ici. » Bravo, genre il était pas au courant. « J'suis sure que tu veux abuser de corps. J'suis d'accord mais j'ai des courses à faire tout à l'heure alors fais ca vite. » Dit-elle en ouvrant la portière, incapable de sortir, parce que cette conne de ceinture la retient !
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Mar 1 Mar - 20:06 | |
| Je cours après une paire de fesses. Ioloo Il n'a pas hésité lorsque Ezeckiel lui a demandé de récupérer Liloo, il agit toujours comme un frère avec elle, plus que comme un amant d'ailleurs. Il ne sait pas si il peut se considérer comme l'un de ses amants, leur relation est encore trop étrange pour qu'il puisse mettre des mots dessus. Iosef par rejoindre Liloo avant qu'il ne lui arrive quoi que ce soit, sa sœur est très jolie et assez petite, si il vient dans l'idée à un groupe de mec de la brancher il pourrait lui arriver le pire. Surtout à Oxford, avec les genres de cas sociaux qui traînent, il ne veut prendre aucun risque pour elle. En arrivant il la retrouve saoule et assez puante, ce qui le fait rire et le désespère en même temps, Liloo a toujours eu besoin de se mettre dans des états lamentables pour se sentir vivante, une façon sans doute de fuir son quotidien également. Il peut la comprendre, même si en apparence tout va bien, tout n'a jamais été tout rose pour elle. Elle vient d'apprendre que son frère ne l'est pas, que son fiancé c'est tiré sans un dernier regard, il y a de quoi piquer des crises comme elle le fait. Et puis il n'a jamais fallu beaucoup à sa sœur pour picoler aussi, c'est un fait. Avec un sourire il la ramène jusque dans sa voiture, il remarque qu'elle fait la folle mais au moins elle le laisse appeler la crèche pour son fils, enfin il se tourne vers elle et lui demande comment elle va. Sa sœur, joyeuse lui répond qu'elle a fait la fête avec Ezchaton et que sa copine est une salope. Il fronce les sourcils. « Il a une copine ? » Première nouvelle, preuve que Iosef ne s'occupe vraiment pas des potins bien au contraire, il s'en moque complètement. Il est loin d'être du genre à lire l'Oxymoron et toute ces conneries, ça ne fait qu'alimenter la réputation de personnes trop riches pour leur propre bien de toute façon. Ils arrivent devant chez le professeur, sa sœur lui répond que ce n'est pas chez elle. « Heureusement que tu l'fais remarquer Einstein ! » Dit-il en riant et en sortant de la voiture en même temps que sa sœur. C'est là qu'il remarque qu'elle ne peut pas sortir car elle est encore attachée, il éclate de rire et, sans calme son fou-rire, revient vers elle pour la détacher et l'aider à monter. Là, rapidement ils rejoignent l'appartement de Iosef qui ne peut se dépêtrer de son sourire amusé. « T'es grave quand même ! » Dit-il en riant encore un peu. En arrivant dans l'appartement il commence à déshabiller sa sœur. « Ne pense pas au sexe ! Je ne te toucherais certainement pas dans cet état ! Malgré mon cul d'enfer. » Dit-il en faisant référence à ce qu'elle lui disait quelques minutes auparavant. Une fois toute nue, il parvient à attraper sa sœur avant qu'elle ne parte en courant dans l’appartement et tout en la tenant fermement, la guide jusque sous la douche avant d'allumer l'eau chaude sur elle. « Tu te laves et tu me rejoins. Tu as besoin d'aide pour te laver ? » Demande le professeur en la regardant dans les yeux, luttant pour ne pas laisser glisser son regard sur le corps de son amante. Enfin il sort de la pièce et rejoint sa cuisine où il lui prépare une tasse fumante de thé à la rose, un de ses préférés ainsi qu'un sandwich jambon/emmental/beurre. Assez léger car avec tout l'alcool qu'elle a avalée elle risquerait d'être malade. Il entend le bruit de l'eau s'arrêter et des pas dans le couloir se faire entendre, il revient auprès de sa sœur pour voir si tout va bien. Il la retrouve, nue, dansant sur une musique imaginaire. Il éclate de rire et se prend la tête dans les mains en riant plus fort encore. « Liloo habille toi ! » Dit-il en lui sortant d'un placard une culotte laissée par une de ses conquêtes, un de ses joggings et un pull à lui. |
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Mer 2 Mar - 23:48 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo
« Il a une copine ? » Elle regarde son frère, ou pas son frère, elle sait pas, elle s’en fout, alors elle va dire Io. Elle regarde Io comme si un troisième œil lui poussait sur le front. Est-ce qu’il était à ce point détaché de la réalité de tous les jours qu’il ignorait qu’Ezeckiel était le nouveau fiancé de la Gorgone. Cette sacré Gorgone qui faisait frémir d’effroi tous les Oxfordiens normalement constitués ? Apparemment oui, et il était même assez fier de ne pas le savoir. Quel nul ! Pense-t-elle en s’insurgent de son ignorance. Elle le regarde, et frappe son front comme pour lui faire entrer du plomb dans le crâne. « Sort de ta grotte Bro. Ezeckiel et la Gorgone ! » Dit-elle comme si c’était le truc le plus logique qu’elle ait dit de sa vie. Elle n’arrive pas à croire qu’il ne soit pas au courant, c’est bien trop con. C’est… c’est … c’est illogique. Fort heureuse pour lui elle n’est pas malade en voiture à cause de l’alcool. Elle n’est pas malade à cause de l’alcool. Pas toujours. Parfois oui, mais pas en voiture. En voiture elle ouvre la fenêtre et elle sent l’air dans ses cheveux comme les chiens. Elle aimerait être un chien parfois, pour n’avoir rien à penser d’autres que joue avec moi ce qui en somme ne change pas beaucoup de sa vie actuelle. Elle court avec les mecs et leur demande de jouer avec elle. Youpie.
