I. Description de la soirée. Il n'est pas du genre romantique, enfin en apparence. Au fond, il est fou amoureux d'elle et enfin elle le sait. Alors il voudrait pour la St. Valentin lui offrir une belle soirée, pleine de romantisme et de douceur. Peut-être venir la chercher chez elle dans un beau costume, l'emmener dans un restaurant intime et peu fréquenté, où ils pourront manger de bon petit plat. Il ne veut pas l'emmener dans un restaurant réputé où tout romantisme est oublié et où ils n'auraient aucune intimité. Et surtout ça manquerait de charme. Une belle table, un bon vin et une soirée douce et pleine de tendresse. Ensuite il adorerait l'emmener à l'Hotel, sans doute 5 étoiles afin d'avoir beaucoup de luxe, du champagne, du chocolat et surtout une immense baignoire avec des bougies afin de se faire couler un bon bain. Ils passeraient la nuit ensemble et au matin, il la réveillerait pour admirer le levé du soleil, un chocolat chaud préparé avec amour entre les mains.
II. Le lieu de la soirée. L'hotel Parklands est le lieux le plus uppé d'Oxford. Le soir de la St. Valentin ça devient un endroit romantique, avec une décoration à l'ancienne, un éclairage à la bougie et des carrosses qui font le tour de l'hôtel en trainant des calèches pour les amoureux qui souhaiteraient un instant d'intimité loin du monde.
Les amoureux arrivent masqués. Si la soirée vous plait, et si vous voulez en savoir plus sur votre valentin/valentine alors ôtaient votre masque et dévoilez vous. Il ne vous reste plus qu'à poster pour savoir qui est votre Valentin(e).
Dernière édition par Oxide Radio le Jeu 30 Avr - 20:37, édité 1 fois
Eliakim A. Crowlley
ADMIN & RIOT — sexiest teacher
☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Il ne sait pas qui viendra ce soir, seulement car il a envoyé une invitation à Alice mais aussi à Rae. Alors il doit avouer que c'est une surprise totale. Il sera heureux de passer la soirée avec l'une comme l'autre, seulement il voudrait savoir si ce n'est pas Alice qui le rejoint ce soir, avec qui elle aura passée la soirée de St Valentin. Car en effet c'est la fête des amoureux où du moins de l'amour en général. Alors ce soir il veut le passer avec l'une des deux femmes les plus importantes de sa vie. Sa meilleure aime Rae où la femme qu'il aime, Alice. En souriant il sort de sa douche bien chaude, tout propre et sentant le chocolat. Pour la St Valentin quoi d'autre que du chocolat ? En laissant quelques traces d'eau il marche jusqu'à sa chambre, son petit chien Summer l'accompagne et jappe pendant quelques secondes. Il ouvre sa penderie et sort un costume qu'il scrute une seconde. Non trop sérieux, il aurait l'impression d'aller à une enterrement.
Alors plutôt il ne prend que le pantalon qu'il enfile ainsi qu'une ceinture pour ajuster son pantalon de costume. Il fouille dans son armoire et attrape un tee-shirt à manche courte, blanc uni qu'il enfile ainsi qu'une veste de costard pour terminer le tout. Il se parfume, se coiffe légèrement ce qui veut dire qu'il passe 2/3 fois sa main dans ses cheveux. Son portable, son masque noir, des papouilles à son chiot et voilà qu'il sort de chez lui pour tracer jusqu'au lieu de rendez vous. La soirée est fraîche alors il prendra sa voiture. Il ne tarde pas à se mettre en route pourtant au dernier moment il fait un écart devant plusieurs magasins, il sait ce qu'il a oublié ! Il sort vite de son véhicule et court jusqu'au fleuriste, le premier qu'il croise. Après quelques conseils, voilà qu'il repart avec un grand bouquet de roses rouges pour la jeune femme qui passera la soirée avec lui ce soir. De toute façon que ça soit Alice où Rae, elles risquent de rire en le voyant avec des fleurs dans la main.
Il pose les bouquet proche de lui et repart dans sa Triumph TR3 de collection, blanche, sa seule et unique folie quand il est entré à Oxford. Un petit bijoux qu'il chouchoute car avec sa moto, ce sont ses seules véritables caprices de gosse de riche. Rapidement il arrive à l’hôtel Parklands décoré pour l'occasion de la St Valentin. Des calèches le frôlent, des couples magnifiques en sortent le sourire aux lèvres. Il ne peut s’empêcher de sourire à son tour et part garer sa voiture. Il regarde l'heure, elle ne devrait plus tarder. La jeune fille mystère devrait arriver alors il attrape le bouquet de roses, son masque noir qui lui cache la moitié du visage et sort de la voiture. Avant de faire un pas de plus il met le masque, ainsi il devrait être méconnaissable pendant quelques instants, sauf qu'il sait d'avance que la femme avec qui il va passer la soirée le reconnaîtra de suite. Après tout il respect les règles du jeux ! Enfin il marche jusqu'à l’hôtel, monte les quelques marches mais n'entre pas dans l'immense battisse. Il attend sur les marches, tel le prince charmant, le bouquet dans les mains et un grand sourire sur le visage. Sa promise devrait arriver en calèche, c'est ainsi qu'il a prévu la soirée.
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Alice adorait la St. Valentin, d'autant plus depuis qu'elle était à Oxford. Ces six dernières années elle n'avait fêter la soirée des amoureux qu'avec des amis proches, ou alors des garçons avec qui son père arrangé des rendez vous. Elle n'aurait jamais osé se montrer dans les bras de son professeur préféré, et ce soir encore elle n'était pas sûre de le retrouver. Elle aimait l'idée de ne pas savoir, la surprise, le fait ne pas contrôler son destin. C'était comme la vie. L'amour était comme la vie, c'était hasardeux, et soudain. Ca vous tombait dessus sans que vous n'ayez vu comment ou quand cela était arrivé. C'était simplement là, en vous et vous ne pouvez plus vous échapper. Vous êtes piégé. Vous êtes amoureux. Elle avait reçu son invitation la veille du quatorze Février, alors qu'elle se trouvait chez elle. Dans une belle enveloppe cachetée, elle avait un simple mot disant que le lendemain sur les coups de 19 heures 15 un carosse viendrait la chercher en bas de chez elle et l'amènerait sur les lieux de la réception. Pour tout indice elle avait la carte de visite de l'hôtel Parklands. Elle se décida dés lors pour sa tenue et sa coiffure. Le lendemain, elle passa sa journée à imaginer la soirée parfaite. Elle s'imaginait des bougies, des roses, et peut être même une sortie en calèche. Elle voulait du romantisme - pour la première fois de sa vie. Lorsque 17 heures sonna elle se décida à se mettre en tenue. Elle prit une douche chaude, et passa des sous-vêtements noirs sexy, par dessous une robe blanche longue. Elle était plutôt classique pour la jeune femme mais c'était la St. Valentin après tout, et elle laissait paraitre ses formes sensuellement. Elle avait fait une tresses sur le côté rasé de sa tête et avait opté pour une chaine d'oreille très élégante qui enlaçait son oreille découverte. Elle mit des talons hauts noirs, et opta pour une pochette sombre également pour compléter la tenue. Elle y mit ses clés, ses cigarettes, son briquet, et son portable. Sa chienne était sortie et avait à manger, tout comme son chat. Elle pouvait attendre jusqu'au lendemain le retour de sa maitresse. Alice sortie de l'appartement à 19 heures 15 précise, alors qu'une limousine l'attendait en bas de chez elle. Elle y grimpa, et ne dit rien au chauffeur qui l'amena au nord de la ville. La jeune femme se laissait faire sans un mot, trépignant d'impatience. Elle se décida alors à mettre son masque doré qu'elle avait pris avec elle, respectant les règles de la soirée. C'était un magnifique masque qui lui venait de Venise et qui cachait tout son visage à travers des arabesques gothiques impressionnantes. Elle avait maquillé ses yeux de tel sorte de paraitre mystérieuse. Elle arriva à l'entrée des terrains de l'hôtel et le chauffeur lui proposa de sortir du véhicule. Alors le conte de fée commença lorsqu'elle monta dans une calèche tiré par deux chevaux noirs et blancs. Il lui fallut dix minutes pour rejoindre l'entrée de l'hôtel. Un des maitres d'hôtel vint lui ouvrit la porte de la calèche et lui tendit la main pour l'aider à descendre. Elle arrivait alors, dans sa robe blanche longue, haute sur ses talons, portant son masque, les cheveux lachés autour de son visage. Belle de nuit, mystérieuse. L'attendait sur les marches de la bâtisses un homme habillé de noir, un masque cachant la moitié de son visage, un bouquet à la main. Elle arrivait jusqu'à lui. « Ô Roméo! Roméo! pourquoi es-tu Roméo? Renie ton père et abdique ton nom; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet. » Cita-t-elle, alors qu'elle se hissait jusqu'à sa hauteur pour prendre le bouquet de rose, un sourire magnifique sur les lèvres. Elle respira l'odeur des roses rouges. « Qu'y a-t-il dans un nom? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom. » Elle se tourna vers le bel inconnu et termina de citer l'un des auteurs anglais qu'elle aimait le plus sans pour autant se l'avouer tant il était vu comme un romantique niais de nos jours, alors que les pauvres enfants étaient morts d'un amour passionel sans rien y pouvoir faire. « A la place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi tout entière. » proposa-t-elle avec un regard brûlant. Elle se mit ensuite à rire et prit le bras que son cavalier lui proposait. « Joyeuse St. Valentin bel Inconnu ~ »
Eliakim A. Crowlley
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« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Il ne fêtait plus la St Valentin depuis que son ancien petit ami l'avait abandonné. A l'époque, il n'était pas rare qu'ils s'offrent une dîner aux chandelles mais même avec Alice il ne l'avait jamais fêté depuis le début de leur relation. Il ne le voulait pas et seul les amoureux osent s'offrir une soirée pendant ce jour si spécial. Alors ne sachant si il allait passer la soirée avec Alice, il avait également invité Rae, se réjouissant à l'idée d'être avec l'une comme avec l'autre. Et puis il devait avouer qu'il n'avait jamais osé inviter Alice pour la St Valentin, ayant trop peur de se heurter à un refus. Donc depuis ces cinq dernières années il avait passé la St Valentin seul devant un bon film et avec une excellente bouteille de vin rouge. Il pensait cela sans tristesse ni amertume, il avait passé des soirées superbes qu'il n'aurait échangé contre rien au monde.
