J’avais une voiture, mais au cours de cet nuit glacial du vendredi, je suis allez faire un tour au hangar à pied, depuis chez moi ce qui se situe à plus ou moins 30 minutes à destination final. Le hangar à barques, lieu où je peux réfléchir à certaine chose que je ne dirais pas tout haut, pour l’instant néanmoins. Me rendre ici me semblais être la meilleure chose à faire, c’est calme, discret, désert. Parfait pour cacher un corps. Début de soirée, tout semblait vide, et ça m’allait. Car cette nuit-là fut la parfaite, la plus sombre et surtout la plus intéressante. Le ciel est couvert d’un manteau gris menaçant, le vent souffle fort, et l’ambiance est tellement intense, je prends un grand bol d’air, remplissant mes poumons. L’odeur n’est pas des si désagréable, l’eau de mer, légèrement salée déposant sont voile invisible dans les narines pour vous ancrer de son arôme marine. Une brume épaisse c’était reposée sur pied pour encombrer ma vue, j’arrivais quand même à percevoir ce qui se tramais devant moi. Les mouettes sont manquantes, le silence est pesant. Allumant une cigarette avec dans l’autre main ma fameuse bouteille de jack. Je bois une grande gorgée pour réchauffer mon corps. Mon moi intérieur, ma conscience, mon alter égo qui se loge dans ma tête, ou encore mon meilleur ami invisible espère un maximum croiser quelqu’un pour la faire souffrir un maximum. S’amuser avec elle, lui faire subir les pires péchés qui soit, sentir ses os craquer sous mes mains, l’entendre pleurer en sanglot, me supplier d’arrêter tous ses martyrs. Prier un dieu qui n’existe pas.
Ne sachant pas trop quoi faire à part marcher jusqu’à m’en lasser, je pris mon téléphone pour regarder à nouveau les fameuses actualités sur cette pauvre Breeony, certes je ne la connais pas mais maintenant c’est fait, elle m’intéresse. Mais vraiment beaucoup, je la vois bien gémir sous mes longs doigts, le faire dire mon prénom à nombre reprise tout en m’enfouissant en elle, faire des va et vient sans arrêt tout aussi violant les uns que les autres, lui faire ressentir les mêmes sensations amplifiées comme sa première fois. M’enivrer de son doux parfum, sentir ses cheveux, caresser sa douce peau. J’aimerais la croiser ; comme ça par hasard, créer des liens, pour pouvoir la regarder jours et nuit, la voir dormir, rêver de moi, de nous. Mais il faudrait un miracle …
Mon cerveau travail depuis un petit moment, comment provoquer la rencontre, comment l’obliger à être intime, à m’aimer ? Et c’est là que le miracle ce produit. Pas très loin entre deux blocks, une jeune femme accroupi semble totalement abattue, elle pleure en sanglot, je m’apprêtais à lui lâcher une phrases sarcastique et blessante avant d’entendre ses mots, ceux qui me mis en alerte. C’est elle, la fille des actualités !! Je dois la saisir, c’est maintenant ou jamais de mettre mon plan en exécution. En douceur, ne pas être brusque, joue la tranquille. Tout ça est si simple, je vais la faire tomber dans mes filets comme un poisson à la con, elle m’a l’air assez conne pour tomber facilement dans le panneau. Mais en soit, pour avoir été affiché d’une telle manière elle est certainement. Je vais simplement lui parler, et lui déposer une main amicale sur l’épaule le temps feras bien l’affaire tout seul.
Accueil
J’avais une voiture, mais au cours de cet nuit glacial du vendredi, je suis allez faire un tour au hangar à pied, depuis chez moi ce qui se situe à plus ou moins 30 minutes à destination final. Le hangar à barques, lieu où je peux réfléchir à certaine chose que je ne dirais pas tout haut, pour l’instant néanmoins. Me rendre ici me semblais être la meilleure chose à faire, c’est calme, discret, désert. Parfait pour cacher un corps. Début de soirée, tout semblait vide, et ça m’allait. Car cette nuit-là fut la parfaite, la plus sombre et surtout la plus intéressante. Le ciel est couvert d’un manteau gris menaçant, le vent souffle fort, et l’ambiance est tellement intense, je prends un grand bol d’air, remplissant mes poumons. L’odeur n’est pas des si désagréable, l’eau de mer, légèrement salée déposant sont voile invisible dans les narines pour vous ancrer de son arôme marine. Une brume épaisse c’était reposée sur pied pour encombrer ma vue, j’arrivais quand même à percevoir ce qui se tramais devant moi. Les mouettes sont manquantes, le silence est pesant. Allumant une cigarette avec dans l’autre main ma fameuse bouteille de jack. Je bois une grande gorgée pour réchauffer mon corps. Mon moi intérieur, ma conscience, mon alter égo qui se loge dans ma tête, ou encore mon meilleur ami invisible espère un maximum croiser quelqu’un pour la faire souffrir un maximum. S’amuser avec elle, lui faire subir les pires péchés qui soit, sentir ses os craquer sous mes mains, l’entendre pleurer en sanglot, me supplier d’arrêter tous ses martyrs. Prier un dieu qui n’existe pas.