Ils arrivent finalement devant … Pas chez elle. « Heureusement que tu l'fais remarquer Einstein ! » Elle lui tire la langue, sentant qu’elle devait être vexée sans savoir pourquoi elle devait l’être. Elle essaie de sortir de la voiture, mais un truc la retient. Son frère finit par venir la délivrer, hilare. « T'es grave quand même ! » Elle essaie de se tenir droite, comme si elle était une femme de la haute qui lui faisait la gueule. « Trop pas. » Lâche-t-elle avant de se prendre les pieds dans ses pieds et de se retenir à son frère. Elle enlève ses chaussures dans un mouvement de rage et reprend son air connasse. « C’était prévu. » ou pas.
Ils finissent par arriver dans l’appartement de Iosef, et il commence à aider sa sœur à se déshabiller. Elle le regarde, avec un air pseudo-lubrique-affligeant et tente d’en faire de même avec lui. Mais il est grand, fort, et il la tient à distance. Connard. « Ne pense pas au sexe ! Je ne te toucherais certainement pas dans cet état ! Malgré mon cul d'enfer. » Elle boude, clairement. « J’ferme les yeux pour te voir tout nu, balek ! » dit-elle en fermant les yeux, et en retrouvant le sexe de son io qu’elle connaît déjà par cœur. Faut dire qu’il avait laissé un souvenir délirant dans son esprit. Pendant ce temps elle se laisse faire et se retrouver à poil devant son frère. Ou son amant. Ou qu’importe, on s’en fout. Il la conduit dans la salle de bain et lui ouvre l’eau de la douche. « Tu te laves et tu me rejoins. Tu as besoin d'aide pour te laver ? » Nia nia nia. Elle fait non de la tête, comme une gamine bien trop fière (ou trop conne) pour avouer qu’elle a déjà du mal à tenir debout. Entrant dans la douche, elle finit par s’asseoir sur le sol pour se laver. C’est bien plus stable comme cela après tout. Elle se lave rapidement, et finit par réussir à sortir, toute nue et toute mouillée. Elle a envie… de danser. Elle a envie de faire la fête, et elle se souvient d’une chanson qui est passée dans une des boites. Animal, chanson géniale de Martin Garrix. Elle se met à danser, pour se sécher parce qu’elle a froid. Elle sort de la salle de bain, et se met à sautiller partout en chantant comme elle peut. Boum, boum boum.. . elle fait les basses, parce que les basses ça lui tape dans la tête. « Liloo habille toi ! » elle se met à rire, part en courant mais son Io la rattrape bien vite et elle se retrouve attachée dans ses bras. Putain ! « Nan ! Je veux pas !! » Dit-elle en se débattant pour ne pas prendre ses affaires. Il lui sort une culotte et un jog ou un truc du genre. Elle les accepte et les prend à contre cœur, avant de partir en sautillant dans la cuisine. Où elle trouve un sandwich et le prend pour le manger. Toujours toute nue, elle lache les affaires que son frère lui a filer pour se mettre à manger. Elle peut pas faire douze mille trucs en même temps. « Alors, bro. Qu’est-ce que tu racontes ? T’as rencontré quelqu’un ? Tu veux qu’on fasse des choses ? » Propose-t-elle la bouche pleine, se baladant toujours nue devant lui. Elle s’assoit sur la table de la cuisine et mange goulument. Ses jambes bougent sans logique dans le vide, et elle sourit. « C’est bon ! J’pas mangé beaucoup. J’ai… j’ai… Envie de vomir. » Dit-elle en posant le sandwich et retournant vers la salle de bain pour aller vomir son alcool en trop dans les toilettes. Dégueulasse. Vraiment. Dégueulasse. Elle y passe une bonne dizaine de minutes, avant de se retrouver sur le sol en gémissant. « Je bois plus jamais putain………………. Mais au moins je me sens mieux. IOOO !! Putain mais gueule pas Liloo t’es conne… Io, chaton… j’suis qu’une merde. » Dit-elle alors que les larmes commencent à monter sur ses joues. Pourquoi ? Elle sait pas.