Alors qu'il était perdu dans ses pensées, il vit une magnifique calèche se poser devant les marches où il attendait. Un majordome vint ouvrit la porte de la clèche et il tendit sa main à une jeune femme qui s’empressant de descendre. Elle portait un masque et Eliakim sut que c'était sa cavalière, un fin sourire vint fleurir sur ses lèvres roses. Elle portait une robe blanche longue, légèrement transparente mais juste assez pour ne rien montrer. Car tout le monde le sait, cacher est bien plus important que dévoiler. Eliakim la regarda marcher jusqu'à lui et dans un ultime geste de galanterie, il lui tendit sa main droite afin qu'elle la prenne. La jeune femme qui allait partager sa soirée n'était autre que Alice, seulement car la couleur de ses cheveux noués dans une jolie tresse sur le côtés était une couleur qu'elle seule dans son entourage arborait. Mais aussi car elle était bien plus petite que Rae, il en était sur. « Ô Roméo! Roméo! pourquoi es-tu Roméo? Renie ton père et abdique ton nom; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet. » Lui dit elle alors qu'il lui tendait le bouquet de roses.
Enfin il lui saisit la main droite et avec un léger sourire sen penchant en avant avant de lui baiser la main, comme cela devait être fait au comble de la galanterie. En se relevant vers elle il cita également Shakespeare, grand auteur du plus beau livre du monde, celui des amants maudis. « L’amour est une fumée de soupirs , dégagé, c’est une flamme qui étincelle aux yeux des amants, comprimé, c’est une mer qu’alimentent leurs larmes. » Pourtant elle poursuivit son texte. « Qu'y a-t-il dans un nom? Ce que nous appelons une rose embaumerait autant sous un autre nom. A la place de ce nom qui ne fait pas partie de toi, prends-moi tout entière. » Elle partit dans un grand rire en prit le bras que Eliakim lui tendit. En l'entendant rire il sentit son cœur se réchauffer dans une sensation grisante. Il la trouvait belle comme le jour et fut frappé par son assurance alors qu'elle lui souhaitait une bonne St Valentin. « De même ma chère ! » Il ne pouvait voir son visage, mais il la connaissait tant qu'il était sur que derrière ce masque, son amour se cachait avec un sourire charmant.
Il se sentait comme dans un rêve, sa main chaude au creux de son bras, le bruit de ses talons sur le parquet en bois, son parfum qu'il chatouillait son esprit. Ils marchèrent vers le petit restaurant intime de l'hôtel, lentement en profitant seulement de la présence de l'autre. Ayant une table réservée, ils se dirigèrent vers celle-ci. Sur la table, un petit morceau de papier avec marqué Mademoiselle pourriez-vous m'accorder une danse? il reconnu le nom de sa réservation, refusant de donner son propre nom afin que sa cavalière ne sache pas qui il était. Il délaissa le main d'Alice afin de venir prendre sa chaise pour qu'elle s'asseye à table. Il prit place face à elle et remarqua que deux chandelles étaient également posé sur la table mais aussi qu'un petit troupe de musicien jouait du violon au fond de la salle. Le romantisme à l'état pur. « J'espère que cette soirée romantique te plaira ma chère... » Avant qu'il ne puisse faire quoi que ce soit un serveur vint vers eu et déposa deux coupes de champagne avant de repartit comme si rien n'était. Eliakim écouta un instant la musique très douce dans la pièce, si légère qu'on pouvait ne pas l'entendre. Il attrapa sa coupe de champagne et avec un sourire la leva vers sa cavalière. « A nous ? » Proposa le professeur avec un sourire tendre. Ils attirèrent quelques regards amusés du aux masques mais il ne voyait rien, il ne voyait qu'elle où du moins ses yeux d'un bleu profond.
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice « L’amour est une fumée de soupirs , dégagé, c’est une flamme qui étincelle aux yeux des amants, comprimé, c’est une mer qu’alimentent leurs larmes. » Elle était très étonnée de voir un bellâtre citer du Shakespeare avec autant d'aisance qu'elle. Elle adorait le dramaturge anglais, il était sans doute le seul auteur qu'elle aimait à ce point. Elle lisait beaucoup cependant, contrairement à ce que beaucoup pourrait penser. Elle avait parfois l'impression de passer pour une jeune femme un peu frivole qui se fichait de ses études et ne pensait qu'à l'argent et à l'amour. Elle aimait les ragots, certes, mais elle aimait aussi la littérature, les arts et la musique. Elle passait beaucoup de son temps dans les écuries d'Oxford à s'entrainer pour les compétitions équestres. Elle allait à beaucoup de concert, elle voyageait beaucoup, elle visitait les musées, et elle lisait énormément. Elle avait une grande bibliothèque chez elle qu'elle remplissait de manière fréquente avec de nouveaux ouvrages. Elle était une amatrice de bonne littérature, et fut ravie de voir qu'il en était de même pour son prince charmant de la St. Valentin. Elle savait qu'il s'agissait d'Eliakim, mais elle voulait jouer le jeu, gardant son masque et l'affublant du surnom d'Inconnu. « De même ma chère ! » Le prend tout entier ? C'était une idée qui fit saliver la jeune femme, mais elle voulait une soirée romantique. Elle ne pensait pas que la St. Valentin était une bonne excuse pour le sexe, bien au contraire. Si un couple a besoin d'excuse pour faire l'amour alors il ne pourrait pas aller bien loin. Elle elle voulait surtout profiter de la présence de son homme pour ce soir, et en l'occurrence sous le couvert du masque. Ils entrèrent dans l'hôtel et son jeune prince vint lui présenter sa chaise pour qu'elle puisse s'asseoir, ce qu'elle fit sans attendre plus avant. Elle regarda autour d'elle, trouvant l'endroit charmant. Un groupe jouait de la musique, et la lumière des bougies donnaient à la pièce une atmosphère chaude et romantique qu'elle apprécia beaucoup. « J'espère que cette soirée romantique te plaira ma chère... » « Je n'en doute pas. » Répondit-elle alors qu'un serveur vint leur proposer des coupes de champagnes. Ils attendirent qu'il disparaisse pour lever leur verrre. « A nous ?» Elle sourit et fit tinter son verre contre le sien. « A l'amour. » Dit-elle en retour. Elle goûta au nectar et le trouva parfaitement à son gout. Un gout tout à fait merveilleux qui la fit fondre. Le serveur revint quelques temps après en leur posant les cartes sur la table, avant de disparaitre. Alice ouvrit le menu et regarda quelques instants. « Je ne connais pas du tout ce restaurant, que me conseilleriez-vous très cher ? » Elle leva les yeux vers lui avec un air coquin. « Une fondue chocolat... pour deux ? » Dit-elle en faisant référence à leur séjour à Aspen. « Alors très cher Prince, j'imagine que nous sommes là pour faire connaissance tout d'abord. Dites-moi des choses que j'ignore sur vous. »
Eliakim A. Crowlley
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« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Il était romantique contrairement à ce qu'on pouvait penser de lui. C'était une qualité offerte par le ciel et qui lui permettait de trouver des occasions de faire plaisir à la personne qui partageait sa vie. Il allait fêter la St Valentin avec Alice même si avec elle, il voulait lui offrir cette fête chaque jour. Il voulait l'émerveiller, lui faire voir le monde et ses facettes aux milles couleurs. Il voulait voir ses yeux s'illuminer sous les merveilles de la vie et du monde. Il voulait apercevoir un sourire sur ses lèvres à chaque fois qu'il entrerait dans une pièce, seulement car elle ressentirait pour lui un amour pur et prenant. Elle l'aimait c'était certain, mais il voulait revoir cette flamme brillant dans ses yeux, tous les jours, à chaque fois qu'elle se réveillerait proche de lui. Eliakim détestait l'avenir tout simplement car il en avait une peur bleu, il ne savait pas ce qu'il lui réservait et il ne supportait pas l'idée de ne pas maîtriser sa vie. Mais avec Alice, pour la première fois de sa vie il voulait croire au bonheur, être confiant et ne pas s’inquiéter. Une erreur peut-être, mais les rêves sont ce qui nous font vivre!