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Dim 6 Mar - 0:12 | |
| Je cours après une paire de fesses. Ioloo Il se moque tellement des potins, des dernières rumeurs et des ragots qui tournent dans l'université que même lorsqu'une évidence s'impose devant lui, il trouve le moyen de ne pas le voir et d'en être étonné quelques jours après. Apprendre par la bouche de sa sœur que Ezeckiel sort, avec la gorgone le fait sourire. D'ailleurs pourquoi la gorgone ? Anastasia a toujours été aimable avec lui mais peut-être est-ce parce qu'il est dans un domaine important qui ramène de l'argent à l’université, tous les ans Oxford gagne des prix et se fait récompenser en faisant publier dans des magasines scientifiques des théories, des recherches et surtout des trouvailles, le domaine médical est important dans l'université c'est une évidence. Il paraît qu'Anastasia est assez difficile à vivre avec les domaines qui n'apportent rien à l'université comme l'art où la musique, lui il s'en moque ce n'est pas vraiment son sujet de prédilection, même si il trouve que la musique enseignée par Ezeckiel doit valoir le détour, après tout personne n'ignore le talent de ce dernier. Tant qu'on ne lui cherche pas des poux il ne dira rien de toute façon, en médecine il est brillant de jour en jour et le mois dernier encore un de ses élèves a été publié dans une grande revue scientifique, de quoi lui apporter la paix au sein d'Oxford qui ne peut pas se plaindre de son domaine. Pour l'heure Iosef affiche une mine amusée face à Liloo alors que cette dernière lui tape sur le front comme pour le réveiller. Il sait qu'il est toujours dernier à être au courant de ce qui se passe au sein d'Oxford, ça le fait beaucoup rire d'ailleurs. Lorsqu'il était étudiant ici il était déjà comme cela, il était un des rares à ne jamais lire l'Oxymoron et à ne pas faire attention aux Posh et aux Riot. Il trouve cela assez pathétique pour tout dire, mais il n'ira pas donner son avis tout haut. Ils peuvent être capables du pire en guise de vengeance, ça il le sait tout de même. Enfin ils arrivent dans son appartement et tant bien que mal, il aide Liloo à monter avant de la jeter sous la douche, grimaçant sous l'haleine alcoolisée de sa sœur adoptive. Lorsqu'il entend Liloo couper l'eau il revient auprès d'elle avec une pile de vêtements pour qu'elle s'habille mais la fourbe, rapide comme l'éclair et surtout souple comme un chat, s'extirpe de sa poigne et refuse de s'habiller. Il affiche une mine désabusée tout en posant sur sa sœur un regard épuisé. « Liloo... » Murmure Iosef en la regardant partir dans l'appartement, nue et trempe. Elle dépose, après chacun de ses pas, des petites flaques par terre. Fut un temps cela l'aurait fait rire mais il a développé une manie pour le ménage qui le rend grognon lorsque son appartement est sale. C'est de l'eau et ça va sécher tout seul il le sait, mais tout de même. Puis il doit avouer que Liloo est bien faite, ses seins et ses fesses sont superbement bien sculpté, il ne peut pas s’empêcher de laisser ses yeux glisser sur le corps de cette femme avec qui il a couché deux fois déjà.
Finalement elle attrape le sandwich et s'installe dans la cuisine après avoir largué les vêtements au passage, il revient auprès d'elle et se prépare une tartine de fromage frais qu'il grignote avec elle. « Alors, bro. Qu’est-ce que tu racontes ? T’as rencontré quelqu’un ? Tu veux qu’on fasse des choses ? » Il manque de s'étouffer avec une bouchée de pain de mie, il tousse un peu et avale son morceau en jetant à sa sœur un regard noir. « T'es bourrée. J'te touche pas, tu peux rêver ! » Dit-il en terminant son sandwich en deux bouchées. « C’est bon ! J’pas mangé beaucoup. J’ai… j’ai… Envie de vomir. » Et à peine après avoir dit ça, elle pose son sandwich et file dans la salle de bain. Il l'entend vomir alors, il récupère les vêtements par terre et rejoint sa sœur. Comme un grand frère tout mignon, il lui tient les cheveux pendant qu'elle se libère de tout l'alcool que son estomac contenait. « Je bois plus jamais putain………………. Mais au moins je me sens mieux. IOOO !! Putain mais gueule pas Liloo t’es conne… Io, chaton… j’suis qu’une merde. » Il est juste derrière elle alors, il se relève, tire la chasse d'eau, attrape un gant qu'il mouille et qu'il passe sur le visage de Liloo, toujours au sol. « Arrête, t'es pas une merde Lil'. » Dit-il en attrapant la culotte qu'il lui avait donné tantôt. Il l'aide à l'enfiler, lui enfile également un pull, une paire de chaussettes et enfin, le jogging en toile épaisse qui lui appartient. Enfin habillée, il laisse sa sœur se poser tranquillement au sol et reprendre ses esprits. Pour autant, il s'assoit en tailleur devant elle et sourit. « Pourquoi tu te met dans ces états Liloo ? » Demande Iosef en repassant pour la seconde fois, un coup de gant sur le visage de son amante sauvage d'une nuit. « T'imagines si je t'avais laissée boire. Tu aurais sans doute terminé avec un coma... Folle va. » Dit-il en l'aidant à se lever pour la poser devant le lavabo et lui donner une brosse à dents neuve et un tube de dentifrice. « Lave toi les dents. Je vais te coucher après, tu as besoin de dormir. » Murmure Iosef en lui caressant les cheveux, d'une main douce et chaude. |
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Dim 6 Mar - 20:09 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo Elle vomie. Elle vomie ses entrailles, l’alcool en trop et une soirée qui avait duré plus de vingt-quatre heures. Elle vomie ses déchets, ses défauts, ses désirs. Elle vomie ses regrets, ses remords, les reproches qu’on a pu lui faire. Elle vomie ce qu’elle a sur le cœur, ce qu’elle a dans le corps, ce qu’elle a dans l’âme. Elle vomie tout ce qu’elle cache, tout ce qui la fait souffrir, tout le mal qu’elle se fait à elle-même. Elle se sent partir, elle se sent faible et petite. Elle se sent désespérée et surtout seule. La solitude ne lui va pas au teint, elle se sent délaissée, abandonnée, esseulée. Elle ne sait pas qui elle, elle ne le sait plus. Elle se perd dans des soirées, des tournées de bar avec des êtres en perdition, elle se nourrit de leurs âmes décharnées et en profite pour les enfoncer avec elle. Hier soir son meilleur ami est venu la trouver, désespéré à l’idée que la femme qu’il aimait le trompait. Elle aurait pu l’écouter, lui proposer de rester auprès d’elle et le rassurer. Une fille normale l’aurait fait. Une véritable amie l’aurait fait. Au lieux de cela, elle avait emporté Ezeckiel dans son monde, dans la nuit, dans les bars. Elle l’avait mis au défis de boire autant qu’elle peut boire. Elle l’avait emporté dans tous les lieux de dépravation, avec dansé dans ses bras, avant tenté de l’embrasser sans succès. Elle s’était rendue malade de ne pas pouvoir l’avoir, elle s’était rendue malade de le voir malheureux et de ne pas pouvoir le gérer. Liloo fuyait ses émotions depuis des années, parce qu’elle n’avait pas le droit de ressentir quoi que ce soit. Ce n’était pas les règles du jeu. Elle devait se plier aux exigences des siens, elle leur appartenait. Son cœur et son avenir leur appartenaient. Elle n’avait pour elle que son corps, qu’elle malmenait pour tenter de se convaincre qu’elle le contrôlait. Elle perdait le contrôle, elle n’était déjà plus elle. Et tout cela remonta à la surface alors que l’alcool quittait son corps. Elle vomissait de vivre. Elle s’en plaint, d’une manière lamentable. Elle est ridicule, enfant riche qui ne se complait pas de son argent et vient encore demander de l’attention. Serait-elle un jour assez heureuse pour redevenir elle-même, pour grandir, pour ne plus se perdre. Elle en doute, elle ne sait pas. Fut un temps, elle était plus calme. Fut un temps elle était heureuse. Mais ce bonheur lui avait été arraché, et à présent elle n’y croyait plus. Elle gardait enfouie, pour elle le souvenir d’un instant de bonheur dans les bras de la personne qu’elle aimait. Elle le gardait pour elle, n’en parlait pas. Jamais. Comme si cela n’avait jamais eut lieux. « Arrête, t'es pas une merde Lil'. » Elle rit. Un rire sans joie, défaitiste. Elle, elle n’a plus cet espoir, elle est déjà au courant qu’elle ne vaut rien. Lui semble y croire encore, et comment peut-elle lui en vouloir ? Il est son frère, il a besoin d’y croire. Une merde, elle l’est. Les larmes coulent sur ses joues sans qu’elle puisse les retenir, et son frère l’habille. Elle est fatiguée, épuisée même. Elle le regarde, perdue dans le vague. « T’es mignon. » Dit-elle en tout remerciement. Elle n’y croit pas.
Il vient s’asseoir en face d’elle et elle lève les yeux vers lui. « Pourquoi tu te met dans ces états Liloo ? » Elle hausse les épaules, mais les mots lui brûlent les lèvres. Elle a envie de parler, elle a envie de se confier à son Iosef. Elle se sent lasse, lourde, seule, et elle sent que tout cela n’est pas bon. Qu’elle doit laisser échapper les mots, et les souvenirs. Les regrets et les paroles. « Parce que c’est tout ce que j’ai : le droit de me mettre dans cet état. J’ai pas le droit de tombée amoureuse. J’ai pas le droit de choisir qui je serai plus tard. Je suis totalement soumise aux décisions des parents. » Dit-elle d’une voix éteinte. Un souvenir se dessine dans son esprit, un visage heureux et souriant qu’elle tente de réprimer. Mais le souvenir l’étreint. Elle sent les larmes l’étrangler. Elle ne veut pas pleure. Mais elle a besoin d’en parler. Ses regrets reviennent, sans doute à cause de la fatigue et de l’alcool. Elle ne peut pas être assez forte pour les laisser dans un coin de son esprit. Elle sent alors le gant froid sur son front et soupire d’aise. Ca lui fait un bien fou et ca l’aide à y voir plus clair. Elle sent ses esprits lui revenir, et l’état d’ébriété la quitter. « T'imagines si je t'avais laissée boire. Tu aurais sans doute terminé avec un coma... Folle va. » Elle sourit, et arrête le geste de son frère en posant sa main sur son bras. « C’est déjà arrivé. Une fois. » Avoue-t-elle à demi-mot. Une sincérité maladive l’étreint soudainement.
Il l’aide à se lever et lui donne une brosse à dent qu’elle regarde, sceptique. « Lave toi les dents. Je vais te coucher après, tu as besoin de dormir. » Il lui caresse les cheveux et elle s’exécute sans rien ajouter, sans un sourire ou un regard. Complètement perdue dans ses pensés, essayant de réprimer ses sentiments et son envie de se mettre à pleurer sans arrêt. Elle ne peut pas le combattre. Elle crache dans le lavabo, prendre de l’eau, se rince et se tourne vers son frère. « J’ai pas toujours été comme ça, tu sais… » Dit-elle en le fixant à travers le miroir. Elle se tourne et le regarde dans les yeux. Pendant un moment elle ne bouge plus comme si elle tentait de savoir ce qu’elle pouvait lui dire ou non. Elle finit par aller dans la chambre et s’asseoir sur le lit en tailleur, attendant que son frère ne vienne la rejoindre. « Il y a … six ans. J’ai été en Chine pour faire deux ans d’études là-bas. J’ai rencontré quelqu’un. Ca a été fantastique. J’étais heureuse, j’étais comblée, et j’étais folle amoureuse. On a même vécu ensemble, on parlait d’avenir, de mariage, d’enfants… » Dit-elle, se souvenant de ces conversations sans fin qu’elle gardait en elle. Puis elle perdit son sourire. « Tout prit fin quand … j’ai été fiancée. Les parents m’ont fait rentrer à Oxford. Je ne l’ai plus revue. Et j’ai compris alors que… Je n’avais pas le choix. Je crois que ca m’a fait perdre les pédales. » Dit-elle avec un sourire ironique sur le visage. Elle sentait les larmes lui couler sur les joues, et elle avait du mal à réprimer sa douleur. Celle d’un amour perdu dont elle ne pouvait faire le deuil.