Ils trinquèrent pour le plus beau sentiment du monde, l'amour. Cette sensation délicieuse qui vous fait crépiter des papillons dans le ventre, vous rend malade comme vous fait toucher les étoiles. Il est amoureux d'Alice, pour la première fois depuis longtemps l'amour est venu embrasser ses lèvres, faire naître en lui une armée de fourmis et faire chavirer son cœur qui ne pourrait en supporter davantage. Un serveur vint briser la bulle qu'il c'était crée alors que ses yeux ne quittaient pas le bout de visage d'Alice qu'il pouvait voir. « Je ne connais pas du tout ce restaurant, que me conseilleriez-vous très cher ? » Il ouvre le menu et le regarde un instant. Il ne sait pas, tout simplement car il ne connaît pas non plus. « Une fondue chocolat... pour deux ? » Une rit et la regarde, un air tendre au fond des yeux. « Comme dessert peut-être ? » Mais si il aurait aimé la déguster elle pour finir son repas, cela n'allait pas se passer ainsi. Ils termineraient sans doute la soirée sagement, l'un contre l'autre dans des baisers chastes. Doucement il pose sa main droite sur la table, cherchant la sienne. Il a ce besoin incroyable de la toucher, elle lui manque et tout son corps appelle la peau douce de sa compagne. « Je vous aurais bien proposé un plat de Spaghettis aux boulettes de viande pour reproduire la scène mythique du dessin animé la Belle et le Clochard mais... Ils n'ont pas ça au menu. » Il termine sa phrase avec un petit sourire et prend une autre gorgée de champagne. Le nectar est doux, très frais, un délice !
« Un magret de canard et ses pommes de terres sautée ? Où de la Lotte au safran... Je pense me laisser tenter par le poulet au curry... Vous aussi très chère ? » Il connaît Alice et son amour pour les épices, ils prendront peut-être la même chose, qui sait ? Alors qu'il referme le menu, elle lui pose une autre question. « Alors très cher Prince, j'imagine que nous sommes là pour faire connaissance tout d'abord. Dites-moi des choses que j'ignore sur vous. » Il réfléchit et ça lui demande quelques secondes pour trouver une chose qu'elle ne sait pas sur lui. Elle sait tout, c'est bien ça le problème ! « J'affiche sur ma peau un nouveau tatouage... » Il laisse planer le douter avec un sourire, ce n'est pas bien brillant mais il le trouve que cela. Ha si ! Il ajoute une chose également. « Je devrais partir 5 jours en Irlande dans quelques semaines... » Il ne dit pas la raison mais Alice devrait demander pourquoi, laissant sa curiosité parler. Et puis au fond, il meurt d'envie de lui donner la raison. Même si elle va lui manquer...
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice « Comme dessert peut-être ? » Elle haussa un sourcil. Elle avait imaginé autre chose pour le dessert, mais sans doute ne le méritait-il pas. Elle ne devait pas être la jeune femme sexy qu'elle était d'habitude avec lui mais les habitudes ont la vie dure. Alice et Eliakim avait toujours eut une relation basée sur le sexe, ce n'était pas possible pour elle devait les choses de manière différente aussi rapidement. Elle voulait pourtant plus avec lui. Elle avait déjà eut des relations amoureuses, mais avec des gens de son âge, ils partageaient les heures de cours, les critiques des professeurs ou l'analyse des programmes télévisés de la veille. Mais avec Eliakim elle avait peur de ne pas être à la hauteur, ou de passer pour trop jeune ou trop puérile pour lui. Ils n'avaient pas dix ans d'écart, mais tout de même. Elle le voyait comme un homme si fantastique, et intéressant, brillant, et elle comme une jeune femme si peu sûre d'elle qu'elle ne savait pas ce qu'elle pouvait lui apporter. Alors elle jouait la carte de la séduction. Mais elle devait apprendre à avoir confiance en elle, à créer de véritables liens, une véritable relation. « Je vous aurais bien proposé un plat de Spaghettis aux boulettes de viande pour reproduire la scène mythique du dessin animé la Belle et le Clochard mais... Ils n'ont pas ça au menu. » Elle se mit à rire. Finalement peut être qu'ils avaient quelques références en commun. Elle était encore enfant lorsqu'elle vit la Belle et le Clochard pour la première fois. Ce n'était pas son dessin animé préféré, mais elle l'appréciait quand même énormément. Et il faut avouer que oui la scène dans le restaurant italien était fantastique. Elle était devenu mythique. Tant et si bien qu'il était difficile d'imaginer un diner romantique sans spaghetti à la bolonaise et sans accordéoniste en arrière fond. Elle aurait bien aimé un plat de la sorte mais elle ne pouvait pas. Ce n'était pas assez classe. Elle se mit à lire la carte à son tour, mais ne trouva rien qui lui faisait envie. Elle était mal à l'aise et s'en rendit compte à présent. Elle avait peur de ne pas plaire à Eliakim, elle ne savait pas de quoi ils allaient parler. Elle devait se détendre. Elle prit une gorgée de champagne. Elle se sentait se détendre petit à petit, et prendre confiance en elle - surtout. Elle se décida à se laisser aller. Elle ne pouvait pas douter de ses capacités toute sa vie. Elle était masquée, elle était encore protégée. Elle pouvait jouer le jeu, elle ne risquait rien. « Un magret de canard et ses pommes de terres sautée ? Où de la Lotte au safran... Je pense me laisser tenter par le poulet au curry... Vous aussi très chère ? » Elle posa la carte, fermée sur la table, et se mit contre le dossier de sa chaise, le regardant droit dans les yeux. Elle se perdit un instant dans ses yeux magnifiques et brillants. Elle pensa un court instant qu'il l'aimait, et qu'elle l'aimait également. Ils n'avaient pas recouché ensemble depuis un moment, mais ils partageraient bientôt bien plus encore. Une véritable relation de couple. Elle ne savait pas tout ce que cela voulait dire, mais elle avait de plus en plus hâte de le découvrir. « Vous savez que j'adore les épices, mon cher prince, alors je vous laisse choisir pour moi. » Dit-elle en se laissant aller. Elle était d'humeur joueuse. Elle ne voulait pas se prendre la tête ce soir, elle voulait simplement se laisser vivre, et voir où tout cela allait les mener. Après tout elle n'avait qu'une vie alors autant la jouer à fond jusqu'au bout. Elle demanda alors à son doux prince de lui dire une chose qu'elle ignorait sur lui. Elle imaginait qu'il y avait encore beaucoup de chose qu'elle ignorait sur Eliakim, et elle voulait absolument tout savoir, jusqu'au plus infime détail. « J'affiche sur ma peau un nouveau tatouage... » C'était un détail intéressant. « J'aurai le droit de le voir ? » Demanda-t-elle en buvant encore une gorgée du champagne. Elle voulait le voir, elle adorait ses tatouages. Ils étaient magnifiques, incroyablement bien dessiné. Pour sa part elle en avait un aussi depuis quelques semaines à présent, sur le poignée. Une phrase qui voulait tout dire : la peur est le meurtrier de l'esprit. Elle n'avait plus le droit d'avoir peur. « Je devrais partir 5 jours en Irlande dans quelques semaines... » Elle but de travers et commença à s'étrangler. Il lui annonçait une chose qu'elle ignorait, voire même deux choses, et c'était ce qu'elle avait voulu. Cinq jours sans le voir, cinq jours en Irlande... Qu'irait-il faire en Irlande ? La curiosité d'Alice prit le dessus évidemment. « En Irlande ? Que vas-tu faire en Irlande ? Tu pars... Avec quelqu'un ? » elle essayait de cacher sa jalousie avec un peu de difficulté cependant.
Eliakim A. Crowlley
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« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Il ne pouvait rêver d'une soirée plus douce et tendre. Il adorait d'avance cette soirée qui s’annonçait des plus charmantes, en présence d'Alice. Son cœur se gonflait d'une joie qu'il ne pouvait contenir, sentant chacun de ses muscles se tendre sans qu'il ne puisse se contrôler. Il ne savait pas comment cela allait finir, mais il pouvait être sur que cela commençait bien. Depuis leur dernière discussion où Alice lui avait avouée qu'elle n'était qu'un pantin pour leurs pères, il la sentait libérée et plus sure d'elle. Elle n'attendait plus les jugements de son amant et semblait avoir au fond des yeux un apaisement qu'il ne pensait jamais voir. Il lui faisait si peur que ça ? Elle craignait tant que ça le jugement d'Eliakim ? Elle semblait libérée et il adorait cela. Alice était une nouvelle femme depuis quelques temps, comme si elle s’ouvrait à son homme. Il adorait cela.
Après plusieurs minutes à regarder la carte, elle le laissa choisir à sa place. Le serveur arriva vers eux et Eliakim l'accueillit avec un sourire. Mais comme toujours lorsqu'il sortait avec Alice, elle monopolisait l'attention par sa beauté éclatante. Le serveur, un jeune homme ne dépassant certainement pas les 25 ans regardait la belle Miss Kensington en rougissant légèrement. Eliakim se sentit un peux jaloux alors pour attirer l'attention vers lui, il se racla la gorge et jeta un regard noir au serveur. « Nous prendrons pour commencer des œufs pochés aux langoustines et au safran. Ensuite deux poulets au curry et pour terminer... une fondue au chocolat pour deux. Pourriez vous nous servir deux verres de vin blanc moelleux pour accompagner notre entrée, ainsi qu'une bouteille de Petrus 1947, j'ai entendu dire que vous aviez encore quelques bouteilles dans votre cave. » Le serveur fit un léger sourire à l'intention d'Eliakim, confirmant ce qu'il venait de dire. « Et pour finir une bouteille de veuve Clicquot afin de boire une coupe de champagne avec notre dessert... Cela te conviendra chérie ? »
Eliakim appuya sur ce dernier mot avec un sourire carnassier. Il voulait bien faire comprendre au serveur que Alice lui appartenait et qu'il ne devait pas trop lui tourner autour. Même pas un regard, ni même une pensée, rien du tout au risque de faire exploser la colère et la jalousie d'Eli'. Le jeune homme repartit, la mine basse et un rictus vexé au coin de la bouche. Après avoir commandé le professeur de biochimie avoua qu'il affichait sur sa peau un nouveau tatouage et Alice lui demanda si elle pouvait le voir. « Il est sur le mollet et... Oui tu pourras le voir tout à l'heure peut-être. Je sais que tu portes un tatouage également, je me trompe ? » Avec un clin d’œil il termina sa phrase. Il voulait qu'elle voit son nouveau dessin, seulement pour donner son avis. Mais aussi en traînant sur Instragram il était tombé sur la photo d'Alice montrant son tatouage sur la toile et il l'avait trouvé magnifique, très poétique et totalement en accord avec elle. Il lui avoua qu'il allait partir quelques choses et sa réaction le surprit. Elle s'étouffa avec son champagne, légèrement amusé il lui tendit sa serviette et attendit qu'elle calme sa toux légère.
« Mon amie Rae souffre du mal du pays elle est Irlandaise comme tu le sais et je lui ai proposé un petit séjour en Irlande tout les deux, pendant la St Patrick. Elle... N'est pas retournée sur sa terre depuis longtemps. » Il ne voulait rien dire de plus, encore moins que Rae n'était pas rentrée chez elle par manque de moyen mais aussi à cause d'une mésentente avec ses parents. Cela ne regardait personne et c'était un secret bien gardé entre les deux amis. Il ne prit pas le temps de présenter Rae à Alice car cette dernière la connaissait, pour avoir une biographie assez complète sur elle et sur toutes autres personnes de l'université. « Et toi ? Tu peux m'avouer quelque chose sur toi que je ne connais pas ? » Elle devait sans doute garder des secrets dont il n'avait pas encore eu connaissance alors avec un sourire, il posa ses coudes sur la table et vint perdre son regard dans les yeux bleus d'Alice. « Tu es magnifique... » Il lui avouait cela dans une murmure, un fin sourire sur les lèvres, de l'amour débordant dans ses yeux.
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Le serveur arriva vers eux pour prendre leur commande, et lança sans gêne une oeillade inquisitrice vers Alice. Quant bien même cette dernière était encore masquée cela ne semblait pas le déranger. Attirée par ses courbes généreuses de jeune femme musclée et forte, il la déshabillait du regard. La jeune femme le regardait faire à la fois amusée et flâtée. D'autant plus que cela éveillerait sans doute la jalousie de son homme. Ce dernier dût se racler la gorge pour avoir l'attention du dit serveur qui sortie de sa contemplation avec difficulté. « Nous prendrons pour commencer des œufs pochés aux langoustines et au safran. Ensuite deux poulets au curry et pour terminer... une fondue au chocolat pour deux. Pourriez vous nous servir deux verres de vin blanc moelleux pour accompagner notre entrée, ainsi qu'une bouteille de Petrus 1947, j'ai entendu dire que vous aviez encore quelques bouteilles dans votre cave. » Alice haussa un sourcil. Son homme avec des goûts de luxe, et semblait décider à la faire devenir ivre ce soir. Elle retint un petit rire. La dernière fois qu'elle avait été ivre avec lui c'était à New York, et ils avaient passé une soirée fort agréable qui avait terminé dans une bagarre qui aurait pu mal finir. « Et pour finir une bouteille de veuve Clicquot afin de boire une coupe de champagne avec notre dessert... Cela te conviendra chérie ? » Il dit ce dernier mot avec insistance la regardant avec douceur et désir. Elle sourit, et se laissa aller sur sa chaise. « Ce sera parfaite mon amour » Sa réponse eut pour effet de faire rougir le serveur qui ne savait plus où se mettre. C'était fort amusant de jouer avec les nerfs de ce petit garçon. Il disparut et Alice commença donc sa soirée comme si elle ne savait pas qui était l'homme en face d'elle. Elle lui demanda de lui dire une chose qu'elle ignorait sur lui, et il lui avoua qu'il avait un nouveau tatouage. Dés lors elle lui demanda si elle aurait la chance de le voir. Elle ne doutait pas que ce serait une merveille, comme tous les autre. « Il est sur le mollet et... Oui tu pourras le voir tout à l'heure peut-être. Je sais que tu portes un tatouage également, je me trompe ? » Elle souleva sa veste et lui montra son poignet où était inscrite sa phrase. Fear is the mind-killer. Elle se l'était fait faire un soir alors qu'elle se trouvait avec Oliver et Iseult. Elle en avait envie depuis des années, mais ce soir-là en parlant de littérature, Iseult lui avait trouvé cette phrase parfaite. Elle avait adoré, l'avait écrite et se l'était fait tatouer. « Tu aimes ? » demanda-t-elle avec une lueur de défis. Elle trouvait que cette phrase lui allait bien, penserait-il la même chose ? Outre cela il lui apprit qu'il allait partir pour l'Irlande durant une petite semaine. Dés lors la jalousie la poussa à lui demander avec qui et pourquoi il partait. « Mon amie Rae souffre du mal du pays elle est Irlandaise comme tu le sais et je lui ai proposé un petit séjour en Irlande tout les deux, pendant la St Patrick. Elle... N'est pas retournée sur sa terre depuis longtemps. » Alice acquiesça. Elle n'appréciait pas forcément Rae, plus parce que celle-ci ne l'aimait pas que par raison personnelles. Après tout la professeur était une femme d'une grande classe, et extrêmement intéressante. Mais elle n'appréciait pas Alice sans que celle-ci ne puisse véritablement comprendre pourquoi. Elle ne se permettrait jamais cela dit de ce mettre en travers de son amitié avec Eliakim. Elle respectait les liens d'amitié, c'était une des rares choses qu'elle trouvait importante dans la vie. Elle-même ne serait rien sans sa meilleure amie. « Quand partez vous ? » Demanda-t-elle simplement, sans plus de cérémonie ou d'inquiétude. Elle avait fait surveiller les deux professeurs pendant quelques temps mais il était évident qu'il n'y avait rien entre eux. Elle devait apprendre à avoir confiance envers Eliakim. « Tu me ramèneras un cadeau ? » demanda-t-elle avec un fin sourire, plus joueuse à présent. Ce fut à lui ensuite de continuer la conversation, comme le doit un homme de bien. Il lui retourna sa question : « Et toi ? Tu peux m'avouer quelque chose sur toi que je ne connais pas ? » Elle ouvrit de grands yeux et réfléchis pendant un instant. Elle ne savait pas vraiment que lui dire sans risquer de le faire fuir. Après tout il savait quasiment tout d'elle. « Tu es magnifique ... » « Et toi, tu es d'un chic ! » S'exclama-t-elle en terminant son verre de champagne. Elle réfléchie encore quelques instants. « J'ai un ordinateur chez moi, dans lequel je cache des dossiers sur toutes les personnes de l'université. Casier judiciaires, blog d'adolescence, photos compromettantes, secrets dévoilés, curriculum Vitae… J'en possède même un sur toi ~ »
Eliakim A. Crowlley
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☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Avec un sourire il laissa ses yeux dériver sur la pièce autour d'eux et donc, sur les couples présents. Il croisa le regard d'une jeune femme, sans doute là avec son mari. Elle lui fit un sourire, ravi, amoureux avant de reporter son attention sur son époux. Mais aussi des yeux il contempla un couple âgé, sans doute ensemble depuis longtemps et fêtant la St Valentin au même titre que les jeunes comme ils devaient les appeler. Le mari lançait des regards amoureux à son épouse, Eliakim trouva cette image magnifique et une seconde il pensa à leur évolution avec Alice. Dans quelques années peut-être ils seraient à leur place. Elle arborerait quelques cheveux blancs, un sourire marqué par des rides discrètes mais témoignant d'un passé bien rempli. Eli' lui aurait les cheveux poivre et sel ainsi que plusieurs rides au coin des yeux, ses yeux bleus délavés mais un sourire qu'il ferait tout pour garder expressif.