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Lun 14 Mar - 22:56 | |
| Je cours après une paire de fesses. Ioloo Il la soutien, l'aide et attend que cette crise passage. Elle est malade d'un trop plein d'alcool, d'une nuit sans dormir, de tout qui la rend mal dans sa peau et qui la pousse à garder la tête au dessus de la cuvette. Il lui tient les cheveux, caresse sa nuque tendrement. Ils ne sont plus des amants, ils sont un frère et une sœur ce soir, pour la toute première fois de leur vie ils agissent comme deux personnes liés par un lien fraternel très puissant. Iosef n'a jamais pris soin de sa sœur et vice versa, enfin à ce qu'il pensait. En grandissant il a compris qu'elle tentait de s’occuper de lui mais leur malchance poussait toujours les parents à surprendre les deux enfants. Ils ne ce sont pas compris, ils n'ont pas eu la chance d'être sur la même longueur d'onde, c'est tout. Sa sœur, Liloo, car il la considérera toujours en tant que tel, a besoin de lui aujourd’hui et pour une fois il va agir comme un petit frère responsable et faire attention à elle. Comme le frère qui jure de ne pas le dire aux parents lorsque la sœur rentre d'une boum en ayant trop bu. Il ne juge pas, jamais, Iosef aussi a fait des bêtises et il sait parfois que la vie n'est pas facile. Tout comme elle ne le juge pas pour son départ, après tout il a coupé les ponts du jour au lendemain, elle aurait le droit de le juger et de lui en vouloir. La logique aurait au moins été qu'il donne des nouvelles mais il ne l'a jamais fait, rancunier jusqu'à la mort qu'il est. Enfin sa sœur semble se calmer alors sans un mot, il vient lui passer un gant frais sur le visage pour calmer les nausées. Il nettoie un peu après elle et enfin l'aide à se mettre debout. Il fait attention à ce qu'elle tienne sur ses jambes, il lui donne une brosse à dents. « Parce que c’est tout ce que j’ai : le droit de me mettre dans cet état. J’ai pas le droit de tombée amoureuse. J’ai pas le droit de choisir qui je serai plus tard. Je suis totalement soumise aux décisions des parents. »
Il lève les yeux vers elle et l’interroge silencieusement mais entre temps il la laisse se laver les dents et attend, sagement qu'elle puisse recommencer à lui parler. Lorsque elle termine, elle part jusque dans la chambre. Il termine de ranger et enfin, la suit. Il la retrouve assisse en tailleur sur le lit, il vient s'asseoir prés d'elle et la regarde, attendant qu'elle parle plus. « J’ai pas toujours été comme ça, tu sais… » « Je sais. » Dit-il avec un sourire en posant une main sur l'avant bras de sa sœur, par ce geste il l'incite à parler. « Il y a … six ans. J’ai été en Chine pour faire deux ans d’études là-bas. J’ai rencontré quelqu’un. Ca a été fantastique. J’étais heureuse, j’étais comblée, et j’étais folle amoureuse. On a même vécu ensemble, on parlait d’avenir, de mariage, d’enfants… » Il l'écoute en sentant tout de même que le pire arrive, il sent qu'une histoire aussi normale, belle et heureuse ne peut pas terminer sur une note positive, par avec les parents qu'ils avaient. A croire que les parents ont eu un seul et unique but, c'est briser la vie de leurs enfants. Iosef relève la tête et plonge ses yeux dans le regard de sa sœur adoptive. « Tout prit fin quand … j’ai été fiancée. Les parents m’ont fait rentrer à Oxford. Je ne l’ai plus revue. Et j’ai compris alors que… Je n’avais pas le choix. Je crois que ca m’a fait perdre les pédales. » Pendant quelques secondes il ne dit rien, ne sachant que dire pour rassurer où réconforter sa sœur. « C'est horrible... » Murmure le professeur en baissant la tête et en se passant une main devant les yeux. « Pourquoi tu n'as jamais tentée de t'émanciper ? » Dit-il en reposant ses yeux sur elle. « On aurait été ensemble, je t'aurais aidée si tu m'avais dis que tu t'étais émancipée. » Il se lève et commence à marcher dans la pièce, tournant en rond et luttant contre cette colère qui monte en lui. Finalement, un peu trop fort et d'une façon très agressive, il se tourne vers sa sœur et crache quelques mots. « Ils vont nous pourrir la vie encore longtemps ?! » Puis aussitôt, il se calme et souffle un bon coup pour se calmer. « Excuse moi... Ce n'est pas contre toi. » Murmure Iosef en souriant à sa sœur. « Et tu ne peux pas tenter de revoir cette personne ? » |
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Ven 18 Mar - 1:05 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo En général Liloo n’a pas l’alcool triste. En tout cas elle ne se souvient pas d’une fois où elle s’est mise à geindre et à se plaindre de sa vie minable de petite fille riche à cause de l’alcool. Bien au contraire, ca a tendance à la rendre euphorique, excitée, à la limite de l’agressivité. Elle ne comptait plus le nombre de fois où Yani et elle se sont retrouvés pris dans des bagarres parce que la jolie métisse n’a pas sû la fermer et à insulter la mauvaise personne. Fille, mec, qu’importe, elle insulte quand les gens la font chier, et quand c’est sous alcool elle le fait sans retenu. Pas qu’elle en est d’habitude, mais elle peut le dire gentiment. Qu’importe, l’alcool joyeux ou agressif elle connaît. Elle ne saurait vous expliquez pourquoi ce soir-là elle s’est sentie aussi triste. Assise par terre, sur le carrelage froid de la salle de bain de son frère – adoptif – elle se sent lessivée. Comme si soudainement toute l’énergie qu’elle met à s’obliger à aller bien et à sourire en toute circonstance c’était échappé de son corps. Il ne restait alors que la fatigué et l’impression de n’être rien, ni personne. D’être seule aussi, terriblement. Et étrangement pour la première fois de sa vie, elle a le désire de se confier à quelqu’un. DE laisser tomber ses remparts et de dire ce qu’elle garde pour elle depuis trop longtemps. Ses regrets, ses seuls regrets sans doute mais qui sont assez perceptibles ce soir pour lui donner envie de pleurer. Elle croise le regard de Iosef et elle ressent alors un élan d’affection envers lui. Il est là, à ses côtés, et lui sourit avec la bienveillance… d’un frère. Vraiment. Pour la première fois de leur vie. Elle retrouve cette complicité qu’elle a toujours rêvé de partager avec lui. Celle qu’ils avaient quand ils étaient enfants. Mais c’était loin tout cela. Comme dans une autre vie. Une autre existence, qu’elle retrouvait le temps d’une soirée, d’un échange. Elle ouvre la bouche, laisse échapper un avoeu. « Je sais. » Surprise alors qu’elle voit transparaitre dans son regard une sincérité qui étreint sa gorge. Alors elle parle, elle se confie à lui, lui racontant des choses que personne n’a jamais su. Ni les parents, ni Sasha, ni Ezeckiel… Ni Yani. Personne. Une chose qu’elle garde pour elle, et qu’elle fait en sorte de mettre dans un coin de sa tête, au fond, dans une boite fermée.
Elle s’arrête, attend, soupire, tente de ravaler les larmes qui risquent de la submerger à tout instant. Elle n’a plus envie de jouer à présent. Elle se souvient de ce regard, ce rire, ce corps qui l’ont rendu folle, fiévreuse, amoureuse. Elle ne sera plus jamais amoureuse, elle se l’est promis. « C'est horrible... » Haussement d’épaules. C’est sa vie, c’est comme cela. QU’est-ce qu’elle peut bien y faire de toute façon ? Les choses sont faites. Elle regarde ses mains, faisant craquer ses doigts. « Pourquoi tu n'as jamais tentée de t'émanciper ? » Elle lève les yeux vers lui, sceptique. Sincèrement ? Il lui demande pourquoi elle ne s’est pas tirée ? Pour faire quoi ? Où ? Avec qui ? Sans argent alors qu’elle est une putain de gamine pourrie gâtée qui a jamais passer un coup d’aspirateur ? « J’aurai vécu comment Io ? Une pauvre guinasse à l’autre bout du monde, j’aurai été perdue. Sans les parents et leur fric j’suis pas grand chose. » Dit-elle, peut être un peu trop véhémente, mais la question elle se l’est posée. A l’époque. Elle pensait qu’elle éviterait ses obligations, pour toujours. Mais non. Elle était condamnée. Elle leur devait bien cela après tout non ? Un mariage arrangé qu’est-ce que c’est dans la balance ? Pas grand chose. Elle pourra toujours trompé son mari, et tout le monde y trouvera son compte. Ou pas. « On aurait été ensemble, je t'aurais aidée si tu m'avais dis que tu t'étais émancipée. » Elle se tourne vers lui, fronçant les sourcils. « Après tout ce que moi et les parents on t’a fait subir tu m’aurais ouvert les bras sans rien demander en retour ? » Demanda-t-elle, sans vraiment croire que Iosef soit a ce point là gentil et généreux. Pas avec elle. Pas avec les coups qu’il s’était pris dans la tronche toutes les fois où elle l’avait condamnée à sa place. Les fois où elle avait tenté d’être douce, d’être la sœur qu’il lui fallait. Non, elle n’aurait pas mérité ni sa pitié, ni son aide.