Un instant il revint sur terre, brisant cette bulle qu'il avait laissé dériver. Depuis quand pensait-il à une vie avec Alice ? Une vie bien replie, longue et pleine d'amour. Ils auraient des enfants oui c'était certain, peut-être deux, trois pour agrandir la famille encore. Eliakim aurait voulu un fils afin de passer des moments typiquement masculins avec lui, une partie de football, l'emmener à ses entraînements de hockey sur glace avec le fils de Clyde... Non là définitivement il allait trop loin. Avec un sourire il secoua la tête et fit disparaître ses pensées, reportant son attention sur Alice et sa beauté frappante. Elle rayonnait littéralement, il ne pouvait en dire autrement. Elle lui demanda si il aimait son tatouage et ne put que hocher la tête avant d'ajouter qu'il lui correspondait parfaitement. Ils parlèrent du futur voyage de Rae et Eliakim, la jalousie passée elle demanda quand ils partiraient. Il ne le savait pas alors, le plus honnêtement du monde il lui répondit. « Je ne sais pas, sans doute peu avant la St Patrick. Tu seras la première au courant. Je t'appellerais tous les soirs... » Lui dit il avec un clin d’œil, sans s'enlever de la tête l'idée qu'elle lui manquerait comme jamais.
« Tu me ramèneras un cadeau ? » Sa voix et son air de petite fille le fit rire alors qu'il trempait ses lèvres dans sa coupe de champagne pour prendre une gorgée fraîche. « Tu veux un Leprechaun ? » Il fit référence aux créatures issus du folklore Irlandais. « Oui, je te ramènerais plein de choses... Notamment moi, c'est déjà bien tu ne trouves pas ? » Il reposa sa coupe de champagne avec un sourire qui voulait tout dire. Il lui demanda de révéler quelque chose qu'il ne savait pas. « J'ai un ordinateur chez moi, dans lequel je cache des dossiers sur toutes les personnes de l'université. Casier judiciaires, blog d'adolescence, photos compromettantes, secrets dévoilés, curriculum Vitae… J'en possède même un sur toi ~ » Il leva un sourcil, intrigué et lui demanda tout de même, se doutant que peut-être elle ne répondrait pas. « Et qu'as-tu écris sur moi ? Que sais-tu de top secret ? » Étonnamment, il n'était même pas stressé à l'idée que Alice possède sa vie dans un ordinateur.
Dans un coin de la pièce l'orchestre commença un morceau bien connu, le tango de Roxanne, tiré du film Moulin Rouge. Alice avait un véritable don pour la danse alors sans attendre sa réponse, il se leva de sa chaise et lui tendit la main avec toute la galanterie dont il pouvait faire preuve. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, un petit coin danse avait été emménagé dans l'immense restaurant et déjà, quelques couples c'étaient levés pour danser pendant cette mélodie entraînante. Et puis un tango, quoi de mieux pour séduire. Il se souvenait de leur danse pendant la soirée au Duke of Cambridge, c'était sensuel et passionné, il voulait revivre cela, tant mieux si tous le monde les regardaient. Ils pourraient se rendre compte de leur talent en danse.
Ils rejoignirent les couples qui dansaient déjà sans qu'il ne lâche la main d'Alice. Dans un mouvement ample il la fit se retourner, posa sa main sur sa hanche et la colla contre son propre corps. « Prête Miss Kensington ? »
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Alice a toujours voyagé, depuis qu'elle était enfant elle partait aux quatre coins du monde. Elle voyageait d'hôtel en hôtel, elle découvrait de nouvelles cultures, des nouvelles richesses, et elle adorait cela. Elle avait vu des Opéras en Italien, elle avait visité des musées dans tous les Etats-Unis, et elle avait été dans les châteaux en France. Elle avait des amis dans tous les lieux où elle avait été. D'un naturel très sociale il était facile pour la jeune femme de se faire offrir des verres ou de discuter avec des gens qu'elle n'avait jamais vu auparavant. Elle entretenait plusieurs relations épistolaires avec des étrangers à travers le monde, dans différentes langues en outre. Cela l'aidait à se perfectionner et cela l'amusait aussi beaucoup. Mais en Irlande elle n'y avait été qu'une seule fois, lors d'une St. Patrick particulièrement arrosée avec son demi-frère pour fêter la fin du secondaire. Ils avaient passé trois jours démentiels dont elle avait très peu de souvenir tant ils avaient pu boire et boire encore. Ils avaient peu dormi, et ils avaient rencontré beaucoup d'autres jeunes dans leurs genre. Elle se souvenait d'un pays en ébullition, avec une ambiance chaleureuse et festive. Elle en gardait - malgré la pire des gueules de bois de sa vie - un excellent souvenir. « Je ne sais pas, sans doute peu avant la St Patrick. Tu seras la première au courant. Je t'appellerais tous les soirs... » elle sourit devant la prévenance de son homme, le trouvant tout simplement adorable, comme s'il voulait absolument la rassurer. Elle avait confiance en lui. Il était son homme, à elle seule. Elle savait qu'elle n'avait rien à craindre entre lui et Rae, elle était uniquement sa meilleure amie. Elle avait plusieurs témoignages et des photographies qui le prouvaient. Elle était sans doute un peu folle et paranoïaque sur les bords, mais en six ans elle avait eut besoin de s'informer sur ses adversaires dans le coeur et dans le lit de son amant. Surtout quand ils oubliaient de se protéger. Elle n'avait pas eu tous les dossiers médicaux mais elle avait beaucoup d'informations quand même. « Tu profiteras de la présence de ta meilleure amie. Je saurais me contenter de quelques sms... et de photographies sexy. » Dit-elle en lui offrant un clin d'oeil aguicheur. Ils continuèrent à discuter de ce voyage et elle exigea qu'il lui ramène un cadeau, à la manière d'une enfant capricieuse. Elle était partie dans de nombreux endroits et avait ramené beaucoup de photographies, et des cadeaux pour ses proches. Et cela allait dans les deux sens. Lorsque ses amis ou son père allaient à l'étranger ils lui ramenaient toujours quelque chose. C'est ainsi que la jeune femme avait commencé plusieurs petites collections de souvenir inutiles : des boules à neige d'endroit et de monuments célèbres, des cartes postales des quatre coins du monde, ou encore des portes-clés oursons avec les drapeaux des pays. C'est ainsi qu'Oliver, Iseult ou son père savaient toujours quoi lui ramener. Elle gardait ses objets chez son père depuis des années. Ils prenaient la poussière mais cela l'amusait beaucoup et elle adorait ces petits tour du monde à elle. « Tu veux un Leprechaun ? » « Ca complètement ma collection avec mon centaure et ma Licorne ! » Dit-elle avec la sourire alors qu'elle prit une nouvelle gorgée de champagne. Elle passait une excellente soirée, détendue et eut soudainement en tête l'image qu'ils devaient donner : un couple heureux et complice. « Oui, je te ramènerais plein de choses... Notamment moi, c'est déjà bien tu ne trouves pas ? » elle haussa les épaules comme si cela n'avait pas d'importance. « Un leprechaun unique ou mon professeur à moi... je ne sais pas ce que je préfère. » Dit-elle. Elle se mit à rire alors qu'elle lui offrit un sourire radieux. De toute évidence elle sera plus qu'heureuse qu'il lui revienne mais son côté petite fille gâtée ragerait qu'il ne lui ramène pas un petit cadeau, même une chose complètement stupide. Genre une casquette avec des portes-bières pour boire comme un trou. Elle pourrait même l'utiliser lors des soirées démentielles des Posh. Elles étaient moins sages qu'elles n'y paraissaient ces jeunes femmes et elles savaient ce que les mots boire comme un trou voulaient dire. Ils continuèrent leurs discussions sur Alice qui avoua qu'elle gardait des dossiers sur tout le monde - dont lui - sur un ordinateur privé. « Et qu'as-tu écris sur moi ? Que sais-tu de top secret ? » Elle le regarda dans les yeux et s'adossa un court instant à sa chaise pour le regarder. Elle se mit à réfléchir. Est-ce qu'elle voulait vraiment lui révéler ce qu'elle savait de lui ? Elle ne le savait pas vraiment. Elle n'avait pas envie de dire qu'elle avait des copies de lettre de petites amoureuses quand il était en primaire, ou des sms de jeunes femmes qui l'avaient harcelées lorsqu'il était arrivé à Oxford. Elle savait aussi qu'à l'âge de quinze ans il avait été arrêté une nuit parce qu'il avait été pris en flagrant délie de ... tag sur la voie public. Sans doute une manière de faire parler de lui. Mais elle n'avait pas envie de dévoiler tous ces secrets. « Tu étais un adolescent rebelle mignon. Et tu as fait beaucoup de victimes. Les filles sont folles de toi. » dit-elle simplement en revenant vers lui. Ils devaient encore attendre pour être servi et une musique très attrayante se fit entendre dans l'hôtel. Un tango, voila ce que proposait l'orchestre pour cette première danse. La jeune femme adorait danser, et elle gardait un très bon souvenir de leur première étreinte lancinante. Ils avaient allumé le feu à une soirée en dansant corps contre corps tous les deux. Eliakim lui proposa sa main et la guida sur la piste. Elle le suivit sans hésiter. Elle portait une robe longue mais qui était assez ample pour lui permettre de danser convenablement. Sans compter qu'ainsi masqués ils firent rapidement impression. Il lâcha sa main avant de la faire venir contre lui. « Prête Miss Kensington ? » Elle se colla contre son corps et mit sa jambe autour de la sienne. « Toujours prête. » Répondit-elle en faisant jouer le double sens de la phrase. Comme les scoots toujours prête. Elle glissa le long de sa jambe, avant de revenir contre lui, puis de le repousser, de venir contre lui, autour de lui. Le tango est la danse du désire, de l' éros . Elle adorait cette danse. Ca la rendait folle. « Arriveras-tu à me dompter, Eliakim ? » demanda-t-elle alors qu'elle se mit derrière lui pour glisser sur son dos avant de tourner pour lui échapper alors qu'il la retenait par la main.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (end) INTRIGUE 4 ✗ l'hôtel Parklands Mar 3 Mar - 22:55
Les amoureux ?
« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Eliakim n'avait pas bougé dans sa vie et ses maigres voyages lui permettaient de présenter ses projets et ceux du club de science. Pas qu'il n'aimait pas les voyages seulement il n'avait pas le temps. Et enfant c'était rare que son père l’emmène avec lui. Adolescent il avait été vite éjecter de la demeure familiale pour venir étudier à Oxford alors autant dire qu'il ne bougeait que rarement de l'Angleterre. Ce n'était pas un problème, Eliakim sentait en lui un sentiment patriote le nourrir et ça depuis son enfance. Il adorait son pays, les habitants, le climat parfois difficile à supporter car manque de soleil, les campagnes de sa douce Angleterre chérie. En revanche il connaissait son pays par cœur et pouvait en parler des heures et le faire visiter sans problème. Son histoire, ses traditions, plus rien n'était mystérieux à ses yeux. Autant dire qu'il allait pour la première fois de sa vie poser un pied en Irlande, c'était un pays qu'il ne connaissait que de nom et qui plus est il allait y aller en pleine fête de la St Patrick, cela serait mémorable et comme un enfant il avait hâte.
Et puis un séjour avec Rae, cela n'était pas arrivé depuis des années. Ni l'un ni l'autre n'avait le temps et ces quelques jours de repos était un cadeau qu'il chérissait plus que n'importe qui. Se retrouver avec son amie lui ferait un bien fou. « Tu profiteras de la présence de ta meilleure amie. Je saurais me contenter de quelques sms... et de photographies sexy. » Oui il profiterait comme jamais, de ce séjour qu'il adorait d'avance. Un sourire vint fleurir ses lèvres alors que la fin de phrase de sa fiancée raisonnait dans son esprit. « Tu auras bébé, je pourrais même t'accorder un où deux soirs de skype... » Il lui sourit encore, buvant une autre coupe de champagne, dégustant le breuvage comme un nectar doux et précieux. « Un leprechaun unique ou mon professeur à moi... je ne sais pas ce que je préfère. » Lui dit-elle fourbe avant de rire doucement. Il prit une expression choquée et lui lança sur un ton amusé. « Je suis tout de même plus beau qu'un Leprechaun ! » Il pensa un instant à ce qu'il pourrait lui ramener. Plein de chose c'était certain, il allait la couvrir de cadeaux à son retour et ne comptait pas revenir avec un seul présent. Pour tout dire il pensait sérieusement à prendre une valise vide et seulement de quoi se changer, le minimum vital.
Le sujet dériva sur le dossier qu'elle pouvait avoir sur lui, il le doutait pas que Alice avait bien fouillé et qu'elle avait trouvée des choses que lui même avait oublié depuis longtemps. Il était curieux de voir, de savoir même ce qu'elle avait sur lui. Mais la fourbe décida de lui dire une seule phrase, laissant planer le doute dans l'esprit du professeur. « Tu étais un adolescent rebelle mignon. Et tu as fait beaucoup de victimes. Les filles sont folles de toi. » Lui dit la belle jeune femme en se posant devant lui, ses coudes sur la table. Il laissa ses yeux dériver dans son cou jusqu'à la naissance de sa poitrine parfaite. Un instant l'image de sa propre bouche dévorant cette peau immaculé lui revint. Il se mordit la lèvre sans même s'en rendre compte, se torturant tel un idiot. A croire qu'il adorait se mettre dans des états pas possible ! « Je me moque complètement des autres femmes, même si je fais des victimes » Il lui prit la main et déposa un baiser au creux de celle-ci, profitant de la douceur de sa peau sur ses lèvres. Enfin ils se levèrent pour danser, elle lui accorda ce moment.
Ils marchèrent jusqu'à la petite piste de danse, ils ne passaient pas inaperçus, tout simplement car Alice dans cette robe attirait les regards envieux des hommes et surtout avec les masques ils s'attiraient des regards amusés et interrogateurs. Il la prit contre lui, elle colla sa jambe contre celle du professeur. Ainsi il sentait tout, son souffle contre ses lèvres, sa poitrine sur son torse, son bassin collé à ses propres hanches. Elle glissa de long de sa jambe, il la regardait un fin sourire aux lèvres. Le tango est une danse pour séduire, envoûtant, charmer la personne avec qui vous dansez. Ds mouvements sensuels, une danse crée par le dieu de l'amour et du désir en personne. Vous ne pouvez pas ressortir indemne lorsque vous dansez un tango, la personne en face vous fera ressentir du désir, c'est une façon de flirter avec le corps, sans rien se dire. Tout est dans le geste et le regard et bien souvent, les yeux sont lourds de sens. « Arriveras-tu à me dompter, Eliakim ? » Lui dit-elle alors qu'elle se trouvait derrière lui, qu'elle fit un mouvement pour s'échapper et qu'il l'attrapa par la main. Lentement il la pencha en arrière, lui laissa son visage venir frouer son cou magnifique. Le parfum d'Alice explosa dans son esprit et avec une infinie douceur il déposa un baiser dans son cou. Il la fit remonter vers lui, posant une de ses mains sur sa hanche. « Tu m'appartiens déjà Alice. » Ce n'était pas sur un ton de défis qu'il lui disait cela, c'était la plus pure vérité. Ils dansèrent sur cette musique sensuelle, leur corps soudés l'un à l'autre, rien autour d'eux n'existait et Eliakim ne se rendit même pas compte que toutes les regards fixaient ce couple incroyablement sensuel.
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Sujet: Re: (end) INTRIGUE 4 ✗ l'hôtel Parklands Mar 17 Mar - 1:51
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Alice adorait partir en voyage avec ses amis. Elle était rarement seule, et quand elle l'était elle ne le restait pas longtemps. Parfois elle se demandait pourquoi elle avait autant de mal à rester seule. Peut être qu'elle ne supportait pas le silence, peut être qu'elle n'aimait pas passer inaperçue, qu'elle avait peur de disparaitre. En outre, elle était une jeune femme à peine sortie de l'adolescence, et qui n'aura jamais réellement besoin de devenir adulte tant qu'elle n'aura pas enfantée à son tour, et elle ne se sentait pas prête encore à être mère. Elle profitait de la vie, jouant avec les règles comme si rien n'avait d'importance. Et c'était vrai après tout, rien n'avait d'importance dans ce monde. Elle pouvait être et faire ce qu'elle voulait cela n'aura que peu de répercussion dans le monde, alors pourquoi ne pas vivre à fond l'instant présent ? Et son homme avait tout à fait le droit de profiter de la vie également. Elle ne l'empêcherait pas d'aller en Irlande, elle n'en avait pas le droit, et elle voulait même qu'il s'amuse. Après tout elle tenait énormément à ses amis, et elle se doutait que c'était de même pour Eliakim. Alice imaginait leur vie commune avec des amis autour d'eux. Elle ne voulait pas l'empêcher de les voir, et elle ne voulait pas s'enfermer dans une relation duel unique. Et elle ne supporterait pas qu'Eliakim lui interdise d'aller s'amuser avec ses amis. Alors elle ne demandait que quelques cadeaux pour le simple plaisir de recevoir et ne l'embêterait pas plus que cela. « Tu auras bébé, je pourrais même t'accorder un où deux soirs de skype... » Elle se mit à rire. Il était plus accroc qu'elle apparemment. Il ne pourrait pas passer quelques jours sans même la voir alors qu'elle était prête à s'effacer pour qu'il profite de la présence de Rae. Mais elle n'avait pas le coeur de lui refuser des discussion sur Skype en amoureux. Et peut être même des conversations un peu osées qui sait ? Elle avait une sexualité débridée maintenant qu'elle l'avait retrouvé. Passons. « Je suis tout de même plus beau qu'un Leprechaun ! » Elle réfléchit un court instant, et ne répondit que par un haussement d'épaules comme si elle n'était pas très sur de cela. Après tout les leprechauns sont des créatures tout à fait adorables avec des chapeaux haute forme verts. Elle voulait un chapeau vert haut de forme ! Gamine capricieuse elle ne répondit pas à son homme, préférant le taquiner et s'amuser au maximum. Ils continuèrent la discussion sur un autre terrain : cela des recherches d'Alice. Elle lui révéla en quelques mots ce qu'elle savait sur lui, mais ne lui en dit pas trop. Après tout peut être qu'un jour elle aura besoin de le faire chanter pour avoir quelque chose de lui. Elle entendit un rire démoniaque résonnait dans sa tête, une sorte de petit diablotin qui jouissait de ses habitudes de jeunes manipulatrice. Cela dit elle savait qu'Eliakim n'aura jamais le coeur à lui refuser quoi que ce soit. Au pire elle pouvait toujours faire la grève du sexe ! « Je me moque complètement des autres femmes, même si je fais des victimes » « Tu as intérêt. » Dit-elle en lui offrant un regard flamboyant. Elle ne serait pas du genre à partager, et même si il devait s'en douter elle préférait que cela soit clair entre eux. Qu'il s'approche d'une autre femme ou même d'un autre homme alors qu'ils sont ensemble officiellement à présent, il allait non seulement la perdre, mais il aura la désagréable surprise de retrouver son amant mort avec une balle entre les deux yeux. Alice était violente, très violente. Bon peut être pas une balle entre les deux yeux mais sans doute une réputation détruite. Il l'invita à danser, coupant le fil des pensés d'Alice. Ils débutèrent alors une danse langoureuse et sensuelle. Tous les regards étaient tournés vers eux à présent et Alice se surprise à adorer cela. Elle se sentait incroyablement désirable dans les bras d'Eliakim. Allant contre lui avant de le repousser, elle lui tournait autour sans le laisser l'approcher. « Tu m'appartiens déjà Alice. » Elle haussa un sourcil, et revint contre lui, lui ôtant son masque d'un geste sûr. « Jamais complètement.» Dit-elle avec une pointe de défis. Elle se mit à rire et s'enfuit de ses bras alors que les dernières notes de la musique se firent entendre dans le hall de l'hôtel. Elle lui tourna le dos et s'enfuit vers la grande terrasse. Elle avait envie de jouer à être une princesse. Elle voulait prendre l'air, et fut ravie de se retrouver sous l'air frais de Février. Oxford était en effervescence durant cette soirée de la St. Valentin. « Je suis tombée amoureuse sans m'en rendre compte. C'était comme une évidence, quelque chose qui était en moi depuis longtemps et qui s'est réveillé quand tu m'as regardé la première fois. » Elle se tourna vers Eliakim et ôta son propre masque. « Je choisis de vivre l'amour. Qu'importe les souffrances à venir. Qu'importe si cela me détruit. Au moins j'aurai profité de la vie jusqu'à en crever d'amour. » Dit-elle en souriant.
Eliakim A. Crowlley
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Sujet: Re: (end) INTRIGUE 4 ✗ l'hôtel Parklands Mer 18 Mar - 1:08
Les amoureux ?
« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Ils dansent, virevoltent, leurs gestes sont lents et maîtrisés, presque professionnel. Ils laissent dans l'air une odeur douce, un parfum qui restera encore même après leur départ quand ils auront quittés la piste de danse. Alice de toute sa grâce s'enfuit de ses bras alors que ses mains ne rencontrent que le vide, malheureusement. Il soupire et alors que ses yeux cherchent Alice, il la voit qu'elle s'enfuit vers la terrasse. Sa chevelure vole à la vitesse de ses mouvements, il la trouve magique et belle comme le jour. Il remarque également que son parfum remplit l'air, laissant une odeur sucré dans ses narines alors qu'il lève la tête pour mieux la sentir, ayant l'impression qu'elle est toujours là. Et puis alors il enclenche un mouvement et la suit jusqu'à la terrasse. L'air frais lui pique le visage et pourtant dans un extrême geste de galanterie il ôte sa veste et la lui pose sur les épaules. Devant eux la ville se dessine, illuminant la nuit de plusieurs points de lumière.
Avec un sourire il se pose derrière elle et la prend dans ses bras, la tenant contre son torse dans une étreinte douce mais ferme. Il cache son nez dans sa chevelure dorée comme le blé et respire son parfum, jouant avec quelques mèches. Il vit sous ses yeux quelques couples passer main dans la main, amoureux à l'idée d'une soirée comme celle de la St Valentin. Il trouvait cela adorable mais pensa aussi qu'ils devaient ressembler à ce genre de couple amoureux également, Alice et lui. « Je suis tombée amoureuse sans m'en rendre compte. C'était comme une évidence, quelque chose qui était en moi depuis longtemps et qui s'est réveillé quand tu m'as regardé la première fois. » Il sourit contre sa peau alors qu'il dépose un baiser dans son cou. Il la berce un peu sans la lâcher de son étreinte. Seulement elle se tourna vers lui et enleva son masque, lui n'avait plus le sien depuis qu'elle lui avait enlevé pendant leur danse. Il l'admira, finement maquillée, ses yeux bleus reflétant une lueur qu'il ne connaissait que trop bien.
« Je choisis de vivre l'amour. Qu'importe les souffrances à venir. Qu'importe si cela me détruit. Au moins j'aurai profité de la vie jusqu'à en crever d'amour. » Dans un geste infiniment tendre il posa ses mains sur les joues claires de sa fiancée et vint caresser sa peau avec ses pouces. « Qui te dit que tu souffriras ? Qui te dit que cela te détruira ? Au contraire tout cet amour t'élèvera ! » Il l'embrasse, tendrement, amoureusement. Joue avec ses lèvres, savoure pour la première fois ce baiser qu'il n'a pas pu avoir avant. Simplement le froid les rattrape bien trop vite, ils frissonnent et dans un ultime mouvement Eliakim l'attrape par la main afin de rentrer dans le restaurant. Ils reprennent place autour de leur table, devant eux leur assiette fumante sont déjà posées. « Mange ma douce, pendant que c'est chaud. » Il lui dépose un baiser sur les doigts avant de lâcher sa main pour qu'elle commence son repas. D'un air désinvolte il lui demande tout de même, intéressé. « Comment va ton père ? Je n'ai pas eu le plaisir de le revoir depuis Aspen. »
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Sujet: Re: (end) INTRIGUE 4 ✗ l'hôtel Parklands Ven 20 Mar - 16:16
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Elle adorait danser. Depuis qu'elle était enfant elle mettait de la musique à fond dans la maison familiale et virevolter dans toutes les pièces, se fichant que les domestiques la regardent d'un air étonné. Ils n'étaient sans doute pas habitués à voir un petit fille noble tourner de la sorte. Après tout le père d'Alice était un Lord, et en sa qualité d'homme de la haute société il semblait toujours très froid. Les gens avaient peur de son père, mais elle elle était sa petite princesse. Elle était la prunelle de ses yeux, ce qu'il avait de plus précieux depuis la mort de sa femme. Alice avait toujours été la première femme de sa vie depuis lors, et même lorsqu'il avait épousé la mère d'Oliver, Alice avait gardé cette place particulière. Elle en avait joué, évidemment, mais elle aussi tenu ses engagements auprès de lui. Petite elle avait pris des cours de Danse classique, puis des cours de danses de salons, et elle avait même eu le droit à son quadrille lorsqu'elle eut seize ans. C'était une cérémonie très vieille société durant laquelle une jeune femme entrait dans l'âge adulte en dansant avec un homme de bonne lignée. Elle avait adoré cette instant. Depuis dés qu'elle dansait dans les bras d'Eliakim elle se sentait incroyablement belle et désirable. Jamais elle ne pourrait s'en lasser, sans compter qu'il était un excellent danseur. Alors qu'elle se retrouve sur la terrasse elle frissonne. Nous étions quand même en Février, et elle était habillée très peu chaudement. Eliakim eut la gentillesse de lui mettre sa veste sur les épaules, et elle arrêta de frissonner immédiatement. Elle sentait son parfum tout autour d'elle et elle adorait cela. Elle inspirait profondément, se grisant de sa présence et de son étreinte autour d'elle. Elle était heureuse dans ses bras, elle s'en rendait enfin compte. Elle était prête à faire le grand saut, quitte à en souffrir ou même à en mourir. Elle n'avait pas une vision douce et tendre de l'amour. Pour elle l'amour était une source de bonheur infini certes, mais aussi d'immenses souffrances. « Qui te dit que tu souffriras ? Qui te dit que cela te détruira ? Au contraire tout cet amour t'élèvera ! » Elle sourit et caressa sa joue. Elle aimait ce côté très optimiste chez lui. Il semblait persuadé qu'elle n'en souffrirait pas, que lui non plus ne pourrait pas en souffrir. Et pourtant elle mettait sa vie entre ses mains en lui offrant son coeur. Il pourrait le détruire en moins de temps qu'il ne le faudrait pour le dire. « Je suis vulnérable à présent. » Répondit-elle simplement pour répondre à ses questions. Jamais elle n'avait pris autant de risque. Elle n'était pas le genre de femmes à se laissait aller facilement à aimer. Elle n'accordait pas facilement sa confiance, et se méfiait même de ses amis les plus proches. Seul son demi-frère avait véritablement toute sa confiance. Passons cela, Eliakim lui prit la main pour la raccompagner dans le restaurant. Elle en avait presque oublié leur plat. Elle s'assoit à sa place, et regarde les plats fort appétissants qui se trouvent devant eux. Tout cela sentait incroyablement bons, et elle s'extasia devant la présentation fort harmonieuse de leurs plats. « Mange ma douce, pendant que c'est chaud. » Elle acquiesça, prit sa fourchette et la planta dans un des oeufs qui se trouvaient son assiette. Elle goûta ce plat savoureux et ses papilles s'excitèrent toute seule. Ils commencèrent le repas dans le silence, savourant le moment si doux entre eux. Ce fut Eliakim qui reprit la parole le premier. « Comment va ton père ? Je n'ai pas eu le plaisir de le revoir depuis Aspen. » Alice sourit, et essuya ses lèvres avant de prendre une gorgé de vin. « Mon père va très bien. Il est en Inde en ce moment. Il suit le voyage du Prince Harry de très près. » Répondit-elle simplement. Elle appelait rarement son père mais ils s'envoyaient des mails quasiment tous les jours. Il faut dire qu'il était un homme très pris, c'était compliqué de l'avoir au téléphone plus de deux minutes. Et Alice n'était pas mieux surtout en ce moment. Elle ne touchait plus terre tant elle avait à faire. « Et tes parents ? Comment vont-ils ? »
Eliakim A. Crowlley
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☆ date d'arrivée : 08/12/2014 ☆ potins balancés : 5082
« La St Valentin c'est pour ceux qui célèbrent l'amour, peut importe sous qu'elle forme. »
Si il y a bien une chose qu'il a hérité de sa mère c'est son dos pour la danse. Sa mère est pleine de grâce et de légèreté lorsqu'elle danse, elle semble être faite pour cela et lui également c'est un don qu'il maîtrise depuis longtemps. Sa mère voulait qu'il apprenne à danser et déjà tout petit il enchaînait les cours sans s'arrêter pour plus tard, pouvoir faire honneur à une jeune fille en lui offrant une valse où même un tango. En revanche il ne sait pas danser sur les musiques de jeune enfin... Tecktonik, Jumpstyle, impossible pour lui de ne pas s’emmêler les pinceaux comme le bon vieux qu'il est. Sauf en boite là il se débrouille et pas mal. Lorsqu'il était enfant ses professeurs de danse avaient l'habitude de lui poser quelques livres sur la tête pour qu'il apprenne à marcher en étant très droit. Depuis lorsqu'il marche dans la rue il ne peut s’empêcher d'être doit comme un I, ayant gardé ces habitudes de danseur. Certaines personnes doivent penser qu'il prend le monde de haut mais pas du tout, c'est une simple façon de faire. Il faut avouer que son mètre quatre vingt-dix ne l'aide pas à se faire tout petit.
Mais aussitôt elle s'échappe de ses bras, il se sent tel une coquille vide. Comme deux amoureux fou il la suit presque en courant, respirant son parfum à plein poumon. Sur le balcon elle lui avoue être vulnérable sans doute à cause des sentiments qu'elle ressent pour lui. Oui en effet l'amour rend vulnérable et fragile, il peut vous détruire et vous faire ressentir la pire des douleurs. Mais c'est cela qui le rend si beau. On le retrouve partout dans la pureté d'un instant, dans la légèreté d'un moment partagé à deux. C'est ainsi qui rend l'amour aussi important et qui fait que personne ne peut s'en passer où alors ce qui osent vivre sans ce sentiment si beau, c'est parce qu'ils en ont souffert au point d'en devenir fou. Car oui l'amour rend fou, dingue, dérangé tout comme il peut vous rendre vos esprits sitôt l'être aimé revient entre vos bras. Pour cela Eliakim ce peut se passer de ce sentiment même si autrefois il l'a fait souffrir plus que tout autre chose.
Ils reviennent à l'intérieur alors qu'elle se blottie contre lui dans une étreinte douce. Il l'embrasse sur le front et lui pousse sa chaise pour qu'elle s'assoit devant son plat chose qu'elle fait. Il en fait de même et l'invite à manger. Sans la lâcher des yeux Eliakim pique quelque chose dans son assiette et le porte à sa bouche. La saveur explose sur son palet, le faisant saliver comme si il n'avait rien mangé depuis plusieurs jours. « Quel délice ! » Il est sincère et avec un appétit évident il prend une autre fourchette de son plat qui, s'il avait été artistique par la disposition de ses aliments, ne 'lest plus à présent. Il lui demande des nouvelles de son père. « Mon père va très bien. Il est en Inde en ce moment. Il suit le voyage du Prince Harry de très près. » Il hoche la tête, ce genre d'histoire royale sont bien loin de lui tout simplement car il ne s'en intéresse pas. Il sait que le prince George est venu grossir les rangs de la famille Anglaise mais sans plus. « Et... Pour qu'elle raison ? » Il se risque à lui demander ça ayant peur de dire une bêtise plus grosse que lui.
« Et tes parents ? Comment vont-ils ? » Il se racle la gorge et prend une gorgée de son vin avant de revenir à elle. Il s’essuie aussi la bouche avec sa serviette. « Ils divorcent. » Rien de plus. Il replonge dans son assiette avec un petit sourire, sachant que dire cela à Alice le pousse à en révéler plus car elle sera friande de nouvelles histoires. Alors il mange encore un peu regarde partout autour de lui sans croiser le regard de sa douce qui actuellement, doit lui hurler un Dis moi tout où je t'égorge.. Puis il la regarde dans les yeux et rit franchement, amusé de l'avoir faite attendre. « C'est une histoire trop compliquée... Ma mère ne supporte plus mon père et si tu veux mon avis ce n'est pas plus mal. Elle est trop bien pour lui, il ne mérite rien d'autre qu'une femme qui l'écrasera. » Il lâche cela avec un tel naturel qu'il se choque lui même. Un sourire carnassier naît sur ses lèvres lui donnant l'air d'être un garçon capricieux qui a réussi son mauvais coup. Malgré tout il lève son verre de champagne vers elle. « A cette bonne nouvelle ! »
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Sujet: Re: (end) INTRIGUE 4 ✗ l'hôtel Parklands Ven 27 Mar - 1:36
Joyeuse St. Valentin Eliakim & Alice Ils se mirent à manger, profitant de cette soirée simple et romantique. Alice avait l'impression d'être hors du temps. Elle se perdait dans les yeux d'Eliakim et pour la première fois elle eut foi en leur avenir. Elle osait pendant un cours instant imaginer leur avenir ensemble. Avec peut être même des enfants. Mais pour l'heure elle avait peur de cet avenir. Elle ne se sentait pas encore assez adulte ni mâture pour avoir sa propre famille, ou même pour quitter le cocon confortable et rassurant des études. Alice aimait bien les études parce que c'était une cours de récréation fermée où elle pouvait faire sa loi. Mais dans le monde des adultes elle devra se battre pour être reconnue comme quelqu'un d'important. Pour l'heure elle ne voulait pas disparaitre dans la masse. Alors elle portait des tenues sexy et elle sortait avec un homme très séduisant. Un professeur d'Oxford qui plus est. « Quel délice ! » Elle sourit, et continua à manger son plat. Elle adorait cela. Ils se mirent à parler du père d'Alice qui se trouvait en Inde pour suivre la famille royale en ce moment. Elle avait quelques échanges avec lui de temps en temps mais il n'était pas un papa poule comme on pourrait le croire. Il n'était pas un homme très tactile avec sa fille, et lui avait plus souvent passé sa carte bleue que fait un câlin. Ce n'était pas un souci, c'était les règles du jeu, et cela Alice pouvait le comprendre. Elle n'en voulait pas à son père, il était sa seule famille et elle l'aimait plus que quiconque. Elle écoutait son père, ne donnant du crédit qu'à ses décisions. « Et... Pour qu'elle raison ? » Elle sourit devant sa question si naïvement posée. « La famille royale souhaite redorer l'image du prince. Mon père est là pour protéger son image, cacher ses frasques et le rendre plus ... sage aux yeux des britanniques. » expliqua-t-elle en pesant ses mots. Elle était habituée à bien choisir ses mots quand il s'agissait du travail. Mais elle se détendit quasiment tout de suite. Après tout elle se trouvait auprès de l'homme qui partageait sa vie à présent. Elle devait s'habituer à faire tomber le masque devant Eliakim. Elle devait s'habituer à être nue devant lui. Elle devait assumer ce qu'elle était et ce qu'elle faisait. Hypocrite souvent, manipulatrice sans cesse, mais franche toujours. Elle disait ce qu'elle pensait, en y mettant simplement les formes. Elle continua la conversation en demandant à son tour comment allez les parents de son homme. « Ils divorcent. »La nouvelle tomba comme une tombe au milieu de la piste de danse. La jeune femme resta avec la fourchette en l'air, sa nourriture tombant alors qu'elle regardait Eliakim, ne sachant comment elle devait réagir. « Euh... je ... » Elle avait vu des films où les parents annonçaient qu'ils divorçaient. Cela avait toujours quelque chose de dramatique, mais Alice savait que les parents d'Eliakim avaient une histoire particulière. Sans compter que son homme n'avait pas son paternel dans le coeur. « C'est une histoire trop compliquée... Ma mère ne supporte plus mon père et si tu veux mon avis ce n'est pas plus mal. Elle est trop bien pour lui, il ne mérite rien d'autre qu'une femme qui l'écrasera. » Rassurée, la jeune femme sourit, et laissa même un petit rire sortie de sa bouche entre ouverte. Elle prit encore une bouchée avant de s'essuyer la bouche et de prendre son verre plein comme son homme le faisait. « A cette bonne nouvelle ! » Elle fit trinquer son verre contre le sien. « Et à nous surtout, mon amour. » Elle sourit, heureuse, amoureuse.