Il se lève, fait les cent pas, et elle le regarde. Elle regarde le vide, pas loin. Elle sait pas ce qu’elle regarde, elle est juste un peu ailleurs à ce moment là. « Ils vont nous pourrir la vie encore longtemps ?! » Elle sursaute, et se recule sur le lit, prenant ses jambes contre elle. Il hurle. Contre elle. Elle n’a pas eut le choix, comment peut-il le comprendre ? Elle est née pour cela, elle est là pour cela. Elle lâche un gémissement, et baisse le regard. Il est en colère contre elle. Elle le déçoit, et ce soir entre l’était d’ébriété et la fatigue ca la rend triste. « Excuse moi... Ce n'est pas contre toi. » « vraiment ? » Peu sûre d’elle, elle lève à nouveau les yeux vers lui. Il lui sourit, elle lui rend. « Et tu ne peux pas tenter de revoir cette personne ? » Elle soupire, s’assoit en tailleur et passe ses mains sur son visage, puis dans ses cheveux. Elle sait pas. Elle y a pensé aussi. Parfois. Mais alors qu’elle était fiancée l’idée ne lui était pas venue, et quatre ans plus tard que pouvait-elle bien faire ? « Ca fait quatre ans Io. Je l’ai quittée parce que mes parents voulaient me marier à un autre. Elle m’en voulait. Elle doit penser que je suis mariée aujourd’hui et elle… Doit avoir fait sa vie. » Dit-elle en levant les yeux au ciel. Oui, elle doit l’avoir oubliée. Après tout qui pourrait bien garder en tête Liloo Gonzales, cette fille facile, cette salope, si … Inintéressante une fois qu’elle est passée dans vos draps hein ? Qu’avait-elle à offrir au monde à part une bourgeoise blindée de tune et si capricieuse ? « J’vais pas retourner en Chine pour tenter de la retrouver. J’sais pas même si elle y est encore. Non je vais… La remettre dans la boite au fond de ma tête, et reprendre le cours normal des choses. Excuse moi de t’avoir parlé de tout cela. J’aurai pas dû… Ca sert à rien de ressasser le passé. » Dit-elle en venant caresser la joue de son frère, s’approchant de lui pour lui poser un baiser sur le frond. Son petit frère. Son Iosef. Elle lui sourit. « Et toi tu… N’as aucun regret ? » Demanda-t-elle finalement, soucieuse de son bien être. Sans logique.
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Sam 19 Mar - 2:31 | |
| Je cours après une paire de fesses. Ioloo Iosef en veut à ses parents adoptifs, la faute à une enfance en manque d'amour et de tendresse, plus portée par les coups et les privations venant de son père surtout. Mais il pensait que les choses avaient été autrement pour sa sœur adoptive, il pensait que Liloo avait tout eu et que surtout, ils lui avaient laissés l'air libre, il pensait qu'elle avait la chance de pouvoir faire ce qu'elle voulait et choisir qui elle voulait, sans crainte d'être mise dans un coin. Iosef est conscient que si leur père adoptif a été si dur avec lui c'est qu'il n'était tout simplement pas son enfant, en quelque sorte il lui e voulait d'être là et surtout, ne voulait pas s'occuper d'un enfant qui n'était pas à lui et qu'il n'avait pas voulu. Mais Iosef aussitôt qu'il écoute sa sœur, il comprend que si elle était leur enfant, elle a aussi du se plier aux exigences d'une famille qui attendait énormément d'elle. Ce qu'il ne comprend pas, à la rigueur qu'on lui fasse payer à lui bon... Mais pourquoi Liloo ? Pourquoi ne pas lui laisser le loisir de choisir avec qui elle partagera sa vie sans lui imposer quoi que ce soit ? Foutu société bien pensante où l'argent est roi, c'est quelque chose que Iosef ne comprendra jamais, au nom de l'argent les familles décident pour leur enfant sans leur laisser le moindre choix, dire qu'il aurait aussi pu finir comme ça, l'idée le dégoûte. « J’aurai vécu comment Io ? Une pauvre guinasse à l’autre bout du monde, j’aurai été perdue. Sans les parents et leur fric j’suis pas grand chose. » Lui dit-elle alors qu'il lui demande pourquoi elle ne c'est pas émancipée, il l'aurait aidé du mieux qu'il pouvait si seulement il savait. Lui lui fait part de cette idée alors qu'elle lui demande si il lui aurait ouvert les bras sans demander rien en retour. Il réfléchit un instant. « J'aurais pu te faire la guerre même maintenant. Je ne t'en veux pas, il suffisait de m'expliquer, j'aurais compris. » Dit-il en venant s'asseoir à côté d'elle. « Oui vraiment, ce n'est pas contre toi. » Murmure Iosef en s’allongeant dans son lit et en venant prendre sa sœur contre lui, mais loin de lui l'idée d'agir comme un amant non, il la prendre contre lui tel un petit frère. Un petit frère la dépassant de deux têtes mais tout de même. Il la laisse s’installer sur son torse, et doucement vient câliner son épaule d'un air distrais. Il l'invite, par ce geste à parler si elle a besoin encore. « Ca fait quatre ans Io. Je l’ai quittée parce que mes parents voulaient me marier à un autre. Elle m’en voulait. Elle doit penser que je suis mariée aujourd’hui et elle… Doit avoir fait sa vie. » « Peut-être pas. On oublie jamais le véritable amour Liloo. » Dit-il pour toute réponse. « J’vais pas retourner en Chine pour tenter de la retrouver. J’sais pas même si elle y est encore. Non je vais… La remettre dans la boite au fond de ma tête, et reprendre le cours normal des choses. Excuse moi de t’avoir parlé de tout cela. J’aurai pas dû… Ca sert à rien de ressasser le passé. » Il lève les yeux au ciel et soupire de voir sa sœur si défaitiste, si... Résignée. « Arrête, tu as besoin de parler. Je suis ton frère, je peux tout entendre venant de toi. Et ne baisse pas les bras, la vie réserve des surprises. Et si ce n'est pas elle, ce sera une autre. » Murmure Iosef alors qu'elle se penche vers lui et qu'elle l'embrasse sur le front, il sourit à ce geste naturel. « Et toi tu… N’as aucun regret ? » Il lève sa main droite vers elle, lui montrant par ce geste le tremblement qui agite sa main. « Mon accident. Sans aucun doute. J'étais un bon chirurgien, j'avais une grande vie qui se profilait. Et je ne peux plus opérer. Ce n'est pas définitif, je travaille pour retrouver ma main, ça se présente plutôt bien. Disons qu'il me reste encore quelques mois avant de pouvoir envisager d'opérer un jour. Mais ça m'a fait perdre du temps... » Murmure Iosef. « Au moins, dis toi que tu as connu l'amour. Ce n'est pas mon cas... » Dit-il avec un sourire. |
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) Dim 20 Mar - 17:47 | |
| Je cours après une paire de fesses Iosef & Liloo Si on était venu pour dire à Liloo qu’un jour elle se retrouverait dans le lit de Iosef pour discuter et pour se confier, elle ne l’aurait sans doute pas cru. Parce que durant des années ils s’étaient faits la guerre tous les deux, se parlant cordialement quand ils y étaient contraints, et s’ignorant le reste du temps. Jusqu’à ce que son frère disparaisse parfaitement de sa vie. Et y revienne comme un amant farouche et passionné. Un putain de bon amant. Mais ce soir il n’était plus question de sexe entre eux et elle avait ce putain de sentiment qu’il y avait autre chose. Une confiance qui s’installait sans qu’elle ne puisse l’empêcher et qui la poussait à se laisser aller à se montrer sous son vrai visage devant lui. Et pourtant alors qu’elle croisait le regard de Iosef elle sentait que les choses n’étaient plus vraiment ce qu’elles devaient être. Elle ne le voyait plus comme un potentiel amant et elle ne ressentait plus ce désir de le sentir en elle qui brûlait chaque parcelle de sa peau. Elle avait juste… enfin de le serrer contre elle et de lui sourire. « J'aurais pu te faire la guerre même maintenant. Je ne t'en veux pas, il suffisait de m'expliquer, j'aurais compris. » Elle hausse les épaules. Ils vont pas refaire le passer. Entre le fait de décuver, la fatigue, et la tristesse elle n’a pas vraiment le désire d’être mélancolique. Elle voudrait juste… discuter tranquillement avec son frère de ce qui la torture depuis des années maintenant et qu’elle ravale. Est-ce qu’elle pourrait la revoir ? Est-ce qu’elle pourrait revenir comme une fleur en lui disait et j’me suis tirée y a quatre ans pour épouser un mec qui a finit par me quitter avant le mariage, alors je reviens jusqu’à ce que mes obligations me rappellent encore une fois près de mes parents . Sans doute pas. Et quant bien même, Elle a dû refaire sa vie. Elle a dû l’oublier. Elle a dû avancer. « Peut-être pas. On oublie jamais le véritable amour Liloo. » Elle sourit doucement. L’amour c’est pas un truc auquel elle croit vraiment. LE parfait amour, le grand amour, l’âme sœur toutes ces conneries. Elle, elle a été habituée à l’idée de ne pas pouvoir tomber amoureuse, de ne pas pouvoir choisir. Le mariage arrangé a une raison d’être manichéenne certes, mais du coup qui tient les deux époux dans leurs engagements. L’amour, c’est un sentiment inconstant dans l’esprit de Liloo. Est-ce qu’elle L’aime encore ? sans doute oui, mais loin des yeux loin du cœur et elle ne se refuse pas à d’autres pour autant.
« Arrête, tu as besoin de parler. Je suis ton frère, je peux tout entendre venant de toi. Et ne baisse pas les bras, la vie réserve des surprises. Et si ce n'est pas elle, ce sera une autre. » Elle sourit. C’est la première fois que Iosef décrit avec exactitude ce qu’elle ressent, ce qu’elle a besoin d’entendre et ca lui fait un bien fou. Si ce n’est pas elle, ca sera une autre. Si ce n’est pas elle… Elle ne sait pas qui ca pourrait être. Elle ne court pas après l’amour, Liloo. Elle court après des paires de fesses. Elle court après de magnifiques blondes. Elle court après la reconnaissance, un peu d’attention, du sexe. Elle ne court pas après l’amour. Elle court après tout ceux qui veulent bien d’elle. Elle sait pas ce qu’elle cherche. Elle cherche, sans doute, un peu d’amour. Et ce soir dans les bras de son frère elle se sent apaisée. Elle se sent comprise, et ca lui fait un bien fou. « Mon accident. Sans aucun doute. J'étais un bon chirurgien, j'avais une grande vie qui se profilait. Et je ne peux plus opérer. Ce n'est pas définitif, je travaille pour retrouver ma main, ça se présente plutôt bien. Disons qu'il me reste encore quelques mois avant de pouvoir envisager d'opérer un jour. Mais ça m'a fait perdre du temps... » Elle lui sourit, le prend dans ses bras et lui embrasse la joue. « Ca ne m’étonne pas de toi, tu as toujours été … terriblement borné. Et courageux. » Dit-elle en se collant à lui, trouvant une place réconfortant contre son torse dur et chaud. « Au moins, dis toi que tu as connu l'amour. Ce n'est pas mon cas... » Elle laisse échapper un petit rire. « Pas encore, mais y paraît qu’on a tous quelqu’un pour nous. Puis dans un monde où on a sept milliards d’être humains tu trouveras sans doute chaussure à ton pied. » Dit-elle en se laissant aller contre lui, s’affalant dans le lit, au-dessus des couvertures. « Pis tu as ton fils et maintenant… moi. On est une véritable petite famille. » Laisse-t-elle échapper, un sourire naissant sur ses lèvres, avant que la fatigue ne vienne la terrasser et ne la fasse s’écrouler.
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| Sujet: Re: Je cours après une paire de fesses (ioloo) | |